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Alerte sanitaire : il faut le retrait immédiat des vaccins ARNm

Louis Fouché et son association Les enfants d’Hippocrate entament leur bras de fer contre les autorités sanitaires !

L’association « Les Enfants d’Hippocrate » organisera le 29 avril 2025 à 11 h à Paris XIᵉ une conférence de presse. En présence du Pr Christian Perronne, du Dr Louis Fouché, du Dr Christian Velot, du Dr Hélène Banoun, Dr Claude Escarguel et des représentants de l’Association AAVICTEAM.
L’association présentera le détail de ses recherches concernant les défauts majeurs de qualité, de sécurité et d’efficacité des produits dénommés vaccins anti-covid à ARNm : Comirnaty et Spikevax.
Elle exposera également des propositions diagnostiques pour accompagner les victimes de covid long et d’effets indésirables des vaccins.

Collectif pour des thérapeutiques sûres et efficaces
« Les Enfants d’Hippocrate » est une association bénévole, à but non lucratif, apartisane et laïque qui cherche à aider à la réouverture du dialogue entre les citoyens, les scientifiques, les soignants et les institutions, sur les questions relatives à la qualité, la sécurité et l’efficacité des thérapeutiques.
https://lesenfantsdhippocrate.org

La conférence peut être suivie sur Kairos : Vaccins ARNm, alerte sanitaire – le dosage de la spike : une réelle nécessité
https://www.kairospresse.be/conference-de-presse-alerte-sanitaire-vaccins-arnm/

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Première journée de soutien aux victimes des vaccins Covid de France et d’ailleurs. Des dizaines d’associations et collectifs mobilisés

çametoucheetvous?

L’appel à participation

Le dernier rapport publié en juin 2023, par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalisait en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès. A ce jour, aucune action n’a été réellement entreprise par les autorités compétentes, en faveur des victimes.

Il y a des voix qui résonnent un peu partout en France et dans d’autres pays, nous souhaitons leur donner un écho décuplé à l’occasion d’une première date commune pour se rassembler, se coordonner partout sur nos territoires respectifs et porter un message commun :
En 2025, il n’est plus possible de taire cette réalité et de laisser des personnes souffrir dans le silence. Nous souhaitons que les victimes soient écoutées, reconnues, prises en charge et que des pistes de traitements adaptés soient explorées.
Chaque association et collectif est invité à proposer une action qui lui ressemble, dans la mesure de ses moyens et à communiquer autour de lui. Des victimes malades et proches de personnes décédées pourront prendre la parole, ainsi que des médecins, des soignants, des scientifiques (microbiologistes, généticiens…), des  juristes, tout comme des citoyens engagés.
Dans chaque ville participante, une personne de l’organisation locale filmera avec un smartphone et une connexion stable à internet. Le média citoyen BAM! enverra auparavant à chacun de ces filmeurs locaux, un lien pour connecter son smartphone au salon Restream de BAM!. Les images vidéos seront ainsi toutes enregistrées pendant qu’elles sont filmées. Les meilleurs moments seront diffusés au fil des jours suivants.
Les ressources : les portraits du VIAC19, les témoignages sur le site VVC19.fr, le dernier rapport de l’ANSM en juin 2023, VAERS (Etats Unis), Eudravigilance (UE)…
Pour nous prévenir de votre participation et pour toute information : contact-notdose@proton.me

Les villes participantes

Vérity France – Aix en Provence (13), Place de la Rotonde

AAVIC Team – Moulins (03), Place d’Allier

On a eu not’ dose –  Strasbourg (67), Place d’Austerlitz

Les Masques Blancs – Lyon (69), 2ème arrondissement (lieu à venir)

Les Masques Blancs – Nantes (44), La croisée des trames

Les Masques Blancs – Toulouse (31), Métro Jean Jaurès

Collectif Liberty Haut de France – Lille (59), Monument Willy Brandt, place des Buisses

Réinfo 80- Amiens (80), Place Léon Gontier

Grelive – Grenoble (38), Place Grenette

Antipass Dole – Dole (39), Place aux fleurs

“Protéger sa pipe à St-Claude” – Saint-Claude (39), Place du 9 avril

Corse Humanis – Bastia (20), Place St Nicolas

Action 200 Belgique – Namur Belgique, Place d’Armes (en déambulation)

Impfopfer.info – Vienne Autriche, devant la Cathédrale Ste Étienne


« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984


Savez-vous, ou vous rappelez-vous que, pendant ou depuis l’état d’urgence?

-la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070: https://www.insee.fr/fr/statistiques/7670212
-près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/

-le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Édouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Ces euthanasies s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi déoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04/2020. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 :
https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM

-les médecins ont touché plusieurs centaines d’euros la demi-journée pour pratiquer des injections expérimentales aux autorisations de mise sur le marché non conforme, produites par les firmes les plus condamnées au monde. Mais ils ne sont pas payés et doivent prendre sur leur temps de travail pour faire remonter les effets indésirables : https://www.capital.fr/economie-politique/jusqua-750euros-de-lheure-la-remuneration-des-medecins-vaccinateurs-passe-mal-dans-les-bouches-du-rhone-1400169

-la Cour Européenne de Justice a reconnu la légitimité des médecins de refuser les injections covid et la responsabilité de ceux qui l’ont fait concernant les effets indésirables : https://francesoir.fr/societe-justice-sante/vaccins-covid-19-la-cour-de-justice-de-l-ue-tranche-prescription-obligatoire

-Neil Ferguson, le modélisateur mathématicien promettant des millions de morts pour le Covid était exactement le même que celui qui avait erronément annoncé des hécatombes pour la grippe H1N1. Il n’a lui-même pas respecté les mesures que ses calculs ont entraînées et a dû démissionner :
https://www.lemonde.fr/international/article/2020/05/06/au-royaume-uni-l-epidemiologiste-vedette-neil-fergusondemissionne-apres-avoir-enfreint-le-confinement_6038827_3210.html


Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944


-dès l’été 2021, l’UE recensait officiellement des milliers de morts et des centaines de milliers d’accidents graves: Pfizer: 4198 décès, (=20 morts/jour) / 244 807 accidents (220 accidents graves/j) – Janssen: 95/ 15 371 – Moderna: 392 / 48 788 – Astrazeneca: 1053/170 316 :
https://www.ema.europa.eu/en/documents/covid-19-vaccine-safety-update/covid-19-naty-11-august2021_en.pdf

-les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte :
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657

-de 1966 à 2004, il y eu 1101 morts cardiaques subites répertoriées chez les sportifs, soit 2,4 par mois . On est passé à 41 par mois de 2021 à 2024: https://expose-news.com/2022/01/23/deathsfootballers-dec-21-equal-to-annual-12-year-average/ et https://goodsciencing.com/uncategorized/athletes-suffercardiac-arrest-die-after-covid-shot/

-des membres du parlement européen ont signalé en 2023 la « disparition de la base de données d’analyse des données de l’EMA de 1,7 million de cas d’effets secondaires signalés et de 22000 décès. » https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001074_EN.html#ref1
-des dizaines d’indemnisations de 8000 euros en moyenne ont déjà été versées par l’ONIAM à des victimes: https://www.ladepeche.fr/2025/01/07/1-376-demandes-dindemnisation-en-france-8-000-eur-verses-enmoyenne-12432066.php

-aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a d’abord été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective, l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes

-le refus de tests d’allergies des systèmes immunitaires (HLA) et d’anticorps avant les injections aveugles a provoqué d’innombrables accidents graves et mortels:
https://www.aimsib.org/2021/08/27/facilitation-par-les-anticorps-la-dengue-et-le-dengvaxia/

-l’autisme, constaté par de nombreux parents quelques heures après des vaccinations, explose dans le monde. USA: 1 cas/5 000 en 1975, 1/68 en 2014. 1/59 (France 24). France : x3 en 10 ans (Autisme Info Service). https://www.france24.com/fr/france/20230422-multiplication-des-cas-d-autisme-une%C3%A9tude-met-la-pollution-sur-le-banc-des-accus%C3%A9s

-OMS : censure, corruption, conflits d’intérêts, gestion furent dénoncés dès 2016 sur ARTE : L’OMS dans les griffes des lobbyistes,
https://www.youtube.com/watch?v=N-mL9gX9gws

-Tedros, directeur général de l’OMS, a fait l’objet de plusieurs plaintes graves avant sa nomination, qui a scandalisé l’Afrique pour sa proximité avec Robert Mugabe :
https://www.france24.com/fr/20171023-oms-onu-afrique-ethiopie-dr-tedros-adhanom-ghebreyesus-robert-mugabeambassadeur

-depuis 2009, la modification de la définition du terme pandémie peut permettre des mesures d’exception, sans rapport à la gravité des virus. https://www.who.int/fr/news-room/spotlight/spotlight/lessonslearned-from-the-2009-pandemic

-le serment d’Hippocrate déclare: «Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.» ;le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins; la convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas obéir à un intérêt autre que celui des populations.
-Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants: https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl

  • les vaccins ARNm se généralisent sans recul ni principe de précaution, à l’inverse de ce que prétendent firmes, presse et administrations à leur service, déligitimés pendant la crise covid :
    https://reinfocovid.fr/science/benefices-risques-des-vaccins-a-arn-du-point-de-vue-de-notre-immunite-innee/

    Être vigilants :
  • regarder le CV personnel, professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance: qu’ont-ils fait jusqu’à présent et pour quels intérêts ?
  • suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien ? comment ? pourquoi ? sur le court, moyen et long terme.
  • écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
  • quelles sont les conséquences des mesures dites sécuritaires et salutaires, en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie?
  • couleur politique indifférente: beaucoup ont changé de bord, seuls comptent mots et actes.

Effets indésirables des vaccins covid :

Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, turbocancers et récidives foudroyantes avec métastases (nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches…
Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux

Aix-en-Provence, Amiens, Bastia, Dole (39) Grenoble, Lille, Lyon, Moulin, Nantes, Strasbourg, Saint-Claude, Toulouse, Namur (Belgique), Vienne (Autriche)…

çametoucheetvous?

contact-notdose@proton.me
https://vvc19.fr/

Grenoble: collectif Grelive, https://www.grelive.fr/ -fmperier@yahoo.fr
Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations: https://www.infovaccin.fr/

Les innombrables scandales médicaux ou politiques ont toujours été révélés par la voix de témoins, victimes, quelques journalistes, avocats, médecins.
Chaque voix compte. Nous sommes des millions!

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Traité pandémie : pas de super pouvoirs pour l’OMS

Le traité déforcé poursuit sa route, avec plus de surveillance pour plus de « menaces », mais moins d’argent !

Il y a quelques jours, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir finalement obtenu un accord sur le traité pandémie. Le projet qui sera soumis au vote lors de la 78ème Assemblée mondiale de la santé est nettement moins contraignant que dans ses premières moutures, il y a 3 ans.

Le rôle central de l’organisation y est revu à la baisse, ce qui reflète son affaiblissement suite au départ des États-Unis et à la réduction drastique de son budget. Mais le vote de cet Accord, même “squelettique”, reste une menace sur les libertés fondamentales.

La fin des super pouvoirs

Dans son communiqué du 16 avril, l’OMS se félicite d’avoir obtenu un accord historique qui permettra de renforcer la collaboration mondiale en matière de prévention, de préparation et de réponses aux futures menaces pandémiques.

Parmi les principaux points négociés, l’agence cite notamment: l’établissement d’un système d’accès aux agents pathogènes et le partage de ses avantages (“PABS”), l’engagement sur une approche “One Health” ou “Une seule santé”, le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies et l’établissement d’un réseau mondial d’approvisionnement et de logistique.

Quant à la volonté initiale de faire de l’OMS un organe central disposant de super pouvoirs ou de donner au texte une valeur contraignante, il semble que le message ait été clairement entendu. Le communiqué de l’OMS y consacre même un paragraphe très explicite:

Le projet (de traité) affirme la souveraineté des pays pour traiter les questions de santé publique à l’intérieur de leurs frontières et prévoit que rien dans le projet d’accord ne doit être interprété comme donnant à l’OMS le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire des lois ou des politiques nationales, ou d’ordonner aux États de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, d’imposer des mandats de vaccination ou des mesures thérapeutiques ou diagnostiques ou de mettre en œuvre des confinements.

Ceci est clairement exprimé dans l’article 24 des “Accords” qui marque un revirement complet par rapport à la volonté initiale de conférer un pouvoir dictatorial au secrétariat de l’OMS.

Aucune disposition de l’accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au secrétariat de l’OMS, y compris au directeur général de l’OMS, le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire de quelque manière que ce soit la législation nationale et/ou domestique, etc.

Dans son introduction, le traité réaffirme vouloir respecter le droit des Etats à “mettre en oeuvre des mesures en accord avec leur législation nationale.”

De manière générale, le langage a été revu dans de nombreux points. La plupart des phrases spécifiant une obligation ont été supprimées et à plusieurs endroits des provisions rappelant “la nécessité d’agir en accord avec les lois nationales” ont été ajoutées.

Nouvelles menaces et nouveaux contrôles 

Mais si l’on ne parle plus de créer un organe de décision central, les dispositions qui incitent les États signataires à identifier de nouveaux motifs d’urgence et à augmenter les mesures de surveillance restent au coeur du projet des “Accords”.

Ainsi les pays signataires ont l’obligation d’entamer une série de changements législatifs pour la mise en oeuvre des programmes “One Health” (article 5), le partage des données de santé (article 6) ou pour faciliter l’approbation et la règlementation des produits liés à la pandémie.

Dans l’article 19, on maintient le cap sur le changement climatique qui pourrait justifier la déclaration d’une situation d’urgence:

Reconnaissant l’importance et l’impact sur la santé publique de menaces croissantes telles que le changement climatique, la pauvreté et la faim, les environnements fragiles et vulnérables, la faiblesse des soins de santé primaires et la propagation de la résistance aux antimicrobiens…

Dans l’article 15, les gouvernements s’accordent toujours pour un programme de censure:

Reconnaissant qu’il est important d’instaurer la confiance et de veiller à ce que les informations soient échangées en temps utile afin d’éviter la désinformation et la stigmatisation

Par ailleurs, le texte définit également un risque pour la santé publique qui pourrait inclure non seulement le changement climatique, mais aussi la violence armée ou le bioterrorisme.

L’ajout dans la dernière mouture de la Convention de 1972 sur les armes biologiques indique un renforcement de l’agenda de la santé autour des notions de terrorisme et de ‘biosécurité’.

L’OMS compte ici se mêler des questions de contrôle, de recherche, de prolifération et d’échange des agents pathogènes ayant un potentiel d’arme biologique. L’on pense bien entendu aux expérience de “gain-de-fonction” et la version “fuite du laboratoire de Wuhan” qui a récemment remplacé l’explication officielle du gouvernement Trump quant à l’origine du virus de la pandémie.

Car, si la version “chauve-souris et pangolin” du marché de Wuhan soutient l’agenda de la santé liée au climat et les politiques ‘Une seule santé”, les virus “trafiqués” introduisent un autre type de “menace”,  tout autant susceptible de mener à des politiques de surveillance et de contrôle de la population et de ses mouvements.

Peu de générosité, beaucoup de business

Selon les accords négociés, les compagnies pharmaceutiques devront céder gratuitement un minimum de 10% de leur production de “contre-mesures’  à la pandémie. Ce paragraphe du traité est contraignant… mais ses détails doivent encore être élaborés dans un instrument séparé.

Même chose pour l’article 13 qui prévoit qu’une chaîne d’approvisionnement sera mise en place et gérée par l’OMS.

Le projet n’explique pas comment les biens seront répartis, ni qui s’en chargera. Ceci laisse penser qu’il y a peu de chances d’y parvenir dans le futur, si au bout de 3 ans de négociations intenses on n’est pas plus loin, alors que cet argument est censé avoir été “le moteur” du traité.

Obligations indirectes et exceptions

L’article 14 sur “le renforcement de la règlementation” est plus inquiétant. Il prévoit ici une obligation pour les parties et qu’elle consiste en réalité à affaiblir la règlementation pour accélérer l’approbation des produits liés aux mesures d’urgence.

L’article 18 “confiance en la science” exige aussi une forme d’engagement des pays signataires à étudier et favoriser l’adhésion de leur population aux mesures de santé publique et aux autorités de santé.

En revanche l’article 27 permet aux signataires d’opposer une réserve à certaines parties du traité. Apparemment, il s’agit d’une nouvelle disposition, faute de laquelle il n’y aurait peut-être pas de texte à soumettre au vote.

La montagne accouche d’une souris

Au bout de 3 ans, le fameux traité pandémie qui menaçait la souveraineté des pays sous l’emprise d’une dictature sanitaire internationale a perdu de sa vigueur. Pour l’instant, il n’engage pas grand monde à grand chose, n’honore pas ses rares promesses, et comme les budgets sont réduits, il ne devrait pas être suivi de beaucoup d’effets.

Après l’annonce de la sortie de l’OMS décrétée par Donald Trump le 25 janvier 2025, l’organisation est en perte de vitesse et devra subir une restructuration avec la liquidation de plusieurs milliers d’emplois et de programmes de santé. Selon Health Policy Watch, l’OMS aurait 2,5 milliards de dollars à combler dans son budget pour l’exercice 2025-2027.

L’Europe, qui était déjà la locomotive du projet en 2021 est plus que jamais le pilier central de cet accord, mais certains Etats membres de l’Union européenne questionnent le rôle de la Commission dans ces négociations.

Bien que la Commission européenne ait été autorisée en 2022 à négocier l’accord sur la pandémie au nom des États membres, conformément à des directives spécifiques, tous les pays de l’UE ne sont pas nécessairement alignés sur les décisions prises.

C’est notamment le cas pour l’article 11, un des points centraux de la négociation du traité, où le transfert des technologies pour renforcer les capacités des pays défavorisés a été revu à la baisse, sous la pression de pays forts et de leur industrie, en particulier l’Allemagne qui a finalement prôné une approche “volontaire”.

L’argument initial “d’égalité des chances” que les promoteurs des Accords n’ont cessé d’invoquer pour légitimer leurs négociations doit donc être dénoncé comme un leurre.

Et le projet révèle plus que jamais le vrai visage de l’OMS, à savoir une organisation qui sert avant tout deux objectifs: le développement de nouveaux marchés pour l’industrie (récolte de données, surveillance, tests, vaccins, santé numérique, agenda du climat) et la mise en place d’une infrastructure de contrôle des populations par les gouvernements (censure de l’information, détection des pathogènes, mesures liées au climat).

Si l’idée d’un “gouvernement mondial de la santé” a été abandonnée, cela n’est pas le cas des objectifs précités. L’on assiste plutôt à une réorganisation de leur déploiement selon une nouvelle rhétorique.

L’Accord cadre est un squelette basé sur des engagements volontaires, mais il est évident que “les parties intéressées” chercheront à l’habiller avec le retour à des obligations, à la faveur d’un revirement politique ou d’une nouvelle “surprise” sanitaire.

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Augmentation paradoxale des décès dus à la COVID-19 dans le monde avec la couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé (2020-2023)

Abstract

Source : Sage journals

Background

De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.

Objectif

Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.

Méthodes

Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.

Résultats

Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.

Conclusion

La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.

Screenshot

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FDA : les personnes vaccinées contre la Covid-19 risquent une mort subite pendant 15 ans

Source : Slay
Par Frank Bergman

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a fait un aveu alarmant, révélant que les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid risquent de subir une mort soudaine et inattendue jusqu’à 15 ans après avoir reçu leur dernière injection.

Selon la FDA, les « vaccins » à ARNm ont créé une bombe à retardement de mort subite en raison du risque massivement accru que les personnes « vaccinées » souffrent d’un caillot sanguin mortel.

Cet aveu choquant a été révélé dans une nouvelle étude évaluée par des pairs publiée dans la prestigieuse revue International Journal of Innovative Research in Medical Science.

Selon l’étude, le Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA admet que la « fenêtre réglementaire de préoccupation » pour un nouveau produit génétique, tel que les « vaccins » à ARNm contre le Covid, est de 5 à 15 ans.

Il est inquiétant de constater que cet aveu suggère que la population vaccinée pourrait être confrontée à une vague de caillots sanguins, car les vaccins contre la Covid n’ont été déployés pour un usage public qu’il y a environ quatre ans.

L’étude suggère que cela signifie qu’une hémorragie pulmonaire mortelle devrait être considérée comme une « conséquence potentielle du nouveau produit, même des mois, voire des années, après la dernière injection ».

La recherche a été menée par le célèbre cardiologue américain Dr Peter A. McCullough et l’éminent épidémiologiste Nicolas Hulscher, MPH .

McCullough et Hulsher ont mené cette étude pour étudier les risques à long terme d’hémorragie pulmonaire – caillots sanguins.

L’hémorragie pulmonaire est une maladie potentiellement mortelle qui survient lorsque du sang saigne dans les poumons.

Le saignement provoque la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales par suffocation ou choc.

Ils ont noté que les études précédentes n’avaient lié les caillots sanguins aux injections d’ARNm que chez les personnes peu de temps après la vaccination.

Cependant, les risques à long terme restent largement non étudiés.

Au cours de l’étude, ils ont enquêté sur le décès d’un homme de 47 ans décédé d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.

Selon une nouvelle étude évaluée par des pairs, le caillot sanguin mortel a été causé par un « vaccin » Pfizer provenant d’un « lot hautement mortel » de vaccins contre le Covid.

L’étude a déterminé que l’homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et ne prenait pas de médicaments au moment de sa maladie mortelle.

L’étude a noté que les injections de Covid « ont déjà été associées à une hémorragie pulmonaire, généralement observée peu de temps après la vaccination ».

Dans un article de Substack , Hulscher note qu’il s’agit du « premier cas publié d’un événement indésirable mortel survenant plus d’un an après une injection d’ARNm de COVID-19, soulignant le potentiel d’effets indésirables graves à long terme ».

Selon l’étude, l’homme de 47 ans « présentait des symptômes d’une légère infection respiratoire » avant son décès.

Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée et il a souffert d’une grave détresse respiratoire.

Il a également subi un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire abondante ».

La taille de son cœur est restée normale.

« Les preuves suggèrent que cet homme est décédé d’un arrêt cardiopulmonaire, très probablement à la suite d’une hémorragie pulmonaire aiguë, le vaccin contre la COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiopulmonaire et d’une hémorragie », conclut l’étude.

Cette découverte est « importante car elle démontre que la mort peut survenir même plus d’un an après la première série d’injections d’ARNm », a déclaré McCullough.

« Des études similaires ont révélé une embolie pulmonaire qui, si elle est laissée suffisamment longtemps, peut provoquer une nécrose et une hémorragie pulmonaire », a ajouté McCullough.

« Il est bien connu que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »

Hulscher a déclaré :

« La plausibilité biologique d’une hémorragie pulmonaire retardée suite à la vaccination par ARNm contre la COVID-19 est étayée par des cas documentés à court terme survenant peu après l’injection, des préoccupations réglementaires concernant les effets prolongés des produits génétiques, la persistance et la pathogénicité de la protéine Spike, et des preuves émergentes d’une intégration potentielle du génome de l’ADN plasmidique contribuant à l’expression soutenue de la protéine Spike. »

» par la FDA L’étude note que l’admission de la « fenêtre réglementaire de préoccupation signifie qu’une hémorragie pulmonaire mortelle doit être considérée comme une « conséquence potentielle du nouveau produit, même des mois ou des années après la dernière injection ».

Malgré les conclusions de l’autopsie et les recherches antérieures sur le sujet indiquant un lien possible entre les injections d’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le médecin légiste a déterminé que la cause du décès était attribuée à une maladie cardiovasculaire athéroscléreuse et hypertensive, sans tenir compte de l’hémorragie pulmonaire récente et des antécédents médicaux sans particularité. »

L’étude a également noté que l’autopsie de l’homme n’a pas examiné les contributions potentielles de l’injection de Covid, telles que la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm du « vaccin » ou des anticorps apparentés.

Lors d’une interview avec CHD, la militante pour la liberté de la santé Mary Holland a donné son avis sur l’étude et l’aveu alarmant de la FDA.

En parlant avec Polly Tommey de CHD, Holland s’est demandé si les gens auraient volontairement accepté de se faire vacciner s’ils savaient que se faire vacciner pouvait potentiellement les tuer ou les blesser jusqu’à 15 ans après l’injection initiale.

Holland soutient que l’un des plus grands crimes contre l’humanité est que la FDA savait que c’était une possibilité mais a quand même mis ses « vaccins » sur le marché.

Pire encore, la FDA a caché ce fait au public jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

« La FDA elle-même affirme que la période de préoccupation pour ces caillots sanguins est de 5 à 15 ans », a déclaré Holland.

« Eh bien, ils n’ont certainement pas dit cela aux gens lorsqu’ils encourageaient tout le monde à se faire vacciner. »

MONTRE:

Cette nouvelle intervient dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant la présence de caillots sanguins dangereux chez les personnes vaccinées.

Slay News précédemment Comme l’ a rapporté , les embaumeurs et les enquêteurs ont émis un avertissement effrayant après avoir découvert de nouvelles preuves concernant des rapports croissants de « caillots fibreux blancs » trouvés dans les cadavres de personnes ayant reçu des « vaccins » Covid mRMA.

En 2024, les embaumeurs ont signalé que des caillots avaient été découverts dans un pourcentage stupéfiant de 27 % des cadavres vaccinés contre le Covid.

Entre-temps, une autre révélation récente de la FDA a provoqué une onde de choc dans les communautés médicales et scientifiques.

Slay News Comme l’ a rapporté , la FDA a fait l’aveu explosif que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont contaminés par des contaminations qui ont déclenché une augmentation mondiale des cancers.

L’agence fédérale a fait cet aveu après qu’une étude de la FDA a confirmé que le « vaccin » à ARNm Covid de Pfizer contient des niveaux dangereux de contamination excessive de l’ADN.

D’éminents scientifiques avertissent depuis un certain temps que la recrudescence des cancers mortels parmi les personnes vaccinées contre le Covid était causée par des fragments d’ADN contenus dans les injections d’ARNm.

Ces avertissements ont maintenant été confirmés par une étude explosive menée dans le laboratoire de la FDA.

Des tests effectués sur le campus de White Oak de la FDA dans le Maryland ont révélé des niveaux choquants de contamination de l’ADN dans les « vaccins ».

En savoir plus : La FDA admet que les « vaccins » à ARNm contre la Covid provoquent le cancer

Lire également : Le Japon émet une alerte mondiale face à l’explosion du nombre de décès parmi les personnes vaccinées contre la Covid-19

FDA : les personnes vaccinées contre la Covid-19 risquent une mort subite pendant 15 ans Lire la suite »

Le ministre de la Santé veut créer le ministère de la vérité et imposer ses vérités dans les écoles

Source : Profession Gendarme

Par le Dr G DELEPINE chirurgien orthopédiste, statisticien

Le 18 avril 2025

Tout récemment le nouveau ministre de la santé Yannick Neuder, cardiologue et député, a proposé la création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » appuyé par un « programme national d’éducation critique en santé » en lien avec l’Éducation nationale.

Yannick Neuder a dû s’inspirer de 1984, le livre d’Orwell qui décrit avec 40 ans d’avance l’instauration d’un ministère de la vérité, symbole de l’obscurantisme et de la tyrannie.

La démocratie laisse le doute s’exprimer librement et la science s’en nourrit. Seules les religions et les théocraties croient détenir « la vérité »

George Orwell décrit le ministère de la vérité dit « Miniver », comme un bâtiment d’environ 300 mètres de haut comprenant plus de 3000 pièces au niveau du sol et des ramifications souterraines. Il régit l’information, l’éducation, les beaux-arts et les divertissements. Sur tous les médias, Il s’occupe de la propagande, et modifie ou supprime les vérités qui ne lui convienent pas afin d’effacer les souvenirs et réduire les habitants dans l’ignorance et l’oubli du monde réel. Le ministre qui n’a pas de rêve de grandeur se contentera peut-être d’un bâtiment de seulement 100 mètres pour abriter son miniver.

La création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » correspond tout à fait à une volonté d’établir « la vérité » en décernant un label officiel à ce qui doit être cru pour institutionnaliser le crédo officiel comme cela se passait en Allemagne au temps du nazisme et en Union Soviétique du temps du communisme. Il s’agit d’une forme moderne d’inquisition dont les grands inquisiteurs seront les experts proclamés par l’autorité suprême.

Cette volonté de définir une vérité officielle est fondamentalement antiscientifique. En science toute vérité du moment est constamment soumise à la critique des faits et elle évolue avec eux.

Les grandes avancées scientifiques se caractérisent le plus souvent par l’abandon de ce qu’on croyait jusqu’alors vrai grâce aux efforts d’ un individu longtemps raillé par les instances officielles (aujourd’hui on le traite de complotiste) et qui impose la nouvelle vérité grâce à sa ténacité de l’observation et de l’explication des faits.

En médecine, il suffit de se souvenir de l’opposition officielle forcenée contre l’existence des germes ou contre la découverte de Jenner qui a inventé la vaccination, et que la découverte des antibiotiques est due à une erreur de laboratoire bien remarquée et analysée par Fleming.

La création d’une science officielle, réprimant ceux qui s’écartent de la Doxa ruine tout progrès scientifique majeur. En Union Soviétique la création d’une science officielle a conduit entre autres à la ruine de la génétique, de la physiologie, de la linguistique, de la cybernétique, de l’informatique et de l’ingénierie qui ont contribué à la perte d’efficacité économique et à la chute du système.

Entendre un ministre de la Santé dire qu’il va établir une vérité officielle grâce à ses experts est totalement fou et angoissant pour la médecine. Il prétend vouloir défendre la science, mais sa politique coercitive aboutira à la détruire. La science ne peut prospérer que dans la liberté.

Les experts choisis pour définir « la vérité » sont pour le moins inquiétants

ou du moins leur impartialité, car beaucoup ont déjà fait leurs preuves comme médecins de plateau télé et acteurs de la médecine-spectacle lors de la crise covid.

Le Dr Michel Cymes « Monsieur super-Vax de la Télé à tout crin contre les antivax, à fond pour la vaccination contre le coronavirus» 1 » a participé à un film publicitaire des laboratoires Pfizer2 utilisant un plateau de France 3 et campagne de publicité pour le dépistage systématique du cancer de la prostate par le dosage des PSA que la HAS juge inutile et dangereux.

Il représente un des grands défenseurs des injections covid qu’il a reçu en direct à la télévision, ce qui ne l’a pourtant pas empêché d’attraper deux fois le covid.

Mais aussi pour ses certitudes infondées : « Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner », alors qu’actuellement c’est plutôt la responsabilité de ceux qui ont forcé à la pseudo vaccination dangereuse qui se pose dans de nombreux pays étrangers…Et encore pour son manque de compassion pour ses confrères qui ont eu le tort d’être donneurs d’alerte : « Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner »3.

Plus récemment il s’est opposé à la nomination de Robert Kennedy Jr comme secrétaire d’État à la santé U.S. et appelé non pas à argumenter, mais à faire taire celles et ceux qui ne sont pas dans la Doxa par tous les moyens ! Interdire tout débat, toute critique et réduire au silence ceux qui se battent pour la liberté : «Cette nomination va booster tous les complotistes du monde, y compris chez nous, chaque déclaration de Kennedy sera reprise par les RS, amplifiée, déformée, cela demande une grande vigilance mais également une grande réactivité de la part de tous ceux qui sont responsables de la santé en France. Gouvernement, administrations, institutions, informateurs, nous devons tous réagir immédiatement en cas de désinformation manifeste sur les sujets de santé, y compris et surtout nous, médecins […] Le conseil de l’ordre des médecins doit sanctionner immédiatement ceux qui épousent les thèses les plus farfelues… »

Karine Lacombe qui a reçu plus de 212 000 euros de divers laboratoires au cours des dernières années et représente ainsi « l’archétype du PU-PH modèle de conflits d’intérêts4 qu’elle oublie presque toujours de signaler.

Elle a perçu de l’argent de Gilead et AbbVie et travaillé avec d’autres laboratoires comme la compagnie pharmaceutique belge Janssen. Ces liens d’intérêts, qu’elle ne déclarait pas lors de ses interventions sur les plateaux de télévision, expliquent peut être qu’elle se soit élevée contre l’hydroxychloroquine, qu’elle ait qualifié le remdesivir de « prometteur » (alors qu’il s’est avéré un traitement fortement toxique et inefficace), qu’elle ait promu le Molnupiravir du laboratoire Merck, fort coûteux et mutagène, ou encore partagé des études douteuses sur le Bamlavinimab et partagé l’interprétation douteuse des données de la Direction de la recherche concluant à une efficacité prodigieuse du vaccin..

Le Pr Alain Fischer grand apôtre permanent des vaccinations fait le grand écart entre la recherche scientifique, les multinationales, et les fondations Edmond de Rothschild dont il membre du conseil 5. Depuis fin 2020, il a été adoubé par Emmanuel Macron lui-même pour diriger le conseil d’orientation de la politique vaccinale en France. L’échec retentissant de la politique anti-covid montre la faible pertinence de sa stratégie qui nous a placé, avec les pays pro vaccins parmi les pays aux plus fortes mortalités.

Le Dr Jean-David Zeitoun qui continue sur les ondes à glorifier la politique française du covid et à prétendre « qu’il n’y a pas de doute que les vaccins ont été extraordinairement efficaces »6 alors que les données de l’OMS prouvent le contraire.

En France :

Comme dans le reste du monde :

Le Pr Mathieu Molimard président honoraire du Collège National de Pharmacologie Médicale (CNPM), membre du conseil d’administration de la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique a accusé publiquement le Pr Raoult et la chloroquine des pires maux. Comment peut-il ignorer que ce traitement a permis aux quatre pays qui l’ont officiellement adopté (Algérie, Sénégal, Cote d‘Ivoire, Cameroun) des mortalité Covid 15 à 80 fois inférieures à celle de la France et de la Tunisie qui ont suivi la même politique du tout vaccin. Données de l’OMS illustrées par les courbes suivantes :

Dans sa propagande pour inciter à la 3ème injection anti-covid il a osé affirmer « Le rappel après les deux doses vaccinales booste fortement l’immunité sans majorer les effets indésirables « Nous avons aujourd’hui un important recul sur l’efficacité et la sécurité des vaccins anti Covid-19. Ces données transparentes… confirment l’excellente efficacité mais aussi sécurité des vaccins à ARNm y compris chez les femmes enceinte »

Le Pr Laurent Cordonier grand pourfendeur des complotistes contre lesquels il abandonne toute argumentation, préfère « la censure pour défendre la démocratie ». Démocratie à la chinoise sans droit de s’exprimer librement.

Certes, ce n’est pas parce que ces « experts » ont été très toxiques lors de la crise covid qu’ils le seront forcément demain. Mais un tel choix, qui n’est manifestement pas lié à la clairvoyance passée, ne permet guère d’être optimiste.

La désignation de tels « experts » au conseil de l’inquisition du ministère de la vérité annonce la violence des attaques qui seront portées contre la liberté d’expression. Mais nous saurons la défendre car la vérité du monde réel l’emportera sur leur volonté tyrannique.

Le ministre de la Santé veut imposer sa vérité à l’école

L’école enseigne de moins en moins à lire et compter, mais se focalise sur la mise en condition des cerveaux les plus sensibles, ceux de nos enfants. Nous l’avons observé avec l’abandon des notes, de la progression au mérite, la propagande du réchauffement climatique, de la théorie du genre et de la sexualité depuis le primaire.

Yannick Neuder veut l’étendre au domaine sanitaire en instaurant un « programme national d’éducation critique en santé » pour conditionner nos enfants à l’obéissance aux directives gouvernementales futures, qu’il s’agisse des vaccins futurs ou des dépistages et des tests discutables et coûteux, mais rentables pour l’industrie.

Hanna Harendt a bien montré que l’imprévisibilité de l’enfant en fait le dernier rempart contre le totalitarisme et souligné que les dictateurs s’attaquent prioritairement à la famille et à l’enfant (jeunesses hitlériennes, communistes, jeunesses Khmers rouges…).

Défendons nos enfants. Battons-nous contre ce programme national d’éducation critique en santé qui ne vise qu’à conditionner nos enfants à obéir sans réfléchir, alors que l’éducation devrait au contraire développer la réflexion critique nécessaire au citoyen.

Le ministre de la Santé déclare la guerre à la démocratie

Le ministre a raison de regretter la perte de confiance de la population dans la parole publique. Mais il se trompe sur les raisons et donc sur le traitement adapté. Cette perte de confiance est la conséquence directe des mensonges que l’état a répété lors du covid et dont la population s’est rendu compte. On ne fait plus confiance à ceux qui nous ont menti. Le seul moyen de restaurer la confiance est de prouver sa bonne foi en pratiquant la transparence des décisions et de leurs vrais motifs. La suppression du secret défense cachant les délibérations du comité scientifique du covid constituerait un premier pas prometteur.

A l’opposé la création du ministère de la vérité, le renforcement des censures et l’endoctrinement scolaire prônés par le ministre aggraveront forcément la méfiance de la population envers le gouvernement.

Notons que ce nouveau ministre n’a guère de « chance » dans sa chronologie malheureuse ! Sortir son projet de « ministère de la Vérité » le jour où apparait dans la soirée sur l’ensemble de la planète, le rapport officiel de la maison Blanche de plus de 550 pages sur l’histoire du Covid et les mensonges mondiaux dévoilés, relève de la « poisse » !

Voici le discours maintenant officiel à la Maison Blanche sur l’origine du virus de la Covid

https://whitehouse.gov/lab-leak-true-origins-of-covid-19/

en résumé quelques points :

1. Le virus possède une caractéristique biologique qui n’existe pas dans la nature. En effet, il s’agit du site furine qui n’existe pas dans ce sous-genre de coronavirus

2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’une seule introduction chez l’homme. Cela va à l’encontre des pandémies précédentes, où il y avait eu plusieurs événements de propagation.

3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui a déjà mené des recherches sur le gain de fonction (modification génétique augmentant la pathogénicité d’un organisme) dans des conditions de biosécurité inadéquates.

4. Des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux du COVID à l’automne 2019, plusieurs mois avant la découverte du COVID-19 sur un marché aux animaux vivants.

5. Selon presque toutes les mesures scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été mises au jour. Or, ce n’est pas le cas. En effet : il n’y aucun argument en faveur de l’origine naturelle.

1 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/michel-cymes-aux-cimes-de-la-doxa-259409

2 https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110202.RUE0647/ces-medecins-journalistes-clients-des-laboratoires.html

3 https://www.ladepeche.fr/2021/10/13/oui-je-peux-tuer-des-gens-dans-la-journee-le-medecin-michel-cymes-charge-les-non-vaccines-9848351.php

4 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-covid-ndeg25-les-conflits-dinterets-pendant-la-crise-covid-comment-ont Pour Karine Lacombe, sur 150 conventions déclarées, 105, soient 70%, sont sans montant ! Donc, puisque ses 35 conventions avec montant lui ont rapporté 64.543 €, par simple règle de 3, il se pourrait qu’elle ait perçu au total 276.613 € pour les 150…

5 https://www.yvesmichel.org/les-coulisses-de-la-recherche-scientifique-les-conflits-dinteret-du-pr-alain-fischer-le-transhumanisme-en-vue/

6 https://x.com/littlebigfred/status/1686461251151343616

Et pour les plus téméraires, la vidéo du nauséabond Colloque – Lutte contre l’obscurantisme et la désinformation en santé. Question : croient-ils à ce qu’ils racontent ?

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Effets secondaires liés aux vaccins covid 19 : les citoyens veulent être entendus !

Source : Fondation Hippocrate

Le samedi 1er février 2025, les deuxièmes rencontres citoyennes internationales ont eu lieu à Vierzon. (1) Cet événement était organisé par Cher Atout Coeur, une association qui promeut les actions locales et citoyennes. (2)

Le colloque a réuni des médecins, des scientifiques, des juristes et des citoyens. Le Dr Eric Ménat, président de la Fondation Hippocrate, était présent. (2)
  Cette année, le programme était consacré aux effets secondaires liés aux injections à ARNm contre le covid 19. Un temps pour les victimes des vaccins contre la covid 19 De nombreux collectifs et associations représentant des victimes de ces effets secondaires ont participé à cette journée. Ces personnes se sont fait vacciner pour leur travail ou pour « jouer le jeu ». Elles ont fait confiance au gouvernement et aux institutions sanitaires. Aujourd’hui, elles souffrent de multiples effets secondaires. Malheureusement, personne ne veut les entendre : ni les médias, ni les autorités, ni même, parfois, leur famille ou leurs proches. Lors de ces deuxièmes rencontres citoyennes internationales à Vierzon, elles ont pu livrer leurs témoignages. Et les effets secondaires dont elles parlent correspondent aux longues listes qui ont été reconnues par les fabricants de ces vaccins expérimentaux à ARNm contre le covid 19. (3,4,5,6,7,8)

Voici la liste complète pour le vaccin Pfizer par exemple : Thrombose sanguine, Lésion rénale aiguë, Myélite flasque aiguë, Anticorps anti-spermatozoïdes positifs, Embolie du tronc cérébral, Thrombose du tronc cérébral, Arrêt cardiaque (des centaines de cas), Insuffisance cardiaque, Thrombose ventriculaire cardiaque, Choc cardiogénique, Vasculite du système nerveux central, Décès néonatal, Thrombose veineuse profonde, Encéphalite du tronc cérébral, Encéphalite hémorragique, Épilepsie du lobe frontal, Psychose épileptique, Paralysie faciale, Syndrome de détresse fœtale, Amylose gastro-intestinale, Crise tonico-clonique généralisée, Encéphalopathie de Hashimoto, Thrombose vasculaire hépatique, Réactivation du zona, Réactivation de cancers, Turbo cancers, Hépatite à médiation immunitaire, Maladie pulmonaire interstitielle, Embolie de la veine jugulaire, Épilepsie myoclonique juvénile, Lésions hépatiques, Faible poids à la naissance, Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant, Myocardite, Crise épileptique néonatale, Pancréatite, Pneumonie, Mortinatalité, Tachycardie, Épilepsie du lobe temporal, Auto-immunité testiculaire, Accident vasculaire cérébral thrombotique, Diabète sucré de type 1, Thrombose veineuse néonatale, Thrombose de l’artère vertébrale, Péricardite, mort subite du nourrisson.

Notez que ces effets secondaires listés par Pfizer n’ont rien de théorique. S’ils sont mentionnés dans la liste, c’est qu’à un moment donné une personne prenant part à l’essai clinique ou ayant été vacciné a subi cet effet secondaire. Ils correspondent déjà tous à au moins une victime réelle dans le monde. Hélas pour un certain nombre de victimes, les symptômes sont cumulatifs.
Un scandale sanitaire dont les médias ne parlent pas Certains patients rapportent souffrir de plus de 50 symptômes à la fois. (2,9) Et souvent, la seule réponse qu’ils reçoivent de leur médecin, voire des instances officielles est : « c’est dans votre tête, consultez un psychologue » Parmi toutes ces victimes, on compte beaucoup de personnes de moins de 50 ans. Ce sont des personnes qui travaillaient, qui avaient toute la vie devant elles et qui, en quelques jours, et parfois en quelques heures, ont perdu la santé. C’étaient des personnes actives. Elles sont devenues dépendantes. Certaines personnes sont handicapées à vie. Des parents ont perdu leur enfant adolescent ou jeune adulte. Ce sont les forces vives du pays qui ont été touchées par ces effets secondaires. Nous vivons donc, dans un silence assourdissant, un drame national, et même mondial, puisque de nombreuses autres nations que la France ont été touchées.

Et après ? Malgré tout, ces rencontres ont aussi représenté un temps d’espoir et d’entraide. En effet, il semble que dans le monde, une partie des responsables politiques ait enfin compris qu’il y avait eu un problème avec cette campagne de vaccination contre le covid 19. Ainsi en Irlande du Nord, le parlement a tenu une journée d’auditions des victimes des effets secondaires. (2) Par ailleurs, ces rencontres ont aussi été l’occasion pour les citoyens de rencontrer diverses associations qui œuvrent en faveur des victimes dont voici une liste non exhaustive :
Cher Atout Coeur, organisateur de l’événement : https://cheratoutcoeur.fr/
Ou est mon Cycle : https://www.ouestmoncycle.com/
On a eu notre dose : https://www.helloasso.com/associations/on-a-eu-not-dose
Verity France : https://www.pappers.fr/entreprise/verity-france-914544747
AA Vic Team : https://associationvicteam.com/
SOS écoute effets indésirables: https://collectifs.reinfoliberte.fr/sos-effets-indesirables-vaccinations-covid/
SOLIDEKLA : Une plateforme d’aide à la déclaration des effets secondaires du vaccin : https://solidekla.info/ La Fondation Hippocrate a soutenu spécifiquement l’association SOLIDEKLA en 2025 pour son action auprès des victimes.

Pierre Kory à Paris le 27 septembre 2025 En attendant, les 3e rencontres internationales l’année prochaine à Vierzon, je profite de cette infolettre pour vous parler d’une autre association et du Congrès qu’elle organise à Paris le 27 septembre 2025. Il s’agit de l’AIMSIB, association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante.
Cette année l’AIMSIB organise son dixième congrès sur le thème : “Lumière sur les mensonges et les manipulations en matière de santé” À cette occasion, le Dr Pierre Kory, pneumologue et spécialisé dans les soins intensifs viendra des Etats-Unis pour présenter son parcours et ses travaux. Il a notamment défendu avec vigueur l’ivermectine qu’il a utilisé chez des milliers de patients pour soigner le covid 19. Il a également développé des protocoles de soins utilisant la vitamine C en intraveineuse.
C’est un médecin reconnu par ses pairs et très apprécié de ses patients. Son dévouement a permis de sauver de très nombreuses vies durant la crise sanitaire. Son approche innovante et intégrative est un exemple de ce à quoi la médecine de demain pourrait ressembler. D’autres orateurs que vous connaissez seront présents comme Louis et Caroline Fouché, ou encore Eric Ménat, Hélène Banoun, Vincent Reliquet, Gilles-Eric Seralini et Corinne Lalo.

Le Congrès a lieu à Paris et les inscriptions sont ouvertes pour y participer en présentiel mais aussi en distanciel pour ceux qui le préfèrent. Dans les deux cas, les lecteurs de la lettre de la Fondation Hippocrate bénéficient d’un tarif réduit. Dans ce cas, Pour vous inscrire, il vous suffit de vous connecter sur ce lien : https://my.weezevent.com/congres-aimsib-2025 et quand on vous le demande, de saisir le code promo “FondH” dans la case prévue à cet effet en bas de l’interface d’inscription. Voici l’affiche de l’événement :
J’espère avoir la joie de vous y retrouver !  Affaire à suivre,  Augustin de Livois

PS : Vous avez la possibilité de laisser un commentaire sur cet article en cliquant ici
Références  (1) https://cheratoutcoeur.fr/
    (2) https://www.youtube.com/watch?v=Eyw9iDVkDSA
    (3) https://ansm.sante.fr/actualites/vaccins-contre-le-covid-19-les-rapports-denquete-confirment-de-nouveau-leur-profil-de-securite
    (4) https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty
    (5) https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty
    (6) https://odysee.com/@ledroitmoral:a/COVID,-Effets-Secondaires,-Vacc_ns-_-Les-derni%C3%A8res-r%C3%A9v%C3%A9lations-FRACASSANTES-du-Professeur-Sabatier:1
    (7) https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001200_FR.html?utm_source=chatgpt.com
    (8) https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001200_FR.html?utm_source=chatgpt.com
    (9) https://lemediaen442.fr/vierzon-2025-deuxieme-edition-des-rencontres-citoyennes-pour-les-victimes-du-covid-et-des-vaccins/

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80 % de fausses couches dans les essais Pfizer ? Une sage-femme porte de graves accusations

Source : uncut-news

L’obstétricienne expérimentée Dr Kimberly Biss , qui a accompagné des milliers de grossesses, tire la sonnette d’alarme :
Depuis le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19, elle a observé une augmentation drastique des fausses couches – de 100 % par rapport à l’année précédente.

Particulièrement explosif : selon Biss, un taux de fausses couches de 80 pour cent s’est déjà produit lors des essais cliniques de Pfizer – et l’entreprise le savait .

Baisse du taux de natalité dans le monde : un problème systémique ?

Plus alarmant encore est le déclin du taux de natalité dans le monde , qui semble être directement lié aux taux de vaccination .

Selon la tendance, plus le taux de vaccination est élevé, plus la baisse des naissances est importante.

Par exemple, le mathématicien Igor Chudov a analysé des données provenant de Hongrie et a découvert un lien frappant :

  • Dans les cinq comtés où le taux de vaccination est le plus bas, le taux de natalité n’a baissé en moyenne que de 4,66 % .
  • Dans les cinq districts où les taux de vaccination sont les plus élevés, la baisse a toutefois été en moyenne de 15,2 % .

Un million d’enfants à naître dans l’UE ?

La journaliste américaine Naomi Wolf , qui a analysé les données de Chudov, parle d’une réduction démographique massive :

dans l’UE « Le déclin est tellement systémique que nous manquons un million de nouveau-nés – un million de bébés qui auraient dû naître. »

Conclusion : Modèles de corrélation avec la puissance explosive

Si ces observations et ces chiffres se confirment, les responsables de la médecine, de la politique et de l’industrie seront confrontés à une question désagréable :
Y a-t-il eu des preuves précoces d’effets secondaires graves des vaccins contre la COVID sur la fertilité – et ont-ils été supprimés ?

La demande de clarification indépendante se fait de plus en plus forte.

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Les associations françaises et internationales de victimes des vaccins covid réunies à Vierzon en février appellent à une grande journée de témoignage le samedi 10 mai 2025

Source : EFVV

10 mai 2025, une journée pour témoigner des effets indésirables des vaccinations

De nombreuses associations françaises et internationales de victimes des vaccins covid réunies à Vierzon en février 2025 appellent à une grande journée de témoignage public le samedi 10 mai, de 14h à 17h, ou à l’heure qui vous convient, dans le quartier le plus animé de votre ville ou village, au cœur de la vie citadine.

Ce jour-là, réunissons-nous avec des portraits de victimes, des informations, des rapports de l’ANSM, de l’EMA, d’Eudravigilance ou de sources officielles de notre pays, grâce à une communication impeccable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, les arguments, les raisons pour lesquelles certaines personnes subissent des effets indésirables et d’autres non, le tout de manière irréfutable, en invitant les responsables politiques, les médecins, les journalistes, etc., à diffuser la vérité autant que possible. Nous vous invitons à suivre l’événement en direct sur Facebook, YouTube, TikTok, Instagram et à le partager avec d’autres pays.

Nous sommes en Europe 27 pays et 447 millions.

Parmi nous, il y a des dizaines de millions de personnes éveillées, courageuses, compétentes, expérimentées ou pleines de bonne volonté.

Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il y a presque quatre ans, nous luttons pour ce qu’il y a de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.

Ce jour-là, affluons avec des portraits de victimes, de l’information, des rapports de l’ANSM, de la EMA, Eudravigilance ou des sources officielles de notre pays, avec une communication irréprochable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, l’argumentation, les raisons pour lesquelles certaines personnes sont victimes d’effets indésirables et d’autres non, le tout sourcé de façon inattaquable, en invitant les politiques, médecins, journalistes etc. pour répercuter au maximum. Nous vous invitons à faire des directs FB, Youtube, TikTok, Instagram et partager avec les autres pays.

Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il ya bientôt quatre ans, nous nous battons pour ce qu’il ya de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.

Nous comptons dans nos rangs des associations et structures existantes de longue date ou récemment créées, de nombreux militants et bénévoles, des avocats et juristes, de petits et grands médias alternatifs, des personnalités et des chercheurs, des médecins et soignants, des victimes et familles de victimes, des enseignants, des personnalités publiques, des politiciens engagés, des représentants élus des populations au niveau local ou européen, des artistes…

Faisons du 10 mai 2025 une grande journée d’union et de solidarité, pour l’avenir et la vérité :

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Comment vendre une pandémie et ses vaccins

Marc Van Ranst, virologue, explique, le 22 janvier 2019, lors d’une conférence des parties prenantes de l’ESWI/Chatham House sur la préparation à la pandémie de grippe, comment vendre aux populations une épidémie et un vaccin en utilisant les médias. Commissaire interministériel belge pendant la pandémie de grippe porcine (H1N1) en 2009, il explique à un auditoire totalement conquis comment il a procédé durant cette crise. Le cynisme et le mépris de cet homme envers ses compatriotes est assez confondant. Passant assez rapidement sur ses conflits d’intérêts en début d’intervention, le virologue, ainsi que ses admirateurs, semblent convaincus d’œuvrer pour le bien commun. Tout discours alternatif devenant ainsi de la désinformation.

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LES VACCINS EN QUESTION

La question de l’efficacité et de la toxicité des vaccins étant aussi polémique que confuse, une analyse scientifique est indispensable pour avoir un avis éclairé face aux discours unanime des experts et des autorités sanitaires concernant cette question. Nous allons tenter dans cette émission de proposer une analyse de la vaccination : le rapport bénéfice/risque, à l’échelle individuelle et communautaire. Nous allons revenir sur les techniques permettant d’évaluer scientifiquement chaque vaccin et d’exposer les potentiels biais méthodologiques qui auraient conduit à des appréciations approximatives ou inexactes des réalités vaccinales.

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Vaccin COVID-19 : La CJUE engage la responsabilité des médecins

Source : cabinet d’avocats Ellipsis

La Cour de justice de l’Union européenne tranche sur la prescription obligatoire des vaccins COVID-19 et la responsabilité des médecins

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment rendu une décision qui pourrait avoir un impact majeur sur la responsabilité des professionnels de santé ayant administré les vaccins contre le COVID-19. Selon cet arrêt, une prescription médicale était nécessaire pour l’administration de ces vaccins, ce qui remet en cause la manière dont la campagne de vaccination a été menée dans plusieurs pays européens.

L’importance de la prescription médicale

L’affaire portée devant la CJUE par le professeur Frajese met en lumière un point fondamental : les médecins avaient la liberté d’évaluer la pertinence d’une vaccination pour leurs patients. Contrairement à ce qui a été appliqué dans certains États membres, l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 n’impliquait aucune obligation pour les médecins de prescrire ou d’administrer ces vaccins.

La Cour rappelle que la relation médecin-patient repose sur un principe essentiel : la liberté de prescription. Chaque professionnel de santé doit pouvoir, en fonction des spécificités du patient, choisir le traitement le plus adapté, en toute indépendance. Ainsi, ceux qui ont choisi de ne pas recommander ces vaccins ou de les déconseiller ne peuvent être poursuivis ni disciplinés pour cette raison.

Les conséquences sur la responsabilité des médecins

L’arrêt de la CJUE précise que les médecins ayant administré ces vaccins sans évaluation individuelle du patient pourraient voir leur responsabilité engagée. En effet, le fait que ces vaccins aient reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM) ne suffisait pas à exempter les praticiens de leur devoir d’analyse des risques pour chaque patient.

Cela signifie que les professionnels de santé qui ont procédé à la vaccination sans prescription spécifique pourraient être poursuivis pour faute médicale. La Cour souligne que la protection juridique dont bénéficiaient les médecins ne s’applique que si l’administration des vaccins a respecté les règles en vigueur, ce qui inclut l’évaluation individuelle de chaque patient.

L’impact sur les recours en justice

Les décisions de la CJUE s’imposent aux juges nationaux, et cet arrêt pourrait influencer de nombreuses procédures en cours. En particulier, les personnels de santé suspendus ou radiés pour avoir refusé d’administrer ces vaccins pourraient voir leur situation réexaminée à la lumière de cette jurisprudence.

Par ailleurs, les personnes ayant subi des effets indésirables après la vaccination disposent désormais d’un argument supplémentaire pour engager des actions en responsabilité contre les médecins et les autorités sanitaires. L’absence de prescription médicale constitue une violation des règles établies, rendant possibles des demandes d’indemnisation pour préjudice corporel.

Une décision qui redéfinit la liberté de soins

Cette décision de la CJUE marque un tournant majeur dans l’approche des politiques de santé publique. Elle réaffirme le principe selon lequel les médecins doivent conserver leur liberté de prescription et rappelle que toute obligation de vaccination doit être encadrée par des règles claires respectant les droits des patients.

Alors que les débats sur les politiques vaccinales continuent, cette décision apporte une clarification essentielle : les professionnels de santé doivent être libres de prescrire ou de déconseiller un traitement, en fonction des besoins réels de leurs patients, sans subir de pressions extérieures.

Si vous êtes victime d’un effet secondaire suite à la vaccination, il est important de savoir que vous avez des droits. Lecabinet ELLIPSIS AVOCATS se spécialise dans la défense des victimes de dommages corporels et vous accompagne pour obtenir une indemnisation et faire valoir vos droits face aux autorités compétentes.

N’hésitez pas à nous contacter pour toute question ou pour discuter de votre situation.

Référence :CJUE, n° C-586_23, Arrêt de la Cour, Giovanni Frajese contre Commission européenne, 30 janvier 2025 _ Doctrine

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Fausses pandémies vrais mensonges – Comment on vous trompe en 10 leçons : enquête

Certainement un des ouvrages les plus complets et sourcés sur « l’affaire Covid ». Une enquête d’utilité publique qui se lit comme un polar. Un livre à faire circuler de toute urgence.

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Fruit d’une enquête minutieuse, ce livre choc vous dévoile les coulisses et les mensonges des « pandémies », présentes, passées et à venir. 
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Soyez prêts à protéger votre santé, et, peut-être, sauver votre vie.

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Vaccins contre la COVID-19 et effets indésirables d’intérêt particulier : une étude de cohorte multinationale du Global Vaccine Data Network (GVDN) portant sur 99 millions de personnes vaccinées

Source : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X24001270

Arrière-plan

Le projet mondial sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19 (GCoVS), lancé en 2021 dans le cadre du Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN®), vise à évaluer l’innocuité des vaccins. Cette étude visait à évaluer le risque d’ effets indésirables particuliers (EIPP) suite à la vaccination contre la COVID-19 sur dix sites répartis dans huit pays.

Méthodes

À l’aide d’un protocole commun, cette étude de cohorte observationnelle a comparé les taux observés et attendus de 13 effets indésirables graves (EI) sélectionnés pour les résultats neurologiques, hématologiques et cardiaques. Les taux attendus ont été obtenus par les sites participants à partir des données de santé pré-vaccinales COVID-19, stratifiées par âge et par sexe. Les taux observés ont été rapportés à partir des mêmes bases de données de santé depuis le déploiement du programme de vaccination contre la COVID-19. Les EI survenant jusqu’à 42 jours après la vaccination par les vaccins à ARNm (BNT162b2 et ARNm-1273) et à vecteur adénoviral (ChAdOx1) ont été inclus dans l’analyse principale. Les risques ont été évalués à l’aide des ratios observés/attendus (OE) avec des intervalles de confiance à 95 %. Les signaux de sécurité potentiels prioritaires étaient ceux dont la limite inférieure de l’intervalle de confiance à 95 % (LBCI) était supérieure à 1,5.

Résultats

Français Les participants comprenaient 99 068 901 personnes vaccinées. Au total, 183 559 462 doses de BNT162b2, 36 178 442 doses d’ARNm-1273 et 23 093 399 doses de ChAdOx1 ont été administrées dans les sites participants au cours de la période d’étude. Les périodes à risque suivant les calendriers de vaccination homologues ont contribué à 23 168 335 années-personnes de suivi. Des ratios OE avec LBCI > 1,5 ont été observés pour le syndrome de Guillain-Barré (2,49, IC à 95 % : 2,15, 2,87) et la thrombose du sinus veineux cérébral (3,23, IC à 95 % : 2,51, 4,09) après la première dose du vaccin ChAdOx1. L’encéphalomyélite aiguë disséminée a montré un ratio d’efficacité de 3,78 (IC à 95 % : 1,52, 7,78) après la première dose du vaccin à ARNm-1273. Les ratios d’efficacité de la myocardite et de la péricardite après BNT162b2, ARNm-1273 et ChAdOx1 ont augmenté significativement avec des LBCI > 1,5.

Conclusion

Cette analyse multi-pays a confirmé les signaux de sécurité préétablis concernant la myocardite , la péricardite , le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral . D’autres signaux de sécurité potentiels nécessitant une investigation plus approfondie ont été identifiés.

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Mots-clés

Surveillance de la sécurité des vaccins

Pharmacovigilance

Effets indésirables après la vaccination

Événements indésirables présentant un intérêt particulier

COVID 19

Analyse observée vs. attendue

1. ​ Introduction

Depuis la déclaration de la pandémie de COVID-19 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars 2020 [1], plus de 13,5 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 ont été administrées dans le monde [2] . En novembre 2023, au moins 70,5 % de la population mondiale avait reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 [2] . Ce scénario sans précédent souligne le besoin urgent d’une surveillance complète de la sécurité des vaccins, car de très rares événements indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19 pourraient n’être révélés qu’après l’administration à des millions de personnes.

Français En prévision de ce déploiement mondial sans précédent de vaccins contre la COVID-19, l’initiative Safety Platform for Emergency vACcines (SPEAC) a formulé une liste d’événements indésirables potentiels du vaccin contre la COVID-19 présentant un intérêt particulier (AESI) en 2020 [3] . La sélection des AESI était basée sur leurs associations préétablies avec la vaccination, des plateformes vaccinales ou des adjuvants spécifiques, ou la réplication virale au cours d’une maladie de type sauvage ; des préoccupations théoriques liées à l’immunopathogenèse ; ou des preuves à l’appui provenant de modèles animaux utilisant des plateformes vaccinales candidates [3] .

Français Une approche flexible pour évaluer les EISP est la comparaison des taux d’EISP observés après l’introduction d’un programme de vaccination avec les taux attendus (ou de fond) basés sur des périodes historiques avant le déploiement du vaccin [4] , [5] . De telles comparaisons peuvent être effectuées rapidement et peuvent jouer un rôle clé dans la détection précoce de signaux potentiels de sécurité des vaccins ou lorsque les agences de réglementation et de santé publique ont besoin d’une évaluation rapide d’un signal de sécurité émergent [4] , [6] . L’analyse observée versus (vs.) attendue (OE) a joué un rôle essentiel dans l’identification de la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) comme un signal de sécurité, ce qui a conduit à la suspension de l’utilisation du ChAdOx1 (vaccin AstraZeneca COVID-19) le 11 mars 2021, au Danemark et en Norvège [7] , [8] .

Français Ces évaluations sont utiles non seulement au début du déploiement à grande échelle des vaccins, mais aussi à mesure que le programme de vaccination mûrit, en particulier si elles peuvent être menées dans un contexte multinational. Nous avons mené une étude de cohorte mondiale en suivant le protocole d’étude Observed vs. Expected Analyses of COVID-19 Adverse Events of Special Interest [9] avec des données provenant de 10 sites dans huit pays participant au projet unique Global COVID Vaccine Safety (GCoVS) [10] du Global Vaccine Data Network™ (GVDN®) [11] . Le projet GCoVS, lancé en 2021, est une collaboration mondiale financée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) entre des chercheurs et des sources de données de plusieurs pays à des fins de surveillance de la sécurité des vaccins contre la COVID-19.

2. ​ Méthodes

2.1 . Conception de l’étude

Cette étude observationnelle rétrospective a été conçue pour estimer les ratios OE d’EIS sélectionnés après la vaccination contre la COVID-19 dans une cohorte de population multi-pays.

2.2 . Source des données et population étudiée

Le projet GCoVS a compilé des données de santé électroniques sur les effets indésirables graves (EIS) liés aux vaccins contre la COVID-19 auprès de participants de plusieurs sites du réseau GVDN, notamment en Argentine, en Australie (Nouvelle-Galles du Sud), en Australie (Victoria), au Canada (Colombie-Britannique), au Canada (Ontario), au Danemark, en Finlande, en France, en Nouvelle-Zélande et en Écosse [10] . Les données de santé comprenaient des données individuelles ou populationnelles, selon la disponibilité dans les sites d’étude ( tableau supplémentaire 1 ).

La majorité des sites d’étude ont utilisé des registres de vaccination contenant des données individuelles. Ces registres couvraient la même population et la même région géographique que les ensembles de données utilisés pour calculer les taux de base. Nous avons également examiné les données populationnelles sur la couverture vaccinale à l’aide de tableaux de bord régulièrement mis à jour par les sites d’étude. Si le nombre de personnes vaccinées par tranches d’âge et de sexe spécifiques était disponible, nous avons converti ces chiffres en années-personnes en fonction de la période de risque post-vaccinale. Contrairement aux registres contenant des données individuelles, les strates d’âge et de sexe utilisées dans cette approche pourraient ne pas correspondre à celles utilisées pour le calcul des taux de base.

Les participants étaient des personnes vaccinées contre la COVID-19 au sein des populations représentées par les sites. Dans la mesure du possible, des méthodes standardisées ont été appliquées entre les sites. Les types de patients comprenaient des patients hospitalisés (Australie – Nouvelle-Galles du Sud, France, Nouvelle-Zélande, Écosse) et des patients hospitalisés et ambulatoires aux urgences (Argentine, Australie – Victoria, Canada, Danemark, Finlande). Dans les pays où les types de patients n’étaient pas clairement définis, la durée du contact à l’hôpital a été utilisée comme indicateur indirect des types de patients. À titre d’exemple, une durée de contact de cinq heures ou plus a été utilisée comme indicateur indirect des patients hospitalisés au Danemark. Les caractéristiques spécifiques des sources de données et des données par site sont présentées dans le tableau supplémentaire 1 .

2.3 . Période d’étude et suivi

Français Les périodes d’étude variaient selon les pays, commençant à la date du déploiement du programme de vaccination contre la COVID-19 spécifique au site et se terminant à la fin de la disponibilité des données ( tableau 1 ). En général, les périodes d’étude s’étendaient de décembre 2020 à août 2023. La période d’étude la plus courte observée a eu lieu en Australie – Nouvelle-Galles du Sud, comprenant 11 mois de février 2021 à décembre 2021. L’Argentine a eu la période d’étude la plus longue, de décembre 2020 à août 2023, comprenant un total de 32 mois.

Tableau 1. Résumé de la population par site. (Uniquement les vaccins Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India ChAdOx1 et les doses 1 à 4 inclus).

Vaccins : Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (ARNm-1273) et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).

Français Les intervalles de risque utilisés après chaque dose étaient de 0 à 7 jours, de 8 à 21 jours, de 22 à 42 jours et de 0 à 42 jours. Pour chaque dose de vaccination, le jour 0 était le jour de la réception du vaccin. Pour ce manuscrit, nous présentons les résultats pour l’intervalle de risque de 0 à 42 jours uniquement. D’autres données sont présentées sur le tableau de bord du GVDN avec toutes les dernières mises à jour des sites participants [12] . Les événements survenus en dehors de la période d’étude n’ont pas été inclus. Une période de sevrage de 365 jours pour les événements survenus a été utilisée pour définir les événements incidents. Les événements survenus étaient considérés comme incidents s’il n’y avait pas d’enregistrement du même événement survenu au cours de la période de sevrage de 365 jours précédente. Un individu peut avoir contribué à plusieurs événements survenus à condition qu’ils soient séparés dans le temps par au moins la période de sevrage de 365 jours.

2.4 . Variables et résultats de l’étude

2.4.1 . Événements indésirables présentant un intérêt particulier (EIIP)

vaccinale en situation réelle Treize affections représentant des EISP d’une pertinence spécifique pour le paysage actuel de la pharmacovigilance ont été sélectionnées dans la liste compilée par le projet SPEAC de la Brighton Collaboration [3] et en réponse aux signaux de sécurité de la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie [7] , [8] ( tableau supplémentaire 2 ). Les affections choisies correspondaient aux EISP pour lesquels les taux de base ont été récemment générés par les sites GVDN [13] . Les EISP ont été identifiés à l’aide des codes harmonisés de la Classification internationale des maladies, 10e révision (CIM-10). Les affections neurologiques sélectionnées comprenaient le syndrome de Guillain-Barré (SGB), la myélite transverse (MT), la paralysie faciale (de Bell), l’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) et les convulsions (crises généralisées (GS) et convulsions fébriles (CF)) car des signaux de sécurité potentiels ont été identifiés pour certaines de ces affections [14] , [15] , [16] . Les affections hématologiques comprenaient une thrombose du sinus veineux cérébral (TSVC), une thrombose de la veine splanchnique (TSV) et une embolie pulmonaire. (EP) ; les thromboses de sites inhabituels (CVST et SVT) ont été sélectionnées comme marqueurs de TTS potentiel qui pourraient être identifiés avec précision à l’aide de codes de diagnostic [17] , [18] . La thrombocytopénie et la thrombocytopénie immunitaire (ITP) ont également été incluses en raison de leur association avec le TTS et des rapports d’ITP comme signal de sécurité indépendant [7] , [19] , [20] . La myocardite et la péricardite ont été incluses comme affections cardiovasculaires et les ratios OE ont été évalués séparément pour chaque affection [21] , [22] , [23] .

2.4.2 . Vaccins contre la COVID-19

En novembre 2023, plusieurs vaccins contre la COVID-19 étaient utilisés par les sites GCoVS, représentant plusieurs types de plateformes, telles que les plateformes à vecteurs viraux inactivés, à base d’acide nucléique (ARNm), à base de protéines et non réplicatifs ( tableau 2 ). Pour ce manuscrit, nous nous sommes concentrés sur les trois vaccins ayant enregistré le plus grand nombre de doses administrées : Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India ChAdOx1. Français Le nombre cumulé de doses d’autres vaccins administrées (n) dans les sites d’étude était relativement faible, à l’exception des vaccins inactivés Sinopharm (n = 134 550) et Sinovac (n = 31 598), du vaccin à base de protéines Novavax (n = 66 856) et des vaccins à vecteur adénoviral Janssen/Johnson & Johnson (n = 1 137 505) et Gamaleya Research Institute/Sputnik (n = 84 460). Le nombre total de doses de chaque marque de vaccin administrées est indiqué dans le tableau 2. Les données sur l’exposition au vaccin contre la COVID-19 par plateforme/type, marque et dose étaient disponibles au niveau individuel pour déterminer le nombre de cas observés par type/marque de vaccin et profil de dose et dans l’intervalle de risque post-vaccination de 0 à 42 jours.

Tableau 2. Nombre total de vaccinations par marque.

Plateforme de vaccinsMarque de vaccinDoses totales
InactivéVaccin Covilo ou SARS-CoV-2 (cellule Vero) [Sinopharm (Pékin)]134 550
Covaxin [Bharat Biotech]1 660
CoronaVac ou Sinovac [Sinovac Biotech]31 598
Inactivé (cellule Vero) [Sinopharm (Wuhan)]623
À base d’acide nucléiqueVaccin bivalent Comirnaty ou Riltozinaméran ou Pfizer/BioNTech contre la COVID-19 [Pfizer/BioNTech]3 516 963
Comirnaty ou Tozinameran [Pfizer/BioNTech ou Fosun-BioNTech]183 677 660
Comirnaty ou Tozinameran pédiatrique [Pfizer/BioNTech ou Fosun-BioNTech]2 439 086
Spikevax bivalent Original/Omicron [Moderna]2 750 476
Demi-dose d’élasomeran ou de Spikevax ou de TAK-919 [Moderna ou Takeda]400 395
Élasomérane ou Spikevax ou TAK-919 [Moderna ou Takeda]36 222 514
À base de protéinesMVC-COV1901 [Medigen]16
Covovax ou Nuvaxoid [Novavax ou Serum Institute of India]66 856
Vecteur viral non réplicatifConvidacia ou Convidance [CanSino]3 938
Covishield ou Vaxzevria [AstraZeneca ou Serum Institute of India]23 094 620
Spoutnik Light ou Gam-COVID-Vac [Institut de recherche Gamaleya]26
Spoutnik V [Institut de recherche Gamaleya]84 460
Janssen [Janssen/Johnson & Johnson]1 137 505

2.5 . Analyse statistique

2.5.1 . Calcul des ratios observés/attendus pour chaque site

Français Pour chaque site, nous avons calculé le nombre observé d’événements pour chaque EISP dans l’intervalle de risque après l’introduction de la vaccination contre la COVID-19. Pour calculer le nombre attendu de cas, nous avons utilisé les données sur les taux de base pré-vaccination contre la COVID-19 de 2015 à 2019 (2019-2020 pour le Danemark) collectées dans l’étude GCoVS Background Rates of EISP Following COVID-19 vaccination [13] . La période de suivi observée en personnes-années pour un profil de vaccination donné et la période post-vaccinale a été stratifiée selon le groupe d’âge et le sexe. Chacune des personnes-années stratifiées selon l’âge et le sexe a été multipliée par le taux de base stratifié selon l’âge et le sexe correspondant. Cela a donné le nombre attendu de cas dans chaque strate, qui ont ensuite été additionnés pour donner le nombre total de cas attendus pendant la période de suivi observée.

Les ratios d’efficacité globale agrégés par dernière dose ont été calculés en divisant le nombre de cas observés par le nombre de cas attendus après la vaccination ; des intervalles de confiance (IC) à 95 % ont été obtenus selon la distribution exacte de Poisson. Nous avons également calculé les ratios d’efficacité globale pour les schémas homologues des vaccins BNT162b2, mRNA-1273 et ChAdOx1 jusqu’à quatre doses. Les ratios d’efficacité globale agrégés et spécifiques aux schémas homologues sont présentés.

We considered an OE ratio a potential safety signal of concern where the lower bound of the 95 % CI (LBCI) was greater than one and reached statistical significance [5]. However, we prioritised potential safety signals of concern for further evaluation where the LBCI was greater than 1.5, due to increased statistical evidence and the higher likelihood of being a true signal, based on expert opinion from the CDC and GVDN collaborators.

2.5.2 . Combinaison des résultats entre sites

Les résultats ont été agrégés sur l’ensemble des sites en additionnant le nombre d’événements observés pour chaque EISP et les années-personnes stratifiées selon l’âge et le sexe pour un profil de vaccination et une période post-vaccinale donnés. Pour chaque EISP, les profils vaccinaux individuels ont été rapportés si le nombre cumulé de suivis (en années-personnes) dans la période de 0 à 42 jours après la vaccination était de 10 000 ou plus. Le nombre combiné d’événements et le ratio d’événements indésirables ont été calculés avec des IC à 95 % dérivés de la distribution exacte de Poisson. Aucun événement (c’est-à-dire zéro) observé pour une marque de vaccin et un profil de dose n’a été rapporté séparément sans IC.

2.5.3 . Analyse de sensibilité

Premièrement, nous avons réalisé des analyses de sensibilité spécifiques à chaque site afin d’explorer plus en détail les associations potentielles entre les signaux de sécurité les plus significatifs identifiés dans l’analyse principale. Les taux observés rapportés par site ont été pris en compte dans l’analyse en fonction des contraintes suivantes. Pour chaque marque de vaccin, profil de dose et combinaison de période post-vaccinale, les ratios d’événements indésirables graves et l’IC à 95 % ont été supprimés si moins de cinq événements étaient observés. Deuxièmement, nous avons réalisé une analyse complémentaire incluant d’autres vaccins et doses administrés entre les sites. Le seuil de déclaration en personnes-années a été abaissé de 10 000 à 1 000 personnes-années par rapport à l’analyse principale des ratios d’événements indésirables graves agrégés, ce qui a permis d’analyser un plus large éventail de vaccins.

2.6 . Approbation éthique

L’approbation des comités d’éthique de la recherche humaine compétents a été obtenue ou une exemption a été obtenue pour tous les sites participants ( tableau supplémentaire 3 ).

3. ​ Résultats

Français La population totale vaccinée sur l’ensemble des sites comprenait 99 068 901 personnes. La plupart des vaccinés appartenaient aux tranches d’âge de 20 à 39 ans et de 40 à 59 ans ( Tableau 1 ). Au total, 183 559 462 doses de BNT162b2, 36 178 442 doses d’ARNm-1273 et 23 093 399 doses de ChAdOx1 ont été administrées sur l’ensemble des sites au cours des périodes d’étude. Le plus grand nombre de doses a été administré en France (120 758 419), suivie du Canada – Ontario (32 159 817) et de l’Australie – Victoria (15 617 627). Au total, 23 168 335 personnes-années ont contribué aux ratios OE pour l’AESI suivant les calendriers homologues. Le résumé de la population est présenté dans le tableau 1 , et des informations plus détaillées sur les autres vaccins administrés sont présentées dans le tableau supplémentaire 4. Dans les sections de résultats ci-dessous, nous fournissons à la fois les ratios d’efficacité globale agrégés ( tableau 3 , tableau 4 , tableau 5 ) et les ratios d’efficacité globale détaillés pour les calendriers homologues ( figure 1 , figure 2 , figure 3 ), y compris le nombre d’événements et de personnes-années. Globalement, 95,8 % et 86,6 % des vaccinations ont été incluses dans l’analyse des calendriers agrégés et homologues, respectivement ( Tableau supplémentaire 5 ). Les principaux résultats des sites individuels ainsi que les périodes de risque supplémentaires et les méta-analyses pour chaque AESI sont disponibles dans le tableau de bord interactif GVDN Observed vs Expected (OE) [12] .

Tableau 3. Ratios OE agrégés par dernière dose, affections neurologiques, période 0–42 jours.

AESI : SGB = syndrome de Guillain-Barré, TRM = myélite transverse, BP = paralysie faciale (de Bell), ADEM = encéphalomyélite aiguë disséminée, FSZ = convulsions fébriles,

GSZ = Crises généralisées.

Vaccins : Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (ARNm-1273) et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).

Tableau 4. Ratios OE agrégés par dernière dose, conditions hématologiques, période 0–42 jours.

AESI: THR = Thrombocytopenia, ITP = Idiopathic thrombocytopenia, PEM = Pulmonary embolism, CVST = Cerebral venous sinus thrombosis, SVT = Splanchnic vein thrombosis.

Vaccines: Pfizer/BioNTech (BNT162b2), Moderna (mRNA-1273), and Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India (ChAdOx1).

Table 5. Aggregated OE Ratios by last dose, cardiovascular conditions, period 0–42 days.

3.1 . Affections neurologiques

Français Il y a eu une augmentation statistiquement significative des cas de SGB dans les 42 jours suivant une première dose de ChAdOx1 (ratio OE = 2,49 ; IC à 95 % : 2,15, 2,87), indiquant un signal de sécurité prioritaire ( Tableau 3 ). Soixante-seize événements de SGB étaient attendus et 190 événements ont été observés ( Fig. 1 ). Le ratio OE pour l’ADEM dans les 42 jours suivant une première dose d’ARNm-1273 a également atteint le seuil de signification d’un signal de sécurité prioritaire (3,78 ; IC à 95 % : 1,52, 7,78), avec deux événements attendus contre sept événements observés ( Fig. 1 ).

Français Des différences statistiquement significatives ont également été trouvées pour la myélite transverse (ratio OE = 1,91 ; IC à 95 % : 1,22, 2,84) et l’ADEM (ratio OE = 2,23 ; IC à 95 % : 1,15, 3,90) après une première dose de ChAdOx1. La paralysie de Bell avait un ratio OE accru après une première dose de BNT162b2 (1,05 ; IC à 95 % : 1,00, 1,11) et d’ARNm-1273 (1,25 ; IC à 95 % : 1,11, 1,39). Français On a également observé une augmentation des ratios d’OE pour les convulsions fébriles après une première et une deuxième dose d’ARNm-1273 (1,36, IC à 95 % : 1,02, 1,77 et 1,44, IC à 95 % : 1,04, 1,95, respectivement), et pour les convulsions généralisées après une première dose d’ARNm-1273 (1,15, IC à 95 % : 1,10, 1,20) et une quatrième dose de BNT162b2 (1,09, IC à 95 % : 1,04, 1,14). Aucune augmentation des ratios d’OE n’a été identifiée après une troisième dose d’un vaccin. Les résultats concordent avec les ratios d’OE des calendriers homologues ; Cependant, un ratio OE accru pour les crises généralisées après un schéma homologue de quatre doses d’ARNm-1273 (1,33 ; IC à 95 % : 1,07, 1,63) a été identifié ( Fig. 1 ). Ces résultats n’ont pas atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après la vaccination.

3.2 . Affections hématologiques

Le rapport OE de CVST était de 3,23 (IC à 95 % : 2,51–4,09) dans les 42 jours suivant une première dose de ChAdOx1, remplissant le seuil d’un signal de sécurité prioritaire ( Tableau 4 ). Au total, 21 événements étaient attendus, tandis que 69 événements ont été observés ( Fig. 2 ).

Français Des ratios OE accrus ont également été identifiés pour la thrombocytopénie après une première dose de ChAdOx1 (1,07 ; IC à 95 % : 1,03, 1,12), BNT162b2 (1,11 ; IC à 95 % : 1,08, 1,14) et mRNA-1273 (1,33 ; IC à 95 % 1,25, 1,42), ainsi qu’après une troisième dose de ChAdOx1 (1,95 ; IC à 95 % : 1,29, 2,84). La thrombocytopénie immunitaire a également démontré des ratios OE accrus après une première dose de ChAdOx1 (1,40 ; IC à 95 % : 1,24, 1,58) et BNT162b2 (1,08 ; IC à 95 % : 1,01, 1,16). Français Les ratios OE d’embolie pulmonaire ont augmenté après les premières doses de ChAdOx1 (1,20 ; IC à 95 % : 1,16, 1,24), BNT162b2 (1,29 ; IC à 95 % : 1,26, 1,32) et mRNA-1273 (1,33, IC à 95 % : 1,26, 1,40), ainsi qu’après une troisième dose de ChAdOx1 (1,88 ; IC à 95 % : 1,32, 2,58). Le ratio OE de CVST était de 1,49 (IC à 95 % : 1,26, 1,75) après une première dose et de 1,25 (IC à 95 % : 1,06, 1,46) après une deuxième dose de BNT162b2. Français Un ratio OE accru pour la tachycardie supraventriculaire a été observé après une première dose de BNT162b2 (1,25 ; IC à 95 % : 1,17, 1,34) et d’ARNm-1273 (1,23 ; IC à 95 % : 1,03, 1,47) ; une deuxième dose d’ARNm-1273 (1,17 ; IC à 95 % : 1,01, 1,36) ; et une quatrième dose de BNT162b2 (1,30, IC à 95 % : 1,06, 1,59) et d’ARNm-1273 (1,53, IC à 95 % : 1,05, 2,16). Ces résultats n’ont pas atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après la vaccination.

3.3 . Affections cardiovasculaires

Français Des ratios OE accrus satisfaisant le seuil des signaux de sécurité prioritaires pour la myocardite ont été systématiquement identifiés après une première, une deuxième et une troisième dose de vaccins à ARNm (BNT162b2 et ARNm-1273) ( Tableau 4 ). Le ratio OE le plus élevé a été observé après une première et une deuxième dose d’ARNm-1273 (3,48 ; IC à 95 % : 3,00, 4,01 et 6,10 ; IC à 95 % : 5,52, 6,72, respectivement). Le ratio OE après une troisième dose d’ARNm-1273 était de 2,01 (IC à 95 % : 1,60, 2,49). Le nombre d’événements pour un maximum de quatre doses de calendriers homologues est présenté dans la Fig. 3. Les ratios OE des calendriers homologues correspondent aux ratios OE agrégés. L’OE homologue pour la myocardite après quatre doses du vaccin à ARNm-1273 n’a pas pu être estimé en raison d’un manque d’événements observés.

Français De même, le ratio OE pour la péricardite a atteint le seuil d’un signal de sécurité prioritaire après une première et une quatrième dose d’ARNm-1273, avec des ratios OE de 1,74 (IC à 95 % : 1,54, 1,97) et 2,64 (IC à 95 % : 2,05, 3,35) respectivement. Un ratio accru de 6,91 (IC à 95 % : 3,45, 12,36), atteignant le seuil d’un signal de sécurité prioritaire, a également été observé après une troisième dose de ChAdOx1. Les ratios OE agrégés pour la péricardite ont augmenté après toutes les doses des trois vaccins présentés ( Tableau 4 ). Français Les résultats sont très similaires aux ratios des schémas homologues ( Fig. 3 ), à l’exception du ratio OE de 1,23 (IC à 95 % : 0,45–2,69) après réception de la quatrième dose d’ARNm-1273, qui n’a pas atteint le seuil de signal de sécurité. Le ratio OE homologue après une troisième dose de ChAdOx1 n’a pas été rapporté car seul un petit nombre de troisièmes doses de ChAdOx1 ont été administrées dans les sites d’étude ( Tableau 1 ).

3.4 . Analyse de sensibilité

Français Des analyses secondaires ont été menées pour explorer plus en détail le SGB, l’ADEM, la TVC, la myocardite et la péricardite au niveau du site spécifique. Nous rapportons les ratios d’OE agrégés par dernière dose et site dans la période de 0 à 42 jours après la vaccination dans les tableaux supplémentaires 6 à 10. Il n’a pas été possible de rapporter les résultats pour tous les sites et les résultats de l’étude en raison d’un nombre insuffisant de personnes-années ou de moins de cinq événements observés selon les critères de confidentialité du site. La majorité des signaux de sécurité identifiés suite à des combinaisons spécifiques de marques et de doses de vaccins dans l’analyse principale ont cependant été confirmés par les sites individuels où les données étaient disponibles. L’analyse supplémentaire avec un seuil de personnes-années de 1 000 et incluant d’autres vaccins et doses administrés dans les sites GVDN, a montré un ratio d’OE accru pour certains résultats, par exemple pour les crises généralisées après une première dose du vaccin Gamaleya Research Institute/Sputnik (5,50, IC à 95 % : 2,74, 9,84) ( Tableaux supplémentaires 11 à 13 ).

4. ​ Discussion

multinationale Cette étude de cohorte a été menée dans le cadre unique du GVDN. À ce jour, le nombre d’études de grande envergure, coordonnées systématiquement et portant sur des zones géographiques et des populations diverses, est limité. Cependant, plusieurs études ont déjà évalué les risques liés aux signaux de sécurité identifiés après la vaccination contre la COVID-19, principalement dans des contextes monocentriques. Nous avons étudié l’association entre la vaccination contre la COVID-19 et 13 effets indésirables graves (EIS) comprenant des affections neurologiques, hématologiques et cardiovasculaires sur 10 sites répartis dans huit pays, dont l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud et l’Océanie. Dans cette étude incluant plus de 99 millions de personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2, le risque jusqu’à 42 jours après la vaccination était généralement similaire au risque de base pour la majorité des résultats ; cependant, quelques signaux de sécurité potentiels ont été identifiés. Nous avons observé des signaux de sécurité potentiels pour le SGB et la TVC après la première dose de ChAdOx1, sur la base de plus de 12 millions de doses administrées.

Français Dans l’ensemble, les études sur les vaccins à base de vecteurs tels que le ChAdOx1 ont observé une incidence plus élevée de SGB après la vaccination par rapport à l’incidence de base ; alors que la plupart des études sur les vaccins à ARNm , tels que le BNT162b2 et l’ARNm-1273, n’ont pas observé d’augmentation de SGB [15] , [24] , [14] , [25] , [26] , [27] . Atzenhoffer et al. [24] ont signalé un ratio OE élevé > 2,0 pour les vaccins COVID-19 à vecteur adénovirus, dans les pays contribuant à VigiBase, une base de données internationale sur les effets indésirables des médicaments et Patone et al. [27] ont signalé 38 cas excédentaires de SGB pour 10 millions de personnes exposées au cours de la période à risque de 1 à 28 jours suivant la vaccination avec le ChAdOx1 en Angleterre. Les auteurs n’ont pas observé de risque accru chez ceux qui ont reçu le BNT162b2. En revanche, une étude de Li et al. [28] n’ont montré aucun risque accru de SGB pour ChAdOx1, tandis que seule l’infection par le SARS-CoV-2 était associée à un risque plus élevé. Cet écart, comparé aux résultats de Patone et al. [27] , pourrait toutefois s’expliquer par un échantillon plus petit et des mesures de résultats différentes. Globalement, ces données corroborent nos conclusions concernant un signal d’alerte concernant le SGB après la vaccination par ChAdOx1. Bien que rare, cette association a été reconnue par l’OMS, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Therapeutic Goods Administration (TGA) d’Australie, ce qui a conduit à classer le SGB comme une maladie rare. effet secondaire suite à une exposition à ChAdOx1 [15] , [29] , [30] .

Français Le risque accru de TVC identifié après la vaccination par ChAdOx1 dans cette étude est corroboré par de multiples études. Un ratio OE accru a été observé dans une étude de cohorte nationale au Danemark et en Norvège, avec des taux accrus d’ événements thromboemboliques veineux , y compris la TVC avec un taux excédentaire de 2,5 événements pour 100 000 vaccinations après ChAdOx1 [7] . Sur la base de diverses méthodologies, d’autres études ont également signalé une incidence accrue de TVC après la vaccination [31] , [32] . En fin de compte, ce signal de sécurité rare mais préoccupant a conduit au retrait du vaccin ChAdOx1 des programmes de vaccination contre la COVID-19 ou à la mise en œuvre de restrictions basées sur l’âge dans plusieurs pays [8] .

Il est crucial de reconnaître le seuil de signification des signaux de sécurité prioritaires appliqués dans cette étude (LBCI > 1,5). Ce seuil a été sélectionné sur la base de l’avis d’experts au sein du GVDN et des CDC, afin de se concentrer sur les résultats les plus susceptibles d’être de véritables signaux. Certains événements observés, bien que n’atteignant pas ce seuil, peuvent néanmoins avoir une importance clinique et nécessiter des investigations plus approfondies. Par exemple, un PTI avec un ratio OE > 1,0 et un LBCI de 1,2 après vaccination par ChAdOx1 concorde avec les résultats rapportés dans la littérature comme un signal potentiel. Cette concordance est mise en évidence dans une étude menée à Victoria, en Australie, qui a observé un taux de PTI nettement plus élevé que prévu après vaccination par ChAdOx1 [33] .

Français De plus, nous avons observé des risques significativement plus élevés de myocardite après les première, deuxième et troisième doses de BNT162b2 et d’ARNm-1273 ainsi que de péricardite après la première et la quatrième dose d’ARNm-1273, et la troisième dose de ChAdOx1, dans la période à risque de 0 à 42 jours. Les taux élevés de péricardite après la vaccination par ChAdOx1 identifiés dans cette étude reposent sur un nombre limité de décomptes observés dans la méta-analyse. Le large intervalle de confiance souligne l’incertitude substantielle de la caractérisation de la péricardite comme un signal de sécurité après la vaccination par ChAdOx1. Cependant, notre étude confirme les résultats de cas rares de myocardite et de péricardite précédemment identifiés après la première et la deuxième dose de vaccins à ARNm [21] , [22] , [23] , [34] . Une vaste étude de cohorte portant sur 23,1 millions de résidents de quatre pays nordiques a révélé un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans, sur la base de 4 à 7 événements excédentaires en 28 jours pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de BNT162b2, et entre 9 et 28 pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de mRNA-1273 [22] . De même, des études menées en Colombie-Britannique, au Canada, ont signalé que les cas de myocardite étaient plus élevés chez les personnes ayant reçu une deuxième dose par rapport à une troisième dose, et chez celles ayant reçu une deuxième dose du vaccin à ARNm-1273 par rapport au vaccin BNT162b2 [35] , [36] . Patone et al. [37] ont estimé que les événements de myocardite supplémentaires se situaient entre un et 10 par million de personnes au cours du mois suivant la vaccination, ce qui était nettement inférieur aux 40 événements supplémentaires par million de personnes observés après la période d’infection par le SRAS-CoV-2. Une revue systématique d’Alami et al. [38] a conclu que les personnes vaccinées à l’ARNm étaient deux fois plus susceptibles de développer une myocardite/péricardite que les personnes non vaccinées, avec un rapport de taux de 2,05 (IC à 95 % 1,49–2,82). Compte tenu des preuves, l’OMS a publié des directives actualisées concernant ces signaux de sécurité et la vaccination à ARNm contre la COVID-19, et l’EMA a fourni des mises à jour des informations sur le produit pour les vaccins BNT162b2 et ARNm-1273 [21] , [23] . La TGA ainsi que les CDC continuent de surveiller et d’examiner les données sur la myocardite et la péricardite après la vaccination contre la COVID-19. [39] , [40] .

Français Un autre signal de sécurité potentiel a été identifié pour l’ADEM après la première dose du vaccin à ARNm-1273, avec cinq événements observés de plus que prévu sur la base de 1 035 871 personnes-années et 10,5 millions de doses administrées ; cependant, le nombre de cas de cet événement rare était faible et l’intervalle de confiance large, de sorte que les résultats doivent être interprétés avec prudence et confirmés dans de futures études. Bien que certains rapports de cas aient suggéré une association possible entre la vaccination contre la COVID-19 et l’ADEM, il n’y avait pas de tendance cohérente en termes de vaccin ou de moment après la vaccination, et des études épidémiologiques de plus grande envergure n’ont confirmé aucune association potentielle [41] , [42] , [43] , [44] . De plus, les rapports de cas peuvent faire état d’événements fortuits et n’établissent pas d’association ni n’indiquent de causalité, par conséquent des études observationnelles de plus grande envergure sont nécessaires pour approfondir nos résultats. Pour y remédier, une étude de suivi est actuellement menée au sein du GVDN, se concentrant sur un groupe démographique non inclus dans notre analyse. Sur la base des rapports de cas rares d’ADEM à la base de données européenne des effets indésirables suspectés des médicaments, l’EMA a évalué l’association potentielle d’ADEM après la vaccination avec ChAdOx1 [45] . Frontera et al. [46] ont conclu que les risques d’avoir un événement neurologique après une infection aiguë par le SRAS-CoV-2 étaient jusqu’à 617 fois plus élevés qu’après une vaccination contre la COVID, ce qui suggère que les avantages de la vaccination l’emportent largement sur les risques. Un signal de sécurité pour les crises généralisées a été identifié après la vaccination Gamaleya Research Institute/Sputnik, mais le nombre de vaccinations était relativement faible par rapport aux autres vaccins dans cette étude. D’autres études sont nécessaires pour explorer ce signal de sécurité potentiel.

La réalisation d’une analyse de cohorte dans le contexte multi-pays unique du GVDN s’appuie sur un bassin de données vaste et diversifié. L’agrégation de données provenant de plusieurs pays, portant sur plus de 99 millions de personnes vaccinées, a considérablement augmenté la taille de l’échantillon et la puissance statistique par rapport à de nombreuses études de sécurité antérieures. Cela améliore la capacité à détecter les signaux d’innocuité, notamment pour les effets indésirables extrêmement rares, car la taille plus importante de l’échantillon permet une estimation plus précise des taux observés.

Les résultats basés sur des données provenant d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud, ainsi que d’Océanie, offrent une validité externe plus solide, permettant une généralisation plus large des résultats à un éventail plus large de populations et de structures de santé participant au programme mondial de vaccination contre la COVID-19. De plus, les analyses multi-pays facilitent les comparaisons entre des pays ayant des stratégies de vaccination, des caractéristiques démographiques et des systèmes de santé différents, ce qui permet de mieux comprendre l’influence de ces facteurs sur les profils de sécurité vaccinale. Les données utilisées dans notre analyse proviennent de plusieurs bases de données, notamment des bases de données de santé, des registres nationaux de vaccination et des tableaux de bord de vaccination, ce qui permet d’identifier des signaux potentiels de sécurité provenant de diverses sources.

Les résultats de notre étude doivent toutefois être interprétés en tenant compte de multiples limites. Nos analyses impliquent intrinsèquement une hétérogénéité dans la collecte, la qualité et les normes de déclaration des données entre les pays. Ces différences dans les infrastructures de santé et les systèmes de surveillance peuvent introduire des biais et affecter la comparabilité des résultats. Les sites participants des huit pays ont mis en œuvre des stratégies de vaccination variées, notamment en ce qui concerne les types de vaccins, les schémas posologiques et la priorisation des vaccinés. De plus, les analyses multipays sont sensibles aux facteurs de confusion démographiques, tels que les différences dans les conditions de santé préexistantes, les facteurs génétiques , les profils ethniques et les comportements, qu’il n’a pas été possible de prendre en compte dans notre analyse. Nous considérons que notre approche est adaptée à une application à de grands ensembles de données représentant des populations moyennes. Cependant, les taux historiques spécifiques à l’âge et au sexe qui ne sont pas ajustés pour des facteurs tels que les maladies antérieures peuvent ne pas fournir une comparaison pertinente, par exemple, dans les premières phases d’une campagne de vaccination où les personnes présentant des comorbidités ont été vaccinées avant les autres groupes de population.

La sous-déclaration potentielle entre les pays pourrait avoir conduit à une sous-estimation de l’importance des signaux potentiels de sécurité. Il est important de reconnaître le risque de faux négatifs , en particulier lors de la détection d’associations avec des intervalles de confiance inférieurs à 1,5 qui maintiennent une signification statistique. Les signaux de sécurité identifiés dans cette étude doivent être évalués en fonction de leur rareté, de leur gravité et de leur pertinence clinique. De plus, les évaluations globales du rapport bénéfice/risque de la vaccination doivent tenir compte du risque associé à l’infection, car plusieurs études ont démontré un risque plus élevé de développer les événements étudiés, tels que le syndrome de Guillain-Barré (SGB), la myocardite ou l’EMA, après une infection par le SARS-CoV-2 que la vaccination. Enfin, l’utilisation des codes CIM-10 est soumise à des considérations de spécificité et de sensibilité, et son application peut varier selon les pays.

5. ​ Conclusion

Les analyses comparatives observées/attendues dans le contexte multi-pays du GVDN et du projet GCoVS offrent un ensemble de données plus vaste et plus diversifié, une meilleure généralisabilité et une puissance statistique accrue par rapport aux études monocentriques ou régionales. Elles présentent également des défis liés à l’hétérogénéité des données, aux facteurs de confusion démographiques et aux variations des stratégies de vaccination et des systèmes de déclaration. L’implication de chercheurs et de sources de données provenant de diverses régions du monde favorise l’inclusion, réduit les biais potentiels et encourage la collaboration dans la poursuite d’un objectif commun de santé publique. Bien que notre étude ait confirmé des signaux d’innocuité rares identifiés suite à la vaccination contre la COVID-19 et apporté des preuves sur plusieurs autres résultats importants, des investigations complémentaires sont nécessaires pour confirmer les associations et évaluer la signification clinique . Ceci pourrait être abordé en menant des études d’association spécifiques à des résultats individuels en appliquant des méthodologies telles que les séries de cas auto-contrôlées (SCCS) pour valider les associations. [6] .

Clause de non-responsabilité

Toutes les analyses, conclusions, opinions et déclarations sont celles des auteurs et ne représentent pas nécessairement le point de vue officiel des CDC/HHS ou du gouvernement américain, ni leur approbation. Pour plus d’informations, veuillez consulter cdc.gov.

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Certaines parties de ce document sont basées sur des données et/ou des informations compilées et fournies par l’Institut canadien d’information sur la santé et le ministère de la Santé de l’Ontario. Les analyses, conclusions, opinions et déclarations exprimées ici sont celles des auteurs et ne reflètent pas celles des sources de financement ou de données ; aucune approbation n’est prévue ni ne doit être déduite. Certaines parties de ce document sont basées sur des données et/ou des informations fournies par le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique. Toutes les inférences, opinions et conclusions tirées de ce manuscrit sont celles des auteurs et ne reflètent pas les opinions ou les politiques du ou des responsables des données.

Déclaration de financement

Le projet GCoVS est soutenu par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du Département de la Santé et des Services Sociaux des États-Unis (HHS) dans le cadre d’une aide financière d’un montant total de 10 108 491 USD, financée à 100 % par le CDC/HHS .

Le site ontarien contribuant à cette étude a été soutenu par Santé publique Ontario et par l’ ICES , qui est financé par une subvention annuelle du ministère de la Santé de l’Ontario de l’ . JCK est soutenu par une bourse de clinicien-chercheur du département de médecine familiale et communautaire Université de Toronto .

Déclaration de contribution d’auteur Crédit

K. Faksova : Visualisation, Rédaction – brouillon original, Rédaction – révision et édition. D. Walsh : Conservation des données, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Logiciel, Validation, Conceptualisation, Rédaction – révision et édition, Visualisation. Y. Jiang : Conceptualisation, Conservation des données, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Logiciel, Supervision, Validation, Visualisation, Rédaction – révision et édition. J. Griffin : Conceptualisation, Rédaction – révision et édition, Méthodologie. A. Phillips : Conceptualisation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition, Investigation, Validation. A. Gentile : Conservation des données, Investigation, Supervision, Validation. JC Kwong : Conservation des données, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. K. Macartney : Conservation des données, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. M. Naus : Conservation des données, Supervision, Validation, Investigation, Méthodologie. Z. Grange : Conservation des données, Supervision, Validation, Conceptualisation, Investigation, Méthodologie. S. Escolano : Conservation des données, Supervision, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. G. Sepulveda : Conservation des données, Analyse formelle, Logiciel, Validation. A. Shetty : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie. A. Pillsbury : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. C. Sullivan : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. Z. Naveed : Conservation des données, Validation, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. NZ Janjua : Conservation des données, Rédaction – révision et édition. N. Giglio : Conservation des données, Investigation, Méthodologie, Validation. J. Perälä : Conservation des données, Investigation, Méthodologie, Validation. S. Nasreen : Conceptualisation, Conservation des données, Validation, Rédaction – révision et édition. H. Gidding : Conceptualisation, Validation, Rédaction – révision et édition, Investigation, Méthodologie. P. Hovi : Conceptualisation, Validation, Rédaction (révision et correction), Investigation, Méthodologie. T. Vo : Conceptualisation, Validation, Analyse formelle, Investigation, Méthodologie, Rédaction – révision et édition. F. Cui : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation. L. Deng : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. L. Cullen : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. M. Artama : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition. H. Lu : Conservation des données, Analyse formelle, Logiciel, Validation. HJ Clothier : Conceptualisation, Méthodologie, Validation, Rédaction – révision et édition, Conservation des données, Analyse formelle, Administration de projet. K. Batty : Conceptualisation, Méthodologie, Administration de projet, Validation, Rédaction – révision et édition. J. Paynter : Conceptualisation, Méthodologie, Supervision, Conservation des données, Analyse formelle, Rédaction – révision et édition. H. Petousis-Harris : Conceptualisation, Acquisition de financement, Enquête, Méthodologie, Ressources, Supervision, Rédaction – révision et édition, Administration de projet. J. Buttery : Conceptualisation, Acquisition de financement, Investigation, Méthodologie, Ressources, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition, Administration de projet. S. Black : Conceptualisation, Acquisition de financement, Investigation, Méthodologie, Administration de projet, Ressources, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition. A. Hviid : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Supervision, Validation, Rédaction – révision et édition.

Déclaration d’intérêts concurrents

Français Les auteurs déclarent les intérêts financiers/relations personnelles suivants qui peuvent être considérés comme des intérêts concurrents potentiels : Jeffrey C. Kwong rapporte que le soutien financier a été fourni par les Centers for Disease Control and Prevention. Naveed Z. Janjua rapporte que le soutien financier a été fourni par les Centers for Disease Control and Prevention. Anders Hviid rapporte que le soutien financier a été fourni par le Global Vaccine Data Network. Helen Petousis-Harris rapporte que le soutien financier a été fourni par le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande. Steven Black rapporte une relation avec GSK qui comprend : des services de consultation ou de conseil. Jeffrey C. Kwong rapporte une relation avec les Instituts de recherche en santé du Canada qui comprend : des subventions de financement. Jeffrey C. Kwong rapporte une relation avec l’Agence de la santé publique du Canada qui comprend : des subventions de financement. Naveed Z. Janjua rapporte une relation avec AbbVie Inc qui comprend : des services de consultation ou de conseil et des honoraires de conférencier et de conférence. Naveed Z. Janjua rapporte une relation avec Gilead Sciences Inc qui comprend : des honoraires de conférencier et de conférence. Anders Hviid rapporte une relation avec l’Independent Research Fund Denmark qui comprend : des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec la Fondation Lundbeck, notamment des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec la Fondation Novo Nordisk, notamment des subventions de financement. Anders Hviid déclare entretenir des relations avec VAC4EU, notamment des activités de conseil ou de consultation. L’Institut finlandais pour la santé et le bien-être (THL) mène des partenariats public-privé avec des fabricants de vaccins et a reçu des financements de recherche de Sanofi Inc. Petteri Hovi a participé à ces études en tant que chercheur, mais n’a perçu aucune rémunération personnelle. Helen Petousis-Harris a siégé à des comités consultatifs d’experts et a donné des conférences pour Pfizer et GSK. Elle a également reçu des financements de recherche de GSK. Elle n’a perçu aucun honoraire personnel. Si d’autres auteurs sont présents, ils déclarent n’avoir aucun intérêt financier concurrent ni aucune relation personnelle connus qui auraient pu influencer les travaux présentés dans cet article.

Remerciements

Le protocole d’étude des analyses observées et attendues des événements indésirables du vaccin contre la COVID-19 d’intérêt particulier a été développé par le groupe de travail observé et attendu dirigé par Anders Hviid. a, b Les membres du groupe de travail étaient Nelson Aguirre Duarte c , Miia Artama d , Karin Batty et , Steven Black c, f , Hannah Chisholm c , Hazel Clothier g, h, i , Fuqiang Cui j , Lucy Deng k Lucy Cullen l , Heather Gidding k, m, n , Petteri Hovi le , Yannan Jiang c Janine Paynter c , Helen Petousis-Harris c Anastasia Phillips k , John Sluyter c , Thuan Vo faire , et Daniel Walsh c , Éric Weintraub p .

Affiliations aux groupes de travail

a. Statens Serum Institut, Danemark ; b. Université de Copenhague, Danemark ; c. Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande ; d. Université de Tampere, Finlande ; e. Auckland UniServices Limited à l’Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande ; f. Université de Cincinnati et Hôpital pour enfants, États-Unis ; g. Département de la santé de Victoria, Australie ; h. Institut de recherche pour enfants Murdoch, Australie ; i. Centre d’analyse de la santé, Campus pour enfants de Melbourne, Australie ; j. Université de Pékin, Pékin, Chine ; k. Centre national de recherche sur l’immunisation et de surveillance des maladies évitables par la vaccination, Australie ; l. Public Health Scotland, Glasgow, Écosse, Royaume-Uni ; m. Institut Kolling, District sanitaire local de Northern Sydney, Australie ; n. École clinique du Nord de l’Université de Sydney, Australie ; o. Institut finlandais pour la santé et le bien-être, Finlande ; p. Vaccine Safety Datalink, Centres pour le contrôle et la prévention des maladies.

Les personnes suivantes ont contribué en tant que responsables de site du GVDN : Anders Hviid (Danemark) ; Angela Gentile (Argentine) ; Sylvie Escolano (France) ; Eero Poukka (Finlande) ; Jeffrey C. Kwong (Ontario, Canada) ; Kristine Macartney (Nouvelle-Galles du Sud, Australie) ; Jim Buttery (Victoria, Australie) ; Monika Naus (Colombie-Britannique, Canada) ; Zoe Grange (Écosse) ; et Helen Petousis-Harris (Nouvelle-Zélande).

Les personnes suivantes ont contribué en tant qu’enquêteurs du site GVDN : Gonzalo Sepulveda et Aishwarya Shetty (Victoria, Australie) ; Alexis Pillsbury (Nouvelle-Galles du Sud, Australie) ; Christopher Sullivan (Écosse) ; Naveed Zaeema (Colombie-Britannique, Canada) ; Norberto Giglio (Argentine) ; Jori Perälä (Finlande) ; Sharifa   Nasreen (Ontario, Canada) ; Han Lu (Nouvelle-Zélande).

Annexe A. Matériel supplémentaire

Voici les données supplémentaires à cet article :

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Données supplémentaires 1 .

Disponibilité des données

Les auteurs n’ont pas l’autorisation de partager les données.

Références

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Pétition « LIBÉREZ Reiner Fuellmich »

Demande de traitement humain et de libération immédiate du Dr Reiner Füellmich.
La communauté internationale des signataires de cette déclaration de soutien exige la libération immédiate du Dr Reiner Füellmich, avocat et principal critique des mesures COVID-19, emprisonné depuis octobre 2023.

Pour signer la pétition : https://www.freereinerfuellmich.org/

Le Dr Reiner Füelmich est en détention provisoire depuis octobre 2023. Il a été arrêté dans des circonstances douteuses à l’aéroport de Francfort le 13 octobre 2023.

L’affaire du Dr Füellmich a soulevé de sérieuses inquiétudes quant à la légalité de sa détention et à l’intégrité du processus judiciaire. Des 18 chefs d’accusation initiaux contre Füellmich, il n’en reste plus qu’un, relatif à des prêts personnels.

En vertu du droit allemand, la durée maximale de la détention provisoire est de six mois, comme décrit dans l’article 121, paragraphe 1, du Code de procédure pénale allemand (StPO). « Les raisons particulières ou importantes justifiant une prolongation de la détention provisoire au-delà de six mois ne sont pas claires. » Cette réclamation souligne la nécessité urgente de réévaluer la détention continue du Dr Fuel me.

Le Dr Füellmich est actuellement détenu à la prison de Rosdorf près de Göttingen, où il est détenu dans des conditions difficiles et isolées. Il est séparé des autres prisonniers, n’a droit qu’à un temps d’isolement dans la cour et sa communication avec le monde extérieur est limitée à seulement trois heures de visites privées par mois.

Cet environnement punitif soulève d’autres questions quant au traitement des personnes en détention provisoire, notamment compte tenu du manque de preuves substantielles justifiant de telles mesures.

Le 11 juin, Reiner Füellmich a de nouveau été placé à l’isolement, un statut qu’il continue de maintenir. Cet isolement signifie qu’il lui est interdit d’avoir des contacts avec d’autres détenus. Les autorités ont justifié cette mesure extrême en affirmant que Füellmich avait fourni des conseils juridiques à ses codétenus, une situation jugée inacceptable par les responsables de sa détention. Füellmich doit manger de manière isolée et n’a droit qu’à une heure par jour pour des activités de plein air, qu’il doit également passer dans une solitude totale. Il n’a pas accès à la salle de sport et ne peut utiliser le téléphone qu’une fois que les autres détenus sont rentrés dans leurs cellules. Ce régime strict souligne la gravité de son internement et des restrictions qui lui sont imposées.

Les accusations portées contre le Dr Füellmich incluent le détournement de fonds, mais de nombreux observateurs, y compris sa défense, soutiennent que ce procès va au-delà des procédures judiciaires ordinaires et est devenu une tentative politiquement motivée de faire taire un éminent critique des mesures COVID-19. Le procès a révélé des changements inquiétants dans les paramètres juridiques, compliquant davantage l’affaire et portant atteinte aux principes de justice.

À la lumière de ces graves allégations et du mépris apparent de la procédure régulière, les signataires de cette pétition demandent la libération immédiate du Dr Reiner Füellmich.

Cette situation ne touche pas seulement un individu, mais constitue également un rappel brutal du potentiel d’influence politique qui peut pénétrer le système judiciaire, sapant ainsi les fondements de la justice et de l’équité.

Alors que le mouvement international pour la liberté observe attentivement la situation, il est essentiel que justice soit faite et que le Dr Füellmich reçoive la liberté qu’il mérite – une liberté qui est essentielle non seulement pour lui, mais aussi pour l’intégrité du système judiciaire lui-même.

Les signatures de cette pétition seront remises à Reiner Fuellmich (ou à son avocat) et au tribunal pour montrer que Reiner Fuellmich n’est pas seul.

Cette remise se fera sur papier (et non numériquement) et ne comportera que les initiales et le nom de famille et sans adresse e-mail.

Merci pour votre soutien.

Équipe Free Reiner Fuellmich

Pétition « LIBÉREZ Reiner Fuellmich » Lire la suite »

Revue systématique des résultats d’autopsie sur les décès après vaccination contre la COVID-19

Source : publichealthpolicyjournal.com

Abstrait


Contexte : Le développement rapide des vaccins contre la COVID-19, combiné à un nombre élevé de rapports d’effets indésirables, a suscité des inquiétudes quant aux mécanismes possibles de lésions, notamment la distribution systémique des nanoparticules lipidiques (LNP) et de l’ARNm, les lésions tissulaires associées à la protéine Spike, la thrombogénicité, le dysfonctionnement du système immunitaire et la cancérogénicité. L’objectif de cette revue systématique est d’étudier les liens de causalité possibles entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et le décès, en utilisant des autopsies et des analyses post-mortem.
Méthodes : Nous avons recherché dans PubMed et ScienceDirect tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organes publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai. ème , 2023. Toutes les études d’autopsie et d’autopsie restreinte à des organes incluant la vaccination contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été incluses. L’état des connaissances ayant progressé depuis les publications originales, trois médecins ont examiné chaque cas de manière indépendante et déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès.
Résultats : Nous avons initialement identifié 678 études et, après sélection de nos critères d’inclusion, nous avons inclus 44 articles contenant 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur). L’âge moyen du décès était de 70,4 ans. Le système organique le plus impliqué parmi les cas était le système cardiovasculaire (49 %), suivi par le système hématologique (17 %), le système respiratoire (11 %) et plusieurs systèmes organiques (7 %). Trois systèmes organiques ou plus étaient touchés dans 21 cas. Le délai moyen entre la vaccination et le décès était de 14,3 jours. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin. Au total, 240 décès (73,9 %) ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus ou significativement contribués par la vaccination contre la COVID-19, dont les principales causes de décès comprennent la mort cardiaque subite (35 %), l’embolie pulmonaire (12,5 %), l’infarctus du myocarde (12 %), le VITT (7,9 %), la myocardite (7,1 %), le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %) et l’hémorragie cérébrale (3,8 %).
Conclusions : La concordance observée entre les cas de cette revue et les mécanismes connus de lésions et de décès liés aux vaccins contre la COVID-19, ainsi que la confirmation de l’autopsie par un médecin, suggèrent une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une enquête plus approfondie est nécessaire de toute urgence afin de clarifier nos conclusions.

Introduction


Au 31 mai St En 2023, le SRAS-CoV-2 a infecté environ 767 364 883 personnes dans le monde, entraînant 6 938 353 décès selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) [1]. Ces chiffres officiels sont probablement exagérés en raison de l’utilisation généralisée de la RT-PCR quantitative (RT-qPCR) avec des seuils de cycles arbitrairement élevés comme base du diagnostic de la COVID-19 [2]. En réponse directe à cette catastrophe mondiale, les gouvernements ont adopté une approche coordonnée pour limiter le nombre de cas et la mortalité en combinant des interventions non pharmaceutiques (INP) et de nouvelles plateformes vaccinales basées sur les gènes. Les premières doses de vaccin ont été administrées moins de 11 mois après l’identification de la séquence génétique du SRAS-CoV-2 (aux États-Unis, dans le cadre de l’initiative Operation Warp Speed), ce qui a représenté le développement vaccinal le plus rapide de l’histoire, avec des garanties limitées de sécurité à long terme [3]. Au 31 mai St En 2023, environ 69 % de la population mondiale a reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 [1].

Français Certaines des plateformes vaccinales COVID-19 utilisées comprennent le virus inactivé (Sinovac – CoronaVac), la sous-unité protéique (Novavax – NVX-CoV2373), le vecteur viral (AstraZeneca – ChAdOx1 nCoV-19, Johnson & Johnson – Ad26.COV2.S) et l’ARN messager (Pfizer-BioNTech – BNT162b2, Moderna – ARNm-1273)[4]. Tous utilisent des mécanismes qui peuvent provoquer des effets indésirables graves ; la plupart impliquent la synthèse incontrôlée de la glycoprotéine Spike comme base de la réponse immunologique. La protéine Spike circulante est le mécanisme délétère probable par lequel les vaccins COVID-19 produisent des effets indésirables [5-9,12,13]. La protéine Spike et/ou les sous-unités/fragments peptidiques peuvent déclencher la dégradation du récepteur ACE2 et la déstabilisation du système rénine-angiotensine (SRA), entraînant une thrombose sévère [5]. Français La protéine Spike active les plaquettes, provoque des lésions endothéliales et favorise directement la thrombose [6]. De plus, les cellules du système immunitaire qui absorbent les nanoparticules lipidiques (LNP) des vaccins contre la COVID-19 peuvent ensuite distribuer systémiquement la protéine Spike et les microARN via les exosomes, ce qui peut entraîner de graves conséquences inflammatoires [6]. De plus, le contrôle du cancer à long terme peut être compromis chez les personnes injectées avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 en raison du dérèglement du facteur de régulation de l’interféron (IRF) et du gène suppresseur de tumeur [6]. De plus, un lien de causalité possible entre les vaccins contre la COVID-19 et diverses maladies a été établi, notamment les troubles neurologiques, la myocardite, les déficits plaquettaires sanguins, les maladies du foie, l’affaiblissement de l’adaptabilité immunitaire et le développement du cancer [6]. Ces résultats sont corroborés par la découverte que la vaccination récurrente contre la COVID-19 avec des vaccins génétiques peut déclencher des niveaux anormalement élevés d’anticorps IgG4, ce qui peut entraîner un dérèglement du système immunitaire et contribuer à l’émergence de maladies auto-immunes, de myocardite et de croissance cancéreuse [7].

Français Les effets neurotoxiques de la protéine Spike peuvent causer ou contribuer au syndrome post-COVID, notamment des céphalées, des acouphènes, un dysfonctionnement autonome et une neuropathie des petites fibres [8]. Spécifique à l’administration de vaccins à vecteur viral contre la COVID-19 (AstraZeneca ; Johnson et Johnson), un nouveau syndrome clinique appelé thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) a été identifié en 2021 et caractérisé par le développement de thromboses à des sites corporels atypiques associé à une thrombocytopénie sévère après la vaccination [10]. La pathogenèse de cet effet secondaire potentiellement mortel est actuellement inconnue, bien qu’il ait été suggéré que la TTIV soit causée par des anticorps post-vaccination contre le facteur plaquettaire 4 (PF4) déclenchant une activation plaquettaire importante [10]. Les vaccins à base d’ARNm provoquent rarement une TTIV, mais ils sont associés à une myocardite, ou inflammation du myocarde [11]. Français Les mécanismes de développement de la myocardite après la vaccination contre la COVID-19 ne sont pas clairs, mais on a émis l’hypothèse qu’elle pourrait être causée par le mimétisme moléculaire de la protéine Spike et des auto-antigènes, la réponse immunitaire à l’ARNm et une expression dérégulée des cytokines [11]. Chez les adolescents et les jeunes adultes diagnostiqués avec une myocardite post-vaccinale à ARNm, la protéine Spike libre a été détectée dans le sang tandis que les témoins vaccinés n’avaient pas de protéine Spike circulante [12]. Il a été démontré que les séquences d’ARNm du vaccin contre le SARS-CoV-2 Spike peuvent circuler dans le sang jusqu’à 28 jours après la vaccination [13]. Cependant, les auteurs n’ont pas mesuré l’ARNm du vaccin au-delà de 28 jours. Ces données indiquent que des événements indésirables peuvent survenir pendant une période inconnue après la vaccination, la protéine Spike jouant un rôle étiologique potentiel important.

Parry et al. ont démontré la distribution systémique des LNP contenant de l’ARNm après l’administration du vaccin chez le rat, concluant que les LNP atteignaient leur concentration la plus élevée au site d’injection, suivi du foie, de la rate, des glandes surrénales, des ovaires (femelles) et de la moelle osseuse (fémur) sur 48 heures [14]. De plus, des LNP ont été détectés dans le cerveau, le cœur, les yeux, les poumons, les reins, la vessie, l’intestin grêle, l’estomac, les testicules (mâles), la prostate (mâles), l’utérus (femelles), la thyroïde, la moelle épinière et le sang [14]. Ces données de biodistribution suggèrent que la protéine Spike pourrait être exprimée dans les cellules de nombreux systèmes d’organes vitaux, soulevant des inquiétudes importantes quant au profil de sécurité des vaccins contre la COVID-19. Compte tenu des syndromes de vaccination identifiés et de leurs mécanismes possibles, la fréquence des rapports d’événements indésirables devrait être élevée, en particulier compte tenu du grand nombre de doses de vaccin administrées dans le monde.

Jusqu’au 31 mai St Français En 2024, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) contenait 1 640 416 rapports d’événements indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19, dont 37 647 décès, 28 445 myocardites et péricardites, 21 741 crises cardiaques et 9 218 rapports de thrombocytopénie [15]. Si la vaccination contre la COVID-19 est effectivement un déterminant du nombre alarmant de décès signalés, les implications pourraient être immenses, notamment : le retrait complet de tous les vaccins contre la COVID-19 du marché mondial, la suspension de tous les mandats et passeports vaccinaux contre la COVID-19 restants, la perte de confiance du public dans le gouvernement et les institutions médicales, des enquêtes et des investigations sur la censure, le silence et la persécution des médecins et des scientifiques qui ont soulevé ces préoccupations, et une indemnisation pour ceux qui ont été lésés à la suite de l’administration des vaccins contre la COVID-19. Cependant, il n’est pas possible d’utiliser uniquement les données du VAERS pour établir un lien direct entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès en raison de nombreuses limitations et facteurs de confusion.

En 2021, Walach et al. ont indiqué que chaque décès après la vaccination contre la COVID-19 devrait faire l’objet d’une autopsie afin d’étudier les mécanismes de préjudice [16]. Les autopsies sont l’un des outils de diagnostic les plus puissants en médecine pour établir la cause du décès et clarifier la physiopathologie de la maladie [17]. Les vaccins contre la COVID-19, avec des mécanismes plausibles de lésion du corps humain et un nombre substantiel de rapports d’événements indésirables, représentent une exposition qui peut être liée de manière causale au décès dans certains cas. L’objectif de cette revue systématique est d’étudier les liens de causalité possibles entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et le décès à l’aide d’analyses post-mortem, y compris des autopsies.

Méthodes


Sources de données et stratégie de recherche

Nous avons effectué une revue systématique de tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organe publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai. ème , 2023. Nous avons utilisé la déclaration PRISMA (Preferred Reporting Items for Systematic Review and Meta-Analysis Protocols) [18] afin de limiter les biais de sélection des études et de garantir la transparence et l’exhaustivité des rapports. Les bases de données suivantes ont été utilisées : PubMed et ScienceDirect. Les mots-clés suivants ont été utilisés : « Vaccin contre la COVID-19 », « Vaccin contre le SARS-CoV-2 » ou « Vaccination contre la COVID » et « Post-mortem » ou « Autopsie ». Toutes les combinaisons de mots-clés possibles ont été recherchées manuellement. La recherche n’était limitée à aucune langue. Toutes les études sélectionnées ont été examinées pour la littérature pertinente contenue dans leurs références.

Critères d’éligibilité et processus de sélection

Tous les articles originaux, essais cliniques randomisés, rapports de cas et séries de cas contenant des résultats d’autopsie ou d’autopsie restreinte à un organe (analyse macroscopique et histologique d’un seul organe) avec des vaccins contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été inclus. Les articles de synthèse, les revues systématiques, les méta-analyses, les articles sans résultats d’autopsie ou d’autopsie restreinte à un organe, les études non humaines et les articles sans statut vaccinal COVID-19 déclaré ont été exclus. Les conclusions des auteurs n’ont pas été prises en compte pour l’inclusion de l’étude afin d’éviter tout biais. Deux auteurs (NH et PAM) ont examiné indépendamment le texte intégral de toutes les études récupérées afin d’évaluer leur éligibilité à l’inclusion et ont supprimé toutes les études inéligibles/en double. Tout désaccord concernant l’inclusion d’un article a été résolu par discussion jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé.

Extraction et analyse des données

Français À partir des études sélectionnées, deux auteurs (NH et PAM) ont extrait indépendamment les données suivantes dans Microsoft Excel : année de publication, pays où l’étude a été menée et toutes les informations individuelles disponibles sur les cas (âge, sexe, marque du vaccin COVID-19, nombre cumulé de doses de vaccin COVID-19 administrées, jours entre la dernière administration du vaccin COVID-19 et le décès, constatations post-mortem et type de procédure post-mortem). Toute divergence dans les données a été résolue par discussion et réextraction des données. Étant donné la présence de certaines données manquantes, toutes les informations disponibles ont été utilisées pour calculer des statistiques descriptives. L’âge estimé (âge exact non indiqué) et le temps déduit entre la dernière administration du vaccin et le décès (pas de temps définitif indiqué) ont été exclus des calculs et des chiffres. Étant donné que les connaissances concernant la sécurité du vaccin contre la COVID-19 ont progressé depuis les publications originales, nous avons réalisé une revue contemporaine : trois médecins experts (RH, WM, PAM) expérimentés en matière de jugement de décès et d’anatomopathologie clinique ont examiné de manière indépendante les données disponibles pour chaque cas (tableau S1), notamment les informations démographiques, la vignette clinique, les données de vaccination, les résultats d’autopsie macroscopique et histologique, et ont déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou contribuait significativement au mécanisme de décès décrit. Les médecins ont évalué les relations temporelles, la solidité des preuves et la cohérence des résultats avec caractéristiques rapportées et présentations courantes des décès associés au vaccin contre la COVID-19 documentés dans le VAERS [15], ainsi que d’autres étiologies potentielles pour statuer sur chaque cas. Un accord était atteint lorsque deux médecins ou plus jugeaient un cas de manière concordante. Pour l’étude de Chaves [23], seuls les cas liés aux systèmes cardiovasculaire et hématologique ont été jugés comme étant liés au vaccin en raison d’une forte probabilité que la vaccination contre la COVID-19 ait contribué au décès. Cette évaluation de haute probabilité a été étayée par l’évaluation de cas similaires documentés dans le VAERS, où les événements indésirables cardiovasculaires et hématologiques représentent une part importante des rapports d’événements indésirables graves [15]. Les informations sur les cas individuels manquaient pour les autres cas, limitant la décision pour les résultats non cardiovasculaires ou hématologiques.

Résultats


Une recherche dans la base de données a permis de recenser 678 études susceptibles de répondre à nos critères d’inclusion. 562 doublons ont été éliminés. Sur les 116 articles restants, 36 répondaient à nos critères d’inclusion. Une analyse plus approfondie des références nous a permis d’identifier 18 articles supplémentaires, dont 8 répondaient à nos critères d’inclusion. Au total, nous avons identifié 44 études contenant des rapports d’autopsie ou d’autopsie restreinte d’organes de personnes vaccinées contre la COVID-19 (figure 1).

Figure 1.

Diagramme de flux des éléments de rapport préférés pour les revues systématiques et les méta-analyses (PRISMA) détaillant le processus de sélection des études

Le tableau 1 résume les 44 études [19-62], qui comprennent un total de 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur). L’âge moyen au décès était de 70,4 ans et il y avait 139 femmes (42,6 %). La plupart ont reçu un vaccin Pfizer/BioNTech (41 %), suivi de Sinovac (37 %), AstraZeneca (13 %), Moderna (7 %), Johnson & Johnson (1 %) et Sinopharm (1 %).

Tableau 1.

Caractéristiques des études d’autopsie incluse et d’autopsie restreinte aux organes examinant les décès potentiels liés au vaccin contre la COVID-19.
*Cas = Nombre de décès examinés post-mortem.
**Dose = Nombre cumulé de doses de vaccin reçues.
***Période = Temps (en jours) entre l’administration du vaccin le plus récent et le décès.
~= Période déduite (Période estimée en utilisant toutes les informations disponibles, période définitive non donnée).
Abréviations : MIS = Syndrome inflammatoire multisystémique ; SCD = Mort subite d’origine cardiaque ; IM = Infarctus du myocarde ; EP = Embolie pulmonaire ; AZ = AstraZeneca ; J&J = Johnson and Johnson ; VITT = Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ; ADEM = Encéphalomyélite aiguë disséminée ; SCLS = Syndrome de fuite capillaire systémique ; SGB = Syndrome de Guillain-Barré ; MAT = Microangiopathies thrombotiques ; VI-ARDS = Syndrome de détresse respiratoire aiguë induit par le vaccin ; UIP = Pneumonie interstitielle usuelle.

Tableau 1.

suite.

Le système cardiovasculaire était le plus fréquemment atteint (49 %), suivi des systèmes hématologiques (17 %), respiratoires (11 %), multiviscéral (7 %), neurologiques (4 %), immunologiques (4 %) et gastro-intestinaux (1 %). Dans 7 % des cas, la cause du décès était soit inconnue, soit non naturelle (noyade, traumatisme crânien, etc.) ou infectieuse (figure 2). Un seul système organique était touché dans 302 cas, deux dans 3 cas, trois dans 8 cas et quatre ou plus dans 13 cas (figure 3).

Figure 2.

Proportion de cas par système organique affecté

Figure 3.

Nombre de systèmes d’organes affectés par cas

Le tableau 2 montre le nombre et la proportion de chaque cause de décès déclarée. La mort cardiaque subite était la cause de décès la plus fréquente (21,2 %), suivie de l’infarctus du myocarde (9,5 %), de l’embolie pulmonaire (9,5 %), de la cardiopathie ischémique (6,8 %), de la TTIV (5,8 %), de la pneumonie COVID-19 (5,8 %), de la myocardite/péricardite (5,5 %), de l’hémorragie cérébrale/sous-arachnoïdienne (2,8 %), de la coronaropathie (2,5 %), de l’insuffisance respiratoire (2,5 %) et de l’hémorragie inexpliquée (2,5 %).

Tableau 2.

Nombre et proportion de causes de décès signalées parmi les cas inclus

Tableau 2.

Suite

Le nombre de jours écoulés entre la vaccination et le décès était de 14,3 (moyenne), 3 (médiane) quelle que soit la dose ; 7,8 (moyenne), 3 (médiane) après une dose ; 23,2 (moyenne), 2 (médiane) après deux doses ; et 5,7 (moyenne), 2 (médiane) après trois doses. La distribution des jours écoulés entre la dernière administration du vaccin et le décès est fortement asymétrique à droite, ce qui montre que la plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière vaccination (figure 4).

Figure 4.

Répartition du temps écoulé entre la dernière administration du vaccin et le décès parmi les cas

Français 240 décès (73,9 %) ont été jugés indépendamment par trois médecins comme étant significativement liés à la vaccination contre la COVID-19 (tableau S1). Parmi les évaluateurs, il y avait un accord indépendant complet (les trois médecins) sur le fait que la vaccination contre la COVID-19 a contribué au décès dans 203 cas (62,5 %). Le seul cas d’autopsie restreinte d’organe a été jugé comme étant lié à la vaccination avec un accord complet. Parmi les 240 décès qui ont été jugés comme étant significativement liés à la vaccination contre la COVID-19, la plupart ont reçu un vaccin Sinovac (46,3 %), suivi de Pfizer (30,1 %), AstraZeneca (14,6 %), Moderna (7,5 %), Johnson & Johnson (1,3 %), et Sinopharm (0,8 %) ; l’âge moyen du décès était de 55,8 ans ; le nombre de jours entre la vaccination et le décès était de 11,3 (moyenne), 3 (médiane) quelle que soit la dose ; et les principales causes de décès comprennent la mort cardiaque subite (35 %), l’embolie pulmonaire (12,5 %), l’infarctus du myocarde (12 %), le VITT (7,9 %), la myocardite (7,1 %), le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %) et l’hémorragie cérébrale (3,8 %).

Discussion


Français Parmi tous les rapports d’autopsie publiés concernant la vaccination contre la COVID-19, nous avons constaté, par une décision indépendante, que 73,9 % des décès étaient attribuables à des syndromes mortels de lésions vaccinales contre la COVID-19 (Tableau S1). Le système cardiovasculaire était de loin le système organique le plus impliqué dans le décès, suivi des systèmes hématologique, respiratoire, multiviscéral, neurologique, immunologique et gastro-intestinal (Figure 2), avec trois systèmes organiques ou plus touchés dans 21 cas (Figure 3). La mort cardiaque subite, l’infarctus du myocarde, la myocardite, la péricardite, l’embolie pulmonaire, la TTIV, l’hémorragie cérébrale, la défaillance multiviscérale, l’insuffisance respiratoire et l’orage cytokinique étaient les causes de décès signalées dans la majorité des cas (Tableau 2). La majorité des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin (Figure 4). Ces résultats corroborent les syndromes connus induits par le vaccin contre la COVID-19 et montrent des associations temporelles significatives entre la vaccination contre la COVID-19 et les décès impliquant plusieurs systèmes organiques, avec une implication prédominante des systèmes cardiovasculaire et hématologique. Les critères de causalité d’un point de vue épidémiologique ont été respectés, notamment la plausibilité biologique, l’association temporelle, la validité interne et externe, la cohérence, l’analogie et la reproductibilité avec chaque rapport de cas successif de décès après la vaccination contre la COVID-19 combiné à des études basées sur la population décrivant la mortalité parmi les vaccinés.

Français Nos résultats amplifient les inquiétudes concernant les effets indésirables du vaccin COVID-19 et leurs mécanismes. La myocardite induite par le vaccin COVID-19 [11,63,64] et l’infarctus du myocarde [65,66] ont été significativement bien décrits dans la littérature évaluée par des pairs, expliquant la proportion élevée de décès cardiovasculaires observés dans notre étude. Les effets délétères de la protéine Spike [5-9,14], en particulier sur le cœur [12,67], corroborent davantage ces résultats. Nos résultats mettent également en évidence l’implication de plusieurs systèmes d’organes décrite comme un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS) signalé après la vaccination COVID-19 chez les enfants [68] et les adultes [69]. Un mécanisme possible par lequel le MIS se produit après la vaccination pourrait être la distribution systémique des LNP contenant de l’ARNm après l’administration du vaccin [14] et l’expression et la circulation systémiques de la protéine Spike qui en résultent, entraînant une inflammation à l’échelle du système. Français Une proportion significative de cas était due à des événements indésirables du système hématologique, ce qui n’est pas surprenant étant donné que la TTIV [70] et l’embolie pulmonaire (EP) [71] ont été rapportées dans la littérature comme des événements indésirables graves après la vaccination contre la COVID-19. Les décès causés par des effets indésirables sur le système respiratoire étaient également relativement fréquents dans notre revue, une constatation qui concorde avec la possibilité de développer un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ou une maladie pulmonaire interstitielle induite par les médicaments (DIILD) après la vaccination contre la COVID-19 [72,73]. Bien que rares parmi les cas de cette étude, des événements indésirables immunologiques [74], neurologiques [75] et gastro-intestinaux [76] peuvent toujours survenir après la vaccination contre la COVID-19 et, comme pour le système cardiovasculaire, peuvent être directement ou indirectement causés par l’expression ou la circulation systémique de la protéine Spike. Compte tenu du délai moyen (14,3 jours) de décès après la vaccination, l’association temporelle entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès dans la plupart des cas est renforcée par la découverte que les séquences d’ARNm Spike du vaccin contre le SRAS-CoV-2 peuvent circuler dans le sang pendant au moins 28 jours après la vaccination [13]. La plupart des plateformes vaccinales déployées sont associées au décès, ce qui suggère qu’elles partagent une caractéristique commune à l’origine d’effets indésirables, qui est très probablement la protéine Spike.

Français Le grand nombre de décès induits par le vaccin contre la COVID-19 évalués dans cette revue est cohérent avec de nombreux articles qui font état d’une surmortalité après la vaccination contre la COVID-19. Pantazatos et Seligmann ont constaté que la mortalité toutes causes confondues augmentait de 0 à 5 semaines après l’injection dans la plupart des groupes d’âge, entraînant 146 000 à 187 000 décès associés au vaccin aux États-Unis entre février et août 2021 [77]. Avec des conclusions similaires, Skidmore a estimé que 278 000 personnes pourraient être décédées des suites du vaccin contre la COVID-19 aux États-Unis d’ici décembre 2021 [78]. Ces résultats inquiétants ont été davantage élucidés par Aarstad et Kvitastein, qui ont constaté que parmi 31 pays d’Europe, une plus forte couverture vaccinale contre la COVID-19 au sein de la population en 2021 était positivement corrélée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues au cours des neuf premiers mois de 2022 après contrôle des variables alternatives [79]. Depuis le lancement de la campagne mondiale de vaccination contre la COVID-19, une surmortalité non liée à la COVID-19 a été détectée dans de nombreux pays [80-85], suggérant une exposition indésirable fréquente au sein de la population mondiale. Pantazatos a estimé que les décès selon le VAERS sont sous-déclarés d’un facteur 20 [77]. Si l’on applique ce facteur de sous-déclaration au 5 mai ème En 2023, le rapport VAERS sur les décès liés au vaccin contre la COVID-19 s’élève à 35 324 [15], soit environ 706 480 décès aux États-Unis et dans les autres pays utilisant le VAERS. Si ce nombre de décès extrapolé était exact, cela impliquerait que les vaccins contre la COVID-19 contribuent à la surmortalité au sein des populations.

Plusieurs études ont analysé la relation de cause à effet entre les vaccins contre la COVID-19 et les décès. Maiese et al. [86] et Sessa et al. [87] ont utilisé les conclusions de leurs études incluses pour évaluer la relation de cause à effet entre la vaccination contre la COVID-19 et les décès. Dans ces études, ils ont constaté respectivement 14 et 15 décès avec un lien de cause à effet démontré avec la vaccination contre la COVID-19. Cependant, la méthodologie de collecte des conclusions utilisée dans ces études est défectueuse pour évaluer pleinement les liens de cause à effet à l’heure actuelle, en particulier avec les vaccins contre la COVID-19, car il s’agit de nouveaux produits médicaux et de nouvelles données de sécurité sont inévitables à mesure que le temps avance. Le délai moyen pour une évaluation appropriée de la sécurité et de l’efficacité d’un vaccin est d’environ 10,71 ans [88]. Par conséquent, la méthodologie de collecte des conclusions ne devrait être envisagée que pour les études publiées au moins quelques années après le développement du vaccin afin de conserver des conclusions valides. Français Par exemple, un article publié en 2021 indique que les vaccins AstraZeneca sont sûrs et n’ont aucun lien avec des événements indésirables graves, y compris la TTIV [89]. Cependant, après une période d’observation plus longue, d’autres chercheurs ont trouvé un lien entre les vaccins AstraZeneca et la TTIV mortelle [70, 90], ce qui a entraîné un retrait généralisé du marché [91]. Pomara et al. [37] ont utilisé les lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé sur les événements indésirables suivant la vaccination (EIPV) qui, selon nous, constituent une excellente méthode pour évaluer la causalité entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès. Dans cet article, les chercheurs ont conclu qu’il pourrait exister un lien de causalité entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès par TTIV. Malheureusement, nous n’avons pas pu utiliser correctement la méthodologie de l’OMS sur les EIPV et compléter la liste de contrôle requise pour nos cas inclus en raison du manque d’informations nécessaires sur les cas. Cette méthodologie nécessite des sujets décédés, des données détaillées et l’approbation du comité d’éthique de la recherche (IRB) et ne peut pas être utilisée dans une revue systématique. Tan et al. [92] ont utilisé des statistiques d’incidence pour analyser la relation entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès, et ont constaté une incidence plus élevée d’effets secondaires graves par rapport aux essais cliniques préalables à l’homologation. Cette méthode n’est pas applicable à notre étude car les rapports d’autopsie inclus ne présentent pas de statistiques d’incidence. Étant donné que les méthodologies susmentionnées se sont avérées incompatibles avec notre étude, nous avons décidé d’utiliser des procédures d’adjudication dirigées par des professionnels de la santé ayant une expertise pertinente pour déterminer les liens possibles entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une méthodologie d’adjudication indépendante a été utilisée par Hulscher et al. [93] pour évaluer les liens de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès, où ils ont trouvé un lien de causalité hautement probable entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès par myocardite dans 28 cas d’autopsie.

Français De nombreuses études ont conclu que les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et efficaces [94-96]. Cependant, de nombreuses études ont démontré le contraire [97-102]. L’étude OpenSAFELY, qui a inclus plus d’un million d’adolescents et d’enfants, a démontré une efficacité extrêmement limitée et des dommages accrus liés à la vaccination contre la COVID-19. La myocardite et la péricardite n’ont été documentées que dans les groupes vaccinés contre la COVID-19 et non après l’infection par la COVID-19, et les accidents et les visites aux urgences, ainsi que les hospitalisations non planifiées étaient plus élevés après la première vaccination que dans les groupes non vaccinés [97]. De plus, Alessandria et al. ont constaté que les risques de décès toutes causes confondues étaient plus élevés chez les personnes vaccinées avec une et deux doses de vaccin contre la COVID-19 que chez les personnes non vaccinées et que les doses de rappel étaient inefficaces [98]. Ils ont également démontré une perte d’espérance de vie statistiquement significative chez les personnes vaccinées avec 2 ou 3/4 doses. Les sujets vaccinés avec 2 doses ont perdu 37 % de leur espérance de vie par rapport à la population non vaccinée pendant le suivi [98]. Français Les rapports publiés des essais randomisés contrôlés par placebo initiaux ont conclu que la vaccination contre la COVID-19 pourrait réduire considérablement la maladie ambulatoire de la COVID-19 [94, 95]. Cependant, Mead et al. ont souligné que les essais étaient de courte durée, empêchant l’observation d’événements indésirables potentiels après leur arrêt. Des inquiétudes post-autorisation concernant les méthodes et l’exécution des essais ont fait surface, notamment le non-respect des principes d’intention de traiter entraînant une surestimation de l’efficacité [99]. Des réanalyses ultérieures incluant des études de surveillance post-commercialisation ont indiqué des dommages importants liés à l’ARNm, comme le rapportent les documents de Pfizer révélant 1,6 million d’événements indésirables d’ici août 2022, décrivant des blessures graves et une incidence accrue de cancer [99]. À la lumière de l’émergence continue de données sur la sécurité et l’efficacité de la vaccination contre la COVID-19, des recherches supplémentaires sont essentielles. Notre étude apporte une contribution médico-légale significative à la compréhension du profil de sécurité de ces produits.

Notre étude présente toutes les limites des biais liés à la sélection des articles et à l’évaluation indépendante des cas. Trois évaluateurs indépendants ont évalué les informations relatives aux cas afin d’éviter toute influence des biais des investigateurs ou de leurs liens, le cas échéant, avec la vaccination contre la COVID-19. Les conclusions que nous avons tirées des résultats d’autopsie reposent sur l’évolution des connaissances sur les vaccins contre la COVID-19, qui diffère sensiblement de la date de publication des études référencées, rendant toute évaluation des biais pour ces études inapplicable. Nous avons inclus tous les cas, quel que soit le résultat de l’évaluation, dans les figures et les tableaux afin de synthétiser efficacement la littérature concernant toutes les études d’autopsie incluant les vaccins contre la COVID-19 comme exposition antérieure. L’omission des cas que nous avons jugés non liés à la vaccination dans nos tableaux et figures introduirait un biais de sélection important, car nous n’avons pas utilisé les conclusions des auteurs. Notre article présente toutes les limites des revues systématiques de rapports de cas déjà publiés, notamment un biais de sélection au niveau de l’orientation pour autopsie et de l’acceptation dans la littérature évaluée par les pairs. Nous pensons que les biais de publication pourraient avoir eu une influence importante sur nos résultats en raison de la campagne mondiale de vaccination de masse menée par les gouvernements, les sociétés médicales et les centres médicaux universitaires, ainsi que de la réticence des chercheurs à signaler les effets indésirables des nouveaux produits génétiques largement recommandés aux soignants et aux patients. Enfin, des variables confondantes, notamment les maladies concomitantes, les infections, les interactions médicamenteuses et d’autres facteurs non pris en compte, pourraient avoir joué un rôle dans le lien causal avec le décès.

En résumé, parmi l’ensemble des autopsies publiées réalisées après la vaccination contre la COVID-19 disponibles à ce jour, grâce à une revue contemporaine et indépendante, nous avons constaté que dans 73,9 % des cas, la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès. La cohérence observée entre les cas de cette revue et les effets indésirables graves liés aux vaccins contre la COVID-19 précédemment signalés, leurs mécanismes fatals connus, ainsi que notre décision indépendante, suggèrent qu’il existe une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Les implications de notre étude s’appliquent aux cas de décès imprévus sans antécédents médicaux chez les personnes vaccinées contre la COVID-19. Nous pouvons en déduire que, dans de tels cas, le décès pourrait avoir été causé par la vaccination contre la COVID-19. Des investigations supplémentaires sont nécessaires de toute urgence pour étayer nos résultats et mieux élucider les mécanismes physiopathologiques du décès afin de stratifier le risque et d’éviter le décès pour le grand nombre de personnes ayant reçu ou recevant un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 à l’avenir. Des autopsies doivent être pratiquées sur toutes les personnes décédées ayant reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19. Une surveillance clinique des personnes vaccinées contre la COVID-19 est indiquée pendant au moins un an après la vaccination afin de garantir l’absence d’effets indésirables graves pouvant entraîner le décès.

Remerciements


Contributions des auteurs

Nicolas Hulscher : Conceptualisation, Investigation, Curation de données, Analyse formelle, Méthodologie, Administration de projet, Visualisation, Rédaction – brouillon original, Rédaction – révision et édition, Validation.
Peter A. McCullough : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Administration de projet, Supervision, Visualisation, Rédaction – ébauche originale, Rédaction – révision et édition, Validation.
Roger Hodkinson et William Makis : Rédaction – révision et édition, Validation, Investigation.
Richard Amerling et Paul Alexander : Rédaction – révision et édition, Validation.
Heather Gessling, Harvey A. Risch et Mark Trozzi : Supervision, Visualisation, Rédaction – ébauche originale, Rédaction – révision et édition.

Conflits d’intérêts : Les Drs Alexander, Amerling, Gessling, Hodkinson, Makis, McCullough et Risch sont affiliés à The Wellness Company, à Boca Raton (Floride), et perçoivent une rémunération ou détiennent des participations au capital de cette société. Ces personnes n’ont joué aucun rôle dans le financement, l’analyse ou la publication de ces travaux. Aucune déclaration n’est requise pour le Dr Trozzi et M. Hulscher.

Déclaration de consentement éclairé : Non applicable car il s’agit d’un article de synthèse contenant des recherches accessibles au public.

Financement : Aucun.

Déclaration de disponibilité des données : Toutes les données extraites et analysées des études incluses sont accessibles au public.

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Revue systématique des résultats d’autopsie sur les décès après vaccination contre la COVID-19 Lire la suite »

Des confinements peut-être inutiles

Source : https://www.monde-diplomatique.fr/2025/03/BOULAKIA/68102

Le Monde Diplomatique remet en question l’efficacité des confinements. Mieux vaut tard que jamais. Quant aux injections et leurs conséquences délétères, pourrons-nous lire bientôt un nouvel article à ce sujet dans leurs pages ? Pour mémoire : Covid, vaccins et science aux origines d’une défiance

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