octobre 2025

Le 10e congrès de l’AIMSIB a été un succès et un moment mémorable

Source : AIMSIB

Pour notre 10e congrès, nous nous sommes retrouvés à Paris dans la superbe salle de l’Espace Saint-Martin et nous ne chercherons pas à être faussement modestes : ce fut un évènement qui restera dans les mémoires !

Avant tout nous remercions les 250 personnes qui étaient présentes à Paris, ainsi que les presque 200 personnes qui nous ont suivis en streaming.

En tant que président, je veux également remercier toute l’équipe de l’AIMSIB qui s’est mobilisée pour la réussite de ce congrès.

Nous avons eu de très nombreux retours positifs et de très beaux messages de félicitations et cela nous touche beaucoup. Je vous rappelle que l’intégralité du Conseil d’Administration de l’AIMSIB est bénévole et votre satisfaction est notre plus belle récompense.

Cette réussite, nous la devons aussi et surtout aux différents intervenants qui ont parfaitement répondu à notre attente.

Nous avions trois invités d’honneur qui ont été tout simplement exceptionnels.

Dans l’ordre d’apparition :

  • Le Pr Gilles-Eric SERALINI qui, avec son coauteur Jérome Douzelet nous a fait un exposé rigoureux autour des « conflits d’intérêts et la science » en prenant comme exemple la véritable cabale organisée contre le Pr Seralini lors de son étude sur le RoundUp. Preuve après preuve, ils nous ont rappelé que ces travaux avaient été totalement validés, à tel point que Monsanto a été condamné à plus de 16 milliards de dollars de dommages et intérêts et que beaucoup de procès sont toujours en cours. Pourtant, ce pesticide est toujours distribué aujourd’hui, même si la France en limite l’usage.
  • Dr Pierre KORY qui nous a fait le grand honneur de venir des USA pour participer à ce congrès et qui nous a parlé de son expérience concernant le CDS (dioxyde de chlore) et le DMSO. Nous espérons évidemment que des études sérieuses pourront voir le jour sur ces 2 produits afin qu’ils soient reconnus en France et que les médecins puissent les prescrire sans risquer une plainte ordinale, voire pire.
  • Corinne LALO, ancienne grand reporter et journaliste d’investigation spécialisée dans la santé, nous a livré une synthèse spectaculaire de son dernier livre : « Fausses Pandémies, Vrais Mensonges ». Son exposé était tellement limpide que nous avons décidé qu’il sera le premier à être mis en ligne sur notre site dès que le montage des enregistrements vidéo sera réalisé.
séralini douzelet
séralini douzelet
kory
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kori, séralini,lalo
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Nos fidèles amis Carole et Louis FOUCHÉ nous ont fait l’immense plaisir de venir partager à nouveau nos travaux.

Carole a fait un exposé très pointu sur les vaccins à base d’ARN modifié en se basant sur les multiples études concernant leur balance bénéfice-risque, et comme tous les autres, sans aucun conflit d’intérêts.

Louis a animé avec brio la table ronde qui a clôturé notre congrès où nous avons réfléchi sur l’évolution du système de santé et les solutions que chacun, individuellement mais aussi collectivement, pourrait mettre en place pour espérer qu’un système de soins cohérent puisse répondre aux besoins de tout un chacun. Car c’est bien le but de l’association AIMSIB : promouvoir une santé intégrative centrée sur le patient, l’individu, à l’opposé de cette médecine informatisée et déshumanisée que certains veulent nous imposer.

À côté de ces invités prestigieux, nous étions 3 membres du conseil scientifique de l’AIMSIB à venir partager nos recherches et nos expériences :

  • Vincent RELIQUET nous a parlé du chlorure de magnésium et de sa place en médecine à travers une approche historique dont il a le secret. Encore un remède naturel et efficace totalement rejeté par nos décideurs et nos académies.
  • Hélène BANOUN a réussi l’exploit de nous résumer en 40 mn toutes ses recherches récentes sur les virus et leur prophylaxie. Covid, grippe, VRS, varicelle-zona et même dermatose nodulaire des vaches n’ont plus de secrets pour elle, et elle nous a donné une synthèse des vrais résultats scientifiques autour des traitements préventifs (dont les vaccins) proposés pour la prévention de ces maladies. Sans oublier les aspects biopolitiques qui sont particulièrement présents, comme elle l’a très bien montré dans son livre « La Science face au Pouvoir ».
  • Votre serviteur a, quant à lui, exposé 40 ans d’expérience autour de la prise en charge des cancers et des nombreux remèdes oubliés, rejetés et laissés au bord de la route malgré des résultats cliniques très encourageants. Pourquoi un tel rejet ? Argent, ego, œillères, quelles sont les raisons d’un tel obscurantisme ? Là encore, nous appelons de nos vœux des études approfondies et objectives pour que des remèdes qui ne peuvent pas être brevetés et donc qui ne peuvent pas remplir les poches des actionnaires soient malgré tout évalués en toute objectivité.
photo groupe 3
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Toutes les rediffusions des interventions seront progressivement mises en ligne sur notre site et disponibles pour tous nos adhérents et les personnes inscrites au congrès à distance et en présentiel. Cela demande un peu de travail de mixage et de montage. Nous vous remercions de votre patience.

Nous commencerons par les conférences de Pierre KORY et de Corinne LALO qui devraient être disponibles d’ici 2 ou 3 semaines, puis nous espérons publier une nouvelle vidéo par semaine.

De quoi vous informer en toute transparence, sans conflit d’intérêts et avec toute la bienveillance qui caractérise nos actions.

En espérant que cela vous donne envie de venir nous rencontrer pour notre 11e congrès qui devrait avoir lieu à Lille en octobre 2026 et où nous fêterons nos 10 ans d’existence et de combat pour une information franche, loyale et strictement scientifique en matière de santé.

Je conclurai en remerciant tous nos adhérents sans qui nous ne serions rien. N’oubliez pas de renouveler votre adhésion en 2026, mais aussi de diffuser autour de vous nos travaux pour que chaque citoyen puisse choisir en conscience les soins qui lui correspondent le mieux.

Et si vous n’êtes pas adhérent, n’hésitez pas à nous rejoindre pour la modeste somme de 30€ (et 10€ pour les non-imposables) afin de nous aider à poursuivre notre travail et notre démarche dont le seul but est LA SANTÉ, la vôtre, la nôtre et celle de la planète, car nous partageons tous le même équilibre.

Je vous souhaite une belle semaine.

Dr Eric MENAT

Président de l’AIMSIB

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Comment Rockefeller a monopolisé la médecine et créé Big Pharma

Cette vidéo nous explique comment la famille Rockefeller est à l’origine du cartel pharmaceutique appelé aujourd’hui Big Pharma. Elle nous rappelle également comment des traitements naturels contre le cancer ont été combattus parce qu’ils faisaient obstacle aux intérêts du lobby pharmaceutique.

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COMMENT ROCKEFELLER A MONOPOLISÉ LA MÉDECINE ET CRÉÉ BIG PHARMA

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Prêt pour la transparence cérébrale ?

La promesse dystopique de la neurotechnologie d’améliorer la vie et de mieux comprendre le cerveau humain est en marche. Comment pouvons-nous préserver la confidentialité des données et la liberté personnelle alors que nous progressons vers un monde de transparence cérébrale ?

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Deux scientifiques soumettent 248 questions à la FDA concernant la contamination ADN des injections anti-COVID

Source : Le Point Critique

Deux chercheurs indépendants ont recensé les problèmes de sécurité liés à la contamination ADN des injections Pfizer et Moderna ainsi que leurs enjeux réglementaires. Ils publient un document contenant 248 questions adressées à la FDA, qui a homologué les injections en 2020, mais qui n’a toujours pas publié les données concernant les tests de sécurité qu’elle est supposée avoir réalisés.

En décembre 2023, le chirurgien général de Floride, Josef Lapado, a adressé un courrier à la Food & Drug Administration (FDA) et aux Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Il y exprime ses préoccupations concernant la contamination ADN des vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna, ainsi que l’utilisation par Pfizer de séquences de SV40, prohibé en raison de son potentiel cancérigène majeur. Ces observations, initialement rapportées par le Dr McKernan, sont aujourd’hui confirmées par une dizaine de laboratoires dans le monde, y compris la présence de SV40.

L’ancien directeur de la FDA, Peter Marks, a répondu le 14 décembre 2023 au courrier du Dr Lapado. Il estime que la présence de ces contaminants est conforme aux limites réglementaires et ne représente aucun danger pour la santé humaine :

Dans votre lettre, vous soulevez la question de la présence d’ADN promoteur/activateur SV40 dans ces vaccins et des préoccupations que cela soulève en matière de sécurité. Nous tenons à préciser que, sur la base d’une évaluation approfondie de l’ensemble du processus de fabrication, la FDA est convaincue de la qualité, de la sécurité et de l’efficacité des vaccins contre le COVID-19. L’évaluation des avantages et des risques réalisée par l’agence et la surveillance continue de la sécurité démontrent que les avantages de leur utilisation l’emportent sur les risques. De plus, avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à l’ADN résiduel n’a été identifié. Vous trouverez ci-dessous les réponses à chacune de vos trois questions spécifiques.https://www.fda.gov/media/174875/download

Cette réponse a servi de base à la position de la FDA et à celle des agences réglementaires d’autres pays sur ce sujet. Elle constitue donc à ce titre un document réglementaire crucial.

Deux scientifiques indépendants, le Dr Wiseman (Senechion, Inc), spécialisé dans les questions réglementaires et de politique publique et Maria Gutschi, docteure en pharmacie, consultante et évaluatrice de médicaments, ont adressé en retour un courrier à la FDA. Ils ont recensé 248 questions concernant les problèmes de sécurité liés à la contamination ADN et à l’utilisation de SV40, auxquelles la FDA n’a pas répondu ou pour lesquelles elle a fourni une réponse mensongère. Cette liste a été consolidée dans un document publié il y a quelques jours.

Le document se présente comme une contestation point par point de la réponse de la FDA, accompagnée de questions supplémentaires liées aux tests de sécurité ou à la fabrication de ces produits.

Les questions portent notamment sur :

  • la désinformation concernant le risque de décès, les risques pour la grossesse et l’allaitement, les preuves dont disposait la FDA pour affirmer que les vaccins sont sûrs et efficaces (22 questions) ;
  • le changement de processus de fabrication : quand la FDA a-t-elle su que la formule commerciale n’était pas celle qu’elles avaient homologuée ? Quelles mesures a-t-elle prise pour s’assurer que ce changement n’aurait pas de conséquences négatives ? (41 questions) ;
  • la présence d’ADN résiduel et le risque d’intégration chromosomique : pourquoi les risques sont-ils si préoccupants ? Sur quels arguments se basait la formule « l’ARN ne peut pas entrer dans le noyau » ? Quelles études ont été conduites pour écarter ce risque ? Quelles preuves ont été présentées par Pfizer pour justifier la déclaration : « l’ADN résiduel […] a une très faible probabilité d’atteindre le noyau » ? (51 questions) ;
  • la présence de SV40 : ces séquences ont-elles été identifiées par la FDA durant le processus d’homologation ? Sur quelles bases la FDA a-t-elle considéré qu’elles ne remettaient pas en cause la capacité d’intégration du vaccin ? (27 questions)
  • la sécurité des injections en lien avec l’utilisation d’ARN modifié et de nanoparticules lipides, incluant : les études de sécurité, de biodistribution, de pharmacocinétique et de génotoxicité (68 études) ;
  • les signaux de cancer (1 question) ;
  • les erreurs de transcription : quelle analyse la FDA a-t-elle conduite, ou conduira-t-elle, pour enquêter sur les causes de ces défaillances et leurs risques potentie ? Pfizer ou Moderna ont-ils soumis des données ou une analyse des risques concernant la possible formation d’autres types de protéines ? (26 questions)

La dernière question concerne le statut des injections :

La FDA reconnaîtra-t-elle la réalité biologique de ces produits et les régira-t-elle comme des thérapies géniques ?

Le document est dense et technique, et place la FDA au pied du mur. Le renouvellement de la direction de l’agence, dont le nouveau commissaire a récemment formulé des engagements extrêmement forts en matière de transparence sur la sécurité des injections, permet d’espérer une réponse sincère et circonstanciée. Les conséquences politiques seraient probablement majeures pour l’équipe précédente compte tenu de la gravité de la négligence dont a fait preuve l’agence ou des fraudes qu’elle a activement couvertes. Pour Pfizer, il est en revanche difficilement concevable qu’il puisse survivre à une telle mise au point.

La liste traduite en français de ces 248 questions ainsi que le sommaire du document peuvent être téléchargés ici :

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Une vaste étude sud-coréenne révèle des hausses de cancers jusqu’à + 69 % après une injection anti-COVID

Source : Le Point Critique

Une vaste étude sud-coréenne démontre que les injections anti-COVID augmentent le risque de cancer global et celui de six cancers de 20 % à 69 %. L’étude révèle également que les boosters ont provoqué une hausse massive du cancer du pancréas. Ces données confirment malheureusement celle d’une précédente étude italienne.

Une étude réalisée par des chercheurs sud-coréens[1] portant sur 8,4 millions d’adultes confirme que les injections anti-COVID ont été associées à une hausse massive des cancers. Il s’agit de la deuxième étude populationnelle qui établit une association positive entre l’augmentation du risque de cancer et la vaccination anti-COVID.

Conclusions de l’étude sud-coréenne

Les auteurs ont suivi l’évolution des diagnostics de cancer reçus par la population de Séoul entre 2021 et 2023, selon son statut vaccinal, pour 29 types de cancers différents. Ils ont découvert que les personnes vaccinées vs non vaccinées avaient un risque majoré de manière globale et plus spécifiquement pour 6 types de cancer, jusqu’à + 69 % pour celui de la prostate :

  • Risque global de cancer (tous types confondus) : + 27 % ;
  • Risque de cancer de la prostate : + 69 % ;
  • Risque de cancer du poumon : + 53 % ;
  • Risque de cancer de la thyroïde : + 35 % ;
  • Risque de cancer gastrique : + 34 % ;
  • Risque de cancer colorectal : + 28 % ;
  • Risque de cancer du sein : + 20 %.

L’étude a comparé les augmentations d’incidence par type de vaccin, mettant en évidence un risque accru apparu une injection génique à base de vecteur ADN :

  • Injections à vecteur ARN messager (Pfizer/Moderna) : + 20 % de risque global de cancer ;
  • Injections à vecteur ADN (Janssen/AstraZeneca) : + 47 % de risque global de cancer ;
  • Injections selon un schéma mixte → + 34 % de risque global de cancer.

Les chercheurs notent également une majoration du risque de cancer pour la population ayant reçu des boosters. Les types concernés sont les cancers gastriques et les cancers du pancréas pour lesquels l’augmentation est vertigineuse :

  • Cancer gastrique : + 23 % ;
  • Cancer du pancréas : + 125 %.

Convergence avec les données de l’étude italienne

Ces résultats rejoignent de manière spectaculaire ceux d’une précédente étude[2], publiée en juillet dernier par des chercheurs italiens dont nous avions analysé les conclusions au moment de sa parution :

  • Cancer global : + 23 % ;
  • Cancer du sein : + 54 % ;
  • Cancer de la vessie : + 62 % ;
  • Cancer colorectal : + 35 %.

Des augmentations avaient été également observées pour quatre autres types de cancers, mais elles avaient été jugées statistiquement non significatives :

  • Cancer hématologique : +31 % ;
  • Cancer de l’utérus : + 77 % ;
  • Cancer des ovaires : + 86 % ;
  • Cancer de la thyroïde : + 58 %.

Les auteurs de l’étude sud-coréenne pointent la répétition des injections ainsi que la probable oncogénicité de la protéine Spike en se basant sur le fait que le COVID est un virus oncogène, et concluent de manière politiquement correcte :

Compte tenu des associations observées entre la vaccination contre la COVID-19 et l’incidence du cancer selon l’âge, le sexe et le type de vaccin, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si des stratégies de vaccination spécifiques pourraient être optimales pour les populations nécessitant une vaccination contre la COVID-19.

Il apparaît en réalité aujourd’hui, à la lueur du nombre d’études documentant l’explosion des nouveaux cancers apparus depuis la « vaccination de masse » ainsi que les mécanismes oncogéniques associés à ces thérapies géniques (au moins 17 selon notre recensement, qui pourrait être porté à 19 ou 20) que 70 % de la population mondiale a reçu un produit notoirement cancérigène favorisant les réinfections, sur la base d’incitations agressives fondées sur des données épidémiologiques frauduleuses.

La notion de « turbo cancer » a été récemment validée par les pairs. Combien de temps les personnes vaccinées devront-elles attendre pour que le lien avec les injections soit officiellement reconnu ?

Le fait d’avoir privilégié la vaccination en dépit de son inefficacité et de l’absence totale de recul plutôt que des molécules comme l’hydroxychloroquine[3],[4],[5],[6],[7] et l’ivermectine[8],[9] s’avère d’autant plus criminel. Le point commun entre ces deux molécules, outre le fait qu’elles ont démontré précocement leur efficacité, qu’elles sont considérées comme sûres, avec une innocuité confirmée par des centaines de milliards de doses administrées durant des décennies y compris chez les enfants et les femmes enceintes, est qu’elles sont toutes les deux des anticancéreux notoires.


Références

[1] Kim HJ, Kim MH, Choi MG, Chun EM. 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination: a large population-based cohort study in South Korea. Biomark Res. 2025 Sep 26;13(1):114. https://doi.org/10.1186/s40364-025-00831-w.

[2] Acuti Martellucci C, Capodici A, Soldato G, Fiore M, Zauli E, Carota R, et al. COVID-19 vaccination, all-cause mortality, and hospitalization for cancer: 30-month cohort study in an Italian province. EXCLI J. 2025 Jul 1;24:690-707. https://doi.org/10.17179/excli2025-8400.

[3] Arshad S, Kilgore P, Chaudhry ZS, Jacobsen G, Wang DD, Huitsing K, et al. Treatment with hydroxychloroquine, azithromycin, and combination in patients hospitalized with COVID-19. Int J Infect Dis. 2020 Jul 2;97:396-403. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2020.06.099.

[4] Li YS, Ren HC, Cao JH. Correlation of SARS-CoV-2 to cancer: Carcinogenic or anticancer? (Review). Int J Oncol. 2022 Apr; 60(4):42. DOI: https://doi.org/10.3892/ijo.2022.5332.

[5] Chen MY, Yadav VK, Chu YC, Ong JR, Huang TY, Lee KF, et al. Hydroxychloroquine (HCQ) modulates autophagy and oxidative DNA damage stress in hepatocellular carcinoma to overcome sorafenib resistance via TLR9/SOD1/hsa-miR-30a-5p/Beclin-1 axis. Cancers (Basel). 2021 Jun 28;13(13):3227. https://doi.org/10.3390/cancers13133227.

[6] Zhou N, Liu Q, Wang X, He L, Zhang T, Zhou H, et al. The combination of hydroxychloroquine and 2-deoxyglucose enhances apoptosis in breast cancer cells by blocking protective autophagy and sustaining endoplasmic reticulum stress. Cell Death Discov. 2022 Jun 11;8(1):286. https://doi.org/10.1038/s41420-022-01074-6.

[7] https://twitter.com/backtolife_2023/status/1639007694794137605?s=20

[8] Tang M, Hu X, Wang Y. Ivermectin, a potential anticancer drug derived from an antiparasitic drug. Pharmacol Res. 2021 Jan;163:105207. https://doi.org/10.1016/j.phrs.2020.105207.

[9] Braga L, Ali H, Secco I, Neves G, Goldhill D, Penn R, et al. Drugs that inhibit TMEM16 proteins block SARS-CoV-2 spike-induced syncytia. Nature. 2021; 594:88–93. https://doi.org/10.1038/s41586-021-03491-6.

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Le CDC s’engage désormais à fournir des informations honnêtes sur les risques, les incertitudes et l’efficacité limitée des injections contre le SARS-CoV-2

Source : uncut-news

Les médecins aux États-Unis doivent désormais informer honnêtement les citoyens des risques et de l’efficacité limitée des injections.

Aux États-Unis, les CDC, à l’instar du RIVM, informeront les citoyens des « risques et incertitudes » liés aux vaccins contre le coronavirus . La brochure d’information, obligatoire avant chaque vaccination, contiendra des informations choquantes pour l’Américain moyen.

Dans la campagne d’automne, on leur explique, entre autres, que les vaccins provoquent des « changements dans le système immunitaire », peuvent entraîner des maladies cardiaques, restent très longtemps dans le corps et offrent peu de protection .

Réunion de l’ACIP à Atlanta – un changement de cap

Une réunion mémorable de la commission conseillant les CDC sur leur programme national de vaccination s’est tenue au siège des CDC à Atlanta, en Géorgie. L’objectif était d’élaborer des recommandations concrètes pour les rappels de vaccination contre la COVID-19 à l’automne aux États-Unis.

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (CCPV) a décidé de faire volte-face. Si les vaccins contre la COVID-19 restent accessibles à toutes les personnes de six mois et plus, il n’existe plus de recommandations nationales . La vaccination relève désormais d’une « décision clinique individuelle  » .

Cela signifie que les Américains, en particulier ceux de plus de 65 ans ou souffrant de pathologies préexistantes, décideront avec leur médecin s’ils souhaitent se faire vacciner. L’accent est mis sur le consentement éclairé  : les personnes doivent être pleinement informées à l’avance des « bénéfices, des risques et des incertitudes ».

Six risques et incertitudes sur la fiche d’information

Jusqu’à présent, le CDC a minimisé les risques potentiels de la vaccination dans sa « Déclaration d’information sur les vaccins » officielle.

Onze des douze membres du comité ont voté pour « six risques et incertitudes » : énumérer clairement

  1. Effet protecteur uniquement de « faible qualité »
    – Les évaluations d’efficacité contre les conséquences graves telles que les décès, les hospitalisations et le Covid long sont faibles.
  2. Protection supplémentaire contre les rappels saisonniers « modérée au maximum et de courte durée »
    – Les citoyens doivent comprendre que les avantages sont limités.
  3. Les boosters d’ARNm modifient le système immunitaire
    – Avec comme conséquence possible une susceptibilité accrue aux infections futures, notamment au SARS-CoV-2 et à d’autres maladies respiratoires.
  4. Décès documentés dus à des lésions cardiaques
    – Myocardite/péricardite et autres maladies cardiovasculaires après vaccination, même chez les enfants en bonne santé, avec une relation causale probable avec les vaccins à ARNm.
  5. Post-vaccinales Syndrom (PVS)
    – Les rapports cliniques montrent que les vaccins peuvent, dans certains cas, déclencher un syndrome de vancomycine extrapyramidal (SVP) durable et invalidant. La fréquence et les facteurs de risque sont largement inconnus.
  6. Les protéines Spike, l’ARNm et les nanoparticules lipidiques restent longtemps dans le corps
    – Des données montrent que chez certaines personnes, ces cellules persistent dans des organes comme les ganglions lymphatiques et le cœur pendant des mois, voire des années . Ce phénomène a été associé à des syndromes de vancomycine (SVV) et à d’autres effets secondaires.

De plus, il est souligné que la sécurité et l’efficacité pendant la grossesse n’ont jamais été testées dans des essais cliniques randomisés – et que dans une étude, davantage de bébés présentant des malformations sont nés de femmes vaccinées que de femmes non vaccinées.

« Des faits longtemps occultés »

De nombreux Américains seront probablement stupéfaits par ces informations. Cette transparence accrue est en grande partie due au professeur Retsef Levi , qui dirige un groupe de travail spécial des CDC chargé d’examiner de manière critique les prétendues « sécurité et efficacité ».

Les nouveaux membres nommés, tels que le professeur Charlotte Kupperwasser (Université Tufts) et le professeur Wafik El-Deiry (Université Brown), ont brisé les tabous lors de la réunion : lors d’une présentation en ligne, ils ont parlé ouvertement des problèmes de sécurité des vaccins à ARNm, diffusée en direct depuis le siège du CDC.

Finis les tabous : risques de cancer et contamination de l’ADN

Kupperwasser et El-Deiry ont abordé l’ensemble des questions, y compris la contamination de l’ADN et son lien possible avec le cancer.

  • L’oncologue El-Deiry, directeur du Centre de cancérologie de Legorreta, a exprimé des inquiétudes quant aux effets cancérigènes potentiels dès 2023.
  • Il a fait référence à des rapports et des études sur un lien avec le cancer du pancréas et du côlon .
  • On sait peu de choses sur le degré de contamination de l’ADN dans les nouveaux boosters.

Il exige :

  • programmes de surveillance proactive ,
  • études épidémiologiques ,
  • des autopsies approfondies pour déterminer la causalité.

Levi met en garde de toute urgence

Dans son discours de clôture, Levi a exprimé son inquiétude quant aux données de sécurité, citant les autopsies de deux adolescents décédés quelques jours après avoir reçu le vaccin.

Les CDC ont alors rejeté ces conclusions. Levi a demandé :

Avons-nous une culture de sécurité ? Comment reconnaître qu’il y a un problème lorsque les décès post-COVID sont comptabilisés comme « liés à la COVID », mais pas lorsque des enfants meurent d’un mécanisme connu trois jours après la vaccination ?

Il a souligné que les enfants sont morts d’ une myocardite subclinique , une inflammation inaperçue du muscle cardiaque qui peut être mortelle.

« C’est prouvé. Cela ne fait aucun doute. Pourtant, nous n’en parlons pas avec les patients et ne mentionnons pas ce risque. »

Le rapport attendu de la FDA ne se concrétise pas

Beaucoup s’attendaient à ce que Tracy Beth Høeg présente un rapport explosif de la FDA reliant 25 décès d’enfants aux vaccins. Le Washington Post en a déjà parlé, mais le document est apparemment toujours en attente.

Réactions

  • Sayer Ji (Greenmed Info) a parlé d’un « changement radical » : « Pour la première fois, j’ai vu des scientifiques du CDC admettre publiquement que tous les vaccins ne sont pas « sûrs et efficaces ». »
  • L’épidémiologiste Nicolas Hulscher met toutefois en garde contre l’euphorie : « C’est un petit pas dans la bonne direction. Mais les vaccins sont bien trop dangereux pour être laissés aux mains de médecins et de pharmaciens, en proie à une psychose collective depuis 2021. La pression universelle est peut-être terminée, mais le risque, immense, demeure. »

Conclusion : Les CDC abandonnent la rhétorique de la sécurité et de l’efficacité absolues. Ils s’engagent désormais à fournir des informations honnêtes sur les risques, les incertitudes et l’efficacité limitée du vaccin, ce qui rompt avec des années de politique officielle de vaccination.

Le CDC s’engage désormais à fournir des informations honnêtes sur les risques, les incertitudes et l’efficacité limitée des injections contre le SARS-CoV-2 Lire la suite »

Orchidée Bleue : le pot-aux-roses ?

Source : Neo santé hebdo

Qui veut nous cacher quoi ? Le 21 septembre dernier, j’ai été stupéfait de lire l’article rédigé par mon ami Marcan, journaliste citoyen belge, pour le média BAM! (Belgian Alternative Media). On y apprend que  la Commission européenne a organisé un exercice de simulation de pandémie en collaboration avec le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Cette grande répétition générale d’une catastrophe sanitaire mondiale avait pour objectif de tester les mécanismes de gestion de crise par les deux institutions et de mettre à l’épreuve leurs canaux de communication.

Fort bien, on n’en attend pas moins de l’Union Européenne. Gouverner, c’est prévoir, et on peut se féliciter que la bureaucratie bruxelloise se préoccupe de coordonner l’action des 27 pays membres en cas d’urgence dépassant la capacité de réponse des nations. Ce qui est très intriguant, c’est que cet exercice baptisé « Blue Orchid » (« Orchidée Bleue ») s’est déroulé le 8 février 2019, soit 10 mois avant l’ouverture du Corona Circus, et 8 mois avant le fameux Event 201  de New-York, où Américains et Chinois ont « joué » à prévoir une pandémie coronavirale. Ça fait beaucoup de coïncidences en l’espace d’une seule année. 

Simulation dissimulée 

Ce qui est encore plus intriguant, c’est que l’entraînement sur le sol européen s’est déroulé dans le plus grand secret, contrairement à sa version américaine du mois d’octobre. Sur l’Event 201 , on sait tout ou à peu près. On connaît ses recommandations finales (anticiper notamment les réticences à la vaccination et lutter contre la désinformation en censurant les réseaux sociaux), on connaît tous les participants (le directeur du CDC américain et son homologue chinois, le World Economic Forum, la fondation Bill et Melinda Gates, le John Hopkins Institute, l’industrie pharmaceutique, la CIA…) et on a accès aux documents relatifs à cet événement  qui a été filmé et photographié en toute transparence.

Rien de tout cela pour « notre » exercice Orchidée Bleue : on ne saurait même pas qu’il a eu lieu si un député européen autrichien n’avait pas interrogé la Commission sur sa participation à d’autres simulations de crise sanitaire. C’est en effet le député Gerald Hauser, élu du parti FPÖ, qui a interpellé l’exécutif européen le 11 mars 2025 en lui posant trois questions précises . Et c’est grâce à lui que dans sa réponse du 30 juin, le Commissaire européen à la santé, le Hongrois Oliver Vàrhelyi, a bien dû dévoiler l’existence de Blue Orchid.

Chose incroyable et démocratiquement intolérable, on ne sait absolument rien de ce qui s’est passé le 8 février 2019. Dans une deuxième question posée le 29 juillet, Gérald Hauser s’indigne qu’il n’a trouvé aucune information ni publication sur l’Orchidée Bleue.  Aucune trace non plus de cet exercice sur les sites de la Commission et de l’ECDC. Comme le dénonce Marcan dans son article, ce n’est pas normal car d’ordinaire, les exercices internes donnent lieu à un minimum de communication officielle. Même les alertes incendies sont consignées quelque part et font l’objet d’un rapport. Ici, c’est le trou noir, le vide intersidéral, l’obscurité totale ! 

Questions en suspens

N’en croyant pas mes yeux, j’ai pensé que le député autrichien et le journaliste citoyen n’avaient pas bien cherché sur internet. Sur la toile, avec de bons mots-clés en anglais, on devait forcément retrouver quelques infos sur l’Orchidée Bleue. Et bien bernique ! Chou blanc sur toute la ligne ! J’ai compulsé les 20 premières pages de Google avec plusieurs entrées et le moteur de recherche ne renvoie qu’à des sites de fleuristes et de botanistes. Les seules occurrences pertinentes concernent les questions parlementaires de Gerald Hauser et l’article de BAM!. 

Plus étonné que jamais, j’ai demandé à ChatGPT ce qu’il savait de Blue Orchid et voici ce que l’IA m’a textuellement répondu : « Je n’ai pas trouvé d’information crédible confirmant l’existence de l’exercice “Blue Orchid” organisé par la Commission Européenne en février 2019 — du moins, rien de public ou officiellement documenté — et plusieurs sources semblent confirmer cette absence. » Pour l’intelligence artificielle, il n’est même pas sûr que l’événement se soit effectivement déroulé,  c’est dire à quel point les organisateurs tenaient à la confidentialité !

Pourquoi cet exercice bien réel devait-il rester confidentiel si le but déclaré était de se préparer collectivement à une épidémie dévastatrice ? Pourquoi l’avoir caché si longtemps aux populations européennes ?  Dans sa deuxième question adressée à la Commission, le député autrichien réclame trois explications : 1) Quels étaient les scénarios envisagés pour cet exercice ? 2) Quelles leçons et conclusions en ont été tirées ? 3) Comment le public peut-il obtenir des détails, notamment sur les participants et les institutions impliquées ? À ce jour, Gerald Hauser n’a pas encore reçu de réponse à son interpellation…

Hypothèse complotiste

Elle viendra certainement, probablement avant la fin de l’année. Le commissaire Oliver Vàrhely est un proche de Viktor Orban et il n’a aucune raison de faire des cadeaux à la Présidente Ursula von der Leyen. Il était déjà membre de la première équipe de la hyène corrompue et il a passé ses cinq années de premier mandat à défendre les intérêts de la Hongrie plutôt qu’à s’aligner sur Bruxelles. En 2024, le Fidesz hongrois s’est par ailleurs allié avec le FPÖ autrichien et le parti populiste tchèque ANO pour former le groupe parlementaire « les Patriotes pour l’Europe  ». Puisqu’ils sont du même (tri)bord, on peut présumer que Vàrhely est en train de remuer le cocotier pour Hauser et on peut même se demander si sa sortie du 30 juin n’était pas une première noix jetée dans la mare. Vivement la suite de ce feuilleton politique ! 

Sans préjuger de son dénouement, on peut se permettre d’émettre une hypothèse. Quand un programme est clandestin, c’est logiquement parce que certains de ces aspects doivent être occultés. L’omerta est de règle dans la mafia, les services secrets tablent précisément sur le secret et l’armée a besoin de se muer en « grande muette » pour camoufler une part de ses activités. Et si c’était ça, la motivation de l’extrême discrétion européenne ? Dans  une infolettre précédente, j’ai décrit l’évidente mainmise du Pentagone et de l’OTAN dans le pilotage de la pandémie. Aux Pays-Bas, les autorités ont d’ailleurs récemment confirmé  qu’elles devaient en référer confidentiellement à l’Alliance Atlantique dans ce type de crise sanitaire. 

Or les liens entre l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord et la Commission Européenne sont plus que étroits, on le voit encore très bien avec le conflit ukrainien. Et le siège des deux institutions sont situés à Bruxelles. Je peux me tromper mais je parierais volontiers ma chemise qu’il y avait des uniformes kakis lors des réunions préparatoires de l’Orchidée Bleue, ainsi que des officiers de différents services de renseignement. Mon intuition, je la fonde sur le fait que dès le début de la mascarade, on nous a fait croire que le covid était possiblement une attaque biologique  nécessitant la mobilisation des forces armées et des services spéciaux. Aux États-Unis, c’est clairement la réaction aux risques CBRN (chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires) qui a dicté la politique suivie contre la pseudo pandémie. À mon avis, on s’apercevra qu’il en fut de même de ce côté-ci de l’Atlantique lorsque Blue Orchid aura livré ses secrets. 

Une arme biologique ou biomimétique ? 

Chez l’Oncle Sam, ça fait belle lurette que la crainte des virus « militarisés » accapare les états-majors et les structures en lien avec l’armée américaine. Dans leur « Manifeste conspirationniste » édité au Seuil en avril 2022 et dépublié par l’éditeur l’année suivante (du jamais vu dans l’histoire de l’édition !), les auteurs anonymes de cet ouvrage très documenté rappellent qu’il y a eu une kyrielle de simulations pandémiques depuis plus de 20 ans. Blue Orchid et l’Event 201 n’étaient que les énièmes épisodes d’une longue série. Or qui retrouve-t-on presque toujours aux manettes de ces exercices souvent organisés aux USA ? Le Center for Health Securityqui est en fait né en 1998 sous le nom de  Center for Civilian Biodefense Stratégies,un département du John Hopkins Institute officiellement destiné à « la lutte contre le bioterrorisme ». Le nom a changé mais l’obsession américaine des virus ou bactéries « weaponized » est restée intacte. 

En juin 2021, cette bande de bio-paranos a notamment organisé l’exercice Dark Winter sur la base militaire d’Andrews, dans le Maryland. Censée anticiper une attaque de la population américaine avec l’agent viral de la variole, cette simulation a plutôt prophétisé avec brio les attaques à l’anthrax de septembre suivant , une semaine après le 11 septembre. Pour mémoire, ces lettres empoisonnées au bacille du charbon étaient envoyées à différents médias et politiciens, généralement hostiles à l’état d’exception du Patriot Act. Il y eut cinq morts et on fit porter le chapeau d’abord à Al-Qaïda, puis à l’Irak, et enfin à un malheureux virologue du laboratoire bactériologique de Fort Detrick, lequel chercheur s’était opportunément « suicidé » peu auparavant. Une bien grosse ficelle pour hisser un faux drapeau…

Pour moi, le bioterrorisme est en soi un gigantesque « false flag ». Il n’existe toujours pas la moindre preuve que quiconque soit déjà parvenu à bricoler un agent infectieux et à le transformer en tueur de masse. Ce mythe hollywoodien, qui est aujourd’hui récupéré théâtralement par Donald Trump, est à mon sens une diversion destinée à camoufler une autre catégorie d’armes, bien réelle celle-là. Laquelle ? L’arme neurotoxique imitant à la perfection un fléau pandémique. À l’appui de ma supposition, je vous rappelle d’une part  qu’une étude de 2018 a montré que les nanoparticules électroniques étaient désormais « aéorosolisables », autrement dit qu’elles pouvaient voyager sur des microgouttelettes en suspension dans l’air et qu’elles pouvaient ainsi « infecter » des humains à la manière des virus selon le postulat pasteurien. D’autre part, je vous suggère de visionner  la conférence donnée en 2017  à l’Université de Georgetown par le Dr James Giordano, expert en neurotechnologie.

Si vous ne maîtrisez pas l’anglais, voici la traduction d’un passage essentiel épinglé par la journaliste Corinne Lalo dans son excellent ouvrage « Fausses pandémies, vrais mensonges » : «  Si je suis un groupe terroriste, je vais me rendre dans plusieurs villes et je vais y provoquer des foyers épidémiques dispersés en y diffusant des nanoparticules neurotoxiques. Je vais choisir des individus cibles, des influenceurs qui partageront leur expérience de la maladie sur les réseaux sociaux. Internet sera le vrai virus, car tous les hypocondriaques se croiront malades. Ces influenceurs pourront aussi être ciblés par des ondes électromagnétiques car le cerveau est un organe électromagnétique ». Et le Dr Giordano d’ajouter :  « Nos collègues de la branche médicale de l’OTAN ont montré que la dispersion de nanoparticules peut être utilisée pour provoquer ce qui ressemble à l’apparition subite d’un grand foyer épidémique ». 

En d’autres termes, les armes chimiques et/ou électromagnétiques qui simulent des maladies et épidémies virales existent déjà dans les arsenaux occidentaux. Et il serait bien naïf de penser qu’elles ont été conçues pour y rester. Personnellement, je soupçonne que pareils poisons « biomimétiques » ont été dispersés dans le cadre de la psy op’ Covid-19.  Au lendemain de la grande manifestation bruxelloise du 23 janvier 2022 réprimée à grands coups de grenades lacrymogènes, nous sommes des dizaines, peut-être des centaines, à avoir développé une grosse grippe bizarroïde. Pour les plandémistes, n’était-ce pas l’occasion rêvée de répandre la fiction des gains de fonction parmi la résistance ? À toute fin utile, je signale que la Belgique héberge aussi le SHAPE, le quartier général de l’OTAN en Europe…

Un variant de roman et une fleur qui n’existe pas

Quitte à me répéter inlassablement, il est patent qu’il n’y a jamais eu de virus pathogène impliqué dans l’hystérie covidienne. Cette dernière résulte d’un récit soigneusement fabriqué par des ingénieurs sociaux chargés de terrifier les foules. Avec un bon narratif, on peut faire croire n’importe quoi à des populations apeurées.  Tenez, prenez le surnom donné au soi-disant dernier variant qui serait en train de circuler en Europe : Frankenstein ! En choisissant cette créature fictive (mais monstrueuse et échappant à son créateur) pour étiqueter les dernières séquences génomiques prétendument identifiées par PCR, les manipulateurs affichent explicitement leur intention de continuer à sidérer par la terreur. 

Très curieusement, les personnes à l’origine de l’exercice Blue Orchid ont également opté pour un nom de code puisé dans l’imaginaire : une orchidée bleue, ça n’existe pas dans la nature !  Il y a bien des variétés sud-asiatiques de teinte violette avec des reflets bleutés, mais la fleur bleue qu’on peut trouver dans le commerce est en réalité une orchidée blanche dans laquelle les producteurs ont injecté du bleu de méthylène. Le colorant chimique est inoculé dans la tige et il se propage transitoirement aux pétales, donnant l’illusion d’un bleu roi ou d’un bleu azur. Inconsciemment ou volontairement, les simulateurs européens ont donc baptisé leur exercice avec un nom commun et une épithète qui fleure bon l’arnaque, l’artifice et le mensonge . Mon sentiment est que le dévoilement des tenants et aboutissants de Blue Orchid va nous rapprocher du pot-aux-roses. 

Yves Rasir

Orchidée Bleue : le pot-aux-roses ? Lire la suite »

Pfizer Papers dévoilés à Bruxelles : des milliers de documents inédits sur le vaccin contre le Covid

Il s’agit de centaines de milliers de documents, obtenus par voie judiciaire, que la société pharmaceutique n’a pas publiés sur les effets indésirables des vaccins à ARN messager

Source : Epoch Times

Le 3 septembre , la députée européenne Christine Anderson a présenté la journaliste et consultante Naomi Wolf au Parlement européen. Mme Wolf a présenté le rapport « The Pfizer Papers », préparé avec Amy Kelly à partir de centaines de milliers de documents – que le laboratoire pharmaceutique n’a pas publiés – sur les effets indésirables des vaccins à ARN messager.

Ces documents, obtenus par voie judiciaire, ont été analysés par une équipe d’environ 3500 professionnels, dont des médecins et des avocats, qui ont produit plus de 100 rapports à ce jour. Mme Wolf a décrit les données trouvées et, exprimant sa surprise face aux expériences révélées, a évoqué la possibilité que le Parlement européen enquête sur l’intérêt d’utiliser le vaccin comme « une arme biologique déployée pour réduire les populations occidentales et exercer une influence politique ».

Elle a également demandé une enquête sur un accord parallèle entre BioNTech et un laboratoire pharmaceutique chinois, avec lequel elle s’est engagée à promouvoir le développement du même programme de vaccin contre la Covid-19 qu’avec Pfizer.

« Cette campagne de vaccination à ARN messager (ARNm) est entrée dans l’histoire comme le plus grand scandale médical de tous les temps. C’est le plus grand crime contre l’humanité […] Au cours des sept premiers mois de la vaccination à ARNm, on a enregistré 20 fois plus d’effets indésirables graves et 23 fois plus de décès que tous les autres vaccins réunis depuis leur introduction dans les années 1970, sur une période de 30 ans », a déclaré Mme Anderson.

En 2022, le procès remporté par l’avocat Aaron Siri a conduit à la divulgation forcée d’environ 450.000 documents Pfizer détenus par la Food and Drug Administration (FDA), l’« Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux ». Les documents cités par l’éditeur ont ensuite été demandés dans le cadre d’une procédure en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) sous l’administration Biden.

Capture d’écran de l’intervention de Naomi Wolf au Parlement européen le 3 septembre 2025. (Source : Naomy Wolf)

Les « Pfizer Papers » disposent de « rapports renvoyant directement aux documents originaux. Si vous avez des doutes sur l’une des conclusions, vous pouvez consulter les documents Pfizer et consulter le document original par vous-même », a indiqué Mme Wolf.

« Tout d’abord, et je pense que c’est très important pour vous, députés européens : Pfizer savait, un mois après le début de la campagne de vaccination publique – c’est-à-dire en novembre 2020 – que ce vaccin était inefficace pour stopper la Covid. »

« Je veux que vous digériez cela : cela signifie que tout ce qui a suivi – les obligations, les pertes d’emplois, les entreprises qui ont dû fermer, les enfants qui n’ont pas pu retourner à l’école ou à l’université faute de vaccination, les forces armées obligées de se faire vacciner, les pilotes forcés – tout cela reposait sur un mensonge. »

Naomi Wolf a expliqué que Pfizer affirmait que le matériel du vaccin restait au site d’injection dans le corps, mais « des graphiques ont été trouvés montrant que les matériaux — la protéine « spike », l’ARNm, les nanoparticules lipidiques (un sous-produit pétrochimique : le polyéthylène glycol, un dérivé du pétrole, qui entoure les nanoparticules lipidiques) et les graisses industrielles contenues dans le vaccin — ne sont pas restés dans le muscle deltoïde : ils se sont biodistribués dans le corps au cours des 48 heures suivantes et ‘se sont déplacés du site d’injection vers les principaux organes du corps’ ».

« Ils ont traversé la barrière hémato-encéphalique », a-t-elle ajouté, citant les documents.

Les informations officielles concernant les vaccins à ARNm indiquent qu’après la vaccination, l’ARNm pénètre dans les cellules musculaires. Une fois à l’intérieur, elles utilisent la machinerie cellulaire pour produire un fragment inoffensif de la protéine spike. Cette protéine se trouve à la surface du virus responsable de la Covid-19. Une fois la protéine produite, nos cellules la décomposent et l’éliminent, le laissant dans l’organisme comme déchet. Nos cellules présentent alors le fragment de protéine spike à leur surface. Notre système immunitaire reconnaît que la protéine n’a pas sa place. Cela le pousse à produire des anticorps et à activer d’autres cellules immunitaires pour combattre ce qu’il considère comme une infection. Voici ce que votre corps pourrait faire si vous contractiez la Covid-19.

Les documents réglementaires reconnaissent que les nanoparticules se biodistribuent dans tout le corps au cours des 24 à 48 premières heures, principalement dans les ganglions lymphatiques et le foie.

Des documents de Pfizer ont révélé que des nanoparticules s’accumulaient dans le foie, les glandes surrénales, la rate, le système lymphatique et les ovaires. L’intervention chirurgicale pratiquée sur les femmes vaccinées a révélé « des ovaires complètement obstrués, en plus d’autres lésions », a déclaré Mme Wolf.

« Pfizer a dû embaucher 2400 employés à temps plein pour traiter les signalements d’événements indésirables graves qu’elle commençait déjà à recevoir. Dans ses rapports, de novembre 2020 à février 2021, Pfizer a accumulé plus de 42.000 événements indésirables graves. »

Myalgie, inflammation, myocardite et avortements

Mme Wolf décrit comment l’effet secondaire numéro un mentionné dans les articles de Pfizer était la myalgie, qu’il définissait comme une douleur musculaire. « Combien de personnes connaissez-vous qui se sentent mal ? Pfizer savait qu’elles se sentiraient mal. Les médecins étaient perplexes. »

Le deuxième effet était la douleur articulaire. « Qu’est-ce que l’arthrite ? Qu’est-ce qu’une douleur articulaire ? Une douleur tendineuse. C’est une inflammation. Combien de personnes connaissez-vous qui boitent maintenant ou qui ont subi une opération du genou, de la hanche ou de l’épaule ? Beaucoup d’entre elles sont jeunes et en bonne santé. »

« Le troisième effet le plus courant, comme je l’ai mentionné, est la Covid. Mais il existe également un bilan catastrophique d’effets secondaires horribles à l’échelle industrielle. »

Parmi ces effets secondaires, elle détaille « des lésions cardiaques importantes – myocardite, péricardite – des problèmes au niveau de l’aorte et un grand nombre de troubles sanguins : thrombose, thrombocytopénie et caillots sanguins dans les poumons et les jambes ».

Carmen Berenguer Zurera, artiste et soignante à la maison de retraite Feixa Llarga, reçoit sa quatrième dose du vaccin contre la Covid-19 et la grippe, le 26 septembre 2022, à Barcelone, en Espagne. (Zowy Voeten/Getty Images)

Mme Wolf a déclaré que « ces nanoparticules lipidiques provoquent la coagulation dans le corps. Ceux qui travaillaient avec des nanoparticules lipidiques le savaient déjà avant l’ARNm. »

« Nos experts ont découvert que les nanoparticules lipidiques détruisent la gaine de myéline des nerfs, qui permet la conduction de l’électricité lors d’une impulsion […]. Il y a donc bien sûr des tremblements. Combien de personnes connaissez-vous qui souffrent actuellement de tremblements ? Nous observons des cas de syndrome de Guillain-Barré, de démences, de crises d’épilepsie, de graves troubles neurologiques, ainsi que toutes sortes de maladies auto-immunes, comme le lupus, car nous savons maintenant que ces injections endommagent le système immunitaire. »

Les documents indiquaient que Pfizer avait appris en avril 2021 que le vaccin avait causé des dommages aux enfants, notamment des myocardites et des péricardites, ainsi que des lésions cardiaques. « Nous n’avions jamais vu de jeunes s’effondrer de façon aussi massive. Pfizer savait que 35 enfants avaient subi des lésions cardiaques. »

« L’un des aspects les plus choquants que notre travail a mis en lumière est que la FDA savait, le CDC (Center for disease control) savait, et le ministère israélien de la Santé a essayé d’avertir le CDC et l’administration Biden que les mineurs souffraient de lésions cardiaques. »

« Nous avons déposé une demande FOIA pour obtenir des documents de l’administration Biden mentionnant une myocardite et avons trouvé des conversations actives, y compris avec jusqu’à 15 membres du personnel de la Maison-Blanche », a-t-elle poursuivi.

Au lieu de dire : « Nous devons revenir en arrière, nous devons informer les parents aux États-Unis et, par extension, dans le monde entier, pour protéger leurs enfants et leurs jeunes de ce risque, ils ont décidé de le dissimuler », a souligné Mme Wolf.

« Deux de nos rapports, à mon avis, établissent un lien de causalité. La moitié des effets indésirables graves, touchant le foie et les accidents vasculaires cérébraux, sont survenus dans les 48 heures suivant l’injection, y compris des décès. Pfizer le savait », a-t-elle ajouté.

Concernant les atteintes à la reproduction et les avortements, elle a cité « 1200 décès en trois mois », indiquant qu’« il ne s’agissait pas de décès statistiquement aléatoires de personnes âgées présentant de multiples comorbidités : il s’agissait de 1200 décès que les médecins ont signalés à Pfizer ou aux autorités parce qu’il y avait une causalité qui les concernait ».

Des recherches « surprenantes » sur la reproduction humaine

Naomi Wolf a déclaré qu’il était étrange qu’ils n’aient pas trouvé de recherche significative sur les effets pulmonaires, ce sur quoi ils s’attendaient à ce que Pfizer enquête étant donné qu’il s’agit supposément d’une maladie respiratoire, mais ils en ont trouvé sur la reproduction.

« Tous ces effets indésirables et ces dangers ne sont pas ce qui surprend le plus dans les documents Pfizer. Ce qui est surprenant, c’est que si la Covid est une infection respiratoire, on s’attendrait à trouver dans ces documents beaucoup d’informations sur les poumons, le taux d’oxygène et les muqueuses. Il n’y a quasiment aucune mention des problèmes respiratoires. »

Les recherches menées portaient sur la destruction des spermatozoïdes, des trompes de Fallope et des ovules, les dommages au placenta, les dommages aux fœtus in utero, les dommages à l’accouchement et les dommages à l’allaitement. Selon elle, il s’agit d’une « approche obsessionnelle et à 360 degrés visant à ruiner la reproduction humaine ».

« C’est ce qu’ils étudiaient. Pourquoi ? Pourquoi ont-ils pris des rats mâles et femelles, vacciné les mâles, les ont-ils accouplés avec des femelles non vaccinées, sacrifié les animaux et examiné les cellules de leurs organes sexuels pour détecter une infection respiratoire ? »

Les documents publiés ont révélé qu’ils étaient au courant des effets du vaccin sur la reproduction. Selon Mme Wolf, « ils savaient que des nanoparticules lipidiques, conçues pour traverser toutes les membranes du corps – le placenta est une membrane – traversaient le placenta des femmes à qui l’on avait conseillé, dans mon pays, de se faire vacciner pendant leur grossesse, contrevenant ainsi à des décennies de connaissances sur la protection des bébés in utero. Normalement, on ne donne rien à une femme enceinte, sauf en cas d’absolue nécessité. Or, on leur a conseillé de se faire vacciner. »

« Ils traversent le placenta et provoquent des calcifications, ce qui empêche le bébé de recevoir des nutriments et de l’oxygène. Dans mon pays, des sages-femmes m’ont informée, de manière indépendante, que des bébés naissent prématurément parce que le placenta ne se développe pas normalement ; elles m’envoient des photos de placentas plats et anormaux, avec un apport insuffisant de sang et d’oxygène, et c’est pourquoi les bébés doivent naître prématurément. »

« Il n’est pas facile d’accoucher d’une mère dont le placenta est endommagé : le placenta s’affaisse pendant l’accouchement, ce qui entraîne des hémorragies pendant le travail ou la rétention d’une partie du placenta, ce qui est extrêmement dangereux. Ainsi, la mortalité maternelle et fœtale chez les femmes qui ont résolu ce problème en Occident a augmenté de 40 % depuis les injections. Pfizer le savait. »

Elle mentionne également que Pfizer savait que les nanoparticules traverseraient la membrane entourant les testicules des bébés mâles in utero et dégraderaient les cellules de Leydig et de Sertoli des garçons nés de mères vaccinées. « Même si les bébés ne sont pas vaccinés, ils le reçoivent quand même de leur mère. Quel est l’effet ? Les cellules de Leydig et de Sertoli sont les usines à hormones mâles : elles activent les hormones mâles à l’adolescence, déclenchant ainsi le développement corporel typique de l’homme : une voix grave, des épaules larges, une pilosité corporelle et faciale, et, à l’âge adulte, la capacité à procréer. »

« Nous ne savons pas si ces enfants mâles exposés in utero deviendront des adultes normaux et fertiles, même s’ils ne sont jamais vaccinés à l’ARNm. Pfizer savait qu’ils endommageaient les testicules des mâles in utero. »

Mme Wolf a cité un rapport d’andrologie qui « confirmait la diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes chez les hommes vaccinés. C’est un sujet que vous devriez examiner. Je pense que Pfizer a des connaissances sur les dangers que le sperme des hommes vaccinés représente pour les femmes, mais qu’il ne révèle pas. »

Les documents de Pfizer avertissent les sujets masculins de l’étude de ne pas avoir de relations sexuelles avec des femmes non vaccinées en âge de procréer ; et, s’ils en avaient, d’utiliser deux méthodes de contraception fiables. Pfizer définit l’exposition comme incluant « le contact cutané, l’inhalation et les fluides corporels comme le sperme ».

« À ce jour, nous ne savons pas exactement ce que cela signifie. Nous savons que des femmes, selon certaines sources, ont eu d’horribles crampes et problèmes lors de rapports sexuels avec des maris vaccinés. Nous ignorons pourquoi Pfizer leur a déconseillé de le faire. »

Des expériences sur des bébés ?

Dans une étude citée dans le rapport, il a été conseillé aux femmes vaccinées de ne pas tomber enceintes. Wolf explique que 270 femmes sont tout de même tombées enceintes, et que « les dossiers de 234 de ces grossesses ont été perdus », malgré « l’obligation de Pfizer d’effectuer un suivi ».

« Sur les 36 femmes qui ont accouché, plus de 80 % ont perdu leur bébé. »

D’après l’étude, elle cite que « l’une des sections les plus troublantes » des documents de Pfizer est intitulée « rapport sur la grossesse et l’allaitement ».

« Cela me rend triste et me donne un sentiment de lourdeur d’en parler, car c’est une nouvelle très sombre. »

Concernant le document, elle explique qu’il se compose de huit pages préparées spécifiquement pour la Maison-Blanche et livrées en avril 2021.

« Le rapport comprend un graphique montrant les dommages menstruels chez des dizaines de milliers de femmes : 15.000 femmes avec des saignements quotidiens après la vaccination ; 10.000 femmes avec deux menstruations par mois ; 7500 femmes sans règles du tout. »

Elle mentionne également « des filles de 10 ans qui saignaient après avoir été injectées ; des femmes de 85 ans qui saignaient après avoir été injectées ; des femmes qui saignaient, qui laissaient passer des caillots – des vies ruinées et, certainement, une fertilité ruinée. »

Il y a un graphique montrant qu’ils ont mené des expériences sur des bébés, et ils le savaient ; ils ont mené des expériences sur au moins trois bébés qui sont décédés. Elle a montré que les bébés allaités par des mères vaccinées souffraient de vomissements, d’œdèmes (gonflement des tissus), de fièvre, d’un manque de prise de poids et étaient inconsolables. Je n’arrive pas à m’enlever ça de la tête. Un bébé a eu des convulsions après avoir été allaité par sa mère vaccinée et a été emmené aux urgences où il est décédé d’une défaillance multiviscérale : son système s’est complètement arrêté.

Naomie Wolf a déploré que « à ce jour, les femmes en Europe ne le savent pas ; la plupart des femmes aux États-Unis non plus ».

Mme Wolf affirme en outre qu’il était connu en 2017 que les nanoparticules lipidiques pouvaient être nocives pour la fertilité humaine, mais elles étaient quand même utilisées.

Elle faisait probablement référence à l’étude menée par Rahim Dad Brohi du Laboratoire clé de génétique, d’élevage et de reproduction du ministère de l’Éducation de Chine, Collège des sciences et technologies animales, Université agricole de Huazhong, à Wuhan, en Chine.

« Malgré les avantages des nanoparticules, plusieurs applications nanotechnologiques ont exposé les humains et les animaux à leurs toxicités potentielles. Concernant l’exposition humaine aux nanoparticules (NP), celles-ci peuvent pénétrer dans l’organisme par inhalation, ingestion, absorption cutanée, injection ou implantation », indique l’étude.

« Par conséquent, l’utilisation généralisée des nanomatériaux a suscité des inquiétudes quant à l’impact négatif des NP sur la santé humaine, principalement sur les systèmes reproducteurs masculins et féminins et sur la santé fœtale, en particulier compte tenu de la petite taille des NP, de leur facilité de pénétration et de biocompatibilité, et de leur capacité potentielle à traverser la barrière placentaire. »

La rédactrice en chef a expliqué aux députés que son enquête avait débuté après avoir rapporté des témoignages décrivant des troubles menstruels après l’injection d’ARNm. Elle a été bannie du jour au lendemain sur Twitter, Facebook et YouTube. « Ma biographie a changé simultanément dans le monde entier, ce qui est curieux. Je ne pensais pas que l’IA était si répandue à l’époque, mais quelque chose l’a changé : je suis passée de “boursière Rhodes, docteure d’Oxford” à “théoricienne du complot”. »

Liens avec la Chine

Mme Wolf a demandé aux députés européens d’enquêter pour savoir si le développement du vaccin a constitué « une arme biologique déployée pour réduire les populations occidentales et exercer une influence politique ».

Elle note qu’elle a trouvé un document de la SEC reliant BioNTech, avec lequel Pfizer a produit le vaccin à ARNm – « dont on nous a dit qu’il s’agissait d’une société allemande, mais ce n’est pas entièrement allemand » – avec Fosun Pharma, l’un des plus grands laboratoires de Chine.

Pour Mme Wolf, cette alliance était inquiétante.

Selon elle, le déploiement du vaccin en Occident n’est pas aléatoire et les effets secondaires observés dans les documents « n’ont pas été distribués de manière aléatoire ».

« En tant que consultante politique, j’ai été frappée par le fait que le plus grand nombre d’événements indésirables graves se concentre dans les démocraties occidentales les plus influentes : plus de 42.000 aux États-Unis, suivis par un nombre significatif dans les pays européens démographiquement et politiquement importants : l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Italie, l’Espagne et la Grèce, dans cet ordre. Les 52 pays restants dans le reste du monde ne représentent qu’environ 7000 événements indésirables. »

« Je terminerai en soulignant que si l’on considère ceux qui ont été obligés de se faire vacciner – c’est vrai dans mon pays et, je pense, dans une grande partie de l’Europe occidentale – il s’agissait de nos soldats, des marines, des forces aériennes, des agents des forces spéciales, de la nouvelle génération de pilotes, de nos étudiants souhaitant retourner en classe. Il est intéressant de noter que les grandes universités de l’Ivy League ont exigé le vaccin. Qui d’autre était obligé de se faire vacciner ? Nos professionnels de santé : médecins, infirmières et premiers intervenants. »

« Fosan Pharmaceuticals, filiale de Fosan International, l’une des plus grandes entreprises chinoises, a rejeté à trois reprises le vaccin proposé par Biden. C’est révélateur », a pointé Mme Wolf. Fosan est l’entreprise associée à BioNTech.

Le vaccin de BioNTech développé en Chine

BioNTech a été fondée en 2008 et est enregistrée en Allemagne. Le Dr Ugur Sahin est PDG des traitements d’immunothérapie. En 2018, la collaboration Pfizer-BioNTech a vu le jour,  sous la forme d’un accord bilatéral pour le développement de vaccins antigrippaux à ARNm.

BioNTech a été cotée au NASDAQ aux États-Unis en octobre 2019, selon la SEC (Securities and Exchange commission).

Le 15 mars 2020, Shanghai Fosun Pharmaceutical Industrial Development Co., Ltd. a annoncé avoir obtenu une licence exclusive de BioNTech pour développer et commercialiser en exclusivité le vaccin Covid-19, développé sur la base de la plateforme technologique d’ARNm de BioNTech, sur le territoire (en Chine).

En vertu de l’accord, Fosun paierait à BioNTech les frais de licence (y compris le paiement initial, le développement clinique, l’enregistrement et les paiements d’étape de vente) pour un montant total ne dépassant pas 385 millions de dollars américains, et paierait des redevances de vente à un taux de 35 % du bénéfice brut annuel pendant la durée de ces redevances.

Le document indique qu’à la date de l’annonce, le vaccin prophylactique de la Coopération fait l’objet d’études précliniques en Allemagne. Les études cliniques et les travaux connexes sur le Territoire (c’est-à-dire la Région administrative spéciale de Chine continentale, Hong Kong et Macao, et la Région de Taïwan, ci-après dénommée la Région administrative spéciale) n’ont pas encore commencé.

À la même date, la SEC a déclaré que les deux sociétés avaient annoncé une collaboration stratégique de développement et de commercialisation pour faire progresser le vaccin candidat à ARNm BNT162 de BioNTech en Chine pour la prévention des infections au Covid-19.

« BioNTech conservera tous les droits de développement et de commercialisation du vaccin dans le reste du monde. »

Parallèlement, BioNTech a confirmé les termes de l’accord, précisant que les deux sociétés travailleraient ensemble sur le développement du BNT162 en Chine.

Le 17 mars, un dossier déposé auprès de la SEC indiquait que Pfizer Inc. et BioNTech avaient signé une « lettre d’intention pour le développement et la distribution conjoints (hors Chine) d’un potentiel vaccin contre le coronavirus à base d’ARNm destiné à prévenir l’infection par le Covid-19 ».

« Cette collaboration vise à accélérer le développement du premier programme de vaccin à ARNm contre la Covid-19 de BioNTech, le BNT162 (le même que le programme de vaccin chinois), qui devrait entrer dans les essais cliniques d’ici la fin avril 2020. »

Pfizer a confirmé la collaboration le même jour

En mai 2021, Fosun a déclaré que « la coentreprise adoptera[it] des mécanismes de protection de la propriété intellectuelle appropriés pour protéger la propriété intellectuelle, le savoir-faire et les secrets commerciaux de BioNTech ».

Il y a quatre mois, le sénateur américain Ron Johnson a tenu une audition intitulée « La corruption de la science et des agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et dissimulé la myocardite et d’autres effets indésirables associés aux vaccins contre la Covid-19 ». Il a publié un rapport intermédiaire de plus de 2400 pages de documents détaillant l’incapacité des agences fédérales de santé à alerter adéquatement le public sur les risques, par exemple de myocardite et d’inflammations cardiaques associées, suite à la vaccination à ARNm contre la Covid-19. Mme Johnson a cité, entre autres, la collaboration de Mme Wolf.

Pfizer Papers dévoilés à Bruxelles : des milliers de documents inédits sur le vaccin contre le Covid Lire la suite »

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