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La liste de plus de 1 000 études scientifiques, références et rapports reliant les vaccins COVID à des centaines d’effets indésirables et de décès

Source : https://elcolectivodeuno.wordpress.com/2021/12/29/how-much-more-evidence-do-you-need-here-is-a-list-of-860-scientific-studies-and-reports-linking-covid-vaccines-to-hundreds-of-adverse-effects-and-deaths/

Allergie médiée par les IgE au polyéthylène glycol (PEG) comme cause d’anaphylaxie aux vaccins à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34318537/

Femme de 59 ans présentant une thrombose veineuse profonde étendue et une thromboembolie pulmonaire 7 jours après une première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34117206/

Images TEP numériques 68 Ga-DOTATOC d’infiltrats de cellules inflammatoires dans la myocardite après vaccination avec le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34746968/

Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/

Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/

Un cas d’encéphalopathie aiguë et d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST après vaccination avec l’ARNm-1273 : effet indésirable possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703815/

Un cas d’embolie pulmonaire aiguë après immunisation avec l’ARNm du SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34452028/

Un cas de vascularite associée aux ANCA après vaccination AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) contre le SRAS-CoV-2 : victime ou causalité ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416184/

Un cas de lymphadénopathie cervicale suite à une vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34141500/

Un cas de syndrome de Sweet généralisé avec vascularite déclenché par une vaccination récente contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34849386/

Un cas de syndrome de Guillain-Barré après le vaccin Pfizer COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34567447/

Un cas de purpura thrombocytopénique idiopathique après une dose de rappel du vaccin COVID-19 BNT162b2 (Pfizer-Biontech) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820240/

Un cas de vascularite leucocytoclasique après vaccination avec un vaccin contre le SRAS-CoV2 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34196469/

Un cas de myélite transversale longitudinalement étendue suite à une vaccination contre le Covid-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34182207/

Un cas de thrombocytopénie multiple et de thrombose suite à une vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34137813/

Un cas d’épidémie d’hématurie macroscopique et de néphropathie à IgA après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33932458/

Un cas de syndrome de Guillain-Barré ataxique sensoriel avec des anticorps anti-GM1 d’immunoglobuline G après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34871447/

Un cas de nécrolyse épidermique toxique après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34751429/

Un cas de présentation clinique légère inhabituelle de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombose de la veine splanchnique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34843991/

Un cas de thrombocytopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin avec thrombose artérioveineuse massive : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34059191/

Une série de cas de péricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 dans le contexte de rapports récents en Europe et aux États-Unis : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34635376/

Une série de cas de réactions cutanées au vaccin COVID-19 dans le département de dermatologie de l’Université de Loma Linda : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34423106/

Un regard sur le rôle de l’immunohistochimie post-mortem dans la compréhension de la physiopathologie inflammatoire de la maladie COVID-19 et des événements indésirables thrombotiques liés au vaccin : une revue narrative : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34769454/

Un nouveau cas de variante de diplégie bifaciale du syndrome de Guillain-Barré après vaccination avec Janssen COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34449715/

Un trouble thrombocytopénique prothrombotique ressemblant à une thrombocytopénie induite par l’héparine après vaccination contre le coronavirus-19 : https://europepmc.org/article/PPR/PPR304469

Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le COVID-19 AstraZeneca : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34274191/

Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination d’AstraZeneca contre le COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0735675721005714

Un cas rare de thrombose veineuse cérébrale et de coagulation intravasculaire disséminée temporellement associée à l’administration du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33917902/

Un cas rare de thrombopénie thrombotique induite par le vaccin COVID-19 (VITT) affectant la circulation artérielle veinosplanchnique et pulmonaire dans un hôpital général de district du Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535492/

A rare case of Guillain-Barré syndrome after COVID-19 vaccination: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34671572/

Un cas rare de purpura de Henoch-Schönlein après un rapport de cas du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34518812/

Un cas rare de thrombose et de thrombocytopénie de la veine ophtalmique supérieure après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34276917/

Une variante rare du syndrome de Guillain-Barré après vaccination avec Ad26.COV2.S : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703690/

Un rapport sur les événements indésirables liés à la myocardite dans le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins. (VAERS) en association avec les produits biologiques injectables COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601006/

Un taux de réinfection par le SRAS-CoV-2 de 1 à 1 000 chez les membres d’un grand prestataire de soins de santé en Israël : un rapport préliminaire https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.06.21253051v1

Une série de patients atteints de myocardite après vaccination contre le SRAS-CoV-2 avec l’ARNm-1279 et le BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34246585/

Une série de patients atteints de myocardite après vaccination contre le SRAS-CoV-2 avec l’ARNm-1279 et le BNT162b2 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X21004861

Une revue systématique des cas de démyélinisation du SNC après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34839149/

A variant of Guillain-Barré syndrome after SARS-CoV-2 vaccination: AMSAN: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34370408/

un. COVID-19 : BLANC, EAU, TTS et plus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34695859/

un. https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab741/6359059

un. Oxford-AstraZeneca COVID-19 : une occasion manquée d’un retour d’expérience rapide : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34033927/

Abbate, A., Gavin, J., Madanchi, N., Kim, C., Shah, PR, Klein, K., . . . Danielides, S. (2021). Myocardite fulminante et hyperinflammation systémique associées temporellement à la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez deux patients. Int J Cardiol, 340, 119-121. est ce que je:10.1016/j.ijcard.2021.08.018. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34416319

Douleurs abdominales et hémorragie surrénalienne bilatérale dues à une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34546343/

Abu Mouch, S., Roguin, A., Hellou, E., Ishai, A., Shoshan, U., Mahamid, L., . . . Berar Yanay, N. (2021). Myocardite après vaccination à ARNm contre le COVID-19. Vaccin, 39(29), 3790-3793. est ce que je:10.1016/j.vaccine.2021.05.087. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34092429

Purpura thrombocytopénique thrombocytopénique acquis : une maladie rare associée au vaccin BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34105247/

Hémorragie acrale après administration de la deuxième dose du vaccin SARS-CoV-2. Une réaction post-vaccination : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092400/

Hémorragie acrale après administration de la deuxième dose du vaccin SARS-CoV-2. Une réaction post-vaccination : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092400/742 .

Paralysie aiguë du nerf abducens après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34044114/

Réactions allergiques aiguës aux vaccins à ARNm contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33683290/

Hépatite aiguë de type auto-immune avec anticorps antimitochondriaux atypiques après vaccination avec l’ARNm du COVID-19 : une nouvelle entité clinique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34293683/

Névrite optique/chiasme bilatéral aigu bilatéral avec myélite transversale extensive longitudinale dans la sclérose en plaques stable de longue date après vaccination à base de vecteur contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34131771/

Thrombose veineuse cérébrale aiguë et embolie artérielle pulmonaire associées au vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34247246/

Encéphalomyélite aiguë disséminée après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325334/

Pneumonie aiguë à éosinophiles associée au vaccin anti-COVID-19 AZD1222 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34812326/

Paralysie faciale aiguë comme complication possible de la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33975372/

Hémichorée-hémibalisme aigu après vaccination contre le COVID-19 (AZD1222) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34581453/

Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : un rapport de cas : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2049080121007536

Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512961/

AVC ischémique aigu révélant une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCov-19 : impact sur la stratégie de recanalisation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34175640/

Lésion rénale aiguë avec hématurie macroscopique et néphropathie à IgA après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34352309/

Myélite aiguë et vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : association fortuite ou causale : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165572821002137

Infarctus aigu du myocarde et myocardite après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34586408/

Infarctus aigu du myocarde et myocardite après vaccination contre le COVID-19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8522388/

Infarctus aigu du myocarde et myocardite après vaccination contre le COVID-19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8522388/# ffn_sectitle.

Infarctus aigu du myocarde dans les 24 heures suivant la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34364657/

Infarctus aigu du myocarde dans les 24 heures suivant la vaccination contre le COVID-19 : le syndrome de Kounis est-il le coupable : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702550/

Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/

Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles provenant de la base de données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/

Myocardite aiguë après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34734821/

Myocardite aiguë après une deuxième dose de vaccin à ARNm COVID-19 : rapport de deux cas : https://www.clinicalimaging.org/article/S0899-7071(21)00265-5/fulltext .

Myocardite aiguë après administration du vaccin BNT162b2 contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33994339/

Myocardite aiguë après administration du vaccin BNT162b2 contre le COVID-19 : https://www.revespcardiol.org/en-linkresolver-acute-myocarditis-after-administratio n-bnt162b2-S188558572100133X.

Myocardite aiguë après administration du vaccin BNT162b2 contre le COVID-19 : https://www.revespcardiol.org/en-linkresolver-acute-myocarditis-after-administration-bnt162b2-S188558572100133X .

Myocardite aiguë après administration du vaccin BNT162b2 contre le COVID-19 :. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S188558572100133X

Myocardite aiguë après administration du vaccin BNT162b2 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214250921001530

Myocardite aiguë après administration de la deuxième dose du vaccin BNT162b2 COVID-19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8599115/

Myocardite aiguë après administration de la deuxième dose du vaccin BNT162b2 COVID-19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8599115/#ffn_sectitle .

Myocardite aiguë après vaccination par Comirnaty (Pfizer) chez un homme en bonne santé ayant déjà été infecté par le SRAS-CoV-2 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1930043321005549

Myocardite aiguë après vaccination par Comirnaty chez un homme en bonne santé ayant déjà été infecté par le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34367386/

Myocardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 : à propos d’un cas : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0248866321007098

Myocardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 : à propos d’un cas : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0248866321007098?via%3Dihu b.

Myocardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas : https://docs.google.com/document/d/1Hc4bh_qNbZ7UVm5BLxkRdMPnnI9zcCsl/

Acute myocarditis after COVID-19 vaccination: case report: https://docs.google.com/document/d/1Hc4bh_qNbZ7UVm5BLxkRdMPnnI9zcCsl/e dit#.

Myocardite aiguë après vaccination par l’ARNm du SRAS-CoV-2-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34308326/

Myocardite aiguë après vaccination contre le SRAS-CoV-2 chez un homme de 24 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34334935/

Myocardite aiguë après vaccination contre le SRAS-CoV-2 chez un homme de 24 ans : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0870255121003243

Myocardite aiguë après la deuxième dose du vaccin contre le SRAS-CoV-2 : hasard ou relation causale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34236331/

Myocardite aiguë après vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez les adultes âgés de 18 ans ou plus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34605853/

Myocardite aiguë après vaccination avec l’ARNm du SRAS-CoV-2-1273 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589790X21001931

Myocardite aiguë associée à la vaccination anti-COVID-19 : https://ecevr.org/DOIx.php?id=10.7774/cevr.2021.10.2.196 .

Myocardite aiguë associée à la vaccination contre la COVID-19 : à propos d’un cas : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8639400/

Myocardite aiguë associée à la vaccination contre la COVID-19 : à propos d’un cas : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8639400/# ffn_sectitle

Myocardite aiguë définie après vaccination avec l’ARNm 2019 de la maladie à coronavirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34866122/

Myocardite aiguë chez un jeune adulte deux jours après la vaccination avec Pfizer : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34709227/

Myopéricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34589238/

Myopéricardite aiguë après le vaccin contre la COVID-19 chez les adolescents : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34589238/

Péricardite aiguë et tamponnade cardiaque après vaccination contre le Covid-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34749492/

Périmyocardite aiguë après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34515024/

Rechute aiguë et altération de la vaccination après la vaccination contre le COVID-19 chez un patient atteint de sclérose en plaques traité par rituximab : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34015240/

Nécrose rétinienne aiguë due à la réactivation du virus varicelle-zona après vaccination avec l’ARNm BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34851795/

Infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST secondaire à une thrombose immunitaire induite par le vaccin avec thrombocytopénie (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34580132/

Myocardite symptomatique aiguë chez 7 adolescents après vaccination Pfizer-BioNTech COVID-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34088762/

Myocardite symptomatique aiguë chez sept adolescents après la vaccination Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pediatrics.aappublications.org/content/early/2021/06/04/peds.2021-052478

Thrombose aiguë de l’arbre coronaire après vaccination contre le COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1936879821003988

Myélite transverse aiguë (ATM) : examen clinique de 43 patients atteints d’ATM associée au COVID-19 et de 3 événements indésirables graves d’ATM post-vaccination avec le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih .gov/33981305/

Myélite transverse aiguë (ATM) : examen clinique de 43 patients atteints d’ATM associée au COVID-19 et de 3 événements indésirables graves d’ATM post-vaccination avec le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih .gov/33981305/

Myélite transverse aiguë après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579245/

Myélite transverse aiguë après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34684047/

Myélite transverse aiguë après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : à propos de cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34482455/

Myélite transverse aiguë suite au vaccin inactivé contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34370410/

Rétinopathie séreuse centrale d’apparition aiguë après immunisation avec le vaccin à ARNm COVID-19 :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2451993621001456 .

Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec une vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/

Adénopathie après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33625299/

Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie auto-immune associé au vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/

Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induit par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/

Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, centrés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/

Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, axés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/

Déclaration des événements indésirables et risque de paralysie de Bell après la vaccination contre le COVID-19 : https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00646-0/fullte xt.

Déclaration des événements indésirables et risque de paralysie de Bell après la vaccination contre le COVID-19 : https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00646-0/fulltext .

Événements indésirables liés à l’injection du COVID pouvant survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi .nlm.nih.gov/33706861/

Incidence spécifique à l’âge et au sexe de la thrombose du sinus veineux cérébral associée à la vaccination Ad26.COV2.S COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34724036/

Albert, E., Aurigemma, G., Saucedo, J. et Gerson, DS (2021). Myocardite suite à la vaccination contre le COVID-19. Représentant de l’affaire Radiol, 16(8), 2142-2145. est ce que je:10.1016/j.radcr.2021.05.033. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34025885

Composants allergènes du vaccin à ARNm-1273 contre le COVID-19 : implication possible du polyéthylène glycol et de l’activation du complément médiée par les IgG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33657648/

Réactions allergiques après vaccination contre le COVID-19 : mettre le risque en perspective : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34463751/

Réactions allergiques et événements indésirables associés à l’administration de vaccins à base d’ARNm. Une expérience du système de santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34474708/

Réactions allergiques et anaphylaxie aux vaccins COVID-19 à base de LNP : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33571463/

Réactions allergiques aux vaccins COVID-19 : déclaration de la Société Belge d’Allergie et d’Immunologie Clinique (BelSACI) : https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/17843286.2021.1909447

Réactions allergiques aux vaccins COVID-19 : déclaration de la Société belge d’allergie et d’immunologie clinique (BelSACI) : https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/17843286.2021.1909447?journalCode=yacb20 .

Réactions allergiques au premier vaccin COVID-19 : un rôle potentiel du polyéthylène glycol : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33320974/

Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, 21 décembre 2020-10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33507892/

Réactions allergiques, y compris l’anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, du 21 décembre 2020 au 10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641268/

Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14 au 23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641264/

Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33444297/

Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33475702/

Névralgie amyotrophique secondaire au vaccin Vaxzevri (AstraZeneca) COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34330677/

Une expérience hospitalière universitaire évaluant le risque du vaccin à ARNm contre la COVID-19 à l’aide des antécédents d’allergie du patient : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2213219821007972

Une étude observationnelle pour identifier la prévalence de la thrombocytopénie et des anticorps anti-PF4/polyanion chez les agents de santé norvégiens après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33909350/

Une épidémie de maladie de Still après une vaccination contre le COVID-19 chez un patient de 34 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34797392/

Une présentation inhabituelle de thrombose veineuse profonde aiguë après le vaccin moderne contre le COVID-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34790811/

Réactions anaphylactiques aux vaccins à ARNm contre la COVID-19 : un appel à des études plus approfondies : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33846043/

Réaction anaphylactoïde et thrombose coronarienne liées au vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34863404/

Anaphylaxie après le vaccin moderne contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34734159/

Anaphylaxie associée aux vaccins à ARNm contre la COVID-19 : approche de la recherche sur les allergies : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33932618/

Anaphylaxie suite au vaccin Covid-19 chez un patient atteint d’urticaire cholinergique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851711/

Anaphylaxie induite par le vaccin CoronaVac COVID-19 : caractéristiques cliniques et résultats de la revaccination : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34675550/

Réactions anaphylactiques au vaccin Pfizer BNT162b2 : rapport de 3 cas d’anaphylaxie suite à une vaccination avec Pfizer BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579211/

Glomérulonéphrite ANCA suite à la vaccination moderne contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34081948/

Vascularite associée aux ANCA après le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34280507/

Vascularite associée aux ANCA après le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272638621007423

Réponse d’anticorps anti-pic à l’infection naturelle par le SRAS-CoV-2 dans la population générale https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.02.21259897v1

Les anticorps contre le SRAS-CoV-2 sont associés à une protection contre la réinfection https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.11.18.20234369v1

Epitopes d’anticorps dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin : https://www.nature.com/articles/s41586-021-03744-4

Evolution des anticorps après vaccination avec l’ARNm du SRAS-CoV-2 https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.07.29.454333v1

Statut d’anticorps et incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034545?s=09

Immunité adaptative spécifique à l’antigène contre le SRAS-CoV-2 dans les cas de COVID-19 aigu et associations avec l’âge et la gravité de la maladie https://www.cell.com/cell/fulltext/S0092-8674(20)31235-6?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS0092867420312356%3Fshowall%3Dtrue

Anticorps antiphospholipides et risque de thrombophilie après vaccination contre le COVID-19 : la goutte d’eau qui fait déborder le vase ? : https://docs.google.com/document/d/1XzajasO8VMMnC3CdxSBKks1o7kiOLXFQ

Aphasie sept jours après la deuxième dose d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARNm. L’IRM cérébrale a révélé une hémorragie intracérébrale (ICBH) dans le lobe temporal gauche chez un homme de 52 ans. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589238X21000292#f0005

Événements artériels, thromboembolie veineuse, thrombocytopénie et saignements après vaccination avec Oxford-AstraZeneca ChAdOx1-S au Danemark et en Norvège : étude de cohorte basée sur la population : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33952445/

Évaluation de la protection contre la réinfection par le SRAS-CoV-2 parmi 4 millions de personnes testées par PCR au Danemark en 2020 : une étude observationnelle au niveau de la population https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21 )00575-4/texte intégral

Évaluation de la réinfection par le SRAS-CoV-2 1 an après la primo-infection dans une population de Lombardie, Italie https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2780557

Association entre la vaccination ChAdOx1 nCoV-19 et les épisodes hémorragiques : étude de cohorte à grande échelle basée sur la population : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34479760/

Association de la myocardite avec le vaccin COVID-19 à ARN messager BNT162b2 dans une série de cas d’enfants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34374740/

Association de myocardite avec le vaccin à ARN messager COVID-19 BNT162b2 dans une série de cas d’enfants : https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2783052

Association de myocardite avec le vaccin à ARN messager COVID-19 BNT162b2 dans une série de cas d’enfants : https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2783052

Association de la myocardite avec le vaccin à ARNm COVID-19 chez les enfants : https://media.jamanetwork.com/news-item/association-of-myocarditis-with-mrna-co vid-19-vaccine-in-children/

Association de myocardite avec le vaccin COVID-19 à ARN messager BNT162b2 dans une série de cas d’enfants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34374740/

Association de réception du vaccin Ad26.COV2.S COVID-19 avec syndrome présumé de Guillain-Barré, février-juillet 2021 : https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2785009

Association des tests d’anticorps séropositifs au SRAS-CoV-2 avec un risque d’infection future https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2776810

Association d’antécédents autodéclarés d’allergie à haut risque avec des symptômes d’allergie après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34698847/

Associations de vaccination et d’infection antérieure avec des résultats de test PCR positifs pour le SRAS-CoV-2 chez les passagers aériens arrivant au Qatar https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/2781112

Vaccin AstraZeneca COVID-19 et syndrome de Guillain-Barré en Tasmanie : un lien de causalité : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34560365/

Vascularite cutanée asymétrique après vaccination contre le COVID-19 avec prépondérance inhabituelle d’éosinophiles : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34115904/

Thrombose atypique associée au vaccin VaxZevria® (AstraZeneca) : données du réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34083026/

Approche australienne et néo-zélandaise du diagnostic et du traitement de la thrombose immunitaire et de la thrombopénie immunitaire induites par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34490632/

Encéphalite auto-immune après vaccination ChAdOx1-S SARS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34846583/

Hépatite auto-immune après vaccin COVID : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34225251/

Hépatite auto-immune se développant après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 (Oxford-AstraZeneca) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34171435/

Hépatite auto-immune se développant après le vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) : causalité ou victime ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33862041/

Hépatite auto-immune déclenchée par la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34332438/

Hépatite auto-immune déclenchée par la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34332438/

Racines auto-immunes des événements thrombotiques après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34508917/

Racines d’auto-immunité des événements thrombotiques après la vaccination avec COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34508917/

Adénopathie axillaire associée à la vaccination contre le COVID-19 : résultats d’imagerie et recommandations de suivi chez 23 femmes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33624520/

Lymphadénopathie axillaire chez les patients récemment vaccinés contre le Covid-19 : un nouveau dilemme diagnostique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34825530/

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Soyez attentif au risque d’événements cardiovasculaires indésirables après la vaccination contre le COVID-19 : https://www.xiahepublishing.com/m/2472-0712/ERHM-2021-00033

Paralysie de Bell après 24 heures de vaccin ARNm-1273 SARS-CoV-2 ARNm-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34336436/

Paralysie de Bell après une dose unique d’ARNm du vaccin. SRAS-CoV-2 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34032902/

Paralysie de Bell après la vaccination Ad26.COV2.S COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34014316/

Paralysie de Bell après vaccination contre le COVID-19 avec réponse élevée en anticorps dans le LCR : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34322761/

Paralysie de Bell après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34330676/

Paralysie de Bell après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S217358082100122X .

Paralysie de Bell après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33611630/

Paralysie de Bell après vaccination inactivée contre le COVID-19 chez un patient ayant des antécédents de paralysie de Bell récurrente : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34621891/

Paralysie de Bell après la deuxième dose du vaccin Pfizer COVID-19 chez un patient ayant des antécédents de paralysie de Bell récurrente : bhttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S266635462100020X

Paralysie de Bell après la deuxième dose du vaccin Pfizer COVID-19 chez un patient ayant des antécédents de paralysie de Bell récurrente : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S266635462100020X

Paralysie de Bell après vaccination avec les vaccins à ARNm (BNT162b2) et inactivés (CoronaVac) contre le SRAS-CoV-2 : une série de cas et une étude cas-témoins imbriquée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34411532/

Paralysie de Bell et vaccins contre le SRAS-CoV-2 : une histoire qui se déroule : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1473309921002735

Méfiez-vous des troubles du spectre de la neuromyélite optique après une vaccination avec un virus inactivé contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34189662/

Bhandari, M., Pradhan, A., Vishwakarma, P. et Sethi, R. (2021). Coronavirus et manifestations cardiovasculaires : entrer dans le vif du sujet. Monde J Cardiol, 13(10), 556-565. est ce que je:10.4330/wjc.v13.i10.556. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34754400

Neurorétinopathie maculaire aiguë bilatérale après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34287612/

Paralysie bilatérale du nerf facial et vaccination contre le COVID-19 : causalité ou coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34522557/

Paralysie bilatérale du nerf facial et vaccination contre le COVID-19 : causalité ou coïncidence ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34522557/

Faiblesse faciale bilatérale avec une variante de paresthésie du syndrome de Guillain-Barré après le vaccin Vaxzevria COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261746/

Kératolyse bilatérale à médiation immunitaire après immunisation avec le vaccin à vecteur viral recombinant SARS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34483273/

Thrombose veineuse ophtalmique supérieure bilatérale, accident vasculaire cérébral ischémique et thrombocytopénie immunitaire après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33864750/

AVC thalamique bilatéral : un cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 (VITT) ou une coïncidence due à des facteurs de risque sous-jacents : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820232/

Uvéite bilatérale après inoculation du vaccin COVID-19 : à propos d’un cas : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1201971221007797

Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après la première vaccination par ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/

Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après première vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/

Anaphylaxie biphasique après exposition à la première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech COVID-19 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34050949/

Anaphylaxie biphasique après exposition à la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer-BioNTech : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34050949/

Anaphylaxie biphasique après la première dose du vaccin contre le coronavirus à ARN messager 2019 avec résultat positif au test cutané au polysorbate 80 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34343674/

Dysfonctionnement systolique biventriculaire dans la myocardite aiguë après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 ARNm-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601566/

Caillots sanguins et saignements après vaccination BNT162b2 et ChAdOx1 nCoV-19 : une analyse des données européennes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34174723/

Caillots sanguins et saignements après les vaccins BNT162b2 et ChAdOx1 nCoV-19 : une analyse des données européennes :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0896841121000937 .

Caillots sanguins et épisodes hémorragiques après vaccination BNT162b2 et ChAdOx1 nCoV-19 : analyse des données européennes : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0896841121000937

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La vaccination CAd26.COV2-S peut révéler une thrombophilie héréditaire : thrombose massive du sinus veineux cérébral chez un jeune homme ayant une numération plaquettaire normale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34632750/

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Résultats de résonance magnétique cardiovasculaire chez de jeunes patients adultes atteints de myocardite aiguë après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34496880/

Résultats d’imagerie par résonance magnétique cardiovasculaire chez de jeunes patients adultes atteints de myocardite aiguë après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : une série de cas : https://jcmr-online.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12968-021-00795-4

Événements cardiovasculaires, neurologiques et pulmonaires après vaccination avec les vaccins BNT162b2, ChAdOx1 nCoV-19 et Ad26.COV2.S : une analyse des données européennes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34710832/

Thrombose immunitaire de l’artère carotide induite par le vaccin COVID-19 à vecteur adénovirus : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34312301/

Cas de vascularite à immunoglobuline A après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535924/

Rapport de cas de thrombocytopénie immunitaire après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34751013/

Rapport de cas : myocardite fulminante aiguë et choc cardiogénique après vaccination contre le coronavirus à ARN messager en 2019 nécessitant une réanimation cardio-pulmonaire extracorporelle : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34778411/

Rapport de cas : myocardite aiguë après la deuxième dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 à ARNm-1273 : https://academic.oup.com/ehjcr/article/5/8/ytab319/6339567

Rapport de cas : myocardite aiguë après la deuxième dose du vaccin ARNm-1273 du SRAS-CoV-2 ARNm-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34514306/

Rapport de cas : Vasculite associée aux ANCA présentant une rhabdomyolyse et une glomérulonéphrite Pauci-immunitaire en croissant après vaccination avec l’ARNm Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34659268/

Rapport de cas : une vascularite associée aux anticorps cytoplasmiques anti-neutrophiles avec insuffisance rénale aiguë et hémorragie pulmonaire peut survenir après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34859017/

Rapport de cas : thrombose de la veine sinusale cérébrale chez deux patients recevant le vaccin AstraZeneca SARS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34609603/

Rapport de cas : éruption cutanée de type pityriasis rosé après une vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34557507/

Rapport de cas : myocardite probable après vaccin à ARNm Covid-19 chez un patient atteint de cardiomyopathie ventriculaire gauche arythmogène : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34712717/

Rapport de cas : péricardite symptomatique après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34693198/

Rapport de cas : Jetez un deuxième regard : Thrombose veineuse cérébrale liée à la vaccination contre le Covid-19 et syndrome de thrombocytopénie thrombotique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34880826/

Rapport de cas : thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin chez un patient atteint d’un cancer du pancréas après vaccination avec l’ARN messager-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34790684/

Série de cas de thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin dans un hôpital universitaire de Londres : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34694650/

Étude de cas du syndrome de thrombose et de thrombocytopénie après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34781321/

Thrombose de l’artère coeliaque et de l’artère splénique compliquée d’un infarctus splénique 7 jours après la première dose du vaccin d’Oxford, relation causale ou coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261633/

Occlusion de la veine centrale de la rétine après vaccination avec l’ARNm du SRAS-CoV-2 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34571653/

Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/

Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/

Thrombose du sinus veineux cérébral 2 semaines après la première dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34101024/

Thrombose du sinus veineux cérébral 2 semaines après la première dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34101024/

Thrombose du sinus veineux cérébral après vaccination ChAdOx1 nCov-19 avec une première IRM cérébrale trompeuse : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34244448/

Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : Prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/

Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/

Thrombose du sinus veineux cérébral après une vaccination contre le COVID-19 à base d’ARNm : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34783932/

Thrombose du sinus veineux cérébral après vaccination avec l’ARNm COVID-19 de BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34796065/

Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination : l’expérience britannique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34370974/

Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination : l’expérience du Royaume-Uni : https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)01788-8/fulltext

Thrombose des sinus veineux cérébraux et thrombocytopénie après vaccination contre le COVID-19 : à propos de deux cas au Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33857630/

Thrombose des sinus veineux cérébraux et thrombocytopénie après vaccination contre le COVID-19 : à propos de deux cas au Royaume-Uni : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S088915912100163X

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Spectre clinique et histopathologique des réactions cutanées indésirables retardées après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34292611/

Corrélats cliniques et pathologiques des réactions cutanées au vaccin COVID-19, y compris le V-REPP : une étude basée sur un registre : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34517079/

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Caractéristiques cliniques de la thrombocytopénie et de la thrombose immunitaire induites par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34379914/

Conseils cliniques pour les jeunes atteints de myocardite et de péricardite après une vaccination avec l’ARNm de la COVID-19 : https://www.cps.ca/en/documents/position/clinical-guidance-for-youth-with-myocar ditis-and-pericarditis

Conseils cliniques pour les jeunes atteints de myocardite et de péricardite après une vaccination avec l’ARNm de la COVID-19 : https://www.cps.ca/en/documents/position/clinical-guidance-for-youth-with-myocarditis-and-pericarditis

Suspicion clinique de myocardite temporairement liée à la vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34865500/

Suspicion clinique de myocardite liée temporellement à la vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes : https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056583?url_ver=Z39.88-2003&rfr_id=ori:rid:crossref .org&rfr_dat=cr_pub%20%200pubmed

Variante clinique du syndrome de Guillain-Barré avec diplégie faciale importante après le vaccin AstraZeneca 2019 contre la maladie à coronavirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34808658/

Les coagulopathies après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 peuvent provenir d’un effet combiné de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et des voies de signalisation activées par le vecteur adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34639132/

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Collection d’affections hématologiques médiées par le complément et auto-immunes après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://ashpublications.org/bloodadvances/article/5/13/2794/476324/Autoimmune-a nd-complement-mediated-hematologic? utm_source=TrendMD&utm_medium=cpc &utm_campaign=Blood_Advances_TrendMD_1.

Collection d’affections hématologiques médiées par le complément et auto-immunes après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://ashpublications.org/bloodadvances/article/5/13/2794/476324/Autoimmune-and-complement-mediated-hematologic

Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138

Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138/

Comparaison des effets indésirables des médicaments entre quatre vaccins COVID-19 en Europe à l’aide de la base de données EudraVigilance : Thrombose dans des sites inhabituels : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34375510/

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Comparaison des épisodes thrombotiques induits par le vaccin entre les vaccins ChAdOx1 nCoV-19 et Ad26.COV.2.S : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0896841121000895

Comparaison des événements thrombotiques induits par le vaccin entre les vaccins ChAdOx1 nCoV-19 et Ad26.COV.2.S : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34139631/

Rapport de cas compliqué de thrombocytopénie immunitaire thrombotique A à long terme induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835275/

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Vaccin à ARNm contre la COVID-19 provoquant une inflammation du SNC : une série de cas : https://link.springer.com/article/10.1007/s00415-021-10780-7

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Vaccins à base d’ARN COVID-19 et risque de maladie à prions : https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf

Vaccins à base d’ARN COVID-19 et risque de maladie à prion : https://scivisionpub.com/pdfs/covid19rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf

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Thrombose veineuse profonde (TVP) survenant peu de temps après la deuxième dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33687691/

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Détection de l’immunité humorale et cellulaire spécifique du SRAS-CoV-2 chez les personnes convalescentes par le COVID-19 https://www.cell.com/immunity/fulltext/S1074-7613(20)30181-3?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS107476132020301813%3Fshowall%3Dtrue

Diagnostic et traitement de la thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33914590/

Recommandations diagnostiques et thérapeutiques du groupe de travail ad hoc d’experts FACME sur la prise en charge des thromboses veineuses cérébrales liées à la vaccination contre la COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0213485321000839

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Avez-vous eu le COVID ? Vous produirez probablement des anticorps à vie https://www.nature.com/articles/d41586-021-01442-9

Effets différentiels de la deuxième dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 sur l’immunité des lymphocytes T chez les individus non traités auparavant et ceux récupérés du COVID-19 https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.03.22.436441v1

Syndrome prothrombotique diffus après administration du vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34615534/

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Signature discrète de la réponse immunitaire à la vaccination par ARNm du SRAS-CoV-2 contre l’infection https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3838993

Voulez-vous encore plus de preuves ? Voici 140 références à des événements indésirables liés à l’injection de COVID qui peuvent survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/

après la guérison du COVID-19 Immunité durable retrouvée

Premiers résultats du traitement par la bivalirudine pour la thrombocytopénie thrombotique et la thrombose du sinus veineux cérébral après vaccination avec Ad26.COV2.S : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34226070/

Premiers résultats du traitement par la bivalirudine pour la thrombocytopénie thrombotique et la thrombose du sinus veineux cérébral après vaccination avec Ad26.COV2.S : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0196064421003425

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Traitement endovasculaire de la thrombose du sinus veineux cérébral et de la thrombocytopénie induites par le vaccin après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : rapport de trois cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34782400/

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Épidémiologie et caractéristiques cliniques de la myocardite/péricardite avant l’introduction du vaccin à ARNm COVID-19 chez les enfants coréens : une étude multicentrique https://search.bvsalud.org/global-literature-on-novel-coronavirus-2019-ncov/resourc e /fr/covidwho-1360706.

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Épidémiologie de la myocardite/péricardite aiguë chez les adolescents de Hong Kong après co-vaccination : https://academic.oup.com/cid/advance-article-abstract/doi/10.1093/cid/ciab989/644 5179.

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Épidémiologie de la myocardite et de la péricardite après les vaccins à ARNm en Ontario, Canada : par produit vaccinal, calendrier et intervalle : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.02.21267156v1

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Exacerbation du psoriasis en plaques après les vaccins à ARNm inactivé contre la COVID-19 et BNT162b2 : rapport de deux cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34427024/

L’exposition aux coronavirus du rhume peut apprendre au système immunitaire à reconnaître le SRAS-CoV-2 https://www.lji.org/news-events/news/post/exposure-to-common-cold-coronaviruses-can-teach-the -système-immunitaire-pour-reconnaître-sars-cov-2/

L’exposition au SRAS-CoV-2 génère des lymphocytes T mémoire en l’absence d’infection virale détectable https://www.nature.com/articles/s41467-021-22036-zCD8+

Des enquêtes approfondies ont révélé des altérations physiopathologiques cohérentes après la vaccination avec les vaccins COVID-19 : https://www.nature.com/articles/s41421-021-00329-3

Myélite transversale longitudinale étendue après le vaccin ChAdOx1 nCOV-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34641797/

Myélite transversale longitudinale étendue après la vaccination d’AstraZeneca contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34507942/

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Diplégie faciale : une variante rare et atypique du syndrome de Guillain-Barré et du vaccin Ad26.COV2.S : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34447646/

Paralysie du nerf facial après administration de vaccins à ARNm contre la COVID-19 : analyse de la base de données d’auto-évaluation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34492394/

Paralysie du nerf facial après administration de vaccins à ARNm contre la COVID-19 : analyse de la base de données d’auto-évaluation : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1201971221007049

Hémorragie cérébrale mortelle après le vaccin contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33928772/

Hémorragie cérébrale mortelle après le vaccin contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33928772/

Thrombose mortelle du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33983464/

Exacerbation fatale du syndrome de thrombopénie thrombotique induite par ChadOx1-nCoV-19 après un traitement initial réussi avec des immunoglobulines intraveineuses : justification de la surveillance des taux d’immunoglobulines G : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34382387/

Syndrome de fuite capillaire systémique fatale après vaccination contre le SRAS-COV-2 chez un patient atteint de myélome multiple : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34459725/

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Première dose des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 COVID-19 et événements thrombocytopéniques, thromboemboliques et hémorragiques en Écosse : https://www.nature.com/articles/s41591-021-01408-4

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Réactivation du virus de l’hépatite C après vaccination contre le COVID-19 : à propos d’un cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512037/

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IDSA https://www.idsociety.org/globalassets/idsa/media/clinician-call-slides–qa/07-17-21-clinician-call-slides-1.pdf

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Vascularite à IgA chez un patient adulte après vaccination avec ChadOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34509658/

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L’administration immédiate d’immunoglobulines intraveineuses à haute dose, suivie d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, est cruciale pour la survie en cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin.

Des immunoglobulines intraveineuses à haute dose immédiate, suivies d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, sont cruciales pour la survie dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin VITT adenoviral à vecteur Sars-Covid-19 avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34023956/

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thrombocytopénie immunitaire associée au vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer-BioNTech :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214250921002018 .

Thrombocytopénie immunitaire associée au vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech COVID-19 BNT162b2 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214250921002018

Thrombocytopénie immunitaire après le vaccin Pfizer-BioNTech BNT162b2 à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34155844/

Thrombocytopénie immunitaire chez un vaccin post-Covid-19 âgé de 22 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33476455/

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Purpura thrombocytopénique immunitaire et lésions hépatiques aiguës après la vaccination contre le COVID-19 : https://casereports.bmj.com/content/14/7/e242678 .

Purpura thrombocytopénique immunitaire et lésions hépatiques aiguës après la vaccination contre le COVID-19 : https://casereports.bmj.com/content/14/7/e242678.full?int_source=trendmd&int_me dium=cpc&int_campaign=usage-042019

Purpura thrombocytopénique immunitaire associé au vaccin à ARNm COVID-19 Pfizer-BioNTech BNT16B2b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34077572/

Thrombose immunitaire et thrombopénie (VITT) associées au vaccin COVID-19 : recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour un nouveau syndrome : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33987882/

Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou nouvelle apparition de maladie chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/

Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou maladie d’apparition récente chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/

L’hépatite à médiation immunitaire avec le vaccin Moderna n’est plus une coïncidence mais confirmée : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0168827821020936

Thrombocytopénie à médiation immunitaire associée au vaccin Ad26.COV2.S (Janssen ; Johnson & Johnson) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34469919/

Purpura thrombopénique à médiation immunitaire après le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 chez une femme âgée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34513446/

Pratiques de vaccination et risque d’anaphylaxie : une mise à jour actuelle et complète des données de vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34269740/

Adjuvant d’immunoglobuline pour la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34107198/

Mémoire immunologique pour le SRAS-CoV-2 évaluée jusqu’à 8 mois après l’infection https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7919858/

La mémoire immunologique chez les patients atteints de COVID-19 léger et les donneurs non exposés révèlent des réponses persistantes des lymphocytes T après une infection par le SRAS-CoV-2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33777028/

Informations importantes sur la myopéricardite après vaccination avec l’ARNm Pfizer COVID-19 chez les adolescents : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022347621007496

En bref : Myocardite avec les vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna COVID-19. (2021). Med Lett Drugs Ther, 63 (1629), e9. Extrait de https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34544112https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34544112

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Évaluation approfondie d’un cas de myocardite présumée après la deuxième dose du vaccin à ARNm COVID-19 : https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056038

Étude observationnelle en milieu hospitalier sur les troubles neurologiques chez des patients récemment vaccinés avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34688190/

Incidence des accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus après vaccination contre le coronavirus en Indonésie : série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579636/

Incidence de l’adénopathie axillaire sur l’imagerie mammaire après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34292295/

Incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 parmi les employés précédemment infectés ou vaccinés https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.03.21259976v2

Risque accru d’urticaire/œdème de Quincke après la vaccination par l’ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez les agents de santé prenant des inhibiteurs de l’ECA : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579248/

Profils cellulaires individuels des répertoires de lymphocytes T et B après vaccination par ARNm du SRAS-CoV-2 https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.07.14.452381v1

Induction et exacerbation du lupus érythémateux cutané subaigu après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARNm ou de vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34291477/

Induction d’une vascularite leucocytoclasique cutanée après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34853744/

Inflammation et activation plaquettaire après les vaccins contre la COVID-19 : mécanismes possibles à l’origine de la thrombocytopénie et de la thrombose immunitaires induites par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34887867/

Myosite inflammatoire après vaccination avec ChAdOx1 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34585145/

Informations sur la thrombocytopénie thrombotique à médiation immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34587242/

Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab741/6359059

Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite ?

Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34453510/

Hémorragie intracérébrale et thrombocytopénie après le vaccin AstraZeneca COVID-19 : défis cliniques et diagnostiques de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34646685/

Hémorragie intracérébrale associée à une thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après la vaccination ChAdOx1 nCOVID-19 chez une femme enceinte : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261297/

Hémorragie intracérébrale due au syndrome de thrombose avec thrombopénie après vaccination contre le COVID-19 : premier cas mortel en Corée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34402235/

Hémorragie intracérébrale due à une vascularite suite à une vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34783899/

Hémorragie intracérébrale douze jours après la vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34477089/

L’injection intraveineuse du vaccin à ARNm contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) peut induire une myopéricardite aiguë dans un modèle murin : https://t.co/j0IEM8cMXI

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La plupart des adultes non infectés présentent une réactivité préexistante en anticorps contre le SRAS-CoV-2 https://insight.jci.org/articles/view/146316

Les vaccins Mrna COVID augmentent considérablement les marqueurs inflammatoires endothéliaux et le risque de syndrome coronarien aigu tel que mesuré par les tests cardiaques PULS : une mise en garde : https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/circ.144.suppl_1.10712

Les lymphocytes T induits par le vaccin à ARNm répondent de manière identique aux variantes inquiétantes du SRAS-CoV-2, mais diffèrent en termes de longévité et de propriétés de référencement en fonction du statut d’infection antérieur https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.05.12.443888v2

Imagerie multimodale et histopathologie chez un jeune homme présentant une myocardite lymphocytaire fulminante et un choc cardiogénique après vaccination avec l’ARNm-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34848416/

Plusieurs sites de thrombose artérielle chez un patient de 35 ans après vaccination par ChAdOx1 (AstraZeneca), ayant nécessité une thrombectomie chirurgicale fémorale et carotidienne en urgence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34644642/

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Infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral et embolie pulmonaire après le vaccin à ARNm BNT162b2 contre la COVID-19 chez les personnes âgées de 75 ans ou plus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34807248/

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myocardite après vaccination contre le COVID-19 : étude d’imagerie par résonance magnétique : https://academic.oup.com/ehjcimaging/advance-article/doi/10.1093/ehjci/jeab230/6 421640.

Myocardite après vaccination contre le COVID-19 : étude d’imagerie par résonance magnétique : https://academic.oup.com/ehjcimaging/advance-article/doi/10.1093/ehjci/jeab230/6 421640.

Myocardite après vaccination avec les vaccins à ARNm COVID-19 chez les membres de l’armée américaine : https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781601%5C

Myocardite après vaccination avec les vaccins à ARNm COVID-19 chez les membres de l’armée américaine. Cet article rapporte que chez « 23 patients de sexe masculin, dont 22 militaires auparavant en bonne santé, une myocardite a été identifiée dans les 4 jours suivant la réception du vaccin » : https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781601 .

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Myocardite et autres complications cardiovasculaires des vaccins COVID-19 à base d’ARNm contre la COVID-19 https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-comp lications-of-the-mrna-based-covid -19-vaccins https://www.cureus.com/articles/61030-myocarditis-and-other-cardiovascular-complications-of-the-mrna-based-covid-19-vaccines

Myocardite et autres complications cardiovasculaires des vaccins COVID-19 à base d’ARNm contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34277198/

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L’immunité naturelle contre le COVID-19 réduit considérablement le risque de réinfection : résultats d’une cohorte de participants à l’enquête sérologique https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.19.21260302v1

L’immunité naturelle contre le covid est puissante. Les législateurs semblent avoir peur de le dire https://www.washingtonpost.com/outlook/2021/09/15/natural-immunity-vaccine-mandate/

Amplitude neutralisante naturellement améliorée contre le SRAS-CoV-2 un an après l’infection https://www.nature.com/articles/s41586-021-03696-9

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Syndrome néphrotique et vascularite après le vaccin contre le SRAS-CoV-2 :

Syndrome néphrotique et vascularite après le vaccin contre le SRAS-CoV-2 : association réelle ou circonstancielle : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34245294/

Événements indésirables nerveux et musculaires après la vaccination contre le COVID-19 : une revue systématique et une méta-analyse des essais cliniques : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34452064/

Complications neuro-ophtalmiques avec thrombocytopénie et thrombose induites par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34726934/

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Complications neurologiques après la première dose de vaccins COVID-19 et infection par le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34697502/

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Symptômes neurologiques et altérations de la neuroimagerie liés au vaccin COVID-19 : cause ou coïncidence : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0899707121003557 .

Symptômes neurologiques et altérations de la neuroimagerie liés au vaccin COVID-19 : cause ou coïncidence ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34507266/

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Considérations neurochirurgicales concernant la craniectomie décompressive pour hémorragie intracérébrale après vaccination contre le SRAS-CoV-2 dans la thrombopénie thrombotique thrombotique-VITT induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34202817/

Considérations neurochirurgicales concernant la craniectomie décompressive pour hémorragie intracérébrale après vaccination contre le SRAS-CoV-2 dans la thrombopénie thrombotique thrombotique-VITT induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34202817/

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Syndrome néphrotique d’apparition récente après vaccination de Janssen contre le COVID-19 : rapport de cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34342187/

État de mal épileptique réfractaire d’apparition récente après la vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165572821001569

État de mal épileptique réfractaire d’apparition récente après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34153802/

Thrombocytopénie idiopathique nouvellement diagnostiquée après l’administration du vaccin COVID-19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8176657/

Thrombocytopénie immunitaire nouvellement diagnostiquée chez une patiente enceinte après la vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34420249/

Blog du directeur du NIH : Les cellules T immunitaires peuvent offrir une protection durable contre le COVID-19 https://directorsblog.nih.gov/2020/07/28/immune-t-cells-may-offer-solving-protection-against-covid-19 /

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Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après la vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/

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Allergie au polyéthylène glycole chez le receveur du vaccin SRAS-CoV2 : rapport de cas d’un jeune adulte receveur et gestion de l’exposition future au SRAS-CoV2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33919151/

Thrombose de la veine porte associée au vaccin ChAdOx1 nCov-19 : https://www.thelancet.com/journals/langas/article/PIIS2468-1253(21)00197-7/

Thrombose de la veine porte associée au vaccin ChAdOx1 nCov-19 : https://www.thelancet.com/journals/langas/article/PIIS2468-1253(21)00197-7/fullte xt

Thrombose de la veine porte due à une thrombocytopénie immunitaire thrombotique (VITT) induite par le vaccin après la vaccination Covid avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34598301/

Association possible entre le vaccin COVID-19 et la myocardite : résultats cliniques et CMR : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34246586/

Cas possible de vascularite des petits vaisseaux induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34705320/

Déclencheurs possibles de thrombocytopénie et/ou d’hémorragie par le vaccin BNT162b2, Pfizer-BioNTech : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34660652/

Myélite transverse post-COVID-19 ; un rapport de cas avec revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34457267/

Résultats post-mortem de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (covid-19) : https://haematologica.org/article/view/haematol.2021.279075

Résultats post-mortem de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : https://haematologica.org/article/view/haematol.2021.279075

Enquête post-mortem sur les décès après vaccination avec les vaccins COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186/

Post-vaccinal encephalitis after ChAdOx1 nCov-19: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34324214/

Syndrome inflammatoire multisystémique post-vaccination chez les adultes sans signe d’infection préalable par le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34852213/

Association potentielle entre le vaccin COVID-19 et la myocardite : résultats cliniques et CMR : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936878X2100485X

Risque potentiel d’événements thrombotiques après la vaccination contre le COVID-19 avec Oxford-AstraZeneca chez les femmes recevant des œstrogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34734086/

Incidence prévue et observée des événements thromboemboliques chez les Coréens vaccinés avec le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34254476/

Prédicteurs de mortalité dans la thrombocytopénie thrombotique après vaccination adénovirale contre le COVID-19 : le score FAPIC : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34545400/

Infarctus du myocarde prématuré ou effet secondaire du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33824804/

Prévalence des événements indésirables graves chez les professionnels de santé après avoir reçu la première dose du vaccin contre le coronavirus ChAdOx1 nCoV-19 (Covishield) au Togo, mars 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34819146/

Prévalence de la thrombocytopénie, des anticorps anti-facteur plaquettaire 4 et des D-dimères élevés chez les Thaïlandais après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34568726/

Prévalence de la thrombocytopénie, des anticorps anti-facteur 4 et des D-dimères élevés chez les Thaïlandais après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34568726/

Une infection antérieure par le SRAS-CoV-2 est associée à une protection contre la réinfection symptomatique https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(20)30781-7/fulltext

Insuffisance surrénalienne primaire associée à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin Oxford-AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34256983/

Insuffisance surrénalienne primaire associée à une thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin Oxford-AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34256983/

Insuffisance surrénalienne primaire associée à une thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin Oxford-AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (VITT) : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0953620521002363

Impuretés liées au processus dans le vaccin ChAdOx1 nCov-19 : https://www.researchsquare.com/article/rs-477964/v1

Plaquettes procoagulantes médiées par des anticorps procoagulants dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire associée à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34011137/

Microparticules procoagulantes : un lien possible entre la thrombocytopénie immunitaire induite par le vaccin (VITT) et la thrombose veineuse des sinus cérébraux : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34129181/

Anaphylaxie prolongée au vaccin Pfizer 2019 contre la maladie à coronavirus : à propos d’un cas et mécanisme d’action : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33834172/

Différenciation prolongée mais coordonnée des cellules T CD8+ CD8+ spécifiques du SRAS-CoV-2 à longue durée de vie pendant la convalescence du COVID-19 https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.04.28.441880v1

Vascularite associée aux anticorps cytoplasmiques anti-neutrophiles induite par le propylthiouracile après une vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34451967/

Vascularite associée aux anticorps anti-cytoplasmiques neutrophiles induite par le propylthiouracile après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34451967/

la protection contre une infection antérieure par le SRAS-CoV-2 est similaire à celle de la protection vaccinale BNT162b2 : une expérience nationale de trois mois en Israël https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.20.21255670v1

Thrombocytopénie immunitaire prothrombotique après vaccination contre le COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0006497121009411

Réactions pseudo-anaphylactiques au vaccin Pfizer BNT162b2 : à propos de 3 cas d’anaphylaxie suite à une vaccination avec Pfizer BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579211/

Embolie pulmonaire, accident ischémique transitoire et thrombocytopénie après le vaccin Johnson & Johnson COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261635/

Éruption purpurique et thrombocytopénie après le vaccin COVID-19 à ARNm-1273 (moderne) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7996471/

Quantification du risque de réinfection par le SRAS – CoV – 2 dans le temps https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8209951/pdf/RMV-9999-e2260.pdf

Génération rapide d’une mémoire durable des cellules B pour les protéines de la nucléocapside et le pic du SRAS-CoV-2 dans le COVID-19 et la convalescence https://www.science.org/doi/10.1126/sciimmunol.abf8891

Progression rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T après une vaccination de rappel par ARNm BNT162b2 : rapport de cas : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fmed.2021.798095/

Progression rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T après une vaccination de rappel par ARNm BNT162b2 : rapport de cas : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fmed.2021.798095/full?fbclid=IwAR3c kIK1Our4unrknRvUSuj1LWiTJvvvg-BF4JZZCxv_wQMKZpvIznABN2dE.

Cas rare de lymphadénopathie supraclaviculaire controlatérale après vaccination contre le COVID-19 : résultats de tomodensitométrie et d’échographie : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34667486/

Cas rare d’hémorragie intracrânienne associée au vaccin COVID-19 avec thrombose du sinus veineux : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34556531/

Effets indésirables cutanés rares des vaccins contre la COVID-19 : une série de cas et une revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34363637/

Taux de syndrome de Guillain-Barré récurrent après le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 :

Taux de syndrome de Guillain-Barré récurrent après le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 : https://jamanetwork.com/journals/jamaneurology/fullarticle/2783708

Réactivation de la vascularite à IgA après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34250509/

Réactivation de la vascularite à IgA après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34848431/

Réactivation de la maladie de Vogt-Koyanagi-Harada sous contrôle depuis plus de 6 ans, après vaccination anti-SARS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34224024/

Arthrite réactive après vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34033732/

Récidive de myocardite aiguë temporairement associée à la réception du vaccin contre la maladie à ARNm du coronavirus 2019 (COVID-19) chez un adolescent de sexe masculin : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8216855/

Récidive de myocardite aiguë temporairement associée à la réception du vaccin contre la maladie à ARNm du coronavirus 2019 (COVID-19) chez un adolescent de sexe masculin : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S002234762100617X

Récidive de myocardite aiguë temporairement associée à la réception du vaccin contre la maladie à ARNm du coronavirus 2019 (COVID-19) chez un adolescent de sexe masculin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34166671/

Récidive de la pelade après vaccination contre le covid-19 : à propos de trois cas en Italie : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34741583/

Vascularite récurrente associée aux ANCA après la vaccination Oxford AstraZeneca ChAdOx1-S COVID-19 : une série de cas de deux patients : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34755433/

Zona récurrente après vaccination contre le COVID-19 chez des patients atteints d’urticaire chronique sous traitement à la cyclosporine – À propos de 3 cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34510694/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) réfractaire traitée par échange plasmatique thérapeutique retardé (TPE) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34672380/

Lymphadénopathie régionale après vaccination contre le COVID-19 : revue de la littérature et considérations pour la prise en charge des patientes dans les soins du cancer du sein : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34731748/

Taux de réinfection parmi les patients ayant déjà été testés positifs pour le COVID-19 : une étude de cohorte rétrospective https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718968/

Rechute de thrombocytopénie immunitaire après vaccination contre le covid-19 chez un jeune patient de sexe masculin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34804803/

Rechute de thrombocytopénie immunitaire après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591991/

Rechute de polyangéite microscopique après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34251683/

Relation entre les allergies préexistantes et les réactions anaphylactiques suite à l’administration du vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34215453/

Souvenir des choses passées : mémoire à long terme des cellules B après infection et vaccination https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2019.01787/full

Thrombose veineuse rénale et embolie pulmonaire secondaires à une thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34268278/

Rapport d’un cas de myopéricardite après vaccination avec l’ARNm BNT162b2 COVID-19 chez un jeune homme coréen : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34636504/

Rapport du Consortium international sur la thrombose veineuse cérébrale sur la thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34462996/

Effets indésirables oro-faciaux signalés des vaccins contre la COVID-19 : le connu et l’inconnu : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33527524/

Déclaration des neuropathies inflammatoires aiguës avec les vaccins COVID-19 : analyse de disproportionnalité des sous-groupes dans VigiBase : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579259/

Rapports d’anaphylaxie après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019, Corée du Sud, 26 février-30 avril 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34414880/

Rapports d’anaphylaxie après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux États-Unis, du 14 décembre 2020 au 18 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33576785/

rapports d’anaphylaxie après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux États-Unis, du 14 décembre 2020 au 18 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33576785/

des chercheurs découvrent une immunité durable contre le virus pandémique de 1918 https://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2008/08/researchers-find-long-lived-immunity-1918-pandemic-virus

Hémorragie rétinienne après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34884407/

Revon-Rivière, G., Ninove, L., Min, V., Rome, A., Coze, C., Verschuur, A., . . . André, N. (2021). Le vaccin à ARNm BNT162b2 contre la COVID-19 chez les adolescents et jeunes adultes atteints de cancer : une expérience monocentrique. Eur J Cancer, 154, 30-34. est ce que je:10.1016/j.ejca.2021.06.002. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34233234

Rhabdomyolyse et fasciite induites par le vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34435250/

Rhabdomyolyse et fasciite induites par le vaccin à ARNm COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34435250/

Risque de réinfection par le SRAS-CoV-2 en Autriche https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13520

Risque de réactions allergiques sévères aux vaccins COVID-19 chez les patients atteints de dermatose allergique : recommandations pratiques. Une déclaration de position de l’ETFAD avec des experts externes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33752263/

Risque de thrombocytopénie et de thromboembolie après vaccination contre le covid-19 et tests SARS-CoV-2 positifs : étude de série de cas autocontrôlée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34446426/

analyse risques-bénéfices pour les personnes de moins de 60 ans en Australie : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272095/

Lympholyse aiguë et pancytopénie induites par le rituximab après une vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34429981/

Des anticorps neutralisants robustes contre l’infection par le SRAS-CoV-2 persistent pendant des mois https://www.science.org/doi/10.1126/science.abd7728

L’immunité robuste des lymphocytes T spécifiques au SRAS-CoV-2 est maintenue 6 mois après la primo-infection https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.11.01.362319v1

Racines de l’auto-immunité des événements thrombotiques après la vaccination contre le COVID-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1568997221002160

Rapports de cas S. de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombocytopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S, 2 mars-21 avril 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/

Sanchez Tijmes, F., Thavendiranathan, P., Udell, JA, Seidman, MA et Hanneman, K. (2021). Évaluation par IRM cardiaque de l’inflammation myocardique non ischémique : examen de l’état de l’art et mise à jour sur la myocardite associée à la vaccination contre le COVID-19. Imagerie cardiothoracique Radiol, 3 (6), e210252. est ce que je:10.1148/ryct.210252. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34934954

La positivité des anticorps contre le SRAS-CoV-2 protège contre la réinfection pendant au moins sept mois avec une efficacité de 95 % https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(21)00141-3/fulltext#%20Orthogonal

Le SRAS-CoV-2 provoque de fortes réponses immunitaires adaptatives quelle que soit la gravité de la maladie https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(21)00203-6/fulltext

L’infection par le SRAS-CoV-2 induit des plasmocytes de moelle osseuse à longue durée de vie chez l’homme https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4

Taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les agents de santé séropositifs par rapport aux agents de santé négatifs en Angleterre : une grande étude de cohorte prospective multicentrique (SIREN) https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140- 6736(21)00675-9/texte intégral

La réponse naturelle des anticorps contre le SRAS-CoV-2 persiste pendant au moins 12 mois dans une étude nationale des îles Féroé https://academic.oup.com/ofid/article/8/8/ofab378/6322055

Les tests sérologiques SARS-CoV-2 permettent de surveiller les communautés à faible prévalence et révèlent une immunité humorale durable https://www.cell.com/immunity/fulltext/S1074-7613(20)30445-3

Séropositivité au SRAS-CoV-2 et risque d’infection ultérieure chez les jeunes adultes en bonne santé : une étude de cohorte prospective https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(21)00158-2/fulltext

Les lymphocytes T spécifiques du SRAS-CoV-2 induits par le vaccin à ARNm reconnaissent les variantes B.1.1.7 et B.1.351, mais diffèrent en termes de longévité et de propriétés de référencement en fonction du statut d’infection antérieur https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.05 .12.443888v1

Les vaccins contre le SRAS-CoV-2 ne sont pas sans danger pour les personnes atteintes du syndrome de Guillain-Barré après la vaccination : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2049080121005343

Les vaccins contre le SRAS-CoV-2 peuvent être compliqués non seulement par le syndrome de Guillain-Barré mais aussi par une neuropathie distale des petites fibres : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34525410/

La mémoire immunitaire fonctionnelle spécifique du SRAS-CoV-2 persiste après un COVID-19 léger https://www.cell.com/cell/fulltext/S0092-8674(20)31565-8?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS0092867420315658%3Fshowall%3Dtrue

Les cellules B mémoire spécifiques du SRAS-CoV-2 provenant d’individus atteints d’une maladie de gravité variable reconnaissent des variantes inquiétantes du SRAS-CoV-2 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.28.21258025v1.full

Immunité des lymphocytes T spécifiques au SRAS-CoV-2 dans les cas de COVID-19 et de SRAS et les contrôles non infectés https://www.nature.com/articles/s41586-020-2550-z

La mémoire des lymphocytes T spécifiques du SRAS-CoV-2 est maintenue chez les patients convalescents du COVID-19 pendant 10 mois grâce au développement réussi de lymphocytes T mémoire de type cellule souche https://www.nature.com/articles/s41467-021-24377-1?utm_source=other&utm_medium=other&utm_content=null&utm_campaign=JRCN_1_LW01_CN_natureOA_article_paid_XMOL

Sars-Covid-19-vecteur adénoviral VITT avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34023956/

Schauer, J., Buddhe, S., Colyer, J., Sagiv, E., Law, Y., Mallenahalli Chikkabyrappa, S. et Portman, MA (2021). Myopéricardite après le vaccin Pfizer Messenger contre la maladie à coronavirus à base d’acide ribonucléique chez les adolescents. J Pediatr, 238, 317-320. est ce que je:10.1016/j.jpeds.2021.06.083. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34228985

Schneider, J., Sottmann, L., Greinacher, A., Hagen, M., Kasper, HU, Kuhnen, C., . . . En ligneSchmeling, A. (2021). Enquête post-mortem sur les décès consécutifs à la vaccination avec les vaccins COVID-19. Int J Legal Med, 135(6), 2335-2345. est ce que je:10.1007/s00414-021-02706-9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34591186

Schramm, R., Costard-Jackle, A., Rivinius, R., Fischer, B., Muller, B., Boeken, U., . . . Gummert, J. (2021). Mauvaise réponse humorale et des lymphocytes T à deux doses du vaccin à ARN messager du SRAS-CoV-2 BNT162b2 chez les receveurs de transplantation cardiothoracique. Clin Res Cardiol, 110(8), 1142-1149. est ce que je:10.1007/s00392-021-01880-5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34241676

Thrombocytopénie immunitaire secondaire (PTI) associée au vaccin ChAdOx1 Covid-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34377889/

Thrombocytopénie immunitaire secondaire putativement attribuable à la vaccination contre le COVID-19 : https://casereports.bmj.com/content/14/5/e242220.abstract .

Thrombocytopénie secondaire après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : à propos d’un cas d’hémorragie et d’hématome après une chirurgie buccale mineure : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34314875/

Thrombocytopénie secondaire après vaccination contre le SRAS-CoV-2 : à propos d’un cas d’hémorragie et d’hématome après une chirurgie buccale mineure : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34314875/

Épitopes sélectifs et croisés des cellules T du SRAS-CoV-2 chez les humains non exposés https://www.science.org/doi/10.1126/science.abd3871Longitudinal

Myocardite auto-limitée se manifestant par des douleurs thoraciques et une élévation du segment ST chez les adolescents après vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34180390/

Myocardite auto-limitée se manifestant par des douleurs thoraciques et une élévation du segment ST chez les adolescents après vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34180390/

Syndrome sensoriel de Guillain-Barré après vaccin ChAdOx1 nCov-19 : à propos de deux cas et revue de la littérature : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165572821002186

Syndrome sensoriel de Guillain-Barré suite au vaccin ChAdOx1 nCov-19 : à propos de deux cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416410/

Paralysie séquentielle du nerf facial controlatéral après la première et la deuxième doses du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34281950/

Sessa, F., Salerno, M., Esposito, M., Di Nunno, N., Zamboni, P. et Pomara, C. (2021). Résultats de l’autopsie et relation de causalité entre le décès et la vaccination contre le COVID-19 : une revue systématique. J Clin Med, 10(24). est ce que je:10.3390/jcm10245876. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34945172

Réactions allergiques sévères après la vaccination contre le COVID-19 avec le vaccin Pfizer/BioNTech en Grande-Bretagne et aux États-Unis : prise de position des sociétés allemandes d’allergie : Association médicale allemande des allergologues (AeDA), Société allemande d’allergologie et d’immunologie clinique (DGAKI) et Société pour l’allergologie pédiatrique et la médecine environnementale (GPA) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33643776/

Thrombocytopénie immunitaire sévère et réfractaire survenant après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33854395/

Anémie hémolytique auto-immune sévère après réception du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/trf.16672

Anémie hémolytique auto-immune sévère après avoir reçu le vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34549821/

Thrombocytopénie immunitaire sévère après vaccination contre le COVID-19 : à propos de quatre cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34653943/

Purpura thrombocytopénique immunitaire sévère après le vaccin contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34754937/

Myocardite sévère associée au vaccin COVID-19 : zèbre ou licorne ? : https://www.internationaljournalofcardiology.com/article/S0167-5273(21)01477-7/f ulltext.

Myocardite sévère associée au vaccin COVID-19 : zèbre ou licorne ? : https://www.internationaljournalofcardiology.com/article/S0167-5273(21)01477-7/fulltext .

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Relation temporelle entre la deuxième dose du vaccin BNT162b2 à ARNm Covid-19 et l’atteinte cardiaque chez un patient ayant déjà été infecté par le SRAS-COV-2 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352906721000622

L’association entre la vaccination contre le COVID-19 et la paralysie de Bell : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34411533/

L’importance de reconnaître la thrombose veineuse cérébrale après la vaccination anti-COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34001390/

La nouvelle plateforme vaccinale à ARNm contre la COVID-19 et la myocardite : des indices sur le mécanisme sous-jacent possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34312010/

La prévalence de l’immunité adaptative au COVID-19 et la réinfection après la guérison : une revue systématique complète et une méta-analyse de https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.03.21263103v3

Les rôles des plaquettes dans la coagulopathie associée au COVID-19 et la thrombopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (covid) : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1050173821000967

Les rôles des plaquettes dans la coagulopathie associée au COVID-19 et la thrombopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34455073/

Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475

Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475?query=featured_home

Cette étude note que 115 femmes enceintes ont perdu leur bébé, sur 827 ayant participé à une étude sur la sécurité des vaccins covid-19 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104983 .

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Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/

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Adénopathie axillaire unilatérale dans le cadre de la vaccination contre le COVID-19 : suivi : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34298342/

Lymphadénopathie axillaire unilatérale liée au vaccin COVID-19 : modèle d’IRM mammaire de dépistage permettant une évaluation bénigne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325221/

Lymphadénopathie unilatérale après vaccination contre le COVID-19 : un plan de prise en charge pratique pour les radiologues de toutes spécialités : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33713605/

Résultats d’imagerie uniques de fantosmie neurologique après la vaccination Pfizer-BioNtech COVID-19 : un rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096896/

Présentation inhabituelle d’une péricardite aiguë après vaccination contre l’ARNm-1237 du SRAS-COV-2 Moderne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34447639/

Présentation inhabituelle de périmyocardite aiguë après la vaccination moderne contre le SRAS-COV-2 ARNm-1237 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34447639/

Site inhabituel de thrombose veineuse profonde après vaccination contre la maladie à coronavirus ARNm-2019 (COVID-19) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34840204/

Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S (contre le covid-19), du 2 mars au 21 avril 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/

Thrombocytopénie et thrombose associées au vaccin : endothéliopathie veineuse conduisant à une micro-macrothrombose veineuse combinée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34833382/

Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin.

Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin. Oxford-AstraZeneca COVID-19 : une occasion manquée de retour d’expérience rapide : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S235255682100093X

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 ; une revue systématique : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022510X21003014

Thrombose immunitaire induite par le vaccin et syndrome de thrombocytopénie après vaccination contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à vecteur adénovirus : une nouvelle hypothèse sur les mécanismes et les implications pour le développement futur d’un vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664303/

Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/

Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : cibler les mécanismes pathologiques avec les inhibiteurs de la tyrosine kinase de Bruton : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851389/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le covid-19 ; une revue systématique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34365148/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme sévère de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin avec coagulation intravasculaire disséminée et décès après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1052305721003414

Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin avec coagulation intravasculaire disséminée et décès après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1052305721003414 3.

Maladie pulmonaire interstitielle induite par le vaccin : une réaction rare au vaccin contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34510014/

Thrombocytopénie induite par le vaccin avec céphalées sévères : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34525282/

Thrombose et thrombopénie induites par le vaccin avec hémorragie surrénalienne bilatérale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34235757/

Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après vaccination Ad26.COV2.S chez un homme présentant une thromboembolie veineuse aiguë : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096082/

Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin, un cas rare mais grave de tir ami dans la lutte contre la pandémie de COVID-19 : quelle pathogenèse ? : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0953620521002314

Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : le chapitre sombre d’une success story : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589936821000256

Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : le lien insaisissable entre la thrombose et les vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34191218/

Variant Guillain-Barré syndrome occurring after SARS-CoV-2 vaccination: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34114269/

Réactivation du virus varicelle-zona et du virus de l’herpès simplex après vaccination contre le COVID-19 : examen de 40 cas dans un registre dermatologique international : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487581/

Vascularite des petits vaisseaux liée au virus varicelle-zona après vaccination Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34310759/

Vascularite et bursite en [ 18 F] FDG-PET/CT après vaccin à ARNm COVID-19 : après hoc donc propter hoc ?; https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34495381/

Thrombose du sinus veineux après vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34420802/

Thromboembolie veineuse et thrombocytopénie légère après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34384129/

Thromboembolie veineuse et thrombocytopénie légère après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34384129/

Réactions cutanées vésiculobulleuses induites par le vaccin à ARNm COVID-19 : à propos de quatre cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34236711/

Vidula, MK, Ambrose, M., Glassberg, H., Chokshi, N., Chen, T., Ferrari, VA et Han, Y. (2021). Myocardite et autres complications cardiovasculaires des vaccins COVID-19 à base d’ARNm. Cureus, 13(6), e15576. est ce que je:10.7759/cureus.15576. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34277198

Visclosky, T., Theyyunni, N., Klekowski, N. et Bradin, S. (2021). Myocardite suite au vaccin à ARNm COVID-19. Pediatr Emerg Care, 37(11), 583-584. est ce que je:10.1097/PEC.0000000000002557. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34731877

VITT (thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin) après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34731555/

Syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada après vaccination contre le COVID-19 et ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34462013/

Warren, CM, Snow, TT, Lee, AS, Shah, MM, Heider, A., Blomkalns, A., . . . Nadeau, KC (2021). Évaluation des réactions allergiques et anaphylactiques aux vaccins à ARNm contre la COVID-19 avec des tests de confirmation dans un système de santé régional des États-Unis. JAMA Netw Open, 4(9), e2125524. est ce que je:10.1001/jamanetworkopen.2021.25524. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34533570

Watkins, K., Griffin, G., Septaric, K. et Simon, EL (2021). Myocardite après vaccination BNT162b2 chez un homme en bonne santé. Suis J Emerg Med, 50, 815 e811-815 e812. est ce que je:10.1016/j.ajem.2021.06.051. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34229940

Weitzman, ER, Sherman, AC et Levy, O. (2021). Attitudes concernant le vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 telles qu’exprimées dans le commentaire public de la FDA des États-Unis : nécessité d’un partenariat public-privé dans un système d’immunisation apprenant. Front Public Health, 9, 695807. est ce que je:10.3389/fpubh.2021.695807. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34336774

Welsh, KJ, Baumblatt, J., Chege, W., Goud, R. et Nair, N. (2021). Thrombocytopénie, y compris thrombocytopénie immunitaire, après la réception de vaccins à ARNm contre la COVID-19 signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Vaccin, 39(25), 3329-3332. est ce que je:10.1016/j.vaccine.2021.04.054. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34006408

Pourquoi les vaccins COVID-19 ne devraient pas être nécessaires pour tous les Américains https://www.usnews.com/news/national-news/why-covid-19-vaccines-should-not-be-required-for-all-americans

Éruption médicamenteuse bulleuse fixe généralisée après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34482558/

Witberg, G., Barda, N., Hoss, S., Richter, I., Wiessman, M., Aviv, Y., . . . Kornowski, R. (2021). Myocardite après vaccination contre le Covid-19 dans un grand organisme de santé. N Engl J Med, 385(23), 2132-2139. est ce que je:10.1056/NEJMoa2110737. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34614329

Jeune homme atteint de myocardite après une vaccination par ARNm contre la maladie à coronavirus ARNm-1273-2019 (COVID-19) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34744118/

Zimmermann, P. et Curtis, N. (2020). Pourquoi le COVID-19 est-il moins grave chez les enfants ? Un examen des mécanismes proposés sous-tendant la différence de gravité liée à l’âge des infections par le SRAS-CoV-2. Arch Dis Enfant. est ce que je:10.1136/archdischild-2020-320338. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33262177

« Thrombose de la veine porte survenant après la première dose du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 chez un patient atteint du syndrome des antiphospholipides » : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666572721000389

La liste de plus de 1 000 études scientifiques, références et rapports reliant les vaccins COVID à des centaines d’effets indésirables et de décès Lire la suite »

6/1/25 : procès Von der Leyen, il est temps de mettre une ultime pression!

Source : Senta Depuydt

Cette fois j’y serai! Merci de partager l’information, y compris à vos amis européens, ceci nous concerne tous!

Frédéric Baldan, Notre Bon Droit, le parti germanophone « Vivant », la Pologne, la Hongrie et plus de mille parties civiles citoyennes ont intenté un procès contre Ursula Von der Leyen, dans le cadre de la négociation des contrats Pfizer et BioNtech, pendant la crise Covid. Le 6 janvier 2025 un jugement devrait enfin être prononcé.

L’action a été introduite auprès des tribunaux belges et devrait normalement pouvoir être jugée par la justice de notre pays. Mais l’EPPO, le parquet de justice de l’Union européenne tente de s’immiscer dans ce procès pour forcer nos juges à leur transmettre l’affaire. Si la Belgique se dessaisit au profit de l’UE, les plaignants perdront leur chance. Si, au contraire elle confirme sa compétence, l’action pourra poursuivre son cours et d’autres plaignants de différents pays pourront encore venir grossir les rangs des indignés.

L’audience de ce 6 janvier est donc d’une importance capitale.

Venez nombreux manifester votre présence.


Rappel:

En avril 2023, le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile auprès du tribunal de Liège contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour des actes graves et potentiellement illégaux dans la gestion des contrats de vaccins COVID-19.

Pourquoi cette plainte ?

En avril 2021, des révélations ont indiqué que Mme von der Leyen aurait négocié directement, sans mandat explicite des États membres, un contrat d'achat de vaccins avec le groupe Pfizer, représentant des milliards d'euros. Ces négociations, menées via des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ont été critiquées pour leur manque de transparence. De plus, la suppression présumée de ces SMS soulève des questions sur la destruction de documents publics. 

Ce que cela signifie :

L’Office du Procureur Européen (EPPO), chargé de lutter contre la fraude affectant les intérêts financiers de l’UE, a déclaré lors d’une audience publique qu’aucune victime identifiable ne pouvait être déterminée dans cette affaire, rendant les faits difficiles à établir juridiquement. Cette position néglige une réalité fondamentale : nous, citoyens européens, sommes les victimes directes de ces décisions opaques, quel que soit notre statut vaccinal.

En devenant plaignants, nous affirmons que ces agissements nous ont lésés collectivement :

• Nos impôts ont financé des contrats passés dans des conditions opaques, contraires aux principes de bonne gouvernance.

• Nous avons été soumis à des décisions sanitaires contraires aux droits fondamentaux et à la Charte des Doits fondamentaux de l’UE, ainsi qu’à des décisions financières prises sans transparence ni concertation.

• Notre confiance envers les institutions européennes, garantes de la démocratie et de la justice, a été profondément ébranlée.

Un appel à tous les citoyens de l’UE

Cette plainte, initiée en Belgique, dépasse nos frontières nationales : elle concerne tous les Européens. En élargissant cette action à l’échelle de l’Union, nous pouvons démontrer que les citoyens européens refusent de rester passifs face à des abus qui affectent leurs droits, leurs finances et leur santé.

Ce que nous demandons :

La tenue d’une enquête pénale indépendante des institutions de l’UE:

Nous exigeons qu’une enquête approfondie et impartiale soit menée pour faire toute la lumière sur les actes reprochés à Ursula Von Der Leyen et aux responsables impliqués. Cette enquête doit garantir la transparence et répondre aux attentes des citoyens européens.

La contestation de la légitimité de l’EPPO pour ce dossier :

Bien que l’Office du Procureur Européen (EPPO) soit officiellement chargé de la lutte contre les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l’Union, nous remettons en question sa capacité à traiter ce dossier pour plusieurs raisons :

o Conflit d’intérêts institutionnel : L’EPPO est étroitement lié aux institutions européennes, ce qui soulève des doutes sur sa capacité à enquêter de manière indépendante sur des faits impliquant la présidente de la Commission européenne, l’une des figures centrales du pouvoir exécutif de l’UE.

o Position de l’EPPO lors d’une audience publique : L’EPPO a déclaré qu’il n’existait « aucune victime identifiable » dans cette affaire, une affirmation que nous contestons fermement. Chaque citoyen européen, quel que soit son statut vaccinal, a été de à la transparence démocratique.

o Les limites des missions de l’EPPO : Les compétences de l’EPPO se concentrent sur les fraudes affectant le budget européen. Or, dans ce dossier, les contrats de vaccins ont été honorés financièrement par chaque État membre, individuellement, et non par un financement direct de l’Union européenne. Ursula Von Der Leyen elle-même l’a admis : pas un euro du budget de l’UE n’a été utilisé pour ces contrats. Cela rend inadaptée la juridiction de l’EPPO pour traiter ces infractions potentielles.

Ensemble, nous avons la responsabilité de protéger nos droits fondamentaux mais aussi un modèle de société qui replace la justice, la transparence et l’équité au centre de la gouvernance. Ce n’est qu’en nous mobilisant que nous pourrons exiger des comptes et restaurer la confiance dans nos institutions.

Rejoignez-nous et rejoignez Frédéric Baldan pour défendre nos droits face aux lobbies pharmaceutiques.

Voir aussi France-Soir : 📽UrsulaGates : en plus des plaintes visant Ursula von der Leyen, Frédéric Baldan et Diane Protat annoncent lors de leur conférence de presse avoir porté plainte contre Laura Kövesi, cheffe de l’EPPO, le parquet européen.

Collectif Action 200 Belgique…les 200 plaignants sont aujourd’hui plus de 1000

Bref rappel des faits dans un ancien article ici.

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Consentement libre et éclairé : les réponses de Maitre Joseph

Source : Profession Gendarme

De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna).  Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection.  Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.

De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.

Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.

Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.

PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?

Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.

1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :

Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :

« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;

Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;

Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :

« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»

2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :

Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;

3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :

Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »

Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.

L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.

Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.

En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :

« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »

PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?

Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».

Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !

Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.

Nous entendons ainsi :

– Tous les bénéfices du « vaccin » ;

– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;

– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.

Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!

PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?

Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :

Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.  

Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :

« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;

Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.  

PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?

Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée. 

Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382). 

Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique) 

PG : Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?

Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :

Ainsi, il incombe à l’injecteur :

A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;

B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.

PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?

Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.

Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.

En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.

Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».

Consentement libre et éclairé : les réponses de Maitre Joseph Lire la suite »

Pétition pour une abrogation des obligations vaccinales sur le site du Sénat

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Nous portons à votre connaissance les faits suivants :
I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.

Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »

Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?

Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.

II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.

Dans la première, la HAS préconise que :
– « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.

– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »

– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.

Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que :
– les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues,
– « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.

Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.

III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux.
– L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré.
– Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a
commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.

IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant :
• Bordetella pertussis ;
• Haemophilus influenzae ;
• Leptospira icterohaemorrhagiae ;
• Neisseria meningitidis ;
• Salmonella typhi ;
• Streptococcus pneumoniae ;
• Virus de l’encéphalite japonaise ;
• Virus de la fièvre jaune ;
• Virus de l’hépatite B ;
• Virus des oreillons ;
• Virus de la poliomyélite ;
• Virus de la rougeole ;
• Virus de la rubéole ;
• Virus de la vaccine »

Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole),
deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.

En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que :
« Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent :
2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ;
3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ;
5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.

La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »

Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.

Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.

Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations
Info Vaccins France

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000036358484
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000036543886
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424589/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-1er-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424586/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationspour-les-etudiants-et-professionnels-des-secteurs-sanitaire-medicosocial-et-en-contacts-etroitsavec-de-jeunes-enfants
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456352/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-2nd-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456351/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationsvaccinales-des-professionnels
https://ansm.sante.fr/actualites/decision-du-07-09-2023-portant-inscription-sur-la-liste-i-dessubstances-veneneuses-definie-a-larticle-l-5132-6-du-code-de-la-sante-publique
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042654763

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Depuis la nuit des temps, des ondes pour soigner

Source : AIMSIB

Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture. 

Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?

Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.

lakho

Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne.
Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.

L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.

En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires.
Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.

Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.

Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?

Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux :
– Qu’est-ce qu’une onde ?
– Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz.  Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.

Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants :
• 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles)
• courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz
• de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores )
• ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz
• ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson.
• infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz
• lumière visible autour de 1013,5-14 Hz
• ultra-violets : 1015 Hz
• rayons X, puis les ondes cosmiques

freq ondes

Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?

• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques.
• certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures.
• Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important.
• Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle.
• Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra.
• Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient.
• Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.

Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être  transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine,  correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique.
◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.

• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique,  c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.

Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser.
Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.

Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?

Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.

1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées.
2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.

Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.

Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?

Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.

Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.

Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?

En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.

Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.

Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.

Sylvie Henry-Réant
Décembre 2024

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Interview de maître Joseph sur les nouveaux ARN messagers notamment ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants et leur utilisation actuelle sur les canards et les poules et peut-être bientôt sur les humains

Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).

PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?

J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.

Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.

Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.

Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…

Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :

QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :

L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).

Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).

Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.

Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.

D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.

Questions 1:

Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 2 :

Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?

Question 3:

Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?

Question 4:

Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?

Question 5 :

Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 6 :

Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?

Question 7 :

Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?

Question 8 :

Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?

La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)

Je rappelle que :

L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :

« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »

L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :

Interventions sur le génome humain

« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »

L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »

Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.

L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.

Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.

A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X

C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y

Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.

Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.

Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.

De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.

Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?

Quel était le but des fabricants de ces injections ?

Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?

Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.

Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.

Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !

Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.

Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).

Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).

Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.

C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !

Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.

Interview de maître Joseph sur les nouveaux ARN messagers notamment ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants et leur utilisation actuelle sur les canards et les poules et peut-être bientôt sur les humains Lire la suite »

Impact des vaccins COVID-19 sur le cerveau

Source : Le Point Critique

Une série d’études récentes alerte sur le lien entre les vaccins COVID-19 et l’apparition de troubles neurologiques ou psychiatriques peu de temps après une vaccination. Les mécanismes susceptibles d’expliquer ces atteintes ne sont pas formellement élucidées, mais les rapports d’évaluation de Pfizer et de Moderna indiquaient tous les deux que le vaccin pénètre dans le cerveau.

En octobre 2023, une étude de cohorte italienne[1] a révélé qu’une personne vaccinée sur trois (31,2 %) avait subi des complications neurologiques, la plupart du temps bénignes et transitoires, au cours des six mois suivant la vaccination. On dispose aujourd’hui d’une série de nouvelles études, qui alertent sur le risque de complications neurologiques graves associées aux vaccins anti-COVID.

Dans cet article, nous recensons les dernières études concernant l’impact des injections sur le cerveau, ainsi que certaines publications plus anciennes dont les résultats sont connus depuis plus de deux ans. À ce jour, la base React 19 en recense 625.

Nouvelles études parues en 2023-2024

Le Journal de l’Association médicale canadiennealertait en 2022 sur un nombre croissant de patients présentent des troubles neurologiques fonctionnels (TNF) après la vaccination contre le SRAS-CoV-2[2], affectant la motricité, les fonctions sensitives ou sensorielles. Les dernières études confirment que les injections peuvent initier ou exacerber des processus auto-immuns, provoquer des altérations des systèmes de contrôle inflammatoires ou des conditions pro-inflammatoires, et induire un large spectre de symptômes neurologiques ou psychiatriques.

Troubles neurologiques débilitants

Une étude internationale (Garcia-Dominguez et al.)[3] publiée en juillet 2024 (preprint) a analysé le rôle potentiel des vaccins dans l’apparition de trois troubles neurologiques débilitants : l’encéphalite auto-immune (AE), le trouble du spectre de la neuromyélite optique (NMOSD) et la maladie associée aux anticorps anti-MOG (MOGAD).

Résultats : La vaccination était impliquée dans 26,3 % des NMOSD, 52,4 % des AE et 85,7 % des MOGAD recensés dans la base du VAERS depuis sa création (1990), mais la plupart de ces cas sont survenus secondairement au vaccin contre le SRAS-CoV-2.

Épilepsie

Une méta-analyse italienne (Dasara et al.)[4] publiée en juillet 2024 a recensé l’ensemble des études concernant l’apparition d’un statut de mal épileptique (SE) chez les personnes vaccinées contre le COVID-19. Les auteurs présentent deux cas d’état de SE réfractaire survenus après une injection Pfizer.

Résultats : L’un des patients a nécessité 150 jours d’hospitalisation, le second est décédé de complications infectieuses après 90 jours d’hospitalisation. Sept autres cas ont été recensés dans la littérature, 4 après une injection Moderna, 2 après une injection Pfizer, 1 après une injection AstraZeneca. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 4,5 jours. Les auteurs concluent que l’EDM est une complication rare mais sévère de la vaccination anti-COVID.

Maladie d’Alzheimer

Une étude sud-coréenne (Roh et al.)[5] publiée en mai 2024 a analysé l’évolution de l’état neurologique des personnes vaccinées (519 330) vs non-vaccinées (38 687) sur une période de trois mois.

Résultats : L’incidence de la maladie d’Alzheimer et des démences légères a augmenté de façon significative chez les personnes vaccinées, en particulier celles ayant reçu des vaccins à ARNm. Trois mois après une injection ARNm, la hausse est de :

  • + 23 % de maladies d’Alzheimer
  • + 140 % de démences légères

Les démences légères étant un stade précoce de la maladie d’Alzheimer, qui est associée à une espérance de vie moyenne de 8 à 12 ans, ce deuxième résultat est considéré comme dramatique par les scientifiques.

Troubles psychiatriques

Une étude sud-coréenne (Kim et al.)[6] publiée en juin 2024 a évalué l’impact de la vaccination anti-COVID sur 10 troubles psychiatriques. La cohorte représente 50 % de la population de Séoul (4 348 412 personnes).

Résultats : L’incidence cumulée de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels était plus élevée dans le groupe vacciné, trois mois après la vaccination.

  • Dépression : + 68 %
  • Anxiété, dissociative, stress, troubles du sommeil : + 44 %
  • Troubles du sommeil : + 93 %
  • Troubles sexuels : 556 %

Psychoses

Une revue systématique lettonienne (Lazareva et al.)[7] publiée en avril 2024 a recensé l’ensemble des rapports de cas sur l’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre le COVID-19.

Résultats : Les femmes étaient impliquées dans 54 % des cas, avec un âge moyen de 34 ans et un délai moyen d’apparition des symptômes de 6 jours. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 6 jours, avec une durée moyenne de 52 jours, mais 50 % des patients n’ont obtenu un rétablissement complet.

Maladies à prions

Une étude indienne (Begum et al.)[8] publiée en juillet 2024 relate un cas d’apparition tardive de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez un homme de 83 ans à la suite d’une infection COVID-19. Le patient a développé les premiers symptômes un an après l’infection, il est décédé sept mois plus tard d’un choc septique et d’une défaillance respiratoire.

Résultats : Le mécanisme n’est pas discuté dans l’étude, mais selon le chercheur Walter Chesnut[9], ce cas confirme que la protéine Spike du SARS-CoV-2, peut induire une maladie à prions. Il suggère plus spécifiquement que les protéines contaminées par la protéine Spike deviennent des prions.

Nous envisageons presque certainement une toute nouvelle forme de maladie à prions. Une maladie neurodégénérative traditionnelle qui ne se limite pas à la maladie neurodégénérative. Cette nouvelle version attaque plusieurs protéines, plusieurs organes. Nous avons besoin de biopsies et d’autopsies pour déterminer dans quelle mesure, le cas échéant, cela se produit. Ma crainte est qu’il y ait une vague silencieuse de construction de la maladie à prions qui nous attrapera (pour certains) par surprise.Chesnut W. The Spike protein and systemic prion disease: RBD Prion-Like domain/mitochondrial interactions induce a novel form. 2024 Jul 22. https://wmcresearch.substack.com/p/the-spike-protein-and-systemic-prion.

Le statut vaccinal du patient n’est pas évoqué, contrairement à celui dont le cas a été relaté dans une étude italienne en mars 2024[10]. L’étude décrit le cas d’une patiente de 51 ans ayant développé une forme génétique de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après une infection COVID. La patiente avait contracté le COVID deux mois auparavant et avait reçu une dose de vaccin Pfizer six mois plus tôt. Elle est décédée deux mois plus tard.

Retard de développement et autisme*

Une étude turque (Erdogan et al.)[11] publiée en janvier 2024 a évalué les implications potentielles des vaccins ARNm (en l’occurrence Pfizer) chez des femelles rats enceinte et leur progéniture sur trois critères : les comportements de type autiste, le développement neuronal et les performances motrices.

Résultats : Trois résultats alarmants se dégagent de l’étude.

  • Les rats mâles ont présenté des comportements de type autisme prononcé, caractérisés par une réduction marquée de l’interaction sociale et des schémas de comportement répétitifs.
  • Il y a eu une diminution substantielle du nombre neuronal dans les régions critiques du cerveau, indiquant une neurodégénérescence potentielle ou un neurodéveloppement altéré.
  • Les rats mâles ont démontré une altération des performances motrices, mises en évidence par une réduction de la coordination et de l’agilité.

Les auteurs concluent :

Nos résultats révèlent que le vaccin ARNm BNT162b2 (Pfizer) modifie significativement l’expression génique du WNT et les taux de BDNF chez les rats mâles et femelles, avec des effets particulièrement prononcés observés chez les mâles. Ces résultats suggèrent un impact profond du vaccin sur les principales voies du développement neurologique.
Ils soulignent l’importance de la poursuite de la recherche dans ce domaine pour garantir la sécurité et le bien-être de toutes les personnes, en particulier celles qui sont enceintes et leur progéniture.

Caillots cérébraux*

Une étude américaine (Ryu et al.)[12] publiée en août 2024 a étudié les mécanismes sous-jacents aux thromboses et aux symptômes neurologiques mettant en jeu le pronostic vital chez les patients atteints de COVID longs.

Résultats : La fibrine, composante clé des caillots sanguins, pulmonaires ou cérébraux, se lie à la protéine Spike du SRAS-CoV-2, formant des caillots sanguins pro-inflammatoires qui entraînent une thromboinflammation systémique, une neuropathologie et une perte neuronale. Ce mécanisme est impliqué dans les COVID longs mais également les cancers, par destruction des cellules NK (natural killers). Les auteurs ne pensent pas que cette découverte remette en cause la sécurité des vaccins ARNm qui produiraient selon eux « de petites quantités de protéine Spike qui s’accumulent localement et dans les ganglions drainants, où la réponse immunitaire est initiée et la protéine est éliminée ». Cet optimisme est contreduit par les études de biodistribution et par la découverte de quantités astronomiques de quantités Spike chez de nombreux vaccinés, à distance de plusieurs mois d’une injection.

NB. Le manuscrit a été reçu le 13 février 2023 par l’éditeur. Pourquoi une telle rétention ?

Décès dus à des maladies neurologiques chez les jeunes adultes

Une étude portugaise (Alegria et al.)[13] publiée en preprint en juin 2024 a analysé l’évolution des décès par tranche d’âge, recensés par le CDC entre 2000 et 2023 et impliquant une maladie neurologique.

Résultats : Les décès excessifs impliquant une maladie neurologique se sont produits pour la plupart des groupes d’âge. L’effet le plus fort a été observé chez les 15-44 ans :

  • 2020 : + 4,4 % (cause sous-jacente) et + 11,2 % (causes multiples)
  • 2021 : + 10,0 % et 20,6 %
  • 2022 : + 9,9 % et 14,7 %
  • 2023 : + 8,1 % et 7,1 %

Les chercheurs précisent : « Les résultats indiquent qu’à partir de 2020, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès neurologiques semble être particulièrement présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. »

Effets secondaires neurologiques déjà documentés

Les études présentées ici ne représentent qu’un petit échantillon des publications disponibles aujourd’hui.

Ce qu’on savait en octobre 2021 lorsque l’obligation vaccinale est entrée en vigueur

Une revue de la littérature indienne parue en octobre 2021 (Garg et al.)[14] a recensé 147 études.

Résultats : Les complications neurologiques rapportées après la vaccination anti-COVID augmentent de manière continue depuis le déploiement des injections. Les plus « dévastatrices » sont la thrombose veineuse cérébrale et les sinus veineux cérébraux chez les femmes en âge de procréer.

Autres complications neurologiques majeures :

  • la paralysie de Bell principalement après les vaccins ARNm ;
  • la myélorite transverse aiguë ;
  • l’encéphalomyélite disséminée aiguë ;
  • la polyneuropathie démyélicanisante aiguë ;
  • la réactivation du zona de l’herpès, fréquente après un vaccin ARNm.
Complications neurologiques des vaccins COVID (d'après Garg et al.)
Complications neurologiques des vaccins COVID (d’après Garg et al.)

Ce qu’on savait en décembre 2022, lorsque la HAS a recommandé la vaccination à partir de 6 mois[15]

  • Une revue de la littérature conduite par des chercheurs américains et iraniens (Mohseni Afshar et al.)[16] recensait 249 études en novembre 2022. Les événements indésirables (EI) neurologiques susceptibles d’être exacerbés ou induits par la vaccination anti-COVID incluent des maladies neuro-immunologiques telles que la myasthénie grave (MG) et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), les crises d’épilepsie, la réactivation du virus varicelle-zona, les accidents vasculaires cérébraux, la paralysie de Bell, la myélite transverse (MT) et l’encéphalomyélite aiguë disséminée (EADM). Les auteurs mettent en garde :

Tout symptôme neurologique après la vaccination contre la COVID-19 peut être potentiellement critique et doit être évalué avec prudence.

  • Une seconde revue de la littérature réalisée par deux chercheurs indiens (Chatterjee et al.)[17]recense les complications neurologiques documentées à l’issue de 18 mois de vaccination en distinguant les atteintes du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Les auteurs précisent :

La précipitation de nouvelles lésions cérébrales démyélinisantes […] et l’aggravation de troubles neurologiques préexistants (comme l’épilepsie, la sclérose en plaques) sont très préoccupantes, bien que aucune preuve concluante impliquant les vaccins n’est disponible dès à présent. […] La sécurité, au moins des vaccins à ARNm, est toujours discutée pour les patients atteints de sclérose en plaques rémittente active, NMOSD et MOGAD. Il est recommandé aux patients présentant des symptômes neurologiques aigus de consulter un médecin, en particulier avant la vaccination.

Commentaire : Selon le Pr Josef Finsterer[18], cette étude omet plusieurs événements graves. La figure ci-dessous est issue de l’étude de Chatterjee et al. complétée par celle de Finsterer(**).

Complications neuroleptiques par système nerveux (d'après Chatterjee et al.)
Complications neuroleptiques par système nerveux (d’après Chatterjee et al.)

État des connaissances acquises en février 2023

Une revue de la littérature iranienne (Hosseini et al.)[19] publiée en février 2023 établit le profl neurologique des vaccins, sur la base d’un recensement de 147 études.

Les complications le plus courantes sont les troubles cérébrovasculaires et les troubles démyélinisants, notamment la myélite transverse, la sclérose en plaques (SEP) inaugurale et la neuromyélite optique. Les auteurs précisent :

Les vaccins anti-COVID peuvent parfois avoir des effets secondaires graves sur le système nerveux, y compris le cerveau, la moelle épinière, les nerfs crâniens et les nerfs périphériques. Ces effets sont souvent aigus et transitoires, mais ils peuvent être sévères et même fatals dans quelques cas.

Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)
Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)

La maladie de Creutzfeldt-Jakob doit-elle être ajoutée à cette liste ?

Le tout premier article du Point critique, paru en février 2022, concernait de Mauricette Doyer, décédée quelques mois plus tard d’une maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) qu’elle avait déclarée quinze jours après sa 2e dose de vaccin Pfizer. D’autres cas similaires ont été décrits depuis après une vaccination anti-COVID[20]. Nous posions cette question, en nous basant sur un faisceau d’études et sur l’émergence d’un signal au Nouveau-Brunswick (Canada) où un cluster de maladies neurodégénératives de type MCJ avait été signalé : Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

Le lien entre la maladie de Maurciette et la vaccination a été jugé plausible par la justice mais les autorités sanitaires, que ce soit en France et au Canada, ne sont pas curieuses de savoir si cette maladie à déclaration obligatoire pourrait avoir été inoculée à des millions de citoyens : des échanges de mails montrent que l’enquête canadienne a été étouffée, et Olivier Véran n’a jamais répondu à l’alerte du Pr Montagnier qui aurait dû pourtant déclencher une suspension a minima temporaire de la vaccination pour s’assurer qu’elle ne mettait pas en danger la population.

Les preuves d’un lien possible entre la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les injections anti-COVID se sont multipliées depuis deux ans, mais l’alerte a été donnée dès 2021 par plusieurs scientifiques[21],[22],[23],[24] suite à la découverte de séquences de type « prions » dans le virus du SARS-CoV-2 et la confirmation que la protéine Spike peut franchir la barrière hématoencéphalique et pénétrer dans le cerveau[25],[26],[27]. D’autres mécanismes susceptibles d’induire une MCJ ont été découverts en 2021-2023[28][29],[30],[31],[32],[33] : induction du mauvais repliement de nombreuses protéines, formation d’agrégats amyloïdes, accumulation de la protéine Spike dans la rate…

Ces données ont été consolidées en 2023 dans une revue de la littérature[34], qui analyse le rôle potentiel de la protéine Spike dans les maladies neurodégénératives, dont la MCJ. Les inquiétudes suscitées par cette étude ont été renforcées par la publication d’une étude[35] qui démontre que la technologie ARNm utilisée dans les injections génère des erreurs de traduction (décalage du cadre ribosomique), se traduisant par la production de protéines errantes ou inconnues autre que la protéine Spike.

De manière plus anecdotique, des chercheurs ont lancé un appel à témoins concernant la survenue de symptômes neurologiques débilitants chez des personnes vaccinées. Ils ont recueilli 60 cas sur un échantillon de 15 000 visites, ce qui représente une fréquence de 1 cas sur 66, alors que la maladie est réputée toucher touche 1 personne sur 1000000.

Selon le Dr Chesnut, on peut également s’inquiéter de l’affinité entre de nombreuses complications des injections avec la maladie à prions (cardiomyopathie, diabète de type 2, caillots…) et, inversement, de l’implication potentielle des prions dans les complications neurologiques des COVID longs. Il cite notamment une étude tchèque de 2023[36] dont la conclusion est particulièrement inquiétante :

Ensemble, nous supposons, en partie, le COVID prolongé peut impliquer l’induction d’une émergence spontanée du prion, en particulier chez les individus susceptibles d’être à son origine, ce qui peut expliquer certaines de ses manesfestestions virales après une infection virale aiguë.

Conclusion

À ce jour, en France, les seuls signaux de sécurité confirmés des vaccins ARNm COVID-19 sont l’hypertension artérielle, la myocardite/péricardite et les saignements menstruels importants (Pfizer et Moderna) ainsi que l’apparition d’un érythème polymorphe et d’une réaction au site d’injection (Moderna). Trois complications neurologiques sont toujours sous surveillance pour le vaccin Pfizer (thrombose veineuse cérébrale, méningo-encéphalite zostérienne, syndrome de Guillain-Barré), deux pour le vaccin Moderna (perte de connaissance et syndrome de Parsonage Turner), mais l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en charge de la pharmacovigilance, a cessé de publier les données depuis un. Son dernier rapport remonte au 28 août 2023, on suppose donc qu’elle n’a pas pu établir de lien avec le vaccin.

Cette mini-revue de la littérature suggère pourtant que les preuves sont pléthoriques. On dispose aujourd’hui d’une série d’études démontrant que le vaccin traverse la barrière hématoencéphalique, ce qui peut expliquer un grand nombre des complications neurologiques observées, mais l’Agence européenne des médicaments le savait au moment où les vaccins Pfizer et Moderna. Ses rapports d’évaluation[37],[38]. le mentionnent explicitement :

De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique).Rapport d’évaluation Moderna, p. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/spikevax-previously-covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf

Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau.Rapport d’évaluation Pfizer, p. 54. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf#page=54

D’autres éléments suggèrent que le concepteur du vaccin Pfizer était conscient des effets délétères qu’il aurait sur le cerveau.

Que faut-il en conclure ? Ceux qui n’ont pas encore trouvé la réponse à cette question seraient avisés de se dépêcher. La prochaine pandémie est déjà là, les vaccins aussi, mais cette fois les choses sont plus claires : les fabricants ont déjà admis que l’efficacité n’avait pas été évaluée chez l’homme et on connaît déjà le nom de certains effets secondaires graves.

* Article mis à jour le 31 août 2024.


Références

[1] Salsone M, Signorelli C, Oldani A, Alberti VF, Castronovo V, Mazzitelli S, et al. NEURO-COVAX: An Italian population-based study of neurological complications after COVID-19 vaccinations. Vaccines (Basel). 2023 Oct 21;11(10):1621. https://doi.org/10.3390/vaccines11101621.

[2] Zhu A, Burke MJ.Functional neurologic disorder associated with SARS-CoV-2 vaccination. CMAJ. 2022 Aug 15;194(31):E1086-E1088. https://doi.org/10.1503/cmaj.220039.

[3] Garcia-Dominguez MA, Kaur T, Kipkorir V, Cheruto DC, Clinton R, Udochukwu A. Autoimmune encephalitis, neuromyelitis optica spectrum disorder and myelin oligodendrocyte glycoprotein antibody-associated disease: Analysis of the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). MedRxiv (preprint). 2024 Jul 19. https://doi.org/10.1101/2024.07.15.24310444.

[4] Dasara M, Dono F, Evangelista G, Quintieri P, Liviello D, Cipollone S, et al. Status epilepticus as a complication of SARS-CoV-2 vaccination: Two case reports and systematic review with individual patients’ data analysis. Seizure. 2024 Jul 18;121:8-16. https://doi.org/10.1016/j.seizure.2024.07.013.

[5] Roh JH, Jung I, Suh Y, Kim MH. A potential association between COVID-19 vaccination and development of alzheimer’s disease. QJM. 2024 May 28:hcae103. https://doi.org/10.1093/qjmed/hcae103.

[6] Kim HJ, Kim MH, Choi MG, Chun EM. Psychiatric adverse events following COVID-19 vaccination: a population-based cohort study in Seoul, South Korea. Mol Psychiatry. 2024 Jun 4. https://doi.org/10.1038/s41380-024-02627-0.

[7] Lazareva M, Renemane L, Vrublevska J, Rancans E. New-onset psychosis following COVID-19 vaccination: a systematic review. Front Psychiatry. 2024 Apr 12;15:1360338. https://doi.org/10.3389/fpsyt.2024.1360338.

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[38] European Medicines Agency. Committee for Medicinal Products for Human Use (CHMP) Assessment report. COVID-19 Vaccine Moderna. Common name: COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside-modified) Procedure. No. EMEA/H/C/005791/0000. 2021 Mar 11. P. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf.

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Le système de santé de Singapour est-il confronté à une crise ? L’oncologue le plus expérimenté de Singapour tire la sonette d’alarme

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« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »

Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.

Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.

En 2020, Temasek, la société d’investissement gouvernementale de Singapour, a investi 330 millions de dollars singapouriens (250 millions de dollars américains) dans la société de biotechnologie allemande BioNTech, qui développait un vaccin expérimental contre le coronavirus en partenariat avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Que sont exactement ces vaccins à ARNm ?

En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.

Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.

En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.

En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.

La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.

Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.

Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.

Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.

Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.

– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024

Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour.
Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 .
Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.

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Les inconvénients immunologiques associés à la traduction puissante de l’ARNm du vaccin actuel contre la COVID-19 peuvent être surmontés par des vaccins muqueux

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Par Maurizio Federico

Centre national pour la santé mondiale, Istituto Superiore di Sanità, 00161 Rome, Italie

Vaccins 2024 , 12 (11), 1281 ; https://doi.org/10.3390/vaccines12111281

Soumission reçue : 11 octobre 2024 / Révisé : 11 novembre 2024 / Accepté : 13 novembre 2024 / Publié : 14 novembre 2024

(Cet article appartient au numéro spécial Efficacité, immunogénicité et sécurité des vaccins contre la COVID-19 et Stratégies de vaccination contre la COVID-19 )
Abstrait

L’action des vaccins à base d’ARNm nécessite l’expression de l’antigène dans des cellules ciblées par des complexes lipidiques nanoparticules-ARNm. Lorsque l’antigène vaccinal n’est pas entièrement retenu par les cellules productrices, sa diffusion locale et systémique peut avoir des conséquences dépendant à la fois des niveaux d’expression de l’antigène et de son activité biologique. Une particularité des vaccins COVID-19 à base d’ARNm réside dans les quantités extraordinairement élevées d’antigène Spike exprimées par les cellules cibles. De plus, le vaccin Spike peut être excrété et se lier aux récepteurs cellulaires ACE-2, induisant ainsi des réponses d’importance pathogénétique, notamment la libération de facteurs solubles qui, à leur tour, peuvent déréguler des processus immunologiques clés. De plus, les réponses immunitaires circulatoires déclenchées par le vaccin Spike sont assez puissantes et peuvent conduire à une liaison croisée efficace des anticorps anti-Spike, ainsi qu’à l’émergence d’anticorps à la fois auto- et anti-idiotypes. Dans cet article, les inconvénients immunologiques de la forte efficacité de la traduction de l’ARNm associé aux vaccins contre la COVID-19 sont discutés ainsi que les arguments soutenant l’idée que la plupart d’entre eux peuvent être évités avec l’avènement des vaccins muqueux contre la COVID-19 de nouvelle génération. 19 vaccins.

Mots-clés :

Vaccins à ARNm contre la COVID-19  ; Pointe du SRAS-CoV-2  ; vaccins muqueux ; ACE-2  ; auto-immunité

1. Introduction

Les vaccins à base d’ARNm contre la COVID-19 ont été distribués à de nombreuses personnes dans leurs versions originales et actuelles mises à jour. En outre, la technologie de l’ARNm constitue la base de vaccins expérimentaux supplémentaires ainsi que de la dernière génération d’immunothérapies anticancéreuses. Il est donc obligatoire d’identifier, de surveiller et d’analyser en profondeur les événements inattendus les plus pertinents que cette technologie peut produire chez l’homme, même si ceux-ci se produisent rarement.

Plusieurs caractéristiques distinguent les vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm des vaccins « traditionnels » basés sur des virus atténués/inactivés, des produits de sous-unités ou des produits recombinants, qui ont été si utiles pour l’élimination/le confinement de plusieurs maladies infectieuses. Premièrement, la formulation du vaccin comprend des nanoparticules lipidiques (LNP) complexées avec des molécules d’ARNm produites par le processus de transcription in vitro. Deuxièmement, l’immunogène ne fait pas partie de la formulation du vaccin, mais il devrait être synthétisé par les cellules internalisant les complexes ARNm/LNP. Cette preuve justifie la définition plus appropriée du promédicament (conçu comme une substance pharmacologiquement inactive qui est convertie dans le corps en un médicament pharmacologiquement actif) plutôt que du vaccin [ 1 ]. Troisièmement, l’immunogène (c’est-à-dire la protéine virale Spike) est synthétisé par les cellules cibles à des niveaux très élevés et persiste dans le temps [ 2 ]. Quatrièmement, l’immunogène reconnaît, se lie et active un récepteur cellulaire de signalisation répandu, à savoir l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ACE)-2, et est stabilisé dans sa conformation de préfusion par deux mutations consécutives en proline aux positions d’acides aminés 986 et 987. qui n’ont pas d’impact négatif sur la liaison/activation de l’ACE-2. Par conséquent, l’abondance, la diffusion, la persistance, l’activité biologique et la stabilité de l’immunogène sont des points clés distinguant les vaccins COVID-19 à base d’ARNm.

Dans cet article, les conséquences les plus pertinentes de la surproduction de l’antigène Spike après la vaccination contre le COVID-19 à base d’ARNm et de la réponse immunitaire circulatoire plutôt puissante évoquée sont discutées. Une image complète de toutes les préoccupations possibles serait d’une utilité majeure pour le développement de vaccins plus sûrs et plus ciblés contre le SRAS-CoV-2 et d’autres agents infectieux aéroportés. Parmi ceux-ci, les vaccins muqueux méritent une certaine attention compte tenu de leur action au point d’entrée du virus et de l’absence d’effets systémiques indésirables.

2. Niveaux élevés et persistants de pic de circulation après la vaccination

Les complexes ARNm/nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. L’injection dans le muscle deltoïde favorise leur entrée dans les cellules musculaires ; cependant, l’inflammation modérée induite par certains composants lipidiques [ 3 ] peut attirer des cellules professionnelles présentatrices d’antigène (APC) vers le site d’injection. Les APC peuvent ingérer les LNP, subir une activation et migrer vers les ganglions lymphatiques [ 4 ]. De plus, des quantités non quantifiables de complexes ARNm/LNP injectés échappent à l’internalisation cellulaire au site d’injection, entrant ainsi en circulation. De manière cohérente, les études de biodistribution réalisées par un fabricant de vaccins à ARNm COVID-19 ont mis en évidence la diffusion potentielle des LNP injectés par voie intramusculaire dans presque tous les tissus [ 5 ].

L’ARNm et le vaccin Spike persistent dans l’organisme longtemps après la vaccination. Une étude réalisée sur des échantillons autooptiques de patients après vaccination contre le COVID-19 a démontré la persistance de l’ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques axillaires bilatéraux jusqu’à 30 jours après la vaccination [ 6 ]. Notamment, l’ARNm du vaccin a également été trouvé dans les ventricules cardiaques jusqu’à 20 jours après l’injection, et sa présence était corrélée à des lésions myocardiques associées à un nombre anormalement élevé de macrophages myocardiques. Dans une autre étude, l’ARNm du vaccin a été trouvé jusqu’à 60 jours après la deuxième dose dans des biopsies des ganglions lymphatiques axillaires homolatéraux [ 2 ].

Une partie du Spike exprimé de manière intracellulaire reste exposée sur la membrane plasmique des cellules cibles sous sa forme trimérique, tandis qu’une fraction cohérente de celui-ci peut être excrétée et circuler. En conséquence, une médiane de 47 pg/mL de Spike libre a été mesurée dans le plasma des vaccinés 1 à 2 jours après l’injection, avec des pics de 174 pg/mL [ 2 ]. Ces niveaux de Spike dans le plasma semblent étonnamment élevés, allant, par exemple, aux concentrations de cytokines inflammatoires détectées chez les sujets présentant une inflammation systémique aiguë [ 7 ]. Cette preuve est particulièrement pertinente compte tenu de la forte affinité de Spike pour ACE-2, c’est-à-dire un récepteur cellulaire répandu impliqué dans plusieurs processus physiologiques clés.

3. ACE-2 : Résumé des fonctions, de la distribution et de la signalisation lors de la liaison de pointes

ACE-2 est une protéine transmembranaire de type I longue de 805 acides aminés avec une région N-terminale extracellulaire glycosylée contenant le domaine carboxypeptidase dont la fonction consiste à éliminer les acides aminés uniques de l’extrémité C-terminale de ses substrats. ACE-2 est un régulateur clé du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui contrôle la pression artérielle. Il catalyse la conversion de l’angiotensine I, un décapeptide, en angiotensine 1 à 9, qui peut être convertie en peptides d’angiotensine vasodilatateurs plus petits (par exemple, angiotensine 1 à 7) par l’ECA dans les poumons. L’ACE-2 se lie également à l’angiotensine II, c’est-à-dire un octapeptide généré par le clivage de l’angiotensine I piloté par l’ACE, pour produire l’angiotensine vasodilatatrice 1-7. ACE-2 est également impliqué dans la production de bradykinines, c’est-à-dire un groupe de peptides ayant de puissants effets vasodilatateurs [ 8 ].

ACE-2 est exprimé par une grande variété de cellules, notamment les entérocytes, les cardiomyocytes, les tubules rénaux, le système vasculaire et les cellules canalaires. À l’inverse, l’expression de l’ACE-2 dans les tissus respiratoires est limitée à un petit nombre de types de cellules spécialisées, c’est-à-dire les cellules alvéolaires de type II et les macrophages alvéolaires [ 9 ].

L’interaction entre l’ACE-2 et l’angiotensine II induit diverses voies de signalisation conduisant finalement à la libération de plusieurs cytokines, dont l’IL-6, le TNF-α et le TGF-β [ 10 ]. Notamment, les effets de l’interaction de l’ACE-2 avec Spike récapitulent ceux décrits pour sa liaison avec ses ligands naturels [ 11 ]. En particulier, dans les cellules endothéliales vasculaires, Spike naturel génère un bloc des fonctions mitochondriales [ 12 ]; pendant ce temps, la commutation de la signalisation dépendante de l’intégrine ⍺5β1 conduit à la translocation nucléaire de NF-κB. Ces événements induisent finalement l’expression de VCAM-1, ICAM-1, de facteurs de coagulation et la libération de cytokines inflammatoires TNFα, IL-1β et IL-6 [ 13 ]. Des mécanismes d’activation similaires ont été rapportés pour les macrophages et les cellules dendritiques [ 14 , 15 ]. Il est important de noter que Spike naturel induit dans les cellules épithéliales et endothéliales la libération de cytokine pléiotrope TGF-β [ 16 ].

4. L’axe SARS-CoV-2 Spike/ACE-2/TGF-β dans la surveillance immunitaire antitumorale et la transition épithéliale à mésenchymateuse

La liaison de Spike avec ACE-2 produit de profondes altérations de la signalisation intracellulaire avec l’activation de facteurs de transcription et la libération de plusieurs facteurs solubles. En particulier, il a été constaté que les cellules endothéliales vasculaires humaines traitées avec Spike libèrent à la fois du TGF-β1 et du TGF-β2 [ 17 ], ce qui est cohérent avec les précédentes preuves « in vivo » suggérant un rôle clé du TGF-β dans la pathogenèse du COVID-19 [ 18 , 19 ].

Le TGF-β, avec ses trois isoformes, c’est-à-dire -β1 à -β3, est un régulateur clé de la réponse immunitaire adaptative [ 20 ], agissant, par exemple, comme un inhibiteur de l’activité de présentation d’antigène dans les cellules dendritiques (DC) grâce à la régulation négative des molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) [ 21 , 22 ] ( Figure 1 ). Il réduit également l’expression de l’IL-12 et des molécules co-stimulatrices telles que CD40 dans les macrophages et CD80, CD83 et CD86 dans les CD, dans le cadre des mécanismes de régulation de l’activation des cellules immunitaires médiées par APC [ 23 , 24 ].

Vaccins 12 01281 g001

Graphique 1. Effets spectateurs de la liaison Spike/ACE-2. La protéine libre SARS-CoV-2 Spike se lie aux cellules exprimant l’ACE-2, induisant ainsi une signalisation intracellulaire, conduisant à la libération de facteurs solubles. Parmi ceux-ci, le TGF-β est connu pour réguler négativement l’activité de présentation de l’antigène dans les APC via une régulation négative du CMH de classe I/II. Le TGF-β est également un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases.

Le TGF-β peut également interférer avec les mécanismes de surveillance immunitaire contrôlant la croissance des cellules tumorales. Par exemple, le TGF-β peut induire la polarisation des macrophages de M1 (marquée par la libération de cytokines inflammatoires telles que l’IL-1β, l’IFN-γ, le TNF-α, l’IL-12 et l’IL-18) vers les macrophages M2, sécrétant cytokines anti-inflammatoires comme l’IL-1ra et l’IL-10, et caractérisées par de multiples propriétés immunosuppressives du microenvironnement tumoral [ 25 ]. D’autre part, le TGF-β est un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse (EMT) [ 26 ], qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases. Dans ce scénario, les résultats cohérents des travaux expérimentaux de deux groupes de recherche ont soulevé l’hypothèse selon laquelle Spike naturel peut contribuer à l’EMT ( Figure 1 ). En détail, Lai et ses collègues ont fourni la preuve que la signalisation liée au TGF-β fait partie du mécanisme sous-jacent à l’acquisition d’un phénotype de type mésenchymateux de cellules cancéreuses du sein humaines exprimant Spike. Plus important encore, ils ont démontré que le nombre de métastases pulmonaires chez les souris inoculées avec des cellules cancéreuses du sein 4T1 exprimant Spike augmentait par rapport à celui induit par les cellules parentales. 27 , 28 ]. Ciszewski et ses collègues ont observé que le traitement avec Spike recombinant de type sauvage des cellules endothéliales humaines HUVEC et HMEC-1 induit la libération de TGF-β associée à la trans-différenciation cellulaire. En étudiant le mécanisme d’action sous-jacent, ils ont prouvé l’implication de l’axe ACE-2/TGF-β/MRTF (facteur de transcription lié à la myocarde)-β dans l’EMT observé. Enfin, la contribution du TGF-β dans l’EMT lié à Spike a été en outre corroborée par la démonstration que les cellules endothéliales humaines traitées par Spike n’ont pas réussi à se trans-différencier en présence d’anticorps anti-TGF-β [ 17 ].

Les résultats de ces études posent la question de savoir si Spike peut contribuer à l’EMT chez l’homme. Même si aucune donnée clinique décrivant les événements associés à ces réponses immunitaires pathologiques n’est disponible jusqu’à présent, les implications potentielles en termes de sécurité des vaccins contre la COVID-19 semblent également se manifester compte tenu des preuves selon lesquelles les ARNm/LNP peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. Par exemple, l’entrée malheureuse de complexes ARNm/LNP dans des cellules tumorales déjà émergées peut reproduire les conditions décrites par Lai et ses collègues, représentant ainsi un risque en termes de formation de métastases. D’un autre côté, des effets pathogénétiques de spectateur peuvent être induits par la production locale de fortes concentrations de Spike par des cellules normales ciblées par les ARNm/LNP et situées à proximité des cellules tumorales, comme décrit par Ciszewski et coll. Pour ces raisons, étendre les études à des systèmes cellulaires supplémentaires ainsi qu’à des modèles « in vivo » appropriés apparaît obligatoire compte tenu de la possibilité que des complexes ARNm/LNP circulent dans l’organisme après la vaccination.

5. Immunité non spécifique induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : liaison croisée d’anticorps, autoanticorps, anticorps anti-idiotypes et changement de cadre ribosomal

Les niveaux élevés de vaccin Spike produits après l’injection sont associés à une réponse immunitaire circulatoire extraordinairement puissante, avec la production de titres élevés d’anticorps anti-Spike. D’une part, ce résultat est considéré comme un avantage en termes de protection antivirale ; d’un autre côté, cependant, une immunogénicité aussi puissante peut être associée à des effets indésirables pertinents apparaissant généralement en présence de stimuli antigéniques à la fois élevés et persistants. Ceux-ci incluent la liaison substantielle des anticorps anti-Spike réagissant de manière croisée avec les antigènes du « soi » avec l’induction de processus non physiologiques/pathogénétiques, l’émergence d’auto-anticorps et la génération d’anticorps anti-idiotypes. Ces événements ont été corrélés à l’émergence chez les vaccinées de pathologies comme la thrombocytopénie, la myocardite, divers troubles du cycle menstruel, la réémergence d’infections latentes et le syndrome vaccinal post-COVID (PCVS).

Les anticorps à réaction croisée se lient à des cibles hétérologues via le mécanisme du mimétisme moléculaire. Très probablement, des effets pathogénétiques peuvent se produire lorsque des quantités suffisantes d’entre eux se lient à des cibles moléculaires non spécifiques agissant dans des processus biologiques pertinents. Grâce à une analyse informatique du mimétisme moléculaire entre Spike et des épitopes humains connus, il a été rapporté que Spike partage des motifs linéaires immunogènes avec, entre autres, la thrombopoïétine (TQPLL) et la tropomyosine alpha-3 (ELDKY) [ 29 ]. Ces résultats semblent pertinents puisque le premier est un facteur de croissance clé nécessaire à la différenciation mégacaryocytaire et à la production de plaquettes, et le second est un composant structurel des cardiomyocytes. Dans une autre étude, il a été rapporté que Spike partage 41 déterminants immunitaires minimaux avec 27 protéines humaines spécifiques au système reproducteur féminin liées à l’ovogenèse, à la réceptivité utérine, à la décidualisation et à la placentation [ 30 ].

Des études cliniques ont fourni la preuve que l’injection de vaccins à ARNm contre la COVID-19 peut être associée à la production d’auto-anticorps, c’est-à-dire d’anticorps non anti-Spike reconnaissant les auto-antigènes, comme conséquence possible d’une dérégulation immunitaire générale. Par exemple, Xu et ses collègues [ 31 ] ont trouvé des anticorps neutralisants anti-interféron de type I chez 10 % des individus vaccinés en bonne santé, bien qu’avec une taille d’échantillon limitée. Dans une autre étude, 18 % des patients développant un PCVS produisent des auto-anticorps contre les sous-unités des neurofilaments [ 32 ]. Même si, dans certains cas, les auto-anticorps peuvent représenter des spectateurs innocents, il est encore difficile de savoir si la vaccination réactive l’auto-immunité latente préexistante ou induit la génération « de novo » d’auto-anticorps.

Le mimétisme moléculaire est également à la base des effets des anticorps anti-idiotypes ( Figure 2 ).

Vaccins 12 01281 g002

Graphique 2. Génération d’anticorps anti-idiotypes après la vaccination contre le COVID-19. Le système immunitaire peut générer des anticorps contre les séquences d’anticorps anti-Spike reconnaissant le domaine Spike liant le récepteur ACE-2 (domaine de liaison au récepteur, RBD). Grâce à un mécanisme de mimétisme moléculaire, ces anticorps (anticorps anti-idiotypes) peuvent se lier à l’ACE-2 tout comme le Spike immunogène.

Dans le cas où l’immunogène est un antigène se liant à un partenaire moléculaire, le système immunitaire peut réagir contre les séquences au sein des anticorps anti-antigènes induits qui reconnaissent la région de l’antigène qui se lie à son partenaire, par exemple dans le cas de Spike, le domaine de liaison au récepteur (RBD). Dans des conditions physiologiques, ce mécanisme contribue au contrôle de la production d’anticorps spécifiques de l’antigène. Cependant, en présence de quantités excessives d’anticorps spécifiques de l’antigène, comme dans le cas de la vaccination anti-COVID-19 à base d’ARNm, l’hyperproduction d’anticorps anti-idiotype qui en résulte peut conduire à des effets imitant ceux induits par la liaison de Spike avec ACE-2 [ 33 ]. Bellucci et ses collègues ont récemment démontré les effets secondaires associés à la production d’anticorps anti-idiotype se liant à l’ACE-2. En particulier, ils ont signalé des complications cliniques neurologiques, notamment une radiculite, une myélite et un syndrome de Guillain-Barré, chez des sujets infectés et non infectés par le SRAS-CoV-2, ayant reçu une injection de vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm et développant des auto-anticorps anti-ACE-2. 34 ]. Malheureusement, les autoanticorps et les anticorps anti-idiotypes devraient persister au-delà de la durée de la réponse immunitaire anti-Spike.

La découverte récente selon laquelle l’incorporation de N1-méthyl-pseudouridine à la place du résidu naturel d’uridine dans le squelette de l’ARNm associé au vaccin peut induire un décalage de cadre ribosomal +1 a ajouté une autre couche de complexité en termes de réponse immunitaire induite par le vaccin. Il a été estimé qu’environ 8 % du total des produits traduits représentent des protéines inconnues immunogènes chez l’homme [ 35 ]. Le potentiel auto-immun des produits protéiques aberrants ainsi générés représente un point supplémentaire qui doit être étudié plus en profondeur.

6. Vaccins muqueux : une alternative potentiellement exempte d’effets secondaires systémiques

Le champ de bataille du COVID-19 est le système respiratoire, où le vaccin idéal contre le COVID-19 devrait développer sa force immunologique et antivirale la plus efficace. Les données cliniques rapportées concernant les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm soutiennent l’idée selon laquelle la forte réponse immunitaire circulatoire est associée à une immunité antivirale dans les zones respiratoires qui est trop limitée [ 36 ].

De la même manière que ce qui a été démontré avec les infections naturelles [ 37 ], les vaccins muqueux ont le potentiel de susciter des réponses immunitaires efficaces dans le compartiment respiratoire grâce à l’induction à la fois d’IgA dimères/sécrétoires neutralisantes dans le district oronasopharyngé [ 38 ] et de CD8 de mémoire résidente antivirale. + Lymphocytes T dans les voies respiratoires inférieures [ 39 ]. Ainsi, des vaccins muqueux efficaces ont l’avantage incomparable de bloquer la chaîne de transmission du SRAS-CoV-2 ainsi que d’autres virus aéroportés.

À l’heure actuelle, deux vaccins muqueux COVID-19 ont été approuvés et d’autres sont en expérimentation clinique [ 40 ]. Il convient de noter qu’en aucun cas ces vaccins ne devraient induire de réponses immunitaires systémiques robustes comme celles observées avec les vaccins actuels contre la COVID-19. Cependant, une immunisation systémique sous-optimale/faible ne doit pas être considérée comme un inconvénient fonctionnellement pertinent compte tenu du compartimentage du système immunitaire respiratoire [ 41 ], qui limite l’accès des IgG neutralisantes et des cellules immunitaires antivirales du district circulatoire. À l’inverse, cela représente un avantage en termes de forte réduction/absence d’effets systémiques immunologiques induits par les vaccins COVID-19 à base d’ARNm injectés par voie parentérale, y compris la production d’anticorps anti-idiotypiques circulatoires indésirables.

7. Conclusions

Plusieurs éléments de preuve expérimentaux soutiennent l’idée selon laquelle la protéine Spike est produite en abondance et persiste après la vaccination par ARNm COVID-19. Cependant, les vaccins actuels contre la COVID-19 à base d’ARNm reconnaissent une série de limitations pertinentes, notamment le déclin rapide de la réponse immunitaire, l’incapacité de développer une réponse immunitaire efficace au point d’entrée du virus et l’efficacité réduite des formulations mises à jour en raison de la phénomène de péché antigénique originel [ 42 , 43 ]. D’un autre côté, une traduction puissante de l’ARNm associée à une surproduction de Spike peut conduire à une dérégulation de la signalisation ACE-2 et de la production de cytokines, à une réaction croisée des anticorps contre des cibles moléculaires non spécifiques, à l’émersion d’anticorps auto- et anti-idiotypes et à des réponses immunitaires. d’importance incertaine contre des produits inconnus. De plus, les cytokines produites après la liaison Spike/ACE-2 peuvent influencer défavorablement le devenir des tumeurs encore « dormantes » et des pathologies auto-immunes préexistantes ainsi que des inflammations chroniques. Pour ces raisons, l’indication actuelle des vaccins à ARNm contre la COVID-19 pour la population « fragile » doit être soigneusement réévaluée à la lumière de la typologie de chaque fragilité spécifique.

Malgré l’efficacité remarquable de la production d’antigènes, des tentatives pour améliorer les performances de ces vaccins COVID-19 à base d’ARNm ont été faites dans le sens de renforcer la production de Spike grâce à l’injection parentérale de vecteurs à base d’ARNm auto-réplicatifs [ 44 ]. Notamment, le ministère japonais de la Santé a récemment approuvé un essai clinique pour tester la sécurité et l’efficacité d’un vaccin COVID-19 basé sur cette technologie [ 45 ]. Ce choix semble véritablement discutable étant donné les lacunes décrites ci-dessus induites par la production excessive et la persistance de Spike circulatoire dictées par les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm. Dans ce scénario, l’augmentation des quantités et de la persistance de Spike en circulation devrait exacerber les effets secondaires à la fois cellulaires et immunologiques, mais sans agir sur la limitation fonctionnelle la plus importante de ces vaccins, à savoir leur incapacité à susciter une immunité neutralisante dans les voies respiratoires. à la compartimentation immunitaire du système respiratoire. De plus, un stimulus immunogène trop puissant et persistant est connu pour induire une tolérance immunologique, comme cela a également été rapporté dans quelques articles sur les vaccins actuels contre le COVID-19. 46 , 47 ].

À l’inverse, une voie plus plausible à suivre est représentée par le développement de vaccins muqueux efficaces [ 48 ] compte tenu de leur capacité à agir au point d’entrée du virus et à éviter la plupart des effets secondaires systémiques observés dans les vaccins à ARNm COVID-19 injectés par voie intramusculaire. .

La technologie basée sur l’ARNm suscite actuellement l’intérêt de nombreux scientifiques du monde entier. Dans le cas des vaccins contre la COVID-19, il semble plus que raisonnable qu’une charge d’enquête adéquate soit concentrée sur l’identification et l’analyse d’événements inattendus, dans le but évident de rendre cette stratégie prophylactique plus sûre et adaptée à une utilisation dans un grand nombre de personnes. de personnes en bonne santé.

Financement

Ce travail a été soutenu par la subvention RiPrEI, no. Rip 001, du ministère de la Santé, Rome, Italie.

Déclaration du comité d’examen institutionnel

Sans objet.

Déclaration de consentement éclairé

Sans objet.

Déclaration de disponibilité des données

Aucune nouvelle donnée n’a été créée.

Remerciements

Je remercie Rosangela Duranti et Federica Magnani pour leur assistance en matière de secrétariat.

Conflits d’intérêts

L’auteur ne déclare aucun conflit d’intérêts.

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Les inconvénients immunologiques associés à la traduction puissante de l’ARNm du vaccin actuel contre la COVID-19 peuvent être surmontés par des vaccins muqueux Lire la suite »

Vaccinations et guerres bactériologiques ou de Caffa à Gaza : une série de conférences appréciées du Dr Jean-Pierre Eudier dans le Dauphiné

« Avant 1914, déjà, Auguste Trillat étudiait comment diffuser au mieux une épidémie… Éminent chercheur, il mettra sa science et son ingéniosité au service de l’armée pendant la Grande Guerre. » Étienne Aucouturier1

« Une partie du monde a été vacciné par du vaccin tué, inactivé, et une autre partie a été vaccinée par du virus vivant, et ce virus, quand il s’est retrouvé dans l’intestin, s’est mis d’accord avec d’autres virus dans l’intestin qui étaient très proches et on l’a très bien vu avec le Covid, qui s’est recombiné avec d’autres virus qui étaient dangereux et qui f**t des polyomiélites. Celui qu’il vient d’y avoir à Gaza n’est pas un virus naturel. Le virus de la polyomielite de Gaza est un virus vaccinal. Il y a actuellement trente fois plus de polyomiélites qui sont dues à du virus vaccinal qu’à du virus naturel. » Pr. Didier Raoult, le 9 septembre 2024 sur Cnews.

«Je cherche d’abord à comprendre les questions.»

Accueilli par des membres et sympathisants et des collectifs locaux, le Dr Jean-Pierre Eudier, président d’honneur de la Ligue depuis que sa collègue Martine Gardenal lui a succédé au titre de présidente, a effectué un voyage apprécié en Dauphiné en cette fin septembre, donnant trois conférences à l’occasion de la sortie du livre collectif de la Ligue Liberté sous surveillance (éd. Marco Pietteur). A Grenoble, il a été accompagné du chercheur Dominique Labbé, co-auteur de l’ouvrage collectif de référénce Un nouveau regard sur le Covid 19 (Ed. Demi-Lune, 2024).

Gap, ville élue il y a quelques années numéro un pour la qualité de vie en France, Voiron aux portes de la Grande Chartreuse et son élixir des Pères chartreux, Grenoble, berceau de la Révolution française mais aussi laboratoire élu de nombreuses innovations technologiques et sociales aux effets parfois ambigus tels que houille blanche, syndicat d’initiative, planning familial, informatique, intelligence artificielle, énergie atomique, nanotechnologies et transhumanisme, et plus récemment l’écologie deux point-zéro, le clientélisme et les indulgences communautaristes de la mairie ELVV d’Eric Piolle. Le Dauphiné fut autrefois donné au futur roi de France, d’où l’expression Dauphin. Le lien avec le mammifère marin venant de l’expression qui vint spontanément au roi lorsqu’il vit son fils encore enfant venir vers lui. Aimant à affubler Jean-Pierre du qualificatif de roi de France, en raison de la légitimité historique de la Ligue, de la noblesse de son combat pour l’Humanité, et de l’aspect «sacré» pour les corps et les esprits que ce combat revêt, je ne pouvais m’empêcher de faire ce rappel qu’il me pardonnera certainement, comme les lecteurs…

Jean-Pierre Eudier aime à dire: «Je cherche à comprendre les questions.» C’est en effet par l’analyse de toutes les interrogations simultanées que pose un phénomène, une épidémie, que les réponses arrivent souvent. La pensée complexe d’Edgar Morin, c’est aussi cela.

Voyageur né ayant dès l’âge de 17 ans réalisé deux tours d’Europe en auto-stop, Jean-Pierre a toujours aimé rencontrer les hommes, ressentir les terres, comprendre l’histoire en train de se faire.

Un parcours au plus près de l’Histoire

C’est pourquoi, le connaissant depuis bientôt quatre ans et l’ayant interviewé plusieurs fois, j’ai voulu que son témoignage de vie, avec ses rencontres, ses voyages, ses prises de conscience et ses rendez-vous avec l’Histoire qui nous a menés jusqu’au point de bascule actuel, et dont les vaccins pointent la direction, soit le fil de ses interventions.

Selon Hegel, les grands hommes font l’Histoire, vecteurs de la Raison cherchant à se réaliser à travers l’Humanité, une raison confisquée et amputée de son âme aujourd’hui qui enfante des monstres. Pour Marx, ce sont les peuples, acceptant ou pas la domination de ceux qui possèdent l’argent, le capital. C’est dans la coopération des deux qu’est le salut.

De son côté, Jean-Pierre avait clairement décidé d’orienter sa prise de parole sur le rapport étroit entre vaccins et guerres bactériologiques. Or, ce qui pourrait apparaître comme le summum du complotisme, y compris pour des vaccino-sceptiques informés se révèle en réalité irréfutable, à la vue de la succession chronologique des faits, année après année, de leur convergence et de la direction claire qu’il s’en dégage.

A la manière dont on relie par des lignes les numéros d’un jeu pour enfant, un dessin et dessein d’ensemble apparaît clairement au fur et à mesure de l’exercice. Des décisions impliquant des populations entière ne peuvent être prises que par de gens extrêmement puissants, connus ou pas. Et encore une fois l’inentendable suit autant l’innommable que le silence des témoins. La Dr Simone Delarue, épouse de Fernand Delarue, ancien président de la Ligue et elle-même présidente jusqu’en 1992, avait publié en 1990: Vaccinations et guerre biologique. Un livre à lire absolument, qu’il serait bien trop long de résumer ici.

De l’empoisonnement des puits à la guerre bactériologique moderne

Le Dr Eudier a d’abord rappelé que l’empoisonnement des puits ou la projection de cadavres contaminés dans des villes assiégées faisaient partie des techniques de guerre dès l’Antiquité, poursuivies au Moyen-Âge par les Turcs à Caffa en Crimée, ou par les couvertures souillées de variole offertes aux Indiens d’Amérique du Nord par les colons anglais au XVIIIème siècle.

Puis, entrant dans la pépriode moderne et préventive, il a cité la vaccination des enfants de Louis XVI par l’inoculation de la vaccine, maladie bénigne commune aux vaches et aux humains, et Jenner, Anglais ayant travaillé sur le pis des vaches à l’extrême fin du XVIIIème siècle pour immuniser les population contre la variole. Enfin celle, peu convaincante, des armées de Napoléon par Parmentier.

En 1923, après la Grande Guerre, on interdit les armes bactériologiques et chimiques à des fins offensives, mais pas préventives ou défensives, et c’est le début de toute une recherche au sein de laboratoires comme Porten Down en Angleterre, et la guerre chimique menée par le Japon contre la Chine en Mandchourie dans les années 30. La fin de la première Guerre mondiale voit lui succéder la Grippe espagnole après une grande campagne de vaccinations et juste avant l’avènement du fascisme italien en 1922 avec la marche sur Rome. C’était il y a précisément un siècle. Guerres, épidémies, crises économiques: un excellent moyen pour le contrôle des nations à travers les stratégies du choc.

Après la deuxième Guerre mondiale, une date fondamentale est 1969 aux États-Unis où le ministère de la Défense demande aux scientifiques le temps et le prix nécessaires à l’élaboration d’un virus contre lequel il n’y aurait pas de parade. La réponse est « dix ans de recherche et millions de dollars.» Beaucoup de recherches dans ce sens furent dissimulées sous la recherche contre le cancer, voire celle d’un vaccin anticancéreux. En 1972, un nouvel accord sur les armes bactériologiques est négocié entre les États-Unis et l’Union soviétique. C’est à cette période-là, en 1976, qu’Ebola, issu des manipulations du laboratoire de Porten Down en Angleterre, fait sa première apparition à la frontière entre l’Angola et le Congo belge – Zaïre ou Congo-Kinchasa – sous le règne de Joseph-Désiré Mobutu, avec un demi-millier de morts.

Il faut noter que les apparitions et disparitions d’Ebola, comme d’autres virus, furent souvent liées aux orientations politiques désirées, et préparées en haut-lieu dans les pays qui en furent le théâtre, comme les réunion de l’Event 201 et le déclenchement de la crise Covid quelques mois plus tard l’ont démontré.

L’épidémie de SIDA des années 80 au Zaïre et la rencontre de Leonard Horowitz

Les années 1978-1987 sont décisives pour le Dr Eudier: peu après l’évacuation du Vietnam par les Occidentaux, obligé de quitter le pays en guerre, il ouvre un cabinet de dentiste à Kinchasa et assiste à l’explosion de l’épidémie de SIDA suite à la campagne de vaccination contre la variole et rencontre Jonathan Mann, fonctionnaire du center for Disease Control (CDC) et de l’OMS, «homme charmant au demeurant», comme le dit l’expression, qui déclarera plus tard nous dit Jean-Pierre «Le SIDA a été semé, nous allons voir ce que nous allons récolter.»2Jonathan Mann disparaîtra en mer au large de la Nouvelle Écosse dans le vol Swissair 111 New-York-Genève du 2 septembre 1998.3

En 1992, après une mission humanitaire avec Médecins du Monde en Albanie, où il prédit la guerre avec la Serbie et l’exode sept ans plus tard, le Dr Eudier effectue une visite de l’Irak après sa défaite au Koweit, qui lui met la puce à l’oreille sur l’usage d’armes bactériologiques, mais l’éveil n’a pas encore eu lieu, si bien qu’en 1994 il effectue une autre mission en Côte d’Ivoire en coopération avec l’Allemagne pour réhabiliter le système vaccinal.

L’éveil se produit en 1998 lors d’un congrès dentaire aux États-Unis avec la rencontre de Léonard Horowitz4 et la découverte de livres sur les origines du SIDA en lien à la vaccinologie entre USA et Afrique noire. L’histoire de la recherche sur les virus lui apparaît indissociablement liée à la recherche militaire. Aidé par le Pr Beljanski, chercheur révolutionnaire et médecin personnel de François Mitterrand pour lutter contre son cancer, Jean-Pierre invitera le Dr Horowitz en France et traduira Emerging Viruses, AIDS and Ebola sorti le 10 décembre 2000 sous le titre La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, accidentel ou intentionnel ?

Les plus de quarante pays où il travailla ou œuvra sur le continent africain lui révélèrent l’incurie et l’irresponsabilité effrayante des programmes vaccinaux réalisés principalement en zones rurales avec des populations isolées, invisibilisées, comme en témoigne le programme de GAVI et son président Bill Gates sur les adivasis, les populations aborigènes de l’Inde «contre la poliomyélite» entre 2000 et 2017, provoquant, selon des médecins indiens relayés par Robert Kennedy Jr, d’innombrables cas de paralysies d’enfants. Il y eut également, révélés par la Pr Vandana Shiva, figure de proue de la lutte anti-OGM, des implants sous-cutanées primus par la Bill & Melinda Gates Fooudation permettant de réguler la fertilité féminine. Ce programme amena l’expulsion de GAVI du sous-continent.

Le détournement de l’action humanitaire, si bien qu’il décida en 1996 de se concentrer sur la vente de matériel dentaire dans le « Tiers-Monde » et l’Afrique, la santé passant en grande partie par les dents, avant de fonder Mecolux en 2004 à cet effet. Mais ces incessantes pérégrinations lui permirent aussi des rencontres décisives dans la compréhension des ressorts profonds de la marche du monde. Le climat, ignoré sciemment par l’industrie pharmaceutique, peut être aussi être systématiquement en cause dans la santé des peuples: en 2003, au cours d’un voyage au Burkina Faso où est en cours une campagne de vaccination imposée contre la méningite qui sévit au Sahel, il constate que c’est l’Harmattan, le vent qui dessèche la végétation comme les poumons – ayant conformément à la théorie des signatures de Paracelse, la forme d’arbres, nos bronches qui nous oxygènent étant nos branches – jusqu’à la maladie, qui en est à l’origine et qu’il s’agit avant tout de réhydrater les populations à commencer par les enfants.

Michel Georget et la présidence de la Ligue

En 2009, il est témoin au Tchad d’une série d’accidents vaccinaux et en 2014, c’est la seconde épidémie d’Ebola. L’Université Lafayette de Louisiane annonce un vaccin en mars 2017.

C’est la même année que le Dr Eudier rencontre son collègue le Pr. Michel Georget de l’Université de Tours, auteur de plusieurs livres sur les vérités indésirables des vaccinations. Celui-ci le pousse à accepter la présidence de la Ligue et en 2017, et Florence Wurtz entame une fidèle collaboration par des bulletins d’information réguliers.

Trois rencontres avec le Pr Montagné: en 1998 à l’Institut Pasteur à Paris, puis en 2019 avec le Dr Andrew Wakefield qui révéla le lien entre le vaccin ROR rougeole oreillons, rubéole et l’autisme infantile (documentaire Vaxxed, 2016), enfin en 2021 au Luxembourg où le professeur fut invité à prendre la parole. Le Dr Eudier salue le combat du Pr Perronne qui, après leur différend passé au sujet de la variole, et ce malgré ses études relativement anciennes et iconoclastes sur la maladie de Lyme, a récemment déclaré avoir été abusé des années durant par tout un système mêlant laboratoires, universités, journaux médicaux et pharmacovigilance.

Une actualité immédiate qui confirme partout l’Histoire et notre devoir de parole

Parmi les buts déclarés de l’intervention russe en Ukraine, outre la protection des populations russophones et russophiles du Donbass en raison du non-respect des accords de Minsk, il y a sa « dénazification » 80 ans après la « Shoah par balle » perpétrée par une armée ukrainienne en partie acquise aux Nazis en raison de la terrible répression et extermination par la faim exercée par les Soviétiques dans les années 20 et 30. Mais il y a aussi la mise hors d’état de nuire – nous l’espérons du moins – de plusieurs laboratoires d’armes biologiques, que les Américain et Anthony Fauci, fait docteur Honoris Causa de l’Université de Sienne en juin 2023, voudraient massivement rapatrier en Italie, terre inféodée à l’OTAN, aux multiples expérimentations sociales depuis sa défaite en 1945. La grande manifestation de Pesaro, le 1er mai 2023 et d’autres, à Trieste et ailleurs, ont fait connaître ce nouveau combat.

Les déclarations du Pr Raoult citées en début d’article ont-elles joué dans le verdict en appel du 2 octobre 2024 lui interdisant d’exercer la médecine pour deux ans – décision « de communication » selon lui-même étant donné qu’il ne consultait plus depuis des années ?

Aujourd’hui, informe le Dr Eudier, de nombreux états possèdent des armes bactériologiques. Il est de leur devoir de défendre les citoyens, et un sigle, NRBC, résume l’arsenal des défenses nationales : nucléaire, Rayonnement, bactériologique, chimique. Et il serait bien étonnant qu’elles n’aient jamais toutes été testées. Le problème, si tant est que les pouvoirs publics aient été par le passé plus vertueux dans leur tâche, est que tout ou presque est privatisé ou aux mains d’intérêts privés.

Nous l’évoquions en introduction, le décompte des faits et des dates trace, à l’instar des dessins enfantins constitués de numéros apparemment épars et incohérents, une silhouette toujours plus claire qui n’est pas du domaine des contes de fées. Plutôt du récit d’une Histoire qui se répète, donc entre mythe, actualité et science-fiction, l’âpre réalité humaine, tout simplement, où ni une bonne, ni une mauvaise action ou information ne furent jamais perdues pour certains. C’est dans l’ombre, et le petit nombre, des laboratoires, cabinets politiques, rédactions des journaux ou tables d’écrivains que l’histoire s’écrit, jouée ou révélée ensuite au grand nombre sur les murs de la caverne de Platon ou dans la pleine lumière. Virus et Vishnou ont la même étymologie : vis, la force, ce qui pénètre à l’intérieur des choses. Le dieu indien qui protège l’Univers s’incarne régulièrement sous formes d’avatars – descentes – pour la perte des méchants, le salut de la Terre, un nouveau tour de roue de l’Humanité, nous disent les écritures indiennes.

Il ne fait plus aucun doute, la chute de la natalité et de l’espérance de vie en Occident depuis 2021 le signalent officiellement, que les virus sont des armes de masse, tout comme les vaccins, dans la guerre qui nous fut déclarée le 16 mars 2020. Les mots des résistants en sont aussi. L’appel du 18 juin 1940 l’a démontré, tout comme le discours légendaire de Churchill, refusant la paix d’Hitler la même année, «mobilisa la langue anglaise et l’envoya au combat.» en même temps que son peuple. C’est la force du Logos qui ramène le Cosmos contre le Chaos. Il nous appartient, à la Ligue comme ailleurs, de continuer à redonner la mémoire et de rouvrir l’horizon, en continuant à témoigner de la réalité des faits, qu’ils soient historiques ou personnels, chacun à notre échelle.

C’est en visitant l’immense Inde en train, pendant plusieurs années, au contact des populations que le Mahatma Gandhi réveilla sa force tout aussi immense et libéra par «la force de la Vérité» le Sous-continent avec son compagnon Nehru et tous les anonymes. A la suite de la conférence de Voiron, une action commune avec tous les collectifs de la région a été décidée pour reprendre le dialogue public. Souhaitons que les voyages du Dr Eudier se multiplient partout.

François-Marie Périer

Signalons également touchant à notre sujet le remarquable travail de cet été 2024, sur les chemtrails, de Jean-Dominique Michel, Chemtrails : Crimes contre l’Humanité ou attrape-nigauds? à partir de sources scientifiques et de médias mainstream francophones et internationaux et du documentaire Vers un climat artificiel, de Jacqueline Roche.

1 https://guerremoderne.com/auguste-trillat-aux-origines-de-la-guerre-bacteriologique/?cn-reloaded=1

2 Nous n’avons pu à ce jour retrouver la référence

3 https://www.scientificamerican.com/article/weaponized-ebola-is-it-really-a-bioterror-threat/

4 https://drlenhorowitz.com/

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SATOSHI OMURA ET L’IVERMECTINE

Source : Gérard Maudrux – covid factuel

Charles de Gaulle disait : « des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais que des chercheurs qui trouvent, on en cherche ». Des chercheurs qui trouvent, il en est un au Japon, peu connu chez nous. Pourtant son travail a déjà sauvé des centaines de millions de personnes dans le monde, sans doute des milliards d’animaux domestiques et d’élevage. Et je pense que ce n’est pas fini si les politiques, l’OMS de Bill Gates, l’industrie pharmaceutique et les Ordres médicaux retournent à la vraie médecine.

Cet homme, c’est Satoshi Omura, le découvreur de l’avermectine et l’inventeur de l’ivermectine, produit également peu connu, et pourtant inégalé. Aucun médicament n’a un tel panel d’actions, aucun médicament n’est aussi peu toxique. J’avais l’habitude de dire que plus un produit est efficace, plus il peut avoir d’effets secondaires, jusqu’à ce que l’ivermectine me contredise. De nombreuses pistes prometteuses sont encore inexplorées, comme les bactéries multirésistantes, les cancers, voire certaines maladies neurologiques. Satoshi Omura n’est ni connu ni reconnu chez nous, mais quand même reconnu ailleurs, avec notamment un prix Nobel en 2015 pour saluer son travail et le service rendu à l’humanité.

Pharmacologue spécialisé dans la recherche sur les antibiotiques, alors devenu chercheur aux USA, il est rappelé par l’Université de Kitasato à Tokyo pour un poste de professeur. Pour se donner les moyens de ses recherches, il crée la première collaboration industrie-université : l’industriel finance la recherche et récupère en retour la propriété des brevets. Ce qui intéressait Omura n’était pas l’argent pouvant être récolté par un brevet, mais d’avoir les moyens d’une recherche efficace. Il signera avec le laboratoire Merck, dirigera le laboratoire de pharmacologie de l’université en plus de sa chaire de professeur, trouvant nombre de composés utilisables. La plus grosse prise sera l’avermectine. Professeur, il formera également dans sa carrière 120 médecins spécialistes et 32 professeurs d’université.

Chercheur et homme de terrain, il découvre un nouvel actinomyces (variété de bactérie) dans de la terre en bordure du terrain de golf de Kawana dans la préfecture de Shizuoka. Après avoir donné une solution de culture de cette bactérie mélangée à de la nourriture à des souris infectées par des nématodes (ce sont des vers), il constate un effet vermifuge. Il développera avec Merck 522 composés dont 26 seront commercialisés comme produits pharmaceutiques, médicaments vétérinaires, pesticides et réactifs de recherche en biologie. De son côté, son collaborateur chez Merck, le Dr William Campbell étudiera les milliers de microbes de la banque de Merck, sans en trouver un seul capable de produire de tels composants. L’actinomyces découvert sera appelé Streptomyces avermectinius.

Streptomyces avermectinius produit  de l’avermectine, composé organique comportant 8 composants aux propriétés assez proches, qu’il était difficile de séparer industriellement, ce qui pourra être fait grâce au catalyseur de Geoffrey Wilkinson, qui recevra en 1973 un prix Nobel pour cette découverte. Ce n’est qu’avec ce catalyseur que la double liaison peut être sélectivement réduite pour produire de l’ivermectine. Pour cette découverte, avec les immenses bénéfices qu’elle engendrera, l’OMS déclarera l’ivermectine « produit essentiel ». Satoshi Omura et William Campbell recevront le Prix Nobel de médecine en 2015.

L’IVERMECTINE, PRODUIT VETERINAIRE

Omura fera ensuite plusieurs expériences, pour constater que l’ivermectine était active non seulement sur les nématodes, mais également sur les arthropodes (invertébrés, présentant le plus grand nombre d’espèces et d’individus dans le monde animal), efficace tant en ingestion qu’en injection, et sur les parasites internes et externes. Après une expérience (sur 24 vaches de pâturages dont 12 injectées en sous-cutané) présentée à un congrès à Philadelphie en 1979 et ayant enthousiasmé la salle (pratiquement 100 % des parasites ayant disparu après une seule injection à 0,2 mg/kg), l’ivermectine sera commercialisée comme produit vétérinaire en 1981 et après 3 ans il deviendra le médicament vétérinaire le plus vendu dans le monde pendant 20 ans.

Grâce à cela, Merck ayant accepté de reverser une partie des bénéfices, l’Institut Kitasato aux finances difficiles sera sauvé. Mieux, les préfectures de Saitama ou de Chiba ayant le plus petit nombre de lits par habitant, un grand terrain a été acheté dans la ville de Kitamoto et un hôpital de plus de 400 lits a été construit. Omura et son institut ont également pu ouvrir le Kitasato Medical Center, ainsi qu’une école d’infirmières avec internat. Autres temps, autres mœurs de l’industrie pharmaceutique et de chercheurs efficaces, travaillant pour la population.

IVERMECTINE ET ONCHOCERCHOSE

En 1973, Robert McNamara, alors président de la Banque Mondiale (institution financière internationale finançant des opérations dans les pays en voie de développement), déclarait : « L’onchocercose est la maladie la plus grave du point de vue sanitaire et économique pour les populations des pays d’Afrique de l’Ouest ». Il dirigera l’éradication de cette onchocercose, qui se passera mal, avec plusieurs morts.

L’onchocercose, également connue sous le nom de « cécité des rivières », est transmise à l’homme par des moucherons, l’agent causal est un nématode appelé onchocerca volvulus. Ce ver quasiment invisible à l’œil nu (microfilaire) vit dans l’organisme pendant 14 à 15 ans, au cours desquels il donne naissance à des millions de larves, jusqu’à 1 000 par jour, se déplaçant dans tout le corps, et devenant adultes après 6-12 mois. Ils peuvent se propager à la peau et aux yeux, provoquant de fortes démangeaisons et des lésions cutanées, le plus grave étant la cécité.

Omura a testé l’ivermectine sur l’onchocercose, et a découvert que cela ne tuait pas les vers adultes mais seulement les larves, ce qui n’est pas un inconvénient, car les vers adultes ne vivant que quelques jours, c’est l’éradication des larves qui traite rapidement la maladie. Ce point est bénéfique car la campagne mise en place en 1973 par McNamara avec d’autres traitements, entraînait des décès par choc dû à une réaction dite de Mazotti : lorsqu’un onchocerca adulte meurt, il éclate provoquant l’intervention d’une bactérie avec laquelle il vit en symbiose, Wolbachia, provoquant une inflammation rapide pouvant être mortelle, comme peut l’être le choc cytokinique avec le Sars-Cov-2. L’ivermectine, qui ne tue que les larves, supprime ce risque d’effet indésirable pouvant être mortel, avec tout autant d’efficacité, tuant toutes les larves et laissant les adultes vivre leur vie et mourir de mort naturelle après quelques jours.

À l’origine africaine, l’onchocercose est passée en Amérique au XVIIIe siècle, accompagnant les esclaves. En 1987, près de 40 pays d’Afrique et d’Amérique du Sud et plus de 21 millions d’individus étaient atteints. La France sera le premier pays à autoriser l’ivermectine dans l’onchocercose, grâce à une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) de l’ancêtre de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). L’Agence du médicament de 1987 l’autorisait dans l’indication onchocercose au vu d’une seule publication portant sur 1 206 patients, l’ANSM de 2021 refuse l’AMM de l’ivermectine dans l’indication covid pouvant sauver des dizaines de millions de vies dans le monde malgré, à l’époque de notre demande, 50 publications portant sur 40 000 patients (dont 2 expériences françaises montrant 100 % de réussite en prophylaxie et en curatif). Autres temps, autres mœurs : les autorités sanitaires de l’époque visant l’intérêt des populations avant celui de l’industrie, les autorités actuelles visant l’intérêt de l’industrie avant celui des populations.

L’ivermectine sera alors utilisée avec succès pour éradiquer l’onchocercose, une prise par an étant en général suffisante pour éviter la maladie sans la transférer. Omura s’intéressera ensuite aux autres maladies parasitaires, comme la filariose lymphatique, autre maladie due à un nématode transmis par des moustiques, provoquant des œdèmes considérables par destruction du tissu lymphatique (éléphantiasis).  La zone endémique concernait 1,3 milliards de personnes en 2000, avec environ 120 millions de contaminés. Les zones où la filariose lymphatique est endémique chevauchent souvent des zones où l’onchocercose est endémique, de sorte que l’ivermectine est utilisée dans les deux zones où les deux sont endémiques. Plus de 300 millions de personnes sont actuellement traitées à l’ivermectinedans les deux zones.

En fait l’ivermectine est efficace chez l’homme dans tous les vers intestinaux et d’autres parasites comme la gale en 2006, remplaçant avec 2 doses seulement des traitements autrefois difficiles et longs. D’autres recherches sont encore en cours contre toutes les maladies tropicales, mais également contre plusieurs maladies virales. En 2020, 4,5 milliards de doses avaient été produites et distribuées chez l’homme depuis l’origine.

IVERMECTINE ET CORONAVIRUS

Les études de l’activité de l’ivermectine sur les virus, et sur les effets délétères du Sars-Cov-2 comme le choc cytokinique mortel, ne datent pas du covid mais du début du siècle, n’en déplaise à Mme Costagliola de l’Inserm qui a pesé de tout son poids pour faire en sorte que l’ivermectine ne soit pas utilisée, tant en France qu’auprès du Dr Andrew Hill chargé de rédiger un rapport utilisé par l’Agence Européenne et l’OMS. Elle a créé une polémique en ne se basant que sur une étude, celle des docteurs Kylie et Wagstaff de l’Université Monash en Australie. Elle a tout simplement ignoré la totalité des autres travaux  sur l’ivermectine par ignorance et incompétence sur le sujet.

En effet Satoshi Omura m’a rappelé, en m’envoyant son livre que je souhaitais  traduire (son éditeur n’était pas intéressé), que dans sa conférence lors de la remise de son prix Nobel, il signalait qu’«il a été constaté que l’ivermectine avait des effets anticancéreux, mais également antiviraux, inhibant en particulier la croissance des flavirus». Les flavivirus sont des virus à ARN (comme le corona) transmis par les moustiques et les acariens et comportant environ 70 espèces, comme le virus de l’encéphalite japonaise, le virus de la dengue, ou le virus du Nil occidental. C’est ce que madame Costagliola aurait dû savoir avant de dénigrer l’ivermectine auprès des autorités, ce que Mme Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice de l’ANSM (directrice de l’ARS Grand Est depuis le 15 juin 2024) aurait dû savoir en se renseignant à la source quand on lui a demandé une autorisation de mise sur le marché pourl’ivermectine. Quand des millions de vie sont en jeu, on ne laisse rien au hasard, on ne bâcle pas.

L’Université de Kitasato, où est née l’ivermectine, a fait des recherches dès février 2020 pour savoir si l’ivermectine pouvait être efficace, et des chercheurs qui cherchent et qui trouvent, ils en ont, alors que chez nous personne n’a rien trouvé car on n’a rien cherché, sinon à cacher ses actions.

Dans une expérience du professeur Kazuhiko Katayama, des cellules Vero ont été infectées par le nouveau coronavirus, et de l’ivermectine a été administrée pour étudier l’évolution de ce virus. Les cellules Vero sont des lignées cellulaires cultivées à partir de cellules épithéliales rénales de singes verts africains, et sont largement utilisées dans la recherche et la production de vaccins en raison de leur bonne prolifération de divers virus et de leur grande sensibilité aux toxines bactériennes. Cette expérience a montré qu’il était clair que l’ivermectine inhibait la croissance du virus d’une manière dépendante de la concentration, sans atteindre une concentration cytotoxique contrairement à ce qu’affirmait Mme Costagliola sans s’appuyer sur aucune étude de son organisme, l’Inserm, pourtant Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale.

Des expériences utilisant des hamsters ont également été menées par les professeurs Hideaki Hanaki et Takayuki Uematsu, les infectant avec le nouveau coronavirus, constatant que la charge virale dans les poumons du groupe hamster traité à l’ivermectine le troisième jour était réduite à environ 90 % par rapport au groupe non traité à l’ivermectine. L’institut Pasteur confirmera en 2022 un effet bénéfique de l’ivermectine dans une étude semblable.

Les chercheurs de l’université ont également constaté dans les expérimentations animales un puissant effet anti-inflammatoire. Omura a alors essayé d’induire une pneumonie artificielle chez des souris pour voir ce que pouvait donner l’ivermectine, constatant qu’elle était 10 fois plus active que la clarithromycine (antibiotique de la famille des macrolides), connue pour ses propriétés antiinflammatoires, avec réduction des cytokines inflammatoires. Sans aller jusque-là et interroger le Japon sur ce point, l’ANSM et Costagliola, auraient pu ouvrir le Vidal ou le dossier du Soolantra, qui est de l’ivermectine en pommade. Dans le Vidal on peut lire : « L’ivermectine appartient à la classe des avermectines qui ont des effets anti-inflammatoires par inhibition de la production de cytokines inflammatoires induites par le lipopolysaccharide ». Rappelons qu’à l’époque les patients mouraient du covid  en raison d’un choc cytokinique.

Par ailleurs, depuis les études sur les flavirus, on sait que l’ivermectine bloque le transport du virus dans la cellule en agissant sur les importines α et β. Le Pr Hideaki Hanaki de l’Université de Kitasato a montré aussi que l’ivermectine se lie à la spike protéine, bloquant sa liaison au récepteur ACE2, porte d’entrée du virus dans la cellule, et le Dr Hiroshi Maruta, en Australie, que l’ivermectine inhibe une substance appelée PAK1 kinase. Cette kinase augmente lorsqu’elle est infectée par des bactéries et inhibe la fonction immunitaire, empêchant la production d’anticorps, fonction restaurée par l’ivermectine, d’où son action connue, immunomodulatrice. Tout ceci a été développé lors du 96e congrès de la Société japonaise des maladies infectieuses et du 69e congrès annuel de la Société japonaise de chimiothérapie le 8 mai 2021. Seuls les « complotistes » suivent ces informations et les rendent publiques, les autres les cachent.

Toutes ces actions sont confirmées par nombre de publications, régulièrement évoquées ici. Pour faire court, je rappellerai les deux premières expériences françaises de Pierre Loué et de Charlotte Bernigaud  montrant une efficacité dépassant les 90 % en ehpad, là où on avait le plus de morts, ce tant en prophylaxie qu’en curatif. Ces expériences étaient connues de l’ANSM, de Costagliola et de l’Inserm, comme actuellement les 7 publications françaises, toutes favorables, les 18 études mondiales en prophylaxie, toutes dépassant 80 % d’efficacité et les 105 études mondiales dans plus de 30 pays, portant sur plus de 220 000 patients, signées de 1206 médecins différents.

N’oublions pas non plus le rapport du Dr Andrew Hill demandé par Unitaid (qui avait comme présidente notre ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), et la publication de l’OMS (page 17) sur les traitements possibles du covid. Les deux montrent une baisse de 75 % de la mortalité des patients sous ivermectine versus patients sans traitement, dans des études randomisées sélectionnées pour leur qualité. Pour en refuser la prescription, les deux préconisent qu’il faudrait encore plus d’études pour confirmer, études que tous les pays ont refusé de faire, comme le refus de l’Inserm de Mme Costagliola et du Dr Yazdan Yazdanpanah au Dr Loué qui proposait de reproduire ses résultats dans 5 ehpads, lors de sa réunion du 4 mai 2020.

Ce refus d’autorisation devant tant d’études comparé aux conditions de validation dans l’onchocercose ou la filariose montre bien que les décisions actuelles sont politiques et non médicales, l’intérêt de l’industrie pharmaceutique passant avant celui des patients. Autres temps, autres mœurs.

Les études faites sur l’ivermectine depuis sa création permettaient indiscutablement, dès les premiers jours de l’épidémie, d’avancer une possible efficacité contre le Sars-Cov-2, et orienter vers un essai de traitement rapide étant donné que l’ivermectine était également connue comme un des médicaments les plus sûrs au monde.

Ceux qui l’ont fait, ont constaté une efficacité remarquable, inespérée dans le contexte, reléguant la maladie au niveau de la grippe saisonnière en matière de dangerosité. Les autorités, les professionnels qui ont empêché de traiter, qui ont empêché que ces informations soient divulguées, ne pouvaient pas ne pas savoir, ou alors ils étaient totalement incompétents et auraient dû se taire s’ils ne savaient pas. Une fois qu’on leur a mis les faits sous le nez, ils ont continué à cacher et empêcher toute prescription, en toute connaissance de cause, mettant en danger la vie d’autrui.

IVERMECTINE ET CANCERS

En février 2023, j’évoquais l’action de l’ivermectine sur plusieurs cancers, à la suite d’un témoignage spectaculaire que je rapportais. En fait ces propriétés sont connues et en cours d’évaluation par quelques chercheurs trop peu nombreux depuis des années. Dans le manuscrit de son livre qu’il m’avait envoyé, je constate que Satoshi Omura l’évoquait déjà lors de sa remise de prix Nobel.

Un livre pourrait être écrit sur toutes les études faites sur le sujet par des chercheurs isolés du monde entier. Pour faire court, l’action de l’ivermectine a été constatée et étudiée dans tous les cancers. La plus spectaculaire est dans les cancers gynécologiques, sein et ovaires, et dans bien d’autres indications (colon, rectum, reins, poumons, mélanome, leucémie…), actions que l’on peut retrouver dans plusieurs centaines d’études et publications. Je vous invite à relire mon billet de février 2023, qui cite notamment entre autres un article de 2020 de Pharmacologic Research. Cet article étudie à partir de 114 études les différents mécanismes d’action de l’ivermectine dans différents cancers. On peut y lire que « l’ivermectine a de puissants effets anti-tumoraux, y compris sur les métastases, dans une variété de cellules cancéreuses,… L’ivermectine favorise la mort programmée des cellules cancéreuses ou apoptose (processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal), l’autophagie et la pyroptose,…l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la multi-résistance aux médicaments et exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres agents chimiothérapeutiques. »

En marge de ces potentiels effets sur les cancers, n’oublions pas cette autre découverte (qui a 5 ans quand même !) : la remyélinisation, ouvrant des voies dans le traitement de la sclérose en plaques (ici et ). On a également trouvé une action contre les bactéries multi-résistantes, comme la tuberculose, maladie infectieuse qui reprend de la vigueur dans le monde, après avoir épuisé les drogues classiques.  En effet l’ivermectine détruit le biofilm, membrane protectrice élaborée par les bactéries pour se protéger d’un environnement hostile, rendant alors la bactérie résistante, à nouveau sensible aux antibiotiques.

CONCLUSION

L’ivermectine n’a pas fini de nous étonner, tant sa molécule est complexe et son panel d’indications large, inégalé, et de loin, dans la pharmacopée. Une vraie molécule miracle. Ses possibles nouvelles indications ne sont pas des découvertes récentes suite à sa mise en avant dans le covid, mais j’ai bien peur que l’attitude des autorités et des médecins de plateaux et de salon n’ait mis un frein à une recherche pourtant prometteuse dans ce domaine. En effet, aujourd’hui on ne peut pas prononcer le mot ivermectine devant 90 % des médecins, sans passer pour un médecin incompétent, malfaisant et complotiste à fuir et ne surtout pas écouter. Même chose pour tout médecin qui aurait l’idée de parler de sa découverte dans une nouvelle maladie, chez un patient qui était par hasard sous ivermectine pour une autre indication. C’est pourtant comme cela que la médecine a progressé depuis des siècles : par l’expérience, l’observation, la diffusion, et non par l’argent et la statistique.

L’autre problème de l’ivermectine est que sa production ne coûte rien (quelques euros le kilo alors que cela se prescrit en milligrammes), et qu’elle est tombée dans le domaine public. Aucun laboratoire ne financera une quelconque recherche sans aucun retour sur investissement, le médicament pouvant être alors produit et commercialisé par n’importe quel autre laboratoire, qui profiterait alors des résultats de la recherche et de la découverte. Ainsi, Merck qui a financé la recherche sur l’ivermectine il y a 40 ans a pu en toucher les bénéfices pendant une trentaine d’années, mais a dénigré son bébé en 2020, dans l’espoir de sortir le Molnupiravir dont on savait qu’il était mauvais, mais pouvant être commercialisé à 1 500 euros la dose. L’ivermectine commercialisée dans le covid, ce sont des dizaines de milliards de pertes pour l’industrie du médicament (et de l’OMS, de l’EMA, de certains politiques, de financiers, de fonds,..), tels Pfizer, Moderna, AstraZeneca, pour les principaux.

SATOSHI OMURA ET L’IVERMECTINE Lire la suite »

Autisme et vaccination: un nouveau lanceur d’alerte au CDC a compilé les preuves

Source : Essentiel.News

Steve Kirsch, un entrepreneur américain très suivi durant la pandémie, et fondateur de l’organisation Vacsafety.org, lance un appel aux médias mainstream pour publier le dossier explosif de 300 pages accablantes qu’on lui a confié.

Cette boîte de Pandore est une collation de documents prouvant que le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis) a volontairement trompé le public depuis 30 ans sur le lien entre l’autisme et la vaccination. Le dossier rend justice au Dr Andrew Wakefield, à Brian Hooker (voir le documentaire Vaxxed I), au scientifique repenti William Thompson et à tant d’autres, dont les carrières ont été détruites pour avoir tenté de mettre fin à cette catastrophe planétaire (1 enfant sur 33 aux USA).

L’on ne doute pas que Robert Kennedy Jr. sera amené à se pencher sur ces informations, puisque l’équipe de sa fondation Children’s Health Defense est essentiellement composée de familles touchées par ce type de dommages vaccinaux. Selon les rumeurs, de nombreux employés du CDC seraient en train de préparer leur lettre de démission depuis l’annonce de la nomination de Kennedy à la santé.

Reste à savoir si un média grand public aura le courage de s’en emparer. C’est certainement “le moment où jamais”. Le barrage est sur le point de céder.

Traduction de la lettre de Steve Kirsch publiée le 18 novembre

Résumé

“J’ai récemment reçu un trésor de documents électroniques provenant du CDC. Ces documents n’ont jamais été mis à la disposition du public.

Les documents comprennent des enregistrements vocaux, des courriels, des notes manuscrites, des diagrammes et des données.

L’affirmation souvent répétée selon laquelle « les vaccins ne causent pas l’autisme » est tout simplement incompatible avec cette preuve qui peut être authentifiée.

Je travaille avec Trevor Fitzgibbon pour présenter cela à tous aux médias grand public, afin d’atteindre une population différente. Ils sont les mieux placés pour le faire, il y a peu de chances que les médias alternatifs puissent y parvenir.

C’est un énorme scandale et nos enfants en ont payé le prix depuis des décennies parce que le CDC ne veut pas admettre publiquement qu’ils avaient tort

J’ai parlé avec un journaliste de haut niveau chez Inside Edition qui pensait que c’était l’une des plus grandes histoires de la décennie. Il a dit qu’il essaierait d’inviter ses amis de 60 Minutes et d’autres formats de ce type à se pencher sur l’affaire (l’histoire est trop énorme pour Inside Edition).

Je vous tiendrai au courant.

Les documents peuvent être authentifiés par des personnes à l’intérieur et à l’extérieur du CDC.

J’ai envoyé les documents à d’autres de notre côté (juste au cas où quelque chose m’arriverait).

Brian Hooker a analysé les données de l’étude sur l’autisme du CDC à partir de l’article de DeStefano ; les preuves que j’ai reçues confirment ce qu’il a trouvé.

L’article de Hooker est publié dans la littérature scientifique évaluée par des pairs et est simplement une analyse des données que les responsables du CDC ont ordonné au scientifique du CDC William Thompson de détruire.

Regardez la dernière rangée. La valeur OR (Odds Ratio, rapport de cotes) et la valeur p.  C’est sans appel! Personne n’a insinué qu’il y avait des erreurs de calcul. Et l’article a passé deux cycles de relecture par des pairs dans DEUX revues médicales différentes !

Vous voyez le ratio de cotes de 3,86 dans la dernière rangée ? Et la valeur p de 0.005 ? Ces chiffres sont accablants. Il n’y a aucun moyen d’expliquer des effets aussi importants.

C’est pourquoi Coleen Boyle (ndlr: la supérieure du Dr Thompson au CDC) a ordonné à Thompson de détruire les données du sous-groupe montrant la valeur élevée de ce rapport de cotes : puisqu’ils ne pouvaient pas faire disparaître le signal, ils ont fait disparaître les données.

De plus, les preuves que j’ai obtenues montrent que Coleen Boyle aurait carrément refusé de témoigner devant le Congrès sur cette question si le membre du Congrès américain Bill Posey avait été autorisé à la convoquer. Pourquoi aurait-elle dit ça, s’il n’y avait rien à cacher? Malheureusement, Posey a été contraint par ses pairs au Congrès d’abandonner l’enquête pour protéger les sociétés pharmaceutiques. C’est pourquoi cela ne s’est jamais produit.

OR= 3,86 avec une valeur p de 0.005 indique une catastrophe absolue. 

Cela signifie que la plupart des cas d’autisme de ce sous-groupe sont causés par des vaccins.

Il n’y a pas d’autre explication possible de ces données.

Si les vaccins ROR ne sont pas liés à l’autisme, toutes les valeurs de RO dans le tableau ci-dessus doivent être très proches de 1 (et les valeurs p doivent être >0,10) parce qu’il s’agit de mesures du moment de l’injection ROR (et non du moment du diagnostic d’autisme) qui doit être NON PERTINENTE si les injections sont sûres.

Comment le CDC a-t-il réagi aux allégations de Thompson selon lesquelles son patron Coleen Boyle lui aurait illégalement ordonné de détruire les documents d’analyse de sous-groupe liant le vaccin ROR à l’autisme ?

Le CDC a fait une enquête interne et a parlé aux personnes qui étaient dans la pièce où l’incident s’est produit. Quatre d’entre elles ont nié les faits et ont accusé Thompson d’avoir fabriqué toute l’histoire. L’enquête interne des CDC a donc conclu qu’ils avaient raison parce qu’ils étaient 4 contre 1. C’est tout.

Mais ma boîte de Pandore montre que toutes les preuves sont cohérentes avec ce que dit Thompson à propos de l’ordre de détruire les données qu’ils n’aimaient pas.

Et le papier de DeStefano en est déjà la preuve puisque le ratio de cotes de 3,86 dans les données aurait dû être signalé dans l’article.

En sciences, vous n’êtes pas autorisé à faire une analyse de sous-groupe, à trouver un signal, puis à ne pas le rapporter dans les conclusions. Si vous pensez que le signal est faux, vous devez alors fournir les données montrant qu’il est faux.

Vous ne pouvez pas rembobiner la cassette en arrière, détruire les preuves et prétendre que cela ne s’est pas produit… c’est contraire à l’éthique. Vous devez vous enfoncer dans le terrier du lapin. C’est ainsi que fonctionne la science.

Il est illégal de détruire les données gouvernementales. Et vous ne détruisez jamais les données de l’étude avant la publication de votre étude. C’est sans précédent. Pourquoi feraient-ils cela ? Ils l’ont fait pour cacher le signal, parce qu’ils ne pouvaient pas le cacher grâce à la manipulation statistique.

Personne ne peut expliquer les données temporelles du pédiatre : le CDC a changé de sujet lorsqu’une pédiatre lui a demandé d’expliquer les données qu’elle a observées dans sa pratique

La pédiatre “L” (elle ne voulait pas que son nom soit utilisé jusqu’à ce qu’elle ait parcouru manuellement ses dossiers d’hospitalisation en urgence pour confirmer ses estimations) estime qu’environ 180 enfants de son cabinet avaient présenté un autisme régressif d’apparition brutale. Parmi ceux-ci, elle pense que la majorité s’est produite dans les 2 semaines suivant une visite de vaccination. Elle n’a jamais pensé à regarder les données réelles, donc cela pourrait être près de 100% des cas. Les services d’urgence ne suivent pas cela, vous devez donc examiner manuellement chaque cas individuellement. Elle m’a dit qu’elle le ferait.

Il n’y a aucun moyen d’expliquer ces chiffres si les vaccins ne déclenchent pas l’autisme.

Lorsqu’elle a confronté le CDC à ce problème, elle leur a demandé : « Alors, comment expliquez-vous que les cas d’autisme sont si susceptibles de se produire juste après la vaccination si les vaccins ne causent pas l’autisme ? » Ils ont simplement changé de sujet en soulignant ce que les études évaluées par des pairs ont montré et évité de répondre à la question. Les vrais scientifiques ne changent jamais de sujet lorsqu’on leur demande d’expliquer les données. La science concerne la recherche de la vérité, et non le rejet des données que vous n’aimez pas.

Mais le Dr. L n’est pas la seule.

Le pédiatre Doug Hulstedt a suivi les antécédents de tous ses patients porteurs d’autisme. Il a vu plus de 180 enfants autistes au cours de ses 35 ans de carrière de pédiatre et il est très apprécié par ses patients pour ses soins médicaux.

Sur les 44 enfants atteints d’autisme « à survenance rapide », 100% de ces cas sont survenus dans les 14 jours suivant l’administration d’un ou plusieurs vaccins.

100%.

Tout ce que Doug a fait, c’est établir les antécédents médicaux en demandant les dossiers de vaccination des enfants et la date à laquelle l’autisme a été remarqué pour la première fois par les parents.

Il n’y a pas une seule étude dans la littérature médicale qui a examiné les enfants atteints d’autisme à régression rapide et a tracé la date du vaccin qui était la plus proche de l’événement, qu’il soit avant ou après. Pourquoi cela ? Parce que l’on trouverait un énorme signal. C’est pourquoi les études ne le font jamais.

Si les vaccins ne causent pas d’autisme, il y aura autant de « vaccins aussi proches » du développement soudain de l’autisme avant la vaccination qu’après la vaccination.

C’est pourquoi ces études sur l’autisme ne trouvent jamais de signal. Ils utilisent toujours une méthodologie qui ne prend pas les données temporelles en compte. Ils n’utilisent jamais la mesure la plus sensible que je viens de décrire. Et la plupart des pédiatres, si vous leur demandez leurs données à ce sujet, ne savent pas vous répondre, parce qu’ils ne les suivent pas. Et la plupart refusent d’examiner leurs propres chiffres.

Les cabinets pédiatriques où les parents choisissent de ne pas vacciner leurs enfants ont ZÉRO cas d’autisme

Je connais un grand cabinet pédiatrique en Californie. En 25 ans, aucun des milliers d’enfants de leur pratique (dont presque tous ne sont pas du tout vaccinés) n’a reçu un diagnostic d’autisme parmi les enfants non vaccinés. ZÉRO.

Comment la communauté médicale explique-t-elle cela ? Elle ne le fait pas.

Si l’autisme est principalement causé par des toxines environnementales ou par l’hérédité, comment expliquer ces données ? Toutes les cliniques pédiatriques proches de ce cabinet pédiatrique ont des taux d’autisme standards.

Des études publiées dans la littérature médicale montrent des ratios de cotes compris entre 4,2 et 5,0, lorsque l’on compare les enfants entièrement vaccinés par rapport aux enfants entièrement non vaccinés

Comment chaque étude de la littérature évaluée par des pairs qui compare les enfants entièrement vaccinés et les enfants entièrement non vaccinés peut-elle montrer un ratio de cote très similaire pour l’autisme ? Chaque étude, sans exception. Le ratio de cotes de ces études est supérieur à 4. Étant donné que 99% des enfants sont vaccinés, le risque attribuable à la population (PAR) est de 75% ou plus.

En d’autres termes, la plupart des cas d’autisme sont causés par les injections parce que nous avons un ratio élevé et parce que les cinq critères de Bradford Hill sont amplement satisfaits. S’il y a une explication plus probable pour le ratio de cotes, pourquoi personne sur cette planète n’est-il en mesure de la fournir ? Les attaques sont toutes des arguments qui balayent tout d’un revers de la main sans rien montrer de solide.

Ainsi, le principe de précaution de la médecine exige de supposer que les vaccins provoquent l’autisme, jusqu’à preuve du contraire.

Voici les études :

Voici les études dont vous n’entendez tout simplement jamais parler :

  1. Paul Thomas (2020) avait 0 cas d’autisme. 561 parmi le total des 561 enfants non vaccinés de sa pratique. Pour ceux qui ont suivi le calendrier de vaccination du CDC, il y avait 15 cas d’autisme chez 894 patients. La valeur p du test exact de Fisher est de 0,0008, ce qui est stupéfiant. Le OR était infini, avec une limite de confiance inférieure de 95% de 2,3. Voir aussi cet excellent article sur l’étude qui souligne que “les enfants non vaccinés sont en meilleure santé selon plusieurs indicateurs et bénéficient de 25 fois moins de visites pédiatriques“. Les méchants ont pu faire rétracter le document en affirmant que les taux plus élevés d’autisme chez les vaccinés étaient dus à plus de visites au cabinet. Le problème avec cette critique est que la raison de la rétractation a ensuite été réfutée dans un article ultérieur !
  2. Hooker (2021) : 5,03 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés.
  3. Mawson (2017) : 4,2 ratio de cotes pour l’autisme chez les personnes vaccinées par rapport aux non vaccinés (666 dans cette étude).
  4. Geier (2013) : rapport de 2,1 à 3,4 dans la base de données Vaccine Safety Database en fonction de l’âge au moment de l’injection. Un ratio de cotes qui augmente avec l’âge. Cette étude, publiée dans la littérature évaluée par des pairs, a été réalisée à l’aide d’une méthodologie en deux phases utilisée par le CDC. Elle a montré que le vaccin HepB était aussi fortement associé à l’autisme. Ils ont examiné chacune des 3 périodes de vaccination et à chaque fois, le ratio de cotes augmentait et la valeur p était faible ! L’étude n’a jamais été rétractée. Après que Brian Hooker ait trouvé ce signal dans la base de données VSD, son accès a été immédiatement révoqué par le CDC,  sans la moindre explication. Rien de tel que d’être ouvert à la transparence des données, n’est-ce pas ?
  5. Garner / Groupe de contrôle (2022) : 82 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés. « Pour ceux qui n’ont aucune exposition aux vaccins post-partum, aux vaccins prénatals ou à l’injection de vitamine K, le taux total d’autisme dans l’ensemble de l’étude du groupe de contrôle est de 0% (0 sur 1 024) ». Lorsque j’ai fait un calcul du ratio de cotes sur les réponses à mon enquête auprès de 10 000 enfants : OR=82 CI:5.1197 à 1315 z statistique : 3,114 Niveau de signification. P = 0,0018. Voir aussi le site Web du groupe Control.
  6. Lyons-Weiler (2022) : L’étude était trop petite pour évaluer le risque d’autisme, mais a montré de meilleurs résultats de santé chez les non vaccinés que chez les vaccinés pour d’autres affections. Voir cet article qui note que les non vaccinés avaient de meilleurs résultats lors des visites de contrôles que les vaccinés, ce qui élimine un argument commun que les anti-anti-vaccins utilisent. L’article constate que “les familles non vaccinées se sont plus souvent présentées aux visites de contrôle que les familles vaccinées”.
  7. Étude de Liz Mumper : Elle a divisé l’incidence de l’autisme par 6 dans sa pratique en limitantles vaccins administrés aux enfants. Comment la communauté médicale explique-t-elle cela? Une réduction de 6X est énorme. Elle a également reproduit le travail de Paul Thomas.
  8. Une nouvelle étude de 50 000 enfants (soumise par Tony Mawson pour publication mais pas encore publiée) montre les mêmes ratios de cote pour les maladies chroniques que les études Hooker et Mawson. L’ensemble de données est très important.
  9. L’étude Generation Rescue (GR) réalisée le 26 juin 2007 a montré que les enfants vaccinés étaient nettement moins lotis dans toutes les catégories examinées. « Pour moins de 200 000 $, nous avons pu réaliser une étude que le CDC, avec un budget de 8 milliards de dollars par an, n’a pas été capable de faire ou n’a pas voulu faire. » Où est l’enquête du CDC ? Introuvable ! Ils ne veulent tout simplement pas le faire. Lisez l’enquête et consultez cet article pour plus d’informations. GR ne pouvait pas altérer l’étude ou manipuler les résultats parce qu’elle a été réalisée par une société d’enquête indépendante sans conflits d’intérêts. Si les sociétés pharmaceutiques n’aimaient pas le résultat, elles auraient facilement pu commander une autre société de sondage. Mais ils ne l’ont pas fait !!! Ou peut-être qu’ils l’ont fait et ont simplement choisi de ne pas publier les résultats parce qu’ils étaient si mauvais. Dans tous les cas, l’absence d’un sondage montrant le contraire du sondage GR est très très problématique pour le récit “sûr et efficace”.

Il y a un défaut de la partie adverse à citer une seule étude qui montre le contraire de ce que ces études montrent, par exemple, que les personnes entièrement vaccinées sont soit en aussi bonne santé, soit en meilleure santé que les personnes entièrement non vaccinées.

J’ai trouvé indépendamment un ratio de cotes très similaire lorsque j’ai interrogé 10 000 parents en leur demandant: “parlez-moi de vos enfants”

Tout le monde peut reproduire l’enquête sur les parents que j’ai faite. Vous obtiendrez les mêmes résultats. Mais personne n’est prêt à regarder.

J’ai demandé à 10 000 parents de me parler de leurs enfants et j’ai énuméré une vaste gamme de maladies chroniques, y compris deux contrôles négatifs pour valider les résultats.

Voici les résultats. Les données sources sont disponibles pour que chacun puisse les analyser. Un seul professeur de mathématiques courageux (Hal Switkay) a fait exactement cela et a validé mes résultats et mes méthodes.

Les OR sur les témoins négatifs (malformation congénitale et défaut génétique) étaient respectivement de 0.9 et 1.0.

Pour l’autisme, j’ai obtenu un rapport de cotes de 4,5, ce qui est à mi-chemin des valeurs trouvées dans les études que j’ai citées ci-dessus (Hooker (2021) a trouvé 5,03 et l’étude de Mawson de 2017 a trouvé 4,2).

Voici le tableau récapitulatif des OR.

Notez comment la vaccination aggrave toutes les maladies chroniques (les chiffres sont tous >1), un résultat conforme aux études citées ci-dessus :

Ratios de cotes dans mon enquête auprès des parents. Plus vous étiez vacciné, plus vous avez de chances d’avoir ces conditions. Les enfants entièrement vaccinés étaient 4,5 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués avec l’autisme que leurs pairs non vaccinés.

Les études sur l’autisme publiées dans la littérature ont été conçues pour NE PAS trouver de signal. Lorsque les erreurs ont été signalées, les auteurs ont refusé de répondre aux critiques. Ce n’est pas ce que font des scientifiques honnêtes.

Nous pouvons montrer comment chacun des documents présentés par les partisans du vaccin sont défectueux. Choisissez le meilleur et discutons-en !

Par exemple, il y a 164 articles énumérés dans cet article de Michael Simpson qui, selon lui, sont la preuve qu’il n’y a pas d’association entre les vaccins et l’autisme. Il affirme que le meilleur article est une méta-analyse de 2014 de Taylor et al., “Les vaccins ne sont pas associés à l’autisme : une méta-analyse fondée sur des preuves d’études de cas, de contrôle et de cohorte” (vous pouvez voir l’article ici sans frais) qui analyse 10 études (5 de chaque type), y compris Madsen (2002), Hviid (2003), DeStefano (2004), Andrews (2004), Smeeth (2004) et Verstraeten (2003).

Le problème bien sûr est que tous ces documents ont été démystifiés dans l’analyse SafeMinds.

Les meilleures études étaient les études de cohorte et l’une des études de cohorte a été jugée « à haut risque ». Les quatre autres études de cohorte ont été décrites dans l’analyse SafeMinds. Pour les études cas-témoins, les deux plus importantes de l’étude ont également été décrites dans l’analyse SafeMinds.

Ainsi, le meilleur des meilleurs de leurs meilleures études a été démystifié. Ces méta-analyses sont aussi faibles que les documents qu’elles reprennent.

Pouvons-nous parler en détail des 3 meilleurs articles de chaque groupe ? Ils ne veulent pas en discuter publiquement. Ils ne le font jamais. Comment sommes-nous censés résoudre nos différends si l’autre partie ne s’engage pas dans un dialogue civil avec quiconque n’est pas d’accord avec lui ?

Le professeur Hviid, co-auteur de l’article le plus référencé pour réfuter le lien entre l’autisme et la vaccination (l’étude Madsen), a refusé de répondre à toute question sur son article. Pourquoi refusent-ils de répondre aux questions légitimes qui ont été soulevées ?

Vous ne pouvez pas prouver l’hypothèse nulle

Tout scientifique sait que vous ne pouvez jamais prouver l’hypothèse nulle.

En anglais simple, vous ne pouvez pas prouver qu’il n’y a pas de lien. Vous pouvez seulement prétendre que “les études que nous avons faites n’ont pas trouvé de lien”.

C’est ce qu’ils devraient dire s’ils étaient semi-honnêtes. Mais bien sûr, c’est faux. Ils évitent simplement les études dans la littérature évaluée par des pairs qui montrent le contraire.

Les personnes qui prétendent qu’il n’y a aucune preuve dans la littérature scientifique que les vaccins causent l’autisme vous mentent simplement et la presse ne fait que répéter ce qu’on lui sert

L’essentiel ici est que la presse ment toujours lorsqu’elle dit que les vaccins ne causent pas l’autisme parce que vous ne pouvez jamais prouver un négatif (selon la section précédente).

Lorsque les gens font cette déclaration, ils doivent ignorer les articles de la littérature évaluée par les pairs, les données des médecins et les histoires des parents (qu’ils ne peuvent pas expliquer dans leur ensemble parce qu’ils sont cohérents avec les rapports des médecins).

Au mieux, ils pourraient dire : « Les études que nous choisissons de croire n’ont pas trouvé de signal ; les études que nous avons décidé de ne pas croire ont trouvé un ÉNORME signal. Mais nous avons choisi de ne pas croire à ces autres études parce que tout le monde sait que les vaccins ne causent pas l’autisme. » Voyez le raisonnement circulaire ici ?

Mais il n’y a pas de DONNÉES qui devraient amener les gens à ne pas “croire” les études qui ont montré le lien. Ils ne croient tout simplement pas à ces études parce qu’ils arrivent à une conclusion différente et non parce qu’ils ont réellement trouvé un défaut légitime dans les études.

La presse ignore ces études parce qu’elles obéit aux « experts ». Cela fonctionne parfaitement parce que la plupart des journalistes se refèrent à des experts en qui ils ont confiance et n’investiront pas le temps d’écouter les deux parties expliquer les données et d’arriver à leur propre conclusion. Ils vont directement croire à l’”expert” avec les plus hautes références.

Pourquoi ne pas simplement divulguer les preuves à Tucker Carlson, Joe Rogan, etc?

Parce que je veux qu’une source médiatique grand public couvre l’histoire et interviewe les employés du CDC qui authentifieront les preuves. Il est peu probable qu’ils le fassent si l’histoire est déjà couverte par quelqu’un d’autre.

Interprétation par l’IA de mes preuves

Croyez-le ou non, trouver un épidémiologiste honnête est vraiment difficile de nos jours.

Donc… toutes les données sont ajoutées dans un LLM (une machine d’intelligence artificielle) neutre pour analyse.

Ce sera très intéressant de voir le résultat.

Analyse experte des données

James Lyons-Weiler est un expert en autisme. Il convient que les études conçues pour trouver une association ont en fait été conçues pour ne pas trouver d’association.

Voici sa réaction à mon article :

Tout finira par sortir et ce sera un très très mauvais jour pour Merck.

Steve a raison. J’ai analysé toutes les études sur l’autisme et la vaccination citées dans une lettre adressée au président Trump lors de son 1er mandat. Aucun n’était capable de tester valablement le lien causal. L’épidémiologie n’est pas un instrument adéquat pour étudier des problèmes comme les dommages vaccinaux; et même lorsque ça l’est, et qu’une association très forte a pu être démontrée, le CDC a toujours tout fait pour l’enterrer.

In fine

Quelqu’un dans les médias grand public touchera-t-il à cette histoire ? Nous sommes sur le point de le découvrir.

Autisme et vaccination: un nouveau lanceur d’alerte au CDC a compilé les preuves Lire la suite »

Confirmation de la présence d’ADN vaccinal dans leVaccin Pfizer contre la COVID-19 – Pré-print – Didier Raoult

Source : Patrice Gibertie

La production rapide de vaccins à base d’ARN messager (ARNm) a été choisie comme la stratégie la plus adaptée pour lutter contre la pandémie de COVID-19.

Trois études ont rapporté la présence d’ADN en quantités significatives dans les vaccins à ARNm de Pfizer.

Nous avons cherché à confirmer la présence de cet ADN résiduel. La quantification de l’ADN plasmidique du vaccin à l’aide du fluorimètre Qubit sur un flacon de vaccin a montré qu’il était de 216 ng/dose en moyenne et environ 24 fois plus élevé, atteignant 5 160 ng/dose en moyenne, après traitement au Triton-X-100.

De plus, nous avons obtenu par séquençage de nouvelle génération la séquence de la matrice vaccinale d’ADN plasmidique complète (7 824 paires de bases) avec une couverture élevée (98,3 %) et des profondeurs de séquençage (moyenne, 4 181-4 389 lectures), indiquant la présence de l’ADN plasmidique en nombre élevé de copies.

Ces résultats appellent à une évaluation du nombre de copies et de la nature de l’ADN dans les vaccins à ARNm à plus grande échelle et en plusieurs lots, notamment en ce qui concerne le risque putatif d’intégration de l’ADN après administration dans les cellules.

En fait, ces résultats d’énormes quantités de séquences d’ADN plasmidique par
La dose de vaccin soulève notamment des interrogations quant à un risque putatif de son intégration dans l’organisme humain.
génome après son entrée dans les cellules en raison de leur conditionnement dans des lipides cationiques (Klinman et al,
2010).

Dans la thérapie génique basée sur l’ADN, il a été rapporté qu’une proportion de 10 à 20 % des cellules sont généralement transfectées et environ 1 à 10 % des cellules transfectées de manière transitoire sont devenues stables ransfecté à la suite d’une intégration ultérieure probablement via des événements de croisement.

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COVID-19 : le naufrage de la science

Dès le début de l’année 2020, le média en ligne https://infodujour.fr/ s’est demandé pourquoi un virus sorti de nulle part tenait la communauté scientifique en échec ? Pourquoi, dans leurs laboratoires, les chercheurs étaient désemparés face à ce microbe hérissé de pointes, au comportement erratique ? Pourquoi, dans les hôpitaux, les urgentistes étaient déconcertés par la grande variété des symptômes dont souffrent leurs patients Covid ? Pourquoi ne comprenaient-ils pas cette maladie ?

Infodujour.fr a interrogé de nombreux médecins et chercheurs dans le monde. Ils étaient -et sont encore- dans le brouillard. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés sous l’influence de puissants lobbies.

Pourquoi la science fondamentale et la médecine du 21ème siècle n’ont-elles pas compris ce qui se passait ? Où est la faille ?
C’est ce que nous avons voulu savoir en reprenant le fil des événements sur les trois années de la pandémie. Voici l’histoire de l’échec de la médecine et du naufrage de la science.

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La ministre néerlandaise de la Santé reconnaît que la politique pandémique est une opération militaire. « Le ministère de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV »

La nouvelle ministre néerlandaise de la Santé admet : « Nous devons suivre les ordres de l’OTAN, des États-Unis et de NCTV ; Le Covid est une opération militaire »

Source : europereloaded.com

La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a reconnu au Parlement que la politique néerlandaise en matière de pandémie se déroule « sous la direction du Coordonnateur national pour la sécurité, la lutte contre le terrorisme (NCTV) et la Défense » et doit se conformer aux « obligations de l’OTAN ». Ce faisant, elle a confirmé ce que des chercheurs tels que Cees van den Bos avaient révélé précédemment sur la base de documents du Wob (FOI) : la politique corona était un « coup d’État » de la NCTV.
Le médecin de famille Els van Veen dit qu’elle comprend enfin ce qui lui est arrivé, ainsi qu’à d’autres médecins critiques, pendant la crise du coronavirus : « C’était une opération militaire, le ministre de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV ».

Jeudi 24 octobre, Fleur Agema a eu une première : elle a été la toute première ministre de la Santé de l’histoire parlementaire à expliquer son action par des « obligations envers l’OTAN ». Et non pas une, mais six fois , comme l’a fait le député Pepijn van Houwelingen (FVD). Une vidéo de trois minutes, dans laquelle Agema explique à la Chambre que la préparation à une pandémie est liée aux obligations conventionnelles et que le service de renseignement NCTV en est le responsable, est devenue virale sur X. Van Houwelingen a immédiatement promis de répondre aux questions de la Chambre.

Agema a fait ces remarques lors d’un débat sur la « résilience ». Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie ». Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire, a-t-elle déclaré, ajoutant :

« Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous élaborerons un plan d’action au printemps. »

Elle a déclaré peu après avoir pris ses fonctions de ministre qu’elle avait été informée de la résilience et des engagements de l’OTAN :

« Depuis ce briefing, je suis avec mon ministère pour faire le point sur ce dont nous avons besoin pour respecter ces engagements de l’OTAN. Nous le faisons sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères sont impliqués dans ce domaine. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience des soins, et c’est effectivement le cas. Elle a ajouté : « Vous voulez disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions eu face à la crise du coronavirus. »

L’un des premiers à commenter l’apparition d’Agema sur X fut le chercheur de Woo, Cees van den Bos. Sous le titre « le coup d’État », il a qualifié la NCTV de « bamiluk » de l’OTAN : (ER : Merci à son collègue néerlandais Michel van der Kemp d’avoir trouvé « coup d’État » comme traduction probable de « bamiluk »).
« Ce pays ne sera libre que si la NCTV est complètement supprimée et si ce genre de gouvernement fantôme ne reprend plus jamais pied. C’est le plus grand obstacle qui s’oppose à une démocratie », a-t-il déclaré.

Il a ajouté qu’il n’y a aucun contrôle sur NCTV :

« NCTV a carte blanche, comme cela a été démontré pendant le corona. »

Selon Van den Bos, ceux qui pensent que le coronavirus est terminé (« arrêtons d’en parler ») attendent une nouvelle « confrontation à la réalité ». Il a remercié Agema pour sa « franchise ».

Van den Bos avait précédemment souligné – également dans ce journal – que NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus, en la personne de Pieter-Jaap Aalbersberg, qui avait succédé à Dick Schoof à la tête de NCTV début 2019. Fin 2022, Van den Bos a accusé la NCTV d’avoir commis un « coup d’État ». La gestion de la crise était presque partout entre les mains des services militaires et de renseignement, et dans notre pays, elle incombait à la NCTV. Outre la gestion quotidienne de l’organisation de crise, la NCTV a même confié à sa mission la coordination du processus parlementaire (« timing et congruence mutuelle »). Selon un rapport de mi-mars 2020, les services de renseignement ont mis en place une équipe distincte à cet effet. Commentant le vote parlementaire, il a déclaré : « L’ambition et l’accord ne sont pas surprenants ». Il s’agissait probablement d’empêcher des motions ou des amendements inattendus à une nouvelle législation.

Début 2023, la journaliste Elze van den Hamelen décrivait dans ce journal le rôle de l’OTAN, en s’appuyant sur le travail d’enquête de Van den Bos : « Les documents montrent que depuis au moins 2019, soit plus d’un an avant la pandémie de coronavirus, le gouvernement a mis en place un grande organisation pour « lutter contre la désinformation ». L’initiative est venue de l’OTAN et de l’UE, souligne Van den Bos :

« Il s’agissait d’une opération militaire dirigée contre sa propre population. Non pas pour rebuter les gens, mais pour influencer leur comportement. »

Pendant la pandémie de coronavirus, l’OTAN a fixé les lignes directrices de la réponse au covid et coordonné la « Stratcom » (communications stratégiques). « Les lignes directrices ont été diffusées par l’intermédiaire des ministres des Affaires étrangères des États membres .» Cela explique-t-il pourquoi la Suède, qui n’a rejoint l’OTAN que cette année, a été le seul pays d’Europe à adopter une politique plus indulgente pendant la crise du coronavirus ?

Plus tôt, le leader de Verheid, Willem Engel , avait fait des révélations similaires. Lors de son procès le 22 novembre 2022 à Rotterdam, au cours duquel il a été accusé de « sédition », Engel a prononcé un long discours dans lequel il a montré comment le gouvernement a œuvré pour lutter contre les critiques de la politique relative au coronavirus. Selon lui, cela impliquait les agences de quatre ministères : NCTV (Justice), AIVD (Intérieur), MIVD (Défense) et PCD19 (VWS).

« Ils ont formé une équipe de crise qui a travaillé en collaboration avec d’autres agences gouvernementales, comme l’OM, ​​les maires, le pouvoir judiciaire et les médias », a-t-il rapporté dans De Ander Krant le 27 novembre 2022. « Ils utilisent une méthode militaire qui revient à cartographier, supprimer et perturber. »

Les critiques du monde médical ont quant à elles vivement réagi aux révélations de l’Agema, notamment l’éthicienne médicale Wendy Mittemeijer :

« Pour la première fois depuis quatre ans, j’entends publiquement admettre que la NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus et qu’elle devait être mise en œuvre. C’était une opération militaire. Cela n’a pas été permis pendant quatre ans. C’était une théorie du complot. J’apprécie l’honnêteté du ministre, qui reconnaît que cela a été admis et qu’il n’était pas responsable. »

La médecin généraliste Els van Veen a vécu cette politique avec cœur : « Près de cinq ans après le début du coronavirus, je comprends beaucoup mieux ce qui s’est passé, a-t-elle déclaré le 27 octobre. Après cette vidéo et cette explication, je comprends effectivement tout. D’où la censure des critiques et surtout des médecins critiques. D’où la visite de la police en 2021, apparemment à cause d’un tweet sur les cases à cocher. D’où des lettres et une enquête de l’Inspection, basée sur des rapports anonymes et infondés selon lesquels je diffusais de la désinformation. C’est pourquoi le gouvernement et VWS ne veulent pas divulguer les documents du WOB, qu’ils ont été peints en noir, que les procès-verbaux de l’OMT sont gardés comme s’ils étaient des secrets d’État. La NCTV gouverne ce pays, mais elle le fait les yeux fermés. »
Ce qu’elle a vu à plusieurs reprises sur la Museumplein, selon elle, correspond également à une opération militaire : « Cette manifestation a été interdite, des civils innocents ont été écrasés par le ME, des chiens policiers ont été mordus, des canons à eau ont été utilisés. Nous avons été maltraités par la police, par la justice et donc, je comprends maintenant, avec l’approbation de NCTV et de M. Aalbersberg. C’était une opération militaire. »

Son message a généré quelque 225 000 vues et de nombreuses réactions en deux jours, notamment un commentaire de Stefan Homburg, professeur émérite de finances publiques à l’Université Leibniz de Hanovre et l’un des principaux critiques allemands du coronavirus. En juillet dernier, il s’est exprimé, aux côtés de la journaliste Aya Velázquez, lors de la conférence de presse à Berlin où a été divulguée l’ensemble des données des procès-verbaux des réunions de l’équipe allemande de crise Covid (les « protocoles RKI », du nom de l’Institut Robert Koch, qui est similaire à notre RIVM) a été présenté. Homburg affirme que le message de Van Veen « correspond parfaitement à l’expérience allemande : comme nous l’avons découvert dans les fuites #RKIFiles, un général de l’OTAN (Holtherm) était aux commandes de ce qu’on appelle la « pandémie ».

Les nouvelles d’Agema correspondent également à ce que Robert F. Kennedy Jr. a déclaré à plusieurs reprises à propos de la production de vaccins contre le coronavirus aux États-Unis. Selon lui, il s’agissait d’une opération militaire, avec la participation étroite du Département américain de la Défense (DOD) et du complexe militaro-industriel. La Défense, selon lui, était aux commandes et payait les sociétés pharmaceutiques pour leurs marques, de sorte que les gens penseraient qu’ils obtenaient quelque chose de Pfizer ou de Moderna.

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Le prof. Bhakdi présente un test de dépistage pour les effets secondaires des injections Covid

Source : essentiel news

Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.

Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.

Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase pour la prévention et le traitement des thromboses.

Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.

Une annonce encourageante

Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins:

Une des répercussions importante du congrès “Retour à la normalité” qui s’est tenu à Vienne en avril dernier est la discussion que j’ai pu avoir avec le Dr. Hannes Strasser. C’est un médecin avec une grande patientèle qui est aussi politiquement actif. Il est très bien informé et a régulièrement conseillé son parti le FPO.

Le Dr Hannes m’a dit:

Nous avons pensé que si tu as raison en affirmant que les petits vaisseaux et les micro-vaisseaux étaient obstrués par des caillots, cela pourrait se détecter dans la surface inférieure des ongles. Il existe des examens microscopiques très simples pour les vaisseaux du lit des ongles, qui ne sont ni invasifs, ni coûteux et faciles à réaliser.

J’ai alors demandé si quelqu’un pouvait faire cela. Et sa collègue m’a répondu qu’elle pouvait démarrer immédiatement. Cinq semaines plus tard, le Dr Hannes Strasser m’a rappelé en me disant:

C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires.

Prévenir la formation de caillots sanguins

Ensuite, ils se sont demandés si la dissolution des caillots pouvait jouer un rôle important dans la prévention des thromboses et des accidents vasculaires. En principe, cela pourrait se faire à l’aide de la nattokinase. C’est une substance qui est utilisée comme une des principales épices dans la cuisine japonaise.

L’on peut même se demander si c’est une des raisons de la longévité de ce peuple qui en mange depuis l’enfance. Car en vieillissant, les petits vaisseaux sanguins ont tendance à se boucher. Peut-être que cela permet aux organes des personnes âgées au Japon de mieux fonctionner. En tout cas, c’est mon hypothèse.

Cette hypothèse est considérée comme fantaisiste par la plupart des médecins conventionnels, et on me qualifie à nouveau de fou. Mais je trouve l’idée passionnante. Je peux vous dire que j’ai moi-même commencé à prendre de la nattokinase – donc maintenant je fais un peu de publicité pour cette substance. Et je dois dire que je remarque des effets positifs sur moi.

Je n’en donnerai pas plus de détails, mais j’ai immédiatement demandé au Dr Strasser quels étaient ses résultats:

Avez-vous pu documenter tout cela ? Il a répondu : « Oui, nous interrogeons les patients, et enregistrons leurs antécédents médicaux et leurs résultats avant le traitement à la nattokinase et après. Les résultats sont parfois assez étonnants, car la circulation sanguine retourne presque à la normale.

Je lui ai répondu:

Alors faites-en une étude et publiez-la dès que possible dans une revue scientifique internationale. Le monde aura ainsi une méthode simple à portée de main pour diagnostiquer les dommages causés par les vaccins et ce traitement pourrait avoir de nombreux effets positifs. Je ne dis pas qu’ils seront à nouveau en parfaite santé, mais moins malades, c’est déjà mieux que très malades…

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 J’ai soigné les malades du Covid »: entretien avec le Dr Bernard Giral

Source : Quartier Général

Le docteur Bernard Giral est médecin généraliste à Fontvieille et président de la CTPS (Communauté territoriale professionnelle de santé) du pays d’Arles (Bouches-du-Rhône). Lorsque l’épidémie de Covid est arrivée en France début 2020, il fait partie de la courageuse minorité de médecins qui ont refusé les consignes mortifères d’inaction des « autorités sanitaires » parisiennes (restez chez vous, prenez du Doliprane, appelez les services d’urgence en cas de détresse respiratoire). Il a au contraire soigné les gens, principalement avec le protocole de l’IHU de Marseille, et avec une totale réussite puisque aucun des quelques 1 500 malades soignés n’est décédé. Son action est très reconnue localement (voir par exemple ici la cérémonie de remise de la médaille de la ville il y a quelques mois), mais demeure inconnue ou impensée des autorités centrales. Elle confirme une fois de plus que la première cause de mortalité durant l’épidémie de Covid de 2020-2022 ne fut pas le virus en lui-même mais le refus de soigner les malades. Ce refus était de nature idéologique et il était éminemment contraire au fondement même de l’éthique médicale. L’action du Dr Giral démontre par ailleurs que les déserts médicaux ne sont pas une fatalité et qu’il existe des façons de s’organiser collectivement et de créer de véritables dynamiques locales lorsque l’initiative part d’en bas (des professionnels et des bénévoles de terrain) plutôt que de tomber d’en haut (des cabinets ministériels et de leurs consultants privés).

1) Bonjour Bernard Giral. Qui êtes-vous ? Quels ont été votre parcours et votre activité sur le pays d’Arles où vous exercez depuis très longtemps ?

J’ai 78 ans et je suis toujours actif ! Je suis de formation scientifique au départ. J’ai fait une maitrise en physiologie puis le cursus de la faculté de médecine, le tout à Montpellier. Une fois mon diplôme en poche, je me suis installé comme médecin généraliste à Fontvieille (dans le nord des Bouches-du-Rhône) en 1974 et j’y exerce donc depuis 50 ans.

Outre mon cabinet de généraliste, je me suis investi rapidement dans des coordinations de défense de la médecine, puis dans le syndicalisme. Enfin, j’ai été élu aux URPS pour la région Paca (les Unions Régionales des Professionnels de Santé représentent les professionnels de santé libéraux). Je suis également très engagé sur le plan local. J’ai organisé la Formation Médicale Continue associative locale, monté une fédération d’associations de Formation Médicale Continue sur notre territoire et organisé une dizaine de congrès dans la région, et pas uniquement sur des questions médicales. En mars 2000, par exemple, j’ai organisé un congrès au Palais des Papes en Avignon pour célébrer l’échéance calendaire mythique. Le principe était de faire témoigner de manière documentée des acteurs de l’aventure ayant côtoyé l’extrême dans les différents axes dans l’espace et dans le temps (Jean-Louis Étienne, Patrick Baudry, Jeannot Lamberton, Michel Siffre, Jean-Pierre Beltoise, Michel Fournier, Didier Raoult pour l’aventure des antibiotiques et d’autres encore).

Enfin, j’ai collectivisé mon cabinet en rassemblant des professionnels du territoire. Ceci nous a permis de lancer en 2016 la première Maison de Santé pluriprofessionnelle (MSP) du territoire, labellisée par l’Agence Régionale de Santé (ARS), puis la première Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) de la région PACA et la troisième de France. Le bassin de population de notre CPTS regroupe 28 communes et compte 170 000 habitants. J’en suis toujours le président. J’ai également favorisé la coopération entre les soignants et entre les établissements dans le secteur gériatrique. Bref, je suis « un combattant de la médecine de ville » comme le rapportait récemment le journal local La Provence. J’essaye notamment d’empêcher que ces territoires se transforment en déserts médicaux comme on le voit dans de plus en plus de régions françaises.

2) Nous remontons un petit peu le temps. Nous sommes en février-mars 2020, bientôt confinés, l’épidémie de Covid est censée déferler sur la France. Que constatez-vous ? Que dit l’Agence Régionale de Santé (ARS) aux soignants de terrain ? Comment vous organisez-vous dans votre réseau ?

A l’arrivée de l’épidémie de Covid, avec mes associés professionnels de santé, nous ouvrons un centre de consultation externalisé et sécurisé pour y diriger les patients suspects d’être infectés et permettre ainsi à tous les autres de continuer à être suivis et soignés en toute sécurité dans les cabinets médicaux. Ce centre de consultation externe d’urgence est le premier de France. Nous l’installons dans la salle des fêtes de Fontvieille (le lecteur peut regarder ici une petite vidéo réalisée dans ce centre).

Je dois dire que j’ai eu évidemment à l’époque une longue discussion avec l’ARS qui n’a pas validé notre démarche. Elle recommandait de s’en tenir au strict confinement, conformément aux directives nationales du « Restez chez vous, prenez du Doliprane en cas de fièvre et appelez le 15 en cas d’aggravation ». Ces directives, dont j’ai été stupéfait de voir qu’elles étaient validées par la Haute Autorité de Santé (HAS), étaient contraires à notre devoir de médecins qui, conformément au Serment d’Hippocrate, est de soigner les gens et de sauver des vies en toutes circonstances, et non de rester les bras croisés sans rien faire, en attendant que les plus fragiles se dégradent et partent en urgence à l’hôpital où leurs chances de survie étaient d’emblée sérieusement hypothéquées. Le président Macron avait déclaré « l’état de guerre », et ceci me confortait dans ma position de médecin-soldat du front, engagé « à corps perdu », en utilisant tous les moyens et toutes les armes à ma disposition, afin de sauver le maximum de vies. J’avais d’ailleurs écrit au président pour sécuriser notre démarche et tenter de la faire valider en haut lieu.

Bref, je suis donc passé outre l’aval de l’ARS et m’en suis toujours félicité. Par la suite, nous avons du reste créé quatre autres centres à Tarascon, Arles, Saint-Rémy de Provence et Châteaurenard, tous sécurisés selon le même protocole et répartis sur tout le territoire de notre CPTS. Vingt jours après l’ouverture du premier centre, l’ARS me demandait simplement de m’engager sur l’honneur pour certifier la sécurisation de tous ces centres qui devaient ensuite devenir des centres de dépistage, puis des centres de vaccinations (ces derniers étaient ensuite gérés par les communes concernées). 

Ce dispositif nous a permis de supporter le choc des confinements en 2020. Cette mesure radicale (le confinement) était en effet inutile voire contre-productive. Les contaminations ont explosé dans les espaces clos. Il a fallu parfois prendre en charge des familles entières. J’ai dû également prendre en charge des centaines de travailleurs agricoles confinés du jour au lendemain dans des gourbis, en lieu et place du travail au grand air.

3) Concrètement comment avez-vous soigné les malades sur le pays d’Arles ?

Je connaissais les travaux d’infectiologie des équipes du professeur Raoult depuis très longtemps, et j’avais suivi la création de l’IHU de Marseille en 2016. Donc, lorsqu’il a déclaré qu’il ne fallait pas paniquer, que l’on pouvait dépister et surtout que l’on pouvait traiter les gens de manière efficace en intervenant de façon précoce, dès les premiers symptômes, cela m’a paru être du bon sens médical et c’est ce que je m’apprêtais à faire de toutes façons. J’ai donc appliqué le protocole de l’IHU : hydroxychloroquine et azithromycine aux doses indiquées, avec du zinc et de la vitamine D en appoint.

A cet égard, je dois dire que je n’ai jamais compris la polémique qui s’est développée sur la prétendue toxicité cardiaque de l’hydroxychloroquine. Cela ressemblait à un montage politique et médiatique totalement déconnecté de la réalité du terrain. J’ai prescrit de l’hydroxychloroquine pendant plusieurs décennies, par exemple pour des malades atteints d’un lupus. Cette molécule ne devient toxique qu’à partir d’une certaine dose, dont nous étions très loin dans ce protocole. L’efficacité et la toxicité d’un médicament dépendent de son dosage. Et c’est vrai d’ailleurs de la plupart des médicaments (à commencer par le Doliprane, qui peut rapidement devenir toxique). Tout médecin est censé le savoir. Ce montage politique et médiatique était donc un scandale, et je l’ai fait savoir dans la presse dès le mois de mars 2020, puis dans une lettre ouverte au ministre de la Santé Olivier Véran début avril. Je relayais la colère des soignants et des patients devant cette volonté d’empêcher la prescription précoce de l’hydroxychloroquine en médecine de ville et de réserver son usage pour les patients hospitalisés, c’est-à-dire à une phase de la maladie où le dernier des imbéciles a bien compris son inefficacité, l’orage inflammatoire ayant succédé à la phase virale.

Alors bien sûr, devant les mises en garde voire les critiques répétées à l’égard du risque cardiaque de l’hydroxychloroquine, nous avons équipé nos centres d’électrocardiographie pour pouvoir faire un ECG aux patients une première fois avant prescription et une seconde de contrôle quelques heures après la première prise. Rien d’extraordinaire, mais cela sécurisait le soin et rassurait tout le monde.

Enfin, pour protéger l’hôpital (dont tout le monde redoutait l’engorgement), nous avons créé une ligne téléphonique dédiée aux professionnels de terrain : infirmières et médecins. Il y avait là une pneumologue et un réanimateur qui conseillaient sur les conduites à tenir en termes de médications, niveaux d’oxygénation à domicile, etc., afin de faciliter le maintien des malades à domicile sous notre surveillance, en lien avec les confrères hospitaliers. D’ailleurs, la plupart de ces derniers ont bien compris l’intérêt de notre action. Nous (médecine de ville) étions la première ligne de défense, qui a absorbé une grande partie du choc, ce qui a permis à la deuxième ligne (hospitalière) de tenir sans grandes difficultés.

Par la suite, nous avons eu évidemment des difficultés d’approvisionnement et de délivrance en pharmacie pour l’hydroxychloroquine. Lorsque nous n’en avions plus, nous avons continué avec l’azithromycine, le zinc et la vitamine D. Compte tenu des évolutions en réanimation, nous avons également introduit par la suite la corticothérapie et des anticoagulants ainsi que de l’oxygénation à haut débit. Et je dois dire que, là encore, nous l’avons fait dans l’inobservance totale des recommandations nationales mais, par contre, dans l’intérêt premier et supérieur de nos patients.

4) Au final, quels sont vos résultats ? Avez-vous pu les chiffrer ?

Je n’ai pu le faire que pour ma propre patientèle. Au final et en ce qui me concerne donc, j’ai pris en charge environ 1 500 personnes malades de la Covid. Deux d’entre elles (qui avaient des comorbidités importantes) ont fait un passage aux urgences pendant 2 à 4 jours pour oxygénothérapie à très haut débit, puis sont ressorties en étant tirées d’affaire. Au final, je n’ai donc aucun mort du Covid à déplorer. Ceci équivaut à 100% de succès avec un traitement inoffensif et peu couteux.

Je veux en revanche témoigner du fait que, dans ma patientèle habituelle (les personnes qui me déclarent comme étant leur médecin traitant), 4 personnes qui avaient attrapé le Covid, qui ne m’ont pas consulté et qui s’en sont tenues au Doliprane, sont décédées.

Enfin, je veux également signaler que ce protocole m’a permis de soigner avec succès de graves malades poly-pathologiques contrairement à toute attente. Par exemple, l’une d’elle, pesant 103 kilos, diabétique insulinée, insuffisante respiratoire et insuffisante cardiaque, a été sauvée en 12 jours à domicile.

5) Quel regard portez-vous sur la politique de vaccination obligatoire et totale (y compris enfants et femmes enceintes) de manière générale ? Avez-vous constaté une efficacité et avez-vous observé des effets secondaires graves ?

Le 1er janvier 2021, j’ai été interviewé sur les vaccins qui allaient bientôt sortir. J’ai répondu que ces vaccins me paraissaient apparentés aux techniques de thérapies géniques qui se développent ces dernières années mais sont encore au stade expérimental en ce qui concerne les virus et les humains. Dans ces conditions, j’ai rappelé en fin de compte l’importance du principe de précaution. J’en ai conclu que si ces nouvelles thérapies pouvaient sans réserve être administrées à des patients en danger de mort, leur application à des sujets en parfaite santé posait question et méritait davantage de données. Il faut en réalité des années pour mettre au point un bon médicament. Cet empressement m’inquiétait. J’ai également pointé du doigt l’incohérence totale entre le fait d’un côté d’interdire l’usage d’un médicament largement utilisé depuis 50 ans sans problème, et d’un autre côté de se précipiter pour administrer sous contrainte un « vaccin » mis au point et fabriqué à la hâte pour répondre à une urgence (ou profiter d’une aubaine ?). Cette contradiction dépasse mes capacités de compréhension.

Quant à l’efficacité et aux possibles effets indésirables graves de la vaccination, je n’ai pas de chiffres précis à vous donner. Je peux seulement témoigner de ma pratique de terrain quotidienne. Sur cette base, je peux vous dire deux choses qui sont des constats cliniques. La première est que la majorité des récidives de Covid que j’ai eu à soigner par la suite concernaient des personnes vaccinées, ce qui relativise l’efficacité. La seconde est que j’ai noté une augmentation des cas de cancers dans ma patientèle, en particulier des cancers du Pancréas, ainsi que d’autres pathologies, apparues dans les semaines ou les mois suivant la vaccination anti-covid. Face à ce constat, et pour évoquer l’imputabilité à une thérapie vaccinale, il conviendrait de cumuler les témoignages de médecins libéraux et hospitaliers (comme celui que vous avez traduit récemment du Dr Ute Krüger en Suède) et croiser tout ça avec des études épidémiologiques bien évidemment.

6) Les médecins qui ont dit publiquement qu’ils ne suivraient pas les consignes du gouvernement (ou bien qui ont même été parfois dénoncés par des « confrères » voire par des patients) ont généralement été poursuivis par le Conseil de l’ordre des médecins. Avez-vous connu pareille mésaventure (ou d’autres médecins dans votre réseau arlésien) ?

Non. Nous n’avons pas été concernés par les poursuites de l’Ordre des médecins. A vrai dire, c’aurait été un comble et cela aurait été un peu gros ! En ce qui me concerne, comme je vous l’ai dit, je n’ai eu aucun mort du Covid sur quelques 1 500 malades soignés pour une maladie qu’on présentait au départ comme la nouvelle peste ou la nouvelle grippe espagnole, et que l’on mettait en scène tous les soirs à la télévision en égrenant le nombre d’hospitalisés et de morts. Et si personne n’est mort parmi nos patients, c’est bien parce que nous avons soigné les gens en conformité avec notre serment d’Hippocrate. Nous n’avons donc rien à nous reprocher, bien au contraire. Ce qui n’est pas le cas de tous.

7) Quelles leçons tirez-vous de cette période exceptionnelle ? Quel message auriez-vous envie de faire passer aux jeunes pour l’avenir ? 

Je crois que cette crise a montré le pire et le meilleur. Je ne vais pas revenir sur le pire, votre propre travail l’a hélas amplement documenté. Mais cette crise du Covid a aussi montré que l’on pouvait réagir de façon très rapide, cohérente et même innovante pour organiser efficacement la santé publique dans un moment de crise épidémique, pour peu que l’on reste fidèle à son expérience accumulée sur le terrain et à ses valeurs. Le drame du Covid a montré l’aveuglement ou la soumission de beaucoup de médecins du fait de la pression extrêmement forte venue d’en haut et de consignes sanitaires face auxquelles je vous ai dit mon incompréhension et ma colère. J’espère que les futurs médecins resteront fidèles à leur éthique professionnelle. Ils doivent être avant tout au service de leurs patients et non du pouvoir politique du moment dont le spectacle évolutif est déconcertant et peu rassurant.  

Propos recueillis par Laurent Mucchielli

 J’ai soigné les malades du Covid »: entretien avec le Dr Bernard Giral Lire la suite »

Pfizer Papers, la somme de toutes les fraudes

Source : Le Point Critique

The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity est le fruit de la collaboration de 3 250 médecins et scientifiques, qui ont consacré deux années à analyser les 450 000 pages de données de l’essai Pfizer. L’ouvrage est paru le 19 octobre. Il démontre que le laboratoire et les agences sanitaires avaient conscience dès novembre 2020 de l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID, mais qu’elles ont contourné la législation pour l’imposer à des millions de citoyens.

En septembre 2021, un collectif de professionnels de santé et de scientifiques, le Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMT) a intenté une action en justice contre la FDA pour la forcer à divulguer les données de l’essai clinique du « vaccin » Pfizer. Fait inédit, le laboratoire s’est invité dans le procès pour prêter assistance au régulateur américain. En 2022, un tribunal a finalement condamné la FDA à publier sous huit mois l’intégralité des données sur laquelle elle s’est appuyée pour homologuer l’injection Pfizer. Il lui avait fallu quatre mois pour conclure que le vaccin était sûr et efficace, elle réclamait 75 ans pour les éditer et les anonymiser, en invoquant la masse de données à traiter.

Près de 500 000 pages de données déclassifiées par la justice

La journaliste Naomi Wolf, fondatrice du site DailyClout jette aujourd’hui un énorme pavé dans la mare. En 2021, lorsque les premiers documents ont commencé à être publiés, le producteur de médias Steve Bannon (WarRoom) lui a lancé un défi qu’elle a accepté de relever : « Eh bien, vous allez lancer un projet pour les lire. » Elle a réuni une équipe de 3 250 médecins et scientifiques bénévoles qui ont analysé pendant deux ans les 450 000 pages de documents déclassifiés. The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity (Les documents Pfizer : Les crimes contre l’humanité de Pfizer)est le fruit de cette mise en commun de milliers d’intelligences individuelles.

Il contient l’intégralité des données collectées lors des essais cliniques et durant la phase dite de « post-commercialisation », c’est-à-dire entre décembre 2020 et février 2021, lorsque le vaccin a été déployé en population générale alors qu’il ne bénéficiait encore que d’une autorisation d’urgence – « un laissez-passer qui a permis à Pfizer de se précipiter sur le marché avec un produit qui n’a pas été entièrement testé ».

L’objectif est à la fois d’exposer l’éventail des fraudes commises par Pfizer avec la complicité des agences de régulation, et de démontrer qu’il ne s’agit pas d’un énième scandale sanitaire mais d’un authentique crime contre l’humanité, où les populations n’ont pas été informées qu’elles participaient à une expérimentation clinique et que la formule qui leur était injectée n’était pas celle qui a été homologuée :

De nombreuses personnes qui ont reçu cette injection, lors de son lancement en 2020-2021-2022 et jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas réalisé que les tests normaux de sécurité d’un nouveau vaccin – tests qui prennent généralement dix à douze ans – avaient tout simplement été contournés grâce aux mécanismes de l’« état d’urgence » et de l’« autorisation d’utilisation d’urgence » de la FDA. Ils n’ont pas compris que le véritable « test » était en fait l’observation par Pfizer et la FDA de ce qui leur arrivait, à eux et à leurs proches, après que ces citoyens aient retroussé leurs manches et se soient soumis à l’injection. Nous ne devons jamais oublier que plusieurs millions de ces personnes qui se sont soumises à l’injection ont été « obligées » de la prendre, sous peine de perdre leur emploi, de voir leurs études suspendues ou de perdre leur poste dans l’armée si elles refusaient.

La plupart des informations contenues dans le livre ont été distillées sur le site DailyClout au fur et à mesure des livraisons de données par la FDA. En l’espace de deux ans, les auteurs ont analysé 2 369 documents et fichiers de données totalisant des centaines de milliers de pages et ont publié près d’une centaine de rapports. Ils sont désormais réunis dans un document de 408 pages, rédigé en anglais mais accessible à tous, à la fois par son circuit de diffusion et par l’effort de vulgarisation réalisé par les auteurs.

Principales informations contenues dans les Pfizer Papers

Naomi Wolf raconte la genèse de ce projet dans l’introduction du livre, où elle en détaille les informations les plus choquantes des documents Pfizer. La plupart ont été déjà publiées dans Le Point critique, mais l’intérêt des Pfizer Papers est de les avoir réunies dans un même espace, créant un effet de masse qui donne le vertige.

  • Pfizer savait dès décembre 2020 que les vaccins ne pouvaient pas stopper la propagation du COVID.
  • Pfizer savait à l’issue des essais précliniques que le matériel génétique ne reste pas dans le muscle deltoïde mais se disperse dans tout le corps en 48 heures « comme un coup de fusil », traverse toutes les membranes du corps humain et s’accumule dans les principaux organes : le foie, les glandes surrénales, la rate, le cerveau, les ovaires.
  • Pfizer a dû embaucher 2 400 personnes à temps plein pour traiter la « forte augmentation » des effets indésirables rapportés entre décembre 2020 et février 2021.
  • Pfizer savait dès avril 2021 que les injections endommageaient le cœur des enfants et des jeunes adultes.
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021 que son injection était liée à une myriade d’effets indésirables graves :

COVID-19 sévère ; lésions hépatiques ; effets indésirables neurologiques ; paralysie faciale ; lésions rénales ; maladies auto-immunes ; engelures (une forme localisée de vascularite qui affecte les doigts et les orteils) ; syndrome de dysfonctionnement d’organes multiples […] ; activation d’infections herpétiques dormantes ; lésions de la peau et des muqueuses ; problèmes respiratoires ; structure pulmonaire endommagée ; insuffisance respiratoire ; syndrome de détresse respiratoire aiguë […] ; et le SRAS (ou SRAS-CoV-1, qui n’a pas été observé dans le monde depuis 2004, mais qui apparaît dans les documents de Pfizer comme un effet secondaire des injections). […]
Ensuite, des maladies sanguines à l’échelle industrielle : caillots de sang, caillots pulmonaires, caillots de jambe ; thrombocytopénie thrombotique […] ; vascularite […] ; taux astronomiques de troubles neurologiques – démences, tremblements, Parkinson, Alzheimer, épilepsies.
Des affections cutanées terribles. Une pléthore de problèmes cardiaques : myocardite, péricardite, tachycardie, arythmie, etc.

  • Pfizer savait que la plupart de ces événements indésirables étaient très probablement imputables au vaccin : la moitié des effets indésirables graves liés au foie, y compris les décès, et la moitié des accidents vasculaires cérébraux ont eu lieu respectivement dans les 72 heures ou les 48 heures suivant l’injection ;
  • Pfizer a enregistré plus de 1 233 décès au cours des trois premiers mois où l’injection a été déployée dans la population[1].
  • Pfizer savait à l’issue de son étude préclinique que l’injection était contre-indiquée pendant la grossesse. Il a exclu les femmes enceintes de l’essai pivot, mais elles ont été incitées agressivement à se faire injecter, sans aucune protestation de la part du laboratoire :

Les documents indiquent clairement que le fait de nuire à la capacité de reproduction de l’homme et de provoquer des avortements spontanés de bébés n’est « pas un bug, c’est une caractéristique ».

  • Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques sont connues pour dégrader le système reproducteur :

Les nanoparticules, dont les nanoparticules lipidiques sont un sous-type, traversent la barrière sang-testicule et endommagent les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales des hommes. Ces cellules sont les usines de la masculinité […]. Nous ne savons donc pas si les bébés garçons nés de mères vaccinées deviendront des adultes mâles et fertiles.

  • Pfizer connaissait les dommages menstruels causés par l’injection, il les a énumérés dans ses documents : « Les scientifiques de Pfizer ont calmement observé et noté tout cela, mais n’ont rien dit aux femmes. »
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021[2] que son injection entraînerait des décès de bébés, des échecs de grossesse et des événements indésirables graves chez les femmes enceintes :

Dans une section des documents, plus de 80 % des grossesses suivies ont entraîné une fausse couche ou des avortements spontanés. Dans une autre partie des documents, deux nouveau-nés sont morts, et Pfizer a décrit la cause du décès comme une « exposition maternelle » au vaccin.

Des effets indésirables ont été observés dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin, dont 53 cas d’avortement spontané (51)/avortement (1)/avortement manqué (1) après la vaccination.

Le lait maternel de quatre femmes est devenu « bleu vert ». Pfizer a produit un tableau de bébés malades, rendus malades à la suite de l’allaitement de mères vaccinées, avec des symptômes allant de la fièvre à l’œdème (poussée gonflée) à l’urticaire en passant par les vomissements. Un bébé a eu des convulsions et a été emmené en réanimation, où il est mort d’une défaillance du système à organes multiples.

  • Pfizer savait que son injection pouvait tuer :
    • le nombre de décès enregistrés lors de l’essai clinique était supérieur dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo ;
    • le nombre de décès dus à des événements cardiovasculaires a été multiplié par plus de 3,7 chez les sujets vaccinés.
  • Pfizer a falsifié les données de l’essai clinique pour obtenir l’autorisation de commercialiser son vaccin :

Pfizer a dissimulé huit décès vaccinés survenus au cours de l’essai clinique afin de donner aux résultats favorables pour recevoir son âge de l’EUA de 16 ans et plus.

  • Pfizer a mis fin à l’essai clinique pivot le 12 mars 2021 en vaccinant la quasi-totalité de la cohorte placebo, rendant impossible l’évaluation de la sécurité des injections, alors que le protocole prévoyait que les sujets soient suivis pendant deux ans.
  • Pfizer a signalé par écrit en octobre 2021 que pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, « les dommages subcliniques [i. e. sans symptômes] se manifesteraient chez les patients à long terme », ce qui signifie que les injections répétées se traduiraient par des dommages cliniques, c’est-à-dire des séquelles.

Un volume d’effets secondaires d’ampleur biblique

Les Pfizer Papers détaillent également le bilan de la première année de la campagne de vaccination de masse, où les rapports de cas de maladies auto-immunes déclarés dans la base de pharmacovigilance américaine (VAERS) ont été multipliés par 24 entre 2020 et 2021. Les décès annuels liés à l’auto-immunité ont été multipliés par 37 sur la même période uniquement aux États-Unis, mais le bilan tiré par les lanceurs d’alerte australiens est aussi édifiant. La pharmacovigilance n’a donc jamais joué son rôle, elle a probablement servi à identifier les maladies qui seraient les plus lucratives à traiter après le tsunami vaccinal (500 nouveaux vaccins sont attendus pour les années à venir, avec près de 1 000 essais cliniques déjà en cours) :

En d’autres termes, ces injections ont manifestement causé très tôt des dommages très spécifiques à l’homme. Et au lieu de les arrêter ou de les retirer du marché, Pfizer a redoublé d’efforts, la FDA a redoublé d’efforts et le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] a redoublé d’efforts ».Baletti B. Pfizer’s ‘Crimes Against Humanity’ — and Legacy Media’s Failure to Report on Them. Children Health Defense. 21/10/2024. /https://childrenshealthdefense-org.translate.goog/defender/naomi-wolf-the-pfizer-papers-book/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

Effets indésirables recensés dans le VAERS après une vaccination, 2021-2024

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a estimé le 16 septembre 2022 que les données d’efficacité et de sécurité étaient suffisamment rassurantes pour précipiter l’homologation des vaccins. L’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle a été convertie le 10 octobre 2022 en AMM standard, un an avant la fin de l’essai clinique pivot, prévue initialement en décembre 2023 (elle a finalement été avancée à fin avril 2023 pour Moderna et fin février pour Pfizer). Le résultat est accablant puisque les essais cliniques ont établi que l’efficacité des vaccins Pfizer et Moderna était négative, notamment sur les formes gaves. Le régulateur des essais cliniques précise par ailleurs pour Pfizer que la vérification de l’intégrité des données n’est pas terminée.

La FDA refuse de soumettre les dernières données

Naomi Wolf estime sur la base de ses données qu’« Il est impossible de ne pas conclure qu’il ne s’agit pas d’une négligence, d’une cupidité ou d’un manque de rigueur de la part du Pfizer ». Elle précise dans les Pfizer Papers :

J’ai voulu croire pendant très longtemps qu’il ne s’agissait pas d’un programme de dépopulation, mais finalement, les preuves contenues dans les documents Pfizer m’ont convaincue que c’était exactement ce dont il s’agissait.

La publication des Pfizer Papers peut-elle peser sur l’avenir du laboratoire et permettre le bannissement des injections ARNm COVID-19 ? Celui-ci a été voté par un tribunal régional australien en raison de quantités massives d’ADN non réglementaire retrouvées dans les vaccins Pfizer et Moderna, en particulier d’ADN d’un virus de singe (SV40) oncogène dans la formule commerciale des vaccins Pfizer, mais cette secousse n’a pas encore provoqué de répliques parmi les pays qui ont massivement injecté leur population :

La bataille se poursuit. Aucun des auteurs de ce crime massif contre l’humanité n’est en prison, ni même inculpé au civil ou au pénal. Il y a au moins trois procès contre Pfizer – deux des nôtres et un de Brook Jackson – mais, à ce jour, aucun de ces procès n’a abouti. Le litige traîne en longueur, mais il n’en reste pas moins que le mot est lâché. Le mot est lâché.

Moderna ne sera pas épargné par cette vague, la parution des Moderna Papers est annoncée pour le printemps prochain, mais on sait déjà que le régulateur australien a couvert la contamination des échantillons de son vaccin. En attendant, la FDA résiste autant qu’elle peut. Elle a déposé le 17 octobre une requête visant à faire faire rejeter la plainte de PHMT au motif qu’elle aurait livré l’ensemble des données réclamées par la justice, ce qui est contesté par l’avocat de PHMT, Aaron Siri, qui estime qu’un million de pages sont toujours séquestrées par la FDA. Manquent notamment à l’appel la liste complète des ingrédients présents dans le vaccin Pfizer ainsi que le résultat des contrôles qualité que l’agence est censée avoir effectués avant d’homologuer l’injection :

Le module 3, ou la documentation sur les contrôles de fabrication des produits chimiques, représente généralement environ 20 à 30 % de la demande d’homologation d’un nouveau médicament ou produit biologique, car il traite de la capacité du fabricant à démontrer que son processus garantit la pureté, la puissance et l’absence de contaminants dans le produit final tel que distribué au patient. Étant donné que de nombreux rapports, y compris dans des publications évaluées par des pairs, indiquent que le produit Comirnaty de Pfize est contaminé par des microARN non conformes, des plasmides d’ADN, du SV40, différents métaux, des protéines, des micro- et macro-objets dans les flacons, les défaillances du processus de fabrication suscitent de vives inquiétudes.Sasha Latypova, ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique.

Seul bémol, le livre est proposé à la vente à 37 € et il est écrit en anglais. La biostaticienne et lanceuse d’alerte Christine Cotton, auteur de l’ouvrage Tous vaccinés, tous protégés, y a déjà exposé le dédale des fraudes et des violations des pratiques cliniques commises par Pfizer lors de la fabrication de son injection. Elle fut en réalité l’une des toutes premières à avoir compris l’ampleur de la fraude. Elle publie aujourd’hui un nouveau livre en anglais, de 213 pages, intitulé The trial was almost perfect (L’essai était presque parfait), disponible en téléchargement gratuit. Il serait dommage de se priver de cette lecture édifiante, où la chercheuse dissèque avec une précision chirurgicale le cadavre de l’essai clinique Pfizer.

L'essai était presque parfait, Christine Cotton, couverture
Christine Cotton. L’essai était presque parfait

Références

[1] Pfizer. 5.3.6 Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28-Feb-2021. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf?fbclid=IwAR0ojrw_W7XJAgf9yUS8STlUICMnEk1UvHeLH6EejSHBtrc63HOPrB57Mz0. Version republiée en avril 2022 : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf.

[2] Pfizer. COVID-19 vaccine safety review for PLLR label update. BNT162b2 cumulative review from pharmacovigilance database: Pregnancy and lactation cumulative review. 2021 Apr 20. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2023/04/125742_S2_M1_pllr-cumulative-review.pdf.

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Déclaration de Bruxelles : pour une réforme radicale des Ordres des médecins

Non aux Ordres qui nous trahissent.

En soutenant des politiques sanitaires inadaptées mais très favorables aux laboratoires pharmaceutiques, nos Ordres européens ont vendu la médecine aux financiers.
Nous sommes très nombreux à nous révolter contre cette scandaleuse complicité, mais l’inquisition que les Ordres organisent avec délectation, dissuadent très efficacement toute contestation et même toute tentative de débat. Ces procédés fachistes sont intolérables.


Lire l’article sur le site de l’Ordre Universel des praticiens de Santé

Voir également la vidéo d’Alain Colignon via la Web TV de Jean-Dominique Michel

La déclaration de Bruxelles

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