2024

La ministre néerlandaise de la Santé reconnaît que la politique pandémique est une opération militaire. « Le ministère de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV »

La nouvelle ministre néerlandaise de la Santé admet : « Nous devons suivre les ordres de l’OTAN, des États-Unis et de NCTV ; Le Covid est une opération militaire »

Source : europereloaded.com

La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a reconnu au Parlement que la politique néerlandaise en matière de pandémie se déroule « sous la direction du Coordonnateur national pour la sécurité, la lutte contre le terrorisme (NCTV) et la Défense » et doit se conformer aux « obligations de l’OTAN ». Ce faisant, elle a confirmé ce que des chercheurs tels que Cees van den Bos avaient révélé précédemment sur la base de documents du Wob (FOI) : la politique corona était un « coup d’État » de la NCTV.
Le médecin de famille Els van Veen dit qu’elle comprend enfin ce qui lui est arrivé, ainsi qu’à d’autres médecins critiques, pendant la crise du coronavirus : « C’était une opération militaire, le ministre de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV ».

Jeudi 24 octobre, Fleur Agema a eu une première : elle a été la toute première ministre de la Santé de l’histoire parlementaire à expliquer son action par des « obligations envers l’OTAN ». Et non pas une, mais six fois , comme l’a fait le député Pepijn van Houwelingen (FVD). Une vidéo de trois minutes, dans laquelle Agema explique à la Chambre que la préparation à une pandémie est liée aux obligations conventionnelles et que le service de renseignement NCTV en est le responsable, est devenue virale sur X. Van Houwelingen a immédiatement promis de répondre aux questions de la Chambre.

Agema a fait ces remarques lors d’un débat sur la « résilience ». Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie ». Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire, a-t-elle déclaré, ajoutant :

« Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous élaborerons un plan d’action au printemps. »

Elle a déclaré peu après avoir pris ses fonctions de ministre qu’elle avait été informée de la résilience et des engagements de l’OTAN :

« Depuis ce briefing, je suis avec mon ministère pour faire le point sur ce dont nous avons besoin pour respecter ces engagements de l’OTAN. Nous le faisons sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères sont impliqués dans ce domaine. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience des soins, et c’est effectivement le cas. Elle a ajouté : « Vous voulez disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions eu face à la crise du coronavirus. »

L’un des premiers à commenter l’apparition d’Agema sur X fut le chercheur de Woo, Cees van den Bos. Sous le titre « le coup d’État », il a qualifié la NCTV de « bamiluk » de l’OTAN : (ER : Merci à son collègue néerlandais Michel van der Kemp d’avoir trouvé « coup d’État » comme traduction probable de « bamiluk »).
« Ce pays ne sera libre que si la NCTV est complètement supprimée et si ce genre de gouvernement fantôme ne reprend plus jamais pied. C’est le plus grand obstacle qui s’oppose à une démocratie », a-t-il déclaré.

Il a ajouté qu’il n’y a aucun contrôle sur NCTV :

« NCTV a carte blanche, comme cela a été démontré pendant le corona. »

Selon Van den Bos, ceux qui pensent que le coronavirus est terminé (« arrêtons d’en parler ») attendent une nouvelle « confrontation à la réalité ». Il a remercié Agema pour sa « franchise ».

Van den Bos avait précédemment souligné – également dans ce journal – que NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus, en la personne de Pieter-Jaap Aalbersberg, qui avait succédé à Dick Schoof à la tête de NCTV début 2019. Fin 2022, Van den Bos a accusé la NCTV d’avoir commis un « coup d’État ». La gestion de la crise était presque partout entre les mains des services militaires et de renseignement, et dans notre pays, elle incombait à la NCTV. Outre la gestion quotidienne de l’organisation de crise, la NCTV a même confié à sa mission la coordination du processus parlementaire (« timing et congruence mutuelle »). Selon un rapport de mi-mars 2020, les services de renseignement ont mis en place une équipe distincte à cet effet. Commentant le vote parlementaire, il a déclaré : « L’ambition et l’accord ne sont pas surprenants ». Il s’agissait probablement d’empêcher des motions ou des amendements inattendus à une nouvelle législation.

Début 2023, la journaliste Elze van den Hamelen décrivait dans ce journal le rôle de l’OTAN, en s’appuyant sur le travail d’enquête de Van den Bos : « Les documents montrent que depuis au moins 2019, soit plus d’un an avant la pandémie de coronavirus, le gouvernement a mis en place un grande organisation pour « lutter contre la désinformation ». L’initiative est venue de l’OTAN et de l’UE, souligne Van den Bos :

« Il s’agissait d’une opération militaire dirigée contre sa propre population. Non pas pour rebuter les gens, mais pour influencer leur comportement. »

Pendant la pandémie de coronavirus, l’OTAN a fixé les lignes directrices de la réponse au covid et coordonné la « Stratcom » (communications stratégiques). « Les lignes directrices ont été diffusées par l’intermédiaire des ministres des Affaires étrangères des États membres .» Cela explique-t-il pourquoi la Suède, qui n’a rejoint l’OTAN que cette année, a été le seul pays d’Europe à adopter une politique plus indulgente pendant la crise du coronavirus ?

Plus tôt, le leader de Verheid, Willem Engel , avait fait des révélations similaires. Lors de son procès le 22 novembre 2022 à Rotterdam, au cours duquel il a été accusé de « sédition », Engel a prononcé un long discours dans lequel il a montré comment le gouvernement a œuvré pour lutter contre les critiques de la politique relative au coronavirus. Selon lui, cela impliquait les agences de quatre ministères : NCTV (Justice), AIVD (Intérieur), MIVD (Défense) et PCD19 (VWS).

« Ils ont formé une équipe de crise qui a travaillé en collaboration avec d’autres agences gouvernementales, comme l’OM, ​​les maires, le pouvoir judiciaire et les médias », a-t-il rapporté dans De Ander Krant le 27 novembre 2022. « Ils utilisent une méthode militaire qui revient à cartographier, supprimer et perturber. »

Les critiques du monde médical ont quant à elles vivement réagi aux révélations de l’Agema, notamment l’éthicienne médicale Wendy Mittemeijer :

« Pour la première fois depuis quatre ans, j’entends publiquement admettre que la NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus et qu’elle devait être mise en œuvre. C’était une opération militaire. Cela n’a pas été permis pendant quatre ans. C’était une théorie du complot. J’apprécie l’honnêteté du ministre, qui reconnaît que cela a été admis et qu’il n’était pas responsable. »

La médecin généraliste Els van Veen a vécu cette politique avec cœur : « Près de cinq ans après le début du coronavirus, je comprends beaucoup mieux ce qui s’est passé, a-t-elle déclaré le 27 octobre. Après cette vidéo et cette explication, je comprends effectivement tout. D’où la censure des critiques et surtout des médecins critiques. D’où la visite de la police en 2021, apparemment à cause d’un tweet sur les cases à cocher. D’où des lettres et une enquête de l’Inspection, basée sur des rapports anonymes et infondés selon lesquels je diffusais de la désinformation. C’est pourquoi le gouvernement et VWS ne veulent pas divulguer les documents du WOB, qu’ils ont été peints en noir, que les procès-verbaux de l’OMT sont gardés comme s’ils étaient des secrets d’État. La NCTV gouverne ce pays, mais elle le fait les yeux fermés. »
Ce qu’elle a vu à plusieurs reprises sur la Museumplein, selon elle, correspond également à une opération militaire : « Cette manifestation a été interdite, des civils innocents ont été écrasés par le ME, des chiens policiers ont été mordus, des canons à eau ont été utilisés. Nous avons été maltraités par la police, par la justice et donc, je comprends maintenant, avec l’approbation de NCTV et de M. Aalbersberg. C’était une opération militaire. »

Son message a généré quelque 225 000 vues et de nombreuses réactions en deux jours, notamment un commentaire de Stefan Homburg, professeur émérite de finances publiques à l’Université Leibniz de Hanovre et l’un des principaux critiques allemands du coronavirus. En juillet dernier, il s’est exprimé, aux côtés de la journaliste Aya Velázquez, lors de la conférence de presse à Berlin où a été divulguée l’ensemble des données des procès-verbaux des réunions de l’équipe allemande de crise Covid (les « protocoles RKI », du nom de l’Institut Robert Koch, qui est similaire à notre RIVM) a été présenté. Homburg affirme que le message de Van Veen « correspond parfaitement à l’expérience allemande : comme nous l’avons découvert dans les fuites #RKIFiles, un général de l’OTAN (Holtherm) était aux commandes de ce qu’on appelle la « pandémie ».

Les nouvelles d’Agema correspondent également à ce que Robert F. Kennedy Jr. a déclaré à plusieurs reprises à propos de la production de vaccins contre le coronavirus aux États-Unis. Selon lui, il s’agissait d’une opération militaire, avec la participation étroite du Département américain de la Défense (DOD) et du complexe militaro-industriel. La Défense, selon lui, était aux commandes et payait les sociétés pharmaceutiques pour leurs marques, de sorte que les gens penseraient qu’ils obtenaient quelque chose de Pfizer ou de Moderna.

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Le prof. Bhakdi présente un test de dépistage pour les effets secondaires des injections Covid

Source : essentiel news

Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.

Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.

Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase pour la prévention et le traitement des thromboses.

Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.

Une annonce encourageante

Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins:

Une des répercussions importante du congrès “Retour à la normalité” qui s’est tenu à Vienne en avril dernier est la discussion que j’ai pu avoir avec le Dr. Hannes Strasser. C’est un médecin avec une grande patientèle qui est aussi politiquement actif. Il est très bien informé et a régulièrement conseillé son parti le FPO.

Le Dr Hannes m’a dit:

Nous avons pensé que si tu as raison en affirmant que les petits vaisseaux et les micro-vaisseaux étaient obstrués par des caillots, cela pourrait se détecter dans la surface inférieure des ongles. Il existe des examens microscopiques très simples pour les vaisseaux du lit des ongles, qui ne sont ni invasifs, ni coûteux et faciles à réaliser.

J’ai alors demandé si quelqu’un pouvait faire cela. Et sa collègue m’a répondu qu’elle pouvait démarrer immédiatement. Cinq semaines plus tard, le Dr Hannes Strasser m’a rappelé en me disant:

C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires.

Prévenir la formation de caillots sanguins

Ensuite, ils se sont demandés si la dissolution des caillots pouvait jouer un rôle important dans la prévention des thromboses et des accidents vasculaires. En principe, cela pourrait se faire à l’aide de la nattokinase. C’est une substance qui est utilisée comme une des principales épices dans la cuisine japonaise.

L’on peut même se demander si c’est une des raisons de la longévité de ce peuple qui en mange depuis l’enfance. Car en vieillissant, les petits vaisseaux sanguins ont tendance à se boucher. Peut-être que cela permet aux organes des personnes âgées au Japon de mieux fonctionner. En tout cas, c’est mon hypothèse.

Cette hypothèse est considérée comme fantaisiste par la plupart des médecins conventionnels, et on me qualifie à nouveau de fou. Mais je trouve l’idée passionnante. Je peux vous dire que j’ai moi-même commencé à prendre de la nattokinase – donc maintenant je fais un peu de publicité pour cette substance. Et je dois dire que je remarque des effets positifs sur moi.

Je n’en donnerai pas plus de détails, mais j’ai immédiatement demandé au Dr Strasser quels étaient ses résultats:

Avez-vous pu documenter tout cela ? Il a répondu : « Oui, nous interrogeons les patients, et enregistrons leurs antécédents médicaux et leurs résultats avant le traitement à la nattokinase et après. Les résultats sont parfois assez étonnants, car la circulation sanguine retourne presque à la normale.

Je lui ai répondu:

Alors faites-en une étude et publiez-la dès que possible dans une revue scientifique internationale. Le monde aura ainsi une méthode simple à portée de main pour diagnostiquer les dommages causés par les vaccins et ce traitement pourrait avoir de nombreux effets positifs. Je ne dis pas qu’ils seront à nouveau en parfaite santé, mais moins malades, c’est déjà mieux que très malades…

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 J’ai soigné les malades du Covid »: entretien avec le Dr Bernard Giral

Source : Quartier Général

Le docteur Bernard Giral est médecin généraliste à Fontvieille et président de la CTPS (Communauté territoriale professionnelle de santé) du pays d’Arles (Bouches-du-Rhône). Lorsque l’épidémie de Covid est arrivée en France début 2020, il fait partie de la courageuse minorité de médecins qui ont refusé les consignes mortifères d’inaction des « autorités sanitaires » parisiennes (restez chez vous, prenez du Doliprane, appelez les services d’urgence en cas de détresse respiratoire). Il a au contraire soigné les gens, principalement avec le protocole de l’IHU de Marseille, et avec une totale réussite puisque aucun des quelques 1 500 malades soignés n’est décédé. Son action est très reconnue localement (voir par exemple ici la cérémonie de remise de la médaille de la ville il y a quelques mois), mais demeure inconnue ou impensée des autorités centrales. Elle confirme une fois de plus que la première cause de mortalité durant l’épidémie de Covid de 2020-2022 ne fut pas le virus en lui-même mais le refus de soigner les malades. Ce refus était de nature idéologique et il était éminemment contraire au fondement même de l’éthique médicale. L’action du Dr Giral démontre par ailleurs que les déserts médicaux ne sont pas une fatalité et qu’il existe des façons de s’organiser collectivement et de créer de véritables dynamiques locales lorsque l’initiative part d’en bas (des professionnels et des bénévoles de terrain) plutôt que de tomber d’en haut (des cabinets ministériels et de leurs consultants privés).

1) Bonjour Bernard Giral. Qui êtes-vous ? Quels ont été votre parcours et votre activité sur le pays d’Arles où vous exercez depuis très longtemps ?

J’ai 78 ans et je suis toujours actif ! Je suis de formation scientifique au départ. J’ai fait une maitrise en physiologie puis le cursus de la faculté de médecine, le tout à Montpellier. Une fois mon diplôme en poche, je me suis installé comme médecin généraliste à Fontvieille (dans le nord des Bouches-du-Rhône) en 1974 et j’y exerce donc depuis 50 ans.

Outre mon cabinet de généraliste, je me suis investi rapidement dans des coordinations de défense de la médecine, puis dans le syndicalisme. Enfin, j’ai été élu aux URPS pour la région Paca (les Unions Régionales des Professionnels de Santé représentent les professionnels de santé libéraux). Je suis également très engagé sur le plan local. J’ai organisé la Formation Médicale Continue associative locale, monté une fédération d’associations de Formation Médicale Continue sur notre territoire et organisé une dizaine de congrès dans la région, et pas uniquement sur des questions médicales. En mars 2000, par exemple, j’ai organisé un congrès au Palais des Papes en Avignon pour célébrer l’échéance calendaire mythique. Le principe était de faire témoigner de manière documentée des acteurs de l’aventure ayant côtoyé l’extrême dans les différents axes dans l’espace et dans le temps (Jean-Louis Étienne, Patrick Baudry, Jeannot Lamberton, Michel Siffre, Jean-Pierre Beltoise, Michel Fournier, Didier Raoult pour l’aventure des antibiotiques et d’autres encore).

Enfin, j’ai collectivisé mon cabinet en rassemblant des professionnels du territoire. Ceci nous a permis de lancer en 2016 la première Maison de Santé pluriprofessionnelle (MSP) du territoire, labellisée par l’Agence Régionale de Santé (ARS), puis la première Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) de la région PACA et la troisième de France. Le bassin de population de notre CPTS regroupe 28 communes et compte 170 000 habitants. J’en suis toujours le président. J’ai également favorisé la coopération entre les soignants et entre les établissements dans le secteur gériatrique. Bref, je suis « un combattant de la médecine de ville » comme le rapportait récemment le journal local La Provence. J’essaye notamment d’empêcher que ces territoires se transforment en déserts médicaux comme on le voit dans de plus en plus de régions françaises.

2) Nous remontons un petit peu le temps. Nous sommes en février-mars 2020, bientôt confinés, l’épidémie de Covid est censée déferler sur la France. Que constatez-vous ? Que dit l’Agence Régionale de Santé (ARS) aux soignants de terrain ? Comment vous organisez-vous dans votre réseau ?

A l’arrivée de l’épidémie de Covid, avec mes associés professionnels de santé, nous ouvrons un centre de consultation externalisé et sécurisé pour y diriger les patients suspects d’être infectés et permettre ainsi à tous les autres de continuer à être suivis et soignés en toute sécurité dans les cabinets médicaux. Ce centre de consultation externe d’urgence est le premier de France. Nous l’installons dans la salle des fêtes de Fontvieille (le lecteur peut regarder ici une petite vidéo réalisée dans ce centre).

Je dois dire que j’ai eu évidemment à l’époque une longue discussion avec l’ARS qui n’a pas validé notre démarche. Elle recommandait de s’en tenir au strict confinement, conformément aux directives nationales du « Restez chez vous, prenez du Doliprane en cas de fièvre et appelez le 15 en cas d’aggravation ». Ces directives, dont j’ai été stupéfait de voir qu’elles étaient validées par la Haute Autorité de Santé (HAS), étaient contraires à notre devoir de médecins qui, conformément au Serment d’Hippocrate, est de soigner les gens et de sauver des vies en toutes circonstances, et non de rester les bras croisés sans rien faire, en attendant que les plus fragiles se dégradent et partent en urgence à l’hôpital où leurs chances de survie étaient d’emblée sérieusement hypothéquées. Le président Macron avait déclaré « l’état de guerre », et ceci me confortait dans ma position de médecin-soldat du front, engagé « à corps perdu », en utilisant tous les moyens et toutes les armes à ma disposition, afin de sauver le maximum de vies. J’avais d’ailleurs écrit au président pour sécuriser notre démarche et tenter de la faire valider en haut lieu.

Bref, je suis donc passé outre l’aval de l’ARS et m’en suis toujours félicité. Par la suite, nous avons du reste créé quatre autres centres à Tarascon, Arles, Saint-Rémy de Provence et Châteaurenard, tous sécurisés selon le même protocole et répartis sur tout le territoire de notre CPTS. Vingt jours après l’ouverture du premier centre, l’ARS me demandait simplement de m’engager sur l’honneur pour certifier la sécurisation de tous ces centres qui devaient ensuite devenir des centres de dépistage, puis des centres de vaccinations (ces derniers étaient ensuite gérés par les communes concernées). 

Ce dispositif nous a permis de supporter le choc des confinements en 2020. Cette mesure radicale (le confinement) était en effet inutile voire contre-productive. Les contaminations ont explosé dans les espaces clos. Il a fallu parfois prendre en charge des familles entières. J’ai dû également prendre en charge des centaines de travailleurs agricoles confinés du jour au lendemain dans des gourbis, en lieu et place du travail au grand air.

3) Concrètement comment avez-vous soigné les malades sur le pays d’Arles ?

Je connaissais les travaux d’infectiologie des équipes du professeur Raoult depuis très longtemps, et j’avais suivi la création de l’IHU de Marseille en 2016. Donc, lorsqu’il a déclaré qu’il ne fallait pas paniquer, que l’on pouvait dépister et surtout que l’on pouvait traiter les gens de manière efficace en intervenant de façon précoce, dès les premiers symptômes, cela m’a paru être du bon sens médical et c’est ce que je m’apprêtais à faire de toutes façons. J’ai donc appliqué le protocole de l’IHU : hydroxychloroquine et azithromycine aux doses indiquées, avec du zinc et de la vitamine D en appoint.

A cet égard, je dois dire que je n’ai jamais compris la polémique qui s’est développée sur la prétendue toxicité cardiaque de l’hydroxychloroquine. Cela ressemblait à un montage politique et médiatique totalement déconnecté de la réalité du terrain. J’ai prescrit de l’hydroxychloroquine pendant plusieurs décennies, par exemple pour des malades atteints d’un lupus. Cette molécule ne devient toxique qu’à partir d’une certaine dose, dont nous étions très loin dans ce protocole. L’efficacité et la toxicité d’un médicament dépendent de son dosage. Et c’est vrai d’ailleurs de la plupart des médicaments (à commencer par le Doliprane, qui peut rapidement devenir toxique). Tout médecin est censé le savoir. Ce montage politique et médiatique était donc un scandale, et je l’ai fait savoir dans la presse dès le mois de mars 2020, puis dans une lettre ouverte au ministre de la Santé Olivier Véran début avril. Je relayais la colère des soignants et des patients devant cette volonté d’empêcher la prescription précoce de l’hydroxychloroquine en médecine de ville et de réserver son usage pour les patients hospitalisés, c’est-à-dire à une phase de la maladie où le dernier des imbéciles a bien compris son inefficacité, l’orage inflammatoire ayant succédé à la phase virale.

Alors bien sûr, devant les mises en garde voire les critiques répétées à l’égard du risque cardiaque de l’hydroxychloroquine, nous avons équipé nos centres d’électrocardiographie pour pouvoir faire un ECG aux patients une première fois avant prescription et une seconde de contrôle quelques heures après la première prise. Rien d’extraordinaire, mais cela sécurisait le soin et rassurait tout le monde.

Enfin, pour protéger l’hôpital (dont tout le monde redoutait l’engorgement), nous avons créé une ligne téléphonique dédiée aux professionnels de terrain : infirmières et médecins. Il y avait là une pneumologue et un réanimateur qui conseillaient sur les conduites à tenir en termes de médications, niveaux d’oxygénation à domicile, etc., afin de faciliter le maintien des malades à domicile sous notre surveillance, en lien avec les confrères hospitaliers. D’ailleurs, la plupart de ces derniers ont bien compris l’intérêt de notre action. Nous (médecine de ville) étions la première ligne de défense, qui a absorbé une grande partie du choc, ce qui a permis à la deuxième ligne (hospitalière) de tenir sans grandes difficultés.

Par la suite, nous avons eu évidemment des difficultés d’approvisionnement et de délivrance en pharmacie pour l’hydroxychloroquine. Lorsque nous n’en avions plus, nous avons continué avec l’azithromycine, le zinc et la vitamine D. Compte tenu des évolutions en réanimation, nous avons également introduit par la suite la corticothérapie et des anticoagulants ainsi que de l’oxygénation à haut débit. Et je dois dire que, là encore, nous l’avons fait dans l’inobservance totale des recommandations nationales mais, par contre, dans l’intérêt premier et supérieur de nos patients.

4) Au final, quels sont vos résultats ? Avez-vous pu les chiffrer ?

Je n’ai pu le faire que pour ma propre patientèle. Au final et en ce qui me concerne donc, j’ai pris en charge environ 1 500 personnes malades de la Covid. Deux d’entre elles (qui avaient des comorbidités importantes) ont fait un passage aux urgences pendant 2 à 4 jours pour oxygénothérapie à très haut débit, puis sont ressorties en étant tirées d’affaire. Au final, je n’ai donc aucun mort du Covid à déplorer. Ceci équivaut à 100% de succès avec un traitement inoffensif et peu couteux.

Je veux en revanche témoigner du fait que, dans ma patientèle habituelle (les personnes qui me déclarent comme étant leur médecin traitant), 4 personnes qui avaient attrapé le Covid, qui ne m’ont pas consulté et qui s’en sont tenues au Doliprane, sont décédées.

Enfin, je veux également signaler que ce protocole m’a permis de soigner avec succès de graves malades poly-pathologiques contrairement à toute attente. Par exemple, l’une d’elle, pesant 103 kilos, diabétique insulinée, insuffisante respiratoire et insuffisante cardiaque, a été sauvée en 12 jours à domicile.

5) Quel regard portez-vous sur la politique de vaccination obligatoire et totale (y compris enfants et femmes enceintes) de manière générale ? Avez-vous constaté une efficacité et avez-vous observé des effets secondaires graves ?

Le 1er janvier 2021, j’ai été interviewé sur les vaccins qui allaient bientôt sortir. J’ai répondu que ces vaccins me paraissaient apparentés aux techniques de thérapies géniques qui se développent ces dernières années mais sont encore au stade expérimental en ce qui concerne les virus et les humains. Dans ces conditions, j’ai rappelé en fin de compte l’importance du principe de précaution. J’en ai conclu que si ces nouvelles thérapies pouvaient sans réserve être administrées à des patients en danger de mort, leur application à des sujets en parfaite santé posait question et méritait davantage de données. Il faut en réalité des années pour mettre au point un bon médicament. Cet empressement m’inquiétait. J’ai également pointé du doigt l’incohérence totale entre le fait d’un côté d’interdire l’usage d’un médicament largement utilisé depuis 50 ans sans problème, et d’un autre côté de se précipiter pour administrer sous contrainte un « vaccin » mis au point et fabriqué à la hâte pour répondre à une urgence (ou profiter d’une aubaine ?). Cette contradiction dépasse mes capacités de compréhension.

Quant à l’efficacité et aux possibles effets indésirables graves de la vaccination, je n’ai pas de chiffres précis à vous donner. Je peux seulement témoigner de ma pratique de terrain quotidienne. Sur cette base, je peux vous dire deux choses qui sont des constats cliniques. La première est que la majorité des récidives de Covid que j’ai eu à soigner par la suite concernaient des personnes vaccinées, ce qui relativise l’efficacité. La seconde est que j’ai noté une augmentation des cas de cancers dans ma patientèle, en particulier des cancers du Pancréas, ainsi que d’autres pathologies, apparues dans les semaines ou les mois suivant la vaccination anti-covid. Face à ce constat, et pour évoquer l’imputabilité à une thérapie vaccinale, il conviendrait de cumuler les témoignages de médecins libéraux et hospitaliers (comme celui que vous avez traduit récemment du Dr Ute Krüger en Suède) et croiser tout ça avec des études épidémiologiques bien évidemment.

6) Les médecins qui ont dit publiquement qu’ils ne suivraient pas les consignes du gouvernement (ou bien qui ont même été parfois dénoncés par des « confrères » voire par des patients) ont généralement été poursuivis par le Conseil de l’ordre des médecins. Avez-vous connu pareille mésaventure (ou d’autres médecins dans votre réseau arlésien) ?

Non. Nous n’avons pas été concernés par les poursuites de l’Ordre des médecins. A vrai dire, c’aurait été un comble et cela aurait été un peu gros ! En ce qui me concerne, comme je vous l’ai dit, je n’ai eu aucun mort du Covid sur quelques 1 500 malades soignés pour une maladie qu’on présentait au départ comme la nouvelle peste ou la nouvelle grippe espagnole, et que l’on mettait en scène tous les soirs à la télévision en égrenant le nombre d’hospitalisés et de morts. Et si personne n’est mort parmi nos patients, c’est bien parce que nous avons soigné les gens en conformité avec notre serment d’Hippocrate. Nous n’avons donc rien à nous reprocher, bien au contraire. Ce qui n’est pas le cas de tous.

7) Quelles leçons tirez-vous de cette période exceptionnelle ? Quel message auriez-vous envie de faire passer aux jeunes pour l’avenir ? 

Je crois que cette crise a montré le pire et le meilleur. Je ne vais pas revenir sur le pire, votre propre travail l’a hélas amplement documenté. Mais cette crise du Covid a aussi montré que l’on pouvait réagir de façon très rapide, cohérente et même innovante pour organiser efficacement la santé publique dans un moment de crise épidémique, pour peu que l’on reste fidèle à son expérience accumulée sur le terrain et à ses valeurs. Le drame du Covid a montré l’aveuglement ou la soumission de beaucoup de médecins du fait de la pression extrêmement forte venue d’en haut et de consignes sanitaires face auxquelles je vous ai dit mon incompréhension et ma colère. J’espère que les futurs médecins resteront fidèles à leur éthique professionnelle. Ils doivent être avant tout au service de leurs patients et non du pouvoir politique du moment dont le spectacle évolutif est déconcertant et peu rassurant.  

Propos recueillis par Laurent Mucchielli

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Pfizer Papers, la somme de toutes les fraudes

Source : Le Point Critique

The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity est le fruit de la collaboration de 3 250 médecins et scientifiques, qui ont consacré deux années à analyser les 450 000 pages de données de l’essai Pfizer. L’ouvrage est paru le 19 octobre. Il démontre que le laboratoire et les agences sanitaires avaient conscience dès novembre 2020 de l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID, mais qu’elles ont contourné la législation pour l’imposer à des millions de citoyens.

En septembre 2021, un collectif de professionnels de santé et de scientifiques, le Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMT) a intenté une action en justice contre la FDA pour la forcer à divulguer les données de l’essai clinique du « vaccin » Pfizer. Fait inédit, le laboratoire s’est invité dans le procès pour prêter assistance au régulateur américain. En 2022, un tribunal a finalement condamné la FDA à publier sous huit mois l’intégralité des données sur laquelle elle s’est appuyée pour homologuer l’injection Pfizer. Il lui avait fallu quatre mois pour conclure que le vaccin était sûr et efficace, elle réclamait 75 ans pour les éditer et les anonymiser, en invoquant la masse de données à traiter.

Près de 500 000 pages de données déclassifiées par la justice

La journaliste Naomi Wolf, fondatrice du site DailyClout jette aujourd’hui un énorme pavé dans la mare. En 2021, lorsque les premiers documents ont commencé à être publiés, le producteur de médias Steve Bannon (WarRoom) lui a lancé un défi qu’elle a accepté de relever : « Eh bien, vous allez lancer un projet pour les lire. » Elle a réuni une équipe de 3 250 médecins et scientifiques bénévoles qui ont analysé pendant deux ans les 450 000 pages de documents déclassifiés. The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity (Les documents Pfizer : Les crimes contre l’humanité de Pfizer)est le fruit de cette mise en commun de milliers d’intelligences individuelles.

Il contient l’intégralité des données collectées lors des essais cliniques et durant la phase dite de « post-commercialisation », c’est-à-dire entre décembre 2020 et février 2021, lorsque le vaccin a été déployé en population générale alors qu’il ne bénéficiait encore que d’une autorisation d’urgence – « un laissez-passer qui a permis à Pfizer de se précipiter sur le marché avec un produit qui n’a pas été entièrement testé ».

L’objectif est à la fois d’exposer l’éventail des fraudes commises par Pfizer avec la complicité des agences de régulation, et de démontrer qu’il ne s’agit pas d’un énième scandale sanitaire mais d’un authentique crime contre l’humanité, où les populations n’ont pas été informées qu’elles participaient à une expérimentation clinique et que la formule qui leur était injectée n’était pas celle qui a été homologuée :

De nombreuses personnes qui ont reçu cette injection, lors de son lancement en 2020-2021-2022 et jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas réalisé que les tests normaux de sécurité d’un nouveau vaccin – tests qui prennent généralement dix à douze ans – avaient tout simplement été contournés grâce aux mécanismes de l’« état d’urgence » et de l’« autorisation d’utilisation d’urgence » de la FDA. Ils n’ont pas compris que le véritable « test » était en fait l’observation par Pfizer et la FDA de ce qui leur arrivait, à eux et à leurs proches, après que ces citoyens aient retroussé leurs manches et se soient soumis à l’injection. Nous ne devons jamais oublier que plusieurs millions de ces personnes qui se sont soumises à l’injection ont été « obligées » de la prendre, sous peine de perdre leur emploi, de voir leurs études suspendues ou de perdre leur poste dans l’armée si elles refusaient.

La plupart des informations contenues dans le livre ont été distillées sur le site DailyClout au fur et à mesure des livraisons de données par la FDA. En l’espace de deux ans, les auteurs ont analysé 2 369 documents et fichiers de données totalisant des centaines de milliers de pages et ont publié près d’une centaine de rapports. Ils sont désormais réunis dans un document de 408 pages, rédigé en anglais mais accessible à tous, à la fois par son circuit de diffusion et par l’effort de vulgarisation réalisé par les auteurs.

Principales informations contenues dans les Pfizer Papers

Naomi Wolf raconte la genèse de ce projet dans l’introduction du livre, où elle en détaille les informations les plus choquantes des documents Pfizer. La plupart ont été déjà publiées dans Le Point critique, mais l’intérêt des Pfizer Papers est de les avoir réunies dans un même espace, créant un effet de masse qui donne le vertige.

  • Pfizer savait dès décembre 2020 que les vaccins ne pouvaient pas stopper la propagation du COVID.
  • Pfizer savait à l’issue des essais précliniques que le matériel génétique ne reste pas dans le muscle deltoïde mais se disperse dans tout le corps en 48 heures « comme un coup de fusil », traverse toutes les membranes du corps humain et s’accumule dans les principaux organes : le foie, les glandes surrénales, la rate, le cerveau, les ovaires.
  • Pfizer a dû embaucher 2 400 personnes à temps plein pour traiter la « forte augmentation » des effets indésirables rapportés entre décembre 2020 et février 2021.
  • Pfizer savait dès avril 2021 que les injections endommageaient le cœur des enfants et des jeunes adultes.
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021 que son injection était liée à une myriade d’effets indésirables graves :

COVID-19 sévère ; lésions hépatiques ; effets indésirables neurologiques ; paralysie faciale ; lésions rénales ; maladies auto-immunes ; engelures (une forme localisée de vascularite qui affecte les doigts et les orteils) ; syndrome de dysfonctionnement d’organes multiples […] ; activation d’infections herpétiques dormantes ; lésions de la peau et des muqueuses ; problèmes respiratoires ; structure pulmonaire endommagée ; insuffisance respiratoire ; syndrome de détresse respiratoire aiguë […] ; et le SRAS (ou SRAS-CoV-1, qui n’a pas été observé dans le monde depuis 2004, mais qui apparaît dans les documents de Pfizer comme un effet secondaire des injections). […]
Ensuite, des maladies sanguines à l’échelle industrielle : caillots de sang, caillots pulmonaires, caillots de jambe ; thrombocytopénie thrombotique […] ; vascularite […] ; taux astronomiques de troubles neurologiques – démences, tremblements, Parkinson, Alzheimer, épilepsies.
Des affections cutanées terribles. Une pléthore de problèmes cardiaques : myocardite, péricardite, tachycardie, arythmie, etc.

  • Pfizer savait que la plupart de ces événements indésirables étaient très probablement imputables au vaccin : la moitié des effets indésirables graves liés au foie, y compris les décès, et la moitié des accidents vasculaires cérébraux ont eu lieu respectivement dans les 72 heures ou les 48 heures suivant l’injection ;
  • Pfizer a enregistré plus de 1 233 décès au cours des trois premiers mois où l’injection a été déployée dans la population[1].
  • Pfizer savait à l’issue de son étude préclinique que l’injection était contre-indiquée pendant la grossesse. Il a exclu les femmes enceintes de l’essai pivot, mais elles ont été incitées agressivement à se faire injecter, sans aucune protestation de la part du laboratoire :

Les documents indiquent clairement que le fait de nuire à la capacité de reproduction de l’homme et de provoquer des avortements spontanés de bébés n’est « pas un bug, c’est une caractéristique ».

  • Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques sont connues pour dégrader le système reproducteur :

Les nanoparticules, dont les nanoparticules lipidiques sont un sous-type, traversent la barrière sang-testicule et endommagent les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales des hommes. Ces cellules sont les usines de la masculinité […]. Nous ne savons donc pas si les bébés garçons nés de mères vaccinées deviendront des adultes mâles et fertiles.

  • Pfizer connaissait les dommages menstruels causés par l’injection, il les a énumérés dans ses documents : « Les scientifiques de Pfizer ont calmement observé et noté tout cela, mais n’ont rien dit aux femmes. »
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021[2] que son injection entraînerait des décès de bébés, des échecs de grossesse et des événements indésirables graves chez les femmes enceintes :

Dans une section des documents, plus de 80 % des grossesses suivies ont entraîné une fausse couche ou des avortements spontanés. Dans une autre partie des documents, deux nouveau-nés sont morts, et Pfizer a décrit la cause du décès comme une « exposition maternelle » au vaccin.

Des effets indésirables ont été observés dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin, dont 53 cas d’avortement spontané (51)/avortement (1)/avortement manqué (1) après la vaccination.

Le lait maternel de quatre femmes est devenu « bleu vert ». Pfizer a produit un tableau de bébés malades, rendus malades à la suite de l’allaitement de mères vaccinées, avec des symptômes allant de la fièvre à l’œdème (poussée gonflée) à l’urticaire en passant par les vomissements. Un bébé a eu des convulsions et a été emmené en réanimation, où il est mort d’une défaillance du système à organes multiples.

  • Pfizer savait que son injection pouvait tuer :
    • le nombre de décès enregistrés lors de l’essai clinique était supérieur dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo ;
    • le nombre de décès dus à des événements cardiovasculaires a été multiplié par plus de 3,7 chez les sujets vaccinés.
  • Pfizer a falsifié les données de l’essai clinique pour obtenir l’autorisation de commercialiser son vaccin :

Pfizer a dissimulé huit décès vaccinés survenus au cours de l’essai clinique afin de donner aux résultats favorables pour recevoir son âge de l’EUA de 16 ans et plus.

  • Pfizer a mis fin à l’essai clinique pivot le 12 mars 2021 en vaccinant la quasi-totalité de la cohorte placebo, rendant impossible l’évaluation de la sécurité des injections, alors que le protocole prévoyait que les sujets soient suivis pendant deux ans.
  • Pfizer a signalé par écrit en octobre 2021 que pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, « les dommages subcliniques [i. e. sans symptômes] se manifesteraient chez les patients à long terme », ce qui signifie que les injections répétées se traduiraient par des dommages cliniques, c’est-à-dire des séquelles.

Un volume d’effets secondaires d’ampleur biblique

Les Pfizer Papers détaillent également le bilan de la première année de la campagne de vaccination de masse, où les rapports de cas de maladies auto-immunes déclarés dans la base de pharmacovigilance américaine (VAERS) ont été multipliés par 24 entre 2020 et 2021. Les décès annuels liés à l’auto-immunité ont été multipliés par 37 sur la même période uniquement aux États-Unis, mais le bilan tiré par les lanceurs d’alerte australiens est aussi édifiant. La pharmacovigilance n’a donc jamais joué son rôle, elle a probablement servi à identifier les maladies qui seraient les plus lucratives à traiter après le tsunami vaccinal (500 nouveaux vaccins sont attendus pour les années à venir, avec près de 1 000 essais cliniques déjà en cours) :

En d’autres termes, ces injections ont manifestement causé très tôt des dommages très spécifiques à l’homme. Et au lieu de les arrêter ou de les retirer du marché, Pfizer a redoublé d’efforts, la FDA a redoublé d’efforts et le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] a redoublé d’efforts ».Baletti B. Pfizer’s ‘Crimes Against Humanity’ — and Legacy Media’s Failure to Report on Them. Children Health Defense. 21/10/2024. /https://childrenshealthdefense-org.translate.goog/defender/naomi-wolf-the-pfizer-papers-book/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

Effets indésirables recensés dans le VAERS après une vaccination, 2021-2024

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a estimé le 16 septembre 2022 que les données d’efficacité et de sécurité étaient suffisamment rassurantes pour précipiter l’homologation des vaccins. L’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle a été convertie le 10 octobre 2022 en AMM standard, un an avant la fin de l’essai clinique pivot, prévue initialement en décembre 2023 (elle a finalement été avancée à fin avril 2023 pour Moderna et fin février pour Pfizer). Le résultat est accablant puisque les essais cliniques ont établi que l’efficacité des vaccins Pfizer et Moderna était négative, notamment sur les formes gaves. Le régulateur des essais cliniques précise par ailleurs pour Pfizer que la vérification de l’intégrité des données n’est pas terminée.

La FDA refuse de soumettre les dernières données

Naomi Wolf estime sur la base de ses données qu’« Il est impossible de ne pas conclure qu’il ne s’agit pas d’une négligence, d’une cupidité ou d’un manque de rigueur de la part du Pfizer ». Elle précise dans les Pfizer Papers :

J’ai voulu croire pendant très longtemps qu’il ne s’agissait pas d’un programme de dépopulation, mais finalement, les preuves contenues dans les documents Pfizer m’ont convaincue que c’était exactement ce dont il s’agissait.

La publication des Pfizer Papers peut-elle peser sur l’avenir du laboratoire et permettre le bannissement des injections ARNm COVID-19 ? Celui-ci a été voté par un tribunal régional australien en raison de quantités massives d’ADN non réglementaire retrouvées dans les vaccins Pfizer et Moderna, en particulier d’ADN d’un virus de singe (SV40) oncogène dans la formule commerciale des vaccins Pfizer, mais cette secousse n’a pas encore provoqué de répliques parmi les pays qui ont massivement injecté leur population :

La bataille se poursuit. Aucun des auteurs de ce crime massif contre l’humanité n’est en prison, ni même inculpé au civil ou au pénal. Il y a au moins trois procès contre Pfizer – deux des nôtres et un de Brook Jackson – mais, à ce jour, aucun de ces procès n’a abouti. Le litige traîne en longueur, mais il n’en reste pas moins que le mot est lâché. Le mot est lâché.

Moderna ne sera pas épargné par cette vague, la parution des Moderna Papers est annoncée pour le printemps prochain, mais on sait déjà que le régulateur australien a couvert la contamination des échantillons de son vaccin. En attendant, la FDA résiste autant qu’elle peut. Elle a déposé le 17 octobre une requête visant à faire faire rejeter la plainte de PHMT au motif qu’elle aurait livré l’ensemble des données réclamées par la justice, ce qui est contesté par l’avocat de PHMT, Aaron Siri, qui estime qu’un million de pages sont toujours séquestrées par la FDA. Manquent notamment à l’appel la liste complète des ingrédients présents dans le vaccin Pfizer ainsi que le résultat des contrôles qualité que l’agence est censée avoir effectués avant d’homologuer l’injection :

Le module 3, ou la documentation sur les contrôles de fabrication des produits chimiques, représente généralement environ 20 à 30 % de la demande d’homologation d’un nouveau médicament ou produit biologique, car il traite de la capacité du fabricant à démontrer que son processus garantit la pureté, la puissance et l’absence de contaminants dans le produit final tel que distribué au patient. Étant donné que de nombreux rapports, y compris dans des publications évaluées par des pairs, indiquent que le produit Comirnaty de Pfize est contaminé par des microARN non conformes, des plasmides d’ADN, du SV40, différents métaux, des protéines, des micro- et macro-objets dans les flacons, les défaillances du processus de fabrication suscitent de vives inquiétudes.Sasha Latypova, ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique.

Seul bémol, le livre est proposé à la vente à 37 € et il est écrit en anglais. La biostaticienne et lanceuse d’alerte Christine Cotton, auteur de l’ouvrage Tous vaccinés, tous protégés, y a déjà exposé le dédale des fraudes et des violations des pratiques cliniques commises par Pfizer lors de la fabrication de son injection. Elle fut en réalité l’une des toutes premières à avoir compris l’ampleur de la fraude. Elle publie aujourd’hui un nouveau livre en anglais, de 213 pages, intitulé The trial was almost perfect (L’essai était presque parfait), disponible en téléchargement gratuit. Il serait dommage de se priver de cette lecture édifiante, où la chercheuse dissèque avec une précision chirurgicale le cadavre de l’essai clinique Pfizer.

L'essai était presque parfait, Christine Cotton, couverture
Christine Cotton. L’essai était presque parfait

Références

[1] Pfizer. 5.3.6 Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28-Feb-2021. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf?fbclid=IwAR0ojrw_W7XJAgf9yUS8STlUICMnEk1UvHeLH6EejSHBtrc63HOPrB57Mz0. Version republiée en avril 2022 : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf.

[2] Pfizer. COVID-19 vaccine safety review for PLLR label update. BNT162b2 cumulative review from pharmacovigilance database: Pregnancy and lactation cumulative review. 2021 Apr 20. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2023/04/125742_S2_M1_pllr-cumulative-review.pdf.

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Pierre-Antoine Plaquevent : “Le projet des mondialistes est un test spirituel”

Pierre-Antoine Plaquevent dévoile le « complot » de l’élite globaliste à la lumière des enjeux spirituels. Invité spécial de la rencontre des donateurs 2024 d’Essentiel News, Pierre-Antoine Plaquevent, auteur, analyste politique et créateur de Strategika, groupe de recherche indépendant (think tank), nous livre une présentation du “projet” des mondialistes tel un test auquel nous faisons tous face.

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Injections ARNm : un scandale sanitaire inédit

Pour des oncologues britanniques le lien de causalité est établi entre vaccins covid et cancers turbo, les statistiques américaines confirment le désastre.
Le Dr James Royle, chirurgien britannique de renom, a tiré la sonnette d’alarme face à une augmentation significative des « cancers turbo » agressifs et à propagation rapide.

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Déclaration de Bruxelles : pour une réforme radicale des Ordres des médecins

Non aux Ordres qui nous trahissent.

En soutenant des politiques sanitaires inadaptées mais très favorables aux laboratoires pharmaceutiques, nos Ordres européens ont vendu la médecine aux financiers.
Nous sommes très nombreux à nous révolter contre cette scandaleuse complicité, mais l’inquisition que les Ordres organisent avec délectation, dissuadent très efficacement toute contestation et même toute tentative de débat. Ces procédés fachistes sont intolérables.


Lire l’article sur le site de l’Ordre Universel des praticiens de Santé

Voir également la vidéo d’Alain Colignon via la Web TV de Jean-Dominique Michel

La déclaration de Bruxelles

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Tract : les dangers d’une monnaie numérique de Banque Centrale et de la fin du cash

Contrairement aux modes de paiement actuels, les futures monnaies numériques ne sont pas anonymes. Elles contiennent des informations relatives à la vie privée, contrairement à une carte bancaire qui n’intègre pas le détail de nos transactions. Seule la banque qui l’a émise peut en connaitre l’historique. En outre, peut-on réellement imaginer un monde où toute forme de commerce ne reposerait que sur une fiabilité informatique et électrique ? La possession d’un téléphone portable va t-elle devenir une obligation légale ? Cette monnaie deviendra t-elle programmable avec une date d’expiration ? Surveillance, contrôle total de l’individu et crédit social, le risque démocratique semble suffisamment élevé pour qu’un débat citoyen existe.

Téléchargez et faites circuler le tract ci-dessous !

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Bill Gates face à un tribunal Néerlandais

Source : Profession Gendarme

C’est bien le tribunal néerlandais de Leeuwarden qui jugera si le milliardaire mégalomane Bill Gates, avec 16 autres accusé.es, est responsable des graves dommages causés à 7 citoyen.nes des Pays-Bas par l’injection de prétendus »vaccins » anti-Covid19 dont ni la sûreté ni l’efficacité n’étaient prouvées pendant la prétendue pandémie.

Les 7 citoyen.nes des Pays-Bas qui ont déposé une plainte le 10 juillet 2023 contre 16 personnalités et contre l’état des Pays-Bas affirment avoir été trompé.es par toutes les informations provenant du gouvernement, du milieu médical, des firmes pharmaceutiques et de la fondation Bill & Melinda Gates : ces personnes ordinaires ont cru à la dangerosité extrême du nouveau coronavirus chinois, elles avaient confiance dans les vaccins, elles se sont fait injecter le produit expérimental de Pfizer et elles sont tombées malades ensuite. Une de ces personnes est décédée après le dépôt de la plainte l’an dernier. Une autre était représentée par son père car, après avoir été injectée, elle est tombée malade et ne peut plus parler.

Au contraire des 16 autres accusé.es, Bill Gates n’a pas répondu aux griefs de la plainte : il a préféré, étant citoyen des États-Unis et ne résidant pas aux Pays-Bas, soulever l’incompétence du juge néerlandais. Celui-ci devait examiner cette question avant de se pencher sur le fond du dossier. Il y a donc eu une audience publique le 18 septembre 2024 au tribunal de district de Leeuwarden : elle a duré 1h.30 et certaines victimes ont pu s’exprimer.

Bill Gates n’était pas présent. Il était représenté par un avocat du prestigieux cabinet Pels Rijcken, qui n’a pas manqué de taxer les plaignant.es de complotistes…

Le jugement a été rendu le 16 octobre 2024 et c’est une première victoire, selon les deux avocats de l’association Recht Oprecht qui assistent les 6 victimes des injections : beaucoup trop de juges aux Pays-Bas soutiennent encore le programme des injections et ont du mal à croire à leur nocivité. Me Arno van Kessel constate que le jugement du tribunal a clairement enregistré les fondements des conclusions des plaignant.es. L’avocate française Me X, qui a publié deux vidéos Youtube sur ce sujet, pense elle aussi que c’est un bon signe, car le tribunal a pris la peine, dans son jugement de 9 pages, de rappeler les faits, de détailler l’argumentation des victimes, avant d’expliquer pourquoi la responsabilité de Bill Gates devait être examinée en même temps que celle des 15 autres accusé.es et celle de l’état néerlandais lui-même. S’il avait voulu mettre Gates hors de cause, il aurait pu simplement arguer de sa citoyenneté étatsunienne qui empêchait de le juger aux Pays-Bas.

L’examen de ce jugement est celui de l’avocate française Me X dans sa vidéo du 21 octobre 2024.

I. Rappel des faits et des griefs

Lorsque la pandémie de Covid-19 a été déclarée au printemps 2020, différentes mesures ont été adoptées aux Pays-Bas, dont le port du masque et un programme national de vaccination anti-Covid19. Le Premier ministre Mark Rutte, familier du Forum de Davos, a reçu de Klaus Schwab une lettre datée du 20 octobre 2020 : Schwab lui demandait de veiller que le projet de réforme post-Covid19 exposé dans son livre (la Grande Réinitialisation) soit mené à bien aux pays-Bas ; Schwab indiquait que les injections de  »vaccin anti-Covid19 » étaient cruciales pour la réussite du projet.

Mark Rutte avait également reçu fin 2020 une invitation à la réunion annuelle du FEM en mai 2021 et le jugement du tribunal de Leeuwarden cite un extrait de cette invitation :

« Cette réunion annuelle sera la première occasion pour les dirigeants des gouvernements et des entreprises de se réunir à nouveau et de concevoir une voie de relance commune et de reconstruire une société plus résiliente, plus cohésive et plus durable. Elle s’appuiera sur le processus de la Grande Réinitialisation (Great Reset), une mobilisation sans précédent d’idées concrètes issues de groupes d’action, de plate-formes et autres initiatives du forum pour façonner le monde de l’après Covid-19. »

Le jugement rappelle les faits concernant Bill Gates : ses liens avec l’organisation GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation), l’OMS et le Forum économique mondial (FEM) ou Forum de Davos dirigé par Klaus Schwab. Statutairement, l’objectif du Forum de Davos est : « la réunion de leadeurs du business, de chefs de gouvernement et de dirigeants économiques dans une communauté globale, s’engageant à améliorer l’état du monde. » Cette « amélioration du monde » a notamment été formulée par Klaus Schwab en juillet 2020 dans son livre Covid-19 : la Grande Réinitialisation (ou Great Reset).

En tant que directeur de la Fondation Bill & Melinda Gates et contributeur au budget de l’OMS, Bill Gates a depuis 20 ans largement financé des programmes de vaccination dans le monde et ses déclarations publiques font la promotion de tous les vaccins. Concernant les prétendus  »vaccins » expérimentaux contre le Covid-19, le juge néerlandais rappelle que, le 3 décembre 2020, lors d’une entrevue avec Bill Gates sur la chaîne étatsunienne NBC News qui fut ensuite publiée sur Youtube, le philanthrope milliardaire avait déclaré : « Il semble que presque tous les vaccins vont être un succès. »

Le juge rappelle que les plaignant.es lui demandent de constater que l’état des Pays-Bas et les 16 personnalités accusées ont manœuvré de façon illégale pour induire la population en erreur et l’amener à accepter les injections, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. Ce faisant, les accusé.e ont permis (selon les plaignant.es) de mettre en œuvre le projet de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab : une réorganisation totale des sociétés humaines : « Dans cette réorganisation, tous les facteurs qui affectent la vie humaine sont soumis à un changement forcé par le FEM et l’ONU : la caractéristique de ce changement forcé est qu’il est planifié et présenté comme justifié parce que le monde souffrirait de crises majeures qui ne pourraient être résolues que par une intervention mondiale, centralisée et rigoureuse. L’une de ces grandes crises majeures serait la pandémie de Covid19. »

Toujours selon les plaignant.es, l’ensemble des accusé.es a pris des mesures illégales en vue d’amener la population à accepter des injections censées les protéger contre un virus allégué, ce qui a provoqué de graves préjudices pour les 7 victimes une fois reçues les injections.

II. La compétence du juge néerlandais pour cause de « connexité ».

Pour décider si le tribunal néerlandais de Leeuwarden peut juger le citoyen étasunien Bill Gates avec les 16 autres accusé.es, le juge va utiliser deux moyens de droit, l’un national et l’autre européen.

L’article 7§1 du Code de procédure civil néerlandais dit que, si un tribunal néerlandais possède juridiction sur un parmi plusieurs défendeurs dans un même dossier, alors il a juridiction sur tous les autres, à condition qu’il y ait une telle connexité entre les plaintes contre les différents défendeurs que cela justifie l’opportunité de ne pas séparer les accusés.

Puis, pour renforcer cette disposition nationale et parce qu’il n’existe aucun traité spécifique entre les USA et les Pays-Bas, le juge a cherché dans les règles communes du droit international privé relatif à la compétence judiciaire, et notamment dans la jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE).

« Selon la jurisprudence de la cour de justice de l’union européenne, il y a connexité lorsque :

  1. la demande est fondée sur le même complexe de faits
  2. les demandes sont juridiquement si étroitement liées qu’on ne peut raisonnablement s’attendre à ce que le demandeur fasse traiter son affaire par différents tribunaux.

Si les deux conditions sont remplies, on peut supposer que le traitement commun des créances (les demandes des plaignants) est justifié pour des raisons d’efficacité et que l’exigence de prévisibilité est remplie. »

Le tribunal de Leeuwarden, ayant examiné tous les faits qui étaient reprochés aux 17 personnes (morales et physiques) citées dans la plainte de Recht op Recht, expose alors ceci.

« Les plaignant.es fondent leur plainte contre les défendeurs sur le fait que ceux-ci, en tant que groupe international, ont agi illégalement à leur égard. Les défendeurs, et donc Bill Gates, font partie d’un groupement international de personnes individuelles, entités juridiques et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset » ont induit les gens en erreur afin de leur faire accepter des injections de vaccins anti-Covid19, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. »

Il résulte de la plaidoirie de Bill Gates que celui-ci a compris de la même manière la position des plaignant.es. Notamment, « les plaignant.es soutiennent que Bill Gates a commis cette tromperie au niveau international en publiant sur Youtube deux vidéos en avril et décembre 2020 : dans ces vidéos, Bill Gates aurait fait de fausses déclarations respectivement sur la nécessité des injections anti-Covid19 et sur leur sûreté pour la population. Parce que Bill Gates pouvait prévoir que ces actions collectives pourraient créer des dommages tels que ceux subis par les plaignant;es, il est, selon les plaignant;es, responsable de ces dommages en vertu du code civil hollandais. »

Le juge poursuit : « Bill Gates peut considérer que les actes illégaux qui lui sont reprochés différent des actes illégaux reprochés aux autres défendeurs ; mais cela ne change rien au fait que, pour les plaignant.es, toutes ces actions ont été accomplies par un groupe et que le fondement des réclamations doit d’abord évaluer si, comme le prétendent les plaignant.es et comme Bill Gates le conteste, il existe un groupe international de personnes physiques, de personnes morales et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset », ont amené des personnes à recevoir des injections anti-Covid19 dont elles savaient ou auraient dû savoir qu’elles n’étaient ni sûres ni efficaces.

Il existe un risque qu’un jugement séparé des réclamations contre les défendeurs conduise à des jugements contradictoires sur cet ensemble de faits, qui est le même pour tous les défendeurs et qui constitue la base de leur prétendue responsabilité dans un délit collectif.

Au vu du cadre susmentionné, la cohérence requise entre la réclamation contre Bill Gates et celles contre les autres défendeurs est donc établie. Le tribunal de Leeuwarden a donc une compétence internationale pour entendre la plainte contre Bill Gates sur la base de l’article 7§1 du Code de procédure civile néerlandais. »

Par ailleurs, puisque William Henry Gates III a eu tort de tenter d’échapper à un procès en contestant la compétence du tribunal, il a été condamné à payer les frais juridiques en tant que partie perdante, soit 1 406,00 € (frais d’avocats et frais procéduraux supplémentaires) que Gates doit payer dans les 14 jours. Ce jugement du 16 octobre 2024 est provisoirement exécutoire et détermine que l’affaire sera remise à l’ordre du jour le 27 novembre 2024 pour une conclusion de réponse de la part de Bill Gates.

L’avocate française Me X. qui a fait l’analyse de ce jugement dans sa vidéo du 21 octobre 2024 résume ainsi le raisonnement du juge néerlandais : puisque les plaintes des sept citoyen.nes des Pays-Bas contre les 17 défendeurs sont fondées sur le même ensemble de faits et sont donc liées par  »connexité », et puisqu’un tribunal indépendant ne peut permettre d’aboutir à une situation où la décision qui serait rendue à l’étranger contre Bill Gates et aux Pays-Bas contre les autres accusés seraient contradictoires – car cela porterait préjudice à l’ensemble des plaignant.es qui accusent Bill Gates au même titre que les autres –, alors il est nécessaire de juger Bill Gates devant le même tribunal néerlandais qui jugera les autres accusé.es.

Jocelyne Chassard

Sources :

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Jury : Les travailleurs licenciés pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19 recevront plus d’un million de dollars chacun

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

Les responsables des transports ferroviaires de la région de la baie de Californie ont été condamnés à verser plus de 7 millions de dollars aux employés des transports qui avaient été licenciés parce qu’ils avaient refusé de se faire vacciner contre le COVID-19 il y a plusieurs années.

Le 23 octobre, un jury fédéral du tribunal de district du nord de la Californie a donné raison à six anciens employés de la société de transport régional de la baie de San Francisco (BART) qui avaient refusé de se faire vacciner pour des raisons religieuses.

BART a été condamné à verser au groupe plus de 7,8 millions de dollars, chaque individu recevant entre 1,2 et 1,5 million de dollars, a déclaré le 24 octobre le Pacific Justice Institute, qui représentait les travailleurs des transports en commun dans le procès. L’institut, un cabinet d’avocats qui représente les six anciens employés depuis 2022, a déclaré que le jury de huit personnes a délibéré pendant deux jours cette semaine avant de rendre le verdict qui a accordé les indemnités aux employés.

Il y a environ une semaine, le jury fédéral a également déterminé que BART n’avait pas réussi à prouver qu’il avait subi une contrainte excessive en refusant des aménagements aux anciens employés dans cette affaire.

Le 23 octobre, le jury a en outre estimé que les six employés s’étaient acquittés de la charge de démontrer qu’il existait un conflit entre leurs croyances religieuses et la vaccination obligatoire de BART, qui a été mis en œuvre en 2021.

Selon le cabinet d’avocats, le jury a également accepté les chiffres avancés par les plaignants pour les pertes de salaire qu’ils ont subies après avoir perdu leur emploi. Le jury a ensuite ajouté 1 million de dollars chacun à ces chiffres, a indiqué le cabinet, qualifiant le verdict de « tremblement de terre juridique ».

« Les employés des chemins de fer ont choisi de perdre leur gagne-pain plutôt que de renier leur foi. Cela montre en soi la sincérité et la profondeur de leurs convictions », a déclaré Kevin Snider, avocat en chef de l’Institut de la justice du Pacifique, qui était l’avocat principal du procès. « Après près de trois ans de lutte, ces travailleurs essentiels ont le sentiment d’avoir été entendus et compris par le jury et sont ravis et soulagés par le verdict.

Le cabinet d’avocats a déclaré : « Au cours du procès, les jurés ont entendu des témoignages convaincants d’employés dévoués. L’un des plaignants avait travaillé pendant plus de 30 ans pour BART, avec 10 ans d’assiduité parfaite, avant d’être licencié sans ménagement. Une autre était en arrêt de travail depuis des mois, sans date de retour prévue, lorsqu’elle a été licenciée ».

Les avocats de BART ont fait valoir que les nombreux employés qui n’étaient pas d’accord pour recevoir le vaccin avaient des raisons laïques, et non religieuses. Mais le jury n’a pas accepté ces arguments, selon le Pacific Justice Institute.

Le mandat de vaccination a été approuvé par le conseil d’administration de BART en octobre 2021 et stipulait que tous les employés devaient être vaccinés contre le COVID-19. Il permettait à certains employés d’être exemptés du vaccin, notamment pour des raisons religieuses.

Un an plus tard, les employés de BART ont intenté une action collective en justice, accusant l’opérateur de refuser des accommodements religieux en violation de la législation de l’État.

Le juge de district William Alsup, qui a présidé le procès contre BART, a décidé que les politiques de l’opérateur ne violaient pas le droit à la liberté religieuse des employés, selon une ordonnance qu’il a rendue en mars.

Une autre ordonnance rendue par Alsup en janvier indiquait que BART avait reçu 188 demandes d’exemption et d’accommodement religieux, et que 40 d’entre elles avaient choisi de ne pas aller jusqu’au bout de la procédure. Ces personnes ont été licenciées ou ont finalement été vaccinées.

« La classe putative des plaignants échoue parce que ses membres ont peu en commun au-delà de leur demande d’accommodement religieux », a déclaré le juge dans son ordonnance. « Ils ne partagent pas une objection religieuse commune. Ils ne partagent pas une vocation ou un ensemble de droits contractuels. Ils ne présentent pas un ensemble similaire d’aménagements potentiels et de charges associées. Ils ne présentent pas les mêmes préoccupations en matière de santé et d’exposition. »

« Les aménagements potentiels n’ont pas d’incidence sur le même groupe de travailleurs. Ces travailleurs n’ont pas les mêmes droits négociés ».

Epoch Times a contacté BART pour obtenir des commentaires le 25 octobre mais n’a pas reçu de réponse avant l’heure de publication. Le porte-parole de l’opérateur ferroviaire, James Allison, a déclaré au média local SFGate qu’il n’avait « aucun commentaire » à faire sur le verdict.

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Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-covid

Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d’en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d’une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C’est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre… l’hiver. Jusqu’à quand la cécité, voir la corruption la plus échevelée? Bonne lecture.

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Stopper la suppression de l’argent liquide : voici comment y parvenir !

Partout dans le monde, la mafia financière mondiale est en train de mettre en place de nouveaux systèmes de paiement numériques. Utiliser de l’argent liquide devient de plus en plus difficile. Tout le monde n’accepte pas ces plans sans résistance et certains, par leur résistance, les ont fait échouer…

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Vaccins pédiatriques “classiques”: résidus toxiques, nanoparticules métalliques et ADN étranger

Dans un article précédent, nous avons rapporté les observations du Dr Ana Mihalcea dans la vidéo “Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid?“. Cette vidéo a suscité beaucoup de réactions, certaines mettant en avant un manque de rigueur scientifique de la part du Dr Ana Mihalcea. Comme annoncé, nous publierons prochainement d’autres documents qui convergent et/ou contestent ses affirmations.

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Voir également l’interview de Senta Depuydt par Nexus il y a trois ans. Elle revient sur son article pémonitoire publié dans ce même magazine en 2019.

https://crowdbunker.com/v/tsHhNVxTnX

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Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse

Samedi 26 octobre prochain à Saintes toute la journée à l’Auditorium de la salle Saintonge.
Ouverture des portes à 8 h 30, début de la conférence à 9 h et final vers 18 h/18 h 30

Le thème de la Jeunesse étant plus que jamais d’actualité (vaccinations Gardasil-9, Beyfortus, vaccinations à ARN-M, éducation à la sexualité à l’école, dysphorie de genre, alimentation, écrans, sommeil …), nous vous invitons à venir très nombreux assister à cette conférence et échanger avec nos intervenants qui se feront un plaisir de nous apporter tous les conseils, informations et précisions utiles sur ces différents sujets tellement importants pour l’avenir de nos Jeunes.
Des intervenants de grande qualité et des thèmes riches et très diversifiés auxquels viendront se rajouter quelques activités et animations artistiques.
L’entrée est gratuite avec une participation « au chapeau » suivant les possibilités de chacun (participation libre et en conscience).

Le collectif de Saintes.

Contact/renseignements :

– Jacqueline NEVEUX – 06 43 03 84 85 – neveux.jacqueline@yahoo.com

– Céline GARNIER – uniquement par mail – zebcel@wanadoo.fr

– Michel REGNEAULT – 06 74 50 98 46 – michelregneault@orange.fr

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Dangers des nouveaux vaccins : Jean-Marc Sabatier s’explique chez Karl Zéro

Dans une interview accordée à Karl Zéro, le chercheur Jean-Marc Sabatier alerte sur les risques des vaccins à ARN messager auto-amplifiants en développement et donne des conseils pour renforcer son immunité naturellement.

Les nouveaux vaccins à ARN messager inquiètent

Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, met en garde contre les vaccins à ARN messager auto-amplifiant actuellement en développement. Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il.

Des conseils pour renforcer son immunité naturellement

Face à ces risques, Jean-Marc Sabatier recommande de renforcer son immunité naturellement. Il conseille notamment :

  • Une supplémentation en vitamine D (3000 à 8000 UI/jour selon le poids)
  • Du magnésium (300 mg/jour)
  • Du zinc (15-25 mg/jour)
  • De la vitamine C à haute dose en cas de Covid long (3-4g/jour)
  • Des antioxydants comme la N-acétylcystéine ou le glutathion
  • Des oméga-3 (2g/jour)

Le chercheur insiste sur l’importance de la vitamine D, capable selon lui d’activer jusqu’à 2000 gènes protecteurs dans l’organisme.
Bien que ces recommandations ne constituent pas une prescription médicale, elles visent à optimiser le fonctionnement du système immunitaire face aux nouveaux défis sanitaires.

Source : idj infodujour

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En France on détruit les médecins pour des raisons politiques

Il n’est pas dans l’habitude de l’AIMSIB de s’épancher sur les malheurs de ses membres dès lors qu’ils se trouvent en butte avec les représentants du pouvoir actuel. Voici néanmoins l’histoire consternante vécue par le Dr Vincent Reliquet, membre fondateur et rédacteur en chef de notre site. Après dix ans à son poste, les sanctions pleuvent : ordinales, fiscales, administratives. Prochaine condamnation prévue le jeudi 10 octobre 2024 : rembourser la Sécurité Sociale d’actes dispensés pour soulager voire complètement guérir des centaines de malades totalement abandonnés à leurs souffrances physiques, ainsi que des médicaments utilisés pour y parvenir. Voici par quelle violence un État de non-droit peut gérer ses contradicteurs : en l’absence de faute pénale répréhensible, on organise froidement leur ruine financière. Bon visionnage.

Voir la vidéo : https://www.aimsib.org/2024/10/06/en-france-on-detruit-les-medecins-pour-des-raisons-politiques/

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Lancement en octobre d’une nouvelle génération de vaccin Covid dit “auto-amplificateur”

Ces nouveaux vaccins sont suspectés de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-vaccinées.

Déployée au Japon depuis le 1er octobre lors de la campagne de vaccination annuelle contre le Covid, une nouvelle génération de vaccin ARNm appelé auto-amplificateur ou répliquant (en anglais self-amplifying vaccines ou “sa-ARNm” ou “Replicon”) est suspectée de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-injectées.

Une nouvelle génération de vaccin

Le Japon a été le premier pays au monde à approuver ces nouveaux vaccins “sa-ARNm” en novembre 2023.

Le vaccin dénommé ARCT-154, développé par la société de biotechnologie américaine Arcturus Therapeutics, représenterait une version plus élaborée du vaccin par comparaison avec les injections à ARNm utilisées ces dernières années. Dans ce nouveau produit, l’ARNm synthétique non seulement ordonne aux cellules de produire la protéine Spike considérée comme toxique par de nombreux scientifiques, mais produit également des copies de lui-même à l’intérieur des cellules.

Lors d’une conférence de presse, le Dr. Murakami Yasufumi expliquait que ce type de vaccin auto-amplificateur utilise une fonction d’auto-réplication appelée réplicase pour répliquer l’ARNm dans le corps, mais sans la fonction de frein. Ainsi le receveur continue à produire de grandes quantités de protéine de pointe. Il a également été souligné que les composants du vaccin peuvent être transmis du receveur à d’autres personnes ou animaux.

Cette possibilité de transmission du vaccin sa-ARNm chez des personnes qui n’auraient pas reçu d’injection soulève l’inquiétude des scientifiques.

Le Dr Miki Gibo présente une étude publiée dans Cell dans laquelle des scientifiques ont découvert que les parties du vaccin continuaient d’augmenter à l’intérieur des cellules après l’injection. Ensuite, les composants du vaccin peuvent se propager et entrer également dans de nouvelles cellules. Ce phénomène se produit à cause de la libération par les cellules de nanoparticules appelées vésicules extracellulaires, qui contiennent des exosomes. Ces nanoparticules peuvent transporter des éléments du vaccin, d’une cellule à une autre, et peuvent être transmis d’un être humain à un autre à travers les fluides corporels (salive, transpiration, larmes…).

Un problème déjà existant

Il apparaîtrait que les premiers vaccins Covid à ARNm permettaient déjà une transmission d’une personne vaccinée à une autre non vaccinée. Ce procédé que l’on peut appeler “vaccins à propagation automatique”, ou encore “vaccine shedding” en anglais, existe depuis le début des années 2000 et était appliqué au départ sur les populations d’animaux sauvages (cf pages 47-48).

À la suite de la crise Covid, des documents provenant de Pfizer (cf pages 67-69) ont révélé clairement que les personnes vaccinées pouvaient exposer les personnes non vaccinées à des risques de contamination par inhalation ou contact cutané. Le protocole des essais de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins ARNm Covid-19 (démarré en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit de personne injectée vers une personne non injectée. La possibilité d’une réaction indésirable au vaccin ou d’effets secondaires suite à ces expositions est également mentionnée.

Les travaux scientifiques d’Hélène Banoun, pharmacienne, biologiste et ancienne chercheuse Inserm, ont démontré également que la transmission de l’ARNm et de la protéine Spike issus des anciens vaccins Covid, des personnes vaccinées vers les non vaccinées était une réalité. Son travail a été soutenu et relayé au niveau international par le Dr Peter McCullough. Hélène Banoun détaille dans son article les processus d’excrétion et de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, transportés notamment par les nanoparticules lipidiques. Les voies d’excrétion de ces éléments, chez les personnes vaccinées, sont les fluides corporels (sueur, expectoration), l’inhalation, la peau, ainsi que par voie orale (via le lait maternel). Elle précise que le processus de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, chez les individus non vaccinés, passe également par ces mêmes voies (transcutanée et inhalation).

Bien que la technologie du “vaccine shedding” soit vraisemblablement déjà existante dans les premiers vaccins Covid, le lancement des nouveaux vaccins Covid sa-ARNm est loin d’être anodin. En premier lieu, cette nouvelle génération de vaccins tend vers la légalisation d’une vaccination de la population sans son consentement. Puisque si la transmission de ces nouveaux vaccins d’une personne à l’autre est confirmée, il suffirait de vacciner un faible pourcentage de la population pour en vacciner le plus grand nombre, comme cela se pratique depuis 20 ans sur les animaux sauvages.

En second lieu, les vaccins et thérapies géniques “sa-ARNm” apparaissent plus élaborés et puissants que les anciennes versions, puisqu’une dose réduite de produit suffit pour atteindre le même objectif de vaccination. Donc si les vaccins classiques favorisent la transmission d’un virus dit “atténué” auprès de la population non-vaccinée et si les vaccins à ARNm conventionnels transmettent l’ARNm synthétique et d’autres composants du vaccin, la nouvelle génération de vaccin “sa-ARNm” transmet quant à elle en plus l’ARNm auto-amplificateur synthétique.

L’inquiétude des scientifiques

Des médecins et des professeurs d’université japonais ont exprimé de sérieuses inquiétudes concernant les vaccins sa-ARNm.

Lors d’une conférence de presse, le Dr Murakami Yasufumi, professeur émérite à l’Université des sciences de Tokyo, a déclaré que le vaccin Replicon contre la souche mutante JN.1 prévu pour l’automne posait de sérieux problèmes:

Le vaccin Replicon est un vaccin auto-amplifiant, créé par génie génétique (ARNm) que l’humanité n’a jamais connu auparavant.

Le Dr Murakami a demandé que le vaccin ne soit pas lancé tant que sa sécurité n’a pas été confirmée.

Le 12 septembre dernier lors d’une autre conférence de presse, c’est le député japonais Ryuhei Kawada qui a exprimé son profond scepticisme quant au lancement en octobre du vaccin ARCT-154 auprès de la population japonaise âgée de plus de 60 ans.

Ce député a également souligné le besoin urgent d’arrêter le déploiement de ce vaccin. Il a également rappelé la nécessité d’une enquête approfondie sur les effets indésirables des vaccins expérimentaux à ARNm déjà existants. Il a insisté sur la transparence de la part des responsables de la santé publique, affirmant la nécessité de:

Garantir une enquête et une vérification approfondies pour apporter un soulagement aux victimes du vaccin à ARNm qui ont subi un préjudice important.

Pendant la conférence de presse, Mika Tsutomi, journaliste et auteure internationale de renom, a noté les conflits d’intérêt existants au sein du ministère de la Santé japonais qui a approuvé le lancement du vaccin ARCT-154 :

En examinant les membres du Conseil des affaires pharmaceutiques (du ministère de la Santé) en novembre dernier, 3 membres sur 16 ont des liens commerciaux avec des sociétés pharmaceutiques.

Le Dr Yasufumi Murakami a averti que si le déploiement du vaccin Replicon se déroule comme prévu:

En octobre, le Japon a le potentiel de déclencher une catastrophe mondiale.

Avec l’approbation des vaccins sa-ARNm, le Japon se situe au cœur de la controverse qui entoure ces nouveaux produits, tandis que de plus en plus de scientifiques font entendre leur voix pour réclamer le besoin urgent de transparence et de responsabilité.

Source : Essentiel News

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