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Comme au Japon, un comité allemand multidisciplinaire demande à son tour l’arrêt immédiat des injections à ARNm

Source : X

C’est une alarme. Une bombe. Une déclaration de guerre scientifique contre le silence. Après le Japon, c’est l’Allemagne qui bascule. Neuf professeurs, médecins, scientifiques de haut niveau appellent à l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm. Pas demain. Pas plus tard. Maintenant.

Ils dénoncent une catastrophe sanitaire masquée par les autorités et les médias : hausse de la surmortalité, maladies chroniques inexpliquées, et surtout chute brutale des naissances. « Nous lançons un avertissement urgent et appelons à un moratoire total sur les vaccins à ARNm. » Les données sont accablantes : Corrélation forte entre vaccination, surmortalité, morbidité et effondrement démographique. » Déclaration officielle de la conférence, cosignée par 200 professionnels.

QUI OSE ENCORE PARLER ?
Voici les noms des neuf intervenants. Ce ne sont ni des anonymes, ni des youtubeurs. Ce sont des sommités dans leur domaine, avec des dizaines d’années d’expérience, des centaines de publications scientifiques.
– Dr Gerald Dyker — Professeur de chimie à l’Université de la Ruhr, expert en nanomatériaux.
– Dr Andreas Sönnichsen — Professeur de médecine interne, auteur reconnu, président du Réseau allemand de médecine factuelle.
– Dr Kurt E. Müller — Spécialiste en dermatologie environnementale, médecine préventive, pathologies non infectieuses.
– Prof. Konstantin Beck — Statisticien, expert en assurance santé et démographie.
– Dr Michael Nehls — Généticien, auteur, ancien expert au Bundestag.
– Dr Erich Freisleben — Médecin généraliste à Berlin, témoin des effets indésirables.
– Dr Christian Schubert — Professeur en psychoneuroimmunologie, directeur de laboratoire.
– Christina Delprete — Pharmacienne suisse, experte en normes de fabrication.
– Dr Dirk Seeling — Psychologue, animateur de la conférence.
Et plus de 200 signataires : médecins, avocats, psychologues, chercheurs, tous unis pour une chose : stopper l’expérience ARNm.

LES FAITS QUI DÉRANGENT
– Les pays les plus vaccinés sont ceux où la surnatalité s’effondre.
– Les campagnes de rappel sont systématiquement suivies d’un pic de surmortalité.
– Les effets secondaires sont sous-déclarés, minimisés, ignorés.
– Les agences sanitaires refusent d’enquêter sur les mécanismes d’immunosuppression, les troubles menstruels, les fausses couches, les inflammations chroniques. Les organisateurs parlent d’un effondrement biologique silencieux. Et accusent les autorités de fermer les yeux pour ne pas affoler les marchés.

UN SCANDALE MONDIAL
Le Japon a déjà recommandé l’arrêt des vaccins ARNm dans son propre rapport d’expertise. L’Allemagne suit. Et d’autres suivront. Combien de temps les médias pourront-ils encore enterrer ces alertes ? Combien de temps avant qu’un procureur ose dire ce que tout médecin lucide voit déjà ? Les données existent. Les signaux sont clairs. Le mensonge, lui, devient criminel.

Lien vers l’original en anglais

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Les données du secteur des assurances révèlent « 5 000 décès liés aux vaccins par semaine »

Source : slaynews

L’un des plus grands experts mondiaux en matière de données a révélé que le secteur des assurances constate désormais jusqu’à 5 000 décès chaque semaine liés aux « vaccins » à ARNm contre la Covid.

Le nombre effarant de morts a été révélé par Edward Dowd, un analyste de données renommé de Wall Street.

Dowd a lâché la bombe lors d’une récente interview sur le podcast Commodity Culture .

Tout en tirant la sonnette d’alarme au sujet de cette découverte, Dowd a révélé que le nombre de jeunes adultes en bonne santé « mourant subitement » a explosé.

Il note également que les blessures liées aux « vaccins » sont désormais « 10 à 15 fois plus élevées » qu’avant la campagne de « vaccination » massive contre le Covid.

Il est toutefois inquiétant de constater que les victimes de blessures liées aux « vaccins » et les familles des victimes ont trop peur de s’exprimer car elles « craignent des réactions négatives ».

Dowd soutient que les rapports sur les décès et les blessures liés aux injections d’ARNm sont réduits au silence par les grandes entreprises technologiques et les médias d’entreprise.

Aux États-Unis seulement, Dowd a révélé que les données des assurances montrent « 3 000 à 5 000 décès liés aux vaccins par semaine ».

« Les blessures sont 10 à 15 fois plus nombreuses », a-t-il ajouté.

« Les 30-50 ans meurent raides morts. »

« Les victimes craignent des réactions négatives ou ne peuvent pas accepter d’avoir été trompées. »

« Les médias et les géants de la technologie suppriment activement ces histoires », prévient-il.

Dowd, ancien cadre de la plus grande société d’investissement au monde, BlackRock , tire la sonnette d’alarme depuis un certain temps sur la hausse des décès parmi les personnes vaccinées contre le Covid. Il est considéré comme l’un des plus grands experts en données d’Amérique.

Grâce à son analyse experte des données du secteur des assurances, Dowd est devenu une figure de proue des enquêtes sur l’impact de la campagne mondiale de « vaccination » contre le Covid.

Slay News précédemment Comme l’a rapporté , Dowd a lancé un avertissement effrayant en avril après avoir découvert des preuves montrant que le nombre de décès excédentaires chez les Américains en âge de travailler monte en flèche.

Selon un avertissement alarmant de Dowd, les données du secteur des assurances montrent que la surmortalité explose parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans.

Ces décès ont commencé à exploser après que les « vaccins » à ARNm contre la Covid ont été déployés pour un usage public début 2021.

Cependant, les décès ne semblent montrer aucun signe de ralentissement, malgré la fin de la pandémie et la baisse des taux de « vaccination ».

En janvier 2022, le PDG de Life Insurance, Scott Davidson, a signalé que les taux de mortalité parmi les personnes en âge de travailler âgées de 18 à 64 ans étaient « en hausse de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie ».

Il a expliqué qu’une augmentation de 40 % du nombre de décès était totalement sans précédent.

Davidson a comparé une augmentation de 10 % des décès à une inondation qui ne se produit qu’une fois tous les 200 ans.

Selon Dowd, la surmortalité est désormais « hors normes ».

Davidson a également noté que les décès excédentaires qui ont commencé à augmenter en 2021 étaient des décès non liés au Covid.

Pendant ce temps, d’autres pays fortement vaccinés dans le monde continuent de tirer la sonnette d’alarme face à la hausse des décès.

Une nouvelle alerte explosive est apparue à Singapour concernant le taux de mortalité excédentaire en flèche du pays parmi les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.

Ces données effrayantes ont soulevé de sérieuses questions sur le véritable bilan de la campagne mondiale agressive de « vaccination » contre le Covid.

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis indiquent que les « décès excédentaires » correspondent au nombre de décès supérieur à celui auquel on pourrait s’attendre sur la base des tendances historiques.

Selon des données explosives provenant de la base de données sur la mortalité humaine (HMD) et d’études évaluées par des pairs, le pays a connu une augmentation forte et soutenue de la surmortalité immédiatement après le déploiement des « vaccins » contre la Covid.

Ce pic est un signal inquiétant indiquant que les vaccins pourraient avoir joué un rôle important dans la hausse de la mortalité.

Les données dressent un tableau inquiétant d’un pays qui, bien qu’étant l’un des plus vaccinés au monde, est confronté à des niveaux de mortalité sans précédent.

En mars 2022, la surmortalité à Singapour a atteint un taux étonnant de 49,9 % supérieur aux décès attendus.

La période plus large entre février et avril 2022 a enregistré une moyenne de 24,0 % de décès de plus que d’habitude.

Il est toutefois alarmant de constater que cette hausse n’était pas temporaire.

La surmortalité a continué d’augmenter bien après la pandémie.

En décembre 2024, les données les plus récentes révèlent que la surmortalité à Singapour s’est stabilisée à environ 25 à 30 % au-dessus du niveau de référence historique.

Les données suggèrent que ce taux de mortalité élevé est devenu la nouvelle norme pour la nation entièrement « vaccinée ».

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Le SRAS-CoV-2 provoque une accumulation de peptides liés à la maladie d’Alzheimer dans la rétine

Source : Yale school of medecine

Une nouvelle étude de Yale a trouvé une cible prometteuse pour traiter le brouillard cérébral qui peut suivre le COVID-19 et offre un nouvel éclairage sur une hypothèse sur l’origine de la maladie d’Alzheimer.

L’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer est la présence de plaques formées par l’accumulation de peptides bêta-amyloïdes (courtes chaînes d’acides aminés) dans et autour des cellules cérébrales. Certains chercheurs soupçonnent que les peptides bêta-amyloïdes, structurellement similaires aux peptides antimicrobiens, protègent le cerveau contre les bactéries, les virus, les parasites et les infections fongiques. La barrière hémato-encéphalique ayant tendance à se dégrader chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, l’accumulation de bêta-amyloïdes pourrait indiquer une infiltration cérébrale par des agents pathogènes.

Dans une nouvelle étude publiée dans Science Advances , des chercheurs de Yale ont étudié si l’infection par le SARS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, peut déclencher une accumulation de bêta-amyloïde semblable à celle de la maladie d’Alzheimer, entraînant des troubles neurologiques comme le brouillard cérébral.

« De plus en plus de preuves établissent un lien entre la COVID-19 et le brouillard cérébral, un symptôme fréquemment rapporté après une infection », explique l’auteur principal, Brian Hafler, MD, PhD, professeur agrégé d’ophtalmologie et de sciences visuelles à la faculté de médecine de Yale. Le brouillard cérébral, ou difficulté à penser ou à se concentrer, est un symptôme que les patients atteints de la maladie d’Alzheimer peuvent également ressentir. « Bien que les mécanismes du brouillard cérébral après la COVID-19 ne soient pas entièrement compris, les scientifiques ont découvert que le SARS-CoV-2 peut induire une accumulation de bêta-amyloïde dans le système nerveux central. »

Utiliser la rétine pour étudier le cerveau

Pour récapituler les complexités génétiques de la maladie d’Alzheimer, Hafler et son équipe ont utilisé du tissu rétinien donné et cultivé des organoïdes rétiniens, des mini-organes fabriqués à partir de cellules souches humaines, destinées à devenir du tissu rétinien. Dans ce cas, les organoïdes rétiniens reproduisaient les caractéristiques de la maladie d’Alzheimer, notamment des mutations génétiques qui les conduisent à produire davantage de bêta-amyloïde que les tissus normaux.

« Nous pensons que les organoïdes rétiniens humains présentent de nombreux avantages par rapport aux animaux en raison de la spécificité humaine du modèle. Nous ne sommes confrontés à aucune incompatibilité entre espèces », explique Hafler.

Les scientifiques ont d’abord confirmé que l’accumulation de bêta-amyloïde, typiquement présente dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, était également présente dans leur tissu rétinien. La rétine offre donc une fenêtre accessible et non invasive pour étudier le fonctionnement du système nerveux central, explique Hafler.

L’équipe a également trouvé des preuves que le SARS-CoV-2 peut pénétrer dans les cellules de la rétine.

Pour ce faire, ils ont évalué la production de protéines dans les différents types de cellules du tissu rétinien en mesurant l’ARN dans les noyaux cellulaires individuels. Ils se sont concentrés plus particulièrement sur les protéines NRP1 (neuropiline-1) et ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), dont les données suggèrent que le SARS-CoV-2 les utilise pour pénétrer dans les neurones.

Dans le tissu rétinien des personnes atteintes de la COVID-19, ils ont trouvé NRP1 dans les neurones et un autre type de cellule du système nerveux central appelé glie, suggérant que l’œil dispose d’un mécanisme d’entrée virale.

 » Cela renforce l’hypothèse antimicrobienne de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales.« 

Brian Hafler, docteur en médecine et titulaire d’un doctorat

Forts de ces résultats, les chercheurs ont ensuite exposé des organoïdes à la protéine Spike du SARS-CoV-2, la partie du virus essentielle à l’entrée dans les cellules humaines. Ils ont constaté que les concentrations de bêta-amyloïde dans les organoïdes augmentaient une fois la protéine Spike entrée dans les cellules.

De plus, les tissus rétiniens humains prélevés sur des patients atteints de la COVID-19 mais sans antécédents de démence ont également montré une accumulation de bêta-amyloïde plus élevée que celle trouvée chez les individus en bonne santé, à un degré similaire à celui que les chercheurs ont trouvé dans les tissus rétiniens des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.

Cette accumulation de bêta-amyloïde a cependant été inversée lorsque les scientifiques ont administré un inhibiteur de NRP1 à des échantillons de rétine humaine traités par la protéine Spike du SARS-CoV-2. NRP1 a été exploré par d’autres comme une cible antitumorale prometteuse bloquant la formation de vaisseaux sanguins. Cependant, jusqu’à présent, ses applications se limitent au contexte préclinique.

« D’un point de vue mécaniste, l’implication de NRP1 dans l’agrégation de la protéine bêta-amyloïde fournit une cible moléculaire spécifique pour de futures recherches », explique Hafler. Une application potentielle consiste à cibler NRP1 pour prévenir ou traiter les complications neurologiques consécutives à une infection à la COVID-19.

Traitement du brouillard cérébral et d’autres troubles neurologiques causés par des virus

L’étude ouvre de nombreuses perspectives de recherche future, déclare Hafler. « Notre étude a montré que l’exposition au SARS-CoV-2, en particulier à la protéine Spike, peut entraîner la formation d’agrégats de bêta-amyloïde dans le tissu rétinien humain et les organoïdes rétiniens. »

L’étude renforce également le lien entre la maladie d’Alzheimer et l’infection microbienne.

« Cela renforce l’hypothèse d’un effet antimicrobien de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales », explique Hafler. En raison de sa ressemblance avec de petits peptides connus pour se lier à d’autres microbes, l’accumulation de bêta-amyloïde pourrait s’étendre aux infections causées par d’autres virus, soupçonne Hafler. Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ce lien, ajoute-t-il.

Compte tenu des symptômes neurologiques de la COVID-19, tels que le brouillard cérébral, Hafler et son équipe étudient, dans le cadre d’études cliniques au YSM, si l’infection par le SRAS-CoV-2 augmenterait le risque à long terme de la maladie d’Alzheimer et si cela peut être évité grâce à un traitement précoce.

« Notre objectif ultime est de prévenir les effets neurologiques à long terme du COVID-19 et d’explorer les inhibiteurs de NRP1 et d’autres modulateurs des interactions virus-hôte comme thérapies potentielles pour prévenir la pathologie amyloïde induite par le virus et la maladie d’Alzheimer », explique Hafler.

Les recherches présentées dans cet article ont été soutenues par les National Institutes of Health (bourses R01eY034234, R01EY034652, R01EY026065 et subvention principale P30EY026878) et l’Université Yale. Le contenu n’engage que la responsabilité des auteurs et ne reflète pas nécessairement la position officielle des National Institutes of Health. Des financements supplémentaires ont été apportés par la Fondation caritative Doris Duke, la Fondation H. Eric Cushing, la Fondation de la famille Nancy Lurie Marks, la Fondation caritative CJL et le Prix Reynold et Michiko Spector en neurosciences.

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Vaccins : tout savoir sur les révélations chocs faites au Sénat américain ! – Banoun/Bazin

RFK Jr entame sa guerre ouverte contre Big Pharma

🔷 Xavier Bazin
Journaliste scientifique et écrivain, auteur de “Antivax toi-même ! – Retrouvons un esprit critique face à la vaccination” Édition Guy Tredaniel (récemment réédité)
🔷 Hélène Banoun
Pharmacienne biologiste à la retraite, ex-chargée de recherche à l’INSERM Chercheur indépendant, Auteur de “La Science face au Pouvoir – Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle” (éditions Talma) Auteur d’un article récemment publié sur le Beyfortus

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Les documents de Pfizer révèlent que l’injection anti-covid visait à endommager le système de reproduction humain

Source : Patrice Gibertie

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués à la suite d’une décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace.
Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’effets indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni légère, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la » maladie du CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre le bras placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité. Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration américaine était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux » .
» Pfizer Papers » montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite » PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.
» Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’effets indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement.

Pinsolle Typhaine  @Pinsolle

Dans une révélation stupéfiante au Parlement Européen, tirée des documents de Pfizer, @naomirwolf révèle que la découverte la plus choquante ne concerne pas les effets secondaires connus, mais l’obsession à 360 degrés du vaccin visant à endommager la reproduction humaine, et non le système respiratoire.

« Elle explique comment les nanoparticules lipidiques sont conçues pour traverser toutes les membranes, y compris le placenta. Cela entraîne des calcifications, empêchant les bébés d’obtenir nutriments et oxygène. Résultat ?

Les sages-femmes signalent une désagrégation du placenta, entraînant des naissances prématurées, de terribles hémorragies maternelles et une augmentation de 40 % de la mortalité maternelle en Occident.

Pfizer savait que les nanoparticules envahiraient les testicules des bébés garçons in utero, dégradant les cellules de Leydig responsables de la masculinité et de la fertilité. Ils pourraient ne jamais se développer normalement, même s’ils n’étaient jamais vaccinés.

Un rapport d’andrologie a confirmé que le vaccin altère la motilité des spermatozoïdes chez les hommes.

Plus grave encore, Pfizer a mis en garde les participants masculins à l’essai contre les rapports sexuels avec des femmes non vaccinées et l’utilisation de deux méthodes de contraception, définissant l’« exposition » par le sperme, le contact cutané et la respiration.

Sur les 270 grossesses étudiées, 234 ont été « perdues ». Mais sur les 36 grossesses restantes, plus de 80 % ont abouti à la perte du bébé. Pfizer le savait. La question est : pourquoi cette découverte a-t-elle été au cœur de leurs recherches ? »

In a stunning revelation from the Pfizer documents, Naomi Wolf exposes that the most shocking finding isn’t the known side effects, but the vaccine’s obsessive, 360-degree focus on damaging human reproduction—not the respiratory system.

She details how the lipid nanoparticles… pic.twitter.com/c37aPabuTw— Camus (@newstart_2024) September 7, 2025

apport 37 : Pfizer, la FDA et le CDC ont dissimulé les effets nocifs avérés des ingrédients du vaccin à ARNm sur la qualité du sperme masculin et la fonction testiculaire

par Amy Kelly

sperme

Lorsque le déploiement du vaccin contre la COVID-19 auprès du public a commencé fin 2020, les professionnels de la santé, les agences de santé publique et les porte-parole du gouvernement ont tous assuré au public américain que les nouveaux vaccins à ARNm n’avaient pas d’effets systémiques négatifs sur le corps humain.

Ils ont promis au public, dont beaucoup étaient sceptiques quant à la sécurité d’un médicament mis sur le marché à « vitesse fulgurante », que les vaccins étaient « sûrs et efficaces ».

Les propres documents de Pfizer et d’autres études médicales montrent :

  1. Les ingrédients des vaccins à ARNm peuvent être transférés d’une personne à une autre par contact peau à peau, par inhalation et par « rapport sexuel », par l’intermédiaire des fluides corporels. En d’autres termes, l’« excrétion » du vaccin peut se produire par contact sexuel, y compris par exposition au sperme. [« Étude de phase 1/2/3, contrôlée par placebo, randomisée, en aveugle, de recherche de dose pour évaluer l’innocuité, la tolérance, l’immunogénicité et l’efficacité des candidats vaccins à ARN du SRAS-CoV-2 contre la COVID-19 chez les individus en bonne santé », amendement 14 du protocole,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-protocol.pdfEn d’autres termes, selon les propres documents internes de Pfizer, un homme vacciné peut exposer son partenaire sexuel aux ingrédients du vaccin, via l’éjaculation.
  2. Pfizer n’a pas testé la « toxicité pour la reproduction masculine ». La toxicité pour la reproduction masculine est définie comme des effets indésirables (impacts négatifs) liés à la fonction sexuelle et à la fertilité chez l’homme adulte [« Résumé du rapport d’évaluation publique du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech ». GOV.UK , GOV.UK,https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine.]
  1. Pfizer n’a pas non plus testé les effets indésirables du sperme des hommes vaccinés sur le développement de leur progéniture. [« Toxicité pour la reproduction, mars 2017 – SCHC. » org , SCHC-OSHA Alliance GHS/HazCom Information Sheet Workgroup, mars 2017,https://www.schc.org/assets/docs/ghs_info_sheets/schc_osha_reproductive_toxicity_4-4-16.pdf.]
  2. Les ingrédients du vaccin à ARNm circulent dans tout le corps et s’accumulent dans les organes, y compris dans les testicules. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]
  3. Les vaccins à ARNm produisant des « anticorps anti-spermatozoïdes » – c’est-à-dire des anticorps qui traitent les spermatozoïdes comme un « envahisseur » et les endommagent ou les tuent – ​​constituent un événement indésirable connu lié à cette forme de vaccination. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.] [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]
  4. Les vaccins à ARNm provoquent une chute vertigineuse de la concentration de sperme et du nombre total de spermatozoïdes mobiles. [Gat, Itai, et al. « La vaccination contre la Covid-19 BNT162B2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme. » Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]
  5. En supprimant toute discussion sur ces informations, les agences de santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements du monde entier ont refusé et continuent de refuser aux hommes un véritable consentement éclairé.
Transfert d’ingrédients de vaccins à ARNm entre humains

Nous avons indiqué ci-dessus que Pfizer savait que les hommes pouvaient transmettre les ingrédients du vaccin à leurs partenaires par le biais de rapports sexuels. Le protocole d’essai clinique de Pfizer montre que la société soupçonnait que son vaccin pouvait avoir des effets négatifs sur la fertilité des hommes. Les participants masculins à l’essai devaient suivre des « critères d’inclusion reproductive des participants masculins » spécifiques. Ceux-ci étaient précisés dans les quatorze versions du protocole de Pfizer :

« Les participants masculins sont éligibles à participer s’ils acceptent les exigences suivantes pendant la période d’intervention et pendant au moins 28 jours après la dernière dose de l’intervention de l’étude, ce qui correspond au temps nécessaire pour éliminer le risque de sécurité reproductive de la ou des intervention(s) de l’étude »

De toute évidence, Pfizer a fait preuve de fortes inquiétudes et a pris des précautions contre l’exposition à « l’intervention d’étude » – c’est-à-dire le vaccin à ARNm – par contact avec des fluides corporels tels que l’exposition à l’éjaculat, et par contact peau à peau.

Pourtant, pas plus tard qu’en juillet 2022, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont assuré aux Américains que l’excrétion de l’ARNm du vaccin contre la COVID-19 – « la libération ou la décharge de l’un des composants du vaccin à l’intérieur ou à l’extérieur du corps » – était un « mythe ». [« Mythes et faits sur les vaccins contre la Covid-19 ». Centres pour le contrôle et la prévention des maladies , Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, 20 juillet 2022,https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/facts.html.] En effet, une récente demande d’accès à l’information (FOIA) via America First Legal révèle que Carol Crawford, du CDC, s’est coordonnée avec des employés de Twitter pour cibler les tweets (dont un du Dr Naomi Wolf) sur la « perte de sang », comme exemple, selon le CDC, de « désinformation ». Mais il ne s’agissait pas du tout, selon les propres documents de Pfizer, de désinformation. Selon le fabricant, la « perte de sang » était une réelle préoccupation.

Effets indésirables du vaccin à ARNm sur la reproduction masculine

Les National Institutes of Health (NIH) ont déclaré avec audace le 1er février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la Covid-19 ne réduit pas les chances de conception, selon une étude. » National Institutes of Health , US Department of Health and Human Services, 1er février 2022,https://www.nih.gov/news-events/news-releases/covid-19-vaccination-does-not-reduce-chances-conception-study-suggests.] Cependant, la déclaration du NIH était et est fausse.

Pfizer n’a pas initialement évalué la « toxicité reproductive » masculine de son vaccin – c’est-à-dire les effets indésirables sur la fertilité chez les hommes adultes – lors des essais cliniques parce que l’entreprise était pressée : « L’absence de données sur la toxicité reproductive reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner en premier lieu le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre au besoin urgent de santé actuel. » [« Résumé du rapport d’évaluation publique du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech. » GOV.UK , GOV.UK,https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine.]

Mais lorsque Pfizer a finalement étudié l’impact du vaccin à ARNm sur la fertilité masculine, la société a utilisé des rats « mâles non traités » pour ses études de « toxicité pour la reproduction et le développement ». Les mâles non traités se sont accouplés avec des rats femelles qui avaient reçu le vaccin à ARNm BNT162b2 de Pfizer. [ 2.4 Aperçu non clinique ,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M2_24_nonclinical-overview.pdf, p. 29.]

En d’autres termes, Pfizer a testé les effets sur la fertilité des mammifères femelles traités avec son produit à ARNm, mais n’a pas administré les mâles.

Tout au long des documents de Pfizer, le problème se pose : les études ont été construites de telle sorte que Pfizer (et la FDA) ne trouvent pas ce qu’ils ont choisi de ne pas chercher.

Comment les scientifiques peuvent-ils déterminer les effets indésirables d’un nouveau médicament sur la fertilité masculine s’ils ne donnent le traitement en question qu’à la moitié de la population reproductrice – les femelles ?

Le même document de Pfizer poursuit : « L’évaluation macroscopique et microscopique des tissus reproducteurs mâles et femelles provenant des études de toxicité à doses répétées avec BNT162b2 n’a montré aucune preuve de toxicité. » [https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M2_24_nonclinical-overview.pdf, p. 30.]

Cette déclaration semble indiquer que l’étude visait à évaluer si le vaccin était transmis par les fluides corporels et/ou par contact cutané lors des rapports sexuels entre les femmes traitées et les hommes non traités.

Mais quelle commodité : les tissus reproducteurs des rats mâles ont été déclarés exempts de toxicité ; mais les rats mâles n’avaient jamais été vaccinés du tout.

toxicité pour le développement
Figure 1 : Rats mâles non traités dans l’étude 2.4 de Pfizer. Aperçu non clinique.

Puisqu’il n’y avait aucun rat mâle vacciné dans les études de reproduction de Pfizer au cours de ses essais internes, il semble que Pfizer, et puisque les hommes humains dans l’étude Pfizer devaient promettre de s’abstenir de rapports sexuels avec des femmes en âge de procréer ou bien d’utiliser un préservatif PLUS un autre contraceptif efficace – il semble que les agences de santé publique occidentales aient décidé de tester les effets des vaccins à ARNm sur la reproduction masculine simplement en utilisant l’« intervention » – le vaccin à ARNm – sur des sujets humains, hommes et femmes, lors d’une campagne de vaccination de masse.

Les ingrédients du vaccin à ARNm se déplacent dans tout le corps et se rassemblent dans les organes

Comme nous l’avons vu dans d’autres rapports de volontaires de recherche de documents Pfizer de DailyClout/War Room, les professionnels des agences médicales et de santé publique ont assuré au public américain que les ingrédients du vaccin COVID restaient dans le muscle deltoïde une fois injectés et ne se dispersaient pas dans tout le corps. [Chandler, Robert W. « Pfizer a utilisé des hypothèses dangereuses, plutôt que des recherches, pour deviner les résultats. » DailyClout , DailyClout, 9 août 2022,https://dailyclout.io/pfizer-used-dangerous-assumptions-rather-than-research-to-guess-at-outcomes/.]Cependant, la FDA a reçu le document de Pfizer, « Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », le 9 novembre 2020, plus d’un mois avant que le vaccin de Pfizer ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) et ne commence à être injecté chez l’homme dans le monde entier. Le document montre des résultats de biodistribution choquants. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,

https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]

La « biodistribution » est une méthode de suivi du déplacement d’ingrédients donnés dans le corps d’un animal de laboratoire ou d’un sujet humain. Le document démontre clairement que le contenu du vaccin à ARNm de Pfizer, y compris les nanoparticules lipidiques, pénètre dans la circulation sanguine, se déplace dans tout le corps et s’accumule dans les organes, y compris dans les testicules. Tableau de référence 1, « Concentration moyenne (sexe combiné) de radioactivité totale dans le sang total, le plasma et les tissus (suite) après une administration intramusculaire unique de [3H]-08-A01-C01 à des rats Wistar Han – Niveau de dose cible : 50 µg d’ARNm/animal ; 1,29 mg de lipides totaux/animal – Résultats exprimés en concentration lipidique totale (µg d’équivalent lipide/g (mL)) et % de la dose administrée », indiqué ci-dessous. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]

tableau 1

Comment les dirigeants médicaux et de santé publique sont-ils restés si fermement convaincus que la vaccination à ARNm n’avait pas d’impact sur la fertilité masculine, même s’ils avaient accès à l’étude de biodistribution de Pfizer ?

Ces experts qui juraient que les ingrédients du vaccin à ARNm ne quittaient pas le site d’injection avaient également accès à un article publié en 2018 par le NIH qui montre clairement que les nanoparticules – dont les nanoparticules lipidiques sont le sous-type [Murthy, Shashi K. « Nanoparticules in Modern Medicine: State of the Art and Future Challenges. » International Journal of Nanomedicine , Dove Medical Press, juin 2007,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2673971/.] — pourraient passer du sang dans les testicules et causer des dommages à la reproduction masculine. L’étude de 2018 a montré que les NP s’accumulent dans les testicules, ce qui nuit à la qualité et à la quantité des spermatozoïdes, ainsi qu’à leur « motilité », ou capacité à se déplacer efficacement, une condition nécessaire à la conception :

« Les nanoparticules peuvent traverser la barrière hémato-testiculaire… puis s’accumuler dans les organes reproducteurs. L’accumulation de nanoparticules endommage les organes (testicules, épididyme…) en détruisant les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales, provoquant un dysfonctionnement des organes reproducteurs qui affecte négativement la qualité, la quantité, la morphologie et la motilité des spermatozoïdes … » [Wang, Ruolan, et al. « Potential Adverse Effects of Nanoparticles on the Reproductive System. » International Journal of Nanomedicine , US National Library of Medicine, 11 décembre 2018,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/.]

Pour apprécier pleinement la manière dont les NP nuisent aux composants clés du développement et de la fonction sexuelle masculine saine, il faut comprendre les rôles des organes et des cellules endommagés, tous essentiels à la santé sexuelle masculine et même au développement sexuel masculin, mentionnés ci-dessus.

  • L’« épididyme » est impliqué dans le transport des spermatozoïdes depuis les testicules. [Boskey, Elizabeth. « Anatomie et fonction de l’épididyme ». Verywell Health , Verywell Health, 30 juin 2022,https://www.verywellhealth.com/epididymis-anatomy-4774615.]
  • Les « cellules de Sertoli » sont essentielles au développement des testicules. « Les cellules de Sertoli sont d’une importance cruciale pour le développement des testicules… [et] sont les principaux régulateurs du développement des testicules… » [Pelosi, Emanuele et Peter Koopman. « Développement du testicule. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2017,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.] « Pendant [le processus de développement des spermatozoïdes], les spermatozoïdes en développement sont étroitement liés aux cellules de Sertoli. » [Carlson, Bruce. « Gamétogenèse. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2014,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.]
  • Les « cellules de Leydig » sont présentes dans le tissu interstitiel testiculaire. Leur fonction principale est de produire de la testostérone pour le maintien de la création et du développement des spermatozoïdes et du développement du corps masculin. [Huhtaniemi, Ilpo et Katja Teerds. « Cellule de Leydig ». Cellule de Leydig – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2018,https://www.sciencedirect.com/topics/neuroscience/leydig-cell.] Ainsi, lorsque les cellules de Leydig sont endommagées, on pourrait dire que la masculinité physique elle-même est endommagée. Il est particulièrement urgent d’en tenir compte lorsque l’on réfléchit au fait que des petits garçons et des adolescents, qui n’ont pas encore atteint ou terminé leur puberté, reçoivent des injections de vaccins à ARNm contenant des nanoparticules lipidiques.
  • Les « cellules germinales » sont des précurseurs des spermatozoïdes. [« Cellules germinales – Définition, embryonnaires à gamètes, contre cellules somatiques. » MicroscopeMaster , MicroscopeMaster.com,https://www.microscopemaster.com/germ-cells.html.]

Ainsi, ces extraits et citations montrent que :

  1. Les nanoparticules lipidiques s’accumulent dans les organes humains, notamment les testicules,
  2. les nanoparticules sont préjudiciables à la reproduction masculine normale et
  3. Les grandes sociétés pharmaceutiques et les agences de santé publique ont délibérément joué avec les effets néfastes sur le développement sexuel des garçons et des adolescents, sur les niveaux de testostérone des hommes de tous âges, sur le nombre de spermatozoïdes des hommes plus âgés et sur la fertilité masculine.
Un effet indésirable du vaccin à ARNm lié au sperme qui provoque l’infertilité masculine

Un événement indésirable d’intérêt particulier (EIIP) lié au vaccin à ARNm a été révélé fin février 2021. Le propre document de Pfizer mentionne « l’anticorps anti-spermatozoïdes positif » parmi ses 1 290 EIIP. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.]

Qu’est-ce qu’un « ASA » ?

Selon inviTRA , un magazine médical certifié créé par des médecins et des experts en fertilité, « La présence d’anticorps anti-spermatozoïdes (ASA) dans l’éjaculat est une cause immunitaire d’infertilité masculine. L’adhésion des anticorps aux spermatozoïdes affecte leur motilité, rendant le voyage des spermatozoïdes vers l’ovule très difficile, voire impossible. » [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]

Ce document Pfizer de fin février 2021 confirmant les anticorps anti-spermatozoïdes est la première indication documentée que j’ai trouvée dans les dossiers Pfizer selon laquelle le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer a un impact négatif sur la fertilité masculine.

Français Notez que Pfizer était au courant de cet effet indésirable lié à l’infertilité masculine près de 12 mois avant la déclaration clairement fausse du NIH de février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception, suggère une étude », 1er février 2022.] La Food and Drug Administration (FDA) était au courant de cet effet indésirable le 30 avril 2021. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf]

Pendant près d’un an, la FDA, les agences de santé publique et les organisations médicales ont donc ignoré cette « cause d’infertilité masculine » contenue dans les documents de Pfizer – qui ont tous été envoyés à la FDA. Puis ils ont menti à ce sujet.

Ils ont gardé le silence pendant un an, puis ont trompé l’opinion publique au lieu de l’alerter. La campagne de vaccination de masse s’est poursuivie sans même une brève pause, et encore une fois, les hommes se sont vu refuser leur consentement éclairé.

La suspension du consentement éclairé pour les hommes se poursuit

Contrairement à l’éthique médicale établie, Pfizer et les agences de santé publique n’ont pas révélé les véritables impacts des vaccins à ARNm sur la fertilité masculine et, par conséquent, comme indiqué ci-dessus, ont refusé aux hommes le consentement éclairé. [« Consentement éclairé – Définition, exemples, cas, processus. » Dictionnaire juridique , Dictionnaire juridique, 7 décembre 2015,https://legaldictionary.net/informed-consent/.]

En fait, les établissements médicaux, les gouvernements, les agences de santé publique du monde entier, les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques se sont entendus pour taire les faits, les risques et les alternatives liés au vaccin contre la COVID. [Tucker, Jeffrey A, et Debbie Lerman. « Besties : Twitter, Facebook, Google, CDC, NIH, WHO. » Brownstone Institute , Brownstone Institute, 3 août 2022,https://brownstone.org/articles/besties-twitter-facebook-google-cdc-nih-who/.]

En janvier 2021, l’American Society for Reproductive Medicine a publié la « Déclaration conjointe concernant le vaccin COVID-19 chez les hommes désirant une fertilité de la Society for Male Reproduction and Urology (SMRU) et de la Society for the Study of Male Reproduction (SSMR) » encourageant la vaccination COVID pour les hommes, y compris pour les patients suivant un traitement de fertilité masculine, malgré l’absence de données sur son impact sur la santé reproductive masculine :

« Au 9 janvier 2021, il n’existe aucune donnée sur l’impact du vaccin contre la COVID-19 sur la fertilité masculine. […] l’American Society for Reproductive Medicine ne recommande pas de refuser le vaccin aux patients qui envisagent de concevoir, et souligne que les patients qui suivent un traitement de fertilité et les patientes enceintes doivent être encouragés à se faire vacciner en fonction des critères d’éligibilité. » [« Mise à jour n° 11 Vaccination contre la Covid-19 16 décembre 2020 – ASRM. » American Society for Reproductive Medicine , American Society for Reproductive Medicine, 9 janv. 2021,https://www.asrm.org/globalassets/asrm/asrm-content/news-and-publications/covid-19/covidtaskforceupdate11.pdf.]

De plus, pour les hommes, SMRU et SSMR recommandent :

  • Le vaccin contre la COVID-19 ne doit pas être refusé aux hommes désirant devenir fertiles et répondant aux critères de vaccination.
  • Les vaccins contre la COVID-19 devraient être proposés aux hommes désirant être fertiles, de la même manière qu’aux hommes ne désirant pas être fertiles, lorsqu’ils répondent aux critères de vaccination.

L’organisation a ensuite imputé la baisse de la production de sperme aux fièvres liées au vaccin contre la COVID-19. [« Déclaration conjointe concernant le vaccin contre la Covid-19 chez les hommes désirant la fertilité de la Society for Male Reproduction and Urology (SMRU) et de la Society for the Study of Male Reproduction (SSMR) ». ASRM , American Society for Reproductive Medicine, 9 janvier 2021,https://www.asrm.org/news-and-publications/covid-19/statements/joint-statement-regarding-covid-19-vaccine-in-men-desiring-fertility-from-the-society-for- reproduction-masculine-et-urologie-smru-et-la-societe-pour-l’etude-de-la-reproduction-masculine-ssmr/.]

L’ASRM, la SMRU et la SSMR – toutes des sociétés de reproduction – ont déclaré à l’unisson en 2021 qu’il n’existait aucune donnée sur les impacts sur la fertilité et que les hommes « désirant la fertilité » devraient prendre le médicament pour lequel les impacts sur la fertilité sont inconnus.

Mais comment pourraient-ils conseiller aux hommes de se faire vacciner s’il n’y avait aucune donnée prouvant qu’il n’aurait pas d’effet sur la fertilité ?

Le message biaisé a continué lorsque l’étude clinique « Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer » a déclaré : « Des allégations infondées dans les médias populaires ont établi un lien possible entre le vaccin COVID-19 et une éventuelle infertilité masculine. Actuellement, il n’existe aucune information dans la littérature médicale qui ait examiné les paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19. » [« Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer. » Affichage du texte intégral – ClinicalTrials.gov , ClinicalTrials.gov, 2 mars 2021,https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04778033.]

Encore une fois, comment les spéculations publiques sur une éventuelle infertilité induite par le vaccin à ARNm pourraient-elles être « sans fondement » alors que les responsables de l’étude admettent qu’en février 2021, il n’existait aucune donnée prouvant qu’une telle inquiétude était invalide ?

La volonté de mettre de côté les préoccupations en matière de fertilité s’est poursuivie tout au long de l’année 2021.

En septembre 2021, la revue Fertility and Sterility a publié une étude concluant : « Après avoir reçu les deux doses de vaccins, nous n’avons pas observé de baisse cliniquement significative des paramètres du sperme au sein de la cohorte, ce qui suggère que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur le potentiel de fertilité masculine. »

Cependant, l’étude était erronée. Elle admettait ensuite : « Les limites de l’étude comprennent le petit nombre d’hommes inscrits ; la généralisabilité limitée au-delà des hommes jeunes et en bonne santé ; le suivi court ; et l’absence de groupe témoin. » [Gonzalez, Daniel C., et al. « Sperm Parameters before and after COVID-19 mRNA Vaccination. » JAMA , JAMA Network, 20 juillet 2021,https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2781360.] [Gonzalez, Daniel, et al. « Effet des vaccins ARNm contre la COVID-19 sur la qualité du sperme. » Fertility and Sterility , publié par Elsevier Inc., 17 septembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8446925/.]

Les véritables expériences comprennent toujours au moins un groupe témoin qui ne reçoit pas le traitement expérimental. Sans groupe témoin, le résultat d’une étude ne peut être certain. Pourtant, malgré le rejet des normes scientifiques établies de longue date, « la science » a indiqué aux hommes dans ce cas que les vaccins contre la COVID n’auraient pas d’effet négatif sur leur fertilité.

Fin 2021, une étude chinoise a publié des vérités que les études occidentales précédentes avaient refusé de reconnaître. L’étude a validé les inquiétudes concernant les vaccins liés à la fertilité : « Bien que plusieurs sociétés de fertilité aient annoncé que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’auraient probablement aucun effet sur la fertilité, il est indéniable que les preuves actuelles sont très limitées, ce qui est l’une des raisons de l’hésitation à se faire vacciner… » L’étude chinoise poursuit : « … étant donné les dommages potentiels du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) sur le système reproducteur, certaines personnes soupçonnent que le vaccin qui imite le virus (vaccin à ARNm) peut également affecter la fertilité via le même mécanisme. » Elle aborde même le fait que les vaccins contre la COVID ont été mis sur le marché à la hâte : « Il est vrai que les données sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont incomplètes par rapport aux vaccins traditionnels basés sur des études à long terme avec de grands échantillons. » [Chen, Fei, et al. « Effets de la COVID-19 et des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine. » Reproduction humaine (Oxford, Angleterre) , Oxford University Press, 27 décembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8689912/.]

Finalement, des fissures apparaissaient dans le barrage d’informations sur les vaccins à ARNm et la fertilité, et ces fissures préfiguraient une révélation stupéfiante qui était sur le point de tomber.

Le vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 provoque en réalité une chute étonnante de la fertilité masculine

Le 22 juin 2022, Andrology a publié une étude choc, « La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motiles chez les donneurs de sperme ». L’étude, qui n’incluait même pas les effets des injections de rappel supplémentaires, a montré une baisse stupéfiante de la fertilité masculine, avec une diminution moyenne de 22,1 % dans l’ensemble du groupe d’étude, par rapport aux seules injections initiales. L’étude a conclu : « La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de baisse transitoire de la concentration de sperme et du nombre total de motiles (TMC) ». [Gat, Itai, et al. « Covid-19 Vaccination BNT162B2 Temporarily Impairs Semen Concentration and Total Motile Count among Semen Donors ». Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]

Chaque participant à l’étude a fourni plusieurs échantillons de sperme tout au long de la durée de l’étude comme suit :

  • T0 = ​​valeur de référence avant la vaccination
  • T1 = 15-45 jours après la vaccination
  • T2 = 75-120 jours après la vaccination
  • T3 = 150+ jours après la vaccination

Les chercheurs ont étudié les participants pendant cinq mois (T1-T3 ci-dessus) après avoir reçu le vaccin de Pfizer. Le tableau 2 ci-dessous montre les résultats inquiétants, qui ont un intervalle de confiance de 95 %. La collecte de T3 a duré en moyenne 174 (+/- 26,8) jours.

Ainsi, près de six mois après la vaccination, la concentration, la motilité et le nombre total de spermatozoïdes mobiles étaient encore tous dans des états de déclin significatif par rapport aux niveaux d’avant la vaccination. La concentration de spermatozoïdes n’avait pas du tout récupéré et était, en fait, à son point le plus bas.

tableau 2
Figure 3 : Extrait de « Le vaccin Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme », p. 4.

Malgré ces résultats alarmants, l’étude publiée a continué à encourager la vaccination : « Étant donné que la désinformation sur des sujets liés à la santé représente une menace pour la santé publique, nos résultats devraient soutenir les programmes de vaccination. D’autres études se concentrant sur différents vaccins et populations (par exemple, les patients hypofertiles) sont nécessaires de toute urgence. » [Gat, Itai, et al., 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209, p. 6.]

Il est alarmant de constater que les hommes continuent de recevoir des messages incompréhensibles et contradictoires, leur demandant de continuer à s’injecter les vaccins à ARNm, même lorsque l’étude qui contient ces exhortations démontre clairement des résultats négatifs sur la fertilité – chez les hommes.

Le public se retrouve avec plus de questions qu’il n’a de réponses

Cette revue de documents et d’études, dont une montre des données choquantes sur les vaccins à ARNm réduisant de manière concluante la fertilité des hommes, soulève d’importantes questions :

  • Quand, si jamais, la fertilité des hommes se rétablit-elle complètement après une baisse aussi drastique après une série de vaccinations à deux doses ?
  • Les rappels, que 29 % de la population mondiale a reçus au 31 juillet 2021, ont-ils un impact négatif encore plus fort sur la fertilité des hommes ? [Holder, Josh. « Suivi des vaccinations contre le coronavirus dans le monde ». The New York Times , The New York Times, 29 janv. 2021,https://www.nytimes.com/interactive/2021/world/covid-vaccinations-tracker.html.]
  • L’administration de vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux hommes prépubères et adolescents affecte-t-elle leur développement sexuel normal et leur capacité à se reproduire, comme le suggère l’étude sur les NP dans les testicules ?
  • La baisse des taux de natalité est-elle observée dans les pays fortement vaccinés [Chudov, Igor. « Igor’s Newsletter. » Substack , Igor Chudov,https://igorchudov.substack.com/.] au moins en partie en raison de la manière dont les vaccins à ARNm ont eu un effet concluant sur la fertilité masculine ?
  • Quels facteurs dans la « mortalité infantile » bien documentée observée dans le monde entier peuvent provenir des effets de la vaccination des hommes avec des vaccins à ARNm ? [Wolf, Naomi. « Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. » Substack , Outspoken avec le Dr Naomi Wolf, 30 mai 2022,https://naomiwolf.substack.com/p/dear-friends-sorry-to-announce-a.]
  • Pourquoi les sociétés pharmaceutiques, les responsables de la santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements ont-ils dit au public que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’avaient pas d’effet sur la fertilité des hommes alors qu’ils ne disposaient d’aucune donnée pour étayer une telle conclusion ?
  • Pourquoi, lorsque les responsables de la santé, les médecins et les gouvernements ont reçu des données confirmant que les vaccins à ARNm avaient un impact négatif sur la fertilité des hommes, n’ont-ils pas tiré la sonnette d’alarme et ne se sont-ils pas battus pour donner aux hommes un consentement éclairé ?

L’opinion publique doit exiger des réponses à ces questions de la part des sociétés pharmaceutiques, des gouvernements du monde entier, des agences de santé publique et du corps médical. Ces entités ont empêché les hommes de donner leur consentement éclairé et en ont fait des participants inconscients d’un essai clinique en cours sur une nouvelle thérapie génique.

De telles atteintes à l’humanité et à sa capacité de reproduction, et en particulier aux dommages potentiels causés aux garçons, aux jeunes et aux bébés à naître, doivent être dénoncées. Les responsables d’expériences humaines qui ont manifestement porté atteinte à la fertilité masculine doivent être tenus responsables.

Les documents de Pfizer révèlent que l’injection anti-covid visait à endommager le système de reproduction humain Lire la suite »

Solidekla : une association pour aider à la déclaration des effets indésirables de injections anti-covid

Solidekla

Solidekla est une association à but non-lucratif de droit français (régie par la loi du 1er juillet 190) créée en mars 2023 par des soignants issus du Syndicat Liberté Santé, de REINFO COVID et d’autres collectifs locaux.

La mission principale de Solidekla est l’aide à la déclaration à la pharmacovigilance des effets et évènements indésirables survenus suite à l’injection des vaccins anti-COVID19.

Solidekla est une association composée de soignants en exercice sans conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, de soignants retraités ou inactifs, mais également de citoyens, tous bénévoles.

Les bénévoles de l’association se proposent de vous écouter et de vous aider à déclarer un évènement indésirable survenant suite à la vaccination covid, aux organismes officiels de pharmacovigilance. Vous serez accompagnés tout au long de cette démarche au cours de laquelle toutes vos questions seront accueillies.

Cette déclaration est gratuite, facile et anonyme.

Rappel des effets les plus fréquents :

  • Infection Covid-19
  • Fatigue persistante
  • Fièvre, toux, rhume
  • Essoufflement persistant
  • Grosseur et/ou douleur au point d’injection
  • Ganglions périphériques
  • Douleurs articulaires
  • Bourdonnements d’oreilles (acouphènes)
  • Vertiges, maux de tête, troubles de la mémoire
  • Aggravation d’une démence (Alzheimer…)
  • Convulsions infantiles
  • Douleurs ou faiblesse musculaire persistantes
  • Règles plus longues et/ou plus douloureuses, reprise des règles après la ménopause, arrêt des règles
  • Anomalies pendant la grossesse (fausse couche, mort foetale in utero, malformation, prématurité…)
  • Démangeaisons, éruption cutanée (urticaire, Eczéma, zona…)
  • Infarctus du myocarde, myocardite ou péricardite, troubles du rythme cardiaque
  • Hypertension artérielle, embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral (AVC), phlébite
  • Paralysie faciale
  • Perte de sensibilité, fourmillements dans les membres
  • Syndrome de Guillain Barré
  • Douleurs diffuses
  • Nausées, diarrhées, vomissements
  • Rechute ou apparition d’un cancer
  • Décès inexpliqué ou inattendu
  • Atteintes oculaires (troubles de la vision, uvéite, conjonctivite…)
  • Rechute ou apparition de maladies auto-immunes
  • Liste non exhaustive…

Solidekla : une association pour aider à la déclaration des effets indésirables de injections anti-covid Lire la suite »

L’étude cachée comparant le taux de maladies chez les enfants vaccinés et non vaccinés voit enfin le jour

Source : The Vigilant Fox

En 2016, le Dr Marcus Zervos a accepté l’impensable : tester les vaccinés contre les non vaccinés. Convaincu que cela prouverait la sécurité des vaccins, il a promis de publier les résultats quoi qu’il arrive. Ces résultats n’ont jamais vu le jour, jusqu’à maintenant. Voici ce que l’étude enterrée a révélé.

Rencontrez le Dr Marcus Zervos , responsable des maladies infectieuses au Henry Ford Health de Détroit. Il est un fervent partisan des vaccins.

En 2016, il a croisé le chemin du journaliste spécialisé dans la liberté de la santé Del Bigtree, qui l’a exhorté à s’attaquer à quelque chose que la santé publique avait évité pendant des décennies : une étude comparant les résultats de santé des enfants vaccinés et non vaccinés.

Le Dr Zervos a accepté de mener l’étude, déterminé à prouver que Bigtree et les autres sceptiques face aux vaccins avaient tort. À l’époque, il avait juré : «  Quels que soient les résultats, ils seront publiés . »

Début 2020, Bigtree et son équipe ont reçu une copie de l’étude. Il s’agissait d’une comparaison rétrospective entre sujets vaccinés et non vaccinés, examinant l’état de santé à long terme de 18 468 sujets.

Son titre était « Impact de la vaccination infantile sur les résultats de santé chroniques à court et à long terme chez les enfants : une étude de cohorte de naissance ».

Voici ce que les résultats ont révélé :

Les enfants vaccinés étaient quatre fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic d’asthme que les enfants non vaccinés.

Ils ont également constaté une augmentation de six fois des infections aiguës et chroniques de l’oreille.

Les troubles de la parole étaient 4,47 fois plus élevés dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.

Pendant ce temps, la cohorte non vaccinée n’a montré aucun cas de dysfonctionnement cérébral, de diabète, de troubles d’apprentissage, de déficience intellectuelle, de tics ou d’autres troubles psychologiques.

« C’est dévastateur. »

L’avocat Aaron Siri de l’ICAN (Informed Consent Action Network) note que cette étude aurait dû être « publiée d’urgence ».

Mais cela n’est pas arrivé.

Pourquoi ? Parce que publier cela aurait ruiné la carrière de Zervos.

Comme l’a témoigné Siri lors d’une audience du Sénat sur les vaccins mardi, les résultats globaux ont montré qu’« après 10 ans, 17 % des enfants non vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, tandis que 57 % des enfants vaccinés en avaient au moins un ».

Il s’agit d’une augmentation de plus de trois fois du risque de maladies chroniques chez les personnes vaccinées.

« Le seul véritable problème de cette étude », a déclaré Siri, « est que ses conclusions ne concordent pas avec la croyance et la politique selon lesquelles les vaccins sont sûrs. Si elle avait conclu que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé, elle aurait sans doute été publiée immédiatement. Mais comme elle a conclu au contraire, elle a été mise au placard . »

Un grand mérite revient à Del Bigtree, The Highwire, l’avocat Aaron Siri et d’autres pour 1) avoir convaincu le Dr Zervos de mener cette étude et 2) l’avoir mise en lumière.

Le documentaire complet, intitulé An Inconvenient Study , devrait sortir le 3 octobre.

Ci-dessous la traduction du témoignage complet de Siri sur cette étude enterrée :

L’étude cachée comparant le taux de maladies chez les enfants vaccinés et non vaccinés voit enfin le jour Lire la suite »

Témoignages explosifs au Sénat Américain : vaccins, autisme et corruption scientifique au cœur de l’audience du 9 Septembre 2025

Source : France Soir

Le 9 septembre 2025, la Commission Permanente d’Enquête (Permanent Subcommittee on Investigations) du Comité sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales du Sénat des États-Unis, présidée par le sénateur républicain Ron Johnson, que France-Soir est le seul média français à avoir interviewé, a tenu une audience intitulée « comment la corruption de la science a impacté la perception publique et les politiques relatives aux vaccins ». Cette session, qui s’inscrit dans une série d’enquêtes lancées par Johnson sur la transparence vaccinale, a réuni trois témoins aux profils contrastés : Toby Rogers, un chercheur en économie politique et fellow à l’Institut Brownstone ; Aaron Siri, avocat spécialisé dans les litiges vaccinaux ; et le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à l’Université Stanford. Leurs témoignages, riches en données et en accusations, ont mis en lumière des divergences profondes sur la sécurité des vaccins, l’épidémie d’autisme et l’intégrité scientifique. Voici un compte-rendu détaillé de ces interventions, basé sur leurs déclarations écrites soumises au sous-comité.

Contexte de l’audience : une enquête sur la transparence et les enjeux publics

Le sénateur Ron Johnson, son engagement à éclairer les zones d’ombre des politiques sanitaires, a ouvert l’audience en soulignant l’importance d’examiner comment des biais scientifiques pourraient influencer les politiques publiques. L’objectif était d’explorer les lacunes dans les études pré- et post-licence des vaccins, ainsi que les impacts sur la santé publique, notamment l’autisme et les maladies chroniques. Avec le sénateur Richard Blumenthal (démocrate) en présence, l’audience a promis un débat bipartisan, mais les témoignages ont rapidement révélé des clivages idéologiques et scientifiques.

Les trois témoins ont été sélectionnés pour représenter des perspectives variées : Rogers et Siri, critiques des narratifs officiels, et Scott, défenseur de la science vaccinale établie. Leurs interventions, limitées à des déclarations écrites de 5 à 12 pages, ont été diffusées en amont et devraient être suivies d’interrogatoires oraux.

Toby Rogers : l’épidémie d’autisme comme conséquence des vaccins et des toxines

Toby Rogers, Ph.D. en Économie Politique de l’Université de Sydney et fellow à l’Institut Brownstone (un think tank critique des politiques sanitaires), a ouvert son témoignage par une anecdote personnelle poignante. En juillet 2015, le fils de sa partenaire a été diagnostiqué autiste, ce qui l’a poussé à plonger dans la littérature scientifique via le site du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Formé à analyser les sources primaires, Rogers a vite conclu que le récit officiel du CDC – attribuant l’autisme principalement à des facteurs génétiques – ne tenait pas la route.

Toby Rogers

Rogers a détaillé une explosion de la prévalence de l’autisme aux États-Unis : de moins de 1 cas sur 10 000 enfants en 1970 (étude de Treffert, 1970) à 1 sur 31 en 2022 (rapport CDC, Shaw et al., 2025), soit une augmentation de 32 158 % en 52 ans. Selon lui, cette hausse n’est pas génétique – « il n’existe pas d’épidémie génétique » – et ne s’explique pas par des changements diagnostiques (études californiennes de Byrd et al., 2002, et Hertz-Picciotto & Delwiche, 2009). Il a critiqué les explications du CDC : le valproïque (médicament contre l’épilepsie) et la thalidomide n’expliquent qu’une poignée de cas, tandis que l’âge parental avancé a un effet modeste insuffisant pour justifier la flambée.

Son doctorat, achevé en 2019 et devenu l’une des thèses les plus téléchargées de l’histoire de Sydney, porte sur « L’Économie Politique de l’Autisme ». Depuis, Rogers collabore avec Children’s Health Defense (organisation anti-vaccins fondée par Robert F. Kennedy Jr.) et publie en indépendant. Il a passé en revue près de 1 000 études, concluant que les vaccins sont la cause principale, aux côtés d’une douzaine de toxines environnementales.

Rogers a balayé les 22 études prétendant que les vaccins ne causent pas l’autisme : aucune n’inclut de groupe contrôle complètement non vacciné, les rendant inutiles. Les cinq grands projets génétiques (AGRE, SSC, etc.) ont englouti 2,3 milliards de dollars pour peu de résultats, car le génome humain ne mute pas si vite. Les quatre projets épigénétiques (CHARGE, etc.), qui examinent pollution, pesticides et métaux lourds, ignorent les vaccins comme variable confuse, biaisant les conclusions.

La clé, selon Rogers, réside dans les événements d’activation immunitaire : infections, toxines industrielles ou vaccins. Une étude de Thomas et Margulis (2016) montre un taux d’autisme de 1/715 chez les non-vaccinés contre 1/31 chez les vaccinés. L’étude d’Ozonoff et al. (2018) révèle que 88 % des cas impliquent une régression autistique post-exposition aiguë, souvent liée à un rendez-vous vaccinal « pour le bien du bébé », corroboré par des milliers de témoignages parentaux.

Rogers a cité six études « invisibilisés/supprimées » par les médias et l’establishment médical :

  • Gallagher & Goodman (2008, 2010) : La dose de naissance du vaccin hépatite B augmente le risque d’autisme.
  • Mawson (2017a, 2017b, 2025) : Vaccination multiplie par 4,2 le risque d’autisme ; chez les prématurés, par 12 fois le risque de handicap neurodéveloppemental.
  • Hooker & Miller (2021) : Vaccination x5 le risque ; sans allaitement x12,5 ; avec césarienne x18,7.

Conclusion de Rogers : arrêter l’exposition aux vaccins et toxines stopperait les épidémies d’autisme et maladies chroniques. Il renvoie à sa thèse et un article substack pour plus de détails.

Aaron Siri : corruption systémique et études inédites sur les risques vaccinaux

Aaron Siri, à la tête de Siri & Glimstad LLP, apporte une voix juridique puissante et engagée. Il a soumis un témoignage de 12 pages, incorporant une soumission antérieure de mai 2025. Spécialiste des exemptions vaccinales et transparence, Siri argue que la « corruption de la science » repose sur un biais a priori : « Les vaccins sont sûrs », ce qui empêche des études rigoureuses.

Aaron Siri

Sur les essais pré-licence : aucun des essais pour les vaccins pédiatriques du CDC n’a confirmé leur sécurité en raison de designs limités (référence à sa soumission précédente). Post-licence, l’autisme – soi-disant « le plus étudié » – n’a pas été examiné pour les vaccins infantiles. L’IOM (Institute of Medicine) et une revue HHS admettent que la plupart des blessures rapportées (y compris celles reconnues par les pharma) n’ont pas été étudiées. Les systèmes CDC comme VAERS ne font que signaler des alertes, sans causalité prouvée.

Siri met en avant une étude inédite de Henry Ford Health (2017-2020), menée par des scientifiques respectés comme le Dr Marcus Zervos et Lois Lamerato, comparant les enfants vaccinés et non-vaccinés.

Les résultats sont encourageants pour ceux qui cherchent des réponses : les vaccinés présentaient des taux significativement plus élevés de maladies chroniques (asthme x4,29, troubles neurodéveloppementaux x5,53), tandis que des conditions comme l’ADHD étaient absentes chez les non-vaccinés. Siri note que ces maladies impliquent une dysrégulation immunitaire, liée aux vaccins dans la littérature existante.

Malgré une conception « bien exécutée » (affirmée par Zervos et Lamerato), l’étude n’a pas été publiée : Lamerato craignait de « gêner les médecins », Zervos son emploi. Siri conclut que ce biais systémique – études biaisées ou supprimées – perpétue un narratif pro-vaccins, ignorant les risques chroniques. Il appelle à une transparence accrue via des poursuites judiciaires. Son travail juridique, combiné à des collaborations avec l’ICAN, ouvre la voie à une réévaluation des protocoles vaccinaux, offrant un espoir de justice pour les familles affectées.

Dr Jake Scott : une défense imposante mais manquant de précisions cruciales

Le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à Stanford, apporte une défense solide de la science vaccinale, citant un corpus de 1 704 essais randomisés (1941-2025, >10,5 millions de participants) et des impacts mondiaux comme 154 millions de vies sauvées. Sa base de données publique, accessible via PubMed, et son projet Vaccine Integrity Project sur 590 études respiratoires sont louables. Cependant, cette approche, bien que transparente, manque de prudence face aux critiques, notamment l’occurrence massive d’effets indésirables suite à la vaccination covid qui sont niés et inexpliqués par bien des médecins.

Dr Jake Scott

Cependant, Scott affirme que les systèmes de surveillance détectent des événements rares (1/million) et que l’absence de « vague de maladies chroniques » invalide les inquiétudes. Pourtant, il n’adresse pas directement les études vacciné/non-vacciné comme celle de Henry Ford, ni les biais potentiels dans les essais pré-licence. Sa confiance en des cohortes comme celle danoise (1,2 million d’enfants) est intéressante, mais sans examiner les données brutes ou les variables confondues (vaccins vs environnement), ses conclusions paraissent prématurées. Malgré ses déclarations minimales de liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique (45,62 $ en repas), l’absence de débat sur les lacunes post-licence affaiblit son argumentation, et son apparente faible connaissance sur la biodistribution des vaccins à ARN messager pose question.

Analyse et implications : un débat politisé sur la santé publique

Ces témoignages illustrent un fossé béant. Rogers et Siri accusent une épidémie iatrogène (causée par les soins médicaux), avec des études supprimées et un biais pro-vaccins, tandis que Scott met en avant un corpus massif prouvant sécurité et efficacité. L’absence d’études vacciné/non-vacciné rigoureuses (admis par tous) reste un point faible.

Cette audience pourrait influencer les politiques : Johnson pousse pour plus de transparence, potentiellement via des réformes CDC ou FDA. Avec des élections en vue, elle ravive le débat sur la confiance vaccinale.

Les enregistrements complets ont été publiés sur le site du Sénat et la traduction publiée par France-Soir.

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Vaccins Covid contaminés : jusqu’à 627 fois la dose d’ADN acceptée

Source : Éditions Marco Pietteur

Imaginez ouvrir un flacon de vaccin ARNm — et y découvrir des milliards de fragments d’ADN là où il ne devrait y en avoir qu’un soupçon. Pas une rumeur. Pas une hypothèse. Une découverte documentée dans une étude scientifique, publiée le 6 septembre 2025 par trois chercheurs de renom, dont le généticien Kevin McKernan.

Leur conclusion ?
Les injections Pfizer et Moderna contre le Covid-19 seraient contaminées par de l’ADN plasmidique résiduel à des niveaux… jusqu’à 627 fois supérieurs aux normes de sécurité établies par la FDA et l’OMS.

Source originale: The Focal Points – “BREAKING: Updated Pfizer and Moderna mRNA Vaccines Found Contaminated With Plasmid DNA”

Mais ce n’est pas tout.
Certains de ces fragments — encapsulés dans les fameuses nanoparticules lipidiques — contiennent des séquences de promoteur SV40, un élément génétique reconnu pour ses liens avec des mécanismes cancérigènes.

Qu’est-ce que cela signifie pour la santé publique ?
Pourquoi ces résidus sont-ils toujours présents, même dans les formulations les plus récentes ?
Et surtout, pourquoi les autorités n’ont-elles pas encore réagi, malgré la multiplication de rapports concordants ?

Dans cet article, nous allons explorer :

  • Ce que dit réellement l’étude (et ce qu’elle ne dit pas)
  • Les risques biologiques potentiels liés à cette contamination
  • Les données sur les effets indésirables graves (VAERS)
  • Et pourquoi cette affaire pourrait bien devenir le prochain grand scandale sanitaire

Une contamination massive et persistante

Vaccins Covid contaminés - risque
Des fragments d’ADN protégés dans des nanoparticules lipidiques peuvent pénétrer nos cellules…
Un scénario que la réglementation n’avait jamais anticipé.

Une étude évaluée par les pairs
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/08916934.2025.2551517#abstract

Cette étude évaluée par des pairs et publiée par le Dr David J. Speicher, la Dr Jessica Rose et le chercheur Kevin McKernan a secoué la communauté scientifique.
Leur analyse portait sur 32 flacons issus de 16 lots différents de vaccins ARNm — Pfizer et Moderna — dans leurs versions originales, bivalentes, et XBB.1.5.
L’objectif ?
Quantifier les résidus d’ADN plasmidique présents dans chaque dose.

Résultat : chaque flacon contenait entre plusieurs milliards et plusieurs centaines de milliards de fragments d’ADN.

Et il ne s’agit pas de contaminations accidentelles datant du lancement du vaccin en 2020.
Les formulations les plus récentes sont elles aussi concernées, ce qui signifie que le problème est toujours actif dans la chaîne de production actuelle.

Des flacons récents aussi concernés

Les chercheurs ont formellement identifié la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les doses dites “bivalentes” (adaptées aux variants récents) ainsi que dans celles ciblant le variant XBB.1.5.
En d’autres termes, les versions censées être “les plus à jour” des vaccins Covid restent contaminées par le même ADN que celui détecté en 2021.

Cela invalide l’hypothèse d’une erreur de jeunesse ou d’un défaut temporaire dans le processus de purification.
Nous sommes face à un problème systémique.

Des milliards de fragments d’ADN par dose

Chaque dose analysée contenait entre 100 et 160 milliards de fragments d’ADN, certains atteignant jusqu’à 3,5 kilobases de longueur — soit une taille suffisante pour inclure des gènes complets ou des éléments régulateurs puissants.
De quoi inquiéter, d’autant plus que…

Une partie de cet ADN est encapsulée dans les nanoparticules lipidiques, ce qui pourrait lui permettre de pénétrer les cellules et de contourner les défenses naturelles — un scénario que les normes de sécurité n’avaient pas envisagé.

Pour creuser davantage ces implications, notamment sous un angle cinématographique et documenté, nous vous recommandons de visionner le film “Inside mRNA Vaccines : Une seconde opinion”, disponible sur notre blog.
Ce documentaire propose une analyse complète du déploiement des vaccins ARNm, loin des filtres institutionnels habituels.

Pourquoi ces résidus posent un problème biologique sérieux

ADN encapsulé dans des nanoparticules lipidiques

Ce qui inquiète particulièrement les auteurs de l’étude, ce n’est pas seulement la quantité d’ADN retrouvée, mais la forme sous laquelle il se présente.

L’ADN détecté n’est pas libre dans le solvant. Il est encapsulé dans les mêmes nanoparticules lipidiques que celles censées véhiculer l’ARNm vers les cellules. Cela signifie que ces fragments pourraient être délivrés directement à l’intérieur des cellules humaines, contournant les protections naturelles du système immunitaire.

Cela n’avait jamais été pris en compte lors de la définition des seuils de sécurité actuels (10 ng par dose).

En résumé, l’ADN n’est pas juste un déchet passif. Il est potentiellement fonctionnel… et actif biologiquement.

Le cas spécifique du SV40 : un promoteur hautement controversé

Plus inquiétant encore : les flacons de Pfizer contiennent une séquence spécifique appelée promoteur-enhancer SV40.

Ce nom peut sembler technique. Il s’agit en réalité d’un élément génétique utilisé pour forcer l’expression de gènes — largement connu dans les milieux de recherche comme ayant un fort potentiel oncogène (cancérigène).

627 fois plus la dose autorisée
L’OMS fixe la limite à 10 ng par dose. Certaines injections Covid en contiendraient jusqu’à 627 fois plus. Documenté, vérifié, publié.

“Cet élément est reconnu pour entraîner l’intégration génomique, la mutation de l’ADN et l’activation d’oncogènes”, écrivent les auteurs.

Pourquoi une telle séquence se trouve-t-elle dans un vaccin destiné au grand public ?
Pourquoi n’a-t-elle pas été signalée par les fabricants eux-mêmes ?

Aucune réponse officielle à ce jour.

Les risques théoriques : mutagenèse, cancer, immunité

Trois scénarios sont évoqués par les chercheurs comme risques plausibles :

  • Mutagenèse insertionnelle : L’ADN résiduel pourrait s’intégrer dans le génome humain, notamment dans des cellules en division rapide, avec des conséquences imprévisibles.
  • Activation d’oncogènes : Le promoteur SV40 pourrait forcer l’activation de gènes liés au développement de tumeurs.
  • Réactions auto-immunes : La présence d’ADN étranger dans l’organisme pourrait déclencher des réponses immunitaires inappropriées, voire chroniques.

Même si ces effets ne sont pas prouvés à ce jour, leur plausibilité biologique est suffisante pour exiger une évaluation rigoureuse.

Des seuils largement dépassés : ce que disent les chiffres

La limite FDA/OMS : 10 ng par dose

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Drug Administration (FDA) ont établi une limite claire pour les résidus d’ADN dans les vaccins : 10 nanogrammes par dose.

Ce seuil n’est pas arbitraire. Il est censé représenter une quantité si faible qu’elle n’aurait aucun effet biologique plausible sur le corps humain. Au-delà, les risques — théoriques ou réels — deviennent significatifs, notamment en matière de transfection, d’intégration génomique ou de réponse immunitaire imprévue.

Mais que se passe-t-il si cette limite est non seulement dépassée… mais explosée à grande échelle ?

Pfizer: jusqu’à 1 548 ng — Moderna : jusqu’à 6 280 ng

Selon l’étude publiée par Speicher, Rose et McKernan, les doses analysées contiennent bien plus que les 10 ng autorisés :

  • Vaccins Pfizer : entre 371 et 1 548 ng par dose, soit 37 à 153 fois la limite.
  • Vaccins Moderna : entre 1 130 et 6 280 ng par dose, soit 113 à 627 fois la limite.

Des chiffres qui, pour tout spécialiste en biologie moléculaire, dépassent l’entendement.

“Tous les produits analysés dépassaient les limites de sécurité réglementaire de 36 à 627 fois”, précisent les auteurs.

Confirmation par plusieurs techniques de mesure

Pour éliminer toute possibilité d’erreur, les chercheurs ont utilisé deux méthodes de quantification :

  1. Fluorométrie + digestion à la RNase A : une technique qui permet de mesurer l’ADN total (en éliminant l’ARN). Résultat : tous les lots testés dépassaient les normes.
  2. qPCR (PCR quantitative) : une méthode plus ciblée mais qui sous-estime souvent l’ADN total, car elle ne détecte que des séquences spécifiques. Malgré cela, trois flacons Pfizer ont tout de même montré des taux d’ADN SV40 (promoteur-enhancer) supérieurs à 10 ng.

Cela confirme un point fondamental : les résultats ne dépendent pas d’un seul outil, ni d’un seul laboratoire. Il s’agit bien d’un phénomène systémique, reproductible, et objectivement mesurable.

Corrélation inquiétante : plus d’ADN = plus d’effets graves ?

Vaccins Covid contaminés - silence assourdissant des autorités
Plusieurs lots fortement contaminés sont aussi les plus associés à des effets secondaires graves. Corrélation ou hasard ? Le silence des autorités devient assourdissant.

Les données de VAERS

Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), la base de données officielle américaine de pharmacovigilance, a révélé un signal troublant : les lots de vaccins les plus fortement contaminés en ADN sont aussi ceux qui présentent les plus hauts taux d’effets secondaires graves (SAE).

Dans certains cas, entre 50 % et 95 % des rapports associés à ces lots sont classés comme graves — hospitalisations, incapacités permanentes, décès.

Les chercheurs soulignent que cette corrélation ne prouve pas une causalité… mais qu’elle est trop forte pour être ignorée.

Certains lots massivement contaminés, massivement rapportés

Kevin McKernan et ses collègues ont constaté que plusieurs flacons analysés provenaient des mêmes lots que ceux identifiés comme problématiques dans les bases de données publiques. Ces lots apparaissent dans les classements de lot-to-SAE ratio les plus élevés, un indicateur déjà utilisé par des analystes indépendants comme Craig Paardekooper.

Plus de fragments d’ADN, plus d’effets secondaires ? C’est une hypothèse de travail qui mérite une investigation sérieuse — et rapide.

Coïncidence ou causalité ?

Impossible, à ce stade, d’affirmer que l’ADN résiduel est la cause directe des effets secondaires.
Mais le principe de précaution impose d’exiger une transparence totale sur la composition réelle des doses injectées à des millions de personnes.

Pourquoi cette affaire secoue la communauté scientifique

Une dizaine de rapports indépendants concordants

Loin d’être une étude isolée, les travaux de Speicher, Rose et McKernan corroborent au moins dix autres analyses indépendantes menées au Canada, en Allemagne, en Australie et en Suède. Toutes convergent vers un constat similaire : des fragments d’ADN plasmidique persistent dans les vaccins ARNm, à des niveaux élevés.

Et pourtant, aucune alerte de l’OMS. Aucun retrait. Aucune suspension de lot. Silence.

Une réponse réglementaire absente ou tardive

À ce jour, ni la FDA, ni l’EMA, ni l’ANSM en France n’ont répondu officiellement à cette accumulation de preuves.
Le sujet reste quasiment absent du débat public, ignoré des médias grand public et peu abordé par les professionnels de santé.

Seule une poignée de scientifiques, souvent marginalisés, tirent la sonnette d’alarme.

Comment expliquer une telle inertie alors que les implications pourraient être massives?

Ce que demandent les chercheurs

Les auteurs de l’étude ne réclament pas “l’abandon de la vaccination” ni n’alimentent un discours conspirationniste.
Leur message est clair: ces produits ne respectent pas les normes de sécurité établies.
Ils exigent :

  • Le retrait immédiat des lots contaminés
  • Un moratoire sur l’utilisation des vaccins concernés
  • Une enquête indépendante sur les processus de fabrication

Ce que vous devez retenir (et ce que vous pouvez faire)

Est-ce une raison de paniquer ?

Non. C’est une raison de s’informer, de questionner, et d’agir (lisez les livres proposés au bas de l’article).
Ce que révèle cette étude n’est pas un “complot”, mais une défaillance grave des processus de contrôle d’un produit injecté à grande échelle!

La transparence scientifique n’est pas un luxe. C’est une obligation.

Comment exiger la transparence sanitaire

  • Partagez cet article.
  • Visionnez et diffusez des documentaires comme Inside mRNA Vaccines
  • Demandez des comptes à vos représentants de santé
  • Interrogez les autorités sanitaires sur les lots utilisés dans votre région

L’importance de preuves indépendantes

Dans une époque où l’expertise est souvent captive d’intérêts privés, l’indépendance scientifique est notre meilleure protection collective.
Et aujourd’hui, elle nous dit : quelque chose cloche profondément dans ces formulations.

FAQ: vos questions, nos réponses

1. Ces résidus d’ADN peuvent-ils vraiment s’intégrer dans notre génome ?
C’est biologiquement plausible, surtout en cas de contact avec des cellules en division rapide.
C’est pourquoi les seuils sont si stricts.

2. Tous les vaccins ARNm sont-ils concernés ?
L’étude a testé des flacons de Pfizer et Moderna, dans toutes leurs versions connues. Tous étaient contaminés.

3. Pourquoi personne n’en parle ?
Les mécanismes de contrôle, de financement et de communication dans le monde médical rendent ce type d’information difficile à faire remonter au public.

4. Que signifie “promoteur SV40” ?
C’est une séquence génétique puissante utilisée pour forcer l’expression de gènes. Elle est associée à un potentiel oncogène élevé.

5. Ces doses sont-elles toujours administrées ?
Oui. L’étude date de septembre 2025 et les flacons testés sont récents.

6. Peut-on identifier les lots à éviter ?
Certaines bases de données comme VAERS permettent de croiser les effets indésirables par lot. Mais cette analyse nécessite des compétences techniques.

7. Existe-t-il une solution ?
Le premier pas est la prise de conscience collective. Ensuite, exiger une action réglementaire est indispensable.

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Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Source : Le Point Critique

Une partie de la communauté scientifique a alerté il y a plus de quatre ans sur les risques de cancer associés aux injections à ARNm contre le COVID. Les données de la littérature suggèrent aujourd’hui qu’elles auraient la capacité d’induire, d’accélérer ou de réveiller des cancers de 17 manières différentes.

La vaccination de masse contre le COVID est-elle à l’orgine d’une explosion des cas de cancers comme l’affirment de nombreux scientifiques, dont certains l’avaient prophétisée dès mai 2021 ? Un collectif d’oncologues français a publié il y a deux ans une tribune dans laquelle ils réfutent catégoriquement cette hypothèse : « À ce jour, aucun lien d’alerte n’a été publié entre une incidence accrue ou risque de progression rapide de cancer après vaccination anti-COVID-19 ou après une autre vaccination. » Ils affirment aujourd’hui être confrontés à un tsunami de cancers fulgurants, en particulier chez les jeunes, auquel ils disent ne trouver aucune explication rationnelle :

On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Il s’est passé quelque chose ? On ne sait pas. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. […] Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut.Pr Khayat, cofondateur de l’InCA

Si le Pr Khayat est cohérent, il ne peut théoriquement pas exclure que la vaccination puisse être à l’origine de cette explosion des cas de cancer puisque celle-ci est (1) extrêmement récente si l’on se réfère à ses précédentes interventions, (2) elle touche l’ensemble de la planète – en particulier les populations qui ont été contraintes de s’injecter pour conserver une vie sociale ou qui ont fait une promotion agressive de la vaccination (les influenceurs notamment) –, et (3) elle semble répondre à une logique inédite. Comme le ferait une substance utilisée pour la première fois chez l’homme, dont on ne connaît qu’une partie de la composition et dont l’impact sur le cancer n’a pas été évalué avant son déploiement massif[1].

L’épidémiologiste Nicolas Huscher a répertorié en mars dernier 10 manières dont les injections à ARN messager anti-COVID peuvent provoquer le cancer. Cette liste, issue d’une étude[2] publiée en décembre 2023 dans la revue Cureus peut selon nous être aujourd’hui étendue à 17 items sur la base (non exhaustive) de plus de 100 études.

1. Instabilité du génome

Le risque d’une intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des personnes vaccinées a été confirmé en 2021 par une série d’études[3],[4],[5]. La mutagenèse insertionnelle induite par l’intégration de l’ADN provoque des mutations de décalage de trame (frameshift) qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer.

L’Agence européenne des médicaments affirme toujours que l’ARNm vaccinal ne peut pas pénétrer le noyau des cellules, cette intégration supposant le recours à une enzyme (transcriptase inverse) qui serait, selon elle, absente des cellules humaines. Or cette affirmation, qui ne repose sur aucune preuve, a été infirmée en juin 2021. Ce phénomène a été observé en juillet 2023 chez des souris, où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique[6]. Plus récemment, de la protéine Spike vaccinale a été retrouvée dans des tumeurs de patients vaccinés[7], ce qui suggère qu’il peut s’intégrer dans le génome, la première conséquence redoutée d’une telle intégration étant le développement d’un cancer.

Cette hypothèse a été relancée mi-avril par les scientifiques d’un laboratoire de recherche biomoléculaire (Neo7Bioscience) et des chercheurs de l’Université du Nord-Texas[8]. Les données moléculaires qu’ils ont recueillies suggèrent que l’ARN dérivé du vaccin pourrait être rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant de manière permanente la régulation des gènes. Elles révèlent également des signes cancérigènes et un effondrement immunitaire.

2. Évasion immunitaire

La protéine Spike (S2) inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs (p53, BRCA1/2, RB1)[9],[10],[11], auxquels elle se lie, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection et à leur destruction par le système immunitaire. L’épidémiologiste Nicolas Hulscher parle d’un « retournement oncogène ».

La première étude démontrant cette interférence de la protéine Spike avec la protéine p53, également appelée « gardienne du génome » a été publiée en octobre 2021[12] par Jiang et al. L’étude a été rétractée en mai 2022 sur ordre du NIH d’Anthony Fauci. Une demande de publication des échanges de mails concernant cette rétraction a été déposée dans le cadre de la loi d’accès à l’information, mais le NIH refuse toujours de communiquer les 490 pages de communications. Ces résultats ont été confirmés in vitro par Zhang et El Deiry[13] en 2024 et un mois plus tard in vivo[14].

3. Mécanisme de réparation de l’ADN altéré

La protéine Spike vaccinale induit des altérations génomiques et inhibe le système de réparation de l’ADN (Jiang, Zhang et El Deiry). Ce mécanisme se met normalement en place en cas d’agression de l’organisme, pour prévenir des mutations qui peuvent favoriser l’apparition de cancers, réparer des erreurs affectant les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs.Son altération induit une immunodéficience qui est « une voie directe vers le cancer[15] ».

La séquence stratégique de la protéine Spike brevetée en 2016 par Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, permettrait de cibler un gène (MSH3)[16] dont la modification entraîne un déficit de la réparation de l’ADN[17]. Les voies par lesquelles la protéine Spike inhibe ce mécanisme sont répertoriées dans l’article de Başaran et al.[18] publié en avril dernier.

4. Inflammation chronique

Les nanoparticules lipidiques[19],[20] servant au transport de l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires[21],[22],[23],[24] (tempête cytokinique) ouvrant la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Ces cellules sont susceptibles de se développer dans l’ensemble des organes (y compris les cellules souches sanguines[25]) compte tenu de la biodistribution généralisée de la protéine Spike[26],[27], dont la pathogénicité est décrite de manière détaillée dans trois revues de la littérature[28],[29],[30] et dans plus de 320 études. Cette inflammation peut résulter en un épuisement des cellules T, qui ne sont alors plus en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses.

L’IA Grok confirme que les injections sont à l’origine d’une inflammation aiguë, mais qui se résoudrait en quelques jours (Bergamaschi, Ogata) et qui serait comparable à celle d’autres vaccins. Il précise qu’une inflammation chronique nécessite une stimulation prolongée, alors que « la production de Spike vaccinale est limitée dans le temps (l’ARNm est dégradé en quelques jours, la Spike en quelques semaines), rendant improbable une inflammation chronique ». Cette affirmation est contredite par une série d’études[31], notamment quatre études récentes où la protéine Spike a été retrouvée dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après une injection[32] (245 jours[33] ou 12 mois[34] selon d’autres études), et jusqu’à 17 mois[35] dans les tissus et les organes de patientes japonaises, en particulier le cerveau. Plus de quatre ans après les premières injections, personne ne sait en réalité si le corps s’arrête de la produire.

5. Dysrégulation du système immunitaire

La vaccination ARNm entraîne une suppression des cellules T (lymphopénie)[36] et des réponses à l’interféron de type I[37], qui joue un rôle crucial dans la surveillance et la prolifération du cancer. Ces modifications conduisent à une altération de l’immunité innée[38],[39],[40],[41] et à une reprogrammation de la réponse immunitaire adaptative[42],[43]. Une dérégulation du système immunitaire dans le système nerveux central a également été rapportée[44].

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, cette inhibition garantit une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite. Il est prouvé que l’ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1′) au vaccin à l’ARNm dans un modèle de mlanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, tandis que les vaccins sans modification de l’ARNm n’ont pas été induits par des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins à l’ARNm COVID-19 pourraient aider le développement du cancer.Rubio-Casillas et al. Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ) : Friend or foe of cancer? https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.

Grok cite une étude de 2020[45], réalisée par Ugur Sahin, le CEO de BioNTech, qui soutient que les vaccins à ARNm induisent des réponses robustes des cellules T CD4+ et CD8+ persistantes, détectées dès les premiers jours post-vaccination, ce qui contredirait l’idée d’une immunosuppression générale et durable. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent au contraire une diminution des lymphocytes T de 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 % à 46 % des participants[46] dont on sait aujourd’hui qu’elle s’aggrave dans le temps.

6. Perturbation de l’ARN

L’ARNm vaccinal est un ARNm modifié dans le but d’accroître sa longévité et sa production. La technique utilisée par Pfizer et Moderna (optimisation des codons) perturbe les microARN, qui sont des acteurs essentiels de la prolifération et de la mort cellulaire, notamment des cellules cancéreuses[47],[48]. Une étude a montré en 2021[49] que la protéine Spike vaccinale est transportée dans des vésicules (exosomes) contenant des microARN grâce auxquels elle va empêcher le fonctionnement des interférons et donc inhiber l’immunité naturelle, en perturbant les processus cellulaires comme la prolifération ou la surveillance des tumeurs.

7. Activation de voies oncogènes

La protéine Spike est soupçonnée d’activer indirectement plusieurs voies qui jouent un rôle crucial dans la croissance tumorale, la prolifération et la survie cellulaire (MAPK, PI3K/AKT/mTOR[50],[51],[52]), et d’augmenter le niveau de l’interleukine 6 (IL-6), un marqueur proinflammatoire impliqué dans l’immunité, l’inflammation, la croissance tumorale, la progression des métastases ou encore la résistance à l’immunothérapie. Son élévation chronique est associée à une inflammation susceptible de favoriser le cancer dans certains contextes.

Grok précise là encore qu’aucune étude n’établit formellement de lien entre ces perturbations et le cancer, mais une étude récente[53] a retouvé des preuves métaboliques d’une activation de certaines voies oncogènes, dont la voie PI3K/mTOR chez des patients ayant développé une leucémie dans les semaines suivant une deuxième ou troisième injection Pfizer.

8. Microenvironnement tumoral

Les nanoparticules lipidiques (NPL) s’accumulent dans les tissus via l’effet Enhanced Permeability and Retention (EPR), qui se caractérise par une perméabilité accrue des vaisseaux sanguins tumoraux et une rétention prolongée des nanoparticules dans le tissu tumoral. Les NPL provoquent ainsi une propagation plus rapide des cellules cancéreuses[54][55]pouvant expliquer le phénomène de « turbo cancer » décrit par les pathologistes et les oncologues et observé dans une étude portant sur des souris[56]. Une telle accélération d’un processus pathogène est-elle valable pour d’autres maladies induites par la protéine Spike ? Des chercheurs suédois ont en effet démontré en 2023 que la protéine Spike pouvait non seulement induire la maladie d’Alzheimer mais qu’elle diminuerait le temps d’incubation de la maladie de 80 %[57], provoquant ainsi une forme inédite de « turbo maladie d’Alzheimer ».

9. Réveil des cancers dormants

Les modifications induites dans le microenvironnement tumoral par l’inflammation associée au COVID-19 ou la vaccination peuvent affecter le réveil du cancer et la rechute métastatique[58].

Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel du vaccin contre la COVID-19. Ces cas montrent une croissance tumorale très rapide après l’administration du rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante que ce à quoi nous nous attendions chez les patients, même ceux qui étaient stables depuis des années. Les autorités de santé publique sont réticentes à reconnaître cette corrélation. Ce phénomène se produit partout dans le monde où les vaccins à ARNm ont été administrés.Pr Ian Brighthope. Le grand débat : Port Hedland contre le Premier ministre. 29 Nov. 2024

La capacité de la protéine Spike du SRAS-CoV-2 à fusionner plusieurs cellules[59],[60],[61] permettrait d’expliquer la cascade de complications du COVID-19, dont le cancer. La formation de syncytia résultant de cette fusion pourrait en effet contribuer au développement ou à la progression du cancer, en particulier en cas de lésion préexistante, mais également à la formation de métastases et à la récidice des cancers en rémission, selon un ancien professeur de l’université de Yale, Yuri Lazebni[62].

Précision, l’ivermectine, dont l’efficacité contre le COVID-19 est confirmée à ce jour par plus de 100 études, possède de nombreux effets antitumoraux[63] (inhibition des cellules souches tumorales, de la prolifération, des métastases et de l’activité angiogénique, accélération de la mort programmée des cellules cancéreuses, inversion de la multirésistance aux médicaments), dont sa capacité à inhiber la formation de syncytia induite lors de la fusion cellulaire médiée par la protéine Spike[64]. L’ivermectine, nobélisée en 2006, présente un niveau de sécurité exceptionnel, y compris chez les enfants et les femmes enceintes, ce qui en fait une molécule essentielle selon l’OMS. Pourquoi n’a-t-elle pas été autorisée alors que l’on ne savait rien de l’efficacité, de la sécurité et du potentiel cancérigène des injections ARNm ? La question devra tôt ou tard être posée.

10. Altération de la surveillance immunitaire 

L’ARNm modifié rend les cellules tumorales « invisibles » en bloquant l’activation des récepteurs de première ligne du système immunitaire (récepteurs de type Toll, ou TLR).

Karikó et Weissman, les deux chercheurs à l’origine du vaccin anti-COVID de Pfizer, expliquaient en 2005[65] que la modification synthétique de l’ARN par l’ajout de m1Ψ (pour laquelle ils ont obtenu le prix Nobel de médecine), supprimaient partiellement ce bouclier en bloquant la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques primaires. Or l’une des fonctions de ces cellules est de reconnaître ou de « signaler » les agents pathogènes, en particulier les cellules cancéreuses, et d’induire une réponse immunitaire ciblée.

Ces résultats ont été confirmés en 2015[66] et 2016[67]. L’étude de 2016 démontre par ailleurs que l’utilisation d’ARNm synthétique n’est pas plus performante que l’ARN naturel alors qu’elle en augmente la toxicité (élévation des cytokines, neutrophilie), notamment en activant les cellules myéloïdes dans le sang et la rate, ce qui peut refléter un processus cancérigène.

Une étude de 2021[68] confirme que les récepteurs de type Toll peuvent agir comme une arme à double tranchant et « améliorer la pathologie » qu’ils sont censés prévenir lorsque les réponses TLR sont dysrégulées.

11. Décalage de cadre (frameshift)

L’ARNm modifié des vaccins Pfizer et Moderna produit une réponse immunitaire aberrante lorsqu’il est traduit. Dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine « absurde » ou inconnue, autre que la protéine Spike pour laquelle il est programmé. L’étude[69] a été publiée en janvier 2024. Les auteurs conviennent que si ces erreurs de traduction ne sont pas résolues avec la prochaine génération de vaccins COVID-19, elles poseront un problème de sécurité majeur. Ils estiment toutefois que cette découverte ne remet pas en cause la sécurité de la technologie. Une autre équipe de chercheurs[70] a émis un diagnostic beaucoup plus sévère en juin dernier sur cette défaillance majeure de la plateforme ARNm :

les ARNm modifiés […] ne sont pas utilisables en clinique en raison de leur nature durable, potentiellement permanente et immunostimulante. […] La nature persistante de l’ARNm codant pour la protéine Spike du SARS-CoV-2 entraîne une exposition dangereusement longue à une dose illimitée de cette protéine pathogène, et doit donc être réévaluée pour une utilisation continue chez l’homme.

12. Injections multiples

Les expositions répétées à l’ARNm synthétique et la Spike vaccinale entraînent un épuisement du système immunitaire[71]. Cette immunosuppression, qui s’explique probablement par l’opitimisation des codons et par le mécanisme de facilitation dépendante des anticorps (ADE)[72],[73], suspecté dès les essais cliniques, est marquée par un changement de classe des anticorps (IgG4)[74],[75],[76] aujourd’hui massivement documenté. Cette modification catastrophique de la réponse immunitaire, non observée après une vaccination hétérologue ou avec des vaccins ADN (Irrgang), entraîne une tolérance immunitaire (les agents pathogènes cessent d’être reconnus comme tels) qui favorise les réinfections[77],[78] et la susceptibilité au cancer[79],[80],[81],[82],[83]. Précisons qu’à ce jour, la fondation Peter McCullough a recensé au moins 7 études[84],[85],[86],[87],[88],[89],[90] démontrant l’efficacité négative des injections.

13. Contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna

Les vaccins Pfizer et Moderna contiennent de l’ADN plasmidique frauduleux[91],[92],[93],[94], dont la forme (double brin circulaire) le rend « compétent pour la réplication », ce qui signifie qu’il peut théoriquement s’intégrer au génome, et donc induire le cancer chez les vaccinés. Nous avons écrit de nombreux articles sur cette découverte, confirmée à ce jour par dix équipes de chercheurs[95] dans le monde, la dernière en date étant une généticienne moléculaire (Dr Soňa Peková)[96] mandatée par le gouvernement slovaque. Les quantités rapportées sont vertigineuses, puisqu’elles atteignent jusqu’à 500 fois le plafond fixé par l’Agence européenne des médicaments, ce qui implique que l’intégration dans le génome peut se faire spontanément, maximisant le risque de cancer.

14. Séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer

L’ajout de séquences stratégiques de SV40, utilisées en génétique pour « hacker » le noyau cellulaire[97], décuple la capacité de l’ARNm à s’intéger dans le génome.

Son utilisation, prohibée par la FDA, a finalement été concédée par Pfizer, mais le laboratoire soutient qu’elle ne présente aucun risque sanitaire. Sa cancérogénicité, déjà abondamment documentée, a pourtant été confirmée en octobre dernier par une étude publiée dans le New England Journal of Medicine[98]. La possibilité qu’il puisse entraîner des cancers est par ailleurs suggérée par une étude[99] récente impliquant des sujets vaccinés Pfizer et Moderna, où des antigènes tumoraux ont été retrouvés exclusivement dans le sang des vaccinés Pfizer.

Selon le Dr McKernan, à l’origine de cette découverte, l’ensemble des vaccins Pfizer (adultes, pédiatriques, monovalents, bivalents) seraient concernés par cette fraude dont l’origine est attribuée au changement de méthode[100] de production effectué après l’homologation des injections pour répondre aux contraintes industrielles liées au contexte pandémique. Le Pr Angus Dalgleish, l’un des oncologues les plus éminents au monde, a rappelé dans ce contexte que le SV40 est la substance que les chercheurs en cancérologie injectent aux souris pour induire un cancer lorsqu’ils veulent tester une chimiothérapie. Le laboratoire Pfizer, qui occupe désormais une position de quasi monopole sur le marché des traitements anticancéreux pouvait-il l’ignorer ? Non, et il n’a pas modifié sa formule malgré l’effondrement de la demande de vaccins.

15. Dérégulation du système rénine-angiotensine (SRA)

La protéine spike vaccinale entraîne la suractivation d’un récepteur clé (AT1R) du système rénine-angiotensine, qui commande notamment la multiplication des cellules. Cette suractivation favorise la vascularisation, et donc la prolifération des tumeurs, et engendre un stress oxydant délétère pour les cellules. Le Dr Jean-Marc Sabatier[101] a alerté dès mars 2020 sur les conséquences de ce dérèglement physiologique, à l’origine d’un déséquilibre entre la réponse immunitaire innée et acquise, et dont il avait prophétisé qu’il risquait d’induire de nombreux cancers.

16. Destruction du microbiote

Les « vaccins » à ARNm détruisent les bifidobactéries présentes dans le microbiote (flore intestinale), qui joue un rôle clé dans la régulation du cancer et les réponses aux thérapies anticancer. Une étude révolutionnaire publiée par le Dr Sabine Hazan[102] a montré en 2022 que la vaccination ARNm contre le COVID décime les bifidobactéries présentes dans le microbiote intestinal, où cette perte a été observée chez les patients atteints de cancer invasif. L’impact délétère des injections sur le microbiote semble confirmé aujourd’hui par la découverte de protéine Spike dans une biopsie de tumeur de côlon chez un patient vacciné Pfizer.

17. Augmentation de la résistance aux traitements

La protéine Spike virale et potentiellement vaccinale prolonge la survie des cellules cancéreuses après une exposition à la chimiothérapie. Ce résultat a été mis en évidence en 2024 par S. Zhang et WS El-Deiry. Bien que les preuves se limitent à la protéine Spike virale, les auteurs estiment que cette perturbation de la réponse immunitaire, qui est étroitement corrélée à l’inhibition du gène p53 età l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN, peut être favorisée par les injections répétées, administrées sous forme de rappels, et par les quantités astronomiques de protéine Spike produite.

On pourrait ajouter à ce tableau catastrophique[103] la probable présence de gènes cachés dans les injections, dont personne ne peut prédire l’impact qu’ils pourraient avoir sur la santé. On ne peut malheureusement citer aucune preuve de l’innocuité des injections, dans la mesure où leur cancérogénicité n’a été évaluée dans aucun essai, et où aucune étude ne démontre, à notre connaissance, que les injections ne peuvent pas induire, réveiller ou accélérer un cancer.

Un essai clinique de grande ampleur lancé en 2021 en Australie se proposait de répondre à cette question. Il a été brutalement interrompu sans explication par les autorités australiennes, qui s’apprêtent à détruire illégalement les millions d’échantillons de tissus biologiques collectés à cette fin. Autre fait profondément troublant, plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer hautement toxiques suggérant que le laboratoire a développé des produits de trois niveaux de toxicité différents. Des clusters de cas de cancer se sont récemment déclarés dans plusieurs hôpitaux aux États-Unis et en Australie. Or le vaccin administré à l’une des infirmières concernées est précisément issu de l’un de ces lots à haut risque, qui correspond à celui où les plus importantes quantités d’ADN ont été retrouvées.

L’actuelle épidémie planétaire dont plus personne ne conteste la réalité a-t-elle été anticipée afin de tester la technologie sur laquelle l’industrie a massivement misé en dépit de son échec catastrophique[104] et dans laquelle elle a d’ores et déjà investi des sommes vertigineuses qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière ? C’est ce que pense le mari d’une infirmière, décédée d’un cancer quelques mois après avoir s’être fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, et dont l’époux porte plainte pour empoisonnement avec préméditation.


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[7] Le Dr McKernan a fait cette découverte en analysant la biopsie du cancer du côlon d’une personne ayant reçu quatre injections d’ARNm de Pfizer. Le député et ancien ministre japonais Kazuhiro Haraguchi a déclaré publiquement fin mai que de la protéine Spike vaccinale avait également été retrouvée dans les cellules cancéreuses de son lymphome malin.

[8] https://x.com/tatiann69922625/status/1931708697379480010. Cette découverte a fait l’objet d’une discussion avec l’épidémiologiste Nicolas Hulscher : https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-reverse-transcription-cancer.

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[11] Selon Valdes Angues et al., « Les cancers associés aux mutations TP53 incluent le cancer du sein, les sarcomes des tissus osseux et mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents incluent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal. Les cancers associés à une altération de l’activité de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et de l’ovaire chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, et une augmentation modeste du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes. Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 incluent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome ».

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[104] Au delà de l’échec des injections anti-COVID, qui ont été homologuées sur la conviction des laboratoires qu’elles pourraient « probablement prévenir de nouvelles vagues pandémiques et ainsi réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (p. 14 du rapport d’évaluation du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech), la généticienne Alexandra Henrion Caude rapporte qu’en l’espace de vingt ans, aucun des 70 essais cliniques où cette technologie a été testée, sur 17 maladies différentes, n’a franchi le stade de la phase 1-2 (Les Apprentis Sorciers, p. 84). Voire la présentation de son livre au Parlement européen, le 18 avril 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=6HH5IyccJNk.

Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études Lire la suite »

Travaux de recherche sur les bactéries miroir : une menace sans précédent pour l’humanité

Source : LLB – Pétition

Nous sommes à un tournant critique de l’Histoire. Depuis 2018, des scientifiques travaillent dans l’ombre sur la création d’organismes qui pourraient anéantir toute vie sur Terre. Ces créatures artificielles, appelées « bactéries miroir », représentent une menace si terrifiante que 38 scientifiques éminents, dont plusieurs Prix Nobel, exigent aujourd’hui l’arrêt immédiat de toute recherche dans ce domaine. https://www.science.org/doi/10.1126/science.ads9158

QU’EST-CE QUE LES BACTÉRIES MIROIR ?

Tous les êtres vivants sur Terre – vous, moi, les animaux, les plantes, même les plus petites bactéries – obéissent à la même règle : nos protéines sont faites d’acides aminés « gauchers » et notre ADN de sucres « droitiers »³. Cette uniformité permet à nos systèmes biologiques de fonctionner harmonieusement depuis des milliards d’années.

Les bactéries miroir seraient l’exact opposé : des organismes artificiels utilisant des acides aminés « droitiers » et des sucres « gauchers ». En apparence semblables aux bactéries naturelles, elles seraient en réalité complètement invisibles à tous nos mécanismes de défense.

Nous ne pouvons pas laisser cette folie scientifique se poursuivre. Signez maintenant pour exiger l’arrêt immédiat de ces recherches dangereuses !

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DES RISQUES CATASTROPHIQUES POUR LA SANTÉ HUMAINE

Votre système immunitaire rendu totalement inefficace

Depuis votre naissance, votre système immunitaire a appris à reconnaître et combattre les menaces basées sur leur forme moléculaire spécifique. Face aux bactéries miroir, il serait totalement aveugle

C’est justement ce qui intéresse l’industrie pharmaceutique.

Un des problèmes majeurs des médicaments est de les faire parvenir à l’endroit voulu dans le corps. Comme ce ne sont pas des composants normaux du corps humain, notre système immunitaire les identifie de manière tout à fait logique comme des corps étrangers et fait en sorte de les détruire avant qu’ils aient pu agir.

Les bactéries miroir pourraient produire des molécules miroir qui serviraient de médicaments et ne risqueraient pas d’être détruites en cours de route. Cela permettrait de produire des “médicaments” avec un coût beaucoup plus faible.

Mais voulons-nous vraiment que des organismes ou des molécules puissent entrer dans notre corps sans que nos défenses naturelles ne puissent réagir ?

Contre les bactéries miroir, nos antibiotiques actuels seraient complètement inutiles. Ils sont conçus pour cibler la forme naturelle des bactéries. Face à des bactéries miroir, ils seraient aussi efficaces qu’un parapluie contre un tsunami.

Des pandémies incontrôlables

Les experts redoutent que ces bactéries miroir puissent causer des pandémies d’une ampleur inédite. Sans système immunitaire capable de les stopper et sans traitements efficaces, elles pourraient se propager librement dans la population humaine.

Dr. Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security, met en garde : « Les bactéries miroir, si elles étaient créées, pourraient se propager largement et de manière irréversible, avec le potentiel d’une mortalité extraordinaire chez les humains et de nombreuses autres espèces ».

UN DÉSASTRE ÉCOLOGIQUE PLANÉTAIRE

La destruction des écosystèmes

Les bactéries miroir ne menacent pas seulement l’humanité. Elles pourraient ravager tous les écosystèmes terrestres. Les virus et prédateurs naturels qui régulent normalement les populations bactériennes ne pourraient pas les reconnaître ni les détruire.

Sans ces mécanismes de contrôle naturel, les bactéries miroir auraient un avantage de survie inédit¹⁰. Elles pourraient proliférer sans limite, envahir les sols, contaminer l’eau, et perturber des équilibres écologiques vieux de milliards d’années.

L’agriculture en péril

Nos cultures seraient particulièrement vulnérables. Les plantes n’ont aucune défense contre ces organismes artificiels. Les bactéries miroir pourraient détruire les récoltes mondiales, provoquant des famines à l’échelle planétaire¹.

Cette recherche irresponsable met en danger notre survie même. Nous devons agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard !

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L’ALERTE ROUGE DE LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE

Un consensus sans précédent

En décembre 2024, un événement extraordinaire s’est produit. Trente-huit scientifiques de renommée mondiale, issus de neuf pays différents, ont publié un rapport de 300 pages dans la prestigieuse revue Science. Parmi eux, plusieurs Prix Nobel et des experts en immunologie, écologie, et biosécurité.

Leur message est clair et alarmant : « Les bactéries miroir ne doivent pas être créées ».

Des chercheurs qui abandonnent leurs travaux

L’alerte est si grave que plusieurs scientifiques ont volontairement abandonné leurs recherches sur la vie miroir. Le Dr. Kate Adamala de l’Université du Minnesota, pionnière dans ce domaine, a cessé ses travaux après avoir pris conscience des risques.

Des conférences internationales d’urgence

En 2025, des conférences internationales se sont tenues à Paris, Manchester et Singapour pour alerter la communauté scientifique et les décideurs politiques. Le consensus est unanime : ces recherches doivent s’arrêter immédiatement.

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L’INACTION COUPABLE DES AUTORITÉS

Aucun encadrement réglementaire

Malgré ces alertes répétées, aucune autorité internationale n’a encore pris de mesures contraignantes pour interdire ces recherches. Les cadres réglementaires actuels pour la recherche biologique à haut risque sont totalement inadéquats face à cette menace.

La course folle continue

Pendant que les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, certains laboratoires pourraient continuer ces travaux dans l’ombre. Des équipes en Chine ont déjà créé des protéines miroir et estiment qu’une cellule miroir viable pourrait voir le jour d’ici 10 ans.

L’urgence d’agir

Nous n’avons plus le luxe d’attendre. Une fois qu’une bactérie miroir aura été créée et qu’elle s’échappera dans la nature – et l’Histoire nous montre que les accidents de laboratoire arrivent toujours – il sera trop tard pour revenir en arrière.

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NOS EXIGENCES SONT CLAIRES

Nous demandons aux gouvernements du monde entier de prendre des mesures immédiates :

L’arrêt immédiat de tous les financements publics et privés pour la recherche sur les bactéries miroir

L’interdiction légale de toute recherche visant à créer des organismes miroir auto-réplicants

La mise en place d’un moratoire international contraignant sur ces travaux

La création d’un organisme de surveillance international pour contrôler les recherches en biologie de synthèse

L’obligation pour les institutions de recherche de déclarer publiquement qu’elles ne soutiendront pas ces travaux dangereux

L’ouverture d’un débat public transparent impliquant citoyens, scientifiques et décideurs

NOTRE AVENIR EST ENTRE NOS MAINS

Cette pétition n’est pas un simple cri d’alarme. C’est un appel à la raison face à une dérive scientifique qui pourrait coûter la vie à des milliards d’êtres humains et détruire notre planète.

Les scientifiques nous ont prévenus. Les risques sont documentés. Les alternatives existent pour faire avancer la science sans créer ces monstres biologiques.

Il ne manque plus que notre voix collective pour forcer les autorités à agir.

Chaque signature compte. Chaque partage compte. Notre mobilisation peut faire la différence entre un avenir serein et une catastrophe planétaire.

Nous avons le pouvoir d’arrêter cette folie avant qu’il ne soit trop tard. Nous avons le devoir de protéger notre avenir et celui de nos enfants.

Le moment d’agir, c’est maintenant. Signez cette pétition et partagez-la massivement autour de vous.

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Travaux de recherche sur les bactéries miroir : une menace sans précédent pour l’humanité Lire la suite »

Procès Covid contre Bill Gates et ses co-conspirateurs aux Pays-Bas : la Cour tente de museler les experts

Source : Essentiel News

Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone préparent la riposte.

Dans l’affaire trop peu médiatisée des victimes des vaccins Covid contre Bill Gates, Albert Bourla et une quinzaine d’autres accusés, le tribunal de Leeuwarden aux Pays-Bas a décidé de ne pas entendre les experts et a censuré les débats, sur base d’une recommandation qui semblait avoir été édictée en dernière minute.

L’on pouvait s’y attendre car les plaignants néerlandais, des victimes des vaccins Covid et la fondation Rechtoprecht ont attaqué en force: ils parlent de génocide et de destruction planifiée pour organiser un « grand reset », sous couvert de réponse à la pandémie. Et pour attester du complot, ils ont recruté une équipe de choc: des voix qui pèsent tant par leurs qualifications que par leur acharnement à exposer « les crimes Covid ».

Dr Mike Yeadon: britannique, ancien vice-président pour la recherche et le développement des produits concernant les maladies respiratoires au niveau mondial pour le groupe Pfizer. Mike Yeadon a déclaré à maintes reprises que le fait d’utiliser la protéine spike qui est à l’origine du processus inflammatoire de la maladie comme base de fabrication des vaccins Covid, était un choix erroné qui violait les principes de précautions habituels de l’industrie pharmaceutique. Cette erreur manifeste ayant été commise par tous les fabricants démontre selon lui une intention de nuire concertée. En outre, le Dr Yeadon expose aussi le fait que l’on ignore ce que contiennent les vaccins Covid et qu’il est virtuellement impossible d’en contrôler les lots.

L’économiste Catherine Austin Fitts: ancienne sous-secrétaire au logement sous la 1ère administration Bush et fondatrice du Solari Report, elle a été une des premières à dénoncer le reset de l’architecture financière opéré sous couvert de pandémie et la destruction délibérée de la petite et moyenne entreprise au profit des grands capitaux. Dans « The Going Down Reset », l’économiste explique comment les banquiers centraux se sont accordés sur la plan d’accaparement des ressources et d’endettement présenté par Blackrock le 22 août 2019, 6 mois avant la pandémie, et dont l’accélération a été enclenchée au lendemain de la déclaration d’une alerte sanitaire liée au SARS-cov-2 par l’OMS.

Katherine Watt: une juriste américaine. Elle a exposé tout le montage juridique, dont le fameux « Prep Act » aux États-Unis qui permet de contourner la législation pharmaceutique et médicale normale en donnant les pleins pouvoirs aux militaires pour fabriquer et imposer des produits expérimentaux utilisés comme armes biologiques lors de la déclaration d’un risque de pandémie. Cette même législation organise une complète opacité et une totale exonération de tous les acteurs impliqués lorsque l’urgence est décrétée.

Sasha Latypova, une entrepreneuse dans le domaine pharmaceutique, experte dans la réglementation du développement et de la production des produits. Elle a démontré depuis le début de la pandémie les nombreuses failles de sécurité et de réglementation des produits, ainsi que le manque de contrôle des vaccins, notamment la qualité des lots.

Joseph Sansone, docteur en psychologie. Il affirme que la crise du Covid 19 a été utilisée à des fins de guerre psychologique pour induire des sentiments de peur, avec l’intention de manipuler les foules et de contrôler le comportement des peuples. Sansone a répertorié différents mécanismes psychologiques, dont certains proches de l’hypnose, qui ont été utilisés par les politiques et les médias de masse pour parvenir à ces fins.

Le sixième témoin sollicité par l’accusation était le professeur Francis Boyle, un expert en armes biologiques qui a contribué à l’élaboration de lois internationales sur les armes biologiques. Trois semaines après avoir accepté de témoigner, il est décédé subitement. La cause de son décès n’a pas été divulguée. Boyle avait plus de 70 ans, mais il était en bonne santé et enseignait à plein temps.

Il ne fait pas de doute que la pression exercée sur la partie plaignante est de taille. À la mi-juin, Arno Van Kessel, un des principaux avocats avait été arrêté par une unité de forces spéciales et son domicile avait été perquisitionné. À l’heure du procès à Leeuwarden, il était toujours en détention, sans que l’on sache véritablement pourquoi; une manœuvre arbitraire qui a laissé son collègue seul face à la défense et qui n’est pas sans rappeler le cas de l’avocat Reiner Fuellmich en Allemagne.

Manifestement, ces débats font peur, car le procès compte aborder des questions bien gênantes, comme le fait de savoir si:

  1. La technologie de l’ARNm/ADN peut être utilisée comme arme biologique?
  2. Les injections d’ARNm de Covid-19 ont été commercialisées en tant que produits médicaux réglementés?
  3. La législation impose l’utilisation de substances et de méthodes scientifiquement validées dans le but de promouvoir les injections d’ARNm (Covid-19) comme étant sûres et efficaces?
  4. Lorsque les injections d’ARNm Covid-19 ont été administrées à des millions de personnes dans l’Union européenne, ces injections répondaient-elles aux exigences et aux garanties que les consommateurs peuvent attendre de produits pharmaceutiques?
  5. Sur quelle base les virus, les vaccins, la thérapie génique et les autres produits biologiques sont-ils différenciés des armes biologiques et bactériologiques?

Heureusement, il ne s’agit que d’une première décision et l’affaire est loin d’être terminée. Ce rejet avait de toute manière été anticipé et les avocats de l’accusation affirment avoir une série de stratégies alternatives pour poursuivre la procédure.

En attendant, un soutien du public est nécessaire face à une défense qui dispose de moyens quasi illimités. L’association Rechtoprecht lance un appel à l’aide via le communiqué de presse de leur avocat principal Peter Stassen.

Appel à l’aide et communiqué de presse envoyé par le bureau d’avocats des plaignants:

Communiqué du 20 août 2025 concernant la procédure de demande au tribunal de district de Leeuwarden avec le numéro de référence C/17/199273 / HA RK 25-17

Au nom de trois clients qui ont subi de graves dommages physiques et non matériels à la suite d’injections d’ARNm Covid-19, le soussigné a lancé une procédure de pétition au tribunal de district de Noord-Nederland, à Leeuwarden.

La demande au tribunal est d’entendre cinq témoins experts internationaux dont les opinions diffèrent du récit officiel de Covid-19 (une demande de preuves préliminaires). Mes clients, comme beaucoup de ceux qui réalisent que le Covid-19 n’est pas une maladie mais un projet, ont des questions urgentes d’une grande importance sociale.

Un débat social ou scientifique sur ces questions ne peut avoir lieu sans intervention judiciaire. Pour cette raison, il est de la plus haute importance que les experts soient entendus devant les tribunaux, devant le juge et avec la possibilité d’un débat public de procédure et de deuxième avis. Cela permet à mes clients – et à d’autres – de déterminer leur situation juridique en fonction de ces informations. Les questions de la procédure de pétition concernent, entre autres, la question de savoir si les injections d’ARNm du Covid-19 constituent une arme biologique utilisée par les défendeurs, en tant qu’exécuteurs du projet Covid-19: The Great Reset, pour commettre un génocide.

Les experts nommés dans ce contexte sont Catherine Austin Fitts, Michael Yeadon, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone. Pour plus de détails sur la requête et les CV de ces témoins experts, veuillez vous référer aux documents judiciaires publiés sur le site Web de la Fondation RechtOprecht, qui facilite ces procédures (www.RechtOprecht.online). Sur le site Web susmentionné, vous trouverez également les documents de procédure complets dans une procédure de fond (procédure d’assignation – citation à comparaître) que j’entame au nom de sept autres clients – et dont l’un est décédé à la suite des injections d’ARNm Covid-19.

Ces procédures de fond contiennent de nombreuses preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les injections de Covid-19 sont une arme biologique utilisée par les accusés agissant en groupe pour commettre un génocide. Ces procédures de fond sont également soutenues par la fondation Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). Une audience orale sera toujours requise dans ces procédures de fond avant que le tribunal de district de Leeuwarden ne puisse rendre un jugement (intérimaire). Aucune date n’a encore été fixée pour cette audience. Compte tenu de la similitude en matière, les deux procédures sont d’une grande importance publique. Tant les procédures de fond que les procédures de demande concernent les procédures de droit civil dans lesquelles j’ai une vaste expérience et je me suis longuement spécialisé à travers mes plus de vingt ans de pratique juridique et de multiples formations de troisième cycle (Grotius).

Pour soutenir financièrement ces deux affaires, la Fondation RechtOprecht s’appuie sur les dons des donateurs, qui sont essentiels à la poursuite de leur fonctionnement. Les options de dons peuvent également être trouvées sur le site Web susmentionné.

Peu de temps avant l’audience orale du 9 juillet, une nouvelle directive de presse a été introduite aux Pays-Bas, qui stipule que seuls les soi-disant « journalistes accrédités » sont autorisés à faire des enregistrements vidéo des audiences. Malgré le fait que le juge ne soit pas lié par cette directive de presse et vu ma demande urgente au juge d’autoriser les enregistrements vidéo par les nombreux reporters présents, l’audience a été censurée. Car les « journalistes accrédités » ont brillé par leur absence. En ce qui concerne le cours discutable des événements survenus lors et autour de cette audience, je me réfère à la correspondance avec le tribunal consécutive au procès, qui est également publiée sur le site Web.

Il n’y avait pas d’argumentation convaincante justifiant le rejet d’entendre des experts lors de l’audience du 9 juillet. Au cours de cette audience, j’ai longuement discuté de l’énorme intérêt de la procédure pour le public. Le juge, qui a entendu l’affaire, a également déclaré lors de l’audience qu’il reconnaissait l’intérêt public dans la demande. Et l’avocat de Bill Gates s’est reporté à la décision du tribunal, de sorte qu’aucune objection n’a été soulevée contre lui quant à l’octroi de la demande, et elle était donc prête à être accordée.

Avec un mépris total pour la situation de mes clients, plusieurs des défendeurs ont repris le récit officiel selon lequel les injections d’ARNm Covid-19 étaient sûres et efficaces. Les représentants des médias [les personnalités des médias néerlandais qui sont accusées en tant qu’individus dans l’affaire] ont fait valoir que leurs employeurs (NOS/Telegraaf), et non eux-mêmes, auraient dû être poursuivis. J’ai conclu mon plaidoyer en notant que si le juge rejetait la demande, elle aurait le même sang sur les mains que les défendeurs, et j’ai souhaité à la juge beaucoup de sagesse dans sa décision.

La décision d’aujourd’hui montre clairement que la juge n’a pas eu la sagesse de ne pas se salir les mains dans cette affaire. Un enregistrement audio édité de l’audience, autorisé par le tribunal, ne sera disponible qu’en même temps que le verdict. Vous ne pourrez pas voir les réponses non verbales du public et de la défense sur cet enregistrement. Cet enregistrement audio sera également publié sur le site Web susmentionné de la Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). En réponse à mes questions, le tribunal a refusé d’expliquer pourquoi il a décidé de déformer les voix des avocats des accusés dans ces enregistrements.

Prochaines étapes:

La décision maladroite de ce tribunal de première instance fera l’objet d’un appel devant la Cour d’appel de Leeuwarden. Les défendeurs ont encore beaucoup à affronter sur le plan procédural. C’est pourquoi, à la fin de ce communiqué de presse, j’aimerais attirer votre attention sur les développements à venir qui sont d’une grande importance sociale.

En ce qui concerne les procédures, nous rappelons aux médias, et en particulier à la presse (journalistes) que d’autres preuves seront présentées dans les procédures de fond. Ces preuves montrent clairement que les injections d’ARNm du Covid-19 se qualifient comme une arme biologique utilisée pour commettre un génocide.

Cela démontre également que le public est toujours induit en erreur par la perception que les injections d’ARNm Covid-19 sont un vaccin développé et produit avec des garanties de sécurité. Dans la procédure de fond, il a été avancé que l’ancien ministre néerlandais de la Santé Hugo de Jonge, entre autres, a trompé le public en déclarant (ensemble avec d’autres collègues exécutants du projet Covid-19: The Great Reset) que « le vaccin a été rigoureusement testé et qu’aucune précaution n’a été négligée ». Ceci, alors que, comme le démontreront ces nouvelles preuves, il s’agit en fait d’une arme biologique. Un nouveau communiqué de presse suivra à l’occasion de l’introduction de ces éléments dans les procédures principales.

Peter Stassen, avocat principal

Les dons pour la suite de la procédure de ce procès historique peuvent être faits à la Fondation RechtOprecht. N° de compte IBAN NL62 ABNA 0548 3386 98

Voir la vidéo Discussion sur l’affaire judiciaire aux Pays-Bas (et bien plus encore) avec Liz Gunn, journaliste néo-zélandaise, et Jim Ferguson, journaliste britannique:

Sasha Latypova: Dans la première partie de l’interview, nous discutons de l’affaire en cours aux Pays-Bas contre les responsables gouvernementaux Bourla, Gates et Schwab, accusés de démocide et d’utilisation d’armes biochimiques dans le cadre de l’opération militaire mondiale «Covid». Les autres sujets abordés dans l’interview sont les motivations qui poussent les gouvernements à attaquer la population et les méthodes psychologiques utilisées. De nombreux autres thèmes sont également abordés.

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Les Pfizer Papers au Parlement européen: une attaque délibérée sur la fertilité

Source : Essentiel News

Ce 3 septembre, la journaliste américaine Naomi Wolf a présenté les « Pfizer papers » au Parlement européen. Il s’agit d’un ensemble de rapports sur la sûreté et l’efficacité des vaccins Covid, établis à partir des données en possession du fabricant du vaccin, qui étaient initialement classées comme confidentielles. Les médias indépendants Kairos et France-Soir étaient présents. Image et vidéo de Kairos.

L’exposé de Wolf s’est révélé particulièrement choquant, de par les données communiquées et la nature des conclusions qui s’imposent suivant leur analyse. Pour la journaliste, qui rappelle qu’elle est une militante juive et qu’une partie de sa famille a péri dans les camps de concentration, la campagne de vaccination Covid doit être questionnée sous l’angle d’une volonté délibérée d’éliminer certaines catégories de la population.

Les Pfizer Papers sont:

  • des rapports établis à partir de 450 000 pages de documents reprenant toutes les données et études réalisées par le fabricant pour le dossier d’autorisation du vaccin. Ces données devaient rester confidentielles durant 75 ans. Elles ont été rendues publiques grâce à plusieurs procédures judiciaires auxquelles Naomi Wolf a participé et peuvent être consultées en ligne (FOIA)
  • 3250 experts du monde entier qui ont travaillé à l’analyse des données
  • La démonstration d’un assaut sur la fertilité des femmes et des hommes dans certaines catégories de la population. Les injections Covid affectent les organes reproducteurs, en particulier les ovaires, altèrent le placenta et le lait maternel des femmes vaccinées. Les troubles menstruels de tous types étaient déjà connus.
  • Elles impactent aussi la motilité du sperme chez les hommes.
  • Les vaccins Covid induisent des naissances prématurées et même un empoisonnement du lait maternel. Le taux de mortalité lié à la naissance a augmenté de 40% aux États-Unis.
  • Les risques cardiaques chez les jeunes étaient également clairement identifiés dans les données préliminaires.

Le plus grave sans doute: dès les premières semaines de la vaccination, des rapports alarmants ont été transmis par les autorités de santé israéliennes où les premières campagnes de vaccination ont eu lieu. Ces alertes ont pointé une augmentation importante des décès, des risques de myocardites chez les jeunes et des problèmes de fertilité chez les femmes. Malgré cela, en toute connaissance de cause, les autorités sanitaires américaines et la Maison Blanche ont décidé de recommander les vaccins à ces catégories à risque.

S’il est difficile d’incriminer Pfizer aux États-Unis, en raison de la législation d’urgence qui immunise le fabricant de toute responsabilité (le Prep Act), il faut par contre mener des accusations pénales envers les personnes ayant participé à ces décisions, ainsi qu’à la dissimulation de la vérité.

Enfin, la question d’une intention génocidaire est posée à la lumière d’un élément peu connu du public. Les vaccins Pfizer, qui ont été conçus en Allemagne par la firme BioNtech, ont également été formulés et produits par une entreprise chinoise, comme le montre un accord de principe avec la firme Fosun Pharma annoncé dès les premiers jours de la pandémie, le 20 mars 2020.

Révélations explosives sur Pfizer: une interview exclusive France-Soir avec Naomi Wolf

Livre Pfizer Papers, version française, aux éditions Marco Pietteur:  

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Une communication d’Alberto Brusa, président de Réaction19

Réaction19 crée une plateforme dédiée à la collecte de témoignages liés aux effets indésirables des injections ARNm contre le covid 19.

https://reaction19.fr/reaction19/actualites/ad-plaintes/aide-aux-victimes-effets-secondaires/fiche-aide-aux-victimes-effets-secondaires-vaccination-covid-19/?utm_campaign=&utm_medium=&utm_source=

 » Nous ne pourrons pas tout réparer. Mais ensemble, nous pouvons faire justice.

Depuis plusieurs mois, je reçois des témoignages bouleversants.
Des personnes brisées dans leur santé, dans leur vie, dans leur dignité.
Des proches endeuillés ou démunis. Tous confrontés à une même réalité : les effets secondaires graves de la vaccination COVID-19.

Mais tant que ces récits restent isolés, tant qu’ils ne sont ni formalisés, ni analysés, le droit ne peut rien.

🛡️ Donner voix à l’invisible, c’est notre responsabilité.
Sans déclaration, pas de défense.
Ce qui ne s’écrit pas n’existe pas aux yeux de la justice.

C’est pourquoi j’ai décidé d’ouvrir, au sein de REACTION19, une plateforme sécurisée dédiée à la collecte rigoureuse de ces témoignages.

Cette collecte n’est pas encore une procédure judiciaire.
C’est une étape préalable, stratégique et indispensable, pour évaluer l’ampleur des préjudices, identifier les responsabilités, et bâtir une réponse juridique structurée.

📂 Victimes, ou proches de victimes, vous pouvez dès aujourd’hui déposer un dossier.
Ce geste, bien que simple en apparence, est un acte fort.
Il vous inscrit dans une dynamique de vérité, et peut ouvrir la voie, demain, à une action collective, digne, déterminée, légitime.

🧾 Ce dépôt est entièrement gratuit. Il ne nécessite aucune adhésion.
Il n’engage à aucune procédure.
Il constitue la première étape d’un travail d’étude approfondi, destiné à évaluer la nature et l’ampleur des préjudices déclarés.
C’est à partir de cette analyse collective que pourra être envisagée la stratégie judiciaire la plus appropriée, en lien avec les victimes.

Faire exister ces récits, c’est sortir du silence. C’est poser les premières pierres d’une réponse de droit.
Il n’engage à rien, sinon à faire exister, enfin, ce que d’autres s’acharnent à taire.
« 

Reaction19.fr
Carlo Alberto Brusa
Président de l’Association Reaction19

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La santé dans tous ses états – 4 et 5 octobre 2025

Source : Les Nouveaux Mondes

Deux journées d’exploration pour remettre la santé au cœur de notre conscience, dans toutes ses dimensions : physique, émotionnelle, énergétique, mentale et spirituelle.

    • Dates(s)
      4 & 5 octobre 2025
    • Lieu
      Salle Aixagone – Saint-Cannat (13)
    • Tarif(s)
      Pass 2 jours : 154 € – Billets à la journée disponibles

Après le succès du FORUM « Voyage au-delà de la vie » en Novembre dernier, QuartzProd a la joie de vous convier à l’Événement Santé de la Rentrée 2025 :

La Santé dans tous ses états
4 & 5 octobre 2025
Salle Aixagone – Saint-Cannat (13)

Deux journées d’exploration pour remettre la santé au cœur de notre conscience, dans toutes ses dimensions : physique, émotionnelle, énergétique, mentale et spirituelle.

Un événement unique pour celles et ceux qui veulent comprendre, prévenir, ressentir et agir autrement sur leur santé.

Chaque conférence vous ouvrira les portes d’un nouvel espace de connaissance, avec des intervenants de renom, porteurs d’initiatives audacieuses, de sagesses profondes et de solutions concrètes.

Les grandes voix de la santé sont au rendez-vous

Louis Fouché
Médecin anesthésiste-réanimateur – Expert en éthique de la santé
> « Intelligence artificielle & médecine : espoir ou dérive ? »
Entre progrès technologiques et défis éthiques, Louis Fouché nous invite à penser une médecine qui reste profondément… humaine.

Christian Perronne
Infectiologue – Auteur – Visionnaire de la santé intégrative
> « Comprendre la santé autrement »
Un espace de dialogue précieux, en questions-réponses, pour repenser la prévention, l’immunité et l’autonomie du soin.

Christian Flèche
Créateur du décodage biologique – Psycho-Bio-Thérapeute
> « La maladie : un chemin de connaissance »
Une plongée au cœur des messages du corps. Quand nos symptômes parlent, que nous disent-ils vraiment de nous ?

Hélène Banoun
Pharmacienne-biologiste, chercheuse indépendante
> « Prévention, immunité et terrain personnel »
Elle met en lumière les leviers oubliés de la santé : nutrition, mouvement, stress… et conscience.

Pierre Lessard
Auteur – Enseignant spirituel – Expert en santé vibratoire
> « Élevez votre santé à haute fréquence »
Un parcours puissant vers l’autonomie, l’élévation de fréquence et l’éveil de vos facultés de guérison.

Leila del Monte
Pionnière de la communication animale intuitive
> « Et si vos animaux vous soignaient ? »
Une exploration touchante de l’intelligence émotionnelle animale… et de leur rôle insoupçonné dans notre équilibre.

Jean-Marc Vergnolle
Créateur de la méthode JMV® – Acupuncteur
> « Soigner les causes profondes avec la méthode JMV »
Une approche intégrative puissante pour réinformer le corps et libérer les déséquilibres à la source.

Bettina de Pauw – Psychologue et philosophe :
> « La santé au féminin : l’art de relier »
Une médecine sensible, intuitive et profondément humaine.

Jean-Michel Pratesi – Enseignant en Qi Gong :
> « Le mouvement, c’est la vie »
Retrouver l’ancrage et la régénération par le corps.

Aline & Anaïs – Médecins généralistes :
> « L’énergie plasma des GANS »
Une médecine du vivant, à la croisée de la science et de l’énergie

TARIFS & INFOS PRATIQUES
Pass 2 jours : 154 €
Billets à la journée disponibles
Tarif spécial *couple* et *étudiants* sur justificatif
Paiement possible en 2 ou 3 fois

Téléchargez le programme complet ici :

« La Santé dans tous ses états »,
un congrès inédit où se rencontrent savoirs scientifiques, expériences de terrain, approches complémentaires et réflexions humanistes.

« Je suis parce que nous sommes. »
Inspiré par l’esprit d’Ubuntu, ce rendez-vous est pensé comme un espace d’ouverture et de partage constructif.

Ni opposition, ni dogme : mais une envie sincère de construire ensemble une santé plus globale, plus vivante, plus humaine.

Pourquoi venir ?
Le monde change, les besoins évoluent.
La santé nous appelle à participer activement à son évolution.
Et c’est notre vitalité, notre curiosité, notre intelligence collective qu’elle attend.

La santé n’est pas seulement une absence de maladie.
C’est une danse subtile entre science et conscience, une intelligence à cultiver, un souffle à honorer.

Venez vivre cette expérience humaine, vibrante, transformatrice, aux côtés d’intervenants qui font bouger les lignes de la médecine, du soin, de l’éthique et du vivant.

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RFK Jr. affirme que le département de la Santé révélera les causes de l’autisme en septembre

Source : medias-presse.info

par Pierre-Alain Depauw

Le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., s’est exprimé aux côtés de la secrétaire à l’Éducation, Linda McMahon, lors d’une réunion du cabinet du président des États-Unis Donald Trump avec les membres de son administration, à la Maison-Blanche à Washington, le 26 août 2025. Il s’agit de la septième réunion du cabinet de Trump depuis son second mandat.

En avril dernier, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., s’était engagé à annoncer les causes de l’autisme d’ici septembre. Quelques jours avant le passage à ce mois, Kennedy a réitéré cette promesse. Espérons qu’elle soit mieux respectée que la promesse de Donald Trump de faire la lumière sur l’affaire Epstein.

Robert F. Kennedy Jr. a affirmé le 26 août qu’une étude sur l’autisme qu’il avait lancée en avril avait révélé des «interventions» qui «sont presque certainement à l’origine» du trouble. Le président Donald Trump a demandé à Kennedy un rapport d’étape sur l’autisme lors de la réunion du cabinet.

«L’autisme est un véritable spectacle d’horreur – qui se passe dans notre pays et dans d’autres pays, mais surtout dans le nôtre», a déclaré Trump. «Où en êtes-vous ?»

Kennedy a répondu : «Comme promis, nous ferons des annonces en septembre, concernant la découverte d’interventions, qui sont manifestement à l’origine de l’autisme. Et nous pourrons y remédier en septembre».

Un enfant sur 31 est autiste

Un rapport publié le 15 avril par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a montré qu’un enfant sur 31 aux États-Unis est autiste.

Ces chiffres, qui marquent un nouveau bond dans une longue série d’augmentations, proviennent de la dernière enquête du CDC sur l’autisme et les troubles du développement, publiée dans le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du CDC.

Le rapport a incité Kennedy à dire que «l’épidémie d’autisme est en train de se propager».

«C’est une augmentation significative par rapport à il y a deux ans et près de cinq fois plus élevé que lorsque le CDC a commencé à mener des enquêtes sur l’autisme chez les enfants nés en 1992», avait déjà déclaré Kennedy dans un communiqué du 15 avril.

«La prévalence chez les garçons est stupéfiante : 1 sur 20 et en Californie, elle est de 1 sur 12,5».

Une augmentation de 16,1% en deux ans

Le précédent rapport de surveillance de l’autisme et des troubles du développement publié en 2023 a révélé qu’un enfant américain de 8 ans sur 36 était autiste en 2020. L’enquête du 15 avril reflète une augmentation de 16,1% en deux ans. «L’épidémie d’autisme a désormais atteint une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité», a déclaré Kennedy .

«Les risques et les coûts de cette crise sont mille fois plus menaçants pour notre pays que la COVID-19. L’autisme est évitable et il est impardonnable que nous n’en ayons pas encore identifié les causes sous-jacentes. Nous aurions dû avoir ces réponses il y a 20 ans», a ajouté Kennedy.

Les National Institutes of Health (NIH) ont déclaré que bien que l’autisme puisse être diagnostiqué à tout âge, il est décrit «comme un «trouble du développement» car les symptômes apparaissent généralement au cours des deux premières années de la vie».

Kennedy a déclaré que l’autisme était une épidémie et a critiqué ceux qui attribuent l’augmentation des cas en grande partie ou uniquement à de meilleurs critères de dépistage et de diagnostic.

«L’autisme détruit les familles et, plus important encore, il détruit notre plus grande ressource, qui sont nos enfants», a-t-il déclaré.

Faisant référence aux formes graves d’autisme, Kennedy a déclaré :

«Ce sont des enfants qui ne paieront jamais d’impôts. Ils n’auront jamais d’emploi. Ils ne joueront jamais au baseball. Ils n’écriront jamais de poème. Ils n’iront jamais à un rendez-vous galant. Beaucoup d’entre eux n’iront jamais aux toilettes sans aide».

Ces remarques ont suscité des critiques de la part de certains parents, qui ont déclaré que leurs enfants autistes réussissaient et ne reflétaient pas ce que Kennedy avait décrit.

D’autres parents d’enfants autistes ont défendu Kennedy, soulignant qu’il décrivait avec précision la manière dont cette maladie affecte certaines familles.

Lors d’une réunion publique avec le Dr Phil McGraw le 28 avril, Kennedy avait attiré l’attention sur la situation difficile des familles qui ont des enfants atteints d’«autisme profond», qui, selon lui, représente environ 26,4% des personnes atteintes de cette maladie.

Lien entre les vaccins et l’autisme

En décembre dernier, Trump a déclaré qu’il donnerait également à Kennedy la liberté d’enquêter sur le lien potentiel entre les vaccins et l’autisme.

«Quand on regarde certains problèmes, quand on regarde ce qui se passe avec les maladies et les affections dans notre pays, quelque chose ne va pas», avait déclaré Trump en décembre.

«Je pense que quelqu’un doit le découvrir. Si l’on remonte 25 ans en arrière, l’autisme était très rare».

Kennedy affirme depuis des années que l’autisme est probablement lié aux vaccins administrés pendant l’enfance et à des facteurs environnementaux.

RFK Jr. affirme que le département de la Santé révélera les causes de l’autisme en septembre Lire la suite »

Vaccins à ARNm contre le COVID-19 : 3 études revues par les pairs donnent des motifs irréfutables pour un éventuel retrait immédiat ?

Source : France Soir

 Le 28 août 2025, une tempête médiatique et scientifique a éclaté suite à un tweet de Nicolas Hulscher, épidémiologiste américain, relayant trois études révisées par des pairs qui remettent en cause la sécurité et l’efficacité des vaccins à ARNm contre le COVID-19, appelant à leur retrait immédiat du marché. Ces travaux, détaillés dans Focal Points, s’appuient sur des analyses approfondies publiées récemment. Cet article explore en détail les résultats de ces études, leurs implications, les conséquences internationales, et leur lien avec une récente initiative française, tout en tenant compte du contexte de méfiance publique.

Examen approfondi des trois études

1.Injections COVID-19 : préjudices et dommages, une conclusion non exhaustive (Zywiec et al., 2025). Cette étude, menée par un consortium international d’experts incluant Peter McCullough et Nicolas Hulscher, dresse un tableau alarmant des effets secondaires des vaccins à ARNm. Les auteurs ont analysé des données de pharmacovigilance (comme VAERS) et des études génomiques pour identifier des dommages systémiques :

  • Système cardiovasculaire : une corrélation forte avec des myocardites (inflammation du cœur), des infarctus, des AVC et des arythmies, particulièrement chez les jeunes adultes et les adolescents.
  • Système reproductif : des taux élevés de fausses couches, de morts fœtales et de troubles de la fertilité, avec des données suggérant un transfert placentaire des composants vaccinaux.
  • Système immunitaire : une immunosuppression marquée, avec des réactivations virales (herpès, zona), des maladies auto-immunes et une accélération de certains cancers (notamment les lymphomes).

L’étude avance que le virus SARS-CoV-2 et les vaccins contiennent des éléments ingénierés (comme des sites de clivage de furine), potentiellement liés au projet DEFUSE de DARPA (2018), rejeté pour des recherches sur des coronavirus modifiés. Cela pourrait violer la Convention sur les armes biologiques.

2. Évaluation réglementaire et de l’innocuité des vaccins génétiques à ARNm-LNP contre la COVID-19 au Japon (Ueda et al., 2025). Cette analyse japonaise, dirigée par des chercheurs comme Junji Ueda, se concentre sur les failles réglementaires et les risques en santé publique au Japon, où 103 millions de personnes ont été vaccinées. Les résultats incluent :

  • Absence de suivi : aucun suivi national à long terme ni études approfondies sur la biodistribution, la toxicité organique, la cancérogénicité ou la sécurité fœtale n’ont été réalisés.
  • Contamination : des laboratoires indépendants ont détecté de l’ADN plasmidique, y compris des séquences SV40 (connues pour leur potentiel oncogène), dans les vaccins, dépassant les limites réglementaires.
  • Classification erronée : les vaccins ont été qualifiés de « vaccins » plutôt que de thérapies géniques, évitant ainsi des normes plus strictes.
  • Brèche éthique : les auteurs dénoncent la dissimulation des données sur les mortalités et les approbations sans essais cliniques complets, demandant la révocation des autorisations.

3. Revue : Les appels à l’abandon du marché des vaccins contre la COVID-19 s’intensifient alors que les risques l’emportent de loin sur les avantages théoriques (Hulscher et al., 2025). Cette revue synthèse, publiée en janvier 2025, compile des données mondiales et des appels à l’action :

  • Chiffres alarmants : plus de 589 000 décès ajustés selon VAERS aux États-Unis et environ 17 millions à l’échelle mondiale, dépassant les seuils de rappel de la FDA de 375 000 %.
  • Efficacité négative : les rappels augmenteraient le risque d’infection, contredisant les promesses initiales.
  • Mobilisation : 81 000 médecins, scientifiques et citoyens, soutenus par 240 officiels gouvernementaux et 17 organisations professionnelles, exigent un retrait mondial.
  • Contamination : les niveaux d’ADN contaminant seraient 65 000 % au-dessus des limites acceptables.

Ces études, bien que controversées, s’appuient sur des méthodologies rigoureuses et des données accessibles, mais elles nécessitent une validation indépendante pour être pleinement acceptées.

Des risques avérés et des implications éthiques

Les effets secondaires identifiés (myocardites, cancers, troubles immunitaires) sont documentés avec des données statistiques solides, bien que des débats persistent sur leur lien causal direct avec les vaccins. La contamination par des séquences SV40 soulève des inquiétudes oncogènes, tandis que les allégations sur DEFUSE et les armes biologiques alimentent des théories sur une intentionnalité derrière la pandémie.

Si ces hypothèses sont prouvées, elles pourraient entraîner des poursuites judiciaires internationales et une réévaluation des politiques de santé publique.

Conséquences internationales

Les implications de ces études pourraient bouleverser la santé mondiale.

Au Japon, une suspension des vaccins à ARNm pourrait inspirer d’autres nations, notamment en Europe et aux États-Unis, où la confiance vacille déjà. Une crise de confiance envers l’OMS et les agences nationales (FDA, EMA) est probable, avec des répercussions économiques pour Pfizer et Moderna.

Les débats sur l’origine du SARS-CoV-2 pourraient resurgir, exacerbant les tensions géopolitiques, notamment avec la Chine, accusée par certains d’avoir financé des recherches similaires à DEFUSE. Une coordination internationale sera cruciale, mais les divergences politiques pourraient compliquer les décisions.

Lien avec la mission française sur la déinformation en santé

En France, cette polémique coïncide avec l’annonce, le 27 août 2025, par le ministre de la Santé Frédéric Neuder, d’une mission spéciale sur la désinformation en santé, visant à restaurer la confiance publique après des années de controverses. 

Cependant, cette initiative soulève des inquiétudes. Les experts nommés (Mathieu Molimard, Dominique Costagliola et Hervé Maisonneuve) à grand renfort de communication médiatique ne rempliraient pas les critères d’indépendance. En effet, souvent été critiqués pour des erreurs passées dans leurs analyses sur la vaccination et d’autres décisions sanitaires (comme l’usage controversé d’hydroxychloroquine ou la gestion des masques), ces personnes pourraient ignorer ces nouvelles études ainsi que la bibliothèque de 700 études sur les problèmes liés aux vaccins covid

700 études

Si tel était le cas, ils contribueraient à une désinformation institutionnelle, un phénomène déjà dénoncé par France-Soir, qui montre que Neuder et les médias mainstream ont contribué à la désinformation sur les vaccins et les risques vaccinaux. 

Cette omission risquerait d’aggraver la défiance, déjà palpable selon un sondage exclusif de France-Soir/Bonsens.org sur un échantillon représentatif de 1200 Français, où 52 % ont perdu confiance sur certains vaccins à cause des « mensonges » du gouvernement, avec 73% qui déplorent l’inefficacité du vaccin covid et 56% les effets secondaires associés. Une analyse transparente de ces études par la mission serait essentielle pour éviter une nouvelle crise de crédibilité.

Que faire maintenant ?

Face à ces révélations, les auteurs appellent à une suspension immédiate des vaccins à ARNm, à des enquêtes indépendantes et à la publication de toutes les données brutes. Pour le public, cela pose des questions cruciales : faut-il continuer à se vacciner ? Comment discerner la vérité ?

En attendant des clarifications, il est recommandé de consulter des sources scientifiques fiables, de suivre les évolutions réglementaires, et de rester critique face aux narratifs officiels en rappelant que les conventions internationales en santé sur le consentement libre et éclairé devrait primer sur les obligations de tout ordre. Cette affaire, encore en gestation, pourrait redéfinir les standards de la recherche médicale et de la transparence.

Les études de Zywiec, Ueda et Hulscher, bien que controversées par certains, ouvrent un débat majeur sur la sécurité des vaccins à ARNm. Leur validation ou réfutation par la communauté scientifique internationale sera déterminante. En France et ailleurs, la réponse des autorités sera un test crucial de leur capacité à gérer cette crise avec intégrité. L’histoire jugera si cette polémique marque un tournant vers une science plus ouverte ou une nouvelle fracture de confiance.

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Une plainte historique aux Etats-Unis : le procès contre le CDC pour la sante des enfants

Source : France Soir

Au cœur d’un débat de plus en plus polarisé sur la santé publique et les libertés individuelles, une action judiciaire sans précédent a été intentée aux États-Unis contre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Initiée le 15 août 2025 et largement relayée sur la plateforme X par des figures comme Sayer Ji (@sayerjigmi), cette plainte vise à remettre en question la sécurité du calendrier vaccinal infantile de 72 doses, jamais testé dans son ensemble. Cet article explore les raisons de cette action, les cibles, les porteurs de la plainte, et évalue les chances de succès dans ce « David contre Goliath » juridique.

Pourquoi cette action ?

L’argument central de cette plainte repose sur l’absence de preuves scientifiques démontrant la sécurité cumulative du calendrier vaccinal infantile recommandé par le CDC. Ce calendrier, qui a évolué de 24 doses dans les années 1980 à 72 doses actuelles, inclut des vaccins contre des maladies comme la rougeole, la coqueluche, ou encore l’hépatite B. Les plaignants affirment que le CDC n’a jamais effectué d’études exhaustives sur les effets combinés de ces vaccins administrés sur une période de 18 ans, de la naissance à l’adolescence.

Des alertes répétées de l’Institute of Medicine (IOM) en 2002, 2005 et 2013, appelant à étudier ces effets cumulatifs, auraient été ignorées. Parallèlement, les plaignants soulignent une corrélation préoccupante entre l’augmentation du nombre de doses et la montée des troubles de santé infantile, tels que l’autisme (passant de 1 cas sur 150 à 1 sur 31), les maladies chroniques (54 % des enfants affectés), ou encore les allergies et le TDAH. Bien que la causalité ne soit pas établie, le refus du CDC d’explorer ces liens est perçu comme une négligence délibérée.

Cette action vise également à restaurer la liberté médicale, en demandant que les décisions vaccinales deviennent un choix partagé entre parents et médecins, plutôt qu’une obligation imposée via des mandats étatiques basés sur les recommandations du CDC. Les plaignants estiment que sans preuves de sécurité, ces mandats violent les droits constitutionnels des familles.

Qui vise-t-elle ?

La cible principale de cette plainte est le CDC, l’agence fédérale américaine responsable de la santé publique et de l’élaboration des recommandations vaccinales via son Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Le CDC est accusé d’avoir développé un cadre d’évaluation des vaccins basé uniquement sur les risques individuels à court terme, sans tenir compte des interactions potentielles entre les 72 doses. Cette approche, selon les plaignants, a permis aux États d’imposer des exigences vaccinales strictes et de sanctionner les médecins contestant ces recommandations, limitant ainsi les exemptions médicales aux rares contre-indications reconnues (ex. : allergies sévères).

Indirectement, cette action met aussi en lumière les pressions exercées sur les professionnels de santé et les familles, notamment via les conseils médicaux d’État qui disciplinent les médecins sceptiques, comme les plaignants eux-mêmes.

Par qui est-elle portée ?

Cette initiative est portée par une coalition improbable mais déterminée, réunissant des acteurs clés :

  • Stand for Health Freedom, une organisation représentant un million de citoyens américains, qui finance et soutient cette action. Elle se positionne comme la voix des parents exigeant des réponses et une transparence accrue.
  • Paul Thomas, un pédiatre renommé qui a perdu sa licence médicale pour avoir remis en question le calendrier vaccinal et proposé des alternatives. Il incarne le combat des professionnels de santé censurés.
  • Ken Stoller, un autre médecin dont la carrière a été brisée pour avoir défendu des enfants vulnérables face aux politiques vaccinales. Tous deux sont des figures symboliques de la résistance.

Cette équipe, soutenue par des dons communautaires, s’oppose à l’immense budget du CDC, créant un contraste saisissant entre une agence fédérale puissante et un mouvement citoyen modeste mais résolu.

Quelles sont les chances de succès ?

Évaluer les chances de succès de cette plainte est complexe, car elle repose sur des enjeux scientifiques, juridiques et politiques entrelacés. Voici une analyse :

  • Arguments juridiques : la plainte, déposée le 15 août 2025 devant le tribunal fédéral du district de Columbia, réclame une déclaration d’inconstitutionnalité des politiques du CDC et une injonction pour qu’il mène des études sur la sécurité cumulative. Les plaignants auront à prouver que le CDC a agi de manière arbitraire ou en ignorant les recommandations de l’IOM pour obtenir gain de cause. Cependant, les tribunaux américains ont traditionnellement déféré aux agences fédérales en matière de santé publique, sauf en cas de violation flagrante des droits.
  • Preuves scientifiques : l’absence d’études globales sur le calendrier vaccinal est un point fort des plaignants, corroboré par des rapports officiels. Toutefois, le CDC pourrait arguer que les vaccins individuels ont été testés et jugés sûrs, et que les corrélations avec les troubles infantiles ne prouvent pas de lien de causalité – Un débat juridique pourrait s’ensuivre sur le niveau de preuve – Sans données solides reliant les vaccins aux maladies évoquées, les juges pourraient rester sceptiques de part et d’autres.
  • Contexte politique : en 2025, avec une société américaine divisée sur les vaccins (notamment post-COVID-19), cette affaire pourrait bénéficier d’un soutien populaire croissant, surtout si elle gagne en visibilité. La réactivation récente du Task Force on Safer Childhood Vaccines par le Département de la Santé et des Services Humains (annoncée le même jour que la plainte) pourrait être interprétée comme une concession, mais elle ne répond pas directement à la demande d’études cumulatives. Le soutien de MAHA (make america healty again) pourrait être important.
  • Précédents : aucune action similaire n’a atteint ce niveau de portée. Les cas antérieurs contre les vaccins (ex. : vaccins anti-autisme) ont généralement échoué face aux défenses fédérales. Cependant, l’angle de la liberté médicale et de la transparence pourrait ouvrir une brèche inédite surtout avec la politique actuelle du secrétaire d’état à la Santé Robert Kennedy qui a comme objectif déclaré d’obtenir les éléments factuels.

Les chances de succès à court terme pourraient en apparence être limitées par la puissance institutionnelle du CDC et le manque de preuves directes de préjudice. Toutefois, cette plainte devrait avoir un véritable impact à long terme en sensibilisant le public et en poussant à des réformes importantes. Comme le dit un expert : « il faudra bien expliquer la recrudescence de maladie infantile et des effets secondaires associés aux vaccins » .Elle représente un défi symbolique majeur, et son issue dépendra largement de la capacité des plaignants à mobiliser l’opinion et à surmonter les obstacles juridiques.

Conclusion

Cette plainte contre le CDC, surnommée « We the People vs. the CDC », est bien plus qu’une simple bataille juridique : c’est un cri pour la santé des enfants et la liberté des familles. Portée par des médecins ostracisés et un mouvement citoyen, elle défie une institution fédérale puissante sur des questions de science et de droits. Que le verdict soit favorable ou non, cette action, lancée en août 2025, marquera un tournant dans le débat sur les vaccins aux États-Unis, obligeant peut-être le CDC à justifier ses politiques comme jamais auparavant.

Annexe : traduction de la tribune du blog sur substack de Sayer Ji

Nous le peuple vs. le CDC : un procès pour la santé de nos enfants

Une contestation judiciaire historique exige que le CDC prouve pour la première fois l’innocuité du calendrier de vaccination infantile à 72 doses.
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Lisez, partagez et commentez sur le fil X dédié à cette annonce ici :  https://x.com/sayerjigmi/status/1959422831843815735

Annonce de dernière minute : Je suis reconnaissant de partager que Stand for Health Freedom (SHF) – l’organisation à but non lucratif que j’ai cofondée en 2019 avec Leah Wilson, Esq. et le Dr Joel Bohemier – hFas a intenté une action en justice historique contre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis. Nous avons uni nos forces à celles de deux médecins courageux,  le Dr Paul Thomas et le Dr Kenneth Stoller, et de notre avocat principal, Rick Jaffe, Esq., pour contester le programme de vaccination des enfants du CDC au nom de « We the People ».

Pendant des décennies, le CDC a recommandé un calendrier de vaccination en constante expansion pour les enfants (72+ doses à l’âge de 18 ans) – sans effectuer une seule fois des tests de sécurité sur les effets cumulatifs de l’ensemble du calendrier. Ce procès met enfin fin à ce manquement de longue date.

Dans ce qui suit, nous nous penchons sur le contexte de cette affaire historique, les personnes qui se cachent derrière elle et les raisons pour lesquelles elle pourrait avoir un impact profond sur la santé des enfants et la liberté médicale en Amérique.

Contexte : L’élargissement du calendrier de vaccination des CDC et les préoccupations en matière de sécurité

Pendant de nombreuses années, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC a ajouté de plus en plus de vaccins au calendrier de vaccination des enfants. Dans les années 1980, les enfants recevaient environ deux douzaines de doses ; Aujourd’hui, le calendrier officiel prévoit environ 72 doses d’ici l’âge de 18 ans (en comptant chaque dose de vaccins multidoses et les vaccins annuels contre la grippe). Ce calendrier agressif est le plus complet au monde.

Cependant, ni le CDC ni la Food and Drug Administration des États-Unis n’ont jamais mené d’études sur l’innocuité de l’administration de tous ces vaccins en combinaison selon le calendrier. Chaque vaccin est testé de manière isolée dans le cadre d’essais à court terme en vue d’une homologation, mais l’impact cumulatif de l’administration de tous les vaccins recommandés par le CDC à un enfant n’a jamais été étudié.

Cette lacune dans la recherche sur la sécurité a été signalée par les experts depuis des décennies. Le prestigieux Institute of Medicine (aujourd’hui l’Académie nationale de médecine) a exhorté le CDC à enquêter sur les effets cumulatifs du calendrier de vaccination des enfants dans des rapports publiés en 2002, 2005 et 2013. Dans ces rapports, des groupes de scientifiques ont soulevé des inquiétudes quant au fait que des vaccinations simultanées ou consécutives pourraient présenter des risques qui ne seraient pas apparents dans les essais d’un seul vaccin. Pourtant, le CDC a ignoré ces recommandations, n’entreprenant aucune des études de sécurité complètes demandées par ses propres conseillers. Le procès qualifie ce modèle d’«ignorance délibérée », notant que l’agence n’offre aucune explication pour avoir ignoré son conseiller scientifique le plus prestigieux pendant plus de 20 ans.

Pendant ce temps, les enfants américains sont de plus en plus malades. Les problèmes de santé chroniques tels que l’asthme, les allergies, les troubles auto-immuns, les retards de développement et l’autisme ont augmenté au cours des dernières décennies. La plainte souligne qu’au fur et à mesure que le calendrier est passé de 24 à 72+ doses, les diagnostics d’autisme sont passés de 1 enfant sur 150 à 1 sur 31, et plus de la moitié des enfants américains souffrent maintenant d’une forme de maladie chronique. Bien sûr, corrélation n’est pas causalité – mais le problème central est que personne en autorité n’a rigoureusement enquêté pour savoir si cette augmentation massive des interventions pharmaceutiques dans la petite enfance pourrait contribuer à ces mauvais résultats de santé.JI02

Au lieu de cela, toute inquiétude concernant « trop, trop tôt » a été accueillie par le refrain selon lequel les vaccins sont sûrs et que les questions sont injustifiées. Dès 1984, la politique fédérale était explicitement orientée vers l’interdiction de « permettre » que les doutes sur la sécurité des vaccins persistent, de peur que la vaccination ne diminue. En substance, on a dit au public de fournir la preuve du préjudice – même si l’agence en charge a refusé de rechercher activement ce préjudice.

À ceux qui s’y opposeraient en qualifiant carrément ce procès d’« anti-vaccin » : ce n’est pas de cela qu’il s’agit dans cette affaire. Il ne cherche pas à interdire les vaccins ou à retirer des injections individuelles du marché. Au lieu de cela, il exige que le CDC fasse ce que toute autorité de santé publique responsable devrait faire : valider scientifiquement que l’ensemble du calendrier tel qu’il est administré dans le monde réel (plusieurs injections par visite, 30-40+ injections par la maternelle, 72+ doses au total) est sûr. Si le CDC affirme que ce régime agressif est nécessaire et bénéfique pour tous les enfants, alors prouver qu’il fait plus de bien que de mal devrait être une étape simple et indiscutable.

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Pourtant, jusqu’à présent, la position du CDC a été que de telles études sont inutiles, voire « contraires à l’éthique » (puisqu’ils supposent que chaque enfant doit recevoir chaque injection, ils prétendent qu’il est contraire à l’éthique d’avoir un groupe témoin non vacciné à des fins de comparaison). Il en a résulté un écart de 29 ans en matière de responsabilité : la loi fédérale exigeait que le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS, l’agence mère du CDC) rende compte au Congrès des progrès en matière de sécurité des vaccins tous les deux ans après 1986, mais pendant environ 27+ ans, le HHS n’a déposé aucun de ces rapports. Pendant ce silence, le calendrier vaccinal a triplé et les enfants américains sont devenus, à bien des égards, la génération pédiatrique la plus malade de notre histoire.

D’autres pays développés adoptent une approche plus prudente. En fait, 17 pays européens, ainsi que le Royaume-Uni et le Japon, n’ont pas de calendrier de vaccination obligatoire – et pourtant, ils atteignent des taux de vaccination de plus de 90 % grâce à l’éducation et au choix, et non à  la coercition. Ces pays, qui utilisent beaucoup moins de vaccins pédiatriques que les États-Unis, bénéficient également de meilleurs résultats en matière de santé infantile à plusieurs égards. Cela remet directement en question la prémisse du CDC selon laquelle seul un calendrier obligatoire en constante augmentation peut protéger la santé publique. Les taux de vaccination élevés ne nécessitent pas de mandats stricts ; Lorsque les parents reçoivent des informations honnêtes et la liberté de consentir, la plupart choisissent ce qui est le mieux pour leurs enfants. Le CDC, en revanche, a supposé que les Américains ne peuvent pas gérer la liberté médicale – une hypothèse que notre procès a l’intention de prouver fausse.

Le procès : Demander des comptes et des études de sécurité

Le 15 août 2025, le Dr Paul Thomas, le Dr Kenneth P. Stoller et Stand for Health Freedom ont intenté une action en justice fédérale contre le CDC devant le tribunal de district des États-Unis pour le district de Columbia. L’affaire s’intitule Thomas v. Monarez (Monarez étant un fonctionnaire du CDC, comme il est d’usage dans les poursuites contre les agences gouvernementales). Il s’agit d’un défi juridique sans précédent : pour la première fois, l’ensemble du calendrier de vaccination des enfants du CDC – « le programme de vaccination le plus agressif au monde » – devra être justifié devant un tribunal.

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Voir le procès complet : https://standforhealthfreedom.com/wp-content/uploads/2025/08/complaint2.pdf

Les principales allégations et arguments juridiques de la poursuite sont les suivants :

Violation de la loi sur la procédure administrative (APA)

L’action en justice fait valoir que le CDC a effectivement transformé ses recommandations en mandats de facto sans suivre le processus d’élaboration des règles requis par l’APA. Le calendrier des enfants du CDC est officiellement des « recommandations », mais en pratique, les recommandations de catégorie A de l’ACIP sont traitées comme des normes contraignantes par les États et les conseils médicaux. En omettant de mener les études de sécurité requises et en ne tenant pas compte d’« un aspect important du problème » (à savoir, les risques cumulatifs de dizaines de vaccins), les actions du CDC sont « arbitraires et capricieuses » en vertu de l’APA. La poursuite souligne que le programme de vaccination du CDC a ignoré un facteur de sécurité critique – l’ effet combiné – contre lequel même les conseillers scientifiques du CDC ont mis en garde.

Violations constitutionnelles (5e amendement et 1er amendement)

Les plaignants affirment que le cadre unique du CDC piétine les droits fondamentaux. En promulguant une norme non testée que les États utilisent ensuite pour rendre obligatoire la vaccination à l’école ou à la garderie, le CDC prive effectivement les parents de leur droit de diriger les soins médicaux de leurs enfants et enfreint les droits des enfants à l’intégrité physique, à la vie et à la liberté, sans procédure régulière. L’action en justice souligne que l’approche du CDC « nie l’existence d’enfants médicalement vulnérables » – l’agence refuse de reconnaître que certains enfants (pour des raisons génétiques, médicales ou environnementales) peuvent être exposés à  un risque nettement plus élevé de dommages causés par les vaccins. En niant cette réalité, la politique ne prévoit aucun accommodement pour ces enfants, mettant ainsi en danger leur vie et leur santé (une violation de l’égalité de protection et de l’application régulière de la loi).

De plus, la plainte soulève des questions relatives au Premier amendement : elle soutient que le calendrier rigide du CDC, combiné à l’application de la loi par l’État, supprime la liberté d’expression et d’enquête en médecine. Les médecins qui remettent même en question les recommandations du CDC ont été confrontés à la censure et à des représailles professionnelles. De même, les parents se voient souvent refuser des informations véridiques – le procès note que de nombreuses familles ne peuvent même pas trouver un médecin prêt à discuter des exemptions médicales ou à reconnaître une blessure vaccinale antérieure, car le cadre du CDC est si étroit et tout écart est puni. Cela crée un climat où les parents sont privés de leur droit au consentement éclairé, ce qui inclut intrinsèquement le droit de recevoir de l’information et de peser les risques par rapport aux avantages. En bref, la poursuite affirme que les politiques du CDC ont effectivement mis fin au débat et supprimé la pratique éthique normale du jugement médical individualisé.
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Les recommandations de « catégorie A » de l’ACIP en tant que mandat fictif

L’un des points centraux de l’affaire est l’utilisation par le CDC des recommandations de catégorie A de l’ACIP. L’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) classe les vaccins pour enfants dans la catégorie A ou la catégorie B. Les vaccins de catégorie A sont recommandés pour tous les enfants d’un groupe d’âge donné (recommandation universelle), tandis que  les vaccins de catégorie B impliquent une prise de décision clinique individuelle, c’est-à-dire qu’ils sont recommandés en fonction des circonstances individuelles, dans le cadre d’une conversation entre les familles et les fournisseurs.

En théorie, les recommandations de l’ACIP ne sont que des conseils. En réalité, presque tous les États américains intègrent la liste de catégorie A du CDC dans leurs lois ou leurs règlements de santé publique. Les vaccins de catégorie A constituent la base des exigences d’entrée dans les écoles et les garderies à travers le pays, et les conseils médicaux des États traitent souvent le calendrier et la liste des contre-indications du CDC comme la « norme de soins » de facto. Cela signifie qu’un médecin qui va à l’encontre de la catégorie A – par exemple, en espaçant les vaccins, en omettant certaines doses ou en rédigeant une exemption médicale en dehors des critères très limités du CDC – est facilement étiqueté comme pratiquant en dessous de la norme et peut faire l’objet de mesures disciplinaires.

L’action en justice souligne que pratiquement tous les vaccins pédiatriques ont été placés dans la catégorie A (s’appliquant à tous les enfants), même lorsqu’il existe des raisons légitimes de discrétion individuelle. À ce jour, seuls deux vaccins (COVID-19 pour les enfants en bonne santé et méningocoque B pour les adolescents) sont dans la catégorie B à décision partagée – tous les autres (des dizaines de doses pour 16 maladies) sont des « musts » de catégorie A. En  les catégorisant de cette façon sans tenir compte de la sécurité cumulative ou des facteurs de risque individuels, le CDC a essentiellement imposé un mandat unique aux enfants de l’ensemble du pays. Notre action en justice appelle cela un « mandat fantôme » – un mandat non officiel qui a vu le jour sans que le Congrès ou les régulateurs ne l’aient jamais formellement exigé.

Ce que nous recherchons — Admettre que les recommandations uniques de l’ACIP sont imprudentes

Les plaignants demandent au tribunal une injonction et un jugement déclaratoire pour réformer fondamentalement la façon dont le calendrier de vaccination des enfants est géré. Plus précisément, nous demandons au tribunal d’annuler la classification de catégorie A de l’ACIP pour tous les vaccins pédiatriques et d’ordonner au CDC de les reclasser dans la catégorie B (prise de décision clinique partagée) jusqu’à ce que des études appropriées, à long terme et scientifiquement rigoureuses soient menées sur l’innocuité cumulative du calendrier complet.

En pratique, cela suspendrait tout « mandat » de vaccination lié au calendrier du CDC – ce qui rendrait tous les vaccins pour enfants recommandés et décidés par les parents et les médecins, non mandatés par le gouvernement, à moins et jusqu’à ce que le CDC puisse démontrer par des preuves que l’ensemble du calendrier est sans danger pour chaque enfant. Nous cherchons également à obtenir une déclaration selon laquelle le cadre actuel du CDC est inconstitutionnel et illégal, compte tenu des raisons ci-dessus. En bref, l’objectif est de restaurer l’intégrité scientifique et la liberté médicale en santé publique : les recommandations doivent être fondées sur des preuves solides et une discussion ouverte, et les familles (en particulier celles qui ont des enfants vulnérables) doivent avoir la liberté de prendre des décisions éclairées en matière de soins de santé sans coercition.

Il est important de noter que ce procès est financé à 100 % par la communauté – par des Américains ordinaires qui sont préoccupés par la santé des enfants et les droits parentaux. Nous ne sommes soutenus par aucun intérêt de l’industrie. C’est vraiment We the People contre le CDC, dans tous les sens du terme. Si vous vous sentez appelé, veuillez apporter votre soutien à cet effort entièrement populaire en faisant un don ici.

Maintenant, rencontrons les personnes qui ont porté cette affaire devant nous.

Qui sont les plaignants et les partisans ?

  • Stand for Health Freedom (Défendre la liberté en matière de santé) (SHF) : Cette organisation à but non lucratif basée dans l’Indiana est le troisième plaignant nommé dans l’affaire. SHF a été cofondée en 2019 par moi-même (Sayer Ji), Leah Wilson, Esq., et le Dr Joel Bohemier, DC, en tant que mouvement populaire visant à donner aux individus les moyens de protéger leurs droits à la santé. Aujourd’hui, Stand for Health Freedom, avec son personnel dévoué, représente plus de 960 000 défenseurs actifs à l’échelle nationale et dépend entièrement du soutien des citoyens. Notre mission est de défendre le consentement éclairé, les droits parentaux et la liberté médicale. La SHF fournit des outils de plaidoyer qui ont permis à plus de 4 millions d’actions civiques (telles que des courriels aux législateurs) de la part de nos membres, contribuant ainsi aux victoires de la liberté de la santé à travers les États-Unis.

    Leah Wilson est directrice exécutive de la SHF. C’est une avocate et une mère qui a consacré sa carrière à veiller à ce que les politiques respectent les droits et le bien-être des familles.
    Leah Wilson

    Le Dr Joel Bohemier est un chiropraticien et un praticien de la santé naturelle issu d’une famille de 46 chiropraticiens ; il a été une voix passionnée pour les soins de santé holistiques et l’hommage à la sagesse innée du corps. Avec notre équipe, nous avons construit SHF pour être une plate-forme où les gens ordinaires peuvent résister à des dépassements extraordinaires.
    Dr Joel Bohemier
    Dans ce procès, SHF fait entendre la voix de centaines de milliers de parents et de citoyens concernés dans la salle d’audience. Nous avons vu de nos propres yeux le désespoir des familles dont les enfants ont été lésés par des politiques uniques – des familles qui n’ont ensuite trouvé aucun soutien médical parce que les médecins craignaient des représailles pour s’être écartés des directives du CDC. SHF a été « forcée de faire face chaque jour aux conséquences d’un programme de vaccination infantile non testé », comme l’a écrit l’avocat Jaffe. En intentant cette action en justice, nous visons à donner à ces familles une place à la table et à faire passer à la lumière du jour une question longtemps ignorée.
     
  • Dr Paul Thomas, MD : Pédiatre avec plus de 30 ans d’expérience dans les soins aux enfants, le Dr Paul Thomas est une figure centrale dans cette affaire. Il dirigeait un grand cabinet de pédiatrie dans l’Oregon et est l’auteur du livre à succès « The Vaccine-Friendly Plan ». Le Dr Thomas a osé remettre en question le calendrier du CDC dans sa pratique, optant pour un plan de vaccination plus progressif et individualisé. En 2020, il a publié une recherche évaluée par des pairs comparant les résultats de santé dans sa pratique entre les enfants qui ont suivi le calendrier du CDC, ceux qui ont été partiellement vaccinés et ceux qui n’ont pas été vaccinés. Les données ont montré que les enfants qui ont reçu moins de vaccins avaient des taux plus faibles de maladies chroniques comme l’asthme, les allergies et le TDAH, tandis que ceux qui étaient entièrement vaccinés avaient des taux plus élevés – une constatation qui a nécessité une enquête plus approfondie.

    Dr Thomas

    Au lieu que la communauté médicale accueille favorablement cette recherche, elle a été punie : cinq jours seulement après la publication de son étude, l’Oregon Medical Board a suspendu la licence médicale du Dr Thomas lors d’une réunion d’urgence, affirmant que son approche était « une menace pour la santé publique ». Il a finalement dû fermer son cabinet sous le poids des sanctions. Les droits du Dr Thomas et ceux de ses patients ont été effectivement bafoués pour avoir contesté le statu quo. En se joignant à cette poursuite, le Dr Thomas se bat non seulement pour sa propre justification, mais aussi pour toutes les familles qui veulent un plan d’immunisation sûr et fondé sur des données probantes. « Exposer les données sur les dommages causés par les vaccins détruirait la confiance dans le programme », a déclaré le Dr Thomas, soulignant la mentalité qu’il a rencontrée. Maintenant, il exige que le programme prouve qu’il aide réellement nos enfants, et non qu’il leur fait du mal.
     
  • Dr Kenneth P. Stoller, M.D. – Le Dr Ken Stoller est un autre pédiatre courageux et co-plaignant. Il a d’abord exercé en Californie, où il était connu pour traiter des enfants autistes et d’autres problèmes neurodéveloppementaux. Le Dr Stoller s’intéressait particulièrement à la génétique et aux lésions causées par les vaccins – il effectuait des dépistages génétiques pour identifier les enfants qui pourraient être plus à risque de réactions indésirables aux vaccins (par exemple, les enfants présentant certains marqueurs de la fonction mitochondriale ou immunitaire). S’il trouvait des facteurs de risque importants, le Dr Stoller lui conseillait parfois d’adopter un autre horaire ou rédigeait des exemptions médicales pour retarder ou sauter certains vaccins.

    Dr Stoller
    Son approche personnalisée s’est heurtée à l’establishment médical californien après que l’État a adopté des lois strictes éliminant essentiellement toutes les exemptions de vaccins, sauf dans les cas extrêmes reconnus par le CDC. En 2020, le California Medical Board a révoqué la licence du Dr Stoller pour ce qu’il considérait comme « s’écartant de la norme de soins » – en particulier, pour avoir rédigé des exemptions médicales pour les enfants basées sur la susceptibilité génétique et les antécédents médicaux, plutôt que d’adhérer à la liste très étroite des contre-indications du CDC. Le Dr Stoller a depuis déménagé et est agréé dans d’autres États, mais l’injustice de son cas demeure. Il s’est joint à cette action en justice pour défendre  les enfants médicalement fragiles et les médecins qui les servent. Le cadre du CDC prétend que ces enfants n’existent pas – niant que certains enfants sont vulnérables aux vaccins – et le Dr Stoller sait par expérience directe qu’ils existent et méritent d’être protégés. Son message est qu’une bonne médecine est une médecine individualisée : si nous ignorons les différences biologiques, nous nuirons inévitablement à un sous-ensemble d’enfants. Cette action en justice vise à mettre fin à cet aveuglement volontaire.
     
  • Rick Jaffe, Avocat – Rick Jaffe est l’avocat principal de l’affaire – un avocat chevronné en matière de liberté de la santé avec des décennies d’expérience dans la lutte contre les bureaucraties au nom des patients et des praticiens. M. Jaffe a été impliqué dans des affaires très médiatisées allant de la thérapie par cellules souches et de la liberté de traitement du cancer à la défense des médecins ciblés par les conseils médicaux. Au cours des dernières années, il a notamment plaidé l’affaire Cardenas v. Monarez (contestant l’inclusion par le CDC des vaccins COVID-19 dans le calendrier pédiatrique et les exigences qui y sont liées) et Kory v. Bonta (défendant la liberté d’expression des médecins en Californie).

    Rick Jaffe

    Dans  l’affaire Cardenas, déposée au début de 2023, Jaffe a cherché à empêcher le CDC d’ajouter les vaccins COVID au calendrier de routine des enfants et à empêcher le  programme Vaccines for Children d’exiger des pédiatres qu’ils stockent le vaccin COVID. Au cours de ce procès, le HHS a en fait fait fait placé les vaccins COVID-19 dans la catégorie B (prise de décision partagée) pour les enfants en bonne santé et a abandonné l’exigence pédiatrique de Medicaid, atteignant ainsi les principaux objectifs de l’affaire. Une fois que ces changements se sont produits, Jaffe a rejeté Cardenas comme étant discutable et s’est concentré sur le plus grand objectif : l’ensemble du calendrier. Cela a conduit au procès actuel. Comme l’écrit Jaffe dans l’annonce de ce cas sur son blog, « ce qui va suivre était un problème beaucoup plus important » – à savoir, le calendrier de 72 doses qui n’avait jamais été correctement testé en termes de sécurité.

    Rick Jaffe est passionné par cette cause. Il note que même les propres organismes consultatifs du gouvernement sur les vaccins (comme l’Institute of Medicine) ont demandé des études de sécurité appropriées pendant des décennies – mais le CDC n’a pas agi. Jaffe qualifie le refus du CDC d’étudier l’ensemble du calendrier de « dissimulation de 27 ans », faisant référence au non-respect par l’agence du mandat de signaler les mises à jour sur la sécurité des vaccins au Congrès. De son point de vue, le CDC a évité de faire de telles recherches parce qu’elles pourraient révéler des vérités qui dérangent – « une responsabilité politique plutôt qu’une obligation légale », comme il le dit. En intentant cette action en justice, Jaffe vise à forcer le CDC à enfin tenir compte de ces vérités qui dérangent. « Cette affaire met en procès l’ensemble du programme d’enfance du CDC », dit-il. Et surtout, il souligne qu’il s’agit d’un effort financé par la communauté – un témoignage des milliers de parents et de citoyens qui en ont assez qu’on leur dise de « s’asseoir et de faire confiance à l’autorité » lorsqu’il s’agit de la santé de leurs enfants. Jaffe espère que l’affaire ne sera pas seulement portée devant les tribunaux, mais qu’elle sensibilisera également le public au fait que l’horaire n’a jamais été prouvé sûr dans son intégralité. Si le public américain se rend compte de ce fait, croit-il, il y aura un tollé qui forcera un changement de politique.


Procès historique intenté contre le CDC : Live with Sayer Ji & Dr. Joel Bohemier

Autres soutiens clés
  • Leah Wilson, Esq. : Bien qu’elle ne soit pas une plaignante nommée, Leah est la cofondatrice et directrice exécutive de Stand for Health Freedom et une force motrice derrière cette initiative. En tant qu’avocate et mère, elle a été en première ligne des questions de liberté de la santé pendant des années – de l’organisation de campagnes populaires à la participation à des témoignages sur la législation. Leah apporte son sens juridique pour traduire les luttes des familles en actions politiques. Dans le cadre de ce procès, Leah a parlé de la façon dont les parents s’adressent de plus en plus à SHF pour obtenir de l’aide – par exemple, les parents d’enfants blessés par le vaccin qui ne peuvent obtenir d’aucun médecin qu’il reconnaisse la blessure ou rédige une exemption pour un frère ou une sœur, parce que tout le monde a peur de s’écarter des directives du CDC.Elle souligne également une inversion éthique troublante en santé publique : les responsables affirment qu’il est « contraire à l’éthique » d’étudier les populations vaccinées par rapport aux populations non vaccinées (parce qu’ils supposent qu‘aucun enfant ne devrait manquer les vaccins, même pour une étude), mais il est en quelque sorte éthique de poursuivre un programme médical sans examiner rigoureusement sa sécurité dans son ensemble. La position de Leah, et celle de SHF, est que la véritable éthique exige la transparence et la connaissance – vous ne pouvez pas prétendre qu’un produit ou un programme est sans danger pour tous les enfants si vous refusez de chercher des preuves de préjudice. Elle aide à s’assurer que ce procès reste centré sur les droits des enfants et les droits des familles, que le CDC est censé faire respecter et non outrepasser.
  • Sayer Ji : Enfin, un peu sur moi : je suis l’un des cofondateurs de Stand for Health Freedom et j’ai passé plus d’une décennie à plaider en faveur de la santé naturelle et du consentement éclairé. J’ai fondé GreenMedInfo, une vaste base de données sur la santé naturelle, afin d’aider les gens à accéder à des recherches souvent négligées. La raison pour laquelle j’ai contribué à lancer SHF en 2019 est précisément parce que j’ai vu que les mandats de santé (qu’il s’agisse de vaccins, de censure des informations sur la santé ou d’autres interventions) empiétaient sur les libertés fondamentales. Ce procès semble être l’aboutissement de nombreuses années d’efforts par d’innombrables militants, et une expression parfaite de la coalition nationale et internationale croissante que j’aide à rassembler en tant que co-fondateur et président du Forum mondial sur le bien-être, aux côtés de mes chères cofondatrices Marla Maples, Dr. Ed. Group, et de notre directrice générale, Aimee McBride. En savoir plus sur notre initiative et comment vous pouvez nous rejoindre ici.

    Je suis immensément fier du Dr Thomas et du Dr Stoller d’avoir agi en tant que plaignants – il faut du courage pour défier une agence aussi puissante. Je suis également reconnaissant envers Rick Jaffe et notre équipe SHF (Leah, Joel et de nombreux héros méconnus) d’avoir monté un dossier aussi solide. Ensemble, nous « brisons des décennies de silence » sur cette question et défendons la santé et la liberté de nos enfants, comme je l’ai écrit dans mon annonce initiale de la poursuite. Nous savons qu’il y a un long combat à mener, mais nous sommes prêts à aller jusqu’au bout. Pour moi, ce n’est pas seulement professionnel, c’est personnel. Il s’agit de protéger les générations futures et de veiller à ce que les organismes de santé publique se souviennent qu’ils servent le peuple et qu’ils doivent rendre des comptes à la vérité.
L’importance de cette affaire : impact potentiel et importance

Un moment historique de reddition de comptes

Il s’agit vraiment d’une bataille de David contre Goliath – des parents inquiets et des médecins de principe contre une énorme agence fédérale avec un budget annuel de plusieurs milliards. Jamais auparavant le programme de vaccination du CDC n’avait été soumis à ce genre d’examen judiciaire. Dans le passé, les poursuites relatives aux vaccins avaient tendance à se concentrer sur des produits uniques (comme une réclamation spécifique pour préjudice causé par un vaccin devant le « tribunal des vaccins ») ou sur des mandats d’État (contestant la loi d’un État). Ce sont des combats importants, mais ils ont laissé la question centrale – le rôle du CDC dans l’établissement d’une norme nationale non testée – incontestée.

Maintenant, pour la première fois, un tribunal fédéral examinera si le CDC a une justification scientifique pour son calendrier infantile dans son ensemble. L’agence devra expliquer pourquoi elle n’a jamais effectué d’études de sécurité combinées à long terme, bien qu’on lui ait dit à plusieurs reprises de le faire. Ils devront faire face à des preuves (le cas échéant) de dommages ou de faiblesses dans leurs hypothèses. Comme l’a écrit Rick Jaffe, « pendant des décennies, l’agence a exigé des preuves de préjudice tout en refusant de faire les études qui pourraient les fournir ».Cette époque est révolue. Nous demandons maintenant au tribunal d’exiger une preuve de sécurité. Si le CDC veut maintenir que le calendrier est sûr, il doit le prouver – sous serment, avec des preuves. Cette affaire crée donc un précédent qui pourrait se répercuter dans tous les domaines de la santé publique : les organismes gouvernementaux ne devraient pas être au-dessus de la responsabilité, surtout lorsqu’il s’agit de nos enfants.

Réaffirmer le consentement éclairé et la liberté médicale

L’issue de ce procès pourrait considérablement rétablir l’équilibre du pouvoir en faveur des parents et des prestataires de soins de santé dans la prise de décisions médicales pour les enfants. Si nous gagnons et que le tribunal ordonne le passage à la catégorie B (prise de décision partagée), aucune famille ne sera obligée de faire vacciner son enfant pour accéder à l’éducation ou à la vie publique – du moins pas tant que le CDC n’aura pas effectué les études de sécurité appropriées et éventuellement révisé ses recommandations. Les pédiatres ne seraient plus menacés de perdre leur licence uniquement pour avoir adapté les recommandations de vaccination à des patients individuels.

Le consentement éclairé – la doctrine selon laquelle toute intervention médicale doit être volontaire et basée sur la compréhension des risques et des avantages – serait rétabli à la place qui lui revient au centre des soins pédiatriques. C’est triste que nous devions même nous battre pour ce principe, mais ces dernières années ont montré qu’il peut s’éroder rapidement sous la pression institutionnelle. Cette affaire affirme que la liberté médicale est un droit fondamental. Nous croyons que lorsque les parents sont libres de choisir et que les médecins sont libres de les guider ouvertement, la vaccination peut devenir une décision risque-bénéfice véritablement personnalisée, plutôt qu’un mandat. Cela, à son tour, renforcera la confiance. Le climat actuel de peur et de coercition a polarisé la question des vaccins. Une victoire pour nous pourrait établir un nouveau paradigme où le respect du choix individuel et la science honnête vont de pair.

Protéger les personnes « médicalement vulnérables » et améliorer la sécurité

Un concept essentiel dans ce procès est celui de « l’enfant médicalement vulnérable ». À l’heure actuelle, la position officielle du CDC est qu’à part des conditions extrêmement rares (comme une réaction allergique grave à une dose antérieure ou une déficience immunitaire grave), chaque enfant devrait recevoir chaque vaccin à temps, quoi qu’il arrive. Le CDC affirme effectivement qu’aucune circonstance génétique, familiale ou médicale (par exemple, l’auto-immunité dans la famille, les réactions vaccinales antérieures chez un frère ou une sœur, etc.) ne justifie de s’écarter du calendrier. Nos plaignants savent, d’après leur expérience clinique et leurs données, que ce n’est pas vrai. Certains enfants sont beaucoup plus susceptibles de subir des effets indésirables graves – et il existe des marqueurs biologiques et des indices historiques qui permettent d’identifier bon nombre de ces enfants à l’avance.

Si le procès aboutit, un effet pratique serait de forcer le CDC (et les autorités sanitaires de l’État) à élargir leurs critères d’exemptions médicales et de contre-indications. Nous voulons que l’agence reconnaisse l’existence d’enfants « vulnérables aux vaccins »  et qu’elle  les protège, et non qu’elle les écrase. Imaginez un monde où aucun parent d’un enfant qui a failli mourir à cause d’un vaccin ne se voit dire « désolé, votre deuxième enfant doit encore  recevoir toutes les injections ». C’est le monde pour lequel nous nous battons.

De plus, en exigeant des études sur le calendrier cumulatif, cette affaire est intrinsèquement pro-sécurité. Si les études montrent finalement que certaines combinaisons ou certains calendriers de vaccins posent des problèmes, cette information peut être utilisée pour rendre le calendrier plus sûr pour tout le monde. Si, en revanche, les études ne démontrent vraiment aucun dommage à long terme, cela pourrait rassurer le public. Le fait est que l’un ou l’autre résultat vaut mieux qu’une impasse d’ignorance. Les enfants méritent les soins médicaux les plus sûrs possibles, et cela ne peut être réalisé qu’en s’attaquant de front aux problèmes de sécurité potentiels, de manière scientifique et transparente.

Lumière sur un système défaillant

Cette action en justice vise également à exposer les défaillances systémiques qui ont persisté en raison d’un manque de surveillance. Comme nous l’avons mentionné, le HHS ne s’est jamais conformé à la loi qui exigeait des mises à jour régulières sur la sécurité des vaccins au Congrès – essentiellement un échec de la responsabilité au plus haut niveau. Étonnamment, la semaine même où notre action en justice a été déposée, la nouvelle direction du HHS a annoncé la réintégration du groupe de travail sur les vaccins plus sûrs pour les enfants, longtemps en sommeil. (Ce groupe de travail a été mandaté par le National Childhood Vaccine Injury Act de 1986, mais ne s’était pas réuni depuis 1998 !) Le communiqué de presse du HHS a qualifié cela de « mesure audacieuse pour restaurer la confiance du public dans les vaccins » et a reconnu la nécessité d‘une « science impartiale… à l’abri des conflits d’intérêts » dans l’orientation de la politique vaccinale.

Nous considérons qu’il s’agit d’un premier pas positif et encourageant  — peut-être une réponse à la pression qui s’est accumulée de la part du public et des actions en justice. Cependant, la décision du HHS de relancer le groupe de travail ne s’attaque toujours pas directement au problème central soulevé par notre action en justice : le manque de tests de sécurité de l’ensemble du calendrier. C’est comme admettre qu’il y a un problème, mais ne pas encore faire ce qui est nécessaire pour le résoudre. Notre affaire vise à obliger le CDC à faire le travail difficile de recherche complète sur la sécurité et à opérer avec une « transparence radicale » à l’avenir. Ce faisant, nous aidons effectivement le gouvernement à corriger le tir et à remplir son devoir envers le peuple américain. En cas de succès, cela pourrait annoncer une ère dans laquelle les recommandations de vaccination (et en fait toutes les recommandations de santé) sont faites avec beaucoup plus de rigueur, d’humilité et d’implication du public.

Un renversement de tendance en santé publique

Il convient de noter que cette action en justice arrive à un moment où le paysage de la politique de santé publique est en train de changer. Au début de 2025, une nouvelle administration à Washington a commencé à mettre en œuvre des changements importants dans les agences de santé. En juin, par exemple,  le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr., a démis de ses fonctions les 17 membres du comité consultatif sur les vaccins (ACIP) du CDC et a reconstitué le comité avec une nouvelle liste d’experts. Cette mesure audacieuse visait à « restaurer la confiance du public » en éliminant les conflits d’intérêts perçus et en faisant entendre des voix indépendantes. Le comité précédent avait été en grande partie installé par l’administration précédente en 2024, enracinant une idéologie spécifique. En les remplaçant, le HHS a envoyé le message que « le comité ne fonctionnera plus comme une chambre d’enregistrement pour l’industrie » et que « l’intégrité irréprochable » et la « science de référence » doivent guider la politique vaccinale.

Le secrétaire Kennedy a également rapidement pris des mesures sur des questions spécifiques : par exemple, il a fait passer les vaccins COVID-19 pour les enfants à une recommandation de catégorie B, déclarant que les décisions devraient être laissées aux parents et aux médecins, et non dictées universellement. Il a même réduit ou réorienté certains budgets de promotion des vaccins pour se concentrer sur la sécurité et la recherche. Ces développements indiquent que les hauts niveaux du gouvernement reconnaissent de plus en plus que le statu quo n’est pas acceptable en matière de politique vaccinale.

Notre action en justice est en harmonie avec ces changements – elle fait partie du même zeitgeist d’exigence de transparence, d’honnêteté scientifique et de respect des droits individuels. Nous croyons que les tribunaux, en tant qu’autre branche du gouvernement, ont un rôle essentiel à jouer pour contrôler les excès des organismes. Si le pouvoir judiciaire reconnaît nos revendications, cela renforcera ce que le pouvoir exécutif commence à faire : s’assurer que les politiques de santé publique sont fondées sur des preuves, et non sur une habitude ou un programme, et que la confiance du public est gagnée et non forcée.

Les enjeux pour la santé des enfants

En fin de compte, cette affaire concerne nos enfants. Nous voulons tous que les enfants soient à l’abri des maladies — c’est la raison pour laquelle les autorités sanitaires disent que les vaccins existent en premier lieu — mais nous voulons aussi qu’ils soient à l’abri des interventions censées les protéger. Si nous avons appris quelque chose en médecine, c’est qu’il n’y a pas de solution unique. Un médicament qui aide beaucoup peut nuire gravement à certains ; Une politique qui profite à une génération peut se retourner contre la suivante si elle n’est pas constamment réévaluée.

Le calendrier de vaccination des enfants aux États-Unis, tel qu’il est actuellement configuré, a été décrit par certains médecins (y compris un ancien directeur du NIH) comme « l’expérience médicale la plus agressive de l’histoire » – avec des enfants américains comme sujets expérimentaux, bien que sans consentement approprié. Que l’on adopte pleinement tous les vaccins ou que l’on soit plus prudent, tout le monde devrait convenir que l‘auto-évaluation constante est le signe d’un système sain. Si la moitié des enfants de notre pays souffrent de maladies chroniques, nous leur devons d’enquêter sur tous les facteurs contributifs possibles – et cela inclut le calendrier de vaccination.

Nos enfants ne méritent rien de moins. Comme le dit souvent le Dr Paul Thomas, « la mesure ultime devrait être de savoir si nos interventions en matière de santé font plus de bien que de mal ». Il s’agit de s’assurer que cette mesure est enfin appliquée au programme de vaccination de notre pays.

Liens de référence rapide – Ressources essentielles :

Réflexions finales

Au nom de Stand for Health Freedom et de nos co-plaignants, je tiens à exprimer ma sincère gratitude à tous ceux qui nous ont soutenus dans cette entreprise, que ce soit par des dons, des partages d’informations ou des mots d’encouragement. Il a été incroyablement édifiant de voir des milliers de parents, de grands-parents, de professionnels de la santé et de personnes éprises de liberté se rassembler. Nous sommes vraiment une communauté, et ensemble, nous écrivons l’histoire.

Ce procès vise à briser le silence et à exiger des réponses attendues depuis longtemps. Le calendrier de vaccination du CDC a été qualifié d’article de foi – en constante expansion, « sûr et efficace » parce qu’ils l’ont dit – avec des voix dissidentes marginalisées. Mais la science n’est pas servie par le silence ou le rejet ; Elle est renforcée par les questions et la responsabilisation. En poursuivant le CDC en justice, nous affirmons que la santé de nos enfants est au-dessus de la  politique et des doctrines intouchables. Il doit être examiné à l’aide de rien de moins que les normes de preuve les plus élevées.

Si le programme de vaccination des enfants est aussi sûr que les responsables le prétendent, une enquête approfondie ne fera que confirmer ses mérites et restaurer la confiance du public. S’il y a des domaines qui doivent changer, alors la vie et l’avenir des enfants sont en jeu, et des réformes doivent être mises en place. Dans les deux cas, la transparence gagne, les enfants y gagnent.

Nous croyons que Nous, le peuple,  avons non seulement le droit, mais aussi le devoir, d’exiger de nos institutions de santé publique qu’elles respectent leur propre mission : protéger notre santé et notre bien-être. Cette affaire est notre façon de remplir ce devoir. On dit que « la lumière du soleil est le meilleur désinfectant ». Avec cette poursuite, nous visons à faire la lumière dans un coin très sombre du système de santé publique. Que l’on gagne ou que l’on perde, cette lumière exposera la vérité – et la vérité guidera nos prochaines étapes dans la promotion de soins de santé sûrs, rationnels et compatissants pour chaque enfant.

Merci encore une fois à tous ceux qui sont à nos côtés. Nous sommes optimistes et enthousiastes à l’idée d’aller jusqu’au bout avec votre soutien. Restez à l’affût des mises à jour et continuez à défendre la liberté en matière de santé dans vos propres communautés. Ensemble, nous renversons la tendance en faveur du choix éclairé et de la transparence médicale en Amérique.

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