63 questions sur le covid-19 qui attendent une réponse.
- Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que le SARS-COV-2 avait été breveté par Moderna en 2018 ?
- Pourquoi Moderna a-t-elle produit 100 000 doses de « vaccin » anti-COVID en 2019 avant le début de la pandémie ?
- Pourquoi, contre toute évidence scientifique, le confinement et les masques ont-ils été utilisés ?
- Pourquoi nous a-t-on dit que le « vaccin » reste dans le bras, alors qu’il s’accumule dans tout le corps ?
- Pourquoi le test PCR a-t-il été recommandé alors qu’il n’est pas conçu à des fins diagnostiques ?
- Pourquoi les définitions de « vaccin » et d’« immunité collective » ont-elles été modifiées avant l’épidémie de COVID-19 ?
- Pourquoi une pandémie a-t-elle été déclarée alors que le taux de mortalité était proche de celui de la grippe ?
- Pourquoi les tests de génotoxicité, de tératogénicité et de cancérogénicité n’ont-ils pas été effectués, et pourtant nous a-t-on dit que le « vaccin » était sûr ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas eu de suivi adéquat de toutes les personnes injectées lors de l’utilisation d’un nouveau produit de thérapie génique ?
- Pourquoi les médecins et le public n’ont-ils pas été rappelés à l’importance de signaler les effets indésirables de ces « vaccins » génétiques expérimentaux ?
- Pourquoi a-t-on recommandé un « vaccin » en pleine pandémie, alors qu’il est contre-indiqué en vaccinologie ?
- Pourquoi un « vaccin » a-t-il été recommandé à ceux qui avaient une immunité naturelle, par principe supérieure ?
- Pourquoi une nouvelle thérapie génique a-t-elle été lancée après trois mois, au lieu des dix ans requis ?
- Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que, dans l’essai Pfizer, plus de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ?
- Pourquoi nous a-t-on dit que ces injections étaient « sûres et efficaces » alors que les preuves ne le confirmaient pas ?
- Pourquoi les voix scientifiques « dissidentes » ont-elles été – et sont-elles – discréditées, punies et emprisonnées ?
- Pourquoi les médecins ont-ils été, pour la première fois dans l’histoire, découragés de traiter une maladie et invités à attendre un vaccin ?
- Pourquoi les traitements précoces ont-t-il été découragés, alors que nous savons qu’ils constituent l’outil le plus important pour lutter contre toute maladie infectieuse ?
- Pourquoi des médicaments efficaces et très sûrs comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont-ils été discrédités et même interdits ?
- Pourquoi les laboratoires ont-ils refusé que leurs données soient publiées pendant 75 ans ?
- Pourquoi a-t-on recommandé des injections, des masques et des confinements aux enfants alors qu’on savait qu’ils n’étaient pas gravement atteints et ne propageaient pas le COVID ?
- Pourquoi les injections COVID ont-elles été recommandées pendant la grossesse, alors que plus de 80 % des bébés ont été perdus lors des essais chez les femmes vaccinées au 1er trimestre ?
- Pourquoi l’autorisation d’urgence a-t-elle été confirmée alors que plus de 2 000 personnes sont décédées dans les 90 jours suivant le déploiement des « vaccins » ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé scientifique après la publication de plus de 3 500 articles démontrant les effets secondaires des injections anti-COVID ?
- Pourquoi les conflits d’intérêts sont-ils tolérés parmi les autorités médicales, alors que la FDA, l’EMA et l’OMS sont financées à 80-90 % par l’industrie ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’éducation adéquate des médecins, des patients et du public, et donc aucune possibilité de consentement éclairé ?
- Pourquoi et comment les médias ont-ils été convaincus de pousser le même agenda à l’échelle mondiale ?
- Pourquoi des protocoles médicaux efficaces, qui existent depuis 2020, ont-ils été interdits et déclarés illégaux ?
- Pourquoi ne nous informe-t-on pas des décès inutiles qui ont été attribués au COVID mais qui ont en réalité été causés par des mesures iatrogènes (ex : Midazolam, ventilation) réalisées début 2020 ?
- Pourquoi le rôle crucial du statut en vitamine D, de l’alimentation et du microbiome n’a-t-il pas été communiqué, alors que ces mesures auraient pu prévenir près de 100 % des décès COVID ?
- Pourquoi une procédure médicale a-t-elle été imposée à des personnes contre leur volonté, alors que la déclaration de Nuremberg s’y oppose ?
- Pourquoi les recherches sur le gain de fonction, comme celles portant sur le COVID-19, ne sont-elles pas interdites dans le monde entier ?
- Pourquoi un produit à base d’ARNm est-il encore utilisé, alors que nous savons que l’ARNm est incorporé dans le génome humain et entraîne la production d’autres protéines inconnues ?
- Pourquoi le concept d’ARNm, qui a échoué, n’a-t-il pas été arrêté, alors que l’on sait qu’il augmente la probabilité que le receveur contracte le COVID-19, démontrant ainsi une efficacité négative ?
- Pourquoi ces injections continuent-elles d’être recommandées, alors qu’au moins 17 millions de personnes seraient mortes à cause d’elles ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas d’enquête sur les décès excédentaires et l’augmentation des taux de cancer, de problèmes cardiaques…, qui ont commencé en 2021 et non en 2020 ?
- Pourquoi les décès inexpliqués ne sont-ils pas attribués par défaut au « vaccin » conformément à la règle qui prévaut en pharmacovigilance ?
- Pourquoi les autorités sanitaires refusent-elles de communiquer les données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal ?
- Pourquoi le Gouvernement n’a-t-il jamais révélé que le « vaccin » avait entraîné des décès ?
- Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés que les myocardites vaccinales peuvent être fatales ?
- Pourquoi la population n’est-elle pas informée que 48 % des participants sont décédés d’une mort subite lors des six premiers mois de l’essai ?
- Pourquoi les autorités ne peuvent-elles pas fournir d’études sur le nombre de vies sauvées par le « vaccin », hormis une modélisation ?
- Pourquoi les laboratoires et les régulateurs ont-ils commencé par nier que les « vaccins » Pfizer et Moderna contenaient de l’ADN oncogène et pourquoi refusent-ils de réanalyser les flacons ?
- Comment savent-ils qu’ils ne déclenchent pas de cancers alors que le temps de développement d’un cancer est beaucoup plus long, sauf pour les turbocancers dont ils nient l’existence ?
- Pourquoi affirment-ils qu’elles ne peuvent pas déclencher de cancers alors qu’ils reconnaissent que les cancers explosent depuis que 80 % de la population a été vaccinée ?
- Pourquoi un produit présentant au moins 10 mécanismes cancérogènes ne pourrait-il pas provoquer des cancers ?
- Pourquoi les laboratoires investissent-ils massivement dans des traitements anticancéreux utilisant cette technologie ?
- Pourquoi les laboratoires n’ont-ils toujours pas démenti le nouveau mécanisme vaccinal qui expliquerait l’ensemble des effets indésirables ?
- Pourquoi, en 2020, a-t-on vacciné publiquement les politiques pour convaincre que les injections étaient sûres et pourquoi, dès 2021, était-il complotiste de penser qu’elles pourraient ne pas l’être ?
- Pourquoi la procédure d’alerte (black box) de la FDA n’a pas été déclenchée suite au décès de personnes vaccinées dans les minutes ou les heures suivant une injection ?
- Pourquoi les autorités continuent-elles à recommander les injections alors que l’essai clinique final a officiellement démontré en 2023 qu’elles offraient une efficacité négative ?
- Pourquoi a-t-on imposé le « vaccin » aux femmes enceintes alors que Pfizer a démontré en 2020 que l’hydroxychloroquine est sûre pendant la grossesse ?
- Pourquoi a-t-on également imposé le « vaccin » aux patients atteints d’un cancer alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont des anticancéreux et que plus de 500 études affirment qu’elles sont efficaces contre le COVID ?
- Pourquoi l’essai pédiatrique Pfizer comptait-il 4 526 enfants au démarrage et 992 après la deuxième dose selon le rapport de la FDA ?
- Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas publié les résultats de l’essai clinique, annoncés pour mai 2021, qui était supposé démontrer que le « vaccin » n’entraîne pas de stérilité masculine ?
- Pourquoi la date de clôture de l’essai clinique Pfizer sur le risque de myocardite est-elle repoussée régulièrement ?
- Pourquoi le « vaccin » a-t-il été homologué définitivement sans attendre le résultat des essais imposés lors de l’autorisation d’urgence ?
- Pourquoi a-t-il fallu créer 400 nouveaux types de maladies en 2020 pour enregistrer les événements indésirables ?
- Pourquoi le volume d’événements indésirables enregistrés pour les « vaccins » COVID est-il supérieur à celui enregistré en 50 ans pour l’ensemble des autres vaccins réunis ?
- Pourquoi ce volume rapporté au nombre de doses injectées est-il supérieur à celui de n’importe quel autre vaccin ?
- Pourquoi 78 % des décès enregistrés dans le VAERS américain depuis 1990 sont-ils associés aux « vaccins » COVID ?
- Pourquoi faut-il attendre 14 jours pour être considéré comme vacciné alors que 40 % des décès enregistrés dans le VAERS se sont produits pendant cette période ?
- Pourquoi la population n’est-elle pas informée que le produit qui a été injecté n’est pas celui qui a été homologué ?