« Éduquer ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu. »

W.B. Yeats

Guide à destination des parents concernant la campagne de vaccination de leurs enfants

Inspecter et punir ou respecter et unir ?

En 2001 j’ai fait un choix : après avoir été le plus jeunes capesien de France, en italien, démissionner de l’Éducation Nationale parce qu’elle n’enseignait pas, qu’elle n’a jamais enseigné comment comprendre, changer, guérir ce monde, et ne le voulait pas.
Nous voici en ces lieux, ici, au coeur du problème, ou plutôt à la tête, car on se demande s’il y a un cœur qui bat ici, chez certains, ou certaines, qui sont si certains, si certaines, si hautains, si hautaines, du bon droit de leur Loi, ou plutôt de décrets émanant de cela même qu’ils enseignent à combattre dans les classes qu’ils prétendent éduquer, à savoir : l’ignorance, l’arbitraire, l’oppression et l’intérêt privé de quelques-uns imposés à ceux qu’ils devraient informer, protéger et guider. Mais contre ces décrets se voulant sans appel, nous lançons cet appel, ce rappel à la Loi, à la Vie et au Droit, plus droit que tous les labyrinthes des pouvoirs dressant chaque jour plus de murs pour y enfermer, y perdre et y jeter des enfants en pâture à un minotaure administratif dont tire les ficelle un autre monstre hybride, l’État, son chef et ses seconds, au service d’un hybris, un délire, de contrôle et d’argent, qu’on fait semblant d’ignorer en refusant de voir tout ce qu’il croie en chemin.
C’est d’ici que partent les ordres, de masquer, distancier, contraindre, séparer, empêcher d’enseigner comme ailleurs on empêche de soigner, et encore marteler, tester, et pourquoi pas vacciner aveuglément avec des « injections géniques » dont les laboratoires ne disent rien et n’auront pas le moindre compte à rendre, sans tenir compte jamais du principe de précaution sacré, du droit à respirer, vivre libre et disposer de son jeune corps.
Vacciner 100 % de la population française avec ces produits dont on ignore tout, pour un virus en menaçant sérieusement à peine 0,05 %, et moins encore chez les enfants qui ne sont ni victimes, ni vecteurs, voilà la folie où nous sommes.
Depuis des mois, nous appelons, interpelons, rencontrons des autorités, des directeurs, des principaux, des proviseurs, des enseignants, des surveillants, des représentants de parents d’élèves…
Comme la police, comme les restaurateurs,, comme les contrôleurs des trains, comme les employés des gares, comme les commerçants, comme les médecins et comme les pharmaciens refusant de prescrire des médicaments qui soignent, soudainement prohibés… Depuis des mois, depuis un an, la réponse clinique, froide, pincée ou agressive, quasiment jamais lasse ou compréhensive, des personnels à tous niveaux de l’Éducation Nationale est : NOUS N’AVONS PAS LE CHOIX. « Je ne suis qu’un exécutant, un fonctionnaire, je fais ce pour quoi je suis payés », comme ce directeur de l’Ecole Bizanet. Nous faisons ce qu’on nous dit, nous obéissons à la loi, quelle qu’elle soit, nous ne faisons pas de politique, nous ne sommes pas là pour philosopher, nous ne voulons ni ne pouvons pas savoir, nous ne sommes pas là pour discuter de la pertinence des mesures de santé, nous appliquons les décrets, parlez-en au président, au ministre ou à l’Inspection académique, je n’y peux rien je ne peux rien faire. On entend aussi, comme cette directrice d’un école de Saint-Bruno :
« Monsieur, les enfants s’y font très bien, ils se sont très bien adaptés. » Oui, un enfant s’adapte, toujours, ou presque, quel que soit le monde que la lâcheté des adultes leur impose et leur laisse.
Mais c’est faux, messieurs, mesdames les inspecteurs ou inspectrices, directeurs, proviseurs, principaux, enseignants, CPE, surveillants : vous avez tous le choix et aucun droit à dire :
« Continuer à payer mon loyer, mes courses, les études de mes enfants ou mes vacances me donne le devoir et le droit d’appliquer aveuglément ou sciemment des mesures ni justifiées ni justifiables opprimant des enfants et des adolescents. »
Car s’il y a bien sur cette Terre, dans cette société, dans cette école qui prétend pourtant le mettre au centre de son système éducatif, s’il y a bien un être qui n’a pas le choix aujourd’hui, c’est l’enfant.
Et en voici un autre, en passant, lui aussi opprimé, abandonné, spolié de ses droits et muet, derrière les murs des forteresses des EHPAD où s’arrêtent l’état de droit et les Droits de l’homme gérés par des fonds de pension comme l’état français: c’est le vieux, ou la vieille, l’ancien, l’ancienne, dans la même démission, dans le même silence, dans le même déni des adultes et décideurs.

Et ce refus du droit, du choix, il est tout à fait clair, il est tout à fait bon, pour certaines autorités de l’Éducation Nationale, dans leur délirante mystique de l’obéissance et de l’imposition des ordres venant d’un pouvoir illégitime ne représentant plus qu’une poignée de nantis. Je veux citer ici l’Inspecteur d’Académie, monsieur le Dasen Eric Lavis, répondant à une mère d’élève refusant le « vaccin » pour son fils : « De toutes façon ils n’aura pas le choix. »
C’est le régime de la peur et du déni. Selon un sondage récent d’un célèbre hebdomadaire dominical, 43 % des Français pensent que nous allons vers une dictature.
Comme je le disais, on s’abrite parfois, souvent même, chez le personnel, impersonnel, dépersonnalisant, de l’Éducation Nationale, derrière ce non-argument : on ne peut pas savoir, les experts savent mieux que nous, c’est complexe… je ne suis pas là pour juger. Alors voici de quoi juger: ce travail, qui est le vôtre, nous l’avons fait pour vous : voici, révélé par le New-York Times, l’échec retentissant de la politique autoritaire de confinement et de vaccination en Israël qui a aujourd’hui un des plus forts taux d’infection et de mortalité au monde ; voici, selon un déluge d’études de pédopsychiatres,l dont la première fut celle de Marianne cet hiver, la catastrophe sanitaire, psychologique et pédagogique du masque et des mesures absurdes absurdement appliquées dans les établissements ; enfin voici pour les oreilles les plus graves et offcielles qui sont les vôtres, les chiffres les plus graves et officiels de la European Medical Agency, l’Agence Médicale Européenne et de l’ANSM (Agence Nationale de la Sécurité du Médicament) : on dénombre selon les estimations les plus basses et certifiées 5738 morts des vaccins covid tous âges confondus et 479 282 effets secondaires graves en Europe (European Medical Agency), dont 25 000 effets secondaires graves et un millier de décès en France (ANSM).
Jamais un vaccin n’a autant abîmé ou tué sans être retiré, jamais un vaccin n’a été aussi inutilement imposé en divisant une société qu’on abîme sciemment depuis un an et demi, dans une politique sanitaire et autoritaire qui a toujours eu les effets exactement contraires de ce qu’elle prétendait ne protégeant jamais ni enfants ni anciens mais faisant toujours d’eux les victimes de sa brutalité et de ses intérêts.
Et vous voudriez continuer à plaider l’irresponsabilité, à prétendre ne pas savoir et feindre d’ignorer les conséquences de ce gouvernement dans ce pays que plus personne ne reconnaît ni ici ni ailleurs?

F.-M. Périer

Santé mentale des enfants : le droit au bien-être – Rapport 2021

Avenant dérogatoire à la fiche infirmerie scolaire

Courrier pour l’organisation d’une réunion d’information parents d’élèves-enseignants

Appel aux parents pour la liberté vaccinale

Le masque pour les enfants : du bluff à la maltraitance

PARENTS 21 France

Un collectif de parents qui se bat contre les mesures liberticides et la maltraitance, que l’école fait subir aux enfants.
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Parents en colère

Le Regroupement des Parents en Colère a pour vocation de réunir tous les collectifs de Parents sous une seule bannière.
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