En tant que groupe international de politiciens et professionnels qualifiés, nous sommes gravement préoccupés par les effets des vaccins à ARNm modifiés contre le COVID-19 sur nos populations et appelons à leur suspension immédiate.
ENTRETIEN – Le bras de fer judiciaire entre la Commission européenne et les citoyens de l’Union se durcit. Condamnée en juillet 2024 par le Tribunal de l’Union européenne pour son opacité dans la gestion des contrats d’achat de vaccins, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’UE, assorti d’un référé visant à suspendre partiellement l’exécution d’un jugement obtenu par Me Arnaud Durand au nom de 2089 requérants. Depuis octobre, cette procédure inédite a connu de nombreux rebondissements : l’exécutif européen refuse la divulgation des contrats, en violation d’une décision de justice devenue exécutoire, et bafoue le principe du contradictoire, en ne communiquant pas les arguments qu’il invoque pour empêcher des milliers de citoyens de se joindre à l’affaire, dénonce l’avocat. Paradoxalement, la Commission a exigé un droit de réplique aux conclusions en réponse déposées en décembre, signe, selon lui, que « nos arguments ont manifestement été perçus comme menaçants ». Enfin, ce 4 février, le juge des référés a rejeté les « arguments classiques » de la Commission, mais néanmoins estimé qu’il revenait à la CJUE d’avoir le dernier mot sur la divulgation de l’identité cachée des négociateurs des contrats. Dans cet entretien, Me Arnaud Durand revient sur ces derniers développements et analyse les enjeux d’un affrontement judiciaire qui touche au cœur même des principes de transparence au sein de l’Union européenne. À l’heure même où la Commission a annoncé la signature d’un nouveau contrat de vaccins Covid-19… dont elle n’a pas dévoilé toute la teneur.
Epoch Times : Le 24 janvier, la Commission a passé un marché avec le laboratoire américain Moderna pour l’achat groupé de vaccins contre le Covid-19 : jusqu’à 146 millions de doses de vaccins ARN messager. Avant d’aborder la procédure en pourvoi, quel regard portez-vous sur ce dossier ?
Me Arnaud Durand : Lors de notre entretien du 6 octobre 2024, je dénonçais la dérive de la Commission von der Leyen dans son opacité toujours plus marquée après la décision rendue par le tribunal de l’Union européenne le 17 juillet 2024, la condamnant pour son manque de transparence dans l’affaire des contrats d’achat de vaccins Covid-19. Aujourd’hui la Commission européenne réitère. En témoigne la non-divulgation de ce contrat conclu avec Moderna pour près d’une dose par habitant pour les seize États membres impliqués (Belgique, Espagne, France, etc.).
À ce jour, les conditions financières de cet accord sont inconnues. Par l’intermédiaire de son autorité HERA “de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire”, la Commission tente de rassurer en mettant en avant l’absence de clause de minimum d’achat. Cependant, la signature d’un contrat suppose en principe des engagements notamment financiers de la part des États signataires. Dès lors, plusieurs questions se posent : ce contrat est-il équilibré ? Confère-t-il à Moderna des avantages excessifs au détriment des contribuables européens ? À ce stade, la Commission cache ces informations.
Je rappelle que la conclusion des précédents contrats d’achat Covid-19, pour un montant total estimé à 71 milliards d’euros, avait, à l’époque, soulevé de sérieux doutes quant à l’équité des négociations. En effet, l’augmentation des commandes de doses s’était accompagnée d’une hausse des prix, ce qui est contraire aux principes économiques usuels, qui voudraient au contraire que des commandes massives entraînent une baisse des coûts unitaires.
De plus, la Commission avait accepté des prix d’achat supérieurs à ceux négociés par d’autres États, et ce, pour des injections dont les données d’étude étaient à la fois parcellaires et fragiles. L’histoire a montré qu’en fin de compte, ces produits n’ont pas du tout tenu leurs promesses.
Ce nouveau manquement à la transparence va donc une fois de plus à l’encontre des principes fondamentaux de l’Union européenne. Il est d’autant plus préoccupant qu’il contredit directement la volonté exprimée par le Parlement européen lui-même, qui avait adopté, le 12 juillet 2023, une résolution sans équivoque dénonçant l’opacité des accords passés par la Commission.
Ce texte demandait que « les contrats soient conclus et que les négociations sur les prix soient menées de manière transparente ». Pourtant, la Commission persiste dans son attitude de dissimulation, à l’encontre de cette résolution du Parlement européen. Une telle attitude ne peut qu’éroder davantage la confiance des citoyens.
À l’occasion du nouveau contrat avec Moderna, la presse française a rapidement rappelé les accusations concernant le manque de transparence sur la passation de ces marchés à l’époque. TF1 a d’ailleurs renvoyé ses lecteurs vers son article traitant de la condamnation de la Commission pour ces faits en juillet dernier. Qu’avez-vous pensé du traitement médiatique sur la signature de ce nouveau contrat ?
Lorsque l’on constate qu’un média grand public comme TF1 commence à accorder du crédit aux demandes de transparence contre la Commission européenne, demandes qui étaient encore récemment qualifiées de « complotistes », on peut raisonnablement penser que le vent commence à tourner.
Contrairement à d’autres médias, je me réjouis qu’ils aient eu la loyauté de renvoyer leurs lecteurs vers l’article annonçant la condamnation de la Commission européenne que nous avons obtenue en juillet dernier.
Le manque de transparence de l’exécutif européen ne repose pas sur des spéculations fantaisistes, mais bien sur des griefs que le tribunal de l’UE a reconnus en donnant raison aux 2089 requérants que je représente. L’arrêt rendu par le Tribunal marque un tournant dans le débat public, légitimant enfin des interrogations trop longtemps moquées et balayées d’un revers de main par les prétendus “fact-checkers”.
Toutefois, je reste prudent quant au traitement médiatique de ces affaires. Ce frémissement, bien que notable, ne garantit pas une couverture impartiale et approfondie. La couverture presse de juillet dernier en est d’ailleurs un bon exemple : il minimisait l’impact de cette décision de justice en titrant que la Commission aurait été juste « épinglée ». Or, en réalité, elle a bel et bien été condamnée.
L’article de TF1 se conclut en rappelant que la plainte pénale déposée en avril 2023 par le lobbyiste belge Frédéric Baldan a été jugée irrecevable par la justice belge en janvier, ce qui, selon la presse, a consécutivement frappé d’irrecevabilité toutes les autres plaintes déposées dans son sillage, celles de ceux invités à se joindre à cette procédure mais aussi celles déposées à l’initiative des États membres. Frédéric Baldan a accusé la justice « d’organiser l’impunité » d’Ursula von der Leyen. Quelle analyse faites-vous de ce jugement ?
Bien avant que la justice n’ait statué qu’en début 2025, j’avais mi-2024 prévenu les lecteurs de ma newsletter “DejaVu” qu’une telle plainte, déposée par des personnes tierces devant la justice belge, était certainement vouée à l’échec, faute d’être juridiquement recevable.
En effet, dans le type de procédure engagée, seule une victime directe de l’infraction peut agir en réparation du dommage. C’est le cas aussi bien en droit belge qu’en droit français.
Dans ces conditions, il est ici difficile de désapprouver la justice belge qui a rendu une décision tout simplement conforme au droit applicable en ce qui concerne les plaignants personnes physiques.
Certaines associations, dans des conditions bien précises, pourraient, elles, être jugées recevables. Il appartient maintenant à ces associations d’agir utilement.
En tant qu’avocat intervenant sur de grandes causes, je crois en la nécessité d’éclairer les justiciables sur les perspectives de chaque procédure. Bien sûr, il existe un aléa devant la Justice, a fortiori sur les causes sensibles. En revanche, j’ai toujours refusé de faire exprès de me tromper pour ensuite blâmer une décision prétendument mauvaise, en réalité logique, rendue par un juge.
Toutefois, dans l’affaire belge, on ne comprend pas bien pourquoi les États membres de l’Union européenne, qui avaient également déposé plainte, ont été eux aussi jugés irrecevables. J’espère que ces États-membres se reprendront afin de faire valoir leur droit à un procès, soit en déposant une nouvelle plainte, soit en engageant un recours devant la Cour de cassation belge à ce stade.
Le 17 juillet dernier, le Tribunal de l’Union européenne a condamné la Commission pour son manque de transparence concernant les contrats d’achat de vaccins et l’identité des négociateurs impliqués. Face à cette décision, le 27 septembre 2024, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qu’elle a assorti d’un référé en mesures provisoires. Le 4 février, vous avez reçu la décision du juge des référés. Quelle est-elle ?
Ce pourvoi devant la CJUE, seule voie de contestation possible pour la Commission, ne vise pas à remettre en cause les faits du dossier, mais plutôt la manière dont les juges du Tribunal de l’UE ont appliqué le droit. Il s’agit donc d’une procédure comparable à un pourvoi en cassation en France : la Cour de cassation ne rejuge pas les faits, mais vérifie si la règle de droit a été correctement appliquée, en s’appuyant sur la jurisprudence.
Parallèlement, la Commission avait donc introduit un référé afin de suspendre l’exécution de l’arrêt du Tribunal, mais uniquement sur la divulgation des noms des négociateurs, sans que l’obligation de publier les contrats d’achat fortement caviardés ne soit suspendue.
L’objectif de cette démarche de la Commission était d’obtenir en urgence la suspension de l’exécution de la décision du 17 juillet 2024, devenue exécutoire en septembre.
Thomas von Danwitz, juge des référés, dans sa décision rendue le 4 février 2025, n’a pas retenu les arguments classiques de la Commission mais a opté pour une approche pragmatique, à savoir la “mise balance des intérêts” : tant que la CJUE ne s’est pas prononcée sur le pourvoi, divulguer les noms des négociateurs serait irréversible. Il a donc suspendu la divulgation des noms jusqu’à la décision finale, non pas en accordant quelque crédit que ce soit aux arguments juridiques premiers de la Commission, mais exploitant cet outil très élastique qu’est la “mise en balance des intérêts”, sorte de “voiture-balai” des intérêts des parties lorsque les outils juridiques classiques sont insuffisants pour prendre une décision dans tel ou tel sens.
Il est vrai que si le pourvoi de la Commission devait in fine être jugé fondé par la Cour, il serait en pratique difficile de revenir en arrière une fois ces informations rendues publiques.
Gageons que le Parlement européen, expression de la démocratie au sein de l’Union européenne, qui a formellement demandé la divulgation de l’identité des négociateurs et de leurs déclarations de conflits d’intérêts, ait l’oreille de la Cour au fond de l’affaire.
Si le référé introduit par la Commission portait exclusivement sur l’identité des négociateurs, pourquoi n’a-t-elle toujours pas divulgué les contrats d’achat des vaccins avec les différents laboratoires ?
La Commission n’a pas introduit de référé concernant la divulgation des contrats, probablement parce qu’elle savait ses arguments encore moins solides que ceux avancés pour dissimuler l’identité des négociateurs. Cela en dit long sur la fragilité juridique de sa position : la Commission sait qu’elle ne pouvait justifier son refus de transparence devant le juge des référés sans courir un risque considérable de voir son recours rejeté.
Le 18 octobre 2024, j’ai officiellement sommé la Commission d’exécuter la décision du Tribunal, qui l’obligeait à divulguer ces documents. À ce jour, elle continue de faire la sourde oreille en utilisant divers prétextes fantaisistes. En réalité, sa tactique repose sur l’idée de jouer la montre, en espérant qu’un arrêt favorable de la Cour lui permette de ne jamais divulguer ces contrats.
Le mécanisme d’exécution des décisions au sein de l’Union européenne est en effet particulier : par principe, le juge de l’Union ne peut pas contraindre directement une administration à exécuter une décision de justice. Cependant, la Commission est tenue de respecter les décisions de Justice, faute de quoi les intéressés peuvent engager un nouveau recours, qu’ils sont pratiquement certains de gagner à nouveau, puisque visant uniquement à faire respecter un arrêt déjà rendu.
Au-delà des détails d’exécution, ce refus de la Commission européenne de se conformer à… une décision de justice montre à quel point cette commission n’est pas attachée au principe de transparence.
Et cela, cet attachement premier de la Commission européenne à des intérêts partisans voire mercantiles, les citoyens de l’Union s’en rendent de mieux en mieux compte.
Pouvez-vous faire un état des lieux de cette procédure en pourvoi en précisant son calendrier ?
Le 10 décembre 2024, nous avons conclu au fond contre le pourvoi de la Commission. Les arguments que nous avons développés dans l’intérêt des 2 089 requérants ont manifestement été perçus comme suffisamment menaçants pour inquiéter la Commission, puisqu’elle a demandé à la Cour l’autorisation d’y répliquer. Ce qu’elle devra faire d’ici une quinzaine de jours.
En tant que défendeurs contre le pourvoi nous serons amenés à répondre à notre tour, ce qui nous conduira aux alentours du mois d’avril 2025. L’affaire devrait donc être jugée par la CJUE d’ici début 2026.
Par ailleurs, le 11 décembre 2024, 3782 citoyens de l’Union européenne ont introduit une demande d’intervention volontaire pour se joindre à la procédure en cours afin de soutenir les requérants. La Commission européenne s’y est opposée, mais ni le Tribunal ni la Commission n’ont jugé bon de communiquer ce mémoire en opposition aux requérants. Ne s’agit-il pas d’une violation du principe du contradictoire ?
Oui, c’est une violation manifeste du droit à un procès équitable : chaque partie doit évidemment pouvoir connaître des arguments de son adversaire avant qu’une décision ne soit rendue. Pourtant, dans ce cas précis, nous ne connaissons toujours pas les arguments que la Commission a avancé dans le but d’empêcher la participation de milliers de citoyens européens au dossier.
Cette situation est profondément problématique sur le plan du droit. Il est inouï que la Commission européenne, institution censée défendre l’intérêt général, s’oppose à la participation de citoyens européens tout en les empêchant de connaître des arguments avancés contre eux.
En fonction de la décision qui sera rendue, nous déterminerons si un recours ou une autre action légaliste s’impose pour contester cette atteinte évidente au droit à un procès équitable, en serait-ce que pour les requérants eux-mêmes qui se verraient priver de l’intervention en leur soutien de plus de 3000 intervenants.
Ce que doit maintenant comprendre la Commission européenne avec les milliers de citoyens que je défends, c’est qu’elle ne peut plus agir subrepticement comme elle a trop pris l’habitude de le faire dans les affaires où les requérants agissent isolément. En première instance, elle nous avait tendu tous les pièges procéduraux possibles et imaginables. Cela n’a pas fonctionné. La Commission ferait mieux de se ranger à la transparence légitime réclamée par les citoyens de l’Union. Qu’elle comprenne bien : nous ne lâcherons rien.
Pourquoi la Commission tient-elle tant que cela à maintenir confidentiels l’identité des négociateurs ainsi que leurs potentiels conflits d’intérêts selon vous ?
Il est depuis peu de notoriété publique que l’une des principales négociatrices des contrats d’achat de vaccins était Mme Ursula von der Leyen elle-même. De manière manifestement solitaire, la Présidente de la Commission a tenu des négociations avec Pfizer.
Au-delà de l’article du New York Times évoquant les SMS où Mme von der Leyen aurait traité directement avec le PDG du fabricant Pfizer, cette affaire a entre-temps été confirmée par la Cour des comptes européennes qui a dénoncé, en tête d’un rapport spécial, n’avoir « reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE ».
La question est donc simple : les négociateurs étaient-ils exempts de tout conflit d’intérêts, comme l’affirme la Commission ?
Actuellement, la seule réponse que nous a fournie la Commission est une liste de déclarations de conflits d’intérêts… entièrement anonymisée et… ne mentionnant l’existence d’aucun conflit d’intérêts.
Il est donc impératif, une fois ces documents obtenus, de vérifier si Mme von der Leyen y figure bien, compte tenu de son rôle révélé depuis dans ces négociations.
Et plusieurs éléments suscitent des interrogations quant à de potentiels conflits d’intérêts impliquant Mme von der Leyen. D’une part, son propre mari est directeur chez Orgenesis, une société spécialisée dans l’ARN messager en matière de Covid-19. D’autre part, Mme von der Leyen elle-même a acquis des options d’achat dans cette entreprise, ce qui pose directement la question d’un conflit d’intérêts majeur.
Quand on regarde le caractère particulièrement farfelu des arguments de la Commission, on se rend compte qu’en réalité, c’est très probablement à cause de sa présidente que la Commission redoute l’exécution de sa condamnation du 17 juillet 2024.
Comment la Commission justifie-t-elle ses positions dans ses conclusions ?
La Commission européenne cherche aujourd’hui à clore le débat en affirmant que l’objectif de transparence et de vérification des conflits d’intérêts aurait déjà été atteint par la publication des déclarations caviardées.
Cette affirmation est d’une absurdité manifeste. Comment prétendre vérifier des conflits d’intérêts lorsque les noms des signataires sont cachés ? Sans connaître l’identité des négociateurs, il est tout simplement impossible de procéder à la moindre vérification.
Face à cette incohérence, la Commission tente de rassurer en affirmant qu’il ne faut pas s’inquiéter, qu’elle a déjà vérifié en termes de conflits d’intérêts. Mais cette demande de confiance aveugle et naïve, nous la refusons fermement. Nous ne croyons pas la Commission, le Parlement européen ne la croit pas non plus, et, plus largement, personne ne semble convaincu, puisque les appels à la transparence se multiplient. En enjoignant les citoyens à une sorte de “circulez, il n’y a rien à voir”, la Commission a attisé le besoin de transparence.
Dans ses conclusions, l’exécutif européen avance que le contrôle démocratique de l’identité des négociateurs ne relève pas d’un but d’« intérêt public ».
La Commission a effectivement saisi la Cour de justice de l’Union européenne de cette question au fond dans son pourvoi. Elle en avait aussi saisi le Tribunal en première instance, puis le juges des référés. Tous deux ont écarté cet argument.
La Commission tentait d’affirmer que l’objectif poursuivi n’était pas d’intérêt public, mais cette position était intenable… aux yeux mêmes de la Commission qui se contredisait à la phrase suivante en indiquant que cette vérification des conflits d’intérêts était bien dans « l’intérêt public ».
Une contradiction aussi flagrante revenait à anéantir son propre argumentaire. Nous avons donc rappelé à l’encontre de la Commission qu’en droit, des arguments contradictoires équivalent à une absence d’arguments.
Dans son pourvoi, la Commission se justifie également en arguant que la divulgation de l’identité de ces négociateurs pourrait entraîner « des attaques à leur intégrité physique ainsi que du harcèlement, notamment par des supporteurs des “théories du complot“, dont le nombre n’est pas négligeable en lien avec la pandémie de Covid-19 ». Pourtant, bien des prédictions jugées « complotistes » à l’époque se sont révélées vraies. Dernier exemple en date : ce 25 janvier, on apprend que la CIA elle-même considère comme probable l’hypothèse d’une fuite de laboratoire à Wuhan comme origine du Covid-19, hypothèse elle aussi qualifiée autrefois avec virulence de théorie complotiste. Que cela vous inspire-t-il ?
Tout d’abord, je reviens une fois de plus sur la résolution adoptée par le Parlement européen le 12 juillet 2023, qui recommande explicitement que « les négociateurs de contrats avec des entreprises pharmaceutiques déclarent leurs intérêts financiers et autres » et, dans une clarté absolue, recommande également de « rendre ces déclarations publiques ». Mais la Commission continue de dissimuler ces quelques identités, pour un coût exorbitant en termes de finance comme en matière de confiance.
Dans ce contexte, sous-entendre que les requérants seraient « complotistes » n’est pas seulement décalé, mais c’est aussi malhonnête. Les personnes que je représente sont des citoyens légalistes ayant obtenu en justice la condamnation de la Commission européenne pour son opacité.
Au-delà, l’exemple de la fuite probable du laboratoire concernant l’origine du virus est un exemple particulièrement révélateur : à l’époque, nous avions assisté à une véritable mascarade visant à fermer tout débat et à mettre en garde contre les “dangereux complotistes” posant des questions à ce sujet.
Une délégation de l’OMS, censée enquêter sur l’origine du virus, avait dans son rapport à l’époque conclu qu’elle n’avait toujours pas identifié l’hôte naturel du SARS-CoV-2. Soyons sérieux : comment prétendre aboutir à des conclusions crédibles lorsque l’on refuse d’explorer sérieusement la piste d’une origine artificielle ?
Il est temps de réhabiliter le pangolin et la chauve-souris, ces boucs émissaires érigés en coupables sans défense !
Derrière cette absurdité se cache un problème plus vaste. La Commission européenne n’est qu’un rouage d’un système dans lequel des institutions comme l’OMS ont cherché à imposer un prétendu consensus, pourtant absurde, évacuant toute hypothèse dérangeante au profit d’une pensée officielle.
Pourquoi le “bon chemin” argué par ces instances est-il pratiquement toujours en faveur des intérêts financiers des fabricants de médicaments ? Pendant la crise, tout semblait cadré pour éviter toute mise en cause de ce laboratoire installé en Chine avec le concours de… Français et d’Américains.
Si l’hypothèse, désormais plausible, d’une fuite de laboratoire venait à être définitivement confirmée, les implications seraient colossales en termes de responsabilités civiles, pénales et politiques à l’échelle internationale.
Comment franchir le cap tumultueux du changement de monde en cours sans perdre notre âme et nos repères ? Jean-Dominique Michel aborde avec Philippe Bobola, physicien, biologiste et anthropologue, les caractéristiques de cette période troublée et de ses lignes de force fondamentales.
Dans une tournure sans précédent, un groupe international de 700 professionnels et politiciens a envoyé une lettre choc à 20 gouvernements européens, exigeant l’arrêt immédiat des vaccins à ARN messager contre la COVID-19.
Cette coalition, connue sous le nom de NORTH Group, inclut des médecins, avocats, scientifiques et élus de haut niveau, dénonçant les risques graves pour la santé publique.
Depuis le 25 novembre, des pays d’Europe du Nord comme le Danemark, la Suède et la Norvège ont été rejoints par des nations de l’Europe centrale et du Sud, y compris la Slovénie, l’Irlande et l’Espagne.
Ce mouvement représente désormais 20 pays unis pour la transparence et la sécurité sanitaire.
1. Effets secondaires catastrophiques : Les vaccins mRNA présentent des taux d’effets indésirables graves sans précédent, incluant des décès et des risques de dommages à l’ADN humain.
2. Données dissimulées : Des analyses révèlent des résidus d’ADN étrangers dans les vaccins de Pfizer et Moderna, un danger jamais testé ou communiqué au public.
3. Mensonge sur l’efficacité : Les vaccins n’ont jamais été testés pour empêcher la transmission du virus, contredisant les messages de santé publique.
Les signataires demandent :
• L’arrêt immédiat des campagnes de vaccination.
• Une enquête indépendante sur les processus d’approbation et les risques cachés des vaccins.
• Des garanties scientifiques sur l’absence de danger pour les générations actuelles et futures.
Alors que la NORTH Group tire la sonnette d’alarme, les gouvernements restent inertes face à ces révélations.
Des preuves accablantes, issues d’analyses scientifiques et de témoignages, continuent de s’accumuler, mais les régulateurs semblent complices d’un scandale sanitaire mondial.
Ce petit guide donne des informations pratiques et théoriques sur les vaccins infantiles obligatoires et recommandés. Il est destiné aux parents inquiets des risques de la vaccination. L’État français a rendu obligatoire 11 vaccins (depuis 2018) pour l’entrée dans toute “collectivité d’enfants” (crèche, garderie, école, garderie, colonies de vacances). L’instruction est obligatoire à 3 ans. Beaucoup de parents sont désemparés face au dilemme de la vaccination face à la santé de leur enfant. Il a été réalisé par deux collectifs de citoyens et soignants de Paris et d’Aix-en-Provence, qui défendent la sécurité des vaccins et la liberté vaccinale.
Ils sont en train de débarquer. Après les vaccins à ARN messager (ARNm), voici les vaccins à ARN messager auto-amplifiant (ARNma). Depuis avril 2024, ils sont utilisés en France pour la vaccination des poules et des canards d’élevage contre la grippe aviaire. Le mois dernier, c’est l’Agence européenne du médicament qui a donné sa bénédiction au premier vaccin humain à ARNma contre le Covid. Annoncés sûrs et efficaces, ces produits ont plutôt de quoi soulever des inquiétudes.
◆ Encore le Covid ?!
Qui, de nos jours, se vaccine encore contre le Covid-19 ? On peut sérieusement se le demander. Les campagnes d’incitation de l’Assurance maladie, en tout cas, se poursuivent. Depuis l’automne, le site Ameli recommande aux personnes à risque de forme grave de se faire injecter la nouvelle version du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech adaptée au variant JN.1, celui qui dominerait actuellement en France et dans le monde.
Pendant ce temps, et presque en douce, l’Agence européenne du médicament (EMA) a donné un avis favorable, le 12 décembre dernier, au premier vaccin à ARN messager auto-amplifiant (ARNma) contre le SARS-CoV-2.
◆ L’alerte de Jean-Marc Sabatier sur ces nouveaux vaccins
Le sujet de la vaccination anti-Covid est donc loin d’être enterré pour les autorités de santé. Quant à celui des injections à ARNma, il ne fait (malheureusement) que commencer.
Le 29 février 2024, nous avions publié une interview du Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, spécialisé en biologie cellulaire et en microbiologie. Il tirait la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels des nouveaux vaccins à ARNm en développement, notamment ceux à ARNm auto-amplifiant (ou auto-répliquant) et trans-amplifiant, dont il expliquait les mécanismes.
⇒ Lire notre article du 29/02/2024 :
◆ Le Kostaive à ARNma, déjà autorisé au Japon
À l’époque, le Japon venait d’approuver le premier vaccin à ARNma contre le SARS-CoV-2, l’ARCT-154, également le premier vaccin humain utilisant cette technologie à être approuvé dans le monde. Vendu sous le nom commercial de Kostaive (dont le principe actif est le zapomeran), ce vaccin a été mis au point par la société états-unienne Arcturus Therapeutics, basée à San Diego en Californie.
Un an plus tard, c’est donc au tour de l’Agence européenne du médicament de lui donner son feu vert, sans qu’on ne sache trop ce qui a motivé l’avis favorable du comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA, le document publié étant particulièrement succinct. Même si le dossier doit encore passer entre les mains de la Commission européenne pour être définitivement validé, il y a peu de chance que celle-ci aille à l’encontre de l’agence. L’autorisation de mise sur le marché est donc quasiment actée.
◆ Un vaccin efficace, avec des effets indésirables légers, selon l’EMA
Selon l’avis du CHMP, « le bénéfice de Kostaive en primo-vaccination contre le Covid-19 a été démontré dans une vaste étude dans laquelle les adultes ont reçu soit deux doses de Kostaive, soit un placebo. Par rapport au placebo, la vaccination avec Kostaive a entraîné une réduction de la proportion de patients ayant développé un Covid-19 symptomatique entre une semaine et trois mois après la deuxième dose de vaccin. » Une autre étude plus petite aurait, par ailleurs, montré l’efficacité de Kostaive en tant que vaccin de rappel, suite à une primovaccination faite avec un autre vaccin.
Le CHMP indique également que « les effets indésirables les plus couramment observés sont les réactions au site d’injection (douleur et sensibilité), l’arthralgie, la myalgie, les maux de tête, les vertiges, la fatigue, les frissons et la pyrexie ».
◆ Les vaccins à ARNm se sont pourtant révélés peu sûrs et peu efficaces
Si l’on se fie à cet avis, le nouveau vaccin Kostaive serait donc à la fois efficace et sans danger, tout comme le sont toujours officiellement les vaccins à ARN messager déjà sur le marché, alors qu’ils n’ont objectivement prouvé ni leur efficacité ni leur sécurité.
On ne compte plus, en effet, les vaccinés ayant développé un ou plusieurs Covid symptomatiques, parfois sévères, malgré leur soi-disant protection vaccinale. Quant aux effets indésirables graves, parmi lesquels on trouve de nombreux cas de décès, les chiffres de pharmacovigilance et plusieurs associations de victimes (Verity France, Où est mon cycle ?, AAVIC Team…) sont là pour en témoigner.
◆ Une technologie jamais remise en question par les autorités
Ce qui choque le plus dans cet avis de l’EMA est que jamais n’est remise en question la technologie de l’ARNm, sur laquelle on peut pourtant avoir de sérieux doutes.
Rappelons brièvement que l’ARNm contenu dans les vaccins anti-Covid code pour la protéine Spike du virus SARS-CoV-2. Injecté, cet ARNm est censé pénétrer dans nos cellules pour y être lu et traduit en acides aminés, afin que nos cellules fabriquent elles-mêmes cette protéine Spike, qui sera ensuite détectée par notre système immunitaire pour fabriquer les antigènes correspondants.
◆ Les erreurs de lecture problématiques de l’ARNm vaccinal
Or, comme le soulignait Jean-Marc Sabatier dans notre article cité plus haut, « cette technologie n’est pas du tout maîtrisée, on en a eu confirmation avec l’étude publiée dans Nature le 6décembre 2023, montrant des problèmes de lecture et de traduction de l’ARNm vaccinal en protéines ».
Plus précisément, l’uridine de synthèse utilisée dans l’ARNm des vaccins n’est pas toujours bien lue par nos cellules et ces erreurs de lecture aboutissent à la fabrication de protéines autres que la Spike. Les conséquences de cette production erratique de protéines inconnues pourraient, à terme, s’avérer délétères.
⇒ Lire notre article du 18/12/2023 :
◆ Une production de Spike incontrôlée
De plus, ajoutait Jean-Marc Sabatier, « on se rend compte que la production de protéine Spike, qui devait être limitée, n’est pas du tout contrôlée.On a détecté de la Spike vaccinale dans le sang de personnes vaccinées jusqu’à 15 mois après leur dernière injection, ce qui suggère que ces personnes continuent à en produire. »
Le cardiologue américain Peter McCullough faisait le même constat lors de son intervention au Parlement européen en septembre 2023, où il a déclaré que « pas une seule étude ne montre que l’ARN messager est dégradé » dans le corps humain, une fois injecté. Et s’il n’est pas dégradé, cela signifie qu’il continue à servir pour produire aussi bien de la Spike que d’autres protéines inconnues.
◆ Le risque d’avoir en soi une machine infernale ?
Avec les vaccins à ARNm auto-amplifiant, ce processus incontrôlé risque d’être pire encore. À travers cette nouvelle technologie, notre corps n’est plus seulement transformé en usine de production de la Spike, mais également en usine de production d’ARN messagers, puisqu’une fois injectés, ceux-ci vont s’auto-répliquer à l’intérieur de nos cellules !
Sur le papier, ces ARNm auto-amplifiants sont censés se dégrader au bout d’un certain temps. Mais si, encore une fois, ils ne se dégradent pas comme prévu, le risque est qu’ils se reproduisent indéfiniment et que nos cellules fabriquent tout aussi indéfiniment de la Spike ou d’autres protéines, sans que personne ne puisse stopper cette machine infernale.
◆ Peu de recul et aucune prudence
Alors que la prudence devrait être de mise face à ces nouvelles technologies vaccinales, on voit qu’il n’en est rien et que les autorités de santé continuent de donner leur approbation à des produits qui nécessiteraient à l’évidence une meilleure maîtrise et de nombreuses années de recul.
De manière tout aussi inquiétante, les vaccins à ARNm auto-amplifiant sont désormais également utilisés en médecine vétérinaire.
◆ Quels risques pour les consommateurs de canards vaccinés à l’ARNma ?
Depuis avril 2024, le Respons AI H5 du laboratoire Ceva Santé animale est ainsi administré en France aux poules et aux canards d’élevage, dans le cadre de la campagne de vaccination obligatoire contre la grippe aviaire de souche H5. Avec quels risques pour les consommateurs ? Aucun, selon le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
La pharmacienne biologiste Hélène Banoun, qui vient de publier sur le site de l’Aimsib un article consacré à ce sujet, n’en est pas si convaincue. « Aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande de canard », souligne-t-elle, avant d’expliquer les raisons pour lesquelles, selon elle, « si la viande est mal cuite […], le consommateur peut théoriquement être “vacciné” par cet ARNm destiné au canard. »
Organisées par Cher Atout Cœur, le samedi 1er février 2025 de 9 h à 18 h, auront lieu au Centre des Congrès de VIERZON les deuxièmes Rencontre Citoyennes Internationales avec près de 60 associations et collectifs présents.
Ouvert au public avec participation libre en conscience. Réflexions sur l’Intelligence Artificielle au service de la médecine. Les effets indésirables des vaccins Covid et réalité du Covid Long.
Durant les trois années qu’a duré la crise dite sanitaire, nous avons été submergés d’annonces officielles, de décisions autoritaires et des discours prétendument « scientifiques » qui se sont imposés à nous comme des dogmes.
Mais aujourd’hui, les faits commencent à parler, et ils racontent une toute autre histoire.
Une intervention faite le 7/11/2023. 14 mois plus tard, le sénat ne semble toujours pas vouloir prendre la mesure de l’hécatombe qui sévit dans les pays occidentaux. Les autorités de Santé s’enfoncent même davantage aujourd’hui dans l’absurde et l’expérimentation délétère en ajoutant pour nos enfants trois nouveaux vaccins obligatoires aux onze mis en place en 2017. https://sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/vaccins-obligatoires/article/de-nouveaux-vaccins-obligatoires-pour-les-nourrissons Il est grand temps que la médecine et la science s’extraient de la soumission et de l’hypnose pour retrouver une autonomie cérébrale.
Femme de 59 ans présentant une thrombose veineuse profonde étendue et une thromboembolie pulmonaire 7 jours après une première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34117206/
Images TEP numériques 68 Ga-DOTATOC d’infiltrats de cellules inflammatoires dans la myocardite après vaccination avec le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34746968/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas d’encéphalopathie aiguë et d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST après vaccination avec l’ARNm-1273 : effet indésirable possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703815/
Un cas de vascularite associée aux ANCA après vaccination AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) contre le SRAS-CoV-2 : victime ou causalité ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416184/
Un cas de purpura thrombocytopénique idiopathique après une dose de rappel du vaccin COVID-19 BNT162b2 (Pfizer-Biontech) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820240/
Un cas de syndrome de Guillain-Barré ataxique sensoriel avec des anticorps anti-GM1 d’immunoglobuline G après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34871447/
Un cas de présentation clinique légère inhabituelle de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombose de la veine splanchnique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34843991/
Une série de cas de péricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 dans le contexte de rapports récents en Europe et aux États-Unis : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34635376/
Une série de cas de réactions cutanées au vaccin COVID-19 dans le département de dermatologie de l’Université de Loma Linda : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34423106/
Un regard sur le rôle de l’immunohistochimie post-mortem dans la compréhension de la physiopathologie inflammatoire de la maladie COVID-19 et des événements indésirables thrombotiques liés au vaccin : une revue narrative : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34769454/
Un trouble thrombocytopénique prothrombotique ressemblant à une thrombocytopénie induite par l’héparine après vaccination contre le coronavirus-19 : https://europepmc.org/article/PPR/PPR304469
Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le COVID-19 AstraZeneca : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34274191/
Un cas rare de thrombose veineuse cérébrale et de coagulation intravasculaire disséminée temporellement associée à l’administration du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33917902/
Un cas rare de thrombopénie thrombotique induite par le vaccin COVID-19 (VITT) affectant la circulation artérielle veinosplanchnique et pulmonaire dans un hôpital général de district du Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535492/
Un cas rare de thrombose et de thrombocytopénie de la veine ophtalmique supérieure après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34276917/
Un rapport sur les événements indésirables liés à la myocardite dans le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins. (VAERS) en association avec les produits biologiques injectables COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601006/
Abbate, A., Gavin, J., Madanchi, N., Kim, C., Shah, PR, Klein, K., . . . Danielides, S. (2021). Myocardite fulminante et hyperinflammation systémique associées temporellement à la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez deux patients. Int J Cardiol, 340, 119-121. est ce que je:10.1016/j.ijcard.2021.08.018. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34416319
Douleurs abdominales et hémorragie surrénalienne bilatérale dues à une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34546343/
Abu Mouch, S., Roguin, A., Hellou, E., Ishai, A., Shoshan, U., Mahamid, L., . . . Berar Yanay, N. (2021). Myocardite après vaccination à ARNm contre le COVID-19. Vaccin, 39(29), 3790-3793. est ce que je:10.1016/j.vaccine.2021.05.087. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34092429
Hépatite aiguë de type auto-immune avec anticorps antimitochondriaux atypiques après vaccination avec l’ARNm du COVID-19 : une nouvelle entité clinique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34293683/
Névrite optique/chiasme bilatéral aigu bilatéral avec myélite transversale extensive longitudinale dans la sclérose en plaques stable de longue date après vaccination à base de vecteur contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34131771/
Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512961/
AVC ischémique aigu révélant une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCov-19 : impact sur la stratégie de recanalisation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34175640/
Infarctus aigu du myocarde dans les 24 heures suivant la vaccination contre le COVID-19 : le syndrome de Kounis est-il le coupable : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702550/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles provenant de la base de données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Rechute aiguë et altération de la vaccination après la vaccination contre le COVID-19 chez un patient atteint de sclérose en plaques traité par rituximab : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34015240/
Infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST secondaire à une thrombose immunitaire induite par le vaccin avec thrombocytopénie (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34580132/
Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec une vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie auto-immune associé au vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induit par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, centrés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, axés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Événements indésirables liés à l’injection du COVID pouvant survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi .nlm.nih.gov/33706861/
Incidence spécifique à l’âge et au sexe de la thrombose du sinus veineux cérébral associée à la vaccination Ad26.COV2.S COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34724036/
Albert, E., Aurigemma, G., Saucedo, J. et Gerson, DS (2021). Myocardite suite à la vaccination contre le COVID-19. Représentant de l’affaire Radiol, 16(8), 2142-2145. est ce que je:10.1016/j.radcr.2021.05.033. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34025885
Composants allergènes du vaccin à ARNm-1273 contre le COVID-19 : implication possible du polyéthylène glycol et de l’activation du complément médiée par les IgG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33657648/
Réactions allergiques et événements indésirables associés à l’administration de vaccins à base d’ARNm. Une expérience du système de santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34474708/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, 21 décembre 2020-10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33507892/
Réactions allergiques, y compris l’anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, du 21 décembre 2020 au 10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641268/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14 au 23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641264/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33444297/
Une étude observationnelle pour identifier la prévalence de la thrombocytopénie et des anticorps anti-PF4/polyanion chez les agents de santé norvégiens après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33909350/
Une présentation inhabituelle de thrombose veineuse profonde aiguë après le vaccin moderne contre le COVID-19 : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34790811/
Réactions anaphylactiques au vaccin Pfizer BNT162b2 : rapport de 3 cas d’anaphylaxie suite à une vaccination avec Pfizer BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579211/
Événements artériels, thromboembolie veineuse, thrombocytopénie et saignements après vaccination avec Oxford-AstraZeneca ChAdOx1-S au Danemark et en Norvège : étude de cohorte basée sur la population : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33952445/
Association entre la vaccination ChAdOx1 nCoV-19 et les épisodes hémorragiques : étude de cohorte à grande échelle basée sur la population : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34479760/
Association d’antécédents autodéclarés d’allergie à haut risque avec des symptômes d’allergie après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34698847/
Thrombose atypique associée au vaccin VaxZevria® (AstraZeneca) : données du réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34083026/
Approche australienne et néo-zélandaise du diagnostic et du traitement de la thrombose immunitaire et de la thrombopénie immunitaire induites par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34490632/
Hépatite auto-immune se développant après le vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) : causalité ou victime ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33862041/
Adénopathie axillaire associée à la vaccination contre le COVID-19 : résultats d’imagerie et recommandations de suivi chez 23 femmes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33624520/
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Paralysie de Bell après vaccination inactivée contre le COVID-19 chez un patient ayant des antécédents de paralysie de Bell récurrente : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34621891/
Paralysie de Bell après la deuxième dose du vaccin Pfizer COVID-19 chez un patient ayant des antécédents de paralysie de Bell récurrente : bhttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S266635462100020X
Paralysie de Bell après vaccination avec les vaccins à ARNm (BNT162b2) et inactivés (CoronaVac) contre le SRAS-CoV-2 : une série de cas et une étude cas-témoins imbriquée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34411532/
Méfiez-vous des troubles du spectre de la neuromyélite optique après une vaccination avec un virus inactivé contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34189662/
Bhandari, M., Pradhan, A., Vishwakarma, P. et Sethi, R. (2021). Coronavirus et manifestations cardiovasculaires : entrer dans le vif du sujet. Monde J Cardiol, 13(10), 556-565. est ce que je:10.4330/wjc.v13.i10.556. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34754400
Faiblesse faciale bilatérale avec une variante de paresthésie du syndrome de Guillain-Barré après le vaccin Vaxzevria COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261746/
Thrombose veineuse ophtalmique supérieure bilatérale, accident vasculaire cérébral ischémique et thrombocytopénie immunitaire après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33864750/
AVC thalamique bilatéral : un cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 (VITT) ou une coïncidence due à des facteurs de risque sous-jacents : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820232/
Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après la première vaccination par ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après première vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
Anaphylaxie biphasique après la première dose du vaccin contre le coronavirus à ARN messager 2019 avec résultat positif au test cutané au polysorbate 80 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34343674/
Dysfonctionnement systolique biventriculaire dans la myocardite aiguë après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 ARNm-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601566/
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Buchhorn, R., Meyer, C., Schulze-Forster, K., Junker, J. et Heidecke, H. (2021). Libération d’autoanticorps chez les enfants après une vaccination à ARNm contre le virus Corona : un facteur de risque du syndrome inflammatoire multisystémique ? Vaccins (Bâle), 9(11). est ce que je:10.3390/vaccins9111353. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34835284
La vaccination CAd26.COV2-S peut révéler une thrombophilie héréditaire : thrombose massive du sinus veineux cérébral chez un jeune homme ayant une numération plaquettaire normale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34632750/
Calcaterra, G., Bassareo, PP, Barilla, F., Romeo, F. et Mehta, JL (2022). Concernant l’état prothrombotique inattendu suite à certains vaccins contre la maladie à coronavirus 2019. J Cardiovasc Med (Hagerstown), 23(2), 71-74. est ce que je:10.2459/JCM.0000000000001232. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34366403
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Résultats de résonance magnétique cardiovasculaire chez de jeunes patients adultes atteints de myocardite aiguë après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34496880/
Événements cardiovasculaires, neurologiques et pulmonaires après vaccination avec les vaccins BNT162b2, ChAdOx1 nCoV-19 et Ad26.COV2.S : une analyse des données européennes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34710832/
Rapport de cas : myocardite fulminante aiguë et choc cardiogénique après vaccination contre le coronavirus à ARN messager en 2019 nécessitant une réanimation cardio-pulmonaire extracorporelle : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34778411/
Rapport de cas : Vasculite associée aux ANCA présentant une rhabdomyolyse et une glomérulonéphrite Pauci-immunitaire en croissant après vaccination avec l’ARNm Pfizer-BioNTech COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34659268/
Rapport de cas : une vascularite associée aux anticorps cytoplasmiques anti-neutrophiles avec insuffisance rénale aiguë et hémorragie pulmonaire peut survenir après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34859017/
Rapport de cas : myocardite probable après vaccin à ARNm Covid-19 chez un patient atteint de cardiomyopathie ventriculaire gauche arythmogène : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34712717/
Rapport de cas : Jetez un deuxième regard : Thrombose veineuse cérébrale liée à la vaccination contre le Covid-19 et syndrome de thrombocytopénie thrombotique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34880826/
Rapport de cas : thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin chez un patient atteint d’un cancer du pancréas après vaccination avec l’ARN messager-1273 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34790684/
Thrombose de l’artère coeliaque et de l’artère splénique compliquée d’un infarctus splénique 7 jours après la première dose du vaccin d’Oxford, relation causale ou coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261633/
Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : Prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
Thrombose des sinus veineux cérébraux et thrombocytopénie après vaccination contre le COVID-19 : à propos de deux cas au Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33857630/
Thrombose des sinus veineux cérébraux et événements thrombotiques après les vaccins vectoriels contre la COVID-19 : revue systématique et méta-analyse : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34610990/
Thrombose des sinus veineux cérébraux suite à une vaccination contre le SRAS-CoV-2 : une analyse des cas signalés à l’Agence européenne des médicaments : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34293217/
Thrombose des sinus veineux cérébraux suite à une vaccination par ChAdOx1 : premier cas de thrombose certaine avec syndrome de thrombocytopénie en Inde : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34706921/
Thrombose des sinus veineux cérébraux dans la population américaine, après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 avec un adénovirus et après le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34116145/
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://www.sciencedirect.com/science/article/ pi/S1871402121002046
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov /34186376/
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé et non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002046 .
Thrombose du sinus veineux cérébral, embolie pulmonaire et thrombocytopénie après vaccination contre le COVID-19 chez un Taïwanais : à propos d’un cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34630307/
Thrombose veineuse cérébrale après vaccination contre le COVID-19 : le risque de thrombose est-il augmenté par l’administration intravasculaire du vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34286453/
Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induite par le vaccin.
Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induite par le vaccin.a. Oxford-AstraZeneca COVID-19 : une occasion manquée d’un retour d’expérience rapide : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34033927/
Lymphadénopathie cervicale après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 : caractéristiques cliniques et implications pour les services de lutte contre le cancer de la tête et du cou : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34526175/
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Les coagulopathies après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 peuvent provenir d’un effet combiné de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et des voies de signalisation activées par le vecteur adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34639132/
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Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138
Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138/
Comparaison des effets indésirables des médicaments entre quatre vaccins COVID-19 en Europe à l’aide de la base de données EudraVigilance : Thrombose dans des sites inhabituels : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34375510/
Préoccupations concernant les effets indésirables de la thrombocytopénie et de la thrombose après la vaccination contre le COVID-19 à vecteur adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34541935/
Vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans le lupus érythémateux systémique et la vascularite associée aux anticorps anti-cytoplasmiques des neutrophiles : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33928459/
Le vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 imite les métastases ganglionnaires chez les patients subissant un suivi pour un cancer de la peau : une étude monocentrique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34280870/
La vaccination COV2-S peut révéler une thrombophilie héréditaire : thrombose massive du sinus veineux cérébral chez un jeune homme ayant une numération plaquettaire normale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34632750/
La lymphadénopathie induite par la vaccination à ARNm contre le COVID-19 imite la progression du lymphome sur la TEP/TDM au FDG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33591026/
Lymphadénopathie post-vaccination au COVID-19 : rapport sur les résultats cytologiques de biopsie par aspiration à l’aiguille fine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34432391/
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Lymphadénopathie induite par la vaccination COVID-19 dans une clinique spécialisée d’imagerie mammaire en Israël : analyse de 163 cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34257025/
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Lymphadénopathie axillaire et cervicale liée au vaccin COVID-19 chez les patientes atteintes d’un cancer du sein actuel ou antérieur et d’autres tumeurs malignes : résultats d’imagerie transversale sur IRM, tomodensitométrie et TEP-CT : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/ 34719892/
Lymphadénopathie axillaire liée au vaccin COVID-19 chez les patientes atteintes d’un cancer du sein : série de cas avec revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34836672/
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Voulez-vous encore plus de preuves ? Voici 140 références à des événements indésirables liés à l’injection de COVID qui peuvent survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
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Des immunoglobulines intraveineuses à haute dose immédiate, suivies d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, sont cruciales pour la survie dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin VITT adenoviral à vecteur Sars-Covid-19 avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34023956/
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Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou maladie d’apparition récente chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/
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Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite ?
Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34453510/
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Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après la vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/
Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/
Un an après un cas bénin de COVID-19 : la plupart des patients conservent une immunité spécifique, mais un patient sur quatre souffre encore de symptômes à long terme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34362088/
Apparition/épidémie de psoriasis après le vaccin contre le virus Corona ChAdOx1 nCoV-19 (Oxford-AstraZeneca/Covishield) : rapport de deux cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34350668/
La vaccination Oxford-AstraZeneca COVID-19 a induit une lymphadénopathie sur la TEP/CT à la choline [18F], pas seulement sur un résultat au FDG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33661328/
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Anticorps pathologiques contre le facteur plaquettaire 4 après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19. Cet article précise : « En l’absence de pathologies prothrombotiques antérieures, 22 patients présentaient une thrombocytopénie aiguë et une thrombose, principalement une thrombose veineuse cérébrale, et 1 patient présentait une thrombocytopénie isolée et un phénotype hémorragique » : https://www.nejm.org/doi /full/10.1056/NEJMoa2105385?query=TOC&fbclid=IwA R2ifm2TQjetAMb42YRRUlKEeqCQe-lDasIWvjMgzHHaItbuPbu6n7NlG3cic.
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Les rôles des plaquettes dans la coagulopathie associée au COVID-19 et la thrombopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34455073/
Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475
Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475?query=featured_home
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Perfusion de thromboaspiration et fibrinolyse pour la thrombose portomésentérique après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34132839/
Perfusion de thromboaspiration et fibrinolyse pour la thrombose portomésentérique après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34132839/
Thrombocytopénie et thrombose splanchnique après vaccination avec Ad26.COV2.S traitées avec succès par shunt portosystémique intrahépatique transjugulaire et thrombectomie : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ajh.26258
Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
Thrombocytopénie, y compris thrombocytopénie immunitaire après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19, signalée au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34006408/
Thrombose et syndrome respiratoire aigu sévère Vaccins contre le coronavirus 2 : thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34237213/
Syndrome de thrombose et de thrombocytopénie provoquant une occlusion carotidienne symptomatique isolée après le vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S (Janssen) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670287/
Thrombose dans la maladie artérielle périphérique et la thrombocytopénie thrombotique après la vaccination adénovirale contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34649281/
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes <60 % analyse risque-bénéfice pour les personnes de <60 ans en Australie : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Thrombose avec syndrome de thrombopénie (STT) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes < 60 %.
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (STT) après la vaccination contre la COVID-19 par AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : analyse risque-bénéfice pour les personnes de moins de 60 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Événements indésirables thrombotiques signalés pour les vaccins Moderna, Pfizer et Oxford-AstraZeneca contre la COVID-19 : comparaison de l’occurrence et des résultats cliniques dans la base de données EudraVigilance : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835256/
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Paralysie oculomotrice transitoire après administration du vaccin messager ARN-1273 pour la diplopie du SRAS-CoV-2 après le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34369471/
Thrombocytopénie transitoire avec auto-anticorps plaquettaires spécifiques aux glycoprotéines après vaccination avec Ad26.COV2.S : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34516272/
Traitement de l’accident vasculaire cérébral ischémique aigu associé à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461442/
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Deux cas de maladie de Basedow après vaccination SARS-CoV-2 : un syndrome auto-immun/inflammatoire induit par les adjuvants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858208/
Les interférons de type I comme mécanisme potentiel reliant les vaccins à ARNm contre la COVID-19 à la paralysie de Bell : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858693/
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Lymphadénopathie axillaire unilatérale liée au vaccin COVID-19 : modèle d’IRM mammaire de dépistage permettant une évaluation bénigne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325221/
Lymphadénopathie unilatérale après vaccination contre le COVID-19 : un plan de prise en charge pratique pour les radiologues de toutes spécialités : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33713605/
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Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S (contre le covid-19), du 2 mars au 21 avril 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
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Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin.
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Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : cibler les mécanismes pathologiques avec les inhibiteurs de la tyrosine kinase de Bruton : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851389/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le covid-19 ; une revue systématique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34365148/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme sévère de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
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Marisa et son équipe lancent une plateforme d’écoute pour les victimes d’effets indésirables des vaccins. Cette initiative, née de l’écoute des besoins réels des personnes affectées, vise à offrir un espace sécurisé où les victimes peuvent exprimer leurs souffrances sans jugement.
Une oreille attentive pour ceux qui souffrent en silence des effets indésirables des vaccins.
La plateforme, accessible au 09 72 129 808 ou par email à sos.ecouteei@proton.me est opérationnelle de 10h à 22h à partir du 6 janvier 2025. Les bénévoles, formés par des psychologues, assurent une écoute bienveillante et orientent les appelants vers des associations de victimes et des ressources locales.
Cette initiative, financée par les bénévoles eux-mêmes, espère recevoir des dons pour améliorer ses services. Marisa souligne l’importance de l’écoute empathique comme premier pas vers la guérison, et appelle à la solidarité pour soutenir cette cause essentielle.
Cette fois j’y serai! Merci de partager l’information, y compris à vos amis européens, ceci nous concerne tous!
Frédéric Baldan, Notre Bon Droit, le parti germanophone « Vivant », la Pologne, la Hongrie et plus de mille parties civiles citoyennes ont intenté un procès contre Ursula Von der Leyen, dans le cadre de la négociation des contrats Pfizer et BioNtech, pendant la crise Covid. Le 6 janvier 2025 un jugement devrait enfin être prononcé.
L’action a été introduite auprès des tribunaux belges et devrait normalement pouvoir être jugée par la justice de notre pays. Mais l’EPPO, le parquet de justice de l’Union européenne tente de s’immiscer dans ce procès pour forcer nos juges à leur transmettre l’affaire. Si la Belgique se dessaisit au profit de l’UE, les plaignants perdront leur chance. Si, au contraire elle confirme sa compétence, l’action pourra poursuivre son cours et d’autres plaignants de différents pays pourront encore venir grossir les rangs des indignés.
L’audience de ce 6 janvier est donc d’une importance capitale.
Venez nombreux manifester votre présence.
Rappel:
En avril 2023, le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile auprès du tribunal de Liège contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour des actes graves et potentiellement illégaux dans la gestion des contrats de vaccins COVID-19.
Pourquoi cette plainte ?
En avril 2021, des révélations ont indiqué que Mme von der Leyen aurait négocié directement, sans mandat explicite des États membres, un contrat d'achat de vaccins avec le groupe Pfizer, représentant des milliards d'euros. Ces négociations, menées via des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ont été critiquées pour leur manque de transparence. De plus, la suppression présumée de ces SMS soulève des questions sur la destruction de documents publics.
Ce que cela signifie :
L’Office du Procureur Européen (EPPO), chargé de lutter contre la fraude affectant les intérêts financiers de l’UE, a déclaré lors d’une audience publique qu’aucune victime identifiable ne pouvait être déterminée dans cette affaire, rendant les faits difficiles à établir juridiquement. Cette position néglige une réalité fondamentale : nous, citoyens européens, sommes les victimes directes de ces décisions opaques, quel que soit notre statut vaccinal.
En devenant plaignants, nous affirmons que ces agissements nous ont lésés collectivement :
• Nos impôts ont financé des contrats passés dans des conditions opaques, contraires aux principes de bonne gouvernance.
• Nous avons été soumis à des décisions sanitaires contraires aux droits fondamentaux et à la Charte des Doits fondamentaux de l’UE, ainsi qu’à des décisions financières prises sans transparence ni concertation.
• Notre confiance envers les institutions européennes, garantes de la démocratie et de la justice, a été profondément ébranlée.
Un appel à tous les citoyens de l’UE
Cette plainte, initiée en Belgique, dépasse nos frontières nationales : elle concerne tous les Européens. En élargissant cette action à l’échelle de l’Union, nous pouvons démontrer que les citoyens européens refusent de rester passifs face à des abus qui affectent leurs droits, leurs finances et leur santé.
Ce que nous demandons :
• La tenue d’une enquête pénale indépendante des institutions de l’UE:
Nous exigeons qu’une enquête approfondie et impartiale soit menée pour faire toute la lumière sur les actes reprochés à Ursula Von Der Leyen et aux responsables impliqués. Cette enquête doit garantir la transparence et répondre aux attentes des citoyens européens.
• La contestation de la légitimité de l’EPPO pour ce dossier :
Bien que l’Office du Procureur Européen (EPPO) soit officiellement chargé de la lutte contre les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l’Union, nous remettons en question sa capacité à traiter ce dossier pour plusieurs raisons :
o Conflit d’intérêts institutionnel : L’EPPO est étroitement lié aux institutions européennes, ce qui soulève des doutes sur sa capacité à enquêter de manière indépendante sur des faits impliquant la présidente de la Commission européenne, l’une des figures centrales du pouvoir exécutif de l’UE.
o Position de l’EPPO lors d’une audience publique : L’EPPO a déclaré qu’il n’existait « aucune victime identifiable » dans cette affaire, une affirmation que nous contestons fermement. Chaque citoyen européen, quel que soit son statut vaccinal, a été de à la transparence démocratique.
o Les limites des missions de l’EPPO : Les compétences de l’EPPO se concentrent sur les fraudes affectant le budget européen. Or, dans ce dossier, les contrats de vaccins ont été honorés financièrement par chaque État membre, individuellement, et non par un financement direct de l’Union européenne. Ursula Von Der Leyen elle-même l’a admis : pas un euro du budget de l’UE n’a été utilisé pour ces contrats. Cela rend inadaptée la juridiction de l’EPPO pour traiter ces infractions potentielles.
Ensemble, nous avons la responsabilité de protéger nos droits fondamentaux mais aussi un modèle de société qui replace la justice, la transparence et l’équité au centre de la gouvernance. Ce n’est qu’en nous mobilisant que nous pourrons exiger des comptes et restaurer la confiance dans nos institutions.
Rejoignez-nous et rejoignez Frédéric Baldan pour défendre nos droits face aux lobbies pharmaceutiques.
Voir aussi France-Soir : 📽UrsulaGates : en plus des plaintes visant Ursula von der Leyen, Frédéric Baldan et Diane Protat annoncent lors de leur conférence de presse avoir porté plainte contre Laura Kövesi, cheffe de l’EPPO, le parquet européen.
De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna). Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection. Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.
De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.
Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.
Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.
PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?
Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.
1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :
Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :
« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;
Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;
Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :
« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»
2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :
Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;
3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :
Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :
« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »
Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.
L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.
Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.
En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :
« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »
PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?
Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».
Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !
Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.
Nous entendons ainsi :
– Tous les bénéfices du « vaccin » ;
– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;
– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.
Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!
PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?
Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :
Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.
Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :
« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;
Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.
PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?
Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée.
Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382).
Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique)
PG :Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?
Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :
Ainsi, il incombe à l’injecteur :
A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;
B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.
PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?
Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.
Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.
En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.
Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».
Nous portons à votre connaissance les faits suivants : I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.
Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »
Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?
Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.
II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.
Dans la première, la HAS préconise que : – « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.
– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »
– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.
Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que : – les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues, – « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.
Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.
III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux. – L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré. – Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.
IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant : • Bordetella pertussis ; • Haemophilus influenzae ; • Leptospira icterohaemorrhagiae ; • Neisseria meningitidis ; • Salmonella typhi ; • Streptococcus pneumoniae ; • Virus de l’encéphalite japonaise ; • Virus de la fièvre jaune ; • Virus de l’hépatite B ; • Virus des oreillons ; • Virus de la poliomyélite ; • Virus de la rougeole ; • Virus de la rubéole ; • Virus de la vaccine »
Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole), deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.
En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que : « Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent : 2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ; 3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ; 5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.
La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »
Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.
Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.
Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations Info Vaccins France
Nous avions interviewé Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer, pendant les Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées à Vierzon en février 2023. Nous découvrions alors AAVIC TEAM, l’association dont elle est la vice-présidente aux côtés de son papa Alain, avec qui nous nous sommes entretenus. Il nous a annoncé qu’après plusieurs années, Mélanie a enfin été reconnue comme victime de l’injection anti-Covid par la pharmacovigilance française. Mais le combat n’est pas fini…
◆ De l’errance médicale et du déni
En 2022, Mélanie Maupas partageait son effroyable expérience sur la page Facebook de l’association Verity France après sa deuxième injection anti-Covid. Il a fallu un an et demi d’errance médicale avant que le diagnostic ne tombe : “Ce lundi 7novembre 2022, le diagnostic tombe. On m’annonce que j’ai la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou plus connue, la maladie de Charcot. L’annonce a été brutale pour moi, ma famille et mes amis… À ce jour, il n’y a que ma jambe droite qui n’est pas touchée… La neurologue me dit que cette maladie est tombée du ciel, ce n’est pas l’injection, mais il faut quand même que je déclare mes symptômes à la pharmacovigilance… Logique?”
◆ Un chemin courageux parsemé d’épreuves
Le parcours d’un malade qui souhaite informer l’État français des effets secondaires potentiellement liés à un médicament peut être littéralement semé d’embûches administratives et juridiques, en plus des symptômes de la maladie. “Au départ, Mélanie a fait elle-même une déclaration auprès de la pharmacovigilance. Elle n’a eu aucun retour. C’est grâce à l’association Solidekla qui aide les malades à monter les dossiers. Un médecin a envoyé le dossier de Mélanie à la pharmacovigilance, avec une vingtaine de rapports de médecins, des scanners, IRM, analyses de sang, etc.”, nous explique Alain Maupas.
◆ Un lien de causalité difficilement envisageable
Rares sont les soignants qui osent écrire ce qu’ils pensent tout bas. Il faut dire que les représailles en France contre ceux qui ne suivent pas la doxa peuvent être féroces. Alain poursuit : “Hormis celui de la pharmacovigilance, aucun médecin ne s’est aventuré à rédiger un rapport faisant officiellement un lien de causalité entre le vaccin et l’état de Mélanie. Ils n’ont pu qu’écrire que ‘suite à l’injection, Mélanie est tombée malade’, mais pas que ‘Mélanie est tombée malade à cause du vaccin’.” “La pharmacovigilance a donc gravi une marche et enfin reconnu l’évidence. Cela nous motive à continuer, et voulons que la France suive le même chemin que l’Allemagne, l’Angleterre ou la Belgique en reconnaissant davantage les erreurs commises pendant la crise sanitaire et les effets secondaires des injections anti-Covid, tout comme ceux du Covid lui-même.”
⇒ Voir notre entretien avec Mélanie Maupas en février 2023 à Vierzon :
◆ Une victoire mais encore beaucoup à faire
Deux ans plus tard, après un parcours juridique éprouvant, “Mélanie a enfin été reconnue comme victime du vaccin Comirnaty de Pfizer par la pharmacovigilance il y a un mois et demi environ”, comme nous le rapporte son papa Alain Maupas. “C’est la deuxième personne de notre association à l’avoir été, mais c’est encore trop peu. Dans l’association, nous comptons 22 personnes touchées par la maladie de Charcot encore en vie. Deux sont déjà décédées et celles qui vont de plus en plus mal aujourd’hui sont toutes âgées entre 21 et 50ans. Dans le service neurologique d’un grand hôpital, ils m’ont confié sans pour autant pouvoir me l’attester par écrit par peur de poursuites, que le nombre de cas de maladies de Charcot auxquels ils font face a augmenté de plus de 20% entre 2021 et 2022, et de 22% entre 2022 et 2023. Aujourd’hui, ils font état de plus 800 patients atteints par cette maladie en deux ans, du jamais vu dans ce service.”
◆ Une procédure en cours
Lorsque nous demandons le document officiel de pharmacovigilance à Alain, il nous répond ne pas pouvoir nous le fournir à la demande de son avocat, Régis Senet, puisqu’une procédure juridique est en cours. “Nous allons porter plainte contre X au civil et ce document de pharmacovigilance sera ajouté au dossier. Il ne peut être pour l’instant divulgué. Le dossier de Mélanie Maupas sera envoyé sous peu avec une vingtaine d’autres dossiers e au procureur.”
“Après avoir été reçus au Parlement, nous devions être reçus par le ministre de la Santé, notamment grâce au soutien du député Yannick Monnet, mais il y a eu la dissolution. Puis, alors que nous attendions la réponse de la nouvelle ministre, le Premier ministre, Michel Barnier, est parti. De quoi retarder à nouveau l’échéance. À croire qu’ils le font exprès, qu’ils sentent le vent tourner et qu’ils ne veulent pas faire face à leurs responsabilités.”.
Mélanie Maupas pendant l’été 2023
◆ Un état de santé de plus en plus fragile
Quand nous l’avions rencontrée en février 2023, Mélanie arrivait encore à se déplacer elle-même en fauteuil roulant. Aujourd’hui, même si elle garde son sourire, elle passe la plupart de son temps alitée et ne supporte pas la position assise très longtemps. Alain nous confie, ému : “Son état se détériore. Nous venons d’avoir rendez-vous pour son protocole de fin de vie… Elle ne peut plus rien faire seule, comme je le lui ai dit récemment, elle est redevenue mon bébé.”
Mélanie a pourtant essayé une multitude de remèdes, qu’ils soient allopathiques ou non, testés et approuvés ou en cours d’étude. “Mélanie a notamment essayé le traitement expérimental Himalaya qui était voué à faire stagner la maladie ou mieux. Nous avons eu un gros espoir, car cela fonctionnait bien pour notre fille qui faisait partie du panel de 387 patients. Mais comme il y a eu parmi eux des cas d’effets secondaires, et alors que Mélanie elle n’en a eu aucun et souhaitait le poursuivre, ils ont ‘selon la loi’ arrêté le protocole d’essai! Quand il s’agit d’un essai vaccinal sur la population, on ne prend pas autant de précautions!” s’indigne Alain. “II y aura bientôt un nouveau traitement à partir des cellules du corps du patient qui va être expérimenté à Lille, mais comme nous habitons dans le Sud, Mélanie ne pourra le tester alors qu’il semble très prometteur.”
◆ Des victimes esseulées à aider
“Nous sommes là pour notre fille, elle est notre priorité. Nous avons investi sans regret nos économies pour que la maison lui soit accessible et pour tous ses frais de santé et juridiques. Certaines victimes, en revanche, ne sont pas entourées et se retrouvent seules dans une grande souffrance physique et psychologique. Avec l’association, nous faisons du mieux que nous pouvons pour les aider, mais comme l’association ne pourra défiscaliser les dons que dans un an, beaucoup de gens qui aimeraient donner ne donnent pas alors qu’il y a un grand besoin.”
Comme le lui ont expliqué certains médecins, même si cette maladie est très souvent incurable, il arrive qu’il se produise des guérisons soudaines, inexpliquées et définitives. Nous ne pouvons que souhaiter à Mélanie que cela lui arrive, elle qui se bat du mieux qu’elle peut contre la maladie, les autorités qui ne veulent pas reconnaître leurs erreurs et pour les autres victimes comme elle…
Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).
PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?
J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.
Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.
Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.
Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…
Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :
QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :
L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).
Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).
Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.
Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.
D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.
Questions 1:
Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 2 :
Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?
Question 3:
Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?
Question 4:
Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?
Question 5 :
Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 6 :
Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?
Question 7 :
Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?
Question 8 :
Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?
La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)
Je rappelle que :
–L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :
« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
– L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »
– L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :
Interventions sur le génome humain
« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise quepour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a paspour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
– L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »
Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.
L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.
Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.
A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X
C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y
Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.
Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.
Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.
De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.
Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?
Quel était le but des fabricants de ces injections ?
Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?
Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.
Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.
Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !
Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.
Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).
Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).
Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.
C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !
Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.
Une plainte pénale avec constitution de partie civile est déposée dans les mains du juge d’instruction liégeois Frédéric Frenay par le lobbyiste Frédéric Baldan. Fait sans précédent, elle est à charge de la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Les préventions soulevées ? Corruption, prise illégale d’intérêts, destruction de documents administratifs et usurpation des titres et fonctions. En cause, la négociation secrète par textos échangés entre la Présidente et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. L’enjeu, le droit à la transparence et les 35,1 milliards d’euros offerts sur un plateau à Pfizer. Alors qu’il réclame la suspension des commissaires pour violation de leur code de bonne conduite, c’est la Commission von der Leyen qui finit par radier l’accréditation de lobbyiste de Frédéric. Une manœuvre de rétorsion évidente contraire à la directive de l’UE qui protège les lanceurs d’alerte — en théorie. Pourquoi la Commission von der Leyen refuse-t-elle obstinément de rendre publics ces contrats ? Quels sont les principaux lobbys de la crise COVID ? Comment ont-ils infiltré les institutions ? Dans quel but ? Comment Ursula von der Leyen a-t-elle été compromise ? Qu’est-il advenu de nos données de santé et de nos droits fondamentaux à l’occasion de cette crise ? Dans son ouvrage, Frédéric Baldan expose les secrets de l’industrie du lobbying afin que nous accédions à l’information et puissions nous réapproprier les moyens de reprendre le contrôle de nos vies. Des mots de l’auteur lui-même, ce livre met en évidence des éléments que la Police judiciaire n’a pas eu les moyens d’identifier par elle-même. Notamment, il y révèle le nom du grand cabinet de lobbying ayant “vendu” la guerre du Golfe et qui a été chargé par Pfizer de travestir la science.
L’interview de Frédéric Baldan par André Bercoff sur Tocsin.
Un nouveau rapport choc de plus de 500 pages aux USA, émit par la Chambre des représentants révèle l’origine artificielle du Covid-19, l’échec des politiques sanitaires et les dissimulations crapuleuses des responsables…
« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »
Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.
Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.
En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.
Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.
En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.
En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.
La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.
Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.
Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.
Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.
Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.
– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024
Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour. Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 . Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.
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