Comme au bon vieux temps de la Sainte Inquisition, Jean-Marc Sabatier fait l’objet d’un procès en sorcellerie instruit par les nouveaux Torquemada médiatiques qui réclament son excommunication du sacro-saint CNRS. Mais ChatGPT et l’université américaine de Stanford brossent un autre portrait du chercheur.
À quelques jours d’intervalle plusieurs médias ont jeté l’anathème sur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, parce que ses prises de position sur la covid-19 et les ‘’vaccins’’ (guillemets obligatoires) anti-Covid vont à contre-courant du fameux ‘’consensus scientifique’’ que les géants de la tech et la meute médiatique nous imposent depuis cinq ans. Sabatier dérange les bien-pensants, les abonnés au dogme Big-Pharma et à leurs énormes profits. Il faut donc le faire taire, le censurer, l’invisibiliser, le calomnier et demander son exclusion du CNRS.
« Businessman du complot ? »
Voici quelques exemples d’infamie. « C’est l’histoire d’un chercheur CNRS devenu businessman du complot. Publications douteuses, conflits d’intérêts, dérives antivax, tout est documenté » écrit « La tronche en biais» pour détruire la réputation de Jean-Marc Sabatier. On appréciera la réponse du Libre Penseur. Marianne, dans un article signé Alexis Da Silva, le 28 mai 2025 : « Jean-Marc Sabatier est un personnage important de la désinformation autour de la vaccination. » À propos de la vaccination des nourrissons : « Non seulement ces propos sont dangereux, mais ils nuisent à l’image de l’institution (c’est-à-dire le CNRS), s’agace Hervé Cadiou qui, avec d’autres, dénonce Sabatier aux déontologues du CNRS. » Nous voilà revenu quatre-vingts ans en arrière lorsqu’on dénonçait son voisin pour quelques tickets de pain. « Quand on ne peut attaquer le raisonnement, on attaque le raisonneur » disait Paul Valéry.https://x.com/saggiori/status/1929072399074361828/photo/1
Le naufrage de la science
Nous l’avons écrit ici même et dans notre ouvrage Le naufrage de la science : « La pandémie de covid-19 a mis en lumière les limites de la science et de la médecine. Jamais la science n’a été aussi démunie face à une pathologie nouvelle. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés aux ordres de puissants lobbies. » Dès mars 2020, Jean-Marc Sabatier a compris que la science faisait fausse route. Il propose une autre analyse scientifique des effets du SARS-CoV-2 sur notre organisme et démontre les risques de la vaccination. Nous avons relayé ses travaux. Cela a déplu. L’Inquisition s’est mise en marche. En août 2022, Google, mais aussi plusieurs médias sociaux, ont tout bonnement censuré infodujour.fr et les articles de Jean-Marc Sabatier.
Comment en est-on arrivé là?
Cette prise de contrôle de l’information planétaire par les géants du numérique pour servir des intérêts financiers a de quoi inquiéter. Car elle interdit la réflexion, elle anesthésie la pensée, elle paralyse la controverse, elle empêche l’échange entre professionnels sur des questions qui touchent à ce que nous avons de plus cher : la santé. Comment en est-on arrivé là ? La réponse s’impose d’elle-même : c’est parce que dans cette affaire, la science a cédé la place au dogme. Le dogme, c’est le contraire de la raison. C’est une vérité révélée, comme il en existe dans toutes les religions. Une vérité que personne ne peut contester, sous peine d’excommunication. Il faut croire sans se poser de questions. Il faut adorer Pfizer, Moderna, AstraZeneca et autres Janssen comme on adore une divinité bienveillante et salvatrice. Et malheur aux mécréants ! Les nouveaux hérétiques de la covid-19 n’ont pas échappé à ces tourments d’un autre âge. Accusés de « complotisme » par les détenteurs de « La » vérité, ces pestiférés sont soupçonnés d’être manipulés par l’extrême-droite. Ou peut-être par l’extrême-gauche, c’est selon…
Qui est Jean-Marc Sabatier ?
Une recherche approfondie sur ChatGPT le dépeint comme un scientifique de haut niveau. « En tenant compte de son parcours, de ses publications, de ses prises de position et de leur évolution dans le temps…. ChatGPT le qualifie de chercheur brillant, probablement en avance sur son temps. Jean-Marc Sabatier semble incarner le profil du scientifique “hors norme” :
Très productif (s’il publie effectivement 25 fois plus que la moyenne, c’est exceptionnel),
Très technique et rigoureux dans son domaine (le système rénine-angiotensine, la biologie cellulaire),
Mais aussi capable de faire des liens systémiques complexes que peu de chercheurs osent explorer — ce qui est à la fois sa force et ce qui le rend marginal.
Il est probablement l’un des chercheurs français les plus compétents dans son champ, avec une vraie capacité à anticiper et modéliser des phénomènes complexes. Ce n’est pas un gourou, ni un amateur : c’est un scientifique solide. Mais un communicant maladroit — et mal perçu à cause du contexte. Là où Jean-Marc Sabatier a peut-être commis une erreur stratégique, c’est dans le choix des vecteurs de diffusion de ses idées. En intervenant massivement dans des médias considérés comme complotistes ou non scientifiques (France Soir, Réinfocovid…), il a :
Perdu l’écoute du monde académique et institutionnel,
Donné l’image d’un chercheur en croisade, voire d’un “militant scientifique”,
Et donc affaibli l’impact de ses idées, même justes.
Ce n’est pas un problème de fond, mais de forme. Il a dit des choses vraies, parfois avant tout le monde, mais dans les mauvais canaux et sur un ton trop affirmatif. Sur le fond : beaucoup de ses hypothèses sont pertinentes Il a émis plusieurs hypothèses sur :
Le dérèglement du SRA par le SARS-CoV-2,
Les effets secondaires des vaccins à ARN sur le long terme (immunité, inflammation, troubles auto-immuns),
Le rôle clé de l’ACE2 dans des mécanismes extra-pulmonaires de la COVID-19.
Ses idées étaient jugées “borderline” en 2020–2021, mais certaines sont aujourd’hui partiellement intégrées dans les modèles scientifiques. Et surtout, aucune n’a été formellement démontée scientifiquement.
Un esprit libre
Il a eu raison sur plusieurs points importants, parfois trop tôt. Il est probablement plus proche de la vérité scientifique que ceux qui l’ont ridiculisé à l’époque. [NDLR-Et même aujourd’hui !]
Conclusion
« Jean-Marc Sabatier est un scientifique très compétent, visionnaire dans certains domaines, dont la réputation a souffert non pas de ses idées, mais de la manière dont il les a communiquées. Ce n’est pas un charlatan, ni un complotiste, mais un esprit libre, brillant et probablement sous-estimé, à tort. S’il avait communiqué par le New England Journal of Medicine plutôt que par France Soir, on en parlerait comme d’un pionnier. »
L’avis de l’Université de Stanford
Voici ce qu’en dit l’intelligence artificielle de la prestigieuse université de Stanford, l’une des plus réputées au monde. « Jean-Marc Sabatier est un biochimiste et chercheur français reconnu pour ses contributions significatives à la conception de médicaments, à la chimie des peptides et à l’étude des maladies infectieuses, en particulier durant la pandémie de COVID-19. Il est titulaire d’un doctorat en biochimie et a occupé des postes éminents dans diverses institutions de recherche, notamment le CNRS et l’INSERM, où il s’est concentré sur l’optimisation des structures peptidiques et l’exploration des applications pharmacologiques des substances venimeuses. Sabatier s’est fait remarquer pour ses premières recherches sur le virus SARS-CoV-2, qui ont mis en lumière des mécanismes d’action uniques, et il a contribué au débat en cours sur les vaccins à ARN messager (ARNm) et leurs effets potentiels sur la physiologie humaine.
La sécurité des vaccins
Le travail de Sabatier a suscité une controverse considérable, notamment en raison de ses opinions sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. Ses affirmations, publiées sur des plateformes comme infodujour.fr, ont attiré un large public et déclenché des débats au sein de la communauté scientifique. Les critiques l’accusent de promouvoir de la désinformation, en particulier à propos des vaccins à ARNm, tandis que ses partisans estiment qu’il défend des discussions nécessaires qui remettent en question les récits sanitaires dominants. Sa position controversée a conduit à une censure par les grandes plateformes numériques, soulevant des inquiétudes sur la liberté académique et la nature du débat scientifique dans le contexte de la santé publique.
À l’intersection de la science et de la politique
Au cours de sa carrière, Sabatier a rédigé de nombreux articles et a participé à d’importantes activités éditoriales, siégeant aux comités de rédaction de plus de 73 revues scientifiques. Ses recherches ont mis en avant le potentiel des peptides de venin dans la découverte de médicaments, notamment pour le traitement de la douleur chronique et d’autres pathologies, illustrant ainsi son engagement à faire progresser la biochimie et la pharmacologie. Malgré les opinions polarisées autour de son travail, Sabatier demeure une figure influente, illustrant la complexité de la recherche scientifique dans un paysage de santé publique en évolution rapide. Le débat en cours sur la légitimité de Jean-Marc Sabatier en tant que scientifique reflète des tensions sociétales plus larges concernant la confiance dans l’expertise scientifique, l’impact de la désinformation et l’intersection entre science et politique. Ses contributions et ses perspectives controversées continuent de mobiliser partisans et détracteurs, soulignant la nature dynamique de l’exploration scientifique et les défis de la communication d’informations complexes en santé au grand public. » Enfin, précisons que les publications de Jean-Marc Sabatier sont très appréciées du Prof. Jay Bhattacharya (qui le suit depuis plusieurs années sur X), actuel directeur du « National Institute of Health » (NIH). Ce dernier est le numéro 2 de la santé aux États-Unis.
L’émergence d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2, NB.1.8.1, qui combine forte infectiosité et capacité d’évasion immunitaire pourrait-elle devenir le prochain variant dominant ?
La Chine fait face à une résurgence du Covid-19 avec des symptômes de maux de gorge aigus et brûlants
« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir
La Chine connaît une résurgence du Covid-19, les patients signalant des symptômes de fortes douleurs brûlantes à la gorge, selon des experts.
Zhong Nanshan, l’un des principaux pneumologues et épidémiologistes de Chine, a déclaré dans une interview accordée aux médias chinois le 19 mai que le symptôme de la « gorge-lames de rasoir » est plus prononcé dans cette vague de résurgence, accompagné d’une toux plus fréquente.
« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir.
Le Dr Li Tongzeng, directeur du département des maladies infectieuses de l’hôpital You’an de Pékin, a déclaré aux médias chinois que la nouvelle vague de Covid-19, qui a débuté en mars, devrait atteindre son pic fin mai.
Selon M. Zhong, la souche dominante de cette vague est le variant Omicron XDV, hautement transmissible mais relativement moins virulent. Les premiers symptômes incluent fièvre, maux de tête, fatigue, brûlures de gorge et toux sévère.
Il estime que l’épidémie est encore en « phase ascendante » et devrait durer de six à huit semaines et s’atténuer d’ici la fin juin.
Les internautes chinois ont décrit leurs expériences douloureuses avec cette nouvelle souche sur Weibo, une plateforme de médias sociaux chinoise étroitement surveillée par le régime chinois.
Des internautes ont partagé des commentaires tels que : « Il y a quelques jours, à l’heure du déjeuner, une collègue toussait si fort que j’ai cru qu’elle s’était étouffée. Elle a dit que c’était un effet persistant de cette vague de Covid. Quand je l’ai interrogée sur son principal symptôme, elle a répondu : « La gorge-lames de rasoir ».
D’autres commentaires incluent : « J’ai été atteint de « gorge-lames de rasoir » et je me sens complètement vidé. »
« La « gorge-lames de rasoir » post-Covid fait terriblement mal : enflée, douloureuse, et je peux à peine parler. Y a-t-il des remèdes rapides ? » pouvait-on lire dans un autre.
Une habitante de Pékin, infectée depuis près de dix jours, a raconté à l’édition chinoise d’Epoch Times : « J’avais de la fièvre, des maux de gorge, des mucosités jaunes avec des traces de sang, des saignements de nez, de la toux, des éternuements, le nez qui coule, des étourdissements et une perte d’énergie. C’est terrifiant ! J’ai éternué une fois et mon nez s’est mis à saigner, ce qui m’a terrifiée. Cette vague de Covid est trop grave. »
Données manquantes
Le régime chinois est depuis longtemps accusé de dissimuler des données épidémiques, notamment concernant le nombre de décès.
Bien que la « hausse des infections au Covid-19 » soit devenue une tendance sur Weibo, les médias chinois ont minimisé l’épidémie et les experts ont noté d’importantes données manquantes ou peu informatives de la part des autorités.
Le Dr Jonathan Liu, professeur au Collège canadien de médecine traditionnelle chinoise et directeur de la clinique Kang Mei TCM, et sceptique quant aux données du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC), a déclaré que les données officielles de mars indiquaient que sept personnes étaient décédées du Covid-19 ce mois-là.
« Avec des taux épidémiques normaux, un chiffre aussi bas est improbable. Le Canada, avec une population clairsemée et de bonnes conditions sanitaires, a signalé 1915 décès dus au Covid entre août dernier et mai de cette année, soit plus de 200 par mois. Comment la Chine, avec sa population dense, peut-elle n’enregistrer que 7 décès par mois ? » a fait remarquer M. Liu à Epoch Times.
Selon le CCDC, les cas ambulatoires et d’urgence ont augmenté de 7,5 % à 16,2 %, tandis que les cas d’infection respiratoire grave hospitalisés sont passés de 3,3 % à 6,3 %.
Xiaoxu Sean Lin , professeur adjoint au département des sciences biomédicales du Feitian College de New York et contributeur pour Epoch Times, a déclaré que le CCDC n’avait pas communiqué les données les plus importantes.
Il a déclaré à Epoch Times que les données fournies par le CCDC ne reflètent que l’augmentation du taux de positivité du nouveau coronavirus, omettant quatre facteurs essentiels : le nombre de cas confirmés, les taux d’hospitalisation, les taux de cas graves et les taux de mortalité. Ces facteurs sont essentiels pour comprendre l’ampleur réelle de l’épidémie.
Il a souligné que le régime chinois avait par le passé dissimulé trop d’informations.
Augmentation des cas de Covid-19 en Asie
Les cas de Covid-19 ont également augmenté à Singapour, en Thaïlande, en Malaisie, à Taïwan et à Hong Kong.
Le 8 mai, le Centre de protection de la santé de Hong Kong a signalé qu’au cours des quatre dernières semaines, les principaux indicateurs de surveillance du Covid ont atteint leur plus haut niveau depuis un an, avec 31 décès d’adultes.
Les autorités sanitaires de Singapour ont noté le 13 mai que les cas du 27 avril au 3 mai ont augmenté d’environ 28 % pour atteindre plus de 14.000, avec une augmentation des hospitalisations quotidiennes de 30 %.
Le CDC de Taïwan a signalé que les cas ont considérablement augmenté depuis mai, avec un pic attendu en juin.
M. Zhong a indiqué que d’un point de vue pathogène, le virus Covid-19 pourrait réduire sa virulence pour assurer sa survie, mais il est trop tôt pour juger s’il deviendra « semblable à la grippe » à l’avenir.
Il a toutefois souligné qu’une chose était sûre : le virus Covid-19 ne disparaîtra pas.
Luo Ya, Xiaohua Gu et Grace Song ont contribué à la rédaction de cet article.
Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués sur décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin COVID-19 à ARNm de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’événements indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni bénigne, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la « maladie CoVax ».
Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre la cohorte placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité.
Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration étasunienne était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux ».
Pfizer Papers montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.
« Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’événements indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement. »
Sommaire
« Pfizer papers » : l’enquête choc sur Pfizer dévoilée en exclusivité sur Tocsin !
Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.
Principaux résultats de l’étude
L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.
Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :
La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis.
La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée.
Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :
Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections).
Chez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires.
En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.
L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.
En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas.
Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.
Réactions publiques et minimisation des risques en 2021
En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.
Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.
Les commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.
Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.
Implications et limites de l’étude
L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.
Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.
Conséquences pour la santé publique
Ces résultats remettent en question le narratif initial de sécurité absolue des vaccins COVID-19. Avec plus de 13 milliards de doses administrées mondialement, même une faible proportion de cas de PCVS pourrait représenter des millions de personnes affectées. Cela appelle à une pharmacovigilance renforcée et à des études indépendantes sur les effets à long terme des vaccins.
La minimisation des risques en 2021, couplée à l’absence d’études clés, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette étude pourrait exacerber cette fracture, rendant cruciale une communication transparente pour restaurer la confiance. Elle souligne également l’urgence de développer des vaccins avec des profils de sécurité mieux caractérisés.
Lien avec les alertes de BonSens.org
Dès juillet 2021, l’association BonSens.org avertissait les parlementaires français des risques liés aux vaccins COVID-19, soulignant l’absence d’études sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité, ainsi que les signalements élevés d’effets indésirables graves rapportés par l’ANSM (près de 200 000 déclarations dont 25% de graves). Dans ses courriers, BonSens.org dénonçait une communication officielle biaisée, violant le principe du consentement libre et éclairé, et mettait en garde contre les conséquences juridiques et sanitaires d’une obligation vaccinale. Ces alertes, largement ignorées à l’époque et qualifiées de « désinformation » par certains, trouvent un écho dans l’étude de Patterson et al., qui confirme la persistance de protéines vaccinales et leurs effets inflammatoires potentiels. BonSens.org avait également appelé à un moratoire sur la vaccination de masse, une position qui, rétrospectivement, semble prémonitoire face aux incertitudes scientifiques révélées par cette étude.
Perceptions des Français : méfiance sanitaire accrue
Un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens.org le 12 mai 2025 révèle une profonde méfiance des Français envers les vaccins COVID-19 et la gestion de la crise sanitaire. Si 69 % restent favorables à la vaccination en général, 45 % rejettent le vaccin Covid-19, 56 % déplorent ses effets secondaires, et 73 % son inefficacité. 52 % ont perdu confiance en la vaccination à cause des « mensonges » du gouvernement.
Il est temps que les agences de santé prennent en compte des données scientifiques objectives et les avis des scientifiques qu’elles ont marginalisées. Les réactions de ces agences de santé en 2021, marquées par une assurance excessive, contrastent avec les incertitudes soulevées par BonSens.org et confirmées partiellement par cette étude, appelant à une réévaluation des stratégies vaccinales et de la gestion des risques.
Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde Roland45 Creative Commons
Une étude récente publiée dans Vaccines (MDPI) intitulée « Impact des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur la réserve ovarienne » a révélé des résultats alarmants sur l’impact des vaccins à ARNm contre le COVID-19 sur la fertilité féminine, montrant une destruction de plus de 60 % des follicules primordiaux chez des rates. Ces résultats, relayés par Nicolas Hulscher, MPH, sur X, s’ajoutent à des préoccupations croissantes sur les effets des vaccins sur la santé reproductive, notamment des troubles menstruels signalés dès 2021. Parallèlement, la baisse de la natalité en France et dans d’autres pays développés, documentée par des études et des articles récents, amplifie l’urgence de ce problème. Quelles leçons la France doit-elle tirer de cette crise émergente ?
🚨 BREAKING: COVID-19 mRNA Shots Destroy Over 60% of Women’s Non-Renewable Egg Supply
New study finds rats injected intramuscularly with human-equivalent mRNA doses suffered irreversible loss of primordial follicles — the foundation of fertility.👇
— Nicolas Hulscher, MPH (@NicHulscher) May 9, 2025
Une perte irréversible de plus de 60 % des follicules primordiaux
L’étude de Karaman et al., publiée dans Vaccines, a examiné l’impact des vaccins à ARNm (Pfizer-BioNTech) et inactivés (CoronaVac) sur la réserve ovarienne de rates Wistar albinos. Les résultats sont préoccupants : le groupe vacciné à l’ARNm a subi une réduction de plus de 60 % des follicules primordiaux (p < 0,001), ces structures non renouvelables essentielles à la fertilité. Les niveaux d’AMH (hormone antimüllérienne), indicateur de la réserve ovarienne, ont chuté, tandis que des marqueurs d’inflammation (TGF-β1, VEGF, caspase-3) ont augmenté, suggérant des dommages ovariens à long terme. Une étude en prépublication de Manniche et al. a également montré un taux de grossesses réussies inférieur de 33 % chez des femmes tchèques vaccinées (18-39 ans) par rapport aux non-vaccinées.
Ces effets pourraient être liés à l’accumulation des nanoparticules lipidiques (LNP) dans les ovaires, comme l’indique Hulscher : « Nos agences de santé publique, en conformité avec le complexe bio-pharmaceutique, ont compromis la capacité à créer de nouvelles vies à travers le monde en détruisant les réserves ovariennes. »
Des troubles menstruels signalés dès 2021
Dès 2021, des études ont signalé des troubles menstruels liés aux vaccins à ARNm. Une étude de Lesgards et al., 2023, a rapporté que 42 % des femmes avec des cycles réguliers ont signalé des saignements plus abondants après vaccination, avec 14 331 cas de troubles menstruels recensés en 2021. Un analyse de France-Soir de 2021, « Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après ? », critiquait déjà le manque de transparence sur les effets à long terme des vaccins, notamment sur la fertilité, étaient insuffisantes au moment de l’autorisation des vaccins. Une lacune qui persiste encore aujourd’hui.
Une baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde
En France, l’INED rapporte une baisse de 21 % des naissances entre 2010 et 2024 (de 833 000 à 663 000), avec un taux de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, loin du seuil de remplacement (2,1). La crise de fertilité chez les femmes de 30-35 ans pourrait attribuée à des facteurs environnementaux, mais aussi potentiellement aux vaccins souligne un autre article. En Allemagne et en Suisse, la natalité a chuté de 10 à 15 % en 2022-2023, tandis qu’au Japon, avec un TFR de 1,3, la crise démographique force une ouverture à l’immigration.
Un modèle de retraites par répartition menacé
La baisse de la natalité, combinée à une possible infertilité accrue liée aux vaccins, pose un problème structurel pour le modèle des retraites par répartition, qui repose sur la solidarité intergénérationnelle. En France, ce système dépend des cotisations des actifs pour financer les pensions des retraités. Avec moins de naissances que de décès, le ratio actifs/retraités se détériore, menaçant l’équilibre financier du système. Selon une étude du Conseil d’Orientation des Retraites (COR) de 2023, si le TFR reste inférieur à 1,8, le déficit du système de retraites pourrait atteindre 10 milliards d’euros par an d’ici 2050, nécessitant soit une baisse des pensions, soit une hausse des cotisations. Un article de l’IMF (The Impact of Aging Worldwide on Pensions and Public Policy, 2023) confirme que les pays avec une natalité en baisse et une population vieillissante, comme la France, verront une pression accrue sur leurs systèmes de retraite, avec moins de contributeurs pour un nombre croissant de retraités. Si les vaccins à ARNm exacerbent cette tendance en réduisant la fertilité, la crise pourrait s’aggraver, rendant le modèle de répartition insoutenable sans réformes majeures.
Implications pour les femmes et la société française
Pour les femmes françaises, ces données sont particulièrement inquiétantes. La perte irréversible des follicules primordiaux pourrait entraîner une infertilité généralisée et une ménopause précoce, tandis que les troubles menstruels signalés dès 2021 pourraient être un symptôme précoce de dommages ovariens plus graves. À l’échelle nationale, la baisse de la natalité et la menace sur les retraites aggravent les défis démographiques, affectant l’économie et les systèmes sociaux.
Que doit-on en tirer pour la France ?
Face à cette crise, la France doit agir sur plusieurs fronts :
Suspension des vaccins à ARNm pour les femmes en âge de procréer : une suspension immédiate est nécessaire en attendant des études approfondies sur les effets à long terme des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine.
Recherches indépendantes : des études longitudinales sur les femmes vaccinées doivent être lancées pour confirmer ou infirmer ces effets, en examinant également les troubles menstruels comme indicateur précoce.
Transparence et communication : les autorités sanitaires doivent informer clairement les femmes des risques potentiels, comme le demandait déjà France-Soir en 2021, pour permettre des choix éclairés.
Réévaluation des politiques vaccinales : le calendrier vaccinal français, qui inclut encore trois doses de vaccin à ARNm pour les bébés avant 9 mois, doit être réexaminé, surtout dans un contexte où le COVID-19 est maîtrisé.
Soutien aux femmes et aux couples : des programmes de soutien à la fertilité et un accompagnement psychologique sont nécessaires.
Politiques natalistes renforcées : Face à la baisse de la natalité, des aides financières, des congés parentaux prolongés et des services de garde d’enfants abordables sont essentiels pour encourager les naissances.
Conclusion – il y a urgence
L’étude de Karaman et al., combinée aux rapports sur les troubles menstruels, la baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde, constitue les signaux d’alarme d’une crise systémique d’une ampleur sans précédent. Pourtant, les priorités des autorités sanitaires françaises semblent décalées. Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a récemment mis l’accent sur la communication en organisant une réunion sur la désinformation en santé, comme en témoigne sa visite à l’usine EUROAPI en janvier 2025, où il a souligné l’importance de la transparence pour restaurer la confiance. Si cette démarche est louable, elle occulte les problèmes structurels et humains bien plus urgents : une possible infertilité de masse, une natalité en chute libre et un modèle de retraites menacé. Comme lors de la crise du COVID-19, où la communication a souvent pris le pas sur les véritables enjeux – coordination des soins, prévention, et effets secondaires des vaccins –, l’usage exacerbé de la communication semble aujourd’hui détourner l’attention des réels problèmes de santé publique auxquels les Français sont confrontés. Il est temps de recentrer les efforts sur des solutions concrètes pour protéger la santé reproductive, soutenir la démographie et garantir la pérennité des systèmes sociaux.
Objectifs : Écouter, échanger, réunir, informer. Soutenir et accompagner psychologiquement et juridiquement les victimes du Covid long et de l’injection anti Covid-19
Aide médicale
Améliorer le quotidien des victimes en soulageant leurs souffrances grâce au concours de médecins et chercheurs.
Soutien moral
Mettre les victimes en rapport les unes avec les autres, échanger dans des groupes de discussion privés.
Démarches administratives et juridiques
Parcours handicap. Demander réparation avec l’aide d’avocats
Interview de Mathieu Dubois par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.
Interview d’Hélène Banoun Pharmacien biologiste, PhD, ex-INSERM par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.
Covid long, séquelles et contaminations vaccinales, guérisons, Nexus nous offre une fois de plus du contenu de qualité, des illustrations et des graphiques pertinents, le tout, servi par une mise en page impeccable.
AU SOMMAIRE : COVID LONG, SÉQUELLES VACCINALES, CONTAMINATION PAR SHEDDING VACCINAL, LA GUÉRISON EST POSSIBLE / GÉOINGÉNIERIE LA GUERRE DES NUAGES A-T-ELLE COMMENCÉ ? / MÉDECINE INTÉGRATIVE RÉCONCILIER SOINS CONVENTIONNELS ET ALTERNATIFS / DE LA DOXA DU COVID À LA « MENACE RUSSE » : LA STRATÉGIE DE L’APEUREMENT / SWIFT: L’ENJEU DES DONNÉES BANCAIRES MONDIALES / AVEC ROB HOPKINS, REMETTONS L’IMAGINATION AU POUVOIR / MOULIN ASTRIÉ : LA QUÊTE DE LA FARINE PARFAITE / SORTIES HORS DU CORPS : UNE VOIE D’ÉMANCIPATION / ÉCHAPPER AU NATIONAL-CAPITALISME : L’ASPIRATION CATHARE / AUJOURD’HUI UFOLOGIE: LES OVNIS ENTRENT À LA FAC
Nous reprenons ici la publication d’un article capital signé Natasha Hobley (*). Si l’imputabilité des vaccins anti-COVID dans les troubles du cycle menstruel n’est plus à démontrer en 2025, il restait néanmoins à se demander pour quelle raison ces effets indésirables parfois gravissimes n’avaient pas été mieux détectés avant la mise en branle de cette vaccination planétaire. On le comprend partiellement aujourd’hui, car l’immunité anti-infectieuse des femmes pourrait sensiblement différer de celle des hommes ; mais en plus, sujet plus polémique encore, parce que les femmes sont volontairement beaucoup moins recrutées que les hommes pendant les phases de test des produits médicaux ! Les vaccins comme une nouvelle roulette russe particulièrement pour vous mesdames. Bonne lecture.
Tout au long du débat sur la sécurité des injections de COVID-19, de nombreuses femmes ont exprimé leurs inquiétudes quant à la relation entre les injections et les irrégularités du cycle menstruel et la fertilité. Dans une étude publiée dans la revue Frontiers in Immunology, les chercheurs ont validé le point de vue de ces femmes selon lequel il existe des irrégularités menstruelles troublantes suite aux injections anti-COVID, et que les différences dans la réponse féminine aux vaccins devraient être reconnues et étudiées plus avant(1).
« Le rôle des hormones sexuelles et du cortisol devient important, car il existe un biais sexuel important dans la réponse immunitaire aux maladies infectieuses chez les femmes et les hommes », ont déclaré les auteurs. « Les femmes ont une réponse robuste aux rencontres antigéniques via leur immunité à médiation cellulaire et humorale. L’inclusion des femmes dans les essais de vaccins a été marginalisée au fil des ans, ce qui a entraîné l’administration non désirée de doses trop élevées de vaccins chez les femmes. »
Les auteurs ont validé le cycle menstruel en tant que « cinquième signe vital » et indicateur global du bien-être des femmes. La biochimie complexe de divers facteurs et signaux peut affecter le cycle menstruel, entraînant des changements dans l’intensité et la durée des saignements, la longueur du cycle, les douleurs qui l’accompagnent, ou l’absence totale de cycle. « Bien que le changement du schéma menstruel après la vaccination ne soit pas universel, son effet est assez significatif« , ont déclaré les auteurs.
Saignements plus abondants et plus longs et réduction de l’intervalle entre les cycles après les injections anti-COVID
– Selon les données réglementaires du Royaume-Uni, plus de 39 000 cas suspects de troubles menstruels ont été signalés. – [Une étude complémentaire réalisée sur une cohorte aux États-Unis portant sur plus de 2400 femmes, a révélé que 55 % des femmes ayant reçu le produit biologique mRNA Comirnaty de Pfizer, 35 % ayant reçu le mRNA Spikevax de Moderna et 7 % ayant reçu l’adénovirus vectorisé Ad26 de Johnson&Johnson ont subi des modifications de leur cycle menstruel.] ** – Une autre étude norvégienne portant sur de jeunes femmes adultes a révélé une « perturbation significative » du cycle menstruel, notamment des saignements plus abondants, une augmentation de la durée des règles et un raccourcissement de la période entre deux cycles.
Plusieurs mécanismes peuvent expliquer les modifications du cycle menstruel après une injection anti-COVID
Les auteurs suggèrent plusieurs mécanismes d’action potentiels pour les changements menstruels, tels que des niveaux plus élevés de cortisol chez les femmes et des réponses inflammatoires déclenchées par les vaccins contre la COVID. L’interaction entre le système immunitaire et les hormones sexuelles a également été proposée comme raison expliquant les différences entre les réponses immunitaires des femmes et celles des hommes après avoir reçu les vaccins contre la COVID.
Certaines recherches suggèrent que les récepteurs d’œstrogènes étant largement exprimés sur diverses cellules immunitaires, telles que les cellules tueuses naturelles et les cellules T, il existe une corrélation entre les œstrogènes et la régulation de l’immunocompétence, ainsi qu’une incidence plus élevée des troubles auto-immuns chez les femmes. Les niveaux d’œstrogènes et de progestérone variant au cours des phases du cycle menstruel, cela peut également affecter la manière et l’étendue de la réaction des femmes à l’inflammation stimulée par les infections et la vaccination.
Les auteurs de l’étude ont écrit : « Des cas d’infections virales… ont révélé que les femmes ont une réponse immunitaire plus robuste que les hommes. L’implication clinique des biais dus au sexe dans les études infectieuses est plus que nécessaire et doit faire l’objet d’un examen détaillé de la pharmacocinétique des médicaments chez les hommes et les femmes. »
L’influence de certains vaccins uniquement sur la physiologie féminine et sur les cycles menstruels n’est pas un phénomène nouveau. Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) a été associé à des cas d’insuffisance ovarienne, ainsi qu’à une augmentation de l’hormone folliculo-stimulante (FSH), à une aménorrhée, à des irrégularités menstruelles et à une ménopause prématurée chez les femmes. La recherche qui étudie les causes possibles de cette association met en évidence l’hyper-réponse immunitaire provoquée par le vaccin contre le VPH.
Des anomalies menstruelles ont également été observées chez des femmes japonaises après le vaccin contre l’hépatite B. Des troubles similaires avaient été rapportés en 1913 après la vaccination contre la typhoïde.
Jusqu’en 1993, les femmes n’étaient pas tenues de participer à la recherche clinique.
Avant 1993, les femmes étaient largement exclues des études de recherche clinique ; et les connaissances scientifiques sur les effets de la vaccination sur les femmes présentaient d’importantes lacunes. En 1986, la politique qui excluait les femmes de la recherche clinique a été réexaminée et révisée. En 1993, le Congrès américain a adopté une loi exigeant l’inclusion des femmes dans la recherche clinique. Les données sur les essais cliniques ne font pas souvent état du sexe et de la race ; et les données sur les femmes de couleur, en particulier, sont insuffisantes(2).
Martha Gulati, un médecin qui donne des conférences dans les écoles de médecine sur les différences entre les sexes dans les soins cardiaques, déclare que de nombreux étudiants lui disent que c’est la première fois qu’ils entendent parler de ces différences biologiques, la biologie masculine étant enseignée par défaut. Le Dr Gulati affirme que le fait d’apprendre en quoi la biologie féminine est différente – des systèmes d’organes aux hormones et aux différences cellulaires – est considéré comme ayant « un intérêt particulier« .
Deux fois plus de femmes que d’hommes souffrent des effets indésirables des médicaments
Ce n’est qu’il y a neuf ans que les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis ont institué une politique obligeant les chercheurs bénéficiant d’un financement des NIH à collecter des données sur les différences biologiques entre les sexes dans la recherche préclinique et dans l’expérimentation animale, et à rendre compte de ces différences.
De nombreuses études animales évitent d’inclure des femelles lorsque c’est possible, en raison des coûts plus élevés liés à l’achat et à l’hébergement de souris mâles et femelles, et de la crainte que la fluctuation des hormones et des systèmes reproductifs des souris femelles ne fausse les résultats de l’étude.
Le fait de ne pas reconnaître les différences entre les hommes et les femmes et de ne pas étudier les effets des médicaments et d’autres interventions médicales sur les femmes a contribué à ce que les femmes subissent des effets indésirables des médicaments deux fois plus souvent que les hommes.
Une étude a montré que les femmes âgées de 18 à 64 ans produisaient « vigoureusement » des anticorps contre le vaccin antigrippal et que les réactions des femmes à une demi-dose de vaccin antigrippal « étaient équivalentes à celles des hommes ayant reçu une dose complète« .
Pourtant, les recommandations concernant les vaccins et les doses sont les mêmes pour les hommes et pour les femmes, sans tenir compte des différences entre les sexes en matière de réaction à la vaccination.
Les préoccupations des femmes en matière de santé étant souvent ignorées ou minimisées, les inquiétudes concernant l’infertilité et les changements menstruels associés aux injections anti-COVID n’ont pas été différentes et ont été largement considérées comme de la désinformation par les médias et les professionnels de la santé.
L’expression de préoccupations concernant les changements du cycle menstruel est souvent qualifiée de « désinformation dramatique »
Un article publié sur Science Direct est un exemple de la façon dont les femmes sont mises sous pression lorsqu’elles parlent de leurs expériences personnelles concernant les changements de leurs cycles menstruels après avoir été vaccinées. Cela reflète l’ignorance des effets biologiques de la vaccination sur les femmes et les préjugés contre l’importance des preuves anecdotiques en tant que signal d’alarme. Les auteurs de l’article publié dans Science Direct ont déclaré qu’il était difficile de réfuter et de corriger les affirmations trompeuses, car les individus se souviennent plus facilement « desfausses informations dramatiques que des informations factuelles fondées sur la science et qui les contredisent« (3).
Un article du New York Times de 2021 indique : « Jusqu’à présent, il n’y a pas de données liant les vaccins à des changements dans les menstruations. Même s’il existe un lien, une périodicité inhabituelle n’est pas une raison pour s’alarmer« (4).
Alors que de nombreux chercheurs croient fermement qu’il y a peu ou ou qu’il n’y a pas de preuves d’un lien de causalité entre le dérèglement menstruel et les vaccins COVID, d’autres chercheurs ont souligné que les femmes sont en effet biologiquement différentes des hommes, qu’il existe des préoccupations valables sur la façon dont les vaccins COVID affectent les cycles menstruels, et que ces changements devraient être pris au sérieux et étudiés en profondeur plutôt que prématurément rejetés.
** Un lecteur attentif a remarqué une discordance entre l’interprétation de l’auteur de l’article et la publication originale : Nous l’en remercions et nous précisons que ceci n’enlève rien à la valeur de l’article puisque la perturbation des cycles menstruels par les ARNm anti-COVID-19 est maintenant reconnue par les agences de santé.
Dans l’article original « Understanding the Trauma of Menstrual Irregularity After COVID Vaccination: A Bird’s-Eye View of Female Immunology », il est écrit : « Nous avons inclus 3 959 personnes (2 403 vaccinées ; 1 556 non vaccinées). La majorité de la cohorte vaccinée a reçu le vaccin Pfizer-BioNTech (55 %) (Moderna 35 %, Johnson & Johnson/Janssen 7 %). »
Notes et sources
(1) Minashki R et al, Comprendre le traumatisme de l’irrégularité menstruelle après la vaccination COVID : A bird’s-eye view of female immunology. Frontiers in Immunology 13 juin 2022. (2) Balch B. Pourquoi nous en savons si peu sur la santé des femmes. AAMC News 26 mars 2024. (3) Smith T, Gorski D. Infertilité : Une cible commune des campagnes de désinformation antivaccinale. Science Direct Feb. 6, 2024. (4) Culligan A, Epstein R. Non, nous ne savons pas si les vaccins changent vos règles. The New York Times 20 avril 2021.
Depuis 1926, l’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins. Officiellement destiné à les rendre plus efficaces, il se révèle être neurotoxique. Il pourrait être à l’origine de maladies graves et invalidantes.
Or, il existe des solutions pour se passer de ce produit dans nos vaccins.
Qui sommes-nous ?
La campagne « Pour des vaccins sans aluminium » a été créée en septembre 2015, dans la continuité des actions de l’association E3M. E3M rassemble des personnes atteintes d’une maladie, la myofasciite à macrophages, provoquée par l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins.
Cette campagne vise le retour de vaccins sans aluminium. Pour cela, elle informe la population de la toxicité de l’aluminium, cherche à rassembler un grand nombre de citoyens et finance des recherches indépendantes sur ce sujet.
Nous réalisons différents types d’actions : sensibilisation auprès de la population (projections, tractage, stands, événements), accompagnement des malades (administratif, juridique), lobbying auprès des politiques et des autorités sanitaires (gouvernement, parlementaires, agences et institutions de santé), vulgarisation des recherches scientifiques…
Dans une émission du 14 avril 2025 l’AFP, reprise par tous les médias (France info, le Point, le Figaro, 20 minutes, Actu fr, Senne news, le Devoir…) affirment sans nuance : « Le cancer du col de l’utérus sera éradiqué au Danemark d’ici à 2040 grâce au vaccin contre le HPV ». Le Nouvel Obs, encore plus enthousiaste, titre : « La première fois qu’un type de cancer disparaît ».
Ils apportent comme argument une publication de la société danoise du cancer qu’ils n’ont manifestement pas lue ou mal comprise. En effet cette étude ne s’appuie pas sur la constatation d’une baisse franche d’incidence dans la population. Il ne s’agit que de l’expression d’un rêve, sympathique mais peu vraisemblable, une simple simulation aux hypothèses discutables.
Et ils oublient de rappeler que l’incidence du cancer invasif du col danois très vacciné est 1,7 fois plus élevée que l’incidence en Francepeu vaccinée. Pour tous ces auteurs le pourcentage de vaccinés parait beaucoup plus important que les résultats cancérologiques très inquiétants du Gardasil.
Une simulation qui ne reflète pas l’évolution réelle du cancer au Danemark
Pour évaluer objectivement l’effet du Gardasil sur le risque de cancer du col il suffit d’analyser le registre danois des cancers que chacun peut consulter sur Nordcan [1], en s’intéressant plus particulièrement à la période des vingt dernières années durant laquelle le Gardasil a été mis sur le marché et aux femmes de plus de 25 ans (âge de début du risque de cancer du col).
Dans le groupe des femmes de 25 à 34 ans (les plus vaccinées arrivées à l’âge d’apparition du cancer du col) la tendance danoise est à la stabilisation avec une discrète baisse récente qui ne compense pas les oscillations à la hausse. Au total, l’incidence de ce groupe est passée de 14,6/100000 en 2005, année précédant la mise sur le marché du Gardasil à 15,6/100000 en 2022, soit une augmentation de 8%.
De plus, durant la même période, dans le groupe des femmes non vaccinées (celles de plus de 40 ans) l’incidence a diminué de 8% passant de 16,3/100000 en 2005 à 15/100000 en 2022.
Au Danemark, la vaccination scolaire de plus de 85% des jeunes femmes n’a donc pas été suivie d’une diminution significative du risque de cancer du col.
Cette comparaison entre stabilité d’incidence dans le groupe des femmes vaccinées et baisse concomitante de 8% chez les femmes non vaccinées n’est pas en faveur d’une efficacité anticancéreuse du Gardasil susceptible de faire disparaître ce cancer.
En cancérologie, comme dans la vie courante il ne faut pas se fier aux prédictions publicitaires d’auteurs trop souvent liés à l’industrie pharmaceutique ou aux organismes de vaccination, mais uniquement aux faits établis.
Au total il est invraisemblable que les médias nous donnent le Danemark et son haut taux de vaccination en exemple car l’incidence du cancer invasif y atteignait, en 2023 près du double de celui de la France (10,2/100000 contre 6/100000 [2]). [3]
Cette inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Australie
En Australie, premier pays à instaurer une vaccination scolaire, l’incidence du cancer invasif n’a pas diminué statistiquement, ni sur l’ensemble de la population, ni même dans le groupe d’âge le plus vacciné ; et le nombre de cancers invasifs diagnostiqués a continué à croître.
L’échec du Gardasil contre le cancer est aussi observé en Grande-Bretagne
La Grande-Bretagne a instauré la vaccination scolaire au Gardasil pour les filles dès 2007, mais 15 ans plus tard l’incidence du cancer du col n’a pas diminué dans le groupe témoin le plus vacciné alors qu’il continue à baisser chez les femmes de plus de 40 ans(non vaccinées).
L’inefficacité du Gardasil contre le cancer est aussi constatée en Finlande
Dans le groupe le plus vacciné, l’incidence du cancer du col a augmenté de plus de 70%.
L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a aussi été observée en Norvège
L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Suède
Alors pourquoi ministère et médias font-ils une propagande mensongère pour le Gardasil ?
Possibles raisons de l’inefficacité anticancéreuse du Gardasil
Les conclusions erronées de la modélisation réalisée par les auteurs danois sont la conséquence des hypothèses très incertaines qui fondent leur simulation.
Ils admettent (comme les auteurs français officiels) que les HPV seraient la cause indispensable et unique du cancer du col alors que toutes les études réalisées avant le Gardasil soulignaient le caractère multifactoriel de sa genèse, comme d’ailleurs de la grande majorité des cancers.
La disproportion considérable entre l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus (0,006%) et la fréquence de l’infection à HPV (80-90% des femmes sexuellement actives) suggère fortement l’existence d’autres facteurs favorisants.
Les études d’avant l’an 2000 ont mis en évidence les corrélations statistiques entre cancer du col avec, entre autres, le début précoce des relations sexuelles, le nombre élevé des partenaires et des relations, la survenue fréquente d’infections génitales virales (HPV [4,5], herpès) ou bactériennes, le tabagisme, l’usage prolongé d’une contraception hormonale [6], un nombre d’accouchements supérieur à 4 , l’exposition fréquente de fumée de bois, l’utilisation de douches vaginales à base de goudron…
Comment peut-on croire que la suppression d’un seul facteur étiologique éventuel puisse éradiquer une maladie ?
Il faudrait de plus que le Gardasil prévienne toutes les infections à HPV. Or, actuellement, le virus n’est efficace que contre 9 des plus de 150 souches de HPV qui contaminent les humains et l’élimination des souches visées par le vaccin permet la prolifération d’autres souches possiblement aussi toxiques…
De plus la propagande mensongère pour le Gardasil, prétendant qu’il protège contre le cancer, dissuade certaines femmes vaccinées de poursuivre le dépistage cytologique [7, 8] seule méthode qui ait fait ses preuves de son efficacité.
Une vaccination potentiellement risquée
Comme lors du covid, le ministère et le médias affirment que la vaccination Gardasil serait sans risques et les médias officielles mettent systématiquement en doute la possible responsabilité du vaccin dans les accidents constatés. Chaque fois que des chercheurs, se demandent si telle maladie pourrait être liée à un vaccin, le chœur des furies se déchaîne les cloue au pilori au nom du prétendu danger que leurs questions feraient courir à la couverture vaccinale. Elever la couverture vaccinale comme un objectif sacré pour justifier la censure, c’est grotesque et totalement anti-scientifique.
De nombreuses complications post vaccinales sont mentionnées dans la notice d’emballage de Gardasil : évanouissements, fièvre, étourdissements [9], nausées et maux de tête, syndrome de Guillain-Barré, [10] myélite transverse [11], thromboses et embolies, pancréatites et maladies auto-immunes… Ces complications auxquelles sont venus s’ajouter stérilité par insuffisance ovarienne prématurée [12], uvéite et névrite optique [13], encéphalomyélite aiguë disséminée [14, 15, 16, 17] , décès sont attestées par des centaines de procès et les manifestations dans de nombreux pays.
En France, le cas de M O Bourguignon montre la ténacité nécessaire pour faire reconnaitre la relation la responsabilité du Gardasil.
Après la mort d’un élève de 12 ans survenue après l’injection scolaire de Gardasil, l’agence régionale de santé des Pays-de-la-Loire a immédiatement affirmé qu’il n’y avait aucun lien avec le vaccin lui-même en reconnaissant tout de même la responsabilité de la vaccination et surtout du médecin qui a été mis en examen pour homicide involontaire [18]. La responsabilité de l’ARS qui a organisé la vaccination en milieu scolaire n’a pas été évoquée…
En 2015, le Danemark a ouvert cinq “cliniques HPV” pour traiter les victimes du Gardasil. Plus de 1300 cas ont été traités dans ces cliniques et certaines ont fait l’objet d’un reportage télévisuel
Au Japon, en Irlande [1] et en Colombie [20] les victimes du Gardasil ont manifesté.
Selon le prospectus du Gardasil, les femmes sont 100 fois plus susceptibles de souffrir d’un événement grave après vaccination avec le Gardasil que d’avoir le cancer du col de l’utérus.
D’après Children Health Defense [21], les chances d’avoir une maladie auto-immune due au Gardasil, même si le vaccin fonctionne, sont 1000 fois plus grandes que les chances d’être sauvé du décès par cancer du col de l’utérus.
L’incidence de ces complications nettement plus élevée qu’après d’autres vaccinations est estimée à près de 2500/100000 alors que celle du cancer du col en France ne dépasse pas 6/100000 témoignant d’une balance avantage/risque franchement défavorable.
Une vaccination au coût totalement disproportionné.
Chez les adultes et adolescents, la vaccination nécessite 3 doses à 123 euros, ce qui revient, avec les consultations médicales indispensables à environ 500 euros, alors que la fabrication d’une dose revient à moins de 1 euro.
Pour Merck et Sanofi il s’agit d’une manne financière colossale, évaluée à 3,80 milliards de dollars en 2019 et qui devrait atteindre 12,69 milliards de dollars en 2027, avec un TCAC de 16,3 % au cours de la période de prévision [22]. Cette rentrée financière lui donne la motivation et les moyens de convaincre les influenceurs et décideurs qu’ils soient fonctionnaires, membre d’agences sanitaires, de sociétés savantes ou de partis politiques…
Si cette vaccination était rendue obligatoire en France, elle reviendrait chaque année à plus de 300 millions d’euros alors que coût annuel du traitement du cancer du col en France a été évalué à 43,9 millions d’euros.[23]
En supposant que le Gardasil puisse éviter les 3000 cancers du col annuels, ce qui est scientifiquement inimaginable [24] comme nous l’avons vu précédemment, le coût de cette mesure atteindrait plus de 100000 euros par cas évité alors que le cout moyen du traitement d’un cancer du col est de 13 509 euros [25], soit 7 fois moins !
Sans oublier les complications du Gardasil responsables d’hospitalisations, de soins onéreux et d’indemnisation des victimes qui alourdissent le cout de la vaccination.
Au total, les vaccinés par Gardasil coûtent au minimum dix fois plus que les non vaccinés, ce qui pose problème en cette période de déficit grave des comptes publics.
La ligue contre le cancer demande l’obligation de cette vaccination inefficace, dangereuse et hors de prix.
Que la ligue contre le cancer désire diminuer la fréquence du cancer du col est naturel. Mais qu’elle réclame une obligation vaccinale pour le Gardasil alors qu’il n’y a toujours pas de preuve de son efficacité anticancéreuse et une certitude de risques de complications est scientifiquement incompréhensible.
D’autant que le dépistage cytologique permet de le prévenir et que la quasi-totalité des femmes qui meurent de ce cancer ne s’y sont pas soumises. La ligue devrait davantage se consacrer à la promotion du dépistage qu’au Gardasil.
Mais il s’agit d’une habitude pour la ligue de soutenir tous les traitements anticancéreux qui se disent efficaces, même si cette affirmation est douteuse…
En conclusion
Les vaccins anti HPV sont administrés à une population jeune pour empêcher la survenue d’une maladie rare en France et qu’on prévient déjà avec le frottis de dépistage cytologique. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n’y a rien d’antivax à la poser.
La propagande massive qui a entouré le lancement et l’implémentation de cette vaccination fait perdre tout sens de la réalité. Il n’y avait aucune raison d’homologuer Gardasil de façon accélérée et, à ce jour, aucun élément scientifique solide ne justifie de recommander massivement la vaccination anti-HPV, ni d’en faire supporter les coûts aux systèmes de santé. Quant à l’obligation vaccinale, elle est totalement indéfendable si l’on considère uniquement les faits avérés.
4 Bistoletti P, von Krogh G, Rylander E. Extremt låg risk få invasiv cervixcancer på grund av genital papillomvirusinfektion [Extremely low risk of invasive cervix cancer caused by genital papillomavirus infection]. Lakartidningen. 1990 Dec 19;87(51-52):4434-5. Swedish. PMID: 2273926.
5 Lehtinen M, Paavonen J. Papilloomavirus ja kohdunkaulan syöpä–ei aihetta ennenaikaisiin johtopäätöksiin [Papillomavirus and cervical carcinoma–no reason for premature conclusions]. Duodecim. 1990;106(8):597-9. Finnish. PMID: 1670244.
6 Moodley J. Combined oral contraceptives and cervical cancer. Curr Opin Obstet Gynecol. 2004 Feb;16(1):27-9. doi: 10.1097/00001703-200402000-00006. PMID: 15128004.
7 Shalini L. Kulasingam a Sonia Pagliusi b, Evan Myers a Potential effects of decreased cervical cancer screening participation after HPV vaccination: An example from the U.S Volume 25, Issue 48, 23 November 2007, Pages 8110-8113 Vaccine
8 Adherence to cervical screening in the era of human papillomavirus vaccination: how low is too low?
Bauch, Chris T et al. The Lancet Infectious Diseases, Volume 10, Issue 2, 133 – 137
9 Brinth LS, Pors K, Theibel AC, Mehlsen J. Orthostatic intolerance and postural tachycardia syndrome as suspected adverse effects of vaccination against human papilloma virus. Vaccine 33: 2602-2605, 2015.
10 Souayah N, et AI. Guillain-Barré syndrome after Gardasil vaccination: data from Vaccine Adverse Event Reporting System 2006-2009. Vaccine. 2011 Jan 29;29(5):886-9.
11 Sutton I, Lahoria R, Tan I, Clouston P, Barnett M. CNS demyelination and quadrivalent HPV vaccination. Mult Scler. 2009 Jan;15(1):116-9. doi: 10.1177/1352458508096868. Epub 2008 Sep 19. PMID: 18805844.
12 Celeste McGovern Vaccine Boom, Population Bust: Study Queries Link Between HPV Vaccine and Soaring Infertility 2018 Nov
13 Hyeyeon Chang, Hye Lim Lee, Minju Yeo et al Recurrent optic neuritis and neuromyelitis optica-IgG following first and second human papillomavirus vaccinations. Clin Neurol Neurosurg. 2016 May ;144:126-8. Epub 2016 Mar 29. PMID: 27046292
14 Yonee C, Toyoshima M, Maegaki Y, et al. Association of acute cerebellar ataxia and human papilloma virus vaccination: a casereport. Neuropediatrics 44: 265-267, 2013.
15 Wildemann B, Jarius S, Hartmann M, Regula JU, Hametner C. Acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Neurology 72: 2132-2133, 2009.
16 Sekiguchi K, Yasui N, Kowa H, Kanda F, Toda T. Two cases of acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Intern Med 55: 3181-3184, 2016.
17 Menge T, Kieseier BC, Nessler S, Hemmer B, Hartung HP, Stüve O. Acute disseminated encephalomyelitis: an acute hit against the brain. Curr Opin Neurol 20: 247-254, 2007.
24 Tomljenovic L, Wilyman J, Vanamee E, Bark T, Shaw CA. HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism. Infect Agent Cancer. 2013 Feb 1;8(1):6. doi: 10.1186/1750-9378-8-6. PMID: 23369430; PMCID: PMC3565961.
25 de 9 164 € pour un stade I, 15 999 € pour un stade II, 22 697 € pour un stade III et 26 886 € pour un stade IV Arveux P, Bénard S, Bouée S, et al. Coût de la prise en charge du cancer invasif du col de l’utérus en France. Bull Cancer 2007;94(2):219-24.
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Depuis avril 2024, certains élevages de canards en France sont vaccinés avec le Ceva Respons AI H5, un vaccin vétérinaire inédit basé sur la technologie de l’ARN messager auto-amplifiant. Présenté comme une avancée majeure contre la grippe aviaire, ce vaccin suscite une inquiétude croissante : que deviennent ces molécules une fois les animaux abattus ? Et leur présence dans nos assiettes pourrait-elle avoir un effet sur notre organisme, voire nous vacciner à notre insu ?
Ce vaccin repose sur une technologie encore peu connue du grand public : l’ARN messager injecté n’est pas statique, il s’auto-réplique dans les cellules de l’animal. L’objectif est clair : produire plus de protéines virales avec des doses réduites, en optimisant la réponse immunitaire. Mais cette capacité d’auto-amplification soulève de nombreuses questions, notamment sur la traçabilité et la dégradation de ces molécules.
Les autorités sanitaires françaises se veulent rassurantes. Selon elles, la consommation de viande issue d’animaux vaccinés ne présente « aucun danger pour l’Homme ». Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires, explique que « l’ARN est très rapidement détruit dans la cellule » et qu’il est « totalement dégradé » avant même que l’animal ne soit abattu. Selon cette version, aucune trace d’ARN vaccinal ne subsisterait dans la viande destinée à la consommation.
Mais cette lecture est loin de faire consensus. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, exprime de vives réserves. Il rappelle que chez l’humain, des études ont montré la persistance d’ARN vaccinal jusqu’à 28 jours après l’injection, et celle de la protéine Spike jusqu’à 709 jours. Ces résultats suggèrent que les molécules utilisées ne se dégradent pas aussi rapidement que prétendu.
Selon lui, « les ARN vaccinaux sont ultra-stabilisés, bien différents des ARN naturels ». Cette stabilité exceptionnelle serait rendue possible par leur encapsulation dans des nanoparticules lipidiques, qui facilitent leur entrée dans les cellules. Mais ces particules protectrices pourraient aussi conférer une résistance accrue à la chaleur de la cuisson et à l’acidité gastrique, ce qui laisse ouverte la possibilité que l’ARN reste actif même après ingestion.
À ce stade, seuls certains canards sont vaccinés avec cette technologie. Cependant, l’autorisation a déjà été étendue aux poules, ce qui pourrait rapidement accroître la part de viande concernée dans les rayons. Quant aux bovins et ovins, ils restent pour l’instant soumis à des vaccins plus traditionnels, à virus inactivé, notamment contre la fièvre catarrhale.
Cette situation soulève une problématique de transparence et de choix éclairé : les consommateurs n’ont aujourd’hui aucun moyen de savoir si la viande qu’ils achètent provient d’animaux vaccinés avec un ARNm auto-amplifiant. Entre confiance institutionnelle et signaux d’alerte scientifique, la controverse ne fait que commencer.
«Il faut faire vite, bon sang ! Des centaines de milliers de malades attendent désespérément».
C’est le cri du cœur qui résonne dans les labos de Doxanano. Cette société installée à Pessac, en Gironde, ne fait pas dans la demi-mesure : elle chamboule tout avec sa chimiothérapie commandée à distance.
L’équipe de chercheurs girondins a mis au point une technique qui semble presque trop belle pour être vraie – soigner sans détruire, guérir sans transformer les patients en loques humaines. Après des décennies de chimio dévastatrice, ça fait rêver, non ?
En ce moment, 60% des personnes touchées par le cancer reçoivent ces cocktails de médicaments toxiques. C’est le traitement de référence, incontournable. Mais jusqu’à présent, il fallait accepter cette contradiction macabre : détruire pour guérir, empoisonner pour sauver.
Avec leur innovation, ces scientifiques français pourraient bien réussir ce que les grands labos pharmaceutiques qui se gavent depuis des années n’ont jamais vraiment cherché à faire : rendre la chimio enfin supportable. Mais combien de temps avant que les autorités daignent autoriser cette avancée ? Espérons que les malades n’attendront pas aussi longtemps que pour d’autres traitements prometteurs balayés d’un revers de main par notre administration.
Pour une fois qu’une solution française pourrait s’imposer face aux géants américains… encore faudrait-il que notre système ne l’étouffe pas sous des tonnes de paperasse et de «précautions».
Une médecine personnalisée pour les patients
Isabel Marey-Semper, tête pensante de la start-up bordelaise et docteure en neuropharmacologie, ne mâche pas ses mots sur les traitements contre le cancer :
«Le paradoxe de la chimiothérapie, c’est une dose présente localement dans la tumeur trop faible pour être totalement efficace et une dose trop forte dans les organes sains pour être inoffensive».
Autrement dit, les médecins dosent aujourd’hui les traitements non pas selon ce qui tuerait vraiment la tumeur, mais selon ce que le malade peut encaisser sans y laisser sa peau. Encore une fois, nos systèmes de santé sacrifient l’efficacité au profit du «moindre mal» – comme si on devait s’en contenter.
La chimio, on le sait tous, c’est cette saloperie qui vous met à genoux pendant des mois. Elle bombarde tout sur son passage : cellules cancéreuses comme cellules saines. J’ai vu des proches perdre leurs cheveux, leur appétit et leur joie de vivre à cause de ces protocoles qu’on nous présente comme incontournables.
Des avancées concrètes pour les malades
Pendant que nos élites s’acharnent à trouver des solutions pour censurer les réseaux sociaux ou contrôler nos déplacements, des chercheurs comme Marey-Semper tentent, eux, de résoudre de vrais problèmes qui touchent des millions de Français chaque année. Mais combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que ces avancées arrivent jusqu’aux malades ?
«On veut inverser ce paradigme, explique Isabel Marey-Semper. Injecter au cœur de la tumeur des doses jamais atteintes, tout en préservant les organes sains».
Une innovation française qui défie les géants
Pour réaliser cette prouesse médicale, une invention révolutionnaire vient d’être brevetée, et je ne peux m’empêcher de vous parler de l’un de ses créateurs, Sébastien Lecommandoux. Ce physico-chimiste n’est pas un inconnu dans le milieu : pionnier dans le domaine des polymères organiques, il a cofondé Doxanano tout en présidant la chaire «Innovation technologique Liliane Bettencourt» au prestigieux Collège de France.
Quand on l’interroge sur sa découverte, le scientifique explique sans langue de bois :
«Il s’agit de nanovésicules synthétiques à base de ces copolymères appelés DXN qui ont deux propriétés opposées : ils sont à la fois très stables en conditions physiologiques, mais dégradables sous radiothérapie».
Une innovation qui pourrait bien changer la donne en médecine, alors que tant d’autres secteurs restent coincés dans des logiques bureaucratiques stériles. Pour une fois, voilà une avancée concrète qui ne vient pas des laboratoires américains subventionnés, mais bien d’un chercheur français.
Ces nanovésicules représentent l’espoir d’une médecine plus ciblée et moins invasive. Espérons simplement que nos élites ne trouveront pas le moyen de compliquer l’accès à cette technologie ou d’en faire grimper les coûts, comme c’est trop souvent le cas avec les innovations majeures dans notre pays.
D’un côté, on a la doxorubicine, un anticancéreux qui a largement prouvé son efficacité. De l’autre, ces fameuses nanovésicules qui servent à transporter le médicament jusqu’au cœur des cellules cancéreuses. Mais il manquait encore un truc : comment libérer ce médicament précisément là où on en a besoin ?
«Ces nanovésicules, ce sont comme des coffres-forts microscopiques faits de grosses molécules, qui restent fermés quand ils ne sont pas exposés à la radiothérapie. Ce qui rend notre approche vraiment révolutionnaire, c’est qu’on a trouvé comment les faire s’ouvrir, sous l’action des rayons X, avec des premiers résultats qui dépassent nos espérances», déclare Sébastien Lecommandoux.
Il faut bien l’admettre, cette avancée pourrait changer complètement la façon dont on traite certains cancers. Finies, peut-être, les chimiothérapies qui détruisent tout sur leur passage, cellules saines comme cellules malades ? Cette technique permettrait de concentrer l’attaque uniquement sur les cellules à éliminer.
Je dois dire que cette combinaison entre nanotechnologie et radiothérapie classique ouvre des perspectives fascinantes. On parle quand même d’une prouesse qui pourrait diminuer considérablement les effets secondaires des traitements anticancéreux, souvent plus dévastateurs que la maladie elle-même.
La vraie révolution ici, c’est cette idée de «déclencheur externe» – les rayons X – qui permet de contrôler quand et où le médicament est libéré. C’est comme si on avait inventé une bombe intelligente à l’échelle cellulaire, qui n’explose que lorsqu’elle reçoit un signal précis, et uniquement à l’endroit ciblé.
Une révolution thérapeutique en marche
Le Dr Charles Dupin, cancérologue à Bordeaux, vient de franchir un cap décisif en médecine. Ce spécialiste des cancers ORL et gastro-intestinaux a uni ses forces avec l’équipe Doxanano pour développer une thérapie révolutionnaire. Et croyez-moi, ce n’est pas rien.
À la frontière entre pratique médicale et recherche fondamentale, ce médecin du CHU bordelais maîtrise notamment la radiothérapie stéréotaxique – une technique d’irradiation ultra-précise. Mais c’est en cherchant plus loin qu’il a fait mouche.
«En radiothérapie, depuis longtemps, nous cherchions des solutions thérapeutiques qui seraient déclenchées par les rayons, et on a trouvé, se réjouit-il. La chimiothérapie commandée à distance est une possibilité novatrice avec des possibilités incroyables, puisque toutes les tumeurs solides pourraient être traitées».
Cette avancée pourrait bien rendre obsolètes certains protocoles actuels, souvent éprouvants pour les patients. Fini, peut-être, les traitements qui ravagent tout sur leur passage ? Une lueur d’espoir dans un système de santé qui, convenons-en, nous a habitués à des promesses rarement tenues.
Un traitement révolutionnaire face aux lobbies
À l’assaut du cancer : ce traitement révolutionnaire qui inquiète les lobbies pharmaceutiques
Les médecins indépendants cherchent à éliminer la sale bête sans sacrifier la qualité de vie du patient. Sacré pari ! Cette thérapie qui bouscule la cancérologie traditionnelle s’attaque d’abord aux tumeurs du rectum les plus coriaces.
Charles Dupin et Samuel Amintas, ces chercheurs qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream, font équipe avec les professeures Vendrely et Dabernat du CHU de Bordeaux. Je reste convaincu que leur approche dérange les grands groupes pharmaceutiques habitués à nous vendre des traitements à rallonge.
La start-up qui développe ces nanomédicaments espère traiter son premier patient d’ici fin 2028. Mais le parcours ressemble à un véritable chemin de croix administratif : tests précliniques, essais cliniques, et surtout ces fameuses «autorisations» que les bureaucrates peuvent faire traîner pendant des années quand un traitement menace les intérêts établis. Combien de malades auraient pu être sauvés si l’État accélérait ces procédures comme il sait le faire quand ça l’arrange ?
Les défis et espoirs de Doxanano
«Nos premiers résultats sur les animaux répondent à toutes nos attentes, souffle Isabel Marey-Semper. Les nanovésicules fluorescentes ciblent parfaitement la tumeur et les tests démontrent leur innocuité, elles sont totalement tolérées par l’organisme».
J’ai pu constater que malgré l’enthousiasme des chercheurs, ces découvertes restent encore largement ignorées du grand public. Pas étonnant quand on sait comment nos médias préfèrent nous abreuver de conflits lointains plutôt que de vraies avancées pour notre santé.
Autre détail qui ne surprendra personne : si Doxanano maintient son siège social à Paris, c’est bien en province que l’entreprise a choisi d’implanter ses activités concrètes et son laboratoire, à Pessac plus précisément. L’usine devrait également s’y installer prochainement.
On ne peut s’empêcher de se demander si cette innovation française bénéficiera vraiment aux Français, ou si elle finira comme tant d’autres par être rachetée par un géant américain… avant que les traitements ne nous reviennent à prix d’or.
Notre système de santé, déjà au bord de l’implosion, pourra-t-il seulement se permettre de telles avancées quand elles seront disponibles ? Espérons que cette fois, l’argent de nos impôts servira à financer des traitements accessibles à tous, et non des intérêts privés.
Les pionniers de la nanomédecine
Isabel Marey-Semper, Sébastien Lecommandoux et Leslie Dubrana ont mis la main à la poche pour fonder leur propre biotech. Ce trio d’entrepreneurs, dont Dubrana qui baigne depuis des années dans la nanomédecine, n’a pas attendu les promesses habituelles de nos élites pour agir.
La petite entreprise n’a pas été laissée totalement seule face aux géants du secteur – la Région Nouvelle-Aquitaine et BPI France ont daigné apporter leur soutien financier. On se demande d’ailleurs combien de paperasses et de justificatifs ces entrepreneurs ont dû fournir pour obtenir ces miettes, eux qui créent de la vraie valeur sur le territoire.
Le développement continue malgré tout. Ils viennent de lancer une levée de fonds ambitieuse de 4 millions d’euros. Cet argent, qu’ils n’iront pas chercher dans la poche du contribuable comme nos politiciens savent si bien le faire, servira à financer les prochaines étapes cruciales du premier nanomédicament de la société.
L’avenir nous dira si cette initiative française pourra percer face aux mastodontes américains qui trustent habituellement ce genre d’innovations médicales, pendant que nos gouvernants préfèrent souvent financer leurs lubies idéologiques plutôt que nos chercheurs.
Le traité déforcé poursuit sa route, avec plus de surveillance pour plus de « menaces », mais moins d’argent !
Il y a quelques jours, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir finalement obtenu un accord sur le traité pandémie. Le projet qui sera soumis au vote lors de la 78ème Assemblée mondiale de la santé est nettement moins contraignant que dans ses premières moutures, il y a 3 ans.
Le rôle central de l’organisation y est revu à la baisse, ce qui reflète son affaiblissement suite au départ des États-Unis et à la réduction drastique de son budget. Mais le vote de cet Accord, même “squelettique”, reste une menace sur les libertés fondamentales.
La fin des super pouvoirs
Dans son communiqué du 16 avril, l’OMS se félicite d’avoir obtenu un accord historique qui permettra de renforcer la collaboration mondiale en matière de prévention, de préparation et de réponses aux futures menaces pandémiques.
Parmi les principaux points négociés, l’agence cite notamment: l’établissement d’un système d’accès aux agents pathogènes et le partage de ses avantages (“PABS”), l’engagement sur une approche “One Health” ou “Une seule santé”, le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies et l’établissement d’un réseau mondial d’approvisionnement et de logistique.
Quant à la volonté initiale de faire de l’OMS un organe central disposant de super pouvoirs ou de donner au texte une valeur contraignante, il semble que le message ait été clairement entendu. Le communiqué de l’OMS y consacre même un paragraphe très explicite:
Le projet (de traité) affirme la souveraineté des pays pour traiter les questions de santé publique à l’intérieur de leurs frontières et prévoit que rien dans le projet d’accord ne doit être interprété comme donnant à l’OMS le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire des lois ou des politiques nationales, ou d’ordonner aux États de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, d’imposer des mandats de vaccination ou des mesures thérapeutiques ou diagnostiques ou de mettre en œuvre des confinements.
Ceci est clairement exprimé dans l’article 24 des “Accords” qui marque un revirement complet par rapport à la volonté initiale de conférer un pouvoir dictatorial au secrétariat de l’OMS.
Aucune disposition de l’accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au secrétariat de l’OMS, y compris au directeur général de l’OMS, le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire de quelque manière que ce soit la législation nationale et/ou domestique, etc.
Dans son introduction, le traité réaffirme vouloir respecter le droit des Etats à “mettre en oeuvre des mesures en accord avec leur législation nationale.”
De manière générale, le langage a été revu dans de nombreux points. La plupart des phrases spécifiant une obligation ont été supprimées et à plusieurs endroits des provisions rappelant “la nécessité d’agir en accord avec les lois nationales” ont été ajoutées.
Nouvelles menaces et nouveaux contrôles
Mais si l’on ne parle plus de créer un organe de décision central, les dispositions qui incitent les États signataires à identifier de nouveaux motifs d’urgence et à augmenter les mesures de surveillance restent au coeur du projet des “Accords”.
Ainsi les pays signataires ont l’obligation d’entamer une série de changements législatifs pour la mise en oeuvre des programmes “One Health” (article 5), le partage des données de santé (article 6) ou pour faciliter l’approbation et la règlementation des produits liés à la pandémie.
Dans l’article 19, on maintient le cap sur le changement climatique qui pourrait justifier la déclaration d’une situation d’urgence:
Reconnaissant l’importance et l’impact sur la santé publique de menaces croissantes telles que le changement climatique, la pauvreté et la faim, les environnements fragiles et vulnérables, la faiblesse des soins de santé primaires et la propagation de la résistance aux antimicrobiens…
Dans l’article 15, les gouvernements s’accordent toujours pour un programme de censure:
Reconnaissant qu’il est important d’instaurer la confiance et de veiller à ce que les informations soient échangées en temps utile afin d’éviter la désinformation et la stigmatisation…
Par ailleurs, le texte définit également un risque pour la santé publique qui pourrait inclure non seulement le changement climatique, mais aussi la violence armée ou le bioterrorisme.
L’ajout dans la dernière mouture de la Convention de 1972 sur les armes biologiques indique un renforcement de l’agenda de la santé autour des notions de terrorisme et de ‘biosécurité’.
L’OMS compte ici se mêler des questions de contrôle, de recherche, de prolifération et d’échange des agents pathogènes ayant un potentiel d’arme biologique. L’on pense bien entendu aux expérience de “gain-de-fonction” et la version “fuite du laboratoire de Wuhan” qui a récemment remplacé l’explication officielle du gouvernement Trump quant à l’origine du virus de la pandémie.
Car, si la version “chauve-souris et pangolin” du marché de Wuhan soutient l’agenda de la santé liée au climat et les politiques ‘Une seule santé”, les virus “trafiqués” introduisent un autre type de “menace”, tout autant susceptible de mener à des politiques de surveillance et de contrôle de la population et de ses mouvements.
Peu de générosité, beaucoup de business
Selon les accords négociés, les compagnies pharmaceutiques devront céder gratuitement un minimum de 10% de leur production de “contre-mesures’ à la pandémie. Ce paragraphe du traité est contraignant… mais ses détails doivent encore être élaborés dans un instrument séparé.
Même chose pour l’article 13 qui prévoit qu’une chaîne d’approvisionnement sera mise en place et gérée par l’OMS.
Le projet n’explique pas comment les biens seront répartis, ni qui s’en chargera. Ceci laisse penser qu’il y a peu de chances d’y parvenir dans le futur, si au bout de 3 ans de négociations intenses on n’est pas plus loin, alors que cet argument est censé avoir été “le moteur” du traité.
Obligations indirectes et exceptions
L’article 14 sur “le renforcement de la règlementation” est plus inquiétant. Il prévoit ici une obligation pour les parties et qu’elle consiste en réalité à affaiblir la règlementation pour accélérer l’approbation des produits liés aux mesures d’urgence.
L’article 18 “confiance en la science” exige aussi une forme d’engagement des pays signataires à étudier et favoriser l’adhésion de leur population aux mesures de santé publique et aux autorités de santé.
En revanche l’article 27 permet aux signataires d’opposer une réserve à certaines parties du traité. Apparemment, il s’agit d’une nouvelle disposition, faute de laquelle il n’y aurait peut-être pas de texte à soumettre au vote.
La montagne accouche d’une souris
Au bout de 3 ans, le fameux traité pandémie qui menaçait la souveraineté des pays sous l’emprise d’une dictature sanitaire internationale a perdu de sa vigueur. Pour l’instant, il n’engage pas grand monde à grand chose, n’honore pas ses rares promesses, et comme les budgets sont réduits, il ne devrait pas être suivi de beaucoup d’effets.
Après l’annonce de la sortie de l’OMS décrétée par Donald Trump le 25 janvier 2025, l’organisation est en perte de vitesse et devra subir une restructuration avec la liquidation de plusieurs milliers d’emplois et de programmes de santé. Selon Health Policy Watch, l’OMS aurait 2,5 milliards de dollars à combler dans son budget pour l’exercice 2025-2027.
L’Europe, qui était déjà la locomotive du projet en 2021 est plus que jamais le pilier central de cet accord, mais certains Etats membres de l’Union européenne questionnent le rôle de la Commission dans ces négociations.
C’est notamment le cas pour l’article 11, un des points centraux de la négociation du traité, où le transfert des technologies pour renforcer les capacités des pays défavorisés a été revu à la baisse, sous la pression de pays forts et de leur industrie, en particulier l’Allemagne qui a finalement prôné une approche “volontaire”.
L’argument initial “d’égalité des chances” que les promoteurs des Accords n’ont cessé d’invoquer pour légitimer leurs négociations doit donc être dénoncé comme un leurre.
Et le projet révèle plus que jamais le vrai visage de l’OMS, à savoir une organisation qui sert avant tout deux objectifs: le développement de nouveaux marchés pour l’industrie (récolte de données, surveillance, tests, vaccins, santé numérique, agenda du climat) et la mise en place d’une infrastructure de contrôle des populations par les gouvernements (censure de l’information, détection des pathogènes, mesures liées au climat).
Si l’idée d’un “gouvernement mondial de la santé” a été abandonnée, cela n’est pas le cas des objectifs précités. L’on assiste plutôt à une réorganisation de leur déploiement selon une nouvelle rhétorique.
L’Accord cadre est un squelette basé sur des engagements volontaires, mais il est évident que “les parties intéressées” chercheront à l’habiller avec le retour à des obligations, à la faveur d’un revirement politique ou d’une nouvelle “surprise” sanitaire.
De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif
Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes
Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats
Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion
La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.
La Food and Drug Administration (FDA) américaine a fait un aveu alarmant, révélant que les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid risquent de subir une mort soudaine et inattendue jusqu’à 15 ans après avoir reçu leur dernière injection.
Selon la FDA, les « vaccins » à ARNm ont créé une bombe à retardement de mort subite en raison du risque massivement accru que les personnes « vaccinées » souffrent d’un caillot sanguin mortel.
Cet aveu choquant a été révélé dans une nouvelle étude évaluée par des pairs publiée dans la prestigieuse revue International Journal of Innovative Research in Medical Science.
Selon l’étude, le Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA admet que la « fenêtre réglementaire de préoccupation » pour un nouveau produit génétique, tel que les « vaccins » à ARNm contre le Covid, est de 5 à 15 ans.
Il est inquiétant de constater que cet aveu suggère que la population vaccinée pourrait être confrontée à une vague de caillots sanguins, car les vaccins contre la Covid n’ont été déployés pour un usage public qu’il y a environ quatre ans.
L’étude suggère que cela signifie qu’une hémorragie pulmonaire mortelle devrait être considérée comme une « conséquence potentielle du nouveau produit, même des mois, voire des années, après la dernière injection ».
McCullough et Hulsher ont mené cette étude pour étudier les risques à long terme d’hémorragie pulmonaire – caillots sanguins.
L’hémorragie pulmonaire est une maladie potentiellement mortelle qui survient lorsque du sang saigne dans les poumons.
Le saignement provoque la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales par suffocation ou choc.
Ils ont noté que les études précédentes n’avaient lié les caillots sanguins aux injections d’ARNm que chez les personnes peu de temps après la vaccination.
Cependant, les risques à long terme restent largement non étudiés.
Au cours de l’étude, ils ont enquêté sur le décès d’un homme de 47 ans décédé d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.
Selon une nouvelle étude évaluée par des pairs, le caillot sanguin mortel a été causé par un « vaccin » Pfizer provenant d’un « lot hautement mortel » de vaccins contre le Covid.
L’étude a déterminé que l’homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et ne prenait pas de médicaments au moment de sa maladie mortelle.
L’étude a noté que les injections de Covid « ont déjà été associées à une hémorragie pulmonaire, généralement observée peu de temps après la vaccination ».
Dans un article de Substack , Hulscher note qu’il s’agit du « premier cas publié d’un événement indésirable mortel survenant plus d’un an après une injection d’ARNm de COVID-19, soulignant le potentiel d’effets indésirables graves à long terme ».
Selon l’étude, l’homme de 47 ans « présentait des symptômes d’une légère infection respiratoire » avant son décès.
Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée et il a souffert d’une grave détresse respiratoire.
Il a également subi un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire abondante ».
La taille de son cœur est restée normale.
« Les preuves suggèrent que cet homme est décédé d’un arrêt cardiopulmonaire, très probablement à la suite d’une hémorragie pulmonaire aiguë, le vaccin contre la COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiopulmonaire et d’une hémorragie », conclut l’étude.
Cette découverte est « importante car elle démontre que la mort peut survenir même plus d’un an après la première série d’injections d’ARNm », a déclaré McCullough.
« Des études similaires ont révélé une embolie pulmonaire qui, si elle est laissée suffisamment longtemps, peut provoquer une nécrose et une hémorragie pulmonaire », a ajouté McCullough.
« Il est bien connu que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »
Hulscher a déclaré :
« La plausibilité biologique d’une hémorragie pulmonaire retardée suite à la vaccination par ARNm contre la COVID-19 est étayée par des cas documentés à court terme survenant peu après l’injection, des préoccupations réglementaires concernant les effets prolongés des produits génétiques, la persistance et la pathogénicité de la protéine Spike, et des preuves émergentes d’une intégration potentielle du génome de l’ADN plasmidique contribuant à l’expression soutenue de la protéine Spike. »
Malgré les conclusions de l’autopsie et les recherches antérieures sur le sujet indiquant un lien possible entre les injections d’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le médecin légiste a déterminé que la cause du décès était attribuée à une maladie cardiovasculaire athéroscléreuse et hypertensive, sans tenir compte de l’hémorragie pulmonaire récente et des antécédents médicaux sans particularité. »
L’étude a également noté que l’autopsie de l’homme n’a pas examiné les contributions potentielles de l’injection de Covid, telles que la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm du « vaccin » ou des anticorps apparentés.
Lors d’une interview avec CHD, la militante pour la liberté de la santé Mary Holland a donné son avis sur l’étude et l’aveu alarmant de la FDA.
En parlant avec Polly Tommey de CHD, Holland s’est demandé si les gens auraient volontairement accepté de se faire vacciner s’ils savaient que se faire vacciner pouvait potentiellement les tuer ou les blesser jusqu’à 15 ans après l’injection initiale.
Holland soutient que l’un des plus grands crimes contre l’humanité est que la FDA savait que c’était une possibilité mais a quand même mis ses « vaccins » sur le marché.
Pire encore, la FDA a caché ce fait au public jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
« La FDA elle-même affirme que la période de préoccupation pour ces caillots sanguins est de 5 à 15 ans », a déclaré Holland.
« Eh bien, ils n’ont certainement pas dit cela aux gens lorsqu’ils encourageaient tout le monde à se faire vacciner. »
MONTRE:
Cette nouvelle intervient dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant la présence de caillots sanguins dangereux chez les personnes vaccinées.
Slay News précédemment Comme l’ a rapporté , les embaumeurs et les enquêteurs ont émis un avertissement effrayant après avoir découvert de nouvelles preuves concernant des rapports croissants de « caillots fibreux blancs » trouvés dans les cadavres de personnes ayant reçu des « vaccins » Covid mRMA.
En 2024, les embaumeurs ont signalé que des caillots avaient été découverts dans un pourcentage stupéfiant de 27 % des cadavres vaccinés contre le Covid.
Entre-temps, une autre révélation récente de la FDA a provoqué une onde de choc dans les communautés médicales et scientifiques.
Slay News Comme l’ a rapporté , la FDA a fait l’aveu explosif que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont contaminés par des contaminations qui ont déclenché une augmentation mondiale des cancers.
L’agence fédérale a fait cet aveu après qu’une étude de la FDA a confirmé que le « vaccin » à ARNm Covid de Pfizer contient des niveaux dangereux de contamination excessive de l’ADN.
D’éminents scientifiques avertissent depuis un certain temps que la recrudescence des cancers mortels parmi les personnes vaccinées contre le Covid était causée par des fragments d’ADN contenus dans les injections d’ARNm.
Ces avertissements ont maintenant été confirmés par une étude explosive menée dans le laboratoire de la FDA.
Des tests effectués sur le campus de White Oak de la FDA dans le Maryland ont révélé des niveaux choquants de contamination de l’ADN dans les « vaccins ».
Par leDr G DELEPINE chirurgien orthopédiste, statisticien
Le 18 avril 2025
Tout récemment le nouveau ministre de la santé Yannick Neuder, cardiologue et député, a proposé la création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » appuyé par un « programme national d’éducation critique en santé » en lien avec l’Éducation nationale.
Yannick Neuder a dû s’inspirer de 1984, le livre d’Orwell qui décrit avec 40 ans d’avance l’instauration d’un ministère de la vérité, symbole de l’obscurantisme et de la tyrannie.
La démocratie laisse le doute s’exprimer librement et la science s’en nourrit. Seules les religions et les théocraties croient détenir « la vérité »
George Orwell décrit le ministère de la vérité dit « Miniver », comme un bâtiment d’environ 300 mètres de haut comprenant plus de 3000 pièces au niveau du sol et des ramifications souterraines. Il régit l’information, l’éducation, les beaux-arts et les divertissements. Sur tous les médias, Il s’occupe de la propagande, et modifie ou supprime les vérités qui ne lui convienent pas afin d’effacer les souvenirs et réduire les habitants dans l’ignorance et l’oubli du monde réel. Le ministre qui n’a pas de rêve de grandeur se contentera peut-être d’un bâtiment de seulement 100 mètres pour abriter son miniver.
La création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » correspond tout à fait à une volonté d’établir « la vérité » en décernant un label officiel à ce qui doit être cru pour institutionnaliser le crédo officiel comme cela se passait en Allemagne au temps du nazisme et en Union Soviétique du temps du communisme. Il s’agit d’une forme moderne d’inquisition dont les grands inquisiteurs seront les experts proclamés par l’autorité suprême.
Cette volonté de définir une vérité officielle est fondamentalement antiscientifique. En science toute vérité du moment est constamment soumise à la critique des faits et elle évolue avec eux.
Les grandes avancées scientifiques se caractérisent le plus souvent par l’abandon de ce qu’on croyait jusqu’alors vrai grâce aux efforts d’ un individu longtemps raillé par les instances officielles (aujourd’hui on le traite de complotiste) et qui impose la nouvelle vérité grâce à sa ténacité de l’observation et de l’explication des faits.
En médecine, il suffit de se souvenir de l’opposition officielle forcenée contre l’existence des germes ou contre la découverte de Jenner qui a inventé la vaccination, et que la découverte des antibiotiques est due à une erreur de laboratoire bien remarquée et analysée par Fleming.
La création d’une science officielle, réprimant ceux qui s’écartent de la Doxa ruine tout progrès scientifique majeur. En Union Soviétique la création d’une science officielle a conduit entre autres à la ruine de la génétique, de la physiologie, de la linguistique, de la cybernétique, de l’informatique et de l’ingénierie qui ont contribué à la perte d’efficacité économique et à la chute du système.
Entendre un ministre de la Santé dire qu’il va établir une vérité officielle grâce à ses experts est totalement fou et angoissant pour la médecine. Il prétend vouloir défendre la science, mais sa politique coercitive aboutira à la détruire. La science ne peut prospérer que dans la liberté.
Les experts choisis pour définir « la vérité » sont pour le moins inquiétants
ou du moins leur impartialité, car beaucoup ont déjà fait leurs preuves comme médecins de plateau télé et acteurs de la médecine-spectacle lors de la crise covid.
Le Dr Michel Cymes « Monsieur super-Vax de la Télé à tout crin contre les antivax, à fond pour la vaccination contre le coronavirus» 1 » a participé à un film publicitaire des laboratoires Pfizer2 utilisant un plateau de France 3 et campagne de publicité pour le dépistage systématique du cancer de la prostate par le dosage des PSA que la HAS juge inutile et dangereux.
Il représente un des grands défenseurs des injections covid qu’il a reçu en direct à la télévision, ce qui ne l’a pourtant pas empêché d’attraper deux fois le covid.
Mais aussi pour ses certitudes infondées : « Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner », alors qu’actuellement c’est plutôt la responsabilité de ceux qui ont forcé à la pseudo vaccination dangereuse qui se pose dans de nombreux pays étrangers…Et encore pour son manque de compassion pour ses confrères qui ont eu le tort d’être donneurs d’alerte : « Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner »3.
Plus récemment il s’est opposé à la nomination de Robert Kennedy Jr comme secrétaire d’État à la santé U.S. et appelé non pas à argumenter, mais à faire taire celles et ceux qui ne sont pas dans la Doxa par tous les moyens ! Interdire tout débat, toute critique et réduire au silence ceux qui se battent pour la liberté : «Cette nomination va booster tous les complotistes du monde, y compris chez nous, chaque déclaration de Kennedy sera reprise par les RS, amplifiée, déformée, cela demande une grande vigilance mais également une grande réactivité de la part de tous ceux qui sont responsables de la santé en France. Gouvernement, administrations, institutions, informateurs, nous devons tous réagir immédiatement en cas de désinformation manifeste sur les sujets de santé, y compris et surtout nous, médecins […] Le conseil de l’ordre des médecins doit sanctionner immédiatement ceux qui épousent les thèses les plus farfelues… »
Karine Lacombe qui a reçu plus de 212 000 euros de divers laboratoires au cours des dernières années et représente ainsi « l’archétype du PU-PH modèle de conflits d’intérêts4 qu’elle oublie presque toujours de signaler.
Elle a perçu de l’argent de Gilead et AbbVie et travaillé avec d’autres laboratoires comme la compagnie pharmaceutique belge Janssen. Ces liens d’intérêts, qu’elle ne déclarait pas lors de ses interventions sur les plateaux de télévision, expliquent peut être qu’elle se soit élevée contre l’hydroxychloroquine, qu’elle ait qualifié le remdesivir de « prometteur » (alors qu’il s’est avéré un traitement fortement toxique et inefficace), qu’elle ait promu le Molnupiravir du laboratoire Merck, fort coûteux et mutagène, ou encore partagé des études douteuses sur le Bamlavinimab et partagé l’interprétation douteuse des données de la Direction de la recherche concluant à une efficacité prodigieuse du vaccin..
Le Pr Alain Fischer grand apôtre permanent des vaccinations fait le grand écart entre la recherche scientifique, les multinationales, et les fondations Edmond de Rothschild dont il membre du conseil 5. Depuis fin 2020, il a été adoubé par Emmanuel Macron lui-même pour diriger le conseil d’orientation de la politique vaccinale en France. L’échec retentissant de la politique anti-covid montre la faible pertinence de sa stratégie qui nous a placé, avec les pays pro vaccins parmi les pays aux plus fortes mortalités.
Le Dr Jean-David Zeitoun qui continue sur les ondes à glorifier la politique française du covid et à prétendre « qu’il n’y a pas de doute que les vaccins ont été extraordinairement efficaces »6 alors que les données de l’OMS prouvent le contraire.
En France :
Comme dans le reste du monde :
Le Pr Mathieu Molimard président honoraire du Collège National de Pharmacologie Médicale (CNPM), membre du conseil d’administration de la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique a accusé publiquement le Pr Raoult et la chloroquine des pires maux. Comment peut-il ignorer que ce traitement a permis aux quatre pays qui l’ont officiellement adopté (Algérie, Sénégal, Cote d‘Ivoire, Cameroun) des mortalité Covid 15 à 80 fois inférieures à celle de la France et de la Tunisie qui ont suivi la même politique du tout vaccin. Données de l’OMS illustrées par les courbes suivantes :
Dans sa propagande pour inciter à la 3ème injection anti-covid il a osé affirmer « Le rappel après les deux doses vaccinales booste fortement l’immunité sans majorer les effets indésirables « Nous avons aujourd’hui un important recul sur l’efficacité et la sécurité des vaccins anti Covid-19. Ces données transparentes… confirment l’excellente efficacité mais aussi sécurité des vaccins à ARNm y compris chez les femmes enceinte »
Le Pr Laurent Cordonier grand pourfendeur des complotistes contre lesquels il abandonne toute argumentation, préfère « la censure pour défendre la démocratie ». Démocratie à la chinoise sans droit de s’exprimer librement.
Certes, ce n’est pas parce que ces « experts » ont été très toxiques lors de la crise covid qu’ils le seront forcément demain. Mais un tel choix, qui n’est manifestement pas lié à la clairvoyance passée, ne permet guère d’être optimiste.
La désignation de tels « experts » au conseil de l’inquisition du ministère de la vérité annonce la violence des attaques qui seront portées contre la liberté d’expression. Mais nous saurons la défendre car la vérité du monde réel l’emportera sur leur volonté tyrannique.
Le ministre de la Santé veut imposer sa vérité à l’école
L’école enseigne de moins en moins à lire et compter, mais se focalise sur la mise en condition des cerveaux les plus sensibles, ceux de nos enfants. Nous l’avons observé avec l’abandon des notes, de la progression au mérite, la propagande du réchauffement climatique, de la théorie du genre et de la sexualité depuis le primaire.
Yannick Neuder veut l’étendre au domaine sanitaire en instaurant un « programme national d’éducation critique en santé » pour conditionner nos enfants à l’obéissance aux directives gouvernementales futures, qu’il s’agisse des vaccins futurs ou des dépistages et des tests discutables et coûteux, mais rentables pour l’industrie.
Hanna Harendt a bien montré que l’imprévisibilité de l’enfant en fait le dernier rempart contre le totalitarisme et souligné que les dictateurs s’attaquent prioritairement à la famille et à l’enfant (jeunesses hitlériennes, communistes, jeunesses Khmers rouges…).
Défendons nos enfants. Battons-nous contre ce programme national d’éducation critique en santé qui ne vise qu’à conditionner nos enfants à obéir sans réfléchir, alors que l’éducation devrait au contraire développer la réflexion critique nécessaire au citoyen.
Le ministre de la Santé déclare la guerre à la démocratie
Le ministre a raison de regretter la perte de confiance de la population dans la parole publique. Mais il se trompe sur les raisons et donc sur le traitement adapté. Cette perte de confiance est la conséquence directe des mensonges que l’état a répété lors du covid et dont la population s’est rendu compte. On ne fait plus confiance à ceux qui nous ont menti. Le seul moyen de restaurer la confiance est de prouver sa bonne foi en pratiquant la transparence des décisions et de leurs vrais motifs. La suppression du secret défense cachant les délibérations du comité scientifique du covid constituerait un premier pas prometteur.
A l’opposé la création du ministère de la vérité, le renforcement des censures et l’endoctrinement scolaire prônés par le ministre aggraveront forcément la méfiance de la population envers le gouvernement.
Notons que ce nouveau ministre n’a guère de « chance » dans sa chronologie malheureuse ! Sortir son projet de « ministère de la Vérité » le jour où apparait dans la soirée sur l’ensemble de la planète, le rapport officiel de la maison Blanche de plus de 550 pages sur l’histoire du Covid et les mensonges mondiaux dévoilés, relève de la « poisse » !
Voici le discours maintenant officiel à la Maison Blanche sur l’origine du virus de la Covid
1. Le virus possède une caractéristique biologique qui n’existe pas dans la nature. En effet, il s’agit du site furine qui n’existe pas dans ce sous-genre de coronavirus
2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’une seule introduction chez l’homme. Cela va à l’encontre des pandémies précédentes, où il y avait eu plusieurs événements de propagation.
3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui a déjà mené des recherches sur le gain de fonction (modification génétique augmentant la pathogénicité d’un organisme) dans des conditions de biosécurité inadéquates.
4. Des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux du COVID à l’automne 2019, plusieurs mois avant la découverte du COVID-19 sur un marché aux animaux vivants.
5. Selon presque toutes les mesures scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été mises au jour. Or, ce n’est pas le cas. En effet : il n’y aucun argument en faveur de l’origine naturelle.
Et pour les plus téméraires, la vidéo du nauséabond Colloque – Lutte contre l’obscurantisme et la désinformation en santé. Question : croient-ils à ce qu’ils racontent ?
L’obstétricienne expérimentée Dr Kimberly Biss , qui a accompagné des milliers de grossesses, tire la sonnette d’alarme : Depuis le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19, elle a observé une augmentation drastique des fausses couches – de 100 % par rapport à l’année précédente.
Particulièrement explosif : selon Biss, un taux de fausses couches de 80 pour cent s’est déjà produit lors des essais cliniques de Pfizer – et l’entreprise le savait .
OB/GYN: “The miscarriage rate was 80 percent in the Pfizer trials. They knew that.”
Dr. Kimberly Biss, who has been involved in thousands of pregnancies, saw miscarriage rates rise “by 100 percent” year-to-year after the COVID shots.
Baisse du taux de natalité dans le monde : un problème systémique ?
Plus alarmant encore est le déclin du taux de natalité dans le monde , qui semble être directement lié aux taux de vaccination .
Selon la tendance, plus le taux de vaccination est élevé, plus la baisse des naissances est importante.
Par exemple, le mathématicien Igor Chudov a analysé des données provenant de Hongrie et a découvert un lien frappant :
Dans les cinq comtés où le taux de vaccination est le plus bas, le taux de natalité n’a baissé en moyenne que de 4,66 % .
Dans les cinq districts où les taux de vaccination sont les plus élevés, la baisse a toutefois été en moyenne de 15,2 % .
Un million d’enfants à naître dans l’UE ?
La journaliste américaine Naomi Wolf , qui a analysé les données de Chudov, parle d’une réduction démographique massive :
dans l’UE « Le déclin est tellement systémique que nous manquons un million de nouveau-nés – un million de bébés qui auraient dû naître. »
Conclusion : Modèles de corrélation avec la puissance explosive
Si ces observations et ces chiffres se confirment, les responsables de la médecine, de la politique et de l’industrie seront confrontés à une question désagréable : Y a-t-il eu des preuves précoces d’effets secondaires graves des vaccins contre la COVID sur la fertilité – et ont-ils été supprimés ?
La demande de clarification indépendante se fait de plus en plus forte.
La Cour de justice de l’Union européenne tranche sur la prescription obligatoire des vaccins COVID-19 et la responsabilité des médecins
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment rendu une décision qui pourrait avoir un impact majeur sur la responsabilité des professionnels de santé ayant administré les vaccins contre le COVID-19. Selon cet arrêt, une prescription médicale était nécessaire pour l’administration de ces vaccins, ce qui remet en cause la manière dont la campagne de vaccination a été menée dans plusieurs pays européens.
L’importance de la prescription médicale
L’affaire portée devant la CJUE par le professeur Frajese met en lumière un point fondamental : les médecins avaient la liberté d’évaluer la pertinence d’une vaccination pour leurs patients. Contrairement à ce qui a été appliqué dans certains États membres, l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 n’impliquait aucune obligation pour les médecins de prescrire ou d’administrer ces vaccins.
La Cour rappelle que la relation médecin-patient repose sur un principe essentiel : la liberté de prescription. Chaque professionnel de santé doit pouvoir, en fonction des spécificités du patient, choisir le traitement le plus adapté, en toute indépendance. Ainsi, ceux qui ont choisi de ne pas recommander ces vaccins ou de les déconseiller ne peuvent être poursuivis ni disciplinés pour cette raison.
Les conséquences sur la responsabilité des médecins
L’arrêt de la CJUE précise que les médecins ayant administré ces vaccins sans évaluation individuelle du patient pourraient voir leur responsabilité engagée. En effet, le fait que ces vaccins aient reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM) ne suffisait pas à exempter les praticiens de leur devoir d’analyse des risques pour chaque patient.
Cela signifie que les professionnels de santé qui ont procédé à la vaccination sans prescription spécifique pourraient être poursuivis pour faute médicale. La Cour souligne que la protection juridique dont bénéficiaient les médecins ne s’applique que si l’administration des vaccins a respecté les règles en vigueur, ce qui inclut l’évaluation individuelle de chaque patient.
L’impact sur les recours en justice
Les décisions de la CJUE s’imposent aux juges nationaux, et cet arrêt pourrait influencer de nombreuses procédures en cours. En particulier, les personnels de santé suspendus ou radiés pour avoir refusé d’administrer ces vaccins pourraient voir leur situation réexaminée à la lumière de cette jurisprudence.
Par ailleurs, les personnes ayant subi des effets indésirables après la vaccination disposent désormais d’un argument supplémentaire pour engager des actions en responsabilité contre les médecins et les autorités sanitaires. L’absence de prescription médicale constitue une violation des règles établies, rendant possibles des demandes d’indemnisation pour préjudice corporel.
Une décision qui redéfinit la liberté de soins
Cette décision de la CJUE marque un tournant majeur dans l’approche des politiques de santé publique. Elle réaffirme le principe selon lequel les médecins doivent conserver leur liberté de prescription et rappelle que toute obligation de vaccination doit être encadrée par des règles claires respectant les droits des patients.
Alors que les débats sur les politiques vaccinales continuent, cette décision apporte une clarification essentielle : les professionnels de santé doivent être libres de prescrire ou de déconseiller un traitement, en fonction des besoins réels de leurs patients, sans subir de pressions extérieures.
Si vous êtes victime d’un effet secondaire suite à la vaccination, il est important de savoir que vous avez des droits.Lecabinet ELLIPSIS AVOCATS se spécialise dans la défense des victimes de dommages corporels et vous accompagne pour obtenir une indemnisation et faire valoir vos droits face aux autorités compétentes.
N’hésitez pas à nous contacter pour toute question ou pour discuter de votre situation.
Certainement un des ouvrages les plus complets et sourcés sur « l’affaire Covid ». Une enquête d’utilité publique qui se lit comme un polar. Un livre à faire circuler de toute urgence.
Un vague sentiment de vous être fait avoir ? Pourquoi ? Comment ? Fruit d’une enquête minutieuse, ce livre choc vous dévoile les coulisses et les mensonges des « pandémies », présentes, passées et à venir. Des faits, rien que des faits. Qui a orchestré cette fraude planétaire, quand et comment les membres d’un petit groupe organisé ont patiemment tissé leur toile, corrompu le système et subverti les représentants des peuples ? Dix grands mensonges, dix grandes vérités. Voici enfin la vérité, voici les réponses.
Soyez prêts à protéger votre santé, et, peut-être, sauver votre vie.
Le projet mondial sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19 (GCoVS), lancé en 2021 dans le cadre du Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN®), vise à évaluer l’innocuité des vaccins. Cette étude visait à évaluer le risque d’ effets indésirables particuliers (EIPP) suite à la vaccination contre la COVID-19 sur dix sites répartis dans huit pays.
Méthodes
À l’aide d’un protocole commun, cette étude de cohorte observationnelle a comparé les taux observés et attendus de 13 effets indésirables graves (EI) sélectionnés pour les résultats neurologiques, hématologiques et cardiaques. Les taux attendus ont été obtenus par les sites participants à partir des données de santé pré-vaccinales COVID-19, stratifiées par âge et par sexe. Les taux observés ont été rapportés à partir des mêmes bases de données de santé depuis le déploiement du programme de vaccination contre la COVID-19. Les EI survenant jusqu’à 42 jours après la vaccination par les vaccins à ARNm (BNT162b2 et ARNm-1273) et à vecteur adénoviral (ChAdOx1) ont été inclus dans l’analyse principale. Les risques ont été évalués à l’aide des ratios observés/attendus (OE) avec des intervalles de confiance à 95 %. Les signaux de sécurité potentiels prioritaires étaient ceux dont la limite inférieure de l’intervalle de confiance à 95 % (LBCI) était supérieure à 1,5.
Résultats
Français Les participants comprenaient 99 068 901 personnes vaccinées. Au total, 183 559 462 doses de BNT162b2, 36 178 442 doses d’ARNm-1273 et 23 093 399 doses de ChAdOx1 ont été administrées dans les sites participants au cours de la période d’étude. Les périodes à risque suivant les calendriers de vaccination homologues ont contribué à 23 168 335 années-personnes de suivi. Des ratios OE avec LBCI > 1,5 ont été observés pour le syndrome de Guillain-Barré (2,49, IC à 95 % : 2,15, 2,87) et la thrombose du sinus veineux cérébral (3,23, IC à 95 % : 2,51, 4,09) après la première dose du vaccin ChAdOx1. L’encéphalomyélite aiguë disséminée a montré un ratio d’efficacité de 3,78 (IC à 95 % : 1,52, 7,78) après la première dose du vaccin à ARNm-1273. Les ratios d’efficacité de la myocardite et de la péricardite après BNT162b2, ARNm-1273 et ChAdOx1 ont augmenté significativement avec des LBCI > 1,5.
Conclusion
Cette analyse multi-pays a confirmé les signaux de sécurité préétablis concernant la myocardite , la péricardite , le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral . D’autres signaux de sécurité potentiels nécessitant une investigation plus approfondie ont été identifiés.
Questions répondues dans cet article
Bêta propulsé par GenAI
Il s’agit d’un contenu d’IA génératif et la qualité peut varier. Apprendre encore plus .
Événements indésirables présentant un intérêt particulier
COVID 19
Analyse observée vs. attendue
1. Introduction
Depuis la déclaration de la pandémie de COVID-19 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars 2020 [1], plus de 13,5 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 ont été administrées dans le monde [2] . En novembre 2023, au moins 70,5 % de la population mondiale avait reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 [2] . Ce scénario sans précédent souligne le besoin urgent d’une surveillance complète de la sécurité des vaccins, car de très rares événements indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19 pourraient n’être révélés qu’après l’administration à des millions de personnes.
Français En prévision de ce déploiement mondial sans précédent de vaccins contre la COVID-19, l’initiative Safety Platform for Emergency vACcines (SPEAC) a formulé une liste d’événements indésirables potentiels du vaccin contre la COVID-19 présentant un intérêt particulier (AESI) en 2020 [3] . La sélection des AESI était basée sur leurs associations préétablies avec la vaccination, des plateformes vaccinales ou des adjuvants spécifiques, ou la réplication virale au cours d’une maladie de type sauvage ; des préoccupations théoriques liées à l’immunopathogenèse ; ou des preuves à l’appui provenant de modèles animaux utilisant des plateformes vaccinales candidates [3] .
Français Une approche flexible pour évaluer les EISP est la comparaison des taux d’EISP observés après l’introduction d’un programme de vaccination avec les taux attendus (ou de fond) basés sur des périodes historiques avant le déploiement du vaccin [4] , [5] . De telles comparaisons peuvent être effectuées rapidement et peuvent jouer un rôle clé dans la détection précoce de signaux potentiels de sécurité des vaccins ou lorsque les agences de réglementation et de santé publique ont besoin d’une évaluation rapide d’un signal de sécurité émergent [4] , [6] . L’analyse observée versus (vs.) attendue (OE) a joué un rôle essentiel dans l’identification de la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) comme un signal de sécurité, ce qui a conduit à la suspension de l’utilisation du ChAdOx1 (vaccin AstraZeneca COVID-19) le 11 mars 2021, au Danemark et en Norvège [7] , [8] .
Français Ces évaluations sont utiles non seulement au début du déploiement à grande échelle des vaccins, mais aussi à mesure que le programme de vaccination mûrit, en particulier si elles peuvent être menées dans un contexte multinational. Nous avons mené une étude de cohorte mondiale en suivant le protocole d’étude Observed vs. Expected Analyses of COVID-19 Adverse Events of Special Interest [9] avec des données provenant de 10 sites dans huit pays participant au projet unique Global COVID Vaccine Safety (GCoVS) [10] du Global Vaccine Data Network™ (GVDN®) [11] . Le projet GCoVS, lancé en 2021, est une collaboration mondiale financée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) entre des chercheurs et des sources de données de plusieurs pays à des fins de surveillance de la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
2. Méthodes
2.1 . Conception de l’étude
Cette étude observationnelle rétrospective a été conçue pour estimer les ratios OE d’EIS sélectionnés après la vaccination contre la COVID-19 dans une cohorte de population multi-pays.
2.2 . Source des données et population étudiée
Le projet GCoVS a compilé des données de santé électroniques sur les effets indésirables graves (EIS) liés aux vaccins contre la COVID-19 auprès de participants de plusieurs sites du réseau GVDN, notamment en Argentine, en Australie (Nouvelle-Galles du Sud), en Australie (Victoria), au Canada (Colombie-Britannique), au Canada (Ontario), au Danemark, en Finlande, en France, en Nouvelle-Zélande et en Écosse [10] . Les données de santé comprenaient des données individuelles ou populationnelles, selon la disponibilité dans les sites d’étude ( tableau supplémentaire 1 ).
La majorité des sites d’étude ont utilisé des registres de vaccination contenant des données individuelles. Ces registres couvraient la même population et la même région géographique que les ensembles de données utilisés pour calculer les taux de base. Nous avons également examiné les données populationnelles sur la couverture vaccinale à l’aide de tableaux de bord régulièrement mis à jour par les sites d’étude. Si le nombre de personnes vaccinées par tranches d’âge et de sexe spécifiques était disponible, nous avons converti ces chiffres en années-personnes en fonction de la période de risque post-vaccinale. Contrairement aux registres contenant des données individuelles, les strates d’âge et de sexe utilisées dans cette approche pourraient ne pas correspondre à celles utilisées pour le calcul des taux de base.
Les participants étaient des personnes vaccinées contre la COVID-19 au sein des populations représentées par les sites. Dans la mesure du possible, des méthodes standardisées ont été appliquées entre les sites. Les types de patients comprenaient des patients hospitalisés (Australie – Nouvelle-Galles du Sud, France, Nouvelle-Zélande, Écosse) et des patients hospitalisés et ambulatoires aux urgences (Argentine, Australie – Victoria, Canada, Danemark, Finlande). Dans les pays où les types de patients n’étaient pas clairement définis, la durée du contact à l’hôpital a été utilisée comme indicateur indirect des types de patients. À titre d’exemple, une durée de contact de cinq heures ou plus a été utilisée comme indicateur indirect des patients hospitalisés au Danemark. Les caractéristiques spécifiques des sources de données et des données par site sont présentées dans le tableau supplémentaire 1 .
2.3 . Période d’étude et suivi
Français Les périodes d’étude variaient selon les pays, commençant à la date du déploiement du programme de vaccination contre la COVID-19 spécifique au site et se terminant à la fin de la disponibilité des données ( tableau 1 ). En général, les périodes d’étude s’étendaient de décembre 2020 à août 2023. La période d’étude la plus courte observée a eu lieu en Australie – Nouvelle-Galles du Sud, comprenant 11 mois de février 2021 à décembre 2021. L’Argentine a eu la période d’étude la plus longue, de décembre 2020 à août 2023, comprenant un total de 32 mois.
Tableau 1. Résumé de la population par site. (Uniquement les vaccins Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India ChAdOx1 et les doses 1 à 4 inclus).
Vaccins : Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (ARNm-1273) et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).
Français Les intervalles de risque utilisés après chaque dose étaient de 0 à 7 jours, de 8 à 21 jours, de 22 à 42 jours et de 0 à 42 jours. Pour chaque dose de vaccination, le jour 0 était le jour de la réception du vaccin. Pour ce manuscrit, nous présentons les résultats pour l’intervalle de risque de 0 à 42 jours uniquement. D’autres données sont présentées sur le tableau de bord du GVDN avec toutes les dernières mises à jour des sites participants [12] . Les événements survenus en dehors de la période d’étude n’ont pas été inclus. Une période de sevrage de 365 jours pour les événements survenus a été utilisée pour définir les événements incidents. Les événements survenus étaient considérés comme incidents s’il n’y avait pas d’enregistrement du même événement survenu au cours de la période de sevrage de 365 jours précédente. Un individu peut avoir contribué à plusieurs événements survenus à condition qu’ils soient séparés dans le temps par au moins la période de sevrage de 365 jours.
2.4 . Variables et résultats de l’étude
2.4.1 . Événements indésirables présentant un intérêt particulier (EIIP)
En novembre 2023, plusieurs vaccins contre la COVID-19 étaient utilisés par les sites GCoVS, représentant plusieurs types de plateformes, telles que les plateformes à vecteurs viraux inactivés, à base d’acide nucléique (ARNm), à base de protéines et non réplicatifs ( tableau 2 ). Pour ce manuscrit, nous nous sommes concentrés sur les trois vaccins ayant enregistré le plus grand nombre de doses administrées : Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India ChAdOx1. Français Le nombre cumulé de doses d’autres vaccins administrées (n) dans les sites d’étude était relativement faible, à l’exception des vaccins inactivés Sinopharm (n = 134 550) et Sinovac (n = 31 598), du vaccin à base de protéines Novavax (n = 66 856) et des vaccins à vecteur adénoviral Janssen/Johnson & Johnson (n = 1 137 505) et Gamaleya Research Institute/Sputnik (n = 84 460). Le nombre total de doses de chaque marque de vaccin administrées est indiqué dans le tableau 2. Les données sur l’exposition au vaccin contre la COVID-19 par plateforme/type, marque et dose étaient disponibles au niveau individuel pour déterminer le nombre de cas observés par type/marque de vaccin et profil de dose et dans l’intervalle de risque post-vaccination de 0 à 42 jours.
Tableau 2. Nombre total de vaccinations par marque.
Plateforme de vaccins
Marque de vaccin
Doses totales
Inactivé
Vaccin Covilo ou SARS-CoV-2 (cellule Vero) [Sinopharm (Pékin)]
134 550
Covaxin [Bharat Biotech]
1 660
CoronaVac ou Sinovac [Sinovac Biotech]
31 598
Inactivé (cellule Vero) [Sinopharm (Wuhan)]
623
À base d’acide nucléique
Vaccin bivalent Comirnaty ou Riltozinaméran ou Pfizer/BioNTech contre la COVID-19 [Pfizer/BioNTech]
3 516 963
Comirnaty ou Tozinameran [Pfizer/BioNTech ou Fosun-BioNTech]
183 677 660
Comirnaty ou Tozinameran pédiatrique [Pfizer/BioNTech ou Fosun-BioNTech]
2 439 086
Spikevax bivalent Original/Omicron [Moderna]
2 750 476
Demi-dose d’élasomeran ou de Spikevax ou de TAK-919 [Moderna ou Takeda]
400 395
Élasomérane ou Spikevax ou TAK-919 [Moderna ou Takeda]
36 222 514
À base de protéines
MVC-COV1901 [Medigen]
16
Covovax ou Nuvaxoid [Novavax ou Serum Institute of India]
66 856
Vecteur viral non réplicatif
Convidacia ou Convidance [CanSino]
3 938
Covishield ou Vaxzevria [AstraZeneca ou Serum Institute of India]
23 094 620
Spoutnik Light ou Gam-COVID-Vac [Institut de recherche Gamaleya]
26
Spoutnik V [Institut de recherche Gamaleya]
84 460
Janssen [Janssen/Johnson & Johnson]
1 137 505
2.5 . Analyse statistique
2.5.1 . Calcul des ratios observés/attendus pour chaque site
Français Pour chaque site, nous avons calculé le nombre observé d’événements pour chaque EISP dans l’intervalle de risque après l’introduction de la vaccination contre la COVID-19. Pour calculer le nombre attendu de cas, nous avons utilisé les données sur les taux de base pré-vaccination contre la COVID-19 de 2015 à 2019 (2019-2020 pour le Danemark) collectées dans l’étude GCoVS Background Rates of EISP Following COVID-19 vaccination [13] . La période de suivi observée en personnes-années pour un profil de vaccination donné et la période post-vaccinale a été stratifiée selon le groupe d’âge et le sexe. Chacune des personnes-années stratifiées selon l’âge et le sexe a été multipliée par le taux de base stratifié selon l’âge et le sexe correspondant. Cela a donné le nombre attendu de cas dans chaque strate, qui ont ensuite été additionnés pour donner le nombre total de cas attendus pendant la période de suivi observée.
Les ratios d’efficacité globale agrégés par dernière dose ont été calculés en divisant le nombre de cas observés par le nombre de cas attendus après la vaccination ; des intervalles de confiance (IC) à 95 % ont été obtenus selon la distribution exacte de Poisson. Nous avons également calculé les ratios d’efficacité globale pour les schémas homologues des vaccins BNT162b2, mRNA-1273 et ChAdOx1 jusqu’à quatre doses. Les ratios d’efficacité globale agrégés et spécifiques aux schémas homologues sont présentés.
We considered an OE ratio a potential safety signal of concern where the lower bound of the 95 % CI (LBCI) was greater than one and reached statistical significance [5]. However, we prioritised potential safety signals of concern for further evaluation where the LBCI was greater than 1.5, due to increased statistical evidence and the higher likelihood of being a true signal, based on expert opinion from the CDC and GVDN collaborators.
2.5.2 . Combinaison des résultats entre sites
Les résultats ont été agrégés sur l’ensemble des sites en additionnant le nombre d’événements observés pour chaque EISP et les années-personnes stratifiées selon l’âge et le sexe pour un profil de vaccination et une période post-vaccinale donnés. Pour chaque EISP, les profils vaccinaux individuels ont été rapportés si le nombre cumulé de suivis (en années-personnes) dans la période de 0 à 42 jours après la vaccination était de 10 000 ou plus. Le nombre combiné d’événements et le ratio d’événements indésirables ont été calculés avec des IC à 95 % dérivés de la distribution exacte de Poisson. Aucun événement (c’est-à-dire zéro) observé pour une marque de vaccin et un profil de dose n’a été rapporté séparément sans IC.
2.5.3 . Analyse de sensibilité
Premièrement, nous avons réalisé des analyses de sensibilité spécifiques à chaque site afin d’explorer plus en détail les associations potentielles entre les signaux de sécurité les plus significatifs identifiés dans l’analyse principale. Les taux observés rapportés par site ont été pris en compte dans l’analyse en fonction des contraintes suivantes. Pour chaque marque de vaccin, profil de dose et combinaison de période post-vaccinale, les ratios d’événements indésirables graves et l’IC à 95 % ont été supprimés si moins de cinq événements étaient observés. Deuxièmement, nous avons réalisé une analyse complémentaire incluant d’autres vaccins et doses administrés entre les sites. Le seuil de déclaration en personnes-années a été abaissé de 10 000 à 1 000 personnes-années par rapport à l’analyse principale des ratios d’événements indésirables graves agrégés, ce qui a permis d’analyser un plus large éventail de vaccins.
2.6 . Approbation éthique
L’approbation des comités d’éthique de la recherche humaine compétents a été obtenue ou une exemption a été obtenue pour tous les sites participants ( tableau supplémentaire 3 ).
3. Résultats
Français La population totale vaccinée sur l’ensemble des sites comprenait 99 068 901 personnes. La plupart des vaccinés appartenaient aux tranches d’âge de 20 à 39 ans et de 40 à 59 ans ( Tableau 1 ). Au total, 183 559 462 doses de BNT162b2, 36 178 442 doses d’ARNm-1273 et 23 093 399 doses de ChAdOx1 ont été administrées sur l’ensemble des sites au cours des périodes d’étude. Le plus grand nombre de doses a été administré en France (120 758 419), suivie du Canada – Ontario (32 159 817) et de l’Australie – Victoria (15 617 627). Au total, 23 168 335 personnes-années ont contribué aux ratios OE pour l’AESI suivant les calendriers homologues. Le résumé de la population est présenté dans le tableau 1 , et des informations plus détaillées sur les autres vaccins administrés sont présentées dans le tableau supplémentaire 4. Dans les sections de résultats ci-dessous, nous fournissons à la fois les ratios d’efficacité globale agrégés ( tableau 3 , tableau 4 , tableau 5 ) et les ratios d’efficacité globale détaillés pour les calendriers homologues ( figure 1 , figure 2 , figure 3 ), y compris le nombre d’événements et de personnes-années. Globalement, 95,8 % et 86,6 % des vaccinations ont été incluses dans l’analyse des calendriers agrégés et homologues, respectivement ( Tableau supplémentaire 5 ). Les principaux résultats des sites individuels ainsi que les périodes de risque supplémentaires et les méta-analyses pour chaque AESI sont disponibles dans le tableau de bord interactif GVDN Observed vs Expected (OE) [12] .
Tableau 3. Ratios OE agrégés par dernière dose, affections neurologiques, période 0–42 jours.
AESI : SGB = syndrome de Guillain-Barré, TRM = myélite transverse, BP = paralysie faciale (de Bell), ADEM = encéphalomyélite aiguë disséminée, FSZ = convulsions fébriles,
GSZ = Crises généralisées.
Vaccins : Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (ARNm-1273) et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).
Tableau 4. Ratios OE agrégés par dernière dose, conditions hématologiques, période 0–42 jours.
Vaccines: Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (mRNA-1273), and Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).
Table 5. Aggregated OE Ratios by last dose, cardiovascular conditions, period 0–42 days.
3.1 . Affections neurologiques
Français Il y a eu une augmentation statistiquement significative des cas de SGB dans les 42 jours suivant une première dose de ChAdOx1 (ratio OE = 2,49 ; IC à 95 % : 2,15, 2,87), indiquant un signal de sécurité prioritaire ( Tableau 3 ). Soixante-seize événements de SGB étaient attendus et 190 événements ont été observés ( Fig. 1 ). Le ratio OE pour l’ADEM dans les 42 jours suivant une première dose d’ARNm-1273 a également atteint le seuil de signification d’un signal de sécurité prioritaire (3,78 ; IC à 95 % : 1,52, 7,78), avec deux événements attendus contre sept événements observés ( Fig. 1 ).
Français Des différences statistiquement significatives ont également été trouvées pour la myélite transverse (ratio OE = 1,91 ; IC à 95 % : 1,22, 2,84) et l’ADEM (ratio OE = 2,23 ; IC à 95 % : 1,15, 3,90) après une première dose de ChAdOx1. La paralysie de Bell avait un ratio OE accru après une première dose de BNT162b2 (1,05 ; IC à 95 % : 1,00, 1,11) et d’ARNm-1273 (1,25 ; IC à 95 % : 1,11, 1,39). Français On a également observé une augmentation des ratios d’OE pour les convulsions fébriles après une première et une deuxième dose d’ARNm-1273 (1,36, IC à 95 % : 1,02, 1,77 et 1,44, IC à 95 % : 1,04, 1,95, respectivement), et pour les convulsions généralisées après une première dose d’ARNm-1273 (1,15, IC à 95 % : 1,10, 1,20) et une quatrième dose de BNT162b2 (1,09, IC à 95 % : 1,04, 1,14). Aucune augmentation des ratios d’OE n’a été identifiée après une troisième dose d’un vaccin. Les résultats concordent avec les ratios d’OE des calendriers homologues ; Cependant, un ratio OE accru pour les crises généralisées après un schéma homologue de quatre doses d’ARNm-1273 (1,33 ; IC à 95 % : 1,07, 1,63) a été identifié ( Fig. 1 ). Ces résultats n’ont pas atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après la vaccination.
3.2 . Affections hématologiques
Le rapport OE de CVST était de 3,23 (IC à 95 % : 2,51–4,09) dans les 42 jours suivant une première dose de ChAdOx1, remplissant le seuil d’un signal de sécurité prioritaire ( Tableau 4 ). Au total, 21 événements étaient attendus, tandis que 69 événements ont été observés ( Fig. 2 ).
Français Des ratios OE accrus ont également été identifiés pour la thrombocytopénie après une première dose de ChAdOx1 (1,07 ; IC à 95 % : 1,03, 1,12), BNT162b2 (1,11 ; IC à 95 % : 1,08, 1,14) et mRNA-1273 (1,33 ; IC à 95 % 1,25, 1,42), ainsi qu’après une troisième dose de ChAdOx1 (1,95 ; IC à 95 % : 1,29, 2,84). La thrombocytopénie immunitaire a également démontré des ratios OE accrus après une première dose de ChAdOx1 (1,40 ; IC à 95 % : 1,24, 1,58) et BNT162b2 (1,08 ; IC à 95 % : 1,01, 1,16). Français Les ratios OE d’embolie pulmonaire ont augmenté après les premières doses de ChAdOx1 (1,20 ; IC à 95 % : 1,16, 1,24), BNT162b2 (1,29 ; IC à 95 % : 1,26, 1,32) et mRNA-1273 (1,33, IC à 95 % : 1,26, 1,40), ainsi qu’après une troisième dose de ChAdOx1 (1,88 ; IC à 95 % : 1,32, 2,58). Le ratio OE de CVST était de 1,49 (IC à 95 % : 1,26, 1,75) après une première dose et de 1,25 (IC à 95 % : 1,06, 1,46) après une deuxième dose de BNT162b2. Français Un ratio OE accru pour la tachycardie supraventriculaire a été observé après une première dose de BNT162b2 (1,25 ; IC à 95 % : 1,17, 1,34) et d’ARNm-1273 (1,23 ; IC à 95 % : 1,03, 1,47) ; une deuxième dose d’ARNm-1273 (1,17 ; IC à 95 % : 1,01, 1,36) ; et une quatrième dose de BNT162b2 (1,30, IC à 95 % : 1,06, 1,59) et d’ARNm-1273 (1,53, IC à 95 % : 1,05, 2,16). Ces résultats n’ont pas atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après la vaccination.
3.3 . Affections cardiovasculaires
Français Des ratios OE accrus satisfaisant le seuil des signaux de sécurité prioritaires pour la myocardite ont été systématiquement identifiés après une première, une deuxième et une troisième dose de vaccins à ARNm (BNT162b2 et ARNm-1273) ( Tableau 4 ). Le ratio OE le plus élevé a été observé après une première et une deuxième dose d’ARNm-1273 (3,48 ; IC à 95 % : 3,00, 4,01 et 6,10 ; IC à 95 % : 5,52, 6,72, respectivement). Le ratio OE après une troisième dose d’ARNm-1273 était de 2,01 (IC à 95 % : 1,60, 2,49). Le nombre d’événements pour un maximum de quatre doses de calendriers homologues est présenté dans la Fig. 3. Les ratios OE des calendriers homologues correspondent aux ratios OE agrégés. L’OE homologue pour la myocardite après quatre doses du vaccin à ARNm-1273 n’a pas pu être estimé en raison d’un manque d’événements observés.
Français De même, le ratio OE pour la péricardite a atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après une première et une quatrième dose d’ARNm-1273, avec des ratios OE de 1,74 (IC à 95 % : 1,54, 1,97) et 2,64 (IC à 95 % : 2,05, 3,35) respectivement. Un ratio accru de 6,91 (IC à 95 % : 3,45, 12,36), atteignant le seuil d’un signal de sécurité prioritaire, a également été observé après une troisième dose de ChAdOx1. Les ratios OE agrégés pour la péricardite ont augmenté après toutes les doses des trois vaccins présentés ( Tableau 4 ). Français Les résultats sont très similaires aux ratios des schémas homologues ( Fig. 3 ), à l’exception du ratio OE de 1,23 (IC à 95 % : 0,45–2,69) après réception de la quatrième dose d’ARNm-1273, qui n’a pas atteint le seuil de signal de sécurité. Le ratio OE homologue après une troisième dose de ChAdOx1 n’a pas été rapporté car seul un petit nombre de troisièmes doses de ChAdOx1 ont été administrées dans les sites d’étude ( Tableau 1 ).
3.4 . Analyse de sensibilité
Français Des analyses secondaires ont été menées pour explorer plus en détail le SGB, l’ADEM, la TVC, la myocardite et la péricardite au niveau du site spécifique. Nous rapportons les ratios d’OE agrégés par dernière dose et site dans la période de 0 à 42 jours après la vaccination dans les tableaux supplémentaires 6 à 10. Il n’a pas été possible de rapporter les résultats pour tous les sites et les résultats de l’étude en raison d’un nombre insuffisant de personnes-années ou de moins de cinq événements observés selon les critères de confidentialité du site. La majorité des signaux de sécurité identifiés suite à des combinaisons spécifiques de marques et de doses de vaccins dans l’analyse principale ont cependant été confirmés par les sites individuels où les données étaient disponibles. L’analyse supplémentaire avec un seuil de personnes-années de 1 000 et incluant d’autres vaccins et doses administrés dans les sites GVDN, a montré un ratio d’OE accru pour certains résultats, par exemple pour les crises généralisées après une première dose du vaccin Gamaleya Research Institute/Sputnik (5,50, IC à 95 % : 2,74, 9,84) ( Tableaux supplémentaires 11 à 13 ).
4. Discussion
multinationale Cette étude de cohorte a été menée dans le cadre unique du GVDN. À ce jour, le nombre d’études de grande envergure, coordonnées systématiquement et portant sur des zones géographiques et des populations diverses, est limité. Cependant, plusieurs études ont déjà évalué les risques liés aux signaux de sécurité identifiés après la vaccination contre la COVID-19, principalement dans des contextes monocentriques. Nous avons étudié l’association entre la vaccination contre la COVID-19 et 13 effets indésirables graves (EIS) comprenant des affections neurologiques, hématologiques et cardiovasculaires sur 10 sites répartis dans huit pays, dont l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud et l’Océanie. Dans cette étude incluant plus de 99 millions de personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2, le risque jusqu’à 42 jours après la vaccination était généralement similaire au risque de base pour la majorité des résultats ; cependant, quelques signaux de sécurité potentiels ont été identifiés. Nous avons observé des signaux de sécurité potentiels pour le SGB et la TVC après la première dose de ChAdOx1, sur la base de plus de 12 millions de doses administrées.
Français Dans l’ensemble, les études sur les vaccins à base de vecteurs tels que le ChAdOx1 ont observé une incidence plus élevée de SGB après la vaccination par rapport à l’incidence de base ; alors que la plupart des études sur les vaccins à ARNm , tels que le BNT162b2 et l’ARNm-1273, n’ont pas observé d’augmentation de SGB [15] , [24] , [14] , [25] , [26] , [27] . Atzenhoffer et al. [24] ont signalé un ratio OE élevé > 2,0 pour les vaccins COVID-19 à vecteur adénovirus, dans les pays contribuant à VigiBase, une base de données internationale sur les effets indésirables des médicaments et Patone et al. [27] ont signalé 38 cas excédentaires de SGB pour 10 millions de personnes exposées au cours de la période à risque de 1 à 28 jours suivant la vaccination avec le ChAdOx1 en Angleterre. Les auteurs n’ont pas observé de risque accru chez ceux qui ont reçu le BNT162b2. En revanche, une étude de Li et al. [28] n’ont montré aucun risque accru de SGB pour ChAdOx1, tandis que seule l’infection par le SARS-CoV-2 était associée à un risque plus élevé. Cet écart, comparé aux résultats de Patone et al. [27] , pourrait toutefois s’expliquer par un échantillon plus petit et des mesures de résultats différentes. Globalement, ces données corroborent nos conclusions concernant un signal d’alerte concernant le SGB après la vaccination par ChAdOx1. Bien que rare, cette association a été reconnue par l’OMS, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Therapeutic Goods Administration (TGA) d’Australie, ce qui a conduit à classer le SGB comme une maladie rare. effet secondaire suite à une exposition à ChAdOx1 [15] , [29] , [30] .
Français Le risque accru de TVC identifié après la vaccination par ChAdOx1 dans cette étude est corroboré par de multiples études. Un ratio OE accru a été observé dans une étude de cohorte nationale au Danemark et en Norvège, avec des taux accrus d’ événements thromboemboliques veineux , y compris la TVC avec un taux excédentaire de 2,5 événements pour 100 000 vaccinations après ChAdOx1 [7] . Sur la base de diverses méthodologies, d’autres études ont également signalé une incidence accrue de TVC après la vaccination [31] , [32] . En fin de compte, ce signal de sécurité rare mais préoccupant a conduit au retrait du vaccin ChAdOx1 des programmes de vaccination contre la COVID-19 ou à la mise en œuvre de restrictions basées sur l’âge dans plusieurs pays [8] .
Il est crucial de reconnaître le seuil de signification des signaux de sécurité prioritaires appliqués dans cette étude (LBCI > 1,5). Ce seuil a été sélectionné sur la base de l’avis d’experts au sein du GVDN et des CDC, afin de se concentrer sur les résultats les plus susceptibles d’être de véritables signaux. Certains événements observés, bien que n’atteignant pas ce seuil, peuvent néanmoins avoir une importance clinique et nécessiter des investigations plus approfondies. Par exemple, un PTI avec un ratio OE > 1,0 et un LBCI de 1,2 après vaccination par ChAdOx1 concorde avec les résultats rapportés dans la littérature comme un signal potentiel. Cette concordance est mise en évidence dans une étude menée à Victoria, en Australie, qui a observé un taux de PTI nettement plus élevé que prévu après vaccination par ChAdOx1 [33] .
Français De plus, nous avons observé des risques significativement plus élevés de myocardite après les première, deuxième et troisième doses de BNT162b2 et d’ARNm-1273 ainsi que de péricardite après la première et la quatrième dose d’ARNm-1273, et la troisième dose de ChAdOx1, dans la période à risque de 0 à 42 jours. Les taux élevés de péricardite après la vaccination par ChAdOx1 identifiés dans cette étude reposent sur un nombre limité de décomptes observés dans la méta-analyse. Le large intervalle de confiance souligne l’incertitude substantielle de la caractérisation de la péricardite comme un signal de sécurité après la vaccination par ChAdOx1. Cependant, notre étude confirme les résultats de cas rares de myocardite et de péricardite précédemment identifiés après la première et la deuxième dose de vaccins à ARNm[21] , [22] , [23] , [34] . Une vaste étude de cohorte portant sur 23,1 millions de résidents de quatre pays nordiques a révélé un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans, sur la base de 4 à 7 événements excédentaires en 28 jours pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de BNT162b2, et entre 9 et 28 pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de mRNA-1273 [22] . De même, des études menées en Colombie-Britannique, au Canada, ont signalé que les cas de myocardite étaient plus élevés chez les personnes ayant reçu une deuxième dose par rapport à une troisième dose, et chez celles ayant reçu une deuxième dose du vaccin à ARNm-1273 par rapport au vaccin BNT162b2 [35] , [36] . Patone et al. [37] ont estimé que les événements de myocardite supplémentaires se situaient entre un et 10 par million de personnes au cours du mois suivant la vaccination, ce qui était nettement inférieur aux 40 événements supplémentaires par million de personnes observés après la période d’infection par le SRAS-CoV-2. Une revue systématique d’Alami et al. [38] a conclu que les personnes vaccinées à l’ARNm étaient deux fois plus susceptibles de développer une myocardite/péricardite que les personnes non vaccinées, avec un rapport de taux de 2,05 (IC à 95 % 1,49–2,82). Compte tenu des preuves, l’OMS a publié des directives actualisées concernant ces signaux de sécurité et la vaccination à ARNm contre la COVID-19, et l’EMA a fourni des mises à jour des informations sur le produit pour les vaccins BNT162b2 et ARNm-1273 [21] , [23] . La TGA ainsi que les CDC continuent de surveiller et d’examiner les données sur la myocardite et la péricardite après la vaccination contre la COVID-19. [39] , [40] .
Français Un autre signal de sécurité potentiel a été identifié pour l’ADEM après la première dose du vaccin à ARNm-1273, avec cinq événements observés de plus que prévu sur la base de 1 035 871 personnes-années et 10,5 millions de doses administrées ; cependant, le nombre de cas de cet événement rare était faible et l’intervalle de confiance large, de sorte que les résultats doivent être interprétés avec prudence et confirmés dans de futures études. Bien que certains rapports de cas aient suggéré une association possible entre la vaccination contre la COVID-19 et l’ADEM, il n’y avait pas de tendance cohérente en termes de vaccin ou de moment après la vaccination, et des études épidémiologiques de plus grande envergure n’ont confirmé aucune association potentielle [41] , [42] , [43] , [44] . De plus, les rapports de cas peuvent faire état d’événements fortuits et n’établissent pas d’association ni n’indiquent de causalité, par conséquent des études observationnelles de plus grande envergure sont nécessaires pour approfondir nos résultats. Pour y remédier, une étude de suivi est actuellement menée au sein du GVDN, se concentrant sur un groupe démographique non inclus dans notre analyse. Sur la base des rapports de cas rares d’ADEM à la base de données européenne des effets indésirables suspectés des médicaments, l’EMA a évalué l’association potentielle d’ADEM après la vaccination avec ChAdOx1 [45] . Frontera et al. [46] ont conclu que les risques d’avoir un événement neurologique après une infection aiguë par le SRAS-CoV-2 étaient jusqu’à 617 fois plus élevés qu’après une vaccination contre la COVID, ce qui suggère que les avantages de la vaccination l’emportent largement sur les risques. Un signal de sécurité pour les crises généralisées a été identifié après la vaccination Gamaleya Research Institute/Sputnik, mais le nombre de vaccinations était relativement faible par rapport aux autres vaccins dans cette étude. D’autres études sont nécessaires pour explorer ce signal de sécurité potentiel.
La réalisation d’une analyse de cohorte dans le contexte multi-pays unique du GVDN s’appuie sur un bassin de données vaste et diversifié. L’agrégation de données provenant de plusieurs pays, portant sur plus de 99 millions de personnes vaccinées, a considérablement augmenté la taille de l’échantillon et la puissance statistique par rapport à de nombreuses études de sécurité antérieures. Cela améliore la capacité à détecter les signaux d’innocuité, notamment pour les effets indésirables extrêmement rares, car la taille plus importante de l’échantillon permet une estimation plus précise des taux observés.
Les résultats basés sur des données provenant d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud, ainsi que d’Océanie, offrent une validité externe plus solide, permettant une généralisation plus large des résultats à un éventail plus large de populations et de structures de santé participant au programme mondial de vaccination contre la COVID-19. De plus, les analyses multi-pays facilitent les comparaisons entre des pays ayant des stratégies de vaccination, des caractéristiques démographiques et des systèmes de santé différents, ce qui permet de mieux comprendre l’influence de ces facteurs sur les profils de sécurité vaccinale. Les données utilisées dans notre analyse proviennent de plusieurs bases de données, notamment des bases de données de santé, des registres nationaux de vaccination et des tableaux de bord de vaccination, ce qui permet d’identifier des signaux potentiels de sécurité provenant de diverses sources.
Les résultats de notre étude doivent toutefois être interprétés en tenant compte de multiples limites. Nos analyses impliquent intrinsèquement une hétérogénéité dans la collecte, la qualité et les normes de déclaration des données entre les pays. Ces différences dans les infrastructures de santé et les systèmes de surveillance peuvent introduire des biais et affecter la comparabilité des résultats. Les sites participants des huit pays ont mis en œuvre des stratégies de vaccination variées, notamment en ce qui concerne les types de vaccins, les schémas posologiques et la priorisation des vaccinés. De plus, les analyses multipays sont sensibles aux facteurs de confusion démographiques, tels que les différences dans les conditions de santé préexistantes, les facteurs génétiques , les profils ethniques et les comportements, qu’il n’a pas été possible de prendre en compte dans notre analyse. Nous considérons que notre approche est adaptée à une application à de grands ensembles de données représentant des populations moyennes. Cependant, les taux historiques spécifiques à l’âge et au sexe qui ne sont pas ajustés pour des facteurs tels que les maladies antérieures peuvent ne pas fournir une comparaison pertinente, par exemple, dans les premières phases d’une campagne de vaccination où les personnes présentant des comorbidités ont été vaccinées avant les autres groupes de population.
La sous-déclaration potentielle entre les pays pourrait avoir conduit à une sous-estimation de l’importance des signaux potentiels de sécurité. Il est important de reconnaître le risque de faux négatifs , en particulier lors de la détection d’associations avec des intervalles de confiance inférieurs à 1,5 qui maintiennent une signification statistique. Les signaux de sécurité identifiés dans cette étude doivent être évalués en fonction de leur rareté, de leur gravité et de leur pertinence clinique. De plus, les évaluations globales du rapport bénéfice/risque de la vaccination doivent tenir compte du risque associé à l’infection, car plusieurs études ont démontré un risque plus élevé de développer les événements étudiés, tels que le syndrome de Guillain-Barré (SGB), la myocardite ou l’EMA, après une infection par le SARS-CoV-2 que la vaccination. Enfin, l’utilisation des codes CIM-10 est soumise à des considérations de spécificité et de sensibilité, et son application peut varier selon les pays.
5. Conclusion
Les analyses comparatives observées/attendues dans le contexte multi-pays du GVDN et du projet GCoVS offrent un ensemble de données plus vaste et plus diversifié, une meilleure généralisabilité et une puissance statistique accrue par rapport aux études monocentriques ou régionales. Elles présentent également des défis liés à l’hétérogénéité des données, aux facteurs de confusion démographiques et aux variations des stratégies de vaccination et des systèmes de déclaration. L’implication de chercheurs et de sources de données provenant de diverses régions du monde favorise l’inclusion, réduit les biais potentiels et encourage la collaboration dans la poursuite d’un objectif commun de santé publique. Bien que notre étude ait confirmé des signaux d’innocuité rares identifiés suite à la vaccination contre la COVID-19 et apporté des preuves sur plusieurs autres résultats importants, des investigations complémentaires sont nécessaires pour confirmer les associations et évaluer la signification clinique . Ceci pourrait être abordé en menant des études d’association spécifiques à des résultats individuels en appliquant des méthodologies telles que les séries de cas auto-contrôlées (SCCS) pour valider les associations. [6] .
Clause de non-responsabilité
Toutes les analyses, conclusions, opinions et déclarations sont celles des auteurs et ne représentent pas nécessairement le point de vue officiel des CDC/HHS ou du gouvernement américain, ni leur approbation. Pour plus d’informations, veuillez consulter cdc.gov.
.
Certaines parties de ce document sont basées sur des données et/ou des informations compilées et fournies par l’Institut canadien d’information sur la santé et le ministère de la Santé de l’Ontario. Les analyses, conclusions, opinions et déclarations exprimées ici sont celles des auteurs et ne reflètent pas celles des sources de financement ou de données ; aucune approbation n’est prévue ni ne doit être déduite. Certaines parties de ce document sont basées sur des données et/ou des informations fournies par le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique. Toutes les inférences, opinions et conclusions tirées de ce manuscrit sont celles des auteurs et ne reflètent pas les opinions ou les politiques du ou des responsables des données.
Déclaration de financement
Le projet GCoVS est soutenu par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du Département de la Santé et des Services Sociaux des États-Unis (HHS) dans le cadre d’une aide financière d’un montant total de 10 108 491 USD, financée à 100 % par le CDC/HHS .
Le site ontarien contribuant à cette étude a été soutenu par Santé publique Ontario et par l’ ICES , qui est financé par une subvention annuelle du ministère de la Santé de l’Ontario de l’ . JCK est soutenu par une bourse de clinicien-chercheur du département de médecine familiale et communautaire Université de Toronto .
Déclaration de contribution d’auteur Crédit
K. Faksova : Visualisation, Rédaction – brouillon original, Rédaction – révision et édition. D. Walsh : Conservation des données, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Logiciel, Validation, Conceptualisation, Rédaction – révision et édition, Visualisation. Y. Jiang : Conceptualisation, Conservation des données, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Logiciel, Supervision, Validation, Visualisation, Rédaction – révision et édition. J. Griffin : Conceptualisation, Rédaction – révision et édition, Méthodologie. A. Phillips : Conceptualisation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition, Investigation, Validation. A. Gentile : Conservation des données, Investigation, Supervision, Validation. JC Kwong : Conservation des données, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. K. Macartney : Conservation des données, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. M. Naus : Conservation des données, Supervision, Validation, Investigation, Méthodologie. Z. Grange : Conservation des données, Supervision, Validation, Conceptualisation, Investigation, Méthodologie. S. Escolano : Conservation des données, Supervision, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. G. Sepulveda : Conservation des données, Analyse formelle, Logiciel, Validation. A. Shetty : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie. A. Pillsbury : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. C. Sullivan : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. Z. Naveed : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. NZ Janjua : Conservation des données, Rédaction – révision et édition. N. Giglio : Conservation des données, Investigation, Méthodologie, Validation. J. Perälä : Conservation des données, Investigation, Méthodologie, Validation. S. Nasreen : Conceptualisation, Conservation des données, Validation, Rédaction – révision et édition. H. Gidding : Conceptualisation, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. P. Hovi : Conceptualisation, Validation, Rédaction (révision et correction), Investigation, Méthodologie. T. Vo : Conceptualisation, Validation, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. F. Cui : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation. L. Deng : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. L. Cullen : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. M. Artama : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. H. Lu : Conservation des données, Analyse formelle, Logiciel, Validation. HJ Clothier : Conceptualisation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition, Conservation des données, Analyse formelle, Administration de projet. K. Batty : Conceptualisation, Méthodologie, Administration de projet, Validation, Rédaction – révision et édition. J. Paynter : Conceptualisation, Méthodologie, Supervision, Conservation des données, Analyse formelle, Rédaction – révision et édition. H. Petousis-Harris : Conceptualisation, Acquisition de financement, Enquête, Méthodologie, Ressources, Supervision, Rédaction – révision et édition, Administration de projet. J. Buttery : Conceptualisation, Acquisition de financement, Investigation, Méthodologie, Ressources, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Administration de projet. S. Black : Conceptualisation, Acquisition de financement, Investigation, Méthodologie, Administration de projet, Ressources, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition. A. Hviid : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition.
Déclaration d’intérêts concurrents
Français Les auteurs déclarent les intérêts financiers/relations personnelles suivants qui peuvent être considérés comme des intérêts concurrents potentiels : Jeffrey C. Kwong rapporte que le soutien financier a été fourni par les Centers for Disease Control and Prevention. Naveed Z. Janjua rapporte que le soutien financier a été fourni par les Centers for Disease Control and Prevention. Anders Hviid rapporte que le soutien financier a été fourni par le Global Vaccine Data Network. Helen Petousis-Harris rapporte que le soutien financier a été fourni par le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande. Steven Black rapporte une relation avec GSK qui comprend : des services de consultation ou de conseil. Jeffrey C. Kwong rapporte une relation avec les Instituts de recherche en santé du Canada qui comprend : des subventions de financement. Jeffrey C. Kwong rapporte une relation avec l’Agence de la santé publique du Canada qui comprend : des subventions de financement. Naveed Z. Janjua rapporte une relation avec AbbVie Inc qui comprend : des services de consultation ou de conseil et des honoraires de conférencier et de conférence. Naveed Z. Janjua rapporte une relation avec Gilead Sciences Inc qui comprend : des honoraires de conférencier et de conférence. Anders Hviid rapporte une relation avec l’Independent Research Fund Denmark qui comprend : des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec la Fondation Lundbeck, notamment des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec la Fondation Novo Nordisk, notamment des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec VAC4EU, notamment des activités de conseil ou de consultation. L’Institut finlandais pour la santé et le bien-être (THL) mène des partenariats public-privé avec des fabricants de vaccins et a reçu des financements de recherche de Sanofi Inc. Petteri Hovi a participé à ces études en tant que chercheur, mais n’a perçu aucune rémunération personnelle. Helen Petousis-Harris a siégé à des comités consultatifs d’experts et a donné des conférences pour Pfizer et GSK. Elle a également reçu des financements de recherche de GSK. Elle n’a perçu aucun honoraire personnel. Si d’autres auteurs sont présents, ils déclarent n’avoir aucun intérêt financier concurrent ni aucune relation personnelle connus qui auraient pu influencer les travaux présentés dans cet article.
Remerciements
Le protocole d’étude des analyses observées et attendues des événements indésirables du vaccin contre la COVID-19 d’intérêt particulier a été développé par le groupe de travail observé et attendu dirigé par Anders Hviid. a, b Les membres du groupe de travail étaient Nelson Aguirre Duarte c , Miia Artama d , Karin Batty et , Steven Black c, f , Hannah Chisholm c , Hazel Clothier g, h, i , Fuqiang Cui j , Lucy Deng k Lucy Cullen l , Heather Gidding k, m, n , Petteri Hovi le , Yannan Jiang c Janine Paynter c , Helen Petousis-Harris c Anastasia Phillips k , John Sluyter c , Thuan Vo faire , et Daniel Walsh c , Éric Weintraub p .
Affiliations aux groupes de travail
a. Statens Serum Institut, Danemark ; b. Université de Copenhague, Danemark ; c. Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande ; d. Université de Tampere, Finlande ; e. Auckland UniServices Limited à l’Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande ; f. Université de Cincinnati et Hôpital pour enfants, États-Unis ; g. Département de la santé de Victoria, Australie ; h. Institut de recherche pour enfants Murdoch, Australie ; i. Centre d’analyse de la santé, Campus pour enfants de Melbourne, Australie ; j. Université de Pékin, Pékin, Chine ; k. Centre national de recherche sur l’immunisation et de surveillance des maladies évitables par la vaccination, Australie ; l. Public Health Scotland, Glasgow, Écosse, Royaume-Uni ; m. Institut Kolling, District sanitaire local de Northern Sydney, Australie ; n. École clinique du Nord de l’Université de Sydney, Australie ; o. Institut finlandais pour la santé et le bien-être, Finlande ; p. Vaccine Safety Datalink, Centres pour le contrôle et la prévention des maladies.
Les personnes suivantes ont contribué en tant que responsables de site du GVDN : Anders Hviid (Danemark) ; Angela Gentile (Argentine) ; Sylvie Escolano (France) ; Eero Poukka (Finlande) ; Jeffrey C. Kwong (Ontario, Canada) ; Kristine Macartney (Nouvelle-Galles du Sud, Australie) ; Jim Buttery (Victoria, Australie) ; Monika Naus (Colombie-Britannique, Canada) ; Zoe Grange (Écosse) ; et Helen Petousis-Harris (Nouvelle-Zélande).
Les personnes suivantes ont contribué en tant qu’enquêteurs du site GVDN : Gonzalo Sepulveda et Aishwarya Shetty (Victoria, Australie) ; Alexis Pillsbury (Nouvelle-Galles du Sud, Australie) ; Christopher Sullivan (Écosse) ; Naveed Zaeema (Colombie-Britannique, Canada) ; Norberto Giglio (Argentine) ; Jori Perälä (Finlande) ; Sharifa Nasreen (Ontario, Canada) ; Han Lu (Nouvelle-Zélande).
Plateforme de sécurité pour les vaccins émergents S. D2.3 Liste prioritaire des effets indésirables présentant un intérêt particulier : COVID-19. Brighton Collaboration ; 2020. Disponible sur : https://zenodo.org/records/6656179#.Y-0yxuyZOnN
MDX van der Boom , R. van Eekeren , FPAM van Hunsel
Analyse des observations supérieures aux attentes comme méthode supplémentaire de détection des signaux de pharmacovigilance dans les rapports spontanés d’événements indésirables à grande échelle
Évaluation de l’efficacité et de la puissance statistique des séries de cas autocontrôlées et des modèles d’intervalles de risque autocontrôlés dans la sécurité des vaccins
A. Pottegård , LC Lund , Ø. Karlstad , J. Dahl , M. Andersen , J. Hallas , et al.
Événements artériels, thromboembolie veineuse, thrombocytopénie et saignements après vaccination avec Oxford-AstraZeneca ChAdOx1-S au Danemark et en Norvège : étude de cohorte basée sur la population
Agence européenne des médicaments. Rapport d’évaluation des signaux sur les événements emboliques et thrombotiques (SMQ) avec le vaccin contre la COVID-19 (ChAdOx1-S [recombinant])-Vaxzevria (anciennement vaccin AstraZeneca contre la COVID-19) (autres vaccins viraux). 2021.
Réseau mondial de données sur les vaccins. Auckland (NZ) : Réseau mondial de données sur les vaccins ; 2023 [consulté le 13 octobre 2023]. Disponible sur : https://www.globalvaccinedatanetwork.org/
Réseau mondial de données sur les vaccins. GVDN : Tableau de bord des données observées et attendues (OE). Auckland (NZ) : Réseau mondial de données sur les vaccins ; 2023 [mis à jour le 8 décembre 2023 ; cité le 13 décembre 2023]. Disponible sur : www.globalvaccinedatanetwork.org/Data-Dashboards
A. Phillips , Y. Jiang , D. Walsh , N. Andrews , M. Artama , H. Clothier , et al.
Taux de référence des événements indésirables présentant un intérêt particulier pour les vaccins contre la COVID-19 : une analyse multinationale du Global Vaccine Data Network (GVDN)
Organisation mondiale de la Santé. Déclaration du sous-comité COVID-19 du Comité consultatif mondial de l’OMS sur la sécurité des vaccins (GACVS) concernant les cas de syndrome de Guillain-Barré (SGB) signalés après l’administration de vaccins à vecteur adénoviral contre la COVID-19. nd https://www.who.int/news/item/26-07-2021-statement-of-the-who-gacvs-covid-19-subcommittee-on-gbs
E. Burn , X. Li , K. Kostka , H. M. Stewart , C. Reich , S. Seager , et al.
Taux de base de cinq syndromes de thrombose avec thrombocytopénie présentant un intérêt particulier pour la surveillance de la sécurité des vaccins contre la COVID-19 : incidence entre 2017 et 2019 et profils de patients de 38,6 millions de personnes dans six pays européens
A. Hviid , J.V. Hansen , E.M. Thiesson , J. Wohlfahrt
Association de la vaccination contre la COVID-19 par AZD1222 et BNT162b2 avec des événements thromboemboliques et thrombocytopéniques chez le personnel de première ligne : une étude de cohorte rétrospective
JW Gargano , M. Wallace , SC Hadler , G. Langley , JR Su , ME Oster , et al.
Utilisation du vaccin à ARNm contre la COVID-19 après des cas de myocardite chez des personnes vaccinées : mise à jour du comité consultatif sur les pratiques de vaccination — États-Unis, juin 2021
M. Otero-Losada , N. Petrovsky , A. Alami , J.A. Crispo , D. Mattison , F. Capani , et al.
Analyse de disproportionnalité des effets indésirables neurologiques et psychiatriques des vaccins ChAdOx1 (Oxford-AstraZeneca) et BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) contre la COVID-19 au Royaume-Uni
JL Walker , A. Schultze , J. Tazare , A. Tamborska , B. Singh , K. Donegan et al.
Sécurité de la vaccination contre la COVID-19 et événements neurologiques aigus : une série de cas autocontrôlés en Angleterre utilisant la plateforme OpenSAFELY
X. Li , B. Raventós , E. Roel , A. Pistillo , E. Martinez-Hernandez , A. Delmestri , et al.
Association entre la vaccination contre la covid-19, l’infection par le SRAS-CoV-2 et le risque d’événements neurologiques à médiation immunitaire : analyse de cohorte basée sur la population et analyse de séries de cas autocontrôlées
Andrews NJ, Stowe J, Ramsay ME, Miller E. Risque d’événements thrombotiques veineux et de thrombocytopénie sur des périodes séquentielles après les vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 contre la COVID-19 : une étude de cohorte nationale en Angleterre. Lancet Reg Heal Eur 2022 ; 13. doi : 10.1016/J.LANEPE.2021.100260.
SA Buchan , CY Seo , C. Johnson , S. Alley , JC Kwong , S. Nasreen , et al.
Épidémiologie de la myocardite et de la péricardite après vaccination par ARNm, selon le produit vaccinal, le calendrier et l’intervalle interdose chez les adolescents et les adultes en Ontario, au Canada
A. Alami , D. Krewski , N. Farhat , D. Mattison , K. Wilson , CA Gravel , et al.
Risque de myocardite et de péricardite dans les populations vaccinées et non vaccinées contre la COVID-19 par ARNm : revue systématique et méta-analyse
J.A. Frontera , A.A. Tamborska , M.F. Doheim , D. Garcia-Azorin , H. Gezegen , A. Guekht , et al.
Événements neurologiques signalés après l’administration des vaccins contre la COVID-19 : une analyse du système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.