Dans cette vidéo, nous déconstruisons la « croisade » médiatique menée par Michel Cymes et Olivier Véran. Une offensive déclarée contre une nouvelle ère fondée sur la transparence, le consentement et la remise en question des anciens dogmes. Ils présentent leur chaîne « Mieux » comme un rempart contre la désinformation… mais s’agit‑il d’un bouclier ou d’un bunker idéologique ? Entre hypercontrôle narratif et servilité au pouvoir… quel rôle pour la vérité scientifique ?
Alors que nous découvrons une agressivité et une violence hors norme chez les gens depuis ces 5 dernières années, le Dr Naomi Wolf explique au parlement européen (06/09/25), les liens entre le vaccin ARNm COVID et la démence.
C’était une audience électrique au Sénat américain. Pendant plus de trois heures, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé, a affronté une armée de sénateurs hostiles, tous alignés derrière le même mantra : « sûrs et efficaces ».
Mais derrière leurs slogans, une réalité glaçante : des millions de dollars de Big Pharma coulent dans leurs campagnes.
Pendant ce temps, Kennedy révèle les vérités qui dérangent : •Le coup de balai au CDC et le licenciement des responsables du désastre COVID. •Les dangers des injections à ARNm : caillots, turbo-cancers, effets à long terme ignorés. •La dénonciation des conflits d’intérêts et de la corruption systémique des sénateurs. •Les risques sanitaires de la 5G, encore passés sous silence. •La fracture entre les États-Unis : la Floride supprime tous les mandats de vaccination tandis que la Californie les renforce. •L’écho mondial, de l’Europe à la France, où la confiance dans les institutions s’effondre. Kennedy ne parle pas seulement aux Américains. Il pose la question fondamentale pour le monde entier : voulons-nous rester des cobayes dans un essai clinique planétaire… ou reprendre le contrôle de nos vies ?
Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone préparent la riposte.
Dans l’affaire trop peu médiatisée des victimes des vaccins Covid contre Bill Gates, Albert Bourla et une quinzaine d’autres accusés, le tribunal de Leeuwarden aux Pays-Bas a décidé de ne pas entendre les experts et a censuré les débats, sur base d’une recommandation qui semblait avoir été édictée en dernière minute.
L’on pouvait s’y attendre car les plaignants néerlandais, des victimes des vaccins Covid et la fondation Rechtoprecht ont attaqué en force: ils parlent de génocide et de destruction planifiée pour organiser un « grand reset », sous couvert de réponse à la pandémie. Et pour attester du complot, ils ont recruté une équipe de choc: des voix qui pèsent tant par leurs qualifications que par leur acharnement à exposer « les crimes Covid ».
Dr Mike Yeadon: britannique, ancien vice-président pour la recherche et le développement des produits concernant les maladies respiratoires au niveau mondial pour le groupe Pfizer. Mike Yeadon a déclaré à maintes reprises que le fait d’utiliser la protéine spike qui est à l’origine du processus inflammatoire de la maladie comme base de fabrication des vaccins Covid, était un choix erroné qui violait les principes de précautions habituels de l’industrie pharmaceutique. Cette erreur manifeste ayant été commise par tous les fabricants démontre selon lui une intention de nuire concertée. En outre, le Dr Yeadon expose aussi le fait que l’on ignore ce que contiennent les vaccins Covid et qu’il est virtuellement impossible d’en contrôler les lots.
L’économiste Catherine Austin Fitts: ancienne sous-secrétaire au logement sous la 1ère administration Bush et fondatrice du Solari Report, elle a été une des premières à dénoncer le reset de l’architecture financière opéré sous couvert de pandémie et la destruction délibérée de la petite et moyenne entreprise au profit des grands capitaux. Dans « The Going Down Reset », l’économiste explique comment les banquiers centraux se sont accordés sur la plan d’accaparement des ressources et d’endettement présenté par Blackrock le 22 août 2019, 6 mois avant la pandémie, et dont l’accélération a été enclenchée au lendemain de la déclaration d’une alerte sanitaire liée au SARS-cov-2 par l’OMS.
Sasha Latypova, une entrepreneuse dans le domaine pharmaceutique, experte dans la réglementation du développement et de la production des produits. Elle a démontré depuis le début de la pandémie les nombreuses failles de sécurité et de réglementation des produits, ainsi que le manque de contrôle des vaccins, notamment la qualité des lots.
Joseph Sansone, docteur en psychologie. Il affirme que la crise du Covid 19 a été utilisée à des fins de guerre psychologique pour induire des sentiments de peur, avec l’intention de manipuler les foules et de contrôler le comportement des peuples. Sansone a répertorié différents mécanismes psychologiques, dont certains proches de l’hypnose, qui ont été utilisés par les politiques et les médias de masse pour parvenir à ces fins.
Le sixième témoin sollicité par l’accusation était le professeur Francis Boyle, un expert en armes biologiques qui a contribué à l’élaboration de lois internationales sur les armes biologiques. Trois semaines après avoir accepté de témoigner, il est décédé subitement. La cause de son décès n’a pas été divulguée. Boyle avait plus de 70 ans, mais il était en bonne santé et enseignait à plein temps.
Il ne fait pas de doute que la pression exercée sur la partie plaignante est de taille. À la mi-juin, Arno Van Kessel, un des principaux avocats avait été arrêté par une unité de forces spéciales et son domicile avait été perquisitionné. À l’heure du procès à Leeuwarden, il était toujours en détention, sans que l’on sache véritablement pourquoi; une manœuvre arbitraire qui a laissé son collègue seul face à la défense et qui n’est pas sans rappeler le cas de l’avocat Reiner Fuellmich en Allemagne.
Manifestement, ces débats font peur, car le procès compte aborder des questions bien gênantes, comme le fait de savoir si:
La technologie de l’ARNm/ADN peut être utilisée comme arme biologique?
Les injections d’ARNm de Covid-19 ont été commercialisées en tant que produits médicaux réglementés?
La législation impose l’utilisation de substances et de méthodes scientifiquement validées dans le but de promouvoir les injections d’ARNm (Covid-19) comme étant sûres et efficaces?
Lorsque les injections d’ARNm Covid-19 ont été administrées à des millions de personnes dans l’Union européenne, ces injections répondaient-elles aux exigences et aux garanties que les consommateurs peuvent attendre de produits pharmaceutiques?
Sur quelle base les virus, les vaccins, la thérapie génique et les autres produits biologiques sont-ils différenciés des armes biologiques et bactériologiques?
Heureusement, il ne s’agit que d’une première décision et l’affaire est loin d’être terminée. Ce rejet avait de toute manière été anticipé et les avocats de l’accusation affirment avoir une série de stratégies alternatives pour poursuivre la procédure.
En attendant, un soutien du public est nécessaire face à une défense qui dispose de moyens quasi illimités. L’association Rechtoprecht lance un appel à l’aide via le communiqué de presse de leur avocat principal Peter Stassen.
Appel à l’aide et communiqué de presse envoyé par le bureau d’avocats des plaignants:
Communiqué du 20 août 2025 concernant la procédure de demande au tribunal de district de Leeuwarden avec le numéro de référence C/17/199273 / HA RK 25-17
Au nom de trois clients qui ont subi de graves dommages physiques et non matériels à la suite d’injections d’ARNm Covid-19, le soussigné a lancé une procédure de pétition au tribunal de district de Noord-Nederland, à Leeuwarden.
La demande au tribunal est d’entendre cinq témoins experts internationaux dont les opinions diffèrent du récit officiel de Covid-19 (une demande de preuves préliminaires). Mes clients, comme beaucoup de ceux qui réalisent que le Covid-19 n’est pas une maladie mais un projet, ont des questions urgentes d’une grande importance sociale.
Un débat social ou scientifique sur ces questions ne peut avoir lieu sans intervention judiciaire. Pour cette raison, il est de la plus haute importance que les experts soient entendus devant les tribunaux, devant le juge et avec la possibilité d’un débat public de procédure et de deuxième avis. Cela permet à mes clients – et à d’autres – de déterminer leur situation juridique en fonction de ces informations. Les questions de la procédure de pétition concernent, entre autres, la question de savoir si les injections d’ARNm du Covid-19 constituent une arme biologique utilisée par les défendeurs, en tant qu’exécuteurs du projet Covid-19: The Great Reset, pour commettre un génocide.
Les experts nommés dans ce contexte sont Catherine Austin Fitts, Michael Yeadon, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone. Pour plus de détails sur la requête et les CV de ces témoins experts, veuillez vous référer aux documents judiciaires publiés sur le site Web de la Fondation RechtOprecht, qui facilite ces procédures (www.RechtOprecht.online). Sur le site Web susmentionné, vous trouverez également les documents de procédure complets dans une procédure de fond (procédure d’assignation – citation à comparaître) que j’entame au nom de sept autres clients – et dont l’un est décédé à la suite des injections d’ARNm Covid-19.
Ces procédures de fond contiennent de nombreuses preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les injections de Covid-19 sont une arme biologique utilisée par les accusés agissant en groupe pour commettre un génocide. Ces procédures de fond sont également soutenues par la fondation Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). Une audience orale sera toujours requise dans ces procédures de fond avant que le tribunal de district de Leeuwarden ne puisse rendre un jugement (intérimaire). Aucune date n’a encore été fixée pour cette audience. Compte tenu de la similitude en matière, les deux procédures sont d’une grande importance publique. Tant les procédures de fond que les procédures de demande concernent les procédures de droit civil dans lesquelles j’ai une vaste expérience et je me suis longuement spécialisé à travers mes plus de vingt ans de pratique juridique et de multiples formations de troisième cycle (Grotius).
Pour soutenir financièrement ces deux affaires, la Fondation RechtOprecht s’appuie sur les dons des donateurs, qui sont essentiels à la poursuite de leur fonctionnement. Les options de dons peuvent également être trouvées sur le site Web susmentionné.
Peu de temps avant l’audience orale du 9 juillet, une nouvelle directive de presse a été introduite aux Pays-Bas, qui stipule que seuls les soi-disant « journalistes accrédités » sont autorisés à faire des enregistrements vidéo des audiences. Malgré le fait que le juge ne soit pas lié par cette directive de presse et vu ma demande urgente au juge d’autoriser les enregistrements vidéo par les nombreux reporters présents, l’audience a été censurée. Car les « journalistes accrédités » ont brillé par leur absence. En ce qui concerne le cours discutable des événements survenus lors et autour de cette audience, je me réfère à la correspondance avec le tribunal consécutive au procès, qui est également publiée sur le site Web.
Il n’y avait pas d’argumentation convaincante justifiant le rejet d’entendre des experts lors de l’audience du 9 juillet. Au cours de cette audience, j’ai longuement discuté de l’énorme intérêt de la procédure pour le public. Le juge, qui a entendu l’affaire, a également déclaré lors de l’audience qu’il reconnaissait l’intérêt public dans la demande. Et l’avocat de Bill Gates s’est reporté à la décision du tribunal, de sorte qu’aucune objection n’a été soulevée contre lui quant à l’octroi de la demande, et elle était donc prête à être accordée.
Avec un mépris total pour la situation de mes clients, plusieurs des défendeurs ont repris le récit officiel selon lequel les injections d’ARNm Covid-19 étaient sûres et efficaces. Les représentants des médias [les personnalités des médias néerlandais qui sont accusées en tant qu’individus dans l’affaire] ont fait valoir que leurs employeurs (NOS/Telegraaf), et non eux-mêmes, auraient dû être poursuivis. J’ai conclu mon plaidoyer en notant que si le juge rejetait la demande, elle aurait le même sang sur les mains que les défendeurs, et j’ai souhaité à la juge beaucoup de sagesse dans sa décision.
La décision d’aujourd’hui montre clairement que la juge n’a pas eu la sagesse de ne pas se salir les mains dans cette affaire. Un enregistrement audio édité de l’audience, autorisé par le tribunal, ne sera disponible qu’en même temps que le verdict. Vous ne pourrez pas voir les réponses non verbales du public et de la défense sur cet enregistrement. Cet enregistrement audio sera également publié sur le site Web susmentionné de la Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). En réponse à mes questions, le tribunal a refusé d’expliquer pourquoi il a décidé de déformer les voix des avocats des accusés dans ces enregistrements.
Prochaines étapes:
La décision maladroite de ce tribunal de première instance fera l’objet d’un appel devant la Cour d’appel de Leeuwarden. Les défendeurs ont encore beaucoup à affronter sur le plan procédural. C’est pourquoi, à la fin de ce communiqué de presse, j’aimerais attirer votre attention sur les développements à venir qui sont d’une grande importance sociale.
En ce qui concerne les procédures, nous rappelons aux médias, et en particulier à la presse (journalistes) que d’autres preuves seront présentées dans les procédures de fond. Ces preuves montrent clairement que les injections d’ARNm du Covid-19 se qualifient comme une arme biologique utilisée pour commettre un génocide.
Cela démontre également que le public est toujours induit en erreur par la perception que les injections d’ARNm Covid-19 sont un vaccin développé et produit avec des garanties de sécurité. Dans la procédure de fond, il a été avancé que l’ancien ministre néerlandais de la Santé Hugo de Jonge, entre autres, a trompé le public en déclarant (ensemble avec d’autres collègues exécutants du projet Covid-19: The Great Reset) que « le vaccin a été rigoureusement testé et qu’aucune précaution n’a été négligée ». Ceci, alors que, comme le démontreront ces nouvelles preuves, il s’agit en fait d’une arme biologique. Un nouveau communiqué de presse suivra à l’occasion de l’introduction de ces éléments dans les procédures principales.
Sasha Latypova: Dans la première partie de l’interview, nous discutons de l’affaire en cours aux Pays-Bas contre les responsables gouvernementaux Bourla, Gates et Schwab, accusés de démocide et d’utilisation d’armes biochimiques dans le cadre de l’opération militaire mondiale «Covid». Les autres sujets abordés dans l’interview sont les motivations qui poussent les gouvernements à attaquer la population et les méthodes psychologiques utilisées. De nombreux autres thèmes sont également abordés.
Ce 3 septembre, la journaliste américaine Naomi Wolf a présenté les « Pfizer papers » au Parlement européen. Il s’agit d’un ensemble de rapports sur la sûreté et l’efficacité des vaccins Covid, établis à partir des données en possession du fabricant du vaccin, qui étaient initialement classées comme confidentielles. Les médias indépendants Kairos et France-Soir étaient présents. Image et vidéo de Kairos.
L’exposé de Wolf s’est révélé particulièrement choquant, de par les données communiquées et la nature des conclusions qui s’imposent suivant leur analyse. Pour la journaliste, qui rappelle qu’elle est une militante juive et qu’une partie de sa famille a péri dans les camps de concentration, la campagne de vaccination Covid doit être questionnée sous l’angle d’une volonté délibérée d’éliminer certaines catégories de la population.
Les Pfizer Papers sont:
des rapports établis à partir de 450 000 pages de documents reprenant toutes les données et études réalisées par le fabricant pour le dossier d’autorisation du vaccin. Ces données devaient rester confidentielles durant 75 ans. Elles ont été rendues publiques grâce à plusieurs procédures judiciaires auxquelles Naomi Wolf a participé et peuvent être consultées en ligne (FOIA)
3250 experts du monde entier qui ont travaillé à l’analyse des données
La démonstration d’un assaut sur la fertilité des femmes et des hommes dans certaines catégories de la population. Les injections Covid affectent les organes reproducteurs, en particulier les ovaires, altèrent le placenta et le lait maternel des femmes vaccinées. Les troubles menstruels de tous types étaient déjà connus.
Elles impactent aussi la motilité du sperme chez les hommes.
Les vaccins Covid induisent des naissances prématurées et même un empoisonnement du lait maternel. Le taux de mortalité lié à la naissance a augmenté de 40% aux États-Unis.
Les risques cardiaques chez les jeunes étaient également clairement identifiés dans les données préliminaires.
Le plus grave sans doute: dès les premières semaines de la vaccination, des rapports alarmants ont été transmis par les autorités de santé israéliennes où les premières campagnes de vaccination ont eu lieu. Ces alertes ont pointé une augmentation importante des décès, des risques de myocardites chez les jeunes et des problèmes de fertilité chez les femmes. Malgré cela, en toute connaissance de cause, les autorités sanitaires américaines et la Maison Blanche ont décidé de recommander les vaccins à ces catégories à risque.
S’il est difficile d’incriminer Pfizer aux États-Unis, en raison de la législation d’urgence qui immunise le fabricant de toute responsabilité (le Prep Act), il faut par contre mener des accusations pénales envers les personnes ayant participé à ces décisions, ainsi qu’à la dissimulation de la vérité.
Enfin, la question d’une intention génocidaire est posée à la lumière d’un élément peu connu du public. Les vaccins Pfizer, qui ont été conçus en Allemagne par la firme BioNtech, ont également été formulés et produits par une entreprise chinoise, comme le montre un accord de principe avec la firme Fosun Pharma annoncé dès les premiers jours de la pandémie, le 20 mars 2020.
» Nous ne pourrons pas tout réparer. Mais ensemble, nous pouvons faire justice.
Depuis plusieurs mois, je reçois des témoignages bouleversants. Des personnes brisées dans leur santé, dans leur vie, dans leur dignité. Des proches endeuillés ou démunis. Tous confrontés à une même réalité : les effets secondaires graves de la vaccination COVID-19.
Mais tant que ces récits restent isolés, tant qu’ils ne sont ni formalisés, ni analysés, le droit ne peut rien.
🛡️ Donner voix à l’invisible, c’est notre responsabilité. Sans déclaration, pas de défense. Ce qui ne s’écrit pas n’existe pas aux yeux de la justice.
C’est pourquoi j’ai décidé d’ouvrir, au sein de REACTION19, une plateforme sécurisée dédiée à la collecte rigoureuse de ces témoignages.
Cette collecte n’est pas encore une procédure judiciaire. C’est une étape préalable, stratégique et indispensable, pour évaluer l’ampleur des préjudices, identifier les responsabilités, et bâtir une réponse juridique structurée.
📂 Victimes, ou proches de victimes, vous pouvez dès aujourd’hui déposer un dossier. Ce geste, bien que simple en apparence, est un acte fort. Il vous inscrit dans une dynamique de vérité, et peut ouvrir la voie, demain, à une action collective, digne, déterminée, légitime.
🧾 Ce dépôt est entièrement gratuit. Il ne nécessite aucune adhésion. Il n’engage à aucune procédure. Il constitue la première étape d’un travail d’étude approfondi, destiné à évaluer la nature et l’ampleur des préjudices déclarés. C’est à partir de cette analyse collective que pourra être envisagée la stratégie judiciaire la plus appropriée, en lien avec les victimes.
Faire exister ces récits, c’est sortir du silence. C’est poser les premières pierres d’une réponse de droit. Il n’engage à rien, sinon à faire exister, enfin, ce que d’autres s’acharnent à taire.«
Reaction19.fr Carlo Alberto Brusa Président de l’Association Reaction19
François Bayrou, Emmanuel Macron, et ces dates qui résonnent : le 8 septembre, le 10 septembre… Derrière les discours et les postures, que se cache-t-il vraiment ? Un pouvoir qui vacille, un peuple qui se lève, un système qui panique. Quand la mission des élites n’est plus de servir la nation mais de la livrer au chaos, alors chaque événement prend un sens caché. Et si tout cela n’était pas le fruit du hasard ? Cette vidéo plonge dans les coulisses de la politique française, entre manipulations, stratégies et révélations.
Une journée de rencontres, de témoignages et de tables rondes animées par des professionnels de la santé, de la justice et des collectifs. Myocardites, AVC, brouillard mental, épilepsie, maladies auto-immunes, turbo cancers… Malgré le silence des autorités et des médias, les pathologies liées aux effets des injections ARNm anti covid sont innombrables.
Plongez dans ce réquisitoire public dénonçant l’utilisation secrète des armes climatiques par les états. A travers des preuves historiques et documentées, nous établissons la mens rea – l’intention coupable des gouvernements à manipuler le climat pour des fins militaires – et l’actus reus – les actes concrets comme des opérations et brevets réalises. Cette vidéo révèle comment ces technologies, de la guerre du Vietnam à aujourd’hui, menacent la souveraineté globale et la sécurité des populations.
Lorsqu’on évoque la « corruption scientifique vaccins », beaucoup pensent à un phénomène marginal, à quelques dérapages isolés. Pourtant, il s’agit d’un problème systémique qui gangrène la recherche médicale et influence directement les décisions de santé publique.
Derrière les apparences d’objectivité, de rigueur et de neutralité, des forces économiques et politiques orientent les études, sélectionnent les données et contrôlent la narration. Les conséquences sont immenses : perte de confiance du public, politiques sanitaires biaisées, et surtout, risques pour la santé des populations.
Comprendre la corruption scientifique vaccins
La corruption scientifique dans le domaine des vaccins se manifeste de plusieurs façons. Elle peut être flagrante, comme la falsification délibérée de données ou la dissimulation de résultats gênants, mais elle est souvent plus subtile : biais méthodologiques, financement orienté, choix des critères d’évaluation favorisant un résultat attendu.
Dans ce contexte, le conflit d’intérêts devient un moteur invisible qui pousse à privilégier la rentabilité ou l’agenda politique plutôt que l’intérêt général.
Un conflit d’intérêts survient lorsque les chercheurs, les institutions ou les autorités sanitaires entretiennent des liens financiers ou idéologiques avec les fabricants de vaccins, compromettant leur indépendance.
Les grandes firmes investissent des sommes colossales dans les essais cliniques, le marketing scientifique et la communication médiatique. Les études financées par l’industrie tendent alors à présenter les produits sous un jour favorable, minimisant les risques et amplifiant les bénéfices.
Pourtant, il ne faut pas confondre erreur scientifique et corruption scientifique. La première est inévitable et corrigée par le processus de révision par les pairs ; la seconde est intentionnelle, orientée et souvent cachée. C’est cette dimension volontaire et systématique qui rend la corruption si dangereuse.
Silence et censure : quand la science devient un outil politique
L’un des aspects les plus inquiétants de la corruption scientifique vaccins est la mise en place d’un contrôle narratif. Les médias traditionnels, dépendants des budgets publicitaires des grandes firmes pharmaceutiques, servent de relais aux messages institutionnels sans les remettre en question. C’est ce qu’on appelle communément la « propagande » officielle.
Quant aux réseaux sociaux, ils appliquent des politiques de modération qui effacent ou déclassent toute information jugée « non conforme », même lorsqu’elle émane de scientifiques reconnus.
C’est dans ce climat que les débats ouverts, nécessaires au progrès scientifique, se voient remplacés par une pensée unique imposée. Ceux qui osent interroger les données officielles, publier des résultats divergents ou simplement demander plus de transparence se voient rapidement marginalisés, diffamés ou privés de leur droit à la parole.
La vidéo ci-dessous, avec le Professeur Perronne illustre parfaitement ce problème :
Dans cet extrait, un échange direct met en lumière l’absence d’études sur la transmission pour certains vaccins, malgré les affirmations répétées des autorités et des médias. Ce genre de révélation devrait susciter un débat public massif. Pourtant, il est souvent accueilli par le silence… ou la caricature.
Ci-contre, le livre passionnant de RF Kennedy dont parle le Pr Perronne, 40 ans d’enquêtes sur toutes les fraudes de Big Pharma incontestées et parfaitement décrites dans ce livre. Si vous avez encore des doutes, lisez-le, vous saurez!
L’impact direct sur la confiance publique
Quand les citoyens découvrent que des données essentielles ont été occultées ou manipulées, leur confiance envers les institutions médicales s’effondre. Et cet effondrement ne touche pas seulement le domaine vaccinal: il s’étend à l’ensemble du système de santé.
Les exemples les plus frappants de corruption scientifique vaccins
Certaines affaires ont marqué au fer rouge la relation entre science, industrie et opinion publique. Parmi elles, les scandales liés à la gestion des données cliniques, aux essais financés par les laboratoires eux-mêmes, et aux conflits d’intérêts non déclarés de chercheurs influents.
On retrouve régulièrement les mêmes schémas:
Des études financées par les fabricants qui concluent quasi systématiquement à l’innocuité et l’efficacité du produit.
Des résultats défavorables cachés ou minimisés dans les publications.
Des pressions exercées sur les revues scientifiques pour éviter la publication de données dérangeantes.
L’affaire du laboratoire P4 de Wuhan, par exemple, illustre comment certaines informations cruciales sur l’origine d’un virus peuvent être soigneusement filtrées ou retardées. Les enjeux politiques et économiques passent alors avant la vérité scientifique. Ce sujet est traité en profondeur dans l’ouvrage Labo P4 Wuhan : que nous a-t-on caché ?, indispensable pour comprendre les ramifications internationales de ces pratiques.
Enfin, pour approfondir ces thématiques avec une vision globale et cohérente, vous pouvez profiter de notre offre spéciale 3 livres de Robert F. Kennedy Jr + 1 offert permet d’obtenir une vue d’ensemble de ses enquêtes explosives sur la santé publique mondiale.
Reprenons ensemble les points clés mis en lumière dans cette vidéo du Pr Perronne
Absence d’études sur la transmission avant la mise sur le marché Lors d’une audition au Parlement européen, un cadre de Pfizer a admis que l’entreprise n’avait jamais mené d’étude pour vérifier si le vaccin réduisait la transmission. Malgré cela, l’argument principal des campagnes politiques et médiatiques en France était que la vaccination empêchait de transmettre le virus, justifiant ainsi les obligations imposées aux soignants, pompiers, militaires et autres professions.
Manipulation et dissimulation de données Plusieurs études publiées dans de grands journaux médicaux (comme The Lancet ou New England Journal of Medicine) ont été rétractées après avoir été reconnues comme biaisées ou frauduleuses. Des chercheurs et lanceurs d’alerte ont témoigné de pratiques d’exclusion de données, de définition arbitraire des « non-vaccinés » (personnes vaccinées depuis moins de 15 jours), ou encore de la suppression des groupes placebo en cours d’étude.
Conflits d’intérêts et financement des agences L’exemple le plus marquant est celui de la FDA (l’agence américaine du médicament) ayant reçu, selon certains témoignages, des financements massifs de Pfizer pour accélérer l’autorisation du vaccin. Des experts estiment que cela constitue un problème majeur d’indépendance scientifique.
Répression des voix dissidentes Des médecins, chercheurs et professeurs ayant exprimé des doutes ou demandé un débat contradictoire ont été marginalisés, radiés ou poursuivis par les ordres professionnels. Les médias dominants ont largement ignoré ou ridiculisé ces critiques, souvent sans répondre sur le fond scientifique.
Risque d’extension de la technologie ARN messager Au-delà du vaccin Covid, il est désormais question de développer et d’imposer cette technologie dans d’autres vaccins, y compris pour des maladies infantiles ou saisonnières, sans recul suffisant sur la sécurité à long terme.
Pour finir :
L’affaire mise en lumière dans cette vidéo n’est pas simplement une controverse sur un produit médical: elle interroge profondément sur la manière dont la science est produite, validée et diffusée. Quand les agences de régulation, les gouvernements, les laboratoires pharmaceutiques et les médias fonctionnent en cercle fermé, sans contrôle indépendant réel, la confiance du public est inévitablement ébranlée.
Il ne s’agit pas ici d’être « pro » ou « anti » vaccin, mais d’exiger transparence, débats ouverts et preuves solides avant toute décision qui engage la santé de millions de personnes.
Appel à l’action citoyenne: vérifiez tout par vous-même !
Ne vous contentez pas de ce que vous entendez aux journaux télévisés ou sur les réseaux sociaux. Cherchez les sources. Lisez les études originales. Comparez les points de vue, même ceux qui dérangent. Posez des questions à vos médecins, à vos élus, à vos journalistes. Et surtout, gardez à l’esprit que la responsabilité de s’informer ne peut pas être déléguée entièrement à d’autres.
Ce n’est qu’en cultivant un esprit critique actif que nous pourrons éviter que la science soit dévoyée au service d’intérêts particuliers — et qu’elle retrouve enfin sa mission première : servir l’humain.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Avez-vous remarqué, comme dans cette vidéo, des incohérences ou contradictions dans les discours officiels sur les vaccins ? Pensez-vous que la science est aujourd’hui libre et indépendante… ou trop influencée par les intérêts financiers et politiques ? Partagez votre avis, vos expériences ou vos sources d’information dans les commentaires : chaque témoignage compte pour nourrir un vrai débat public.
Comment expliquer la passivité de Robert Kennedy Jr face aux ravages d’une certaine injection génique – alors même qu’il en connaît la gravité ? Pourquoi n’a-t-il pas immédiatement interdit ce produit dangereux et même accordé en juillet une autorisation à Moderna pour un produit ciblant les nourrissons dès 6 mois ? Ces questions lancinantes viennent enfin de trouver des éléments de réponse, rassurants !
Le Dr Michel de Lorgeril est un médecin français, cardiologue. Il est également chercheur au CNRS. Il est reconnu internationalement pour ses travaux sur le régime méditerranéen comme modèle alimentaire pour la prévention des maladies cardiovasculaires. Il s’est également penché sur les données scientifiques soutenant les programmes de vaccination, auxquelles il a consacré une série d’ouvrages.
Le groupe japonais United Citizens for Stopping mRNA Vaccines (Citoyens unis pour stopper les vaccins à ARNm) a obtenu plus de 21 millions de dossiers de vaccination officiels par le biais de demandes d’accès à l’information, ce qui constitue l’un des plus grands ensembles de données réelles de ce type.
L’analyse menée par le professeur Yasufumi Murakami (Université des sciences de Tokyo) révèle un pic massif de décès cachés survenant 90 à 120 jours après l’injection d’ARNm, un plus grand nombre de doses étant lié à des décès plus précoces.
Il y a quelques semaines, l’équipe du professeur Murakami a tenu une conférence de presse (en anglais) pour présenter ces résultats inquiétants, voir la vidéo ci-dessus (pour activer la traduction en français, cliquer pour voir la vidéo sur Youtube, puis sur la roue paramètres en bas à droite puis sur sous-titres, japonais, traduction automatique, français).
Masako Ganaha, chercheuse indépendante et journaliste japonaise, membre de United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, ainsi que les autres intervenants, échangent sur ces données révolutionnaires, à propos du rejet par le public des vaccins ARNm auto-amplifiants et de la lutte en cours pour dénoncer les effets néfastes de ces injections au Japon.
Comment les données ont-elles été recueillies?
Le gouvernement japonais ne fournit pas ouvertement de données détaillées sur les vaccinations et les décès au niveau individuel. Pour percer le secret, 350 volontaires à travers le Japon ont déposé des demandes locales de type « FOIA » auprès des bureaux municipaux, afin d’obtenir les dossiers officiels qui relient les numéros de lots, les dates de vaccination et les dossiers de décès (mortalité toutes causes confondues).
Le nombre total de documents obtenus à ce jour est de 25 millions
Les champs comprennent: la date de vaccination, la marque du vaccin, le numéro de lot, le groupe d’âge et le fait que la personne soit décédée ou non (toutes causes confondues).
La collecte des données se poursuit, certaines municipalités continuant à communiquer les dossiers tandis que d’autres s’y opposent.
1. Pic de décès retardé: 3-4 mois après la vaccination
Au lieu de regrouper les décès immédiatement après l’injection, le taux de mortalité le plus élevé a été enregistré 90 à 120 jours après l’injection. Dans les groupes de non vaccinés, ce pic n’a pas été observé.
2. Plus de doses = pic de mortalité plus précoce
Dans les données de la ville de Sagamihara, plus le nombre d’injections reçues était élevé, plus le pic de mortalité apparaissait tôt. Chez les personnes ayant reçu 4 à 5 doses, les pics de mortalité sont apparus bien avant les 90 jours.
3. Variabilité des lots
Les données confirment des différences massives entre les lots en ce qui concerne les effets indésirables, ce qui corrobore la littérature évaluée par les pairs.
L’injection d’ARNm Replicon rejetée par le public
Bien que le ministère japonais de la santé ait approuvé l’injection d’ARNm auto-amplifié de Meiji Seika Pharma (développée en partenariat avec CSL Seqirus et Arcturus Therapeutics), l’utilisation a été microscopique – seulement 15 000 doses administrées en avril 2025. La sensibilisation du public à leurs dangers, sous l’impulsion du groupe United Citizens, a probablement empêché une utilisation massive.
Le fabricant poursuit maintenant le député Kazuhiro Haraguchi, qui a développé un lymphome après trois injections d’ARNm et qui a trouvé la protéine spike dans ses cellules lymphatiques longtemps après sa guérison. Il a été l’un des rares législateurs à demander l’arrêt de la vaccination à l’ARNm.
Le gouvernement japonais admet les décès
Depuis le 2 juin 2025, le gouvernement japonais a admis que plus de 1 000 décès avaient été causés par la vaccination Covid-19, mais les produits à base d’ARNm restent sur le marché.
Les données japonaises prouvent que la mortalité post-vaccinale retardée est réelle – et largement invisible pour les systèmes actuels de surveillance de la sécurité. Étant donné que de nombreux décès surviennent des mois après l’injection, ils sont rarement liés au vaccin, ce qui masque l’ampleur réelle des dommages. Ce point aveugle a de profondes implications pour les programmes d’injection massive d’ARNm.
Le retrait immédiat de ces injections mortelles est absolument impératif.
Censuré mais victorieux. Ce film choc, devenu pièce à conviction pour la justice belge, révèle ce que les pouvoirs politiques, médiatiques et l’Ordre des médecins ont tenté de cacher. Regardez l’enquête qui brise l’omerta et rejoignez le combat pour la vérité. Ce documentaire plonge au cœur d’un drame humain et d’une faillite institutionnelle en Belgique. Alors que certains gardent le silence, la justice a ouvert une instruction sur la base des preuves présentées dans ce film. À travers des témoignages poignants, « Serment d’Hippocrate et Dignité » expose la maltraitance systémique des personnes âgées et le combat victorieux de leurs familles pour être entendues par les tribunaux.
Nexus recoit Louis Fouché à la suite de la conférence de presse organisée ce 29 Avril dernier par l’association « Les Enfants d’Hippocrate » pour parler de la santé après les injections Covid.
Laurence, mère d’Antoine, décédé à 30 ans, après la 2ème dose : « Entre ses injections et son décès, des symptômes alarmants sont apparus. Il a consulté des spécialistes, des généralistes, il y a eu des examens médicaux… Mais la piste d’un effet du vaccin n’a jamais été envisagée. Le 8 décembre 2021, il fut transporté aux urgences à 18 h et il en est sorti à 22 h 30, sans recommandations spéciales… Le 16 décembre, il fut retrouvé décédé dans sa baignoire… Conclusion de l’autopsie: mort par noyade suite à des convulsions… Aujourd’hui une instruction est ouverte et suit son cours… (2:15) Mon fils est décédé, c’est fini, c’est trop tard, alors en son nom je veux parler des victimes belges qui se battent. Je pense notamment à Lucy qui… est handicapée suite à une seule injection… Elle ne bénéficie pas de traitements médicaux appropriés. Et donc, c’est pour elle que je parle, mais aussi pour toutes les autres victimes… Pour qu’il y ait reconnaissance des effets délétères et accès à des traitements.» (4:03) Laurence parle aussi de VIAC19 BELGIQUE et du COLLECTIF ACTION 200 BELGIQUE.
Padoue/Padova 14/06/2025 Manifestation organisée par / Manifestazzione organizzata da: SINDACATO D’AZIONE (Franziska Elstner) ASSOCIAZIONE ITALIANI LIBERI (Cristiano Fazzini) En présence de / In presenza di: PERSONE IN CAMMINO, AAVIC-TEAM, VERITY-FRANCE, LES RÉSISTANTS-VIAC, VIAC19, COLLECTIF ACTION 200 BELGIQUE, ON A EU NOT’DOSE
Dr Denis Agret, médecin praticien hospitalier en santé publique et urgentiste, auteur du livre « Une vraie maladie », un cri d’alerte pour la préservation de notre système de santé. « La somme de bonnes immunités individuelles a pour résultat une très bonne immunité collective et une société en bonne santé. Nous avons tous à y gagner ! La santé individuelle et collective est un challenge pour la société. L’objectif est d’amener les individus à se réapproprier leur rôle essentiel dans la responsabilité de leur santé. Une meilleure santé permet de vivre plus sereinement, y compris dans le monde du travail », déclare le Dr Denis Agret.
Le 19 septembre 2025, les amendements au Règlement Sanitaire International (RSI) entreront en vigueur, sans référendum, sans débat parlementaire, et sans consultation du peuple français. Ce texte engage la France dans un régime sanitaire supranational, contraire aux principes fondamentaux de la démocratie, de la souveraineté et de la légalité constitutionnelle.
Ce documentaire révèle les histoires inédites des participants aux essais cliniques des vaccins contre le COVID-19 à travers le monde. Ce film jette un regard intime sur la vie des volontaires des essais vaccinaux. Ces personnes se sont présentées avec espoir et confiance, mais ont été confrontées à des effets secondaires graves et durables. Aujourd’hui, alors qu’elles naviguent dans un système qui leur offre peu de soutien, leurs histoires mettent en lumière un problème plus vaste : les lésions post-vaccinales sont souvent ignorées et les voix sont étouffées par une censure impitoyable.
Médecin réanimateur, Louis Fouché revient, et c’est une nécessité, sur la crise covid et ses incohérences délétères, alerte sur les dangers réels des nouveaux « vaccins » à ARNm et sur l’intrusion systématique de l’État dans notre quotidien. Une analyse fluide, technique, argumentée mais toujours bienveillante.
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