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« SOS Effets Indésirables Vaccins » : une initiative pour écouter et soutenir les victimes

Source : lemediaen442

Marisa et son équipe lancent une plateforme d’écoute pour les victimes d’effets indésirables des vaccins. Cette initiative, née de l’écoute des besoins réels des personnes affectées, vise à offrir un espace sécurisé où les victimes peuvent exprimer leurs souffrances sans jugement.

Une oreille attentive pour ceux qui souffrent en silence des effets indésirables des vaccins.

La plateforme, accessible au 09 72 129 808 ou par email à sos.ecouteei@proton.me est opérationnelle de 10h à 22h à partir du 6 janvier 2025. Les bénévoles, formés par des psychologues, assurent une écoute bienveillante et orientent les appelants vers des associations de victimes et des ressources locales.

Cette initiative, financée par les bénévoles eux-mêmes, espère recevoir des dons pour améliorer ses services. Marisa souligne l’importance de l’écoute empathique comme premier pas vers la guérison, et appelle à la solidarité pour soutenir cette cause essentielle.

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6/1/25 : procès Von der Leyen, il est temps de mettre une ultime pression!

Source : Senta Depuydt

Cette fois j’y serai! Merci de partager l’information, y compris à vos amis européens, ceci nous concerne tous!

Frédéric Baldan, Notre Bon Droit, le parti germanophone « Vivant », la Pologne, la Hongrie et plus de mille parties civiles citoyennes ont intenté un procès contre Ursula Von der Leyen, dans le cadre de la négociation des contrats Pfizer et BioNtech, pendant la crise Covid. Le 6 janvier 2025 un jugement devrait enfin être prononcé.

L’action a été introduite auprès des tribunaux belges et devrait normalement pouvoir être jugée par la justice de notre pays. Mais l’EPPO, le parquet de justice de l’Union européenne tente de s’immiscer dans ce procès pour forcer nos juges à leur transmettre l’affaire. Si la Belgique se dessaisit au profit de l’UE, les plaignants perdront leur chance. Si, au contraire elle confirme sa compétence, l’action pourra poursuivre son cours et d’autres plaignants de différents pays pourront encore venir grossir les rangs des indignés.

L’audience de ce 6 janvier est donc d’une importance capitale.

Venez nombreux manifester votre présence.


Rappel:

En avril 2023, le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile auprès du tribunal de Liège contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour des actes graves et potentiellement illégaux dans la gestion des contrats de vaccins COVID-19.

Pourquoi cette plainte ?

En avril 2021, des révélations ont indiqué que Mme von der Leyen aurait négocié directement, sans mandat explicite des États membres, un contrat d'achat de vaccins avec le groupe Pfizer, représentant des milliards d'euros. Ces négociations, menées via des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ont été critiquées pour leur manque de transparence. De plus, la suppression présumée de ces SMS soulève des questions sur la destruction de documents publics. 

Ce que cela signifie :

L’Office du Procureur Européen (EPPO), chargé de lutter contre la fraude affectant les intérêts financiers de l’UE, a déclaré lors d’une audience publique qu’aucune victime identifiable ne pouvait être déterminée dans cette affaire, rendant les faits difficiles à établir juridiquement. Cette position néglige une réalité fondamentale : nous, citoyens européens, sommes les victimes directes de ces décisions opaques, quel que soit notre statut vaccinal.

En devenant plaignants, nous affirmons que ces agissements nous ont lésés collectivement :

• Nos impôts ont financé des contrats passés dans des conditions opaques, contraires aux principes de bonne gouvernance.

• Nous avons été soumis à des décisions sanitaires contraires aux droits fondamentaux et à la Charte des Doits fondamentaux de l’UE, ainsi qu’à des décisions financières prises sans transparence ni concertation.

• Notre confiance envers les institutions européennes, garantes de la démocratie et de la justice, a été profondément ébranlée.

Un appel à tous les citoyens de l’UE

Cette plainte, initiée en Belgique, dépasse nos frontières nationales : elle concerne tous les Européens. En élargissant cette action à l’échelle de l’Union, nous pouvons démontrer que les citoyens européens refusent de rester passifs face à des abus qui affectent leurs droits, leurs finances et leur santé.

Ce que nous demandons :

La tenue d’une enquête pénale indépendante des institutions de l’UE:

Nous exigeons qu’une enquête approfondie et impartiale soit menée pour faire toute la lumière sur les actes reprochés à Ursula Von Der Leyen et aux responsables impliqués. Cette enquête doit garantir la transparence et répondre aux attentes des citoyens européens.

La contestation de la légitimité de l’EPPO pour ce dossier :

Bien que l’Office du Procureur Européen (EPPO) soit officiellement chargé de la lutte contre les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l’Union, nous remettons en question sa capacité à traiter ce dossier pour plusieurs raisons :

o Conflit d’intérêts institutionnel : L’EPPO est étroitement lié aux institutions européennes, ce qui soulève des doutes sur sa capacité à enquêter de manière indépendante sur des faits impliquant la présidente de la Commission européenne, l’une des figures centrales du pouvoir exécutif de l’UE.

o Position de l’EPPO lors d’une audience publique : L’EPPO a déclaré qu’il n’existait « aucune victime identifiable » dans cette affaire, une affirmation que nous contestons fermement. Chaque citoyen européen, quel que soit son statut vaccinal, a été de à la transparence démocratique.

o Les limites des missions de l’EPPO : Les compétences de l’EPPO se concentrent sur les fraudes affectant le budget européen. Or, dans ce dossier, les contrats de vaccins ont été honorés financièrement par chaque État membre, individuellement, et non par un financement direct de l’Union européenne. Ursula Von Der Leyen elle-même l’a admis : pas un euro du budget de l’UE n’a été utilisé pour ces contrats. Cela rend inadaptée la juridiction de l’EPPO pour traiter ces infractions potentielles.

Ensemble, nous avons la responsabilité de protéger nos droits fondamentaux mais aussi un modèle de société qui replace la justice, la transparence et l’équité au centre de la gouvernance. Ce n’est qu’en nous mobilisant que nous pourrons exiger des comptes et restaurer la confiance dans nos institutions.

Rejoignez-nous et rejoignez Frédéric Baldan pour défendre nos droits face aux lobbies pharmaceutiques.

Voir aussi France-Soir : 📽UrsulaGates : en plus des plaintes visant Ursula von der Leyen, Frédéric Baldan et Diane Protat annoncent lors de leur conférence de presse avoir porté plainte contre Laura Kövesi, cheffe de l’EPPO, le parquet européen.

Collectif Action 200 Belgique…les 200 plaignants sont aujourd’hui plus de 1000

Bref rappel des faits dans un ancien article ici.

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Consentement libre et éclairé : les réponses de Maitre Joseph

Source : Profession Gendarme

De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna).  Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection.  Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.

De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.

Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.

Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.

PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?

Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.

1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :

Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :

« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;

Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;

Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :

« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»

2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :

Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;

3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :

Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »

Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.

L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.

Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.

En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :

« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »

PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?

Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».

Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !

Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.

Nous entendons ainsi :

– Tous les bénéfices du « vaccin » ;

– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;

– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.

Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!

PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?

Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :

Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.  

Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :

« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;

Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.  

PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?

Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée. 

Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382). 

Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique) 

PG : Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?

Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :

Ainsi, il incombe à l’injecteur :

A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;

B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.

PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?

Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.

Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.

En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.

Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».

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Pétition pour une abrogation des obligations vaccinales sur le site du Sénat

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Nous portons à votre connaissance les faits suivants :
I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.

Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »

Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?

Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.

II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.

Dans la première, la HAS préconise que :
– « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.

– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »

– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.

Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que :
– les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues,
– « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.

Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.

III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux.
– L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré.
– Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a
commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.

IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant :
• Bordetella pertussis ;
• Haemophilus influenzae ;
• Leptospira icterohaemorrhagiae ;
• Neisseria meningitidis ;
• Salmonella typhi ;
• Streptococcus pneumoniae ;
• Virus de l’encéphalite japonaise ;
• Virus de la fièvre jaune ;
• Virus de l’hépatite B ;
• Virus des oreillons ;
• Virus de la poliomyélite ;
• Virus de la rougeole ;
• Virus de la rubéole ;
• Virus de la vaccine »

Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole),
deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.

En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que :
« Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent :
2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ;
3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ;
5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.

La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »

Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.

Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.

Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations
Info Vaccins France

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000036358484
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000036543886
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424589/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-1er-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424586/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationspour-les-etudiants-et-professionnels-des-secteurs-sanitaire-medicosocial-et-en-contacts-etroitsavec-de-jeunes-enfants
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456352/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-2nd-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456351/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationsvaccinales-des-professionnels
https://ansm.sante.fr/actualites/decision-du-07-09-2023-portant-inscription-sur-la-liste-i-dessubstances-veneneuses-definie-a-larticle-l-5132-6-du-code-de-la-sante-publique
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042654763

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Mélanie Maupas, touchée par la maladie de Charcot, enfin reconnue comme victime du vaccin Pfizer anti-Covid par la pharmacovigilance

Source : Nexus

Nous avions interviewé Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer, pendant les Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées à Vierzon en février 2023. Nous découvrions alors AAVIC TEAM, l’association dont elle est la vice-présidente aux côtés de son papa Alain, avec qui nous nous sommes entretenus. Il nous a annoncé qu’après plusieurs années, Mélanie a enfin été reconnue comme victime de l’injection anti-Covid par la pharmacovigilance française. Mais le combat n’est pas fini…

◆ De l’errance médicale et du déni

En 2022, Mélanie Maupas partageait son effroyable expérience sur la page Facebook de l’association Verity France après sa deuxième injection anti-Covid. Il a fallu un an et demi d’errance médicale avant que le diagnostic ne tombe : “Ce lundi 7 novembre 2022, le diagnostic tombe. On m’annonce que j’ai la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou plus connue, la maladie de Charcot. L’annonce a été brutale pour moi, ma famille et mes amis… À ce jour, il n’y a que ma jambe droite qui n’est pas touchée… La neurologue me dit que cette maladie est tombée du ciel, ce n’est pas l’injection, mais il faut quand même que je déclare mes symptômes à la pharmacovigilance… Logique ?

◆ Un chemin courageux parsemé d’épreuves

Le parcours d’un malade qui souhaite informer l’État français des effets secondaires potentiellement liés à un médicament peut être littéralement semé d’embûches administratives et juridiques, en plus des symptômes de la maladie. “Au départ, Mélanie a fait elle-même une déclaration auprès de la pharmacovigilance. Elle n’a eu aucun retour. C’est grâce à l’association Solidekla qui aide les malades à monter les dossiers. Un médecin a envoyé le dossier de Mélanie à la pharmacovigilance, avec une vingtaine de rapports de médecins, des scanners, IRM, analyses de sang, etc.”, nous explique Alain Maupas.

◆ Un lien de causalité difficilement envisageable

Rares sont les soignants qui osent écrire ce qu’ils pensent tout bas. Il faut dire que les représailles en France contre ceux qui ne suivent pas la doxa peuvent être féroces. Alain poursuit : “Hormis celui de la pharmacovigilance, aucun médecin ne s’est aventuré à rédiger un rapport faisant officiellement un lien de causalité entre le vaccin et l’état de Mélanie. Ils n’ont pu qu’écrire que ‘suite à l’injection, Mélanie est tombée malade’, mais pas que ‘Mélanie est tombée malade à cause du vaccin’.” “La pharmacovigilance a donc gravi une marche et enfin reconnu l’évidence. Cela nous motive à continuer, et voulons que la France suive le même chemin que l’Allemagne, l’Angleterre ou la Belgique en reconnaissant davantage les erreurs commises pendant la crise sanitaire et les effets secondaires des injections anti-Covid, tout comme ceux du Covid lui-même.

⇒ Voir notre entretien avec Mélanie Maupas en février 2023 à Vierzon :

◆ Une victoire mais encore beaucoup à faire

Deux ans plus tard, après un parcours juridique éprouvant, “Mélanie a enfin été reconnue comme victime du vaccin Comirnaty de Pfizer par la pharmacovigilance il y a un mois et demi environ”, comme nous le rapporte son papa Alain Maupas. “C’est la deuxième personne de notre association à l’avoir été, mais c’est encore trop peu. Dans l’association, nous comptons 22 personnes touchées par la maladie de Charcot encore en vie. Deux sont déjà décédées et celles qui vont de plus en plus mal aujourd’hui sont toutes âgées entre 21 et 50 ans. Dans le service neurologique d’un grand hôpital, ils m’ont confié sans pour autant pouvoir me l’attester par écrit par peur de poursuites, que le nombre de cas de maladies de Charcot auxquels ils font face a augmenté de plus de 20 % entre 2021 et 2022, et de 22 % entre 2022 et 2023. Aujourd’hui, ils font état de plus 800 patients atteints par cette maladie en deux ans, du jamais vu dans ce service.

◆ Une procédure en cours

Lorsque nous demandons le document officiel de pharmacovigilance à Alain, il nous répond ne pas pouvoir nous le fournir à la demande de son avocat, Régis Senet, puisqu’une procédure juridique est en cours. “Nous allons porter plainte contre X au civil et ce document de pharmacovigilance sera ajouté au dossier. Il ne peut être pour l’instant divulgué. Le dossier de Mélanie Maupas sera envoyé sous peu avec une vingtaine d’autres dossiers e au procureur.

Après avoir été reçus au Parlement, nous devions être reçus par le ministre de la Santé, notamment grâce au soutien du député Yannick Monnet, mais il y a eu la dissolution. Puis, alors que nous attendions la réponse de la nouvelle ministre, le Premier ministre, Michel Barnier, est parti. De quoi retarder à nouveau l’échéance. À croire qu’ils le font exprès, qu’ils sentent le vent tourner et qu’ils ne veulent pas faire face à leurs responsabilités.”.

Mélanie Maupas pendant l’été 2023

◆ Un état de santé de plus en plus fragile

Quand nous l’avions rencontrée en février 2023, Mélanie arrivait encore à se déplacer elle-même en fauteuil roulant. Aujourd’hui, même si elle garde son sourire, elle passe la plupart de son temps alitée et ne supporte pas la position assise très longtemps. Alain nous confie, ému : “Son état se détériore. Nous venons d’avoir rendez-vous pour son protocole de fin de vie… Elle ne peut plus rien faire seule, comme je le lui ai dit récemment, elle est redevenue mon bébé.

Mélanie a pourtant essayé une multitude de remèdes, qu’ils soient allopathiques ou non, testés et approuvés ou en cours d’étude. “Mélanie a notamment essayé le traitement expérimental Himalaya qui était voué à faire stagner la maladie ou mieux. Nous avons eu un gros espoir, car cela fonctionnait bien pour notre fille qui faisait partie du panel de 387 patients. Mais comme il y a eu parmi eux des cas d’effets secondaires, et alors que Mélanie elle n’en a eu aucun et souhaitait le poursuivre, ils ont ‘selon la loi’ arrêté le protocole d’essai ! Quand il s’agit d’un essai vaccinal sur la population, on ne prend pas autant de précautions !” s’indigne Alain. “II y aura bientôt un nouveau traitement à partir des cellules du corps du patient qui va être expérimenté à Lille, mais comme nous habitons dans le Sud, Mélanie ne pourra le tester alors qu’il semble très prometteur.

◆ Des victimes esseulées à aider

Nous sommes là pour notre fille, elle est notre priorité. Nous avons investi sans regret nos économies pour que la maison lui soit accessible et pour tous ses frais de santé et juridiques. Certaines victimes, en revanche, ne sont pas entourées et se retrouvent seules dans une grande souffrance physique et psychologique. Avec l’association, nous faisons du mieux que nous pouvons pour les aider, mais comme l’association ne pourra défiscaliser les dons que dans un an, beaucoup de gens qui aimeraient donner ne donnent pas alors qu’il y a un grand besoin.”

Comme le lui ont expliqué certains médecins, même si cette maladie est très souvent incurable, il arrive qu’il se produise des guérisons soudaines, inexpliquées et définitives. Nous ne pouvons que souhaiter à Mélanie que cela lui arrive, elle qui se bat du mieux qu’elle peut contre la maladie, les autorités qui ne veulent pas reconnaître leurs erreurs et pour les autres victimes comme elle…

Pour connaître l’association AAVIC TEAM et adhérer : https://aavicteam.com/

Mélanie Maupas, touchée par la maladie de Charcot, enfin reconnue comme victime du vaccin Pfizer anti-Covid par la pharmacovigilance Lire la suite »

Interview de maître Joseph sur les nouveaux ARN messagers notamment ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants et leur utilisation actuelle sur les canards et les poules et peut-être bientôt sur les humains

Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).

PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?

J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.

Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.

Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.

Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…

Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :

QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :

L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).

Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).

Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.

Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.

D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.

Questions 1:

Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 2 :

Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?

Question 3:

Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?

Question 4:

Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?

Question 5 :

Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 6 :

Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?

Question 7 :

Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?

Question 8 :

Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?

La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)

Je rappelle que :

L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :

« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »

L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :

Interventions sur le génome humain

« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »

L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »

Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.

L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.

Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.

A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X

C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y

Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.

Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.

Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.

De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.

Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?

Quel était le but des fabricants de ces injections ?

Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?

Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.

Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.

Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !

Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.

Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).

Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).

Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.

C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !

Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.

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Le livre qui révèle tout sur les dessous de l’affaire des SMS de Pfizer !

Une plainte pénale avec constitution de partie civile est déposée dans les mains du juge d’instruction liégeois Frédéric Frenay par le lobbyiste Frédéric Baldan. Fait sans précédent, elle est à charge de la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Les préventions soulevées ?
Corruption, prise illégale d’intérêts, destruction de documents administratifs et usurpation des titres et fonctions. En cause, la négociation secrète par textos échangés entre la Présidente et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. L’enjeu, le droit à la transparence et les 35,1 milliards d’euros offerts sur un plateau à Pfizer.
Alors qu’il réclame la suspension des commissaires pour violation de leur code de bonne conduite, c’est la Commission von der Leyen qui finit par radier l’accréditation de lobbyiste de Frédéric. Une manœuvre de rétorsion évidente contraire à la directive de l’UE qui protège les lanceurs d’alerte — en théorie.
Pourquoi la Commission von der Leyen refuse-t-elle obstinément de rendre publics ces contrats ? Quels sont les principaux lobbys de la crise COVID ? Comment ont-ils infiltré les institutions ? Dans quel but ? Comment Ursula von der Leyen a-t-elle été compromise ? Qu’est-il advenu de nos données de santé et de nos droits fondamentaux à l’occasion de cette crise ?
Dans son ouvrage, Frédéric Baldan expose les secrets de l’industrie du lobbying afin que nous accédions à l’information et puissions nous réapproprier les moyens de reprendre le contrôle de nos vies. Des mots de l’auteur lui-même, ce livre met en évidence des éléments que la Police judiciaire n’a pas eu les moyens d’identifier par elle-même. Notamment, il y révèle le nom du grand cabinet de lobbying ayant “vendu” la guerre du Golfe et qui a été chargé par Pfizer de travestir la science.

L’interview de Frédéric Baldan par André Bercoff sur Tocsin.

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covid : nouveau rapport aux USA et nouvelles révélations

Un nouveau rapport choc de plus de 500 pages aux USA, émit par la Chambre des représentants révèle l’origine artificielle du Covid-19, l’échec des politiques sanitaires et les dissimulations crapuleuses des responsables…

Une interview de Louis Fouché sur Tocsin et dont la pensée toujours aussi fluide nous apporte un autre éclairage plus mitigé sur ce ce rapport.

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Le système de santé de Singapour est-il confronté à une crise ? L’oncologue le plus expérimenté de Singapour tire la sonette d’alarme

Source

« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »

Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.

Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.

En 2020, Temasek, la société d’investissement gouvernementale de Singapour, a investi 330 millions de dollars singapouriens (250 millions de dollars américains) dans la société de biotechnologie allemande BioNTech, qui développait un vaccin expérimental contre le coronavirus en partenariat avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Que sont exactement ces vaccins à ARNm ?

En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.

Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.

En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.

En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.

La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.

Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.

Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.

Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.

Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.

– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024

Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour.
Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 .
Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.

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Revirement sur l’enseignement de la théorie du genre à l’école

Source : Essentiel.News

L’intervention au Sénat du ministre délégué à la réussite scolaire force le gouvernement français à faire marche arrière.

Le quotidien français Le Monde a relaté la nouvelle la semaine dernière sans faire preuve de la déontologie dont il se targue pourtant. Sa journaliste Sylvie Lecherbonnier écrit en effet, à la fin de son premier paragraphe: «il n’existe pas de théorie du genre, vocable utilisé comme repoussoir par un courant réactionnaire, mais des études sur le genre.»

Cette affirmation, outre le fait qu’elle est ouvertement et manifestement fausse, a sans doute été imaginée pour décrédibiliser, aux yeux de ses lecteurs les moins avertis, le discours historique du ministre français délégué à la réussite scolaire, Alexandre Portier, devant le sénat français le 27 novembre dernier.

Dans son discours, sous les exclamations indignées d’une partie de l’assemblée, et avant d’être interrompu dans son élan, M. Portier, ministre de 34 ans, normalien et professeur de philosophie, explique:

L’école a pour mission de protéger nos enfants et en même temps de les aider à construire leur jugement par eux-mêmes. […] C’est aussi pour ça qu’il est évidemment hors de question de laisser faire tout et n’importe quoi. Je vous le dis à la fois comme élu mais aussi, comme beaucoup ici, en tant que père de famille, ce programme, en l’état, n’est pas acceptable, et il doit être revu. […]

Premièrement, je m’engagerai personnellement pour que la théorie du genre ne trouve pas sa place dans nos écoles, parce qu’elle ne doit pas y avoir sa place. Deuxièmement, le militantisme n’a pas non plus sa place dans nos écoles. […]

Voici la vidéo de son intervention ci-dessous, qui a fait suite à une tribune sénatoriale signée par 100 sénateurs sur le sujet.

Théorie du genre

Pour rappel, la théorie du genre stipule en substance que le sexe biologique est secondaire – voire anecdotique – dans l’identité individuelle des êtres humains, et que la façon dont les individus décident de s’autoproclamer supplante largement, dans la définition de ce qui constitue un «homme» ou une «femme», la génétique ou les organes reproducteurs.

La conséquence logique et naturelle de cette théorie est notamment qu’il est tout à fait possible que des hommes tombent enceintes; ce que les théoriciens du genre revendiquent effectivement, bien qu’une telle conclusion falsifie rigoureusement leur théorie, reductio ad absurdum.

Ainsi, la théorie du genre est combattue par beaucoup de féministes, qui affirment que cette idéologie réduit les femmes à une série de stéréotypes caricaturaux; selon elles, il ne suffit pas par exemple de s’habiller en rose, de porter des talons aiguilles et de déambuler avec déhanchement pour être une femme; ou qu’un homme biologique ne peut pas, en réalité, être une lesbienne.

En substance, ces féministes revendiquent une appellation d’origine contrôlée pour les femmes.

C’est donc une alliance hors norme entre les féministes et les conservateurs qui s’oppose en ce moment, en France et dans le monde, à ce que la théorie du genre soit imposée aux enfants. Ils qualifient cette idéologie d’obscurantiste, et refusent de voir les écoliers y être exposés.

Le gouvernement français fait marche arrière

Suite à la tribune sénatoriale et au discours d’Alexandre Portier, le gouvernement français a décidé de faire marche arrière. Selon les médias, l’entourage d’Anne Genetet, ministre de l’éducation nationale, affirme désormais que la théorie du genre ne figurera pas dans la version définitive du programme scolaire.

Selon les informations du Monde, avant ce revirement, la direction générale de l’enseignement scolaire travaillait encore sur une version qui intégrait cette notion au programme dans le cadre de la «lutte contre les discriminations.»

Ce revirement a produit les exclamations indignées de plusieurs associations militantes, dont par exemple la Civiise, qui prétend pourtant agir contre les violences sexuelles faites aux enfants. Elle a publié un communiqué indiquant que «jamais le besoin d’instruire les enfants de manière progressive et ajustée à leur âge et de leur permettre de comprendre les enjeux de la vie affective et relationnelle, de l’intimité, du consentement, n’ont été plus évidents et consensuels.»

Pour en savoir plus

Essentiel News a eu l’occasion de traiter de ce sujet à de nombreuses reprises, notamment pour mettre en lumière les mutilations irréversibles que l’idéologie du genre fait subir aux enfants, les scandales qui en découlent, et la multiplication des appels à la prudence sur ce sujet.

Pour creuser encore davantage la thématique, notamment pour ce qui concerne la Suisse romande, ci-dessous figure une vidéo faisant intervenir Vanessa Van der Lelij et Diego Bischof, respectivement présidente et vice-président de l’ACPS, le Collectif Parents Suisse.

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Vaccinations et guerres bactériologiques ou de Caffa à Gaza : une série de conférences appréciées du Dr Jean-Pierre Eudier dans le Dauphiné

« Avant 1914, déjà, Auguste Trillat étudiait comment diffuser au mieux une épidémie… Éminent chercheur, il mettra sa science et son ingéniosité au service de l’armée pendant la Grande Guerre. » Étienne Aucouturier1

« Une partie du monde a été vacciné par du vaccin tué, inactivé, et une autre partie a été vaccinée par du virus vivant, et ce virus, quand il s’est retrouvé dans l’intestin, s’est mis d’accord avec d’autres virus dans l’intestin qui étaient très proches et on l’a très bien vu avec le Covid, qui s’est recombiné avec d’autres virus qui étaient dangereux et qui f**t des polyomiélites. Celui qu’il vient d’y avoir à Gaza n’est pas un virus naturel. Le virus de la polyomielite de Gaza est un virus vaccinal. Il y a actuellement trente fois plus de polyomiélites qui sont dues à du virus vaccinal qu’à du virus naturel. » Pr. Didier Raoult, le 9 septembre 2024 sur Cnews.

«Je cherche d’abord à comprendre les questions.»

Accueilli par des membres et sympathisants et des collectifs locaux, le Dr Jean-Pierre Eudier, président d’honneur de la Ligue depuis que sa collègue Martine Gardenal lui a succédé au titre de présidente, a effectué un voyage apprécié en Dauphiné en cette fin septembre, donnant trois conférences à l’occasion de la sortie du livre collectif de la Ligue Liberté sous surveillance (éd. Marco Pietteur). A Grenoble, il a été accompagné du chercheur Dominique Labbé, co-auteur de l’ouvrage collectif de référénce Un nouveau regard sur le Covid 19 (Ed. Demi-Lune, 2024).

Gap, ville élue il y a quelques années numéro un pour la qualité de vie en France, Voiron aux portes de la Grande Chartreuse et son élixir des Pères chartreux, Grenoble, berceau de la Révolution française mais aussi laboratoire élu de nombreuses innovations technologiques et sociales aux effets parfois ambigus tels que houille blanche, syndicat d’initiative, planning familial, informatique, intelligence artificielle, énergie atomique, nanotechnologies et transhumanisme, et plus récemment l’écologie deux point-zéro, le clientélisme et les indulgences communautaristes de la mairie ELVV d’Eric Piolle. Le Dauphiné fut autrefois donné au futur roi de France, d’où l’expression Dauphin. Le lien avec le mammifère marin venant de l’expression qui vint spontanément au roi lorsqu’il vit son fils encore enfant venir vers lui. Aimant à affubler Jean-Pierre du qualificatif de roi de France, en raison de la légitimité historique de la Ligue, de la noblesse de son combat pour l’Humanité, et de l’aspect «sacré» pour les corps et les esprits que ce combat revêt, je ne pouvais m’empêcher de faire ce rappel qu’il me pardonnera certainement, comme les lecteurs…

Jean-Pierre Eudier aime à dire: «Je cherche à comprendre les questions.» C’est en effet par l’analyse de toutes les interrogations simultanées que pose un phénomène, une épidémie, que les réponses arrivent souvent. La pensée complexe d’Edgar Morin, c’est aussi cela.

Voyageur né ayant dès l’âge de 17 ans réalisé deux tours d’Europe en auto-stop, Jean-Pierre a toujours aimé rencontrer les hommes, ressentir les terres, comprendre l’histoire en train de se faire.

Un parcours au plus près de l’Histoire

C’est pourquoi, le connaissant depuis bientôt quatre ans et l’ayant interviewé plusieurs fois, j’ai voulu que son témoignage de vie, avec ses rencontres, ses voyages, ses prises de conscience et ses rendez-vous avec l’Histoire qui nous a menés jusqu’au point de bascule actuel, et dont les vaccins pointent la direction, soit le fil de ses interventions.

Selon Hegel, les grands hommes font l’Histoire, vecteurs de la Raison cherchant à se réaliser à travers l’Humanité, une raison confisquée et amputée de son âme aujourd’hui qui enfante des monstres. Pour Marx, ce sont les peuples, acceptant ou pas la domination de ceux qui possèdent l’argent, le capital. C’est dans la coopération des deux qu’est le salut.

De son côté, Jean-Pierre avait clairement décidé d’orienter sa prise de parole sur le rapport étroit entre vaccins et guerres bactériologiques. Or, ce qui pourrait apparaître comme le summum du complotisme, y compris pour des vaccino-sceptiques informés se révèle en réalité irréfutable, à la vue de la succession chronologique des faits, année après année, de leur convergence et de la direction claire qu’il s’en dégage.

A la manière dont on relie par des lignes les numéros d’un jeu pour enfant, un dessin et dessein d’ensemble apparaît clairement au fur et à mesure de l’exercice. Des décisions impliquant des populations entière ne peuvent être prises que par de gens extrêmement puissants, connus ou pas. Et encore une fois l’inentendable suit autant l’innommable que le silence des témoins. La Dr Simone Delarue, épouse de Fernand Delarue, ancien président de la Ligue et elle-même présidente jusqu’en 1992, avait publié en 1990: Vaccinations et guerre biologique. Un livre à lire absolument, qu’il serait bien trop long de résumer ici.

De l’empoisonnement des puits à la guerre bactériologique moderne

Le Dr Eudier a d’abord rappelé que l’empoisonnement des puits ou la projection de cadavres contaminés dans des villes assiégées faisaient partie des techniques de guerre dès l’Antiquité, poursuivies au Moyen-Âge par les Turcs à Caffa en Crimée, ou par les couvertures souillées de variole offertes aux Indiens d’Amérique du Nord par les colons anglais au XVIIIème siècle.

Puis, entrant dans la pépriode moderne et préventive, il a cité la vaccination des enfants de Louis XVI par l’inoculation de la vaccine, maladie bénigne commune aux vaches et aux humains, et Jenner, Anglais ayant travaillé sur le pis des vaches à l’extrême fin du XVIIIème siècle pour immuniser les population contre la variole. Enfin celle, peu convaincante, des armées de Napoléon par Parmentier.

En 1923, après la Grande Guerre, on interdit les armes bactériologiques et chimiques à des fins offensives, mais pas préventives ou défensives, et c’est le début de toute une recherche au sein de laboratoires comme Porten Down en Angleterre, et la guerre chimique menée par le Japon contre la Chine en Mandchourie dans les années 30. La fin de la première Guerre mondiale voit lui succéder la Grippe espagnole après une grande campagne de vaccinations et juste avant l’avènement du fascisme italien en 1922 avec la marche sur Rome. C’était il y a précisément un siècle. Guerres, épidémies, crises économiques: un excellent moyen pour le contrôle des nations à travers les stratégies du choc.

Après la deuxième Guerre mondiale, une date fondamentale est 1969 aux États-Unis où le ministère de la Défense demande aux scientifiques le temps et le prix nécessaires à l’élaboration d’un virus contre lequel il n’y aurait pas de parade. La réponse est « dix ans de recherche et millions de dollars.» Beaucoup de recherches dans ce sens furent dissimulées sous la recherche contre le cancer, voire celle d’un vaccin anticancéreux. En 1972, un nouvel accord sur les armes bactériologiques est négocié entre les États-Unis et l’Union soviétique. C’est à cette période-là, en 1976, qu’Ebola, issu des manipulations du laboratoire de Porten Down en Angleterre, fait sa première apparition à la frontière entre l’Angola et le Congo belge – Zaïre ou Congo-Kinchasa – sous le règne de Joseph-Désiré Mobutu, avec un demi-millier de morts.

Il faut noter que les apparitions et disparitions d’Ebola, comme d’autres virus, furent souvent liées aux orientations politiques désirées, et préparées en haut-lieu dans les pays qui en furent le théâtre, comme les réunion de l’Event 201 et le déclenchement de la crise Covid quelques mois plus tard l’ont démontré.

L’épidémie de SIDA des années 80 au Zaïre et la rencontre de Leonard Horowitz

Les années 1978-1987 sont décisives pour le Dr Eudier: peu après l’évacuation du Vietnam par les Occidentaux, obligé de quitter le pays en guerre, il ouvre un cabinet de dentiste à Kinchasa et assiste à l’explosion de l’épidémie de SIDA suite à la campagne de vaccination contre la variole et rencontre Jonathan Mann, fonctionnaire du center for Disease Control (CDC) et de l’OMS, «homme charmant au demeurant», comme le dit l’expression, qui déclarera plus tard nous dit Jean-Pierre «Le SIDA a été semé, nous allons voir ce que nous allons récolter.»2Jonathan Mann disparaîtra en mer au large de la Nouvelle Écosse dans le vol Swissair 111 New-York-Genève du 2 septembre 1998.3

En 1992, après une mission humanitaire avec Médecins du Monde en Albanie, où il prédit la guerre avec la Serbie et l’exode sept ans plus tard, le Dr Eudier effectue une visite de l’Irak après sa défaite au Koweit, qui lui met la puce à l’oreille sur l’usage d’armes bactériologiques, mais l’éveil n’a pas encore eu lieu, si bien qu’en 1994 il effectue une autre mission en Côte d’Ivoire en coopération avec l’Allemagne pour réhabiliter le système vaccinal.

L’éveil se produit en 1998 lors d’un congrès dentaire aux États-Unis avec la rencontre de Léonard Horowitz4 et la découverte de livres sur les origines du SIDA en lien à la vaccinologie entre USA et Afrique noire. L’histoire de la recherche sur les virus lui apparaît indissociablement liée à la recherche militaire. Aidé par le Pr Beljanski, chercheur révolutionnaire et médecin personnel de François Mitterrand pour lutter contre son cancer, Jean-Pierre invitera le Dr Horowitz en France et traduira Emerging Viruses, AIDS and Ebola sorti le 10 décembre 2000 sous le titre La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, accidentel ou intentionnel ?

Les plus de quarante pays où il travailla ou œuvra sur le continent africain lui révélèrent l’incurie et l’irresponsabilité effrayante des programmes vaccinaux réalisés principalement en zones rurales avec des populations isolées, invisibilisées, comme en témoigne le programme de GAVI et son président Bill Gates sur les adivasis, les populations aborigènes de l’Inde «contre la poliomyélite» entre 2000 et 2017, provoquant, selon des médecins indiens relayés par Robert Kennedy Jr, d’innombrables cas de paralysies d’enfants. Il y eut également, révélés par la Pr Vandana Shiva, figure de proue de la lutte anti-OGM, des implants sous-cutanées primus par la Bill & Melinda Gates Fooudation permettant de réguler la fertilité féminine. Ce programme amena l’expulsion de GAVI du sous-continent.

Le détournement de l’action humanitaire, si bien qu’il décida en 1996 de se concentrer sur la vente de matériel dentaire dans le « Tiers-Monde » et l’Afrique, la santé passant en grande partie par les dents, avant de fonder Mecolux en 2004 à cet effet. Mais ces incessantes pérégrinations lui permirent aussi des rencontres décisives dans la compréhension des ressorts profonds de la marche du monde. Le climat, ignoré sciemment par l’industrie pharmaceutique, peut être aussi être systématiquement en cause dans la santé des peuples: en 2003, au cours d’un voyage au Burkina Faso où est en cours une campagne de vaccination imposée contre la méningite qui sévit au Sahel, il constate que c’est l’Harmattan, le vent qui dessèche la végétation comme les poumons – ayant conformément à la théorie des signatures de Paracelse, la forme d’arbres, nos bronches qui nous oxygènent étant nos branches – jusqu’à la maladie, qui en est à l’origine et qu’il s’agit avant tout de réhydrater les populations à commencer par les enfants.

Michel Georget et la présidence de la Ligue

En 2009, il est témoin au Tchad d’une série d’accidents vaccinaux et en 2014, c’est la seconde épidémie d’Ebola. L’Université Lafayette de Louisiane annonce un vaccin en mars 2017.

C’est la même année que le Dr Eudier rencontre son collègue le Pr. Michel Georget de l’Université de Tours, auteur de plusieurs livres sur les vérités indésirables des vaccinations. Celui-ci le pousse à accepter la présidence de la Ligue et en 2017, et Florence Wurtz entame une fidèle collaboration par des bulletins d’information réguliers.

Trois rencontres avec le Pr Montagné: en 1998 à l’Institut Pasteur à Paris, puis en 2019 avec le Dr Andrew Wakefield qui révéla le lien entre le vaccin ROR rougeole oreillons, rubéole et l’autisme infantile (documentaire Vaxxed, 2016), enfin en 2021 au Luxembourg où le professeur fut invité à prendre la parole. Le Dr Eudier salue le combat du Pr Perronne qui, après leur différend passé au sujet de la variole, et ce malgré ses études relativement anciennes et iconoclastes sur la maladie de Lyme, a récemment déclaré avoir été abusé des années durant par tout un système mêlant laboratoires, universités, journaux médicaux et pharmacovigilance.

Une actualité immédiate qui confirme partout l’Histoire et notre devoir de parole

Parmi les buts déclarés de l’intervention russe en Ukraine, outre la protection des populations russophones et russophiles du Donbass en raison du non-respect des accords de Minsk, il y a sa « dénazification » 80 ans après la « Shoah par balle » perpétrée par une armée ukrainienne en partie acquise aux Nazis en raison de la terrible répression et extermination par la faim exercée par les Soviétiques dans les années 20 et 30. Mais il y a aussi la mise hors d’état de nuire – nous l’espérons du moins – de plusieurs laboratoires d’armes biologiques, que les Américain et Anthony Fauci, fait docteur Honoris Causa de l’Université de Sienne en juin 2023, voudraient massivement rapatrier en Italie, terre inféodée à l’OTAN, aux multiples expérimentations sociales depuis sa défaite en 1945. La grande manifestation de Pesaro, le 1er mai 2023 et d’autres, à Trieste et ailleurs, ont fait connaître ce nouveau combat.

Les déclarations du Pr Raoult citées en début d’article ont-elles joué dans le verdict en appel du 2 octobre 2024 lui interdisant d’exercer la médecine pour deux ans – décision « de communication » selon lui-même étant donné qu’il ne consultait plus depuis des années ?

Aujourd’hui, informe le Dr Eudier, de nombreux états possèdent des armes bactériologiques. Il est de leur devoir de défendre les citoyens, et un sigle, NRBC, résume l’arsenal des défenses nationales : nucléaire, Rayonnement, bactériologique, chimique. Et il serait bien étonnant qu’elles n’aient jamais toutes été testées. Le problème, si tant est que les pouvoirs publics aient été par le passé plus vertueux dans leur tâche, est que tout ou presque est privatisé ou aux mains d’intérêts privés.

Nous l’évoquions en introduction, le décompte des faits et des dates trace, à l’instar des dessins enfantins constitués de numéros apparemment épars et incohérents, une silhouette toujours plus claire qui n’est pas du domaine des contes de fées. Plutôt du récit d’une Histoire qui se répète, donc entre mythe, actualité et science-fiction, l’âpre réalité humaine, tout simplement, où ni une bonne, ni une mauvaise action ou information ne furent jamais perdues pour certains. C’est dans l’ombre, et le petit nombre, des laboratoires, cabinets politiques, rédactions des journaux ou tables d’écrivains que l’histoire s’écrit, jouée ou révélée ensuite au grand nombre sur les murs de la caverne de Platon ou dans la pleine lumière. Virus et Vishnou ont la même étymologie : vis, la force, ce qui pénètre à l’intérieur des choses. Le dieu indien qui protège l’Univers s’incarne régulièrement sous formes d’avatars – descentes – pour la perte des méchants, le salut de la Terre, un nouveau tour de roue de l’Humanité, nous disent les écritures indiennes.

Il ne fait plus aucun doute, la chute de la natalité et de l’espérance de vie en Occident depuis 2021 le signalent officiellement, que les virus sont des armes de masse, tout comme les vaccins, dans la guerre qui nous fut déclarée le 16 mars 2020. Les mots des résistants en sont aussi. L’appel du 18 juin 1940 l’a démontré, tout comme le discours légendaire de Churchill, refusant la paix d’Hitler la même année, «mobilisa la langue anglaise et l’envoya au combat.» en même temps que son peuple. C’est la force du Logos qui ramène le Cosmos contre le Chaos. Il nous appartient, à la Ligue comme ailleurs, de continuer à redonner la mémoire et de rouvrir l’horizon, en continuant à témoigner de la réalité des faits, qu’ils soient historiques ou personnels, chacun à notre échelle.

C’est en visitant l’immense Inde en train, pendant plusieurs années, au contact des populations que le Mahatma Gandhi réveilla sa force tout aussi immense et libéra par «la force de la Vérité» le Sous-continent avec son compagnon Nehru et tous les anonymes. A la suite de la conférence de Voiron, une action commune avec tous les collectifs de la région a été décidée pour reprendre le dialogue public. Souhaitons que les voyages du Dr Eudier se multiplient partout.

François-Marie Périer

Signalons également touchant à notre sujet le remarquable travail de cet été 2024, sur les chemtrails, de Jean-Dominique Michel, Chemtrails : Crimes contre l’Humanité ou attrape-nigauds? à partir de sources scientifiques et de médias mainstream francophones et internationaux et du documentaire Vers un climat artificiel, de Jacqueline Roche.

1 https://guerremoderne.com/auguste-trillat-aux-origines-de-la-guerre-bacteriologique/?cn-reloaded=1

2 Nous n’avons pu à ce jour retrouver la référence

3 https://www.scientificamerican.com/article/weaponized-ebola-is-it-really-a-bioterror-threat/

4 https://drlenhorowitz.com/

Vaccinations et guerres bactériologiques ou de Caffa à Gaza : une série de conférences appréciées du Dr Jean-Pierre Eudier dans le Dauphiné Lire la suite »

Eric Cantona – Droigts

Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Là-bas aux 4 coins du monde
De tout l’univers à la ronde
Les procès des incendiaires volontaires
Jugés devant d’immenses parterres
De vieux loups affamés
Et de laides hyènes aux aguets
Justice universelle sous influence
Qui au delà du réel mène la danse
Pour que parfaitement tout roule
Et qu’un jour satisfaite soit la foule
Tout y est dans des coffres scellés
Avant que n’aient été prononcés
Du haut de leur biblique refuge
Les verdicts de messieurs les juges
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus
Les leur foutre au cul
Prison à vie, condamnation à mort
Tortures, supplices, humiliations encore
Pour ceux qui ne sont certes pas des anges
Soit mais faudrait-il que personne ne dérange
Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Tous nous donnent les preuves ici et là
De tout ce que nous savions pourtant déjà
La théorie du complot n’étant plus envisageable
Il est l’heure des comptes et de se mettre à table
Au lieu de ça ce sont les blonds, les brutes, les truands
Jugés par des corrompus armés jusqu’aux dents
Tous manipulés comme des marionnettes
De celles qu’on dégueule dans les toilettes
Des chiens qui aux ordres lèvent la patte
Des fifres que le pouvoir nourrit, des costards cravates
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus (bouffons)
Les leur foutre au cul (profond)
Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Tout est méthodiquement orchestré
Pour qu’au néant messieurs soient livrés
Ce sera bientôt chose faite
Les tortionnaires ont lancé leur requête
Les mêmes qui encore aujourd’hui
Quelles qu’en soient les idéologies
Et tant pis pour les massacres à foison
Autour de la table des négociations
Parlent sans scrupules de liberté
De paix et de ne rien oublier
Pendant que d’autres, de souffrances perpétrées
En tortures enchaînées
Peuvent crever enfin
Comme crèvent les chiens
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus
Les leur foutre au cul

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RKI files : la fuite et la suite

Voici l’intervention du Professeur Stefan Homburg au Bayerischer Hof (Munich) traitant de la mise en ligne par un lanceur d’alerte de données (10 Go) émanant de l’Institut Robert Koch (RKI), équivalent allemand de Santé Publique France, lors de la période covid et des atteintes liberticides qu’elle a engendrées. Cette fuite de documents confirme, sans équivoque, la soumission de la médecine et de la science aux plus hautes instances politiques.

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COVID-19 : le naufrage de la science

Dès le début de l’année 2020, le média en ligne https://infodujour.fr/ s’est demandé pourquoi un virus sorti de nulle part tenait la communauté scientifique en échec ? Pourquoi, dans leurs laboratoires, les chercheurs étaient désemparés face à ce microbe hérissé de pointes, au comportement erratique ? Pourquoi, dans les hôpitaux, les urgentistes étaient déconcertés par la grande variété des symptômes dont souffrent leurs patients Covid ? Pourquoi ne comprenaient-ils pas cette maladie ?

Infodujour.fr a interrogé de nombreux médecins et chercheurs dans le monde. Ils étaient -et sont encore- dans le brouillard. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés sous l’influence de puissants lobbies.

Pourquoi la science fondamentale et la médecine du 21ème siècle n’ont-elles pas compris ce qui se passait ? Où est la faille ?
C’est ce que nous avons voulu savoir en reprenant le fil des événements sur les trois années de la pandémie. Voici l’histoire de l’échec de la médecine et du naufrage de la science.

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La ministre néerlandaise de la Santé reconnaît que la politique pandémique est une opération militaire. « Le ministère de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV »

La nouvelle ministre néerlandaise de la Santé admet : « Nous devons suivre les ordres de l’OTAN, des États-Unis et de NCTV ; Le Covid est une opération militaire »

Source : europereloaded.com

La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a reconnu au Parlement que la politique néerlandaise en matière de pandémie se déroule « sous la direction du Coordonnateur national pour la sécurité, la lutte contre le terrorisme (NCTV) et la Défense » et doit se conformer aux « obligations de l’OTAN ». Ce faisant, elle a confirmé ce que des chercheurs tels que Cees van den Bos avaient révélé précédemment sur la base de documents du Wob (FOI) : la politique corona était un « coup d’État » de la NCTV.
Le médecin de famille Els van Veen dit qu’elle comprend enfin ce qui lui est arrivé, ainsi qu’à d’autres médecins critiques, pendant la crise du coronavirus : « C’était une opération militaire, le ministre de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV ».

Jeudi 24 octobre, Fleur Agema a eu une première : elle a été la toute première ministre de la Santé de l’histoire parlementaire à expliquer son action par des « obligations envers l’OTAN ». Et non pas une, mais six fois , comme l’a fait le député Pepijn van Houwelingen (FVD). Une vidéo de trois minutes, dans laquelle Agema explique à la Chambre que la préparation à une pandémie est liée aux obligations conventionnelles et que le service de renseignement NCTV en est le responsable, est devenue virale sur X. Van Houwelingen a immédiatement promis de répondre aux questions de la Chambre.

Agema a fait ces remarques lors d’un débat sur la « résilience ». Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie ». Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire, a-t-elle déclaré, ajoutant :

« Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous élaborerons un plan d’action au printemps. »

Elle a déclaré peu après avoir pris ses fonctions de ministre qu’elle avait été informée de la résilience et des engagements de l’OTAN :

« Depuis ce briefing, je suis avec mon ministère pour faire le point sur ce dont nous avons besoin pour respecter ces engagements de l’OTAN. Nous le faisons sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères sont impliqués dans ce domaine. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience des soins, et c’est effectivement le cas. Elle a ajouté : « Vous voulez disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions eu face à la crise du coronavirus. »

L’un des premiers à commenter l’apparition d’Agema sur X fut le chercheur de Woo, Cees van den Bos. Sous le titre « le coup d’État », il a qualifié la NCTV de « bamiluk » de l’OTAN : (ER : Merci à son collègue néerlandais Michel van der Kemp d’avoir trouvé « coup d’État » comme traduction probable de « bamiluk »).
« Ce pays ne sera libre que si la NCTV est complètement supprimée et si ce genre de gouvernement fantôme ne reprend plus jamais pied. C’est le plus grand obstacle qui s’oppose à une démocratie », a-t-il déclaré.

Il a ajouté qu’il n’y a aucun contrôle sur NCTV :

« NCTV a carte blanche, comme cela a été démontré pendant le corona. »

Selon Van den Bos, ceux qui pensent que le coronavirus est terminé (« arrêtons d’en parler ») attendent une nouvelle « confrontation à la réalité ». Il a remercié Agema pour sa « franchise ».

Van den Bos avait précédemment souligné – également dans ce journal – que NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus, en la personne de Pieter-Jaap Aalbersberg, qui avait succédé à Dick Schoof à la tête de NCTV début 2019. Fin 2022, Van den Bos a accusé la NCTV d’avoir commis un « coup d’État ». La gestion de la crise était presque partout entre les mains des services militaires et de renseignement, et dans notre pays, elle incombait à la NCTV. Outre la gestion quotidienne de l’organisation de crise, la NCTV a même confié à sa mission la coordination du processus parlementaire (« timing et congruence mutuelle »). Selon un rapport de mi-mars 2020, les services de renseignement ont mis en place une équipe distincte à cet effet. Commentant le vote parlementaire, il a déclaré : « L’ambition et l’accord ne sont pas surprenants ». Il s’agissait probablement d’empêcher des motions ou des amendements inattendus à une nouvelle législation.

Début 2023, la journaliste Elze van den Hamelen décrivait dans ce journal le rôle de l’OTAN, en s’appuyant sur le travail d’enquête de Van den Bos : « Les documents montrent que depuis au moins 2019, soit plus d’un an avant la pandémie de coronavirus, le gouvernement a mis en place un grande organisation pour « lutter contre la désinformation ». L’initiative est venue de l’OTAN et de l’UE, souligne Van den Bos :

« Il s’agissait d’une opération militaire dirigée contre sa propre population. Non pas pour rebuter les gens, mais pour influencer leur comportement. »

Pendant la pandémie de coronavirus, l’OTAN a fixé les lignes directrices de la réponse au covid et coordonné la « Stratcom » (communications stratégiques). « Les lignes directrices ont été diffusées par l’intermédiaire des ministres des Affaires étrangères des États membres .» Cela explique-t-il pourquoi la Suède, qui n’a rejoint l’OTAN que cette année, a été le seul pays d’Europe à adopter une politique plus indulgente pendant la crise du coronavirus ?

Plus tôt, le leader de Verheid, Willem Engel , avait fait des révélations similaires. Lors de son procès le 22 novembre 2022 à Rotterdam, au cours duquel il a été accusé de « sédition », Engel a prononcé un long discours dans lequel il a montré comment le gouvernement a œuvré pour lutter contre les critiques de la politique relative au coronavirus. Selon lui, cela impliquait les agences de quatre ministères : NCTV (Justice), AIVD (Intérieur), MIVD (Défense) et PCD19 (VWS).

« Ils ont formé une équipe de crise qui a travaillé en collaboration avec d’autres agences gouvernementales, comme l’OM, ​​les maires, le pouvoir judiciaire et les médias », a-t-il rapporté dans De Ander Krant le 27 novembre 2022. « Ils utilisent une méthode militaire qui revient à cartographier, supprimer et perturber. »

Les critiques du monde médical ont quant à elles vivement réagi aux révélations de l’Agema, notamment l’éthicienne médicale Wendy Mittemeijer :

« Pour la première fois depuis quatre ans, j’entends publiquement admettre que la NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus et qu’elle devait être mise en œuvre. C’était une opération militaire. Cela n’a pas été permis pendant quatre ans. C’était une théorie du complot. J’apprécie l’honnêteté du ministre, qui reconnaît que cela a été admis et qu’il n’était pas responsable. »

La médecin généraliste Els van Veen a vécu cette politique avec cœur : « Près de cinq ans après le début du coronavirus, je comprends beaucoup mieux ce qui s’est passé, a-t-elle déclaré le 27 octobre. Après cette vidéo et cette explication, je comprends effectivement tout. D’où la censure des critiques et surtout des médecins critiques. D’où la visite de la police en 2021, apparemment à cause d’un tweet sur les cases à cocher. D’où des lettres et une enquête de l’Inspection, basée sur des rapports anonymes et infondés selon lesquels je diffusais de la désinformation. C’est pourquoi le gouvernement et VWS ne veulent pas divulguer les documents du WOB, qu’ils ont été peints en noir, que les procès-verbaux de l’OMT sont gardés comme s’ils étaient des secrets d’État. La NCTV gouverne ce pays, mais elle le fait les yeux fermés. »
Ce qu’elle a vu à plusieurs reprises sur la Museumplein, selon elle, correspond également à une opération militaire : « Cette manifestation a été interdite, des civils innocents ont été écrasés par le ME, des chiens policiers ont été mordus, des canons à eau ont été utilisés. Nous avons été maltraités par la police, par la justice et donc, je comprends maintenant, avec l’approbation de NCTV et de M. Aalbersberg. C’était une opération militaire. »

Son message a généré quelque 225 000 vues et de nombreuses réactions en deux jours, notamment un commentaire de Stefan Homburg, professeur émérite de finances publiques à l’Université Leibniz de Hanovre et l’un des principaux critiques allemands du coronavirus. En juillet dernier, il s’est exprimé, aux côtés de la journaliste Aya Velázquez, lors de la conférence de presse à Berlin où a été divulguée l’ensemble des données des procès-verbaux des réunions de l’équipe allemande de crise Covid (les « protocoles RKI », du nom de l’Institut Robert Koch, qui est similaire à notre RIVM) a été présenté. Homburg affirme que le message de Van Veen « correspond parfaitement à l’expérience allemande : comme nous l’avons découvert dans les fuites #RKIFiles, un général de l’OTAN (Holtherm) était aux commandes de ce qu’on appelle la « pandémie ».

Les nouvelles d’Agema correspondent également à ce que Robert F. Kennedy Jr. a déclaré à plusieurs reprises à propos de la production de vaccins contre le coronavirus aux États-Unis. Selon lui, il s’agissait d’une opération militaire, avec la participation étroite du Département américain de la Défense (DOD) et du complexe militaro-industriel. La Défense, selon lui, était aux commandes et payait les sociétés pharmaceutiques pour leurs marques, de sorte que les gens penseraient qu’ils obtenaient quelque chose de Pfizer ou de Moderna.

La ministre néerlandaise de la Santé reconnaît que la politique pandémique est une opération militaire. « Le ministère de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV » Lire la suite »

Tract : les dangers d’une monnaie numérique de Banque Centrale et de la fin du cash

Contrairement aux modes de paiement actuels, les futures monnaies numériques ne sont pas anonymes. Elles contiennent des informations relatives à la vie privée, contrairement à une carte bancaire qui n’intègre pas le détail de nos transactions. Seule la banque qui l’a émise peut en connaitre l’historique. En outre, peut-on réellement imaginer un monde où toute forme de commerce ne reposerait que sur une fiabilité informatique et électrique ? La possession d’un téléphone portable va t-elle devenir une obligation légale ? Cette monnaie deviendra t-elle programmable avec une date d’expiration ? Surveillance, contrôle total de l’individu et crédit social, le risque démocratique semble suffisamment élevé pour qu’un débat citoyen existe.

Téléchargez et faites circuler le tract ci-dessous !

Tract : les dangers d’une monnaie numérique de Banque Centrale et de la fin du cash Lire la suite »

Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse

Samedi 26 octobre prochain à Saintes toute la journée à l’Auditorium de la salle Saintonge.
Ouverture des portes à 8 h 30, début de la conférence à 9 h et final vers 18 h/18 h 30

Le thème de la Jeunesse étant plus que jamais d’actualité (vaccinations Gardasil-9, Beyfortus, vaccinations à ARN-M, éducation à la sexualité à l’école, dysphorie de genre, alimentation, écrans, sommeil …), nous vous invitons à venir très nombreux assister à cette conférence et échanger avec nos intervenants qui se feront un plaisir de nous apporter tous les conseils, informations et précisions utiles sur ces différents sujets tellement importants pour l’avenir de nos Jeunes.
Des intervenants de grande qualité et des thèmes riches et très diversifiés auxquels viendront se rajouter quelques activités et animations artistiques.
L’entrée est gratuite avec une participation « au chapeau » suivant les possibilités de chacun (participation libre et en conscience).

Le collectif de Saintes.

Contact/renseignements :

– Jacqueline NEVEUX – 06 43 03 84 85 – neveux.jacqueline@yahoo.com

– Céline GARNIER – uniquement par mail – zebcel@wanadoo.fr

– Michel REGNEAULT – 06 74 50 98 46 – michelregneault@orange.fr

Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse Lire la suite »

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