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La FDA et Pfizer savaient que l’injection COVID provoquait une immunosuppression

Le 1er avril 2022, un autre lot de 11 000 documents Pfizer a été rendu public par la Food and Drug Administration américaine. Les données des essais de Pfizer révèlent que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin et que les effets secondaires du vaccin étaient plus graves chez les moins de 55 ans. Étant donné que le risque de COVID sévère est considérablement plus faible chez les personnes plus jeunes, un risque élevé d’effets secondaires est inacceptable, et l’injection aurait dû être limitée aux personnes présentant un risque élevé de COVID sévère.

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Baisse des performances sportives après vaccination par un vaccin COVID-mRNA

Il s’agit de l’étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA.[1] La moitié d’entre eux était vaccinée et l’autre ne l’était pas (décision prise au préalable par leurs parents). Les activités sportives des deux groupes étaient les mêmes. Les auteurs ont aussi comparé les performances des sujets vaccinés avec leurs résultats antérieurs à la vaccination. On verra que les modifications observées après vaccination sont utiles pour illustrer les modifications cardiovasculaires apparaissant lors de la vaccination.

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Vaccins : une plainte pour crime d’empoisonnement déposée au Tribunal judiciaire de Paris

Une plainte criminelle contre X pour crime contre l’humanité, empoisonnement et tentative d’empoisonnement, rédigée par un collectif de juristes et d’avocats, est envoyée cette semaine au Tribunal judiciaire de Paris par l’association BonSens.org, l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) et des citoyens victimes d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19. Entretien avec Jean-Pierre Joseph.

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Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard

Personne ne peut se flatter du bilan ces vaccins pour se faire élire ou réélire, et les candidats devraient s’informer de très près avant d’accepter l’idée du vaccin chez les plus âgés ou chez les malades.
Selon les données fournies par l’OMS, les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays actuellement les plus vaccinés font craindre que, loin de prévenir l’épidémie, les injections expérimentales anti-covid pourraient la faciliter, voire en aggraver la mortalité.

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Les effets dévastateurs de la protéine spike du Sras-Covid et des « vaccins » associés – Une « toxine foreuse » qui perfore les membranes cellulaires !

La protéine spike des « vaccins » Covid subsiste chez l’être humain pendant au moins quatre mois après l’injection. Il s’agit d’une toxine qui perfore directement les membranes cellulaires. Elle provoque des lésions mitochondriales dans les cellules et une maladie de type Covid chez les souris.

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Des scientifiques du monde entier réunis mercredi à l’IHU de Marseille pour l’International covid summit

L’institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection dirigé par le Pr Didier Raoult accueillera le mardi 30 mars et mercredi 31 mars un congrès, l’International Covid Summit (ICS), qui réunira de nombreux experts scientifiques venus du monde entier en vue d’évaluer l’état des connaissances sur le Covid-19 deux ans après le début de la crise.

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La destruction de la médecine française achevée par le pouvoir macroniste. Pistes pour en sortir.

Par Docteurs Nicole et Gérard Delépine

En 2000, le système sanitaire français était encore jugé l’un des meilleurs du monde. Mais en quarante ans depuis la politique Thatcher inaugurée en France par F. Mitterrand en 1983, la politique de restriction budgétaire et de gestion de plus en plus bureaucratique l’a mis au bord du gouffre.

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Balance bénéfice/risque défavorable pour les ados et jeunes adultes : trop de myocardites !

Par : Collectif Reinfocovid

La vaccination par les vaccins à ARN messager présente plus de risque que de bénéfice chez les adolescents en bonne santé dont la plupart sont déjà immunisés contre la Covid-19 suite à une infection naturelle conférant une immunité durable et protectrice contrairement à celle que peut apporter la vaccination par ARN messager.

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Sur les vaccins COVID : pourquoi ils ne peuvent pas fonctionner et preuves irréfutables de leur rôle causal dans les décès après la vaccination

Cet article apporte des preuves scientifiques qui appellent à un arrêt immédiat de l’utilisation des vaccins génétiques contre la COVID-19. Il est expliqué d’abord pourquoi les agents ne peuvent pas protéger contre l’infection virale. Bien qu’aucun effet positif ne puisse être attendu, il est montré que les vaccins peuvent déclencher des processus d’autodestruction qui conduisent à des maladies débilitantes et à la mort.

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Les autopsies le montrent : vacciner les adolescents contre la COVID, littéralement, « brise le cœur ».

Les autopsies de deux adolescents décédés quelques jours après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer prouvent que le vaccin a causé leur mort. Les résultats pathologiques suggèrent qu’il existe peut-être un moyen de distinguer la myo/péricardite induite par l’infection du SRAS-COV-2 des lésions cardiaques induites par le vaccin. Les lésions cardiaques induites par les vaccins peuvent être subcliniques, mais à quelle fréquence ?

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Covid, vaccins, omicron : questions sans réponses

Il y a 10 jours, dans un billet sur omicron et l’Afrique du Sud qui sortait de sa vague, je signalais quelque chose qui me paraissait anormal, à confirmer avec le temps. C’est maintenant confirmé. Cette chose, ce sont des décès anormaux, surtout tardifs. Non seulement ce qui semblait pointer est confirmé pour l’Afrique du Sud, mais cela apparaît dans des pays comme la France et Israël.

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Les masques pourraient générer des cancers : l’avocat Jean-Pierre Joseph lance une procédure

Entretien avec l’avocat au barreau de Grenoble et doyen de l’Ordre, Jean-Pierre Joseph, cette fois au sujet de la procédure qu’il a lancée contre le défaut de marquage de la composition sur les boîtes de masques commercialisées. Certains masques ne présenteraient pas leur composition et ceux contenant du graphène pourraient être extrêmement nocifs pour la santé.

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