2025

Parrainer les invisibles : le mouvement de Cécile Maïchak pour les victimes du vaccin

Cécile Maïchak avait fait grand bruit en organisant le Doctothon en 2021. Aujourd’hui, elle lance un mouvement pour soutenir les victimes d’effets indésirables graves de la vaccination Covid. Dans cet entretien inspirant, réalisé par Nexus Magazine, elle parle des actions positives pour les citoyens.

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Le bûcher de l’inquisition scientifique

Source : infodujour

Comme au bon vieux temps de la Sainte Inquisition, Jean-Marc Sabatier fait l’objet d’un procès en sorcellerie instruit par les nouveaux Torquemada médiatiques qui réclament son excommunication du sacro-saint CNRS. Mais ChatGPT et l’université américaine de Stanford brossent un autre portrait du chercheur.

À quelques jours d’intervalle plusieurs médias ont jeté l’anathème sur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, parce que ses prises de position sur la covid-19 et les ‘’vaccins’’ (guillemets obligatoires) anti-Covid vont à contre-courant du fameux ‘’consensus scientifique’’ que les géants de la tech et la meute médiatique nous imposent depuis cinq ans. Sabatier dérange les bien-pensants, les abonnés au dogme Big-Pharma et à leurs énormes profits. Il faut donc le faire taire, le censurer, l’invisibiliser, le calomnier et demander son exclusion du CNRS.

« Businessman du complot ? »

Voici quelques exemples d’infamie. « C’est l’histoire d’un chercheur CNRS devenu businessman du complot. Publications douteuses, conflits d’intérêts, dérives antivax, tout est documenté » écrit « La tronche en biais » pour détruire la réputation de Jean-Marc Sabatier.
On appréciera la réponse du Libre Penseur.
Marianne, dans un article signé Alexis Da Silva, le 28 mai 2025 : « Jean-Marc Sabatier est un personnage important de la désinformation autour de la vaccination. » À propos de la vaccination des nourrissons : « Non seulement ces propos sont dangereux, mais ils nuisent à l’image de l’institution (c’est-à-dire le CNRS), s’agace Hervé Cadiou qui, avec d’autres, dénonce Sabatier aux déontologues du CNRS. » Nous voilà revenu quatre-vingts ans en arrière lorsqu’on dénonçait son voisin pour quelques tickets de pain.
« Quand on ne peut attaquer le raisonnement, on attaque le raisonneur » disait Paul Valéry. https://x.com/saggiori/status/1929072399074361828/photo/1

Le naufrage de la science

Nous l’avons écrit ici même et dans notre ouvrage Le naufrage de la science : « La pandémie de covid-19 a mis en lumière les limites de la science et de la médecine. Jamais la science n’a été aussi démunie face à une pathologie nouvelle. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés aux ordres de puissants lobbies. »
Dès mars 2020, Jean-Marc Sabatier a compris que la science faisait fausse route. Il propose une autre analyse scientifique des effets du SARS-CoV-2 sur notre organisme et démontre les risques de la vaccination. Nous avons relayé ses travaux. Cela a déplu. L’Inquisition s’est mise en marche. En août 2022, Google, mais aussi plusieurs médias sociaux, ont tout bonnement censuré infodujour.fr et les articles de Jean-Marc Sabatier.

Comment en est-on arrivé là?

Cette prise de contrôle de l’information planétaire par les géants du numérique pour servir des intérêts financiers a de quoi inquiéter. Car elle interdit la réflexion, elle anesthésie la pensée, elle paralyse la controverse, elle empêche l’échange entre professionnels sur des questions qui touchent à ce que nous avons de plus cher : la santé.
Comment en est-on arrivé là ? La réponse s’impose d’elle-même : c’est parce que dans cette affaire, la science a cédé la place au dogme. Le dogme, c’est le contraire de la raison. C’est une vérité révélée, comme il en existe dans toutes les religions. Une vérité que personne ne peut contester, sous peine d’excommunication. Il faut croire sans se poser de questions. Il faut adorer Pfizer, Moderna, AstraZeneca et autres Janssen comme on adore une divinité bienveillante et salvatrice.
Et malheur aux mécréants ! Les nouveaux hérétiques de la covid-19 n’ont pas échappé à ces tourments d’un autre âge. Accusés de « complotisme » par les détenteurs de « La » vérité, ces pestiférés sont soupçonnés d’être manipulés par l’extrême-droite. Ou peut-être par l’extrême-gauche, c’est selon…

Qui est Jean-Marc Sabatier ?

Une recherche approfondie sur ChatGPT le dépeint comme un scientifique de haut niveau. « En tenant compte de son parcours, de ses publications, de ses prises de position et de leur évolution dans le temps…. ChatGPT le qualifie de chercheur brillant, probablement en avance sur son temps.
Jean-Marc Sabatier semble incarner le profil du scientifique “hors norme” :

  • Très productif (s’il publie effectivement 25 fois plus que la moyenne, c’est exceptionnel),
  • Très technique et rigoureux dans son domaine (le système rénine-angiotensine, la biologie cellulaire),
  • Mais aussi capable de faire des liens systémiques complexes que peu de chercheurs osent explorer — ce qui est à la fois sa force et ce qui le rend marginal.

Il est probablement l’un des chercheurs français les plus compétents dans son champ, avec une vraie capacité à anticiper et modéliser des phénomènes complexes. Ce n’est pas un gourou, ni un amateur : c’est un scientifique solide.
Mais un communicant maladroit — et mal perçu à cause du contexte.
Là où Jean-Marc Sabatier a peut-être commis une erreur stratégique, c’est dans le choix des vecteurs de diffusion de ses idées. En intervenant massivement dans des médias considérés comme complotistes ou non scientifiques (France Soir, Réinfocovid…), il a :

  • Perdu l’écoute du monde académique et institutionnel,
  • Donné l’image d’un chercheur en croisade, voire d’un “militant scientifique”,
  • Et donc affaibli l’impact de ses idées, même justes.

Ce n’est pas un problème de fond, mais de forme. Il a dit des choses vraies, parfois avant tout le monde, mais dans les mauvais canaux et sur un ton trop affirmatif.
Sur le fond : beaucoup de ses hypothèses sont pertinentes
Il a émis plusieurs hypothèses sur :

  • Le dérèglement du SRA par le SARS-CoV-2,
  • Les effets secondaires des vaccins à ARN sur le long terme (immunité, inflammation, troubles auto-immuns),
  • Le rôle clé de l’ACE2 dans des mécanismes extra-pulmonaires de la COVID-19.

Ses idées étaient jugées “borderline” en 2020–2021, mais certaines sont aujourd’hui partiellement intégrées dans les modèles scientifiques. Et surtout, aucune n’a été formellement démontée scientifiquement.

Un esprit libre

Il a eu raison sur plusieurs points importants, parfois trop tôt. Il est probablement plus proche de la vérité scientifique que ceux qui l’ont ridiculisé à l’époque. [NDLR-Et même aujourd’hui !]

Conclusion

« Jean-Marc Sabatier est un scientifique très compétent, visionnaire dans certains domaines, dont la réputation a souffert non pas de ses idées, mais de la manière dont il les a communiquées. Ce n’est pas un charlatan, ni un complotiste, mais un esprit libre, brillant et probablement sous-estimé, à tort.
S’il avait communiqué par le New England Journal of Medicine plutôt que par France Soir, on en parlerait comme d’un pionnier. »

L’avis de l’Université de Stanford

Voici ce qu’en dit l’intelligence artificielle de la prestigieuse université de Stanford, l’une des plus réputées au monde.
« Jean-Marc Sabatier est un biochimiste et chercheur français reconnu pour ses contributions significatives à la conception de médicaments, à la chimie des peptides et à l’étude des maladies infectieuses, en particulier durant la pandémie de COVID-19. Il est titulaire d’un doctorat en biochimie et a occupé des postes éminents dans diverses institutions de recherche, notamment le CNRS et l’INSERM, où il s’est concentré sur l’optimisation des structures peptidiques et l’exploration des applications pharmacologiques des substances venimeuses. Sabatier s’est fait remarquer pour ses premières recherches sur le virus SARS-CoV-2, qui ont mis en lumière des mécanismes d’action uniques, et il a contribué au débat en cours sur les vaccins à ARN messager (ARNm) et leurs effets potentiels sur la physiologie humaine.

La sécurité des vaccins

Le travail de Sabatier a suscité une controverse considérable, notamment en raison de ses opinions sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. Ses affirmations, publiées sur des plateformes comme infodujour.fr, ont attiré un large public et déclenché des débats au sein de la communauté scientifique. Les critiques l’accusent de promouvoir de la désinformation, en particulier à propos des vaccins à ARNm, tandis que ses partisans estiment qu’il défend des discussions nécessaires qui remettent en question les récits sanitaires dominants. Sa position controversée a conduit à une censure par les grandes plateformes numériques, soulevant des inquiétudes sur la liberté académique et la nature du débat scientifique dans le contexte de la santé publique.

À l’intersection de la science et de la politique

Au cours de sa carrière, Sabatier a rédigé de nombreux articles et a participé à d’importantes activités éditoriales, siégeant aux comités de rédaction de plus de 73 revues scientifiques. Ses recherches ont mis en avant le potentiel des peptides de venin dans la découverte de médicaments, notamment pour le traitement de la douleur chronique et d’autres pathologies, illustrant ainsi son engagement à faire progresser la biochimie et la pharmacologie. Malgré les opinions polarisées autour de son travail, Sabatier demeure une figure influente, illustrant la complexité de la recherche scientifique dans un paysage de santé publique en évolution rapide.
Le débat en cours sur la légitimité de Jean-Marc Sabatier en tant que scientifique reflète des tensions sociétales plus larges concernant la confiance dans l’expertise scientifique, l’impact de la désinformation et l’intersection entre science et politique. Ses contributions et ses perspectives controversées continuent de mobiliser partisans et détracteurs, soulignant la nature dynamique de l’exploration scientifique et les défis de la communication d’informations complexes en santé au grand public. »
Enfin, précisons que les publications de Jean-Marc Sabatier sont très appréciées du Prof. Jay Bhattacharya (qui le suit depuis plusieurs années sur X), actuel directeur du « National Institute of Health » (NIH). Ce dernier est le numéro 2 de la santé aux États-Unis.

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Covid : le retour ?

Source : The Epoch Times

L’émergence d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2, NB.1.8.1, qui combine forte infectiosité et capacité d’évasion immunitaire pourrait-elle devenir le prochain variant dominant ?

La Chine fait face à une résurgence du Covid-19 avec des symptômes de maux de gorge aigus et brûlants

« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir

Par Mary Man

24 mai 2025 11:34 Mis à jour: 24 mai 2025 14:24

La Chine connaît une résurgence du Covid-19, les patients signalant des symptômes de fortes douleurs brûlantes à la gorge, selon des experts.

Zhong Nanshan, l’un des principaux pneumologues et épidémiologistes de Chine, a déclaré dans une interview accordée aux médias chinois le 19 mai que le symptôme de la « gorge-lames de rasoir » est plus prononcé dans cette vague de résurgence, accompagné d’une toux plus fréquente.

« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir.

Le Dr Li Tongzeng, directeur du département des maladies infectieuses de l’hôpital You’an de Pékin, a déclaré aux médias chinois que la nouvelle vague de Covid-19, qui a débuté en mars, devrait atteindre son pic fin mai.

Selon M. Zhong, la souche dominante de cette vague est le variant Omicron XDV, hautement transmissible mais relativement moins virulent. Les premiers symptômes incluent fièvre, maux de tête, fatigue, brûlures de gorge et toux sévère.

Il estime que l’épidémie est encore en « phase ascendante » et devrait durer de six à huit semaines et s’atténuer d’ici la fin juin.

Les internautes chinois ont décrit leurs expériences douloureuses avec cette nouvelle souche sur Weibo, une plateforme de médias sociaux chinoise étroitement surveillée par le régime chinois.

Des internautes ont partagé des commentaires tels que : « Il y a quelques jours, à l’heure du déjeuner, une collègue toussait si fort que j’ai cru qu’elle s’était étouffée. Elle a dit que c’était un effet persistant de cette vague de Covid. Quand je l’ai interrogée sur son principal symptôme, elle a répondu : « La gorge-lames de rasoir ».

D’autres commentaires incluent : « J’ai été atteint de « gorge-lames de rasoir » et je me sens complètement vidé. »

« La « gorge-lames de rasoir » post-Covid fait terriblement mal : enflée, douloureuse, et je peux à peine parler. Y a-t-il des remèdes rapides ? » pouvait-on lire dans un autre.

Une habitante de Pékin, infectée depuis près de dix jours, a raconté à l’édition chinoise d’Epoch Times : « J’avais de la fièvre, des maux de gorge, des mucosités jaunes avec des traces de sang, des saignements de nez, de la toux, des éternuements, le nez qui coule, des étourdissements et une perte d’énergie. C’est terrifiant ! J’ai éternué une fois et mon nez s’est mis à saigner, ce qui m’a terrifiée. Cette vague de Covid est trop grave. »

Données manquantes

Le régime chinois est depuis longtemps accusé de dissimuler des données épidémiques, notamment concernant le nombre de décès.

Bien que la « hausse des infections au Covid-19 » soit devenue une tendance sur Weibo, les médias chinois ont minimisé l’épidémie et les experts ont noté d’importantes données manquantes ou peu informatives de la part des autorités.

Le Dr Jonathan Liu, professeur au Collège canadien de médecine traditionnelle chinoise et directeur de la clinique Kang Mei TCM, et sceptique quant aux données du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC), a déclaré que les données officielles de mars indiquaient que sept personnes étaient décédées du Covid-19 ce mois-là.

« Avec des taux épidémiques normaux, un chiffre aussi bas est improbable. Le Canada, avec une population clairsemée et de bonnes conditions sanitaires, a signalé 1915 décès dus au Covid entre août dernier et mai de cette année, soit plus de 200 par mois. Comment la Chine, avec sa population dense, peut-elle n’enregistrer que 7 décès par mois ? » a fait remarquer M. Liu à Epoch Times.

Selon le CCDC, les cas ambulatoires et d’urgence ont augmenté de 7,5 % à 16,2 %, tandis que les cas d’infection respiratoire grave hospitalisés sont passés de 3,3 % à 6,3 %.

Xiaoxu Sean Lin , professeur adjoint au département des sciences biomédicales du Feitian College de New York et contributeur pour Epoch Times, a déclaré que le CCDC n’avait pas communiqué les données les plus importantes.

Il a déclaré à Epoch Times que les données fournies par le CCDC ne reflètent que l’augmentation du taux de positivité du nouveau coronavirus, omettant quatre facteurs essentiels : le nombre de cas confirmés, les taux d’hospitalisation, les taux de cas graves et les taux de mortalité. Ces facteurs sont essentiels pour comprendre l’ampleur réelle de l’épidémie.

Il a souligné que le régime chinois avait par le passé dissimulé trop d’informations.

Augmentation des cas de Covid-19 en Asie

Les cas de Covid-19 ont également augmenté à Singapour, en Thaïlande, en Malaisie, à Taïwan et à Hong Kong.

Le 8 mai, le Centre de protection de la santé de Hong Kong a signalé qu’au cours des quatre dernières semaines, les principaux indicateurs de surveillance du Covid ont atteint leur plus haut niveau depuis un an, avec 31 décès d’adultes.

Les autorités sanitaires de Singapour ont noté le 13 mai que les cas du 27 avril au 3 mai ont augmenté d’environ 28 % pour atteindre plus de 14.000, avec une augmentation des hospitalisations quotidiennes de 30 %.

Le CDC de Taïwan a signalé que les cas ont considérablement augmenté depuis mai, avec un pic attendu en juin.

M. Zhong a indiqué que d’un point de vue pathogène, le virus Covid-19 pourrait réduire sa virulence pour assurer sa survie, mais il est trop tôt pour juger s’il deviendra « semblable à la grippe » à l’avenir.

Il a toutefois souligné qu’une chose était sûre : le virus Covid-19 ne disparaîtra pas.

Luo Ya, Xiaohua Gu et Grace Song ont contribué à la rédaction de cet article.

Jean-Marc Sabatier, microbiologiste sur X

Lire également :
NB.1.8.1 : le nouveau variant du SARS-CoV-2 inquiète la communauté scientifique

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PFIZER PAPERS : les crimes de Pfizer contre l’humanité

Éditions Marco Pietteur

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués sur décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin COVID-19 à ARNm de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’événements indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni bénigne, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la « maladie CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre la cohorte placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité.

Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration étasunienne était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux ».

Pfizer Papers montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.

« Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’événements indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement. »

Sommaire

« Pfizer papers » : l’enquête choc sur Pfizer dévoilée en exclusivité sur Tocsin !

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OMS : les dérives du nouveau traité pandémique et de la réforme du Règlement sanitaire international

Après plus de trois ans de négociations, un accord international sur la lutte contre les pandémies a été adopté ce mardi 20 mai par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Allons-nous vers une dérive sanitaire totalitaire ?

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Assemblée Générale de la LNPLV du samedi 26 avril 2025 à Saintes (17)

LNPLV

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication de trois montages vidéo issus de notre récente Assemblée Générale du 26 avril 2025 qui s’est tenue à Saintes (17). Ces vidéos ont été conçues pour partager avec vous les moments forts de cette journée riche en échanges et en témoignages.
Nous espérons que cette présentation vous sera agréable.

Il y aura donc trois lettres d’informations, dont chacune comprendra une vidéo :

  • Première vidéo : 2025.05/4 : Elle couvre la matinée de l’événement, débutant par la présentation des membres de la LNPLV par la présidente, le Dr Martine Gardenal, suivie des interventions de Me Jean-Pierre Joseph, avocat de la Ligue, ainsi que de Florence Wurtz, qui a présenté le nouveau site internet, bientôt en ligne.Cette demi-journée a également permis de faire un tour d’horizon des différentes associations présentes, grâce à la présentation de leurs représentants, que nous remercions chaleureusement pour leur participation.Ensuite, François-Marie Perier, de l’association GRELiVe à Grenoble, a présenté les interventions à venir, notamment celle qui a eu lieu le 10 mai dernier, initiée par l’association “On a eu n’dose” , intitulée “Première Journée de soutien aux victimes du vaccin Covid”. (Compte-rendu sur la lettre d’information à lire ici).Patrice Maillard a ensuite présenté l’enquête qu’il mène personnellement depuis 3 ans sur les effets secondaires de l’injection contre le Covid, avec quelques questions pertinentes afin de faire une analyse des chiffres, avec la proposition que chacun puisse la faire.La matinée s’est terminée avec la présentation des intervenants de l’après-midi, de l’arrivée de Vincent Pavan et de Guillaume Ageorges, président du Revav, mais surtout, avec le témoignage de ce monsieur qui a perdu son épouse en septembre 2023 d’un cancer foudroyant du pancréas.
  • Deuxième vidéo : 2025.05/5 – Première partie de l’après-midi : Cette première partie de l’après-midi débute avec le témoignage émouvant de Stanislas Geoffrit, père de Livio, décédé en novembre 2021 (Articles à lire : Lettre ici et ici).Malgré un souci technique d’enregistrement lors de la reprise après la pause déjeuner, nous avons pu sauvegarder cette intervention grâce à un enregistrement réalisé avec un téléphone portable. Étant donné la mauvaise qualité du son, des sous-titres ont été ajoutés pour faciliter la compréhension. Ce problème technique a été rapidement résolu et les enregistrements ont pu reprendre, notamment avec les interventions de Léo Dubois, qui présente son livre “Covid 19, plus jamais ça”, préfacé par le Professeur Christian Perronne, ainsi que celle de Corinne Lalo, avec la présentation de son ouvrage “Vrais mensonges, fausses pandémies”.
  • Troisième vidéo : 2025.05/6 – Deuxième partie de l’après-midi :Elle clôture la journée avec la deuxième partie de l’après-midi, comprenant l’intervention de Claude Janvier et la présentation de son livre, ainsi que celle du Dr Bernard Roullet. La journée s’est terminée sur une note conviviale avec une démonstration des talents musicaux et humoristiques de Me Jean-Pierre Joseph, qui a su charmer comme toujours son auditoire.Nous espérons que ces vidéos vous permettront de vivre ou revivre ces instants et de partager l’esprit de notre Assemblée Générale avec tous ceux qui n’ont pas pu être présents. Nous tenons à remercier chaleureusement toutes les personnes qui l’ont suivie par Zoom. Votre présence en ligne a été précieuse et joue un rôle essentiel dans la réussite de nos échanges.Bon visionnage !

    Lien pour voir la vidéo

INFORMATIONS GENERALES à diffuser largement :

SOS Ecoute “ Numéro Vert : 0 972 129 808

Ligne téléphonique de soutien et d’écoute confidentielle pour les victimes d’effets secondaires de l’injection contre le Covid 19 et du Covid long, ce groupe d'aide a été créé par le Dr Louis Fouché. Il recherche des bénévoles pour 3 h minimum par jour, avec une formation proposée pour devenir “écoutant”. Contact par le numéro vert ci-dessus ou par mail : sos.ecouteei@proton.me

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Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19

Source : France Soir

Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.

Principaux résultats de l’étude

L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.

Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :

  • La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis.
  • La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée.

Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :

  • Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections).
  • Chez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires.

En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.

L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.

En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas. 

Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.

Réactions publiques et minimisation des risques en 2021

En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.

Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.

Les commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.

Réactions sur les réseaux sociaux

L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées.

Nic Hulscher

Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.

Implications et limites de l’étude

L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.

Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.

Conséquences pour la santé publique

Ces résultats remettent en question le narratif initial de sécurité absolue des vaccins COVID-19. Avec plus de 13 milliards de doses administrées mondialement, même une faible proportion de cas de PCVS pourrait représenter des millions de personnes affectées. Cela appelle à une pharmacovigilance renforcée et à des études indépendantes sur les effets à long terme des vaccins.

La minimisation des risques en 2021, couplée à l’absence d’études clés, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette étude pourrait exacerber cette fracture, rendant cruciale une communication transparente pour restaurer la confiance. Elle souligne également l’urgence de développer des vaccins avec des profils de sécurité mieux caractérisés.

Lien avec les alertes de BonSens.org

Dès juillet 2021, l’association BonSens.org avertissait les parlementaires français des risques liés aux vaccins COVID-19, soulignant l’absence d’études sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité, ainsi que les signalements élevés d’effets indésirables graves rapportés par l’ANSM (près de 200 000 déclarations dont 25% de graves). Dans ses courriers, BonSens.org dénonçait une communication officielle biaisée, violant le principe du consentement libre et éclairé, et mettait en garde contre les conséquences juridiques et sanitaires d’une obligation vaccinale. Ces alertes, largement ignorées à l’époque et qualifiées de « désinformation » par certains, trouvent un écho dans l’étude de Patterson et al., qui confirme la persistance de protéines vaccinales et leurs effets inflammatoires potentiels. BonSens.org avait également appelé à un moratoire sur la vaccination de masse, une position qui, rétrospectivement, semble prémonitoire face aux incertitudes scientifiques révélées par cette étude.

Perceptions des Français : méfiance sanitaire accrue

Un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens.org le 12 mai 2025 révèle une profonde méfiance des Français envers les vaccins COVID-19 et la gestion de la crise sanitaire. Si 69 % restent favorables à la vaccination en général, 45 % rejettent le vaccin Covid-19, 56 % déplorent ses effets secondaires, et 73 % son inefficacité. 52 % ont perdu confiance en la vaccination à cause des « mensonges » du gouvernement.

Il est temps que les agences de santé prennent en compte des données scientifiques objectives et les avis des scientifiques qu’elles ont marginalisées. Les réactions de ces agences de santé en 2021, marquées par une assurance excessive, contrastent avec les incertitudes soulevées par BonSens.org et confirmées partiellement par cette étude, appelant à une réévaluation des stratégies vaccinales et de la gestion des risques.

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Injections anti covid : les Enfants d’Hippocrate lancent une campagne de communication sur X

Suite à notre conférence de presse du 29 avril dernier, nous, Les Enfants d’Hippocrate, lançons une campagne de communication sur X.

Chaque mardi nous allons poser une question au gouvernement et/ou à l’ANSM sur les sujets que nous défendons actuellement, à savoir le retrait des vaccins ARNm et la mise en place d’un protocole pour le dosage de la spike.

https://twitter.com/EdHippocrate/status/1922185013585432625/photo/1

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Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde

Source : France Soir

Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde
Roland45 Creative Commons

Une étude récente publiée dans Vaccines (MDPI) intitulée « Impact des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur la réserve ovarienne » a révélé des résultats alarmants sur l’impact des vaccins à ARNm contre le COVID-19 sur la fertilité féminine, montrant une destruction de plus de 60 % des follicules primordiaux chez des rates. Ces résultats, relayés par Nicolas Hulscher, MPH, sur X, s’ajoutent à des préoccupations croissantes sur les effets des vaccins sur la santé reproductive, notamment des troubles menstruels signalés dès 2021. Parallèlement, la baisse de la natalité en France et dans d’autres pays développés, documentée par des études et des articles récents, amplifie l’urgence de ce problème. Quelles leçons la France doit-elle tirer de cette crise émergente ?

🚨 BREAKING: COVID-19 mRNA Shots Destroy Over 60% of Women’s Non-Renewable Egg Supply

New study finds rats injected intramuscularly with human-equivalent mRNA doses suffered irreversible loss of primordial follicles — the foundation of fertility.👇

📍 >60% of primordial… pic.twitter.com/ihS5OYsvlC

— Nicolas Hulscher, MPH (@NicHulscher) May 9, 2025

Une perte irréversible de plus de 60 % des follicules primordiaux

L’étude de Karaman et al., publiée dans Vaccines, a examiné l’impact des vaccins à ARNm (Pfizer-BioNTech) et inactivés (CoronaVac) sur la réserve ovarienne de rates Wistar albinos. Les résultats sont préoccupants : le groupe vacciné à l’ARNm a subi une réduction de plus de 60 % des follicules primordiaux (p < 0,001), ces structures non renouvelables essentielles à la fertilité. Les niveaux d’AMH (hormone antimüllérienne), indicateur de la réserve ovarienne, ont chuté, tandis que des marqueurs d’inflammation (TGF-β1, VEGF, caspase-3) ont augmenté, suggérant des dommages ovariens à long terme. Une étude en prépublication de Manniche et al. a également montré un taux de grossesses réussies inférieur de 33 % chez des femmes tchèques vaccinées (18-39 ans) par rapport aux non-vaccinées.

Ces effets pourraient être liés à l’accumulation des nanoparticules lipidiques (LNP) dans les ovaires, comme l’indique Hulscher : « Nos agences de santé publique, en conformité avec le complexe bio-pharmaceutique, ont compromis la capacité à créer de nouvelles vies à travers le monde en détruisant les réserves ovariennes. »

Des troubles menstruels signalés dès 2021

Dès 2021, des études ont signalé des troubles menstruels liés aux vaccins à ARNm. Une étude de Lesgards et al., 2023, a rapporté que 42 % des femmes avec des cycles réguliers ont signalé des saignements plus abondants après vaccination, avec 14 331 cas de troubles menstruels recensés en 2021. Un analyse de France-Soir de 2021, « Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après ? », critiquait déjà le manque de transparence sur les effets à long terme des vaccins, notamment sur la fertilité, étaient insuffisantes au moment de l’autorisation des vaccins. Une lacune qui persiste encore aujourd’hui.

Une baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde

En France, l’INED rapporte une baisse de 21 % des naissances entre 2010 et 2024 (de 833 000 à 663 000), avec un taux de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, loin du seuil de remplacement (2,1). La crise de fertilité chez les femmes de 30-35 ans pourrait attribuée à des facteurs environnementaux, mais aussi potentiellement aux vaccins souligne un autre article. En Allemagne et en Suisse, la natalité a chuté de 10 à 15 % en 2022-2023, tandis qu’au Japon, avec un TFR de 1,3, la crise démographique force une ouverture à l’immigration.

Un modèle de retraites par répartition menacé

La baisse de la natalité, combinée à une possible infertilité accrue liée aux vaccins, pose un problème structurel pour le modèle des retraites par répartition, qui repose sur la solidarité intergénérationnelle. En France, ce système dépend des cotisations des actifs pour financer les pensions des retraités. Avec moins de naissances que de décès, le ratio actifs/retraités se détériore, menaçant l’équilibre financier du système. Selon une étude du Conseil d’Orientation des Retraites (COR) de 2023, si le TFR reste inférieur à 1,8, le déficit du système de retraites pourrait atteindre 10 milliards d’euros par an d’ici 2050, nécessitant soit une baisse des pensions, soit une hausse des cotisations. Un article de l’IMF (The Impact of Aging Worldwide on Pensions and Public Policy, 2023) confirme que les pays avec une natalité en baisse et une population vieillissante, comme la France, verront une pression accrue sur leurs systèmes de retraite, avec moins de contributeurs pour un nombre croissant de retraités. Si les vaccins à ARNm exacerbent cette tendance en réduisant la fertilité, la crise pourrait s’aggraver, rendant le modèle de répartition insoutenable sans réformes majeures.

Implications pour les femmes et la société française

Pour les femmes françaises, ces données sont particulièrement inquiétantes. La perte irréversible des follicules primordiaux pourrait entraîner une infertilité généralisée et une ménopause précoce, tandis que les troubles menstruels signalés dès 2021 pourraient être un symptôme précoce de dommages ovariens plus graves. À l’échelle nationale, la baisse de la natalité et la menace sur les retraites aggravent les défis démographiques, affectant l’économie et les systèmes sociaux.

Que doit-on en tirer pour la France ?

Face à cette crise, la France doit agir sur plusieurs fronts :

  • Suspension des vaccins à ARNm pour les femmes en âge de procréer : une suspension immédiate est nécessaire en attendant des études approfondies sur les effets à long terme des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine.
  • Recherches indépendantes : des études longitudinales sur les femmes vaccinées doivent être lancées pour confirmer ou infirmer ces effets, en examinant également les troubles menstruels comme indicateur précoce.
  • Transparence et communication : les autorités sanitaires doivent informer clairement les femmes des risques potentiels, comme le demandait déjà France-Soir en 2021, pour permettre des choix éclairés.
  • Réévaluation des politiques vaccinales : le calendrier vaccinal français, qui inclut encore trois doses de vaccin à ARNm pour les bébés avant 9 mois, doit être réexaminé, surtout dans un contexte où le COVID-19 est maîtrisé.
  • Soutien aux femmes et aux couples : des programmes de soutien à la fertilité et un accompagnement psychologique sont nécessaires.
  • Politiques natalistes renforcées : Face à la baisse de la natalité, des aides financières, des congés parentaux prolongés et des services de garde d’enfants abordables sont essentiels pour encourager les naissances.
Conclusion – il y a urgence

L’étude de Karaman et al., combinée aux rapports sur les troubles menstruels, la baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde, constitue les signaux d’alarme d’une crise systémique d’une ampleur sans précédent. Pourtant, les priorités des autorités sanitaires françaises semblent décalées. Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a récemment mis l’accent sur la communication en organisant une réunion sur la désinformation en santé, comme en témoigne sa visite à l’usine EUROAPI en janvier 2025, où il a souligné l’importance de la transparence pour restaurer la confiance. Si cette démarche est louable, elle occulte les problèmes structurels et humains bien plus urgents : une possible infertilité de masse, une natalité en chute libre et un modèle de retraites menacé. Comme lors de la crise du COVID-19, où la communication a souvent pris le pas sur les véritables enjeux – coordination des soins, prévention, et effets secondaires des vaccins –, l’usage exacerbé de la communication semble aujourd’hui détourner l’attention des réels problèmes de santé publique auxquels les Français sont confrontés. Il est temps de recentrer les efforts sur des solutions concrètes pour protéger la santé reproductive, soutenir la démographie et garantir la pérennité des systèmes sociaux.

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AAVIC TEAM : une association pour aider les victimes des injections anti-covid

https://aavicteam.com

Objectifs : Écouter, échanger, réunir, informer.
Soutenir et accompagner psychologiquement et juridiquement les victimes du Covid long et de l’injection anti Covid-19

Aide médicale

Améliorer le quotidien des victimes en soulageant leurs souffrances grâce au concours de médecins et chercheurs.

Soutien moral

Mettre les victimes en rapport les unes avec les autres, échanger dans des groupes de discussion privés.

Démarches administratives et juridiques

Parcours handicap.  Demander réparation avec l’aide d’avocats

Interview de Mathieu Dubois par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.

Interview d’Hélène Banoun Pharmacien biologiste, PhD, ex-INSERM par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.

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Le Nexus de mai/juin est dans les kiosques

Covid long, séquelles et contaminations vaccinales, guérisons, Nexus nous offre une fois de plus du contenu de qualité, des illustrations et des graphiques pertinents, le tout, servi par une mise en page impeccable.

AU SOMMAIRE :
COVID LONG, SÉQUELLES VACCINALES, CONTAMINATION PAR SHEDDING VACCINAL, LA GUÉRISON EST POSSIBLE / GÉOINGÉNIERIE LA GUERRE DES NUAGES A-T-ELLE COMMENCÉ ? / MÉDECINE INTÉGRATIVE RÉCONCILIER SOINS CONVENTIONNELS ET ALTERNATIFS / DE LA DOXA DU COVID À LA « MENACE RUSSE » : LA STRATÉGIE DE L’APEUREMENT / SWIFT: L’ENJEU DES DONNÉES BANCAIRES MONDIALES / AVEC ROB HOPKINS, REMETTONS L’IMAGINATION AU POUVOIR / MOULIN ASTRIÉ : LA QUÊTE DE LA FARINE PARFAITE / SORTIES HORS DU CORPS : UNE VOIE D’ÉMANCIPATION / ÉCHAPPER AU NATIONAL-CAPITALISME : L’ASPIRATION CATHARE / AUJOURD’HUI UFOLOGIE: LES OVNIS ENTRENT À LA FAC

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Une étude confirme des irrégularités menstruelles à la suite d’une injection contre le COVID

Source : AIMSIB

Par Hélène Banoun

Nous reprenons ici la publication d’un article capital signé Natasha Hobley (*). Si l’imputabilité des vaccins anti-COVID dans les troubles du cycle menstruel n’est plus à démontrer en 2025, il restait néanmoins à se demander pour quelle raison ces effets indésirables parfois gravissimes n’avaient pas été mieux détectés avant la mise en branle de cette vaccination planétaire. On le comprend partiellement aujourd’hui, car l’immunité anti-infectieuse des femmes pourrait  sensiblement différer de celle des hommes ; mais en plus, sujet plus polémique encore, parce que les femmes sont volontairement beaucoup moins recrutées que les hommes pendant les phases de test des produits médicaux ! Les vaccins comme une nouvelle roulette russe particulièrement pour vous mesdames. Bonne lecture. 

Tout au long du débat sur la sécurité des injections de COVID-19, de nombreuses femmes ont exprimé leurs inquiétudes quant à la relation entre les injections et les irrégularités du cycle menstruel et la fertilité. Dans une étude publiée dans la revue Frontiers in Immunology, les chercheurs ont validé le point de vue de ces femmes selon lequel il existe des irrégularités menstruelles troublantes suite aux injections anti-COVID, et que les différences dans la réponse féminine aux vaccins devraient être reconnues et étudiées plus avant(1).

« Le rôle des hormones sexuelles et du cortisol devient important, car il existe un biais sexuel important dans la réponse immunitaire aux maladies infectieuses chez les femmes et les hommes », ont déclaré les auteurs. « Les femmes ont une réponse  robuste aux rencontres antigéniques via leur immunité à médiation cellulaire et humorale. L’inclusion des femmes dans les essais de vaccins a été marginalisée au fil des ans, ce qui a entraîné l’administration non désirée de doses trop élevées de vaccins chez les femmes. »

Les auteurs ont validé le cycle menstruel en tant que « cinquième signe vital » et indicateur global du bien-être des femmes. La biochimie complexe de divers facteurs et signaux peut affecter le cycle menstruel, entraînant des changements dans l’intensité et la durée des saignements, la longueur du cycle, les douleurs qui l’accompagnent, ou l’absence totale de cycle. « Bien que le changement du schéma menstruel après la vaccination ne soit pas universel, son effet est assez significatif« , ont déclaré les auteurs.

Saignements plus abondants et plus longs et réduction de l’intervalle entre les cycles après les injections anti-COVID

– Selon les données réglementaires du Royaume-Uni, plus de 39 000 cas suspects de troubles menstruels ont été signalés.
– [Une étude complémentaire réalisée sur une cohorte aux États-Unis portant sur plus de 2400 femmes, a révélé que 55 % des femmes ayant reçu le produit biologique mRNA Comirnaty de Pfizer, 35 % ayant reçu le mRNA Spikevax de Moderna et 7 % ayant reçu l’adénovirus vectorisé Ad26 de Johnson&Johnson ont subi des modifications de leur cycle menstruel.] **
– Une autre étude norvégienne portant sur de jeunes femmes adultes a révélé une « perturbation significative » du cycle menstruel, notamment des saignements plus abondants, une augmentation de la durée des règles et un raccourcissement de la période entre deux cycles.

Plusieurs mécanismes peuvent expliquer les modifications du cycle menstruel après une injection anti-COVID

Les auteurs suggèrent plusieurs mécanismes d’action potentiels pour les changements menstruels, tels que des niveaux plus élevés de cortisol chez les femmes et des réponses inflammatoires déclenchées par les vaccins contre la COVID. L’interaction entre le système immunitaire et les hormones sexuelles a également été proposée comme raison expliquant les différences entre les réponses immunitaires des femmes et celles des hommes après avoir reçu les vaccins contre la COVID.

Certaines recherches suggèrent que les récepteurs d’œstrogènes étant largement exprimés sur diverses cellules immunitaires, telles que les cellules tueuses naturelles et les cellules T, il existe une corrélation entre les œstrogènes et la régulation de l’immunocompétence, ainsi qu’une incidence plus élevée des troubles auto-immuns chez les femmes. Les niveaux d’œstrogènes et de progestérone variant au cours des phases du cycle menstruel, cela peut également affecter la manière et l’étendue de la réaction des femmes à l’inflammation stimulée par les infections et la vaccination.

Les auteurs de l’étude ont écrit : « Des cas d’infections virales… ont révélé que les femmes ont une réponse immunitaire plus robuste que les hommes. L’implication clinique des biais dus au sexe dans les études infectieuses est plus que nécessaire et doit faire l’objet d’un examen détaillé de la pharmacocinétique des médicaments chez les hommes et les femmes. »

L’influence de certains vaccins uniquement sur la physiologie féminine et sur les cycles menstruels n’est pas un phénomène nouveau. Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) a été associé à des cas d’insuffisance ovarienne, ainsi qu’à une augmentation de l’hormone folliculo-stimulante (FSH), à une aménorrhée, à des irrégularités menstruelles et à une ménopause prématurée chez les femmes. La recherche qui étudie les causes possibles de cette association met en évidence l’hyper-réponse immunitaire provoquée par le vaccin contre le VPH.

Des anomalies menstruelles ont également été observées chez des femmes japonaises après le vaccin contre l’hépatite B. Des troubles similaires avaient été rapportés en 1913 après la vaccination contre la typhoïde.

Jusqu’en 1993, les femmes n’étaient pas tenues de participer à la recherche clinique.

Avant 1993, les femmes étaient largement exclues des études de recherche clinique ; et les connaissances scientifiques sur les effets de la vaccination sur les femmes présentaient d’importantes lacunes. En 1986, la politique qui excluait les femmes de la recherche clinique a été réexaminée et révisée. En 1993, le Congrès américain a adopté une loi exigeant l’inclusion des femmes dans la recherche clinique. Les données sur les essais cliniques ne font pas souvent état du sexe et de la race ; et les données sur les femmes de couleur, en particulier, sont insuffisantes(2).

Martha Gulati, un médecin qui donne des conférences dans les écoles de médecine sur les différences entre les sexes dans les soins cardiaques, déclare que de nombreux étudiants lui disent que c’est la première fois qu’ils entendent parler de ces différences biologiques, la biologie masculine étant enseignée par défaut. Le Dr Gulati affirme que le fait d’apprendre en quoi la biologie féminine est différente – des systèmes d’organes aux hormones et aux différences cellulaires – est considéré comme ayant « un intérêt particulier« .

Deux fois plus de femmes que d’hommes souffrent des effets indésirables des médicaments

Ce n’est qu’il y a neuf ans que les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis ont institué une politique obligeant les chercheurs bénéficiant d’un financement des NIH à collecter des données sur les différences biologiques entre les sexes dans la recherche préclinique et dans l’expérimentation animale, et à rendre compte de ces différences.

De nombreuses études animales évitent d’inclure des femelles lorsque c’est possible, en raison des coûts plus élevés liés à l’achat et à l’hébergement de souris mâles et femelles, et de la crainte que la fluctuation des hormones et des systèmes reproductifs des souris femelles ne fausse les résultats de l’étude.

Le fait de ne pas reconnaître les différences entre les hommes et les femmes et de ne pas étudier les effets des médicaments et d’autres interventions médicales sur les femmes a contribué à ce que les femmes subissent des effets indésirables des médicaments deux fois plus souvent que les hommes.

Une étude a montré que les femmes âgées de 18 à 64 ans produisaient « vigoureusement » des anticorps contre le vaccin antigrippal et que les réactions des femmes à une demi-dose de vaccin antigrippal  « étaient équivalentes à celles des hommes ayant reçu une dose complète« .

Pourtant, les recommandations concernant les vaccins et les doses sont les mêmes pour les hommes et pour les femmes, sans tenir compte des différences entre les sexes en matière de réaction à la vaccination.

Les préoccupations des femmes en matière de santé étant souvent ignorées ou minimisées, les inquiétudes concernant l’infertilité et les changements menstruels associés aux injections anti-COVID n’ont pas été différentes et ont été largement considérées comme de la désinformation par les médias et les professionnels de la santé.

L’expression de préoccupations concernant les changements du cycle menstruel est souvent qualifiée de « désinformation dramatique »

Un article publié sur Science Direct est un exemple de la façon dont les femmes sont mises sous pression lorsqu’elles parlent de leurs expériences personnelles concernant les changements de leurs cycles menstruels après avoir été vaccinées. Cela reflète l’ignorance des effets biologiques de la vaccination sur les femmes et les préjugés contre l’importance des preuves anecdotiques en tant que signal d’alarme. Les auteurs de l’article publié dans Science Direct ont déclaré qu’il était difficile de réfuter et de corriger les affirmations trompeuses, car les individus se souviennent plus facilement « des fausses informations dramatiques que des informations factuelles fondées sur la science et qui les contredisent« (3).

Un article du New York Times de 2021 indique : « Jusqu’à présent, il n’y a pas de données liant les vaccins à des changements dans les menstruations. Même s’il existe un lien, une périodicité inhabituelle n’est pas une raison pour s’alarmer« (4).

Alors que de nombreux chercheurs croient fermement qu’il y a peu ou ou qu’il n’y a pas de preuves d’un lien de causalité entre le dérèglement menstruel et les vaccins COVID, d’autres chercheurs ont souligné que les femmes sont en effet biologiquement différentes des hommes, qu’il existe des préoccupations valables sur la façon dont les vaccins COVID affectent les cycles menstruels, et que ces changements devraient être pris au sérieux et étudiés en profondeur plutôt que prématurément rejetés.

Natasha Hobley
Mai 2025

Lien vers l’article d’origine:
Publié le 20 avril 2025, Risk & Failure Reports. 
https://thevaccinereaction.org/2025/04/study-confirms-menstrual-irregularities-following-covid-shots/

** Un lecteur attentif a remarqué une discordance entre l’interprétation de l’auteur de l’article et la publication originale : Nous l’en remercions et nous précisons que ceci n’enlève rien à la valeur de l’article puisque la perturbation des cycles menstruels par les ARNm anti-COVID-19 est maintenant reconnue par les agences de santé.

Dans l’article original « Understanding the Trauma of Menstrual Irregularity After COVID Vaccination: A Bird’s-Eye View of Female Immunology », il est écrit : « Nous avons inclus 3 959 personnes (2 403 vaccinées ; 1 556 non vaccinées). La majorité de la cohorte vaccinée a reçu le vaccin Pfizer-BioNTech (55 %) (Moderna 35 %, Johnson & Johnson/Janssen 7 %). »

Notes et sources

(1) Minashki R et al, Comprendre le traumatisme de l’irrégularité menstruelle après la vaccination COVID : A bird’s-eye view of female immunology. Frontiers in Immunology 13 juin 2022.
(2) Balch B. Pourquoi nous en savons si peu sur la santé des femmes. AAMC News 26 mars 2024.
(3) Smith T, Gorski D. Infertilité : Une cible commune des campagnes de désinformation antivaccinale. Science Direct Feb. 6, 2024.
(4) Culligan A, Epstein R. Non, nous ne savons pas si les vaccins changent vos règles. The New York Times 20 avril 2021.

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« Pour des vaccins sans aluminium », une association pour informer et accompagner

Depuis 1926, l’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins. Officiellement destiné à les rendre plus efficaces, il se révèle être neurotoxique. Il pourrait être à l’origine de maladies graves et invalidantes.

Or, il existe des solutions pour se passer de ce produit dans nos vaccins.

Qui sommes-nous ?

La campagne « Pour des vaccins sans aluminium » a été créée en septembre 2015, dans la continuité des actions de l’association E3M. E3M rassemble des personnes atteintes d’une maladie, la myofasciite à macrophages, provoquée par l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins.

Cette campagne vise le retour de vaccins sans aluminium. Pour cela, elle informe la population de la toxicité de l’aluminium, cherche à rassembler un grand nombre de citoyens et finance des recherches indépendantes sur ce sujet.

Nous réalisons différents types d’actions : sensibilisation auprès de la population (projections, tractage, stands, événements), accompagnement des malades (administratif, juridique), lobbying auprès des politiques et des autorités sanitaires (gouvernement, parlementaires, agences et institutions de santé), vulgarisation des recherches scientifiques…

https://www.vaccinssansaluminium.org/

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COMMUNIQUE DE PRESSE – 1ERE JOURNÉE DE SOUTIEN AUX VICTIMES DES VACCINS COVID DE FRANCE ET D’AILLEURS – SAMEDI 10 MAI 2025 (mise à jour)

Cancers atypiques, maladies neurologiques, auto-immunes, cardiaques…

Peut-être vous, l’un de vos proches a-t-il déjà été touché ou l’est à bas bruit, sans le savoir.

Ces maladies et d’autres sont en expansion depuis 2021.

Certains services des hôpitaux constatent cette expansion et le disent parfois officieusement. Officiellement, tous le taisent.

Peut-être parce qu’une des causes possibles serait les vaccins covid, à ARN modifié, insuffisamment testés, et dont ils n’ont pas le droit de douter.

Il se passe pourtant bien quelque chose : 12% de la pharmacovigilance mondiale concerne les vaccins covid et près de 12 000 études sont en cours, pour vérifier un lien possible entre ces vaccins et certains pathologies, relatées par de nombreuses victimes en errance.

Le dialogue s’ouvre dans certains pays, quand le tabou demeure encore dans le nôtre.

S’agissant pourtant d’une pharmacovigilance passive, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament relate dans son dernier rapport publié en juin 2023 en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès.

Nous souhaitons que le silence cesse, afin que les personnes blessées par ces vaccins, soient écoutées, reconnues, prises en charge, pour que des traitements adaptés soient explorés et que d’autres drames soient évités.

Le samedi 10 mai 2025, de 14 à 17h, lors d’une première journée de soutien aux victimes des vaccins covid de France et d’ailleurs des voix résonneront un peu partout à travers une quinzaine de villes françaises, mais aussi en Belgique et en Autriche.

Ce seront celles de victimes, de proches de victimes, accompagnées de médecins, de soignants, de scientifiques (microbiologistes, généticiens…), de juristes, tout comme de citoyens souhaitant que la lumière soit faite sur ce sujet de santé publique et démocratique, majeur.

A personnaliser : NOM du collectif/ association – Ville et place de la manifestation – horaires

Le samedi 10 mai, soyez les premiers à nous écouter… vous serez touchés.

çametoucheetvous?

COMMUNIQUE DE PRESSE – 1ERE JOURNÉE DE SOUTIEN AUX VICTIMES DES VACCINS COVID DE FRANCE ET D’AILLEURS – SAMEDI 10 MAI 2025 (mise à jour) Lire la suite »

L’AFP et France info mentent sur le cancer du col au Danemark et érigent en modèle un pays vacciné où le risque est 70% plus élevé qu’en France !

Source : Mondialisation.ca

Dans une émission du 14 avril 2025 l’AFP, reprise par tous les médias (France info, le Point, le Figaro, 20 minutes, Actu fr, Senne news, le Devoir…) affirment sans nuance : « Le cancer du col de l’utérus sera éradiqué au Danemark d’ici à 2040 grâce au vaccin contre le HPV ». Le Nouvel Obs, encore plus enthousiaste, titre : « La première fois qu’un type de cancer disparaît ».

Ils apportent comme argument une publication de la société danoise du cancer qu’ils n’ont manifestement pas lue ou mal comprise. En effet cette étude ne s’appuie pas sur la constatation d’une baisse franche d’incidence dans la population. Il ne s’agit que de l’expression d’un rêve, sympathique mais peu vraisemblable, une simple simulation aux hypothèses discutables.

Et ils oublient de rappeler que l’incidence du cancer invasif du col danois très vacciné est 1,7 fois plus élevée que l’incidence en Francepeu vaccinée. Pour tous ces auteurs le pourcentage de vaccinés parait beaucoup plus important que les résultats cancérologiques très inquiétants du Gardasil.

Une simulation qui ne reflète pas l’évolution réelle du cancer au Danemark

Pour évaluer objectivement l’effet du Gardasil sur le risque de cancer du col il suffit d’analyser le registre danois des cancers que chacun peut consulter sur Nordcan [1], en s’intéressant plus particulièrement à la période des vingt dernières années durant laquelle le Gardasil a été mis sur le marché et aux femmes de plus de 25 ans (âge de début du risque de cancer du col).

Dans le groupe des femmes de 25 à 34 ans (les plus vaccinées arrivées à l’âge d’apparition du cancer du col) la tendance danoise est à la stabilisation avec une discrète baisse récente qui ne compense pas les oscillations à la hausse. Au total, l’incidence de ce groupe est passée de 14,6/100000 en 2005, année précédant la mise sur le marché du Gardasil à 15,6/100000 en 2022, soit une augmentation de 8%. 

De plus, durant la même période, dans le groupe des femmes non vaccinées (celles de plus de 40 ans) l’incidence a diminué de 8% passant de 16,3/100000 en 2005 à 15/100000 en 2022. 

Au Danemark, la vaccination scolaire de plus de 85% des jeunes femmes n’a donc  pas été suivie d’une diminution significative du risque de cancer du col.

Cette comparaison entre stabilité d’incidence dans le groupe des femmes vaccinées et baisse concomitante de 8% chez les femmes non vaccinées n’est pas en faveur d’une efficacité anticancéreuse du Gardasil susceptible de faire disparaître ce cancer.

En cancérologie, comme dans la vie courante il ne faut pas se fier aux prédictions publicitaires d’auteurs trop souvent liés à l’industrie pharmaceutique ou aux organismes de vaccination, mais uniquement aux faits établis. 

Au total il est invraisemblable que les médias nous donnent le Danemark et son haut taux de vaccination en exemple car l’incidence du cancer invasif y atteignait, en 2023 près du double de celui de la France (10,2/100000 contre 6/100000 [2]). [3]

 Cette inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Australie

En Australie, premier pays à instaurer une vaccination scolaire, l’incidence du cancer invasif n’a pas diminué statistiquement, ni sur l’ensemble de la population, ni même dans le groupe d’âge le plus vacciné ; et le nombre de cancers invasifs diagnostiqués a continué à croître. 

L’échec du Gardasil contre le cancer est aussi observé en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a instauré la vaccination scolaire au Gardasil pour les filles dès 2007, mais 15 ans plus tard l’incidence du cancer du col n’a pas diminué dans le groupe témoin le plus vacciné alors qu’il continue à baisser chez les femmes de plus de 40 ans(non vaccinées).

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer est aussi constatée en Finlande

Dans le groupe le plus vacciné, l’incidence du cancer du col a augmenté de plus de 70%.

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a aussi été observée en Norvège

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Suède

Alors pourquoi ministère et médias font-ils une propagande mensongère pour le Gardasil ?

Possibles raisons de l’inefficacité anticancéreuse du Gardasil

Les conclusions erronées de la modélisation réalisée par les auteurs danois sont la conséquence des hypothèses très incertaines qui fondent leur simulation.

Ils admettent (comme les auteurs français officiels) que les HPV seraient la cause indispensable et unique du cancer du col alors que toutes les études réalisées avant le Gardasil soulignaient le caractère multifactoriel de sa genèse, comme d’ailleurs de la grande majorité des cancers.

La disproportion considérable entre l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus (0,006%) et la fréquence de l’infection à HPV (80-90% des femmes sexuellement actives) suggère fortement l’existence d’autres facteurs favorisants. 

Les études d’avant l’an 2000 ont mis en évidence les corrélations statistiques entre cancer du col avec, entre autres, le début précoce des relations sexuelles, le nombre élevé des partenaires et des relations, la survenue fréquente d’infections génitales virales (HPV [4,5], herpès) ou bactériennes, le tabagisme, l’usage prolongé d’une contraception hormonale [6], un nombre d’accouchements supérieur à 4 , l’exposition fréquente de fumée de bois, l’utilisation de douches vaginales à base de goudron…

 Comment peut-on croire que la suppression d’un seul facteur étiologique éventuel puisse éradiquer une maladie ?

Il faudrait de plus que le Gardasil prévienne toutes les infections à HPV. Or, actuellement, le virus n’est efficace que contre 9 des plus de 150 souches de HPV qui contaminent les humains et l’élimination des souches visées par le vaccin permet la prolifération d’autres souches possiblement aussi toxiques…

De plus la propagande mensongère pour le Gardasil, prétendant qu’il protège contre le cancer, dissuade certaines femmes vaccinées de poursuivre le dépistage cytologique [7, 8]  seule méthode qui ait fait ses preuves de son efficacité.

Une vaccination potentiellement risquée

Comme lors du covid, le ministère et le médias affirment que la vaccination Gardasil serait sans risques et les médias officielles mettent systématiquement en doute la possible responsabilité du vaccin dans les accidents constatés. Chaque fois que des chercheurs, se demandent si telle maladie pourrait être liée à un vaccin, le chœur des furies se déchaîne les cloue au pilori au nom du prétendu danger que leurs questions feraient courir à la couverture vaccinale. Elever la couverture vaccinale comme un objectif sacré pour justifier la censure, c’est grotesque et totalement anti-scientifique.

De nombreuses complications post vaccinales sont mentionnées dans la notice d’emballage de Gardasil : évanouissements, fièvre, étourdissements [9], nausées et maux de tête, syndrome de Guillain-Barré, [10] myélite transverse [11], thromboses et embolies, pancréatites et maladies auto-immunes… Ces complications auxquelles sont venus s’ajouter stérilité par insuffisance ovarienne prématurée [12], uvéite et névrite optique [13], encéphalomyélite aiguë disséminée  [14, 15, 16, 17] , décès sont attestées par des centaines de procès et les manifestations dans de nombreux pays.

En France, le cas de M O Bourguignon montre la ténacité nécessaire pour faire reconnaitre la relation la responsabilité du Gardasil. 

Après la mort d’un élève de 12 ans survenue après l’injection scolaire de Gardasil, l’agence régionale de santé des Pays-de-la-Loire a immédiatement affirmé qu’il n’y avait aucun lien avec le vaccin lui-même en reconnaissant tout de même la responsabilité de la vaccination et surtout du médecin qui a été mis en examen pour homicide involontaire [18]. La responsabilité de l’ARS qui a organisé la vaccination en milieu scolaire n’a pas été évoquée…

En 2015, le Danemark a ouvert cinq “cliniques HPV” pour traiter les victimes du Gardasil. Plus de 1300 cas ont été traités dans ces cliniques et certaines ont fait l’objet d’un reportage télévisuel

Au Japon, en Irlande [1] et en Colombie [20] les victimes du Gardasil ont manifesté.

Selon le prospectus du Gardasil, les femmes sont 100 fois plus susceptibles de souffrir d’un événement grave après vaccination avec le Gardasil que d’avoir le cancer du col de l’utérus.

D’après Children Health Defense [21], les chances d’avoir une maladie auto-immune due au Gardasil, même si le vaccin fonctionne, sont 1000 fois plus grandes que les chances d’être sauvé du décès par cancer du col de l’utérus.

L’incidence de ces complications nettement plus élevée qu’après d’autres vaccinations est estimée à près de 2500/100000 alors que celle du cancer du col en France ne dépasse pas 6/100000 témoignant d’une balance avantage/risque franchement défavorable.

Une vaccination au coût totalement disproportionné.

Chez les adultes et adolescents, la vaccination nécessite 3 doses à 123 euros, ce qui revient, avec les consultations médicales indispensables à environ 500 euros, alors que la fabrication d’une dose revient à moins de 1 euro.

Pour Merck et Sanofi il s’agit d’une manne financière colossale, évaluée à 3,80 milliards de dollars en 2019 et qui devrait atteindre 12,69 milliards de dollars en 2027, avec un TCAC de 16,3 % au cours de la période de prévision [22]. Cette rentrée financière lui donne la motivation et les moyens de convaincre les influenceurs et décideurs qu’ils soient fonctionnaires, membre d’agences sanitaires, de sociétés savantes ou de partis politiques…

Si cette vaccination était rendue obligatoire en France, elle reviendrait chaque année à plus de 300 millions d’euros alors que coût annuel du traitement du cancer du col en France a été évalué à 43,9 millions d’euros.[23]

En supposant que le Gardasil puisse éviter les 3000 cancers du col annuels, ce qui est scientifiquement inimaginable [24] comme nous l’avons vu précédemment, le coût de cette mesure atteindrait plus de 100000 euros par cas évité alors que le cout moyen du traitement d’un cancer du col est de 13 509 euros [25], soit 7 fois moins !

Sans oublier les complications du Gardasil responsables d’hospitalisations, de soins onéreux et d’indemnisation des victimes qui alourdissent le cout de la vaccination.

 Au total, les vaccinés par Gardasil coûtent au minimum dix fois plus que les non vaccinés, ce qui pose problème en cette période de déficit grave des comptes publics.

La ligue contre le cancer demande l’obligation de cette vaccination inefficace, dangereuse et hors de prix. 

Que la ligue contre le cancer désire diminuer la fréquence du cancer du col est naturel. Mais qu’elle réclame une obligation vaccinale pour le Gardasil alors qu’il n’y a toujours pas de preuve de son efficacité anticancéreuse et une certitude de risques de complications est scientifiquement incompréhensible.  

D’autant que le dépistage cytologique permet de le prévenir et que la quasi-totalité des femmes qui meurent de ce cancer ne s’y sont pas soumises. La ligue devrait davantage se consacrer à la promotion du dépistage qu’au Gardasil.

Mais il s’agit d’une habitude pour la ligue de soutenir tous les traitements anticancéreux qui se disent efficaces, même si cette affirmation est douteuse…

En conclusion

Les vaccins anti HPV sont administrés à une population jeune pour empêcher la survenue d’une maladie rare en France et qu’on prévient déjà avec le frottis de dépistage cytologique. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n’y a rien d’antivax à la poser.

La propagande massive qui a entouré le lancement et l’implémentation de cette vaccination fait perdre tout sens de la réalité. Il n’y avait aucune raison d’homologuer Gardasil de façon accélérée et, à ce jour, aucun élément scientifique solide ne justifie de recommander massivement la vaccination anti-HPV, ni d’en faire supporter les coûts aux systèmes de santé. Quant à l’obligation vaccinale, elle est totalement indéfendable si l’on considère uniquement les faits avérés. 

Dr Gérard Delépine

Chirurgien, cancérologue, statisticien

Notes :

1 Nordcan registre nordique des cancers https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?sexes=2&cancers=190&populations=208&years=2005_2023&age_start=0&age_end=17

2 https://hpvcentre.net/statistics/reports/DNK_FS.pdf

3 https://www.cancer.fr/toute-l-information-sur-les-cancers/comprendre-les-cancers/epidemiologie-et-donnees-en-cancerologie/les-donnees-sur-les-cancers/incidence-et-mortalite-des-cancers/incidence-nationale-des-cancers-en-2023

4 Bistoletti P, von Krogh G, Rylander E. Extremt låg risk få invasiv cervixcancer på grund av genital papillomvirusinfektion [Extremely low risk of invasive cervix cancer caused by genital papillomavirus infection]. Lakartidningen. 1990 Dec 19;87(51-52):4434-5. Swedish. PMID: 2273926.

5 Lehtinen M, Paavonen J. Papilloomavirus ja kohdunkaulan syöpä–ei aihetta ennenaikaisiin johtopäätöksiin [Papillomavirus and cervical carcinoma–no reason for premature conclusions]. Duodecim. 1990;106(8):597-9. Finnish. PMID: 1670244.

6 Moodley J. Combined oral contraceptives and cervical cancer. Curr Opin Obstet Gynecol. 2004 Feb;16(1):27-9. doi: 10.1097/00001703-200402000-00006. PMID: 15128004.

7 Shalini L. Kulasingam a Sonia Pagliusi b, Evan Myers a Potential effects of decreased cervical cancer screening participation after HPV vaccination: An example from the U.S Volume 25, Issue 48, 23 November 2007, Pages 8110-8113 Vaccine

8 Adherence to cervical screening in the era of human papillomavirus vaccination: how low is too low?

Bauch, Chris T et al. The Lancet Infectious Diseases, Volume 10, Issue 2, 133 – 137

9 Brinth LS, Pors K, Theibel AC, Mehlsen J. Orthostatic intolerance and postural tachycardia syndrome as suspected adverse effects of vaccination against human papilloma virus. Vaccine 33: 2602-2605, 2015.

10 Souayah N, et AI. Guillain-Barré syndrome after Gardasil vaccination: data from Vaccine Adverse Event Reporting System 2006-2009. Vaccine. 2011 Jan 29;29(5):886-9.

11 Sutton I, Lahoria R, Tan I, Clouston P, Barnett M. CNS demyelination and quadrivalent HPV vaccination. Mult Scler. 2009 Jan;15(1):116-9. doi: 10.1177/1352458508096868. Epub 2008 Sep 19. PMID: 18805844.

12 Celeste McGovern  Vaccine Boom, Population Bust: Study Queries Link Between HPV Vaccine and Soaring Infertility 2018 Nov

13 Hyeyeon Chang, Hye Lim Lee, Minju Yeo et al Recurrent optic neuritis and neuromyelitis optica-IgG following first and second human papillomavirus vaccinations. Clin Neurol Neurosurg. 2016 May ;144:126-8. Epub 2016 Mar 29. PMID: 27046292

14 Yonee C, Toyoshima M, Maegaki Y, et al. Association of acute  cerebellar ataxia and human papilloma virus vaccination: a casereport. Neuropediatrics 44: 265-267, 2013.

15 Wildemann B, Jarius S, Hartmann M, Regula JU, Hametner C. Acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Neurology 72: 2132-2133, 2009.

16 Sekiguchi K, Yasui N, Kowa H, Kanda F, Toda T. Two cases of acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Intern Med 55: 3181-3184, 2016.

17 Menge T, Kieseier BC, Nessler S, Hemmer B, Hartung HP, Stüve O. Acute disseminated encephalomyelitis: an acute hit against the brain. Curr Opin Neurol 20: 247-254, 2007.

18 https://lecourrierdesstrateges.fr/2025/03/10/collegien-mort-apres-injection-gardasil-un-medecin-mis-en-examen-pour-homicide-involontaire/

19 https://initiativecitoyenne.be/2018/08/des-centaines-de-victimes-protestent-contre-le-vaccin-anti-hpv-dans-les-rues-de-dublin.html

20 https://initiativecitoyenne.be/2015/07/manifestations-dans-les-rues-de-colombie-contre-le-gardasil.html

21 https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-safety/25-raisons-deviter-le-vaccin-gardasil/?lang=fr

22 Source: https://www.fortunebusinessinsights.com/fr/human-papillomavirus-hpv-vaccines-market-101962

23 Coût de la prise en charge du cancer invasif du col de l’utérus en France Volume 94, numéro 2, Février 2007 https://www.jle.com/fr/revues/bdc/edocs/cout_de_la_prise_en_charge_du_cancer_invasif_du_col_de_luterus_en_france_273283/article.phtml

24 Tomljenovic L, Wilyman J, Vanamee E, Bark T, Shaw CA. HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism. Infect Agent Cancer. 2013 Feb 1;8(1):6. doi: 10.1186/1750-9378-8-6. PMID: 23369430; PMCID: PMC3565961.

25 de 9 164 € pour un stade I, 15 999 € pour un stade II, 22 697 € pour un stade III et 26 886 € pour un stade IV Arveux P, Bénard S, Bouée S, et al. Coût de la prise en charge du cancer invasif du col de l’utérus en France. Bull Cancer 2007;94(2):219-24.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

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L’AFP et France info mentent sur le cancer du col au Danemark et érigent en modèle un pays vacciné où le risque est 70% plus élevé qu’en France ! Lire la suite »

Les volailles françaises vaccinées par ARNm auto-amplifiant : y a-t-il un risque ?

Source : Santé et Nutrition

Depuis avril 2024, certains élevages de canards en France sont vaccinés avec le Ceva Respons AI H5, un vaccin vétérinaire inédit basé sur la technologie de l’ARN messager auto-amplifiant. Présenté comme une avancée majeure contre la grippe aviaire, ce vaccin suscite une inquiétude croissante : que deviennent ces molécules une fois les animaux abattus ? Et leur présence dans nos assiettes pourrait-elle avoir un effet sur notre organisme, voire nous vacciner à notre insu ?

Ce vaccin repose sur une technologie encore peu connue du grand public : l’ARN messager injecté n’est pas statique, il s’auto-réplique dans les cellules de l’animal. L’objectif est clair : produire plus de protéines virales avec des doses réduites, en optimisant la réponse immunitaire. Mais cette capacité d’auto-amplification soulève de nombreuses questions, notamment sur la traçabilité et la dégradation de ces molécules.

Les autorités sanitaires françaises se veulent rassurantes. Selon elles, la consommation de viande issue d’animaux vaccinés ne présente « aucun danger pour l’Homme ». Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires, explique que « l’ARN est très rapidement détruit dans la cellule » et qu’il est « totalement dégradé » avant même que l’animal ne soit abattu. Selon cette version, aucune trace d’ARN vaccinal ne subsisterait dans la viande destinée à la consommation.

Mais cette lecture est loin de faire consensus. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, exprime de vives réserves. Il rappelle que chez l’humain, des études ont montré la persistance d’ARN vaccinal jusqu’à 28 jours après l’injection, et celle de la protéine Spike jusqu’à 709 jours. Ces résultats suggèrent que les molécules utilisées ne se dégradent pas aussi rapidement que prétendu.

Selon lui, « les ARN vaccinaux sont ultra-stabilisés, bien différents des ARN naturels ». Cette stabilité exceptionnelle serait rendue possible par leur encapsulation dans des nanoparticules lipidiques, qui facilitent leur entrée dans les cellules. Mais ces particules protectrices pourraient aussi conférer une résistance accrue à la chaleur de la cuisson et à l’acidité gastrique, ce qui laisse ouverte la possibilité que l’ARN reste actif même après ingestion.

À ce stade, seuls certains canards sont vaccinés avec cette technologie. Cependant, l’autorisation a déjà été étendue aux poules, ce qui pourrait rapidement accroître la part de viande concernée dans les rayons. Quant aux bovins et ovins, ils restent pour l’instant soumis à des vaccins plus traditionnels, à virus inactivé, notamment contre la fièvre catarrhale.

Cette situation soulève une problématique de transparence et de choix éclairé : les consommateurs n’ont aujourd’hui aucun moyen de savoir si la viande qu’ils achètent provient d’animaux vaccinés avec un ARNm auto-amplifiant. Entre confiance institutionnelle et signaux d’alerte scientifique, la controverse ne fait que commencer.

Source : NTD France

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« Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. »

Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. » La vie de la famille Valla a basculé le 15 mars 2013. Ce jour-là, leur fils Solal est vacciné pour la première fois. Dans la seringue : Infanrix Hexa, qui comprend six valences (DTPolio, hépatite B, coqueluche et Haemophilus influenzae), Prévenar contre les infections à pneumocoques, et Rotateq, en prévention des gastro-entérites liées au rotavirus. Né le 6 janvier 2013, Solal a alors un peu plus de deux mois. C’est un bébé en parfaite santé. « Ma grossesse a été normale, j’ai accouché à terme de mon petit garçon, qui pesait 3,049 kg et que j’ai allaité, raconte Jihane, sa maman. Il a babillé à trois semaines, à deux mois, il commençait à redresser sa tête tout seul, il était tonique, souriant, éveillé. » Le soir de la vaccination, Solal a 39° de fièvre. La température descend avec du paracétamol, mais remonte trois jours plus tard, accompagnée de diarrhées. Rien d’inquiétant selon le médecin de la PMI qui a fait l’injection : « Il m’a dit que c’était un effet secondaire banal et fréquent des vaccins », se souvient la maman. Mais les troubles continuent : l’enfant se crispe, hurle, régurgite, se constipe… Les parents consultent cinq pédiatres, la réponse est toujours la même : tout est normal. Le 26 avril, le nourrisson reçoit une deuxième #vaccination avec le #Pentavac ( #DTPolio , coqueluche et Haemophilus influenzae). À nouveau, il est fiévreux, mais cette fois, il semble absent et peine à mobiliser son côté droit. « Les médecins ont tout mis sur le compte de ses coliques et m’ont dit que j’étais trop stressée », affirme sa mère. Pire : un mois plus tard, le 27 mai, un rappel d’ #Infanrix Hexa et de #Prévenar est administré à Solal sans crier gare : « Je ne voulais pas qu’on lui fasse ce troisième vaccin. J’ai fait part de mes craintes au pédiatre sur l’hypotonie de mon fils. Il l’a pris, l’a remué pour évaluer la tenue de sa tête et m’a dit que c’était un “gros paresseux”. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il lui avait déjà fait la piqûre », dénonce Jihane. Les jours suivants, l’état de santé de son bébé s’aggrave tellement qu’elle exige la prescription d’un électroencéphalogramme, qui s’avérera anormal. Hospitalisé à l’hôpital de Valence, l’enfant est transféré dans un état critique à l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron. Les parents signalent la corrélation entre les vaccinations et l’apparition des symptômes. En vain : les médecins suspectent un facteur génétique, neurologique, puis métabolique, mais les examens ne confirment pas ces hypothèses. Finalement, un diagnostic tombe : encéphalite d’origine inconnue. Jihane Valla n’y croit pas. Pour elle, c’est sûr : l’origine est vaccinale. Cette inflammation du cerveau figure d’ailleurs dans la liste des effets indésirables « très rares » de certains vaccins. Il s’agirait très probablement, d’après les investigations du Dr Denis Agret, de vascularites cérébrales responsables de cette encéphalite. Il a recensé d’autres cas, comme celui du fils de Lionel Nobili, lui aussi gravement handicapé après les vaccins pédiatriques. Tous ces témoignages doivent libérer la parole et inciter d’autres parents à témoigner. L’obligation vaccinale de janvier 2018 doit, selon eux, être abolie définitivement. En 2019, le Dauphiné Libéré

@ledauphine a écrit : Solal a été victime d’une « encéphalite post-vaccinale survenue lorsqu’il était bébé » en mai 2013.

https://ledauphine.com/drome/2019/05/05/mallisard-solal-6-ans-a-besoin-de-vous-pour-grandir

https://alternativesante.fr/vaccins/vaccins-le-combat-d-une-mere?fbclid=IwY2xjawKDQ19leHRuA2FlbQIxMQABHqUEVK71WEhQ2eKBzUPcpC4eG5kQb4UvgPtNflR7xcBys5q-hn6cjfRRGOQ5_aem_ac7mfD4PIv-cJeOZ86pg9A A quand la liberté vaccinale pour aller à la crèche ou à l’école ? Pour soutenir Solal et ses parents. https://petit-soleil-deviendra-grand.jimdofree.com/hier-aujourd-hui/

« Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. » Lire la suite »

Radicalisme, violence… qui sont les vrais fascistes ?

Le 24 avril au soir à Guenrouët, j’ai donné une conférence pour présenter les résultats de mon dernier livre “Victimes des vaccins Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels”. Juste avant le début de la conférence un groupe de 5 antifas portant des masques sur la figure, mais probablement pas pour se prémunir des virus, sont arrivés bruyamment. Ils avaient réalisé une grande pancarte dont mon éditeur et moi-même étions les principaux objets. Pour précision, Guenrouët est un charmant village de 3000 habitants au milieu de la campagne. La soixantaine de personnes présentes à la conférence se trouvant en périphérie du village n’était pas là par hasard et le lieu est très loin d’être passant. L’intérêt de manifester à cet endroit pour faire passer leurs idées est donc assez limité. Mais ce n’était pas leur but.

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Doxanano défie Big Pharma avec une chimiothérapie qui soigne sans ravager les patients

Source : Géopolitique Profonde

par Franck Pengam

«Il faut faire vite, bon sang ! Des centaines de milliers de malades attendent désespérément».

C’est le cri du cœur qui résonne dans les labos de Doxanano. Cette société installée à Pessac, en Gironde, ne fait pas dans la demi-mesure : elle chamboule tout avec sa chimiothérapie commandée à distance.

L’équipe de chercheurs girondins a mis au point une technique qui semble presque trop belle pour être vraie – soigner sans détruire, guérir sans transformer les patients en loques humaines. Après des décennies de chimio dévastatrice, ça fait rêver, non ?

En ce moment, 60% des personnes touchées par le cancer reçoivent ces cocktails de médicaments toxiques. C’est le traitement de référence, incontournable. Mais jusqu’à présent, il fallait accepter cette contradiction macabre : détruire pour guérir, empoisonner pour sauver.

Avec leur innovation, ces scientifiques français pourraient bien réussir ce que les grands labos pharmaceutiques qui se gavent depuis des années n’ont jamais vraiment cherché à faire : rendre la chimio enfin supportable. Mais combien de temps avant que les autorités daignent autoriser cette avancée ? Espérons que les malades n’attendront pas aussi longtemps que pour d’autres traitements prometteurs balayés d’un revers de main par notre administration.

Pour une fois qu’une solution française pourrait s’imposer face aux géants américains… encore faudrait-il que notre système ne l’étouffe pas sous des tonnes de paperasse et de «précautions».

Une médecine personnalisée pour les patients

Isabel Marey-Semper, tête pensante de la start-up bordelaise et docteure en neuropharmacologie, ne mâche pas ses mots sur les traitements contre le cancer :

«Le paradoxe de la chimiothérapie, c’est une dose présente localement dans la tumeur trop faible pour être totalement efficace et une dose trop forte dans les organes sains pour être inoffensive».

Autrement dit, les médecins dosent aujourd’hui les traitements non pas selon ce qui tuerait vraiment la tumeur, mais selon ce que le malade peut encaisser sans y laisser sa peau. Encore une fois, nos systèmes de santé sacrifient l’efficacité au profit du «moindre mal» – comme si on devait s’en contenter.

La chimio, on le sait tous, c’est cette saloperie qui vous met à genoux pendant des mois. Elle bombarde tout sur son passage : cellules cancéreuses comme cellules saines. J’ai vu des proches perdre leurs cheveux, leur appétit et leur joie de vivre à cause de ces protocoles qu’on nous présente comme incontournables.

Des avancées concrètes pour les malades

Pendant que nos élites s’acharnent à trouver des solutions pour censurer les réseaux sociaux ou contrôler nos déplacements, des chercheurs comme Marey-Semper tentent, eux, de résoudre de vrais problèmes qui touchent des millions de Français chaque année. Mais combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que ces avancées arrivent jusqu’aux malades ?

«On veut inverser ce paradigme, explique Isabel Marey-Semper. Injecter au cœur de la tumeur des doses jamais atteintes, tout en préservant les organes sains».

Une innovation française qui défie les géants

Pour réaliser cette prouesse médicale, une invention révolutionnaire vient d’être brevetée, et je ne peux m’empêcher de vous parler de l’un de ses créateurs, Sébastien Lecommandoux. Ce physico-chimiste n’est pas un inconnu dans le milieu : pionnier dans le domaine des polymères organiques, il a cofondé Doxanano tout en présidant la chaire «Innovation technologique Liliane Bettencourt» au prestigieux Collège de France.

Quand on l’interroge sur sa découverte, le scientifique explique sans langue de bois :

«Il s’agit de nanovésicules synthétiques à base de ces copolymères appelés DXN qui ont deux propriétés opposées : ils sont à la fois très stables en conditions physiologiques, mais dégradables sous radiothérapie».

Une innovation qui pourrait bien changer la donne en médecine, alors que tant d’autres secteurs restent coincés dans des logiques bureaucratiques stériles. Pour une fois, voilà une avancée concrète qui ne vient pas des laboratoires américains subventionnés, mais bien d’un chercheur français.

Ces nanovésicules représentent l’espoir d’une médecine plus ciblée et moins invasive. Espérons simplement que nos élites ne trouveront pas le moyen de compliquer l’accès à cette technologie ou d’en faire grimper les coûts, comme c’est trop souvent le cas avec les innovations majeures dans notre pays.

D’un côté, on a la doxorubicine, un anticancéreux qui a largement prouvé son efficacité. De l’autre, ces fameuses nanovésicules qui servent à transporter le médicament jusqu’au cœur des cellules cancéreuses. Mais il manquait encore un truc : comment libérer ce médicament précisément là où on en a besoin ?

«Ces nanovésicules, ce sont comme des coffres-forts microscopiques faits de grosses molécules, qui restent fermés quand ils ne sont pas exposés à la radiothérapie. Ce qui rend notre approche vraiment révolutionnaire, c’est qu’on a trouvé comment les faire s’ouvrir, sous l’action des rayons X, avec des premiers résultats qui dépassent nos espérances», déclare Sébastien Lecommandoux.

Il faut bien l’admettre, cette avancée pourrait changer complètement la façon dont on traite certains cancers. Finies, peut-être, les chimiothérapies qui détruisent tout sur leur passage, cellules saines comme cellules malades ? Cette technique permettrait de concentrer l’attaque uniquement sur les cellules à éliminer.

Je dois dire que cette combinaison entre nanotechnologie et radiothérapie classique ouvre des perspectives fascinantes. On parle quand même d’une prouesse qui pourrait diminuer considérablement les effets secondaires des traitements anticancéreux, souvent plus dévastateurs que la maladie elle-même.

La vraie révolution ici, c’est cette idée de «déclencheur externe» – les rayons X – qui permet de contrôler quand et où le médicament est libéré. C’est comme si on avait inventé une bombe intelligente à l’échelle cellulaire, qui n’explose que lorsqu’elle reçoit un signal précis, et uniquement à l’endroit ciblé.

Une révolution thérapeutique en marche

Le Dr Charles Dupin, cancérologue à Bordeaux, vient de franchir un cap décisif en médecine. Ce spécialiste des cancers ORL et gastro-intestinaux a uni ses forces avec l’équipe Doxanano pour développer une thérapie révolutionnaire. Et croyez-moi, ce n’est pas rien.

À la frontière entre pratique médicale et recherche fondamentale, ce médecin du CHU bordelais maîtrise notamment la radiothérapie stéréotaxique – une technique d’irradiation ultra-précise. Mais c’est en cherchant plus loin qu’il a fait mouche.

«En radiothérapie, depuis longtemps, nous cherchions des solutions thérapeutiques qui seraient déclenchées par les rayons, et on a trouvé, se réjouit-il. La chimiothérapie commandée à distance est une possibilité novatrice avec des possibilités incroyables, puisque toutes les tumeurs solides pourraient être traitées».

Cette avancée pourrait bien rendre obsolètes certains protocoles actuels, souvent éprouvants pour les patients. Fini, peut-être, les traitements qui ravagent tout sur leur passage ? Une lueur d’espoir dans un système de santé qui, convenons-en, nous a habitués à des promesses rarement tenues.

Un traitement révolutionnaire face aux lobbies

À l’assaut du cancer : ce traitement révolutionnaire qui inquiète les lobbies pharmaceutiques

Les médecins indépendants cherchent à éliminer la sale bête sans sacrifier la qualité de vie du patient. Sacré pari ! Cette thérapie qui bouscule la cancérologie traditionnelle s’attaque d’abord aux tumeurs du rectum les plus coriaces.

Charles Dupin et Samuel Amintas, ces chercheurs qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream, font équipe avec les professeures Vendrely et Dabernat du CHU de Bordeaux. Je reste convaincu que leur approche dérange les grands groupes pharmaceutiques habitués à nous vendre des traitements à rallonge.

La start-up qui développe ces nanomédicaments espère traiter son premier patient d’ici fin 2028. Mais le parcours ressemble à un véritable chemin de croix administratif : tests précliniques, essais cliniques, et surtout ces fameuses «autorisations» que les bureaucrates peuvent faire traîner pendant des années quand un traitement menace les intérêts établis. Combien de malades auraient pu être sauvés si l’État accélérait ces procédures comme il sait le faire quand ça l’arrange ?

Les défis et espoirs de Doxanano

«Nos premiers résultats sur les animaux répondent à toutes nos attentes, souffle Isabel Marey-Semper. Les nanovésicules fluorescentes ciblent parfaitement la tumeur et les tests démontrent leur innocuité, elles sont totalement tolérées par l’organisme».

J’ai pu constater que malgré l’enthousiasme des chercheurs, ces découvertes restent encore largement ignorées du grand public. Pas étonnant quand on sait comment nos médias préfèrent nous abreuver de conflits lointains plutôt que de vraies avancées pour notre santé.

Autre détail qui ne surprendra personne : si Doxanano maintient son siège social à Paris, c’est bien en province que l’entreprise a choisi d’implanter ses activités concrètes et son laboratoire, à Pessac plus précisément. L’usine devrait également s’y installer prochainement.

On ne peut s’empêcher de se demander si cette innovation française bénéficiera vraiment aux Français, ou si elle finira comme tant d’autres par être rachetée par un géant américain… avant que les traitements ne nous reviennent à prix d’or.

Notre système de santé, déjà au bord de l’implosion, pourra-t-il seulement se permettre de telles avancées quand elles seront disponibles ? Espérons que cette fois, l’argent de nos impôts servira à financer des traitements accessibles à tous, et non des intérêts privés.

Les pionniers de la nanomédecine

Isabel Marey-Semper, Sébastien Lecommandoux et Leslie Dubrana ont mis la main à la poche pour fonder leur propre biotech. Ce trio d’entrepreneurs, dont Dubrana qui baigne depuis des années dans la nanomédecine, n’a pas attendu les promesses habituelles de nos élites pour agir.

La petite entreprise n’a pas été laissée totalement seule face aux géants du secteur – la Région Nouvelle-Aquitaine et BPI France ont daigné apporter leur soutien financier. On se demande d’ailleurs combien de paperasses et de justificatifs ces entrepreneurs ont dû fournir pour obtenir ces miettes, eux qui créent de la vraie valeur sur le territoire.

Le développement continue malgré tout. Ils viennent de lancer une levée de fonds ambitieuse de 4 millions d’euros. Cet argent, qu’ils n’iront pas chercher dans la poche du contribuable comme nos politiciens savent si bien le faire, servira à financer les prochaines étapes cruciales du premier nanomédicament de la société.

L’avenir nous dira si cette initiative française pourra percer face aux mastodontes américains qui trustent habituellement ce genre d’innovations médicales, pendant que nos gouvernants préfèrent souvent financer leurs lubies idéologiques plutôt que nos chercheurs.

Doxanano défie Big Pharma avec une chimiothérapie qui soigne sans ravager les patients Lire la suite »

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