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Pays-Bas : procès géant contre, entre autres, l’État néerlandais, l’ancien Premier ministre Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla et le milliardaire Bill Gates

Source : deanderekrant.nl

Par Ido Dijkstra | Date : 10 juillet 2025

Quatre semaines après l’arrestation choquante de l’avocat Arno van Kessel, son associé Peter Stassen a repris seul le procès géant contre, entre autres, l’État néerlandais, l’ancien Premier ministre Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla et le milliardaire Bill Gates, devant le tribunal de district de Leeuwarden, le mercredi 9 juillet. Des centaines de sympathisants, dont l’épouse de Van Kessel, l’ont accueilli en héros. Stassen avait lancé un appel moral au juge, l’exhortant à « veiller à ce qu’il n’y ait pas de sang sur les mains ».

« Il faut faire quelque chose, ça ne peut plus se reproduire », crie un policier à son collègue à l’entrée du palais de justice de Leeuwarden. Plusieurs policiers viennent de commencer à barricader l’entrée principale du bâtiment, sur Zaailand, la grande place du marché de la capitale frisonne. Une centaine de personnes viennent de franchir le portique de sécurité avec l’autorisation de l’administration, mais que faire avec au moins autant de monde à l’extérieur ?

Dans la cour du palais de justice de la capitale frisonne, ceux qui restent et ne sont pas admis dans la salle d’audience scandent « Libérez Arno van Kessel, libérez Arno van Kessel ! » Les passants ignorent souvent ce qui se dit, mais tous sont impatients de leur annoncer l’arrestation d’un avocat courageux qui s’attaque à l’élite de la justice pénale et l’importance de cette affaire pour tous. Dans ce contexte, il est assez étrange que le tribunal de district du nord des Pays-Bas, situé à Leeuwarden, semble avoir largement sous-estimé l’intérêt du public.

Toute cette agitation préalable au procès a entraîné un retard de quinze minutes. L’absence notable d’Arno van Kessel, l’un des avocats du plaignant, était notable. Arraché de force quatre semaines plus tôt par une équipe d’intervention spéciale, il est détenu depuis à l’établissement de sécurité renforcée de Vught, sur la base de vagues allégations du ministère public. Son épouse, Helena, présente au procès à Leeuwarden, n’a pas parlé directement à son mari depuis quatre semaines.

Les plaignants et les défendeurs n’en parlent pas un seul mot. La salle d’audience est principalement consacrée à l’affaire, l’avocat Peter Stassen intervenant au nom de sept victimes de la vaccination contre le coronavirus, dont l’une est décédée l’année dernière. Le reste de la longue table semi-circulaire est occupé par huit avocats des défendeurs, presque tous employés par le cabinet d’avocats Pels Rijcken de La Haye, également connu sous le nom d’Avocat d’État.

Stassen ouvre l’audience de manière saisissante en s’adressant immédiatement au juge au sujet des directives modifiées concernant la presse (voir encadré — ndlr). Il entame ensuite sa plaidoirie formelle de manière tout aussi saisissante, par un verset biblique : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera » (Jean 8, 32). L’affaire est axée sur la recherche de la vérité, soutient Stassen, et ce mercredi, la juge, Mme Werkema, doit déterminer si l’ancienne haute fonctionnaire américaine Catherine Austin Fitts, l’ancien vice-président de Pfizer Mike Yeadon, l’ancienne dirigeante pharmaceutique Sasha Latypova, la chercheuse Katherine Watt et le psychothérapeute Joseph Sansone sont de bons témoins dans cette affaire colossale.

Stassen soutient que ces experts devraient être entendus sous serment, mais les accusés refusent catégoriquement, au grand désespoir du résident du Brabant-Septentrional. « Si mes clients ne sont pas autorisés à utiliser ces éléments de preuve préliminaires, alors ce tribunal refuse de connaître la vérité, et encore moins de les acquitter. C’est pourquoi, une seule bonne décision est possible concernant cette demande. »

Il est intéressant de noter que les avocats des défendeurs comme Bill Gates, Agnes Kant, Diederik Gommers, Jaap van Dissel, Sigrid Kaag et Hugo de Jonge ne s’expriment pas beaucoup. Ils se réfèrent principalement à ce qui est déjà écrit : ils ne considèrent pas les personnes nommées par Stassen comme de bons témoins experts. L’avocat de l’État néerlandais apporte quelques précisions. « Les experts proposés par les plaignants ne sont pas des experts, et encore moins des experts indépendants. Nombre de leurs questions sont dénuées de fondement factuel et hors de propos. » Tandis que trois victimes du vaccin contre le coronavirus sont assises à côté de Stassen, celle-ci affirme également que les vaccins contre le coronavirus se sont avérés « sûrs et efficaces », car, selon elle, il s’agit du « consensus scientifique général ». L’auditoire exprime sa consternation face à la fragilité de cet argument. Un instant plus tard, Stassen rétorque : « Un consensus scientifique ? Qu’est-ce que c’est, au juste ? »

L’expression « consensus scientifique » est, en soi, une monstruosité. Ce n’est pas parce que la majorité affirme que A est vrai que A est vrai par définition. La science n’est pas une démocratie. Je pourrais facilement citer cinq personnalités qui tirent une conclusion différente. Tout est une question de qualité des preuves. Les accusés refusent systématiquement de l’accepter, comme on le voit.

Enfin, Stassen a impressionné ses partisans, notamment par une plaidoirie enflammée. Il a accusé la partie adverse d’avoir simplement utilisé de « faux arguments ad hominem pour saper l’expertise de ses témoins ». L’avocat d’Eindhoven a qualifié les programmes de vaccination contre le coronavirus de « plus grand génocide de l’humanité. Un crime sans précédent, accompagné de coercition, de tromperie, voire de meurtre » et a lancé un appel moral au juge. « Si vous, en tant que juge, rejetez notre demande d’audition de ces témoins, ce dont je doute, le sang déjà sur les mains des accusés sera bientôt sur les vôtres. Cette affaire doit devenir un débat public qui ne peut être tranché que devant un tribunal. La politique a déjà prouvé son impuissance. Le tribunal doit maintenant faire ses preuves. Je vous souhaite beaucoup de sagesse dans votre décision. »

Stassen, visiblement ému, a ensuite été accueilli par un tonnerre d’applaudissements et le slogan « Peter merci » par des centaines de partisans, dont l’épouse de Van Kessel.

Après avoir entendu les parties, le juge a indiqué qu’il lui faudrait environ six semaines pour rendre une décision.

Stassen interpelle également le juge sur les directives de presse : « Vous êtes le chef dans la salle d’audience »

Les nouvelles directives sur la presse, mises en œuvre par le pouvoir judiciaire le 1er juin 2025, restreignant la liberté du journalisme, violent la liberté constitutionnelle de la presse et encouragent la censure. Le procès de mercredi dernier l’a clairement démontré. Par exemple, le photographe de De Andere Krant, Markus Kamphuis, titulaire d’une carte de presse de la police, n’a pas été autorisé à prendre de photos, malgré les dispositions contraires du règlement. Le journaliste Ido Dijkstra, qui ne possédait pas de carte de presse de la NVJ, a bénéficié d’une clémence exceptionnelle du tribunal de Leeuwarden en tant que journaliste. La sténographe judiciaire Djamila le Pair souhaitait filmer l’intégralité de l’affaire, mais sa demande a été refusée. Cela a été une source de frustration pour Peter Stassen. Il a déclaré à la juge qu’elle n’était absolument pas tenue de se conformer à ces règles, « car il n’y a qu’un seul chef au tribunal, et c’est vous. Dans un État de droit, chacun doit pouvoir faire son travail de manière égale. La censure ne devrait avoir aucune chance. L’État de droit est compromis si les journalistes ne peuvent pas faire leur travail correctement. Si des journalistes paient en échange d’un morceau de plastique (comme des cartes de presse) et s’engagent ensuite à respecter toutes sortes de règles, cela n’a rien à voir avec la liberté de la presse. À mon avis, c’est vous qui décidez si la censure est autorisée dans ce tribunal, et non une quelconque directive de presse. » La juge a déclaré reconnaître « l’intérêt général de l’affaire », mais n’a pas précisé le contenu de l’argumentation de Stassen. Elle a bien mentionné qu’elle ferait réaliser un enregistrement audio, mais après l’objection de l’un des avocats de la défense, le sort qui en serait réservé restait flou.

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Transition de genre et Espagne, à rebours de l’évolution mondiale antiwoke

La folle loi espagnole proposée sur la transition de genre

Par le Dr G. Delépine chirurgien cancérologue statisticien

L’idéologie Woke, en perte de crédibilité aux USA, tente de résister et se manifeste en UE par sa volonté d’imposer ses croyances aux familles par des lois parfois ubuesques. Un exemple caricatural récent concerne l’Espagne où le groupe parlementaire socialiste tente de faire passer une loi qui sanctionnerait les parents refusant les traitements hormonaux ou une opération de changement de sexe pour leurs enfants mineurs.

Des peines de prison pour les parents qui veulent protéger leur enfant !

Le projet de loi prévoit d’envoyer en prison pour une durée pouvant aller jusqu’à deux ans les parents qui recherchent des conseils médicaux ou psychologiques pour prendre soin de la santé des mineurs qui ont été incités ou poussés à devenir transgenres, et de leur retirer leur droit de les élever et de prendre des décisions les concernant.

Les sanctions prévues par ce projet de loi s’ajouteraient aux amendes prévues précédemment par la loi 4/2023 du 28 février pour « l’égalité réelle et effective des personnes transgenres et pour la garantie des droits des personnes LGTBI », plus connue sous le nom de loi trans, pouvant aller jusqu’à 150.000 euros.

Ce projet de loi prévoit également de punir les professionnels de santé, qui refuseraient de procéder à une transition de genre. La proposition controversée a été approuvée pour examen en séance plénière du Congrès le 24 juin 25. Tous les groupes parlementaires, à l’exception de VOX, ont voté en faveur de ce projet.

Ces traitements pour mineurs sont abandonnés par la majorité des pays qui les avaient autorisés[1]

Les traitements hormonaux et la chirurgie de transformation sexuelle des mineurs ont été utilisés en Angleterre, en Suède, au Danemark, en Finlande , aux USA où  leur expérience les a conduits à les interdire ou à limiter fortement leurs indications.

En Suède, premier pays du monde à avoir autorisé, en 1972, les traitements pour changer de sexe des mineurs, un rapport de l’autorité nationale de la santé[2] a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans considérée comme atteinte de dysphorie de genre souffre en réalité de trouble anxieux, un autre tiers de dépression, une sur cinq de TDAH et une sur sept d’autisme.

En 2019, dans le journal Svenska Dagbladet, Christopher Gillberg, psychiatre de Göteborg (Suède) mondialement reconnu s’est alarmé :« Le traitement hormonal et la chirurgie sur les enfants sont une grande expérience qui risque de devenir l’un des pires scandales médicaux du pays. ».

D’après Sven Roman[3], psychiatre pour enfants, la majorité des patients dans cette situation souffrent d’autres maux qu’il est possible de traiter : « 90% des jeunes patients que je croise souffrent d’autres pathologies qui sont en fait leur vrai problème : ils sont autistes, atteints de dépression, d’anxiété, de syndrome post-traumatique (….) Pour tous ces troubles, nous avons des traitements dont l’efficacité a été prouvée par la science, mais pas pour la dysphorie de genre quand elle touche les enfants » « On devrait faire le travail que l’on a toujours fait dans la psychiatrie infantile : les écouter, leur parler, savoir pourquoi ils pensent ce qu’ils pensent et là, on pourrait les aider. »

En mars 2021, l’hôpital Karolinska (Suède), pionnier du traitement de la dysphorie de genre, a décidé de ne plus administrer de traitement hormonal aux patients mineurs[4], car il pourrait favoriser les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, les thromboses et certains cancers.

En février 2022 l’agence sanitaire suédoise a décidé « d‘arrêter l’hormonothérapie de transition de genre pour les mineurs, sauf dans de très rares cas » «et que les mastectomies pour les adolescentes souhaitant faire la transition devraient être limitées à un cadre de recherche ».

En décembre 2022, dans un communiqué le chef du Conseil national de la santé et de la protection sociale, Thomas Linden a rappelé : « l’état incertain des connaissances appelle à la prudence ».

En Grande-Bretagne

En 2004, le Gender Recognition Act a permis aux personnes souffrant de dysphorie de genre de changer légalement de sexe et interdit la discrimination sur la base de l’identité de genre dans le logement, l’embauche, la fourniture de biens et de services et l’entrée dans les forces armées britanniques.

Le service pédiatrique de la clinique Tavistock, promoteur des traitements transgenres chez les mineurs avec des bloqueurs de puberté, des hormones croisées et des traitements chirurgicaux a vu le nombre de demandeurs augmenter de manière considérable.[5]

Jusqu’à ce qu’une malade, Keira Bell, amputée de ses seins et traitée aux hormones regrette les traitements prodigués à Tavistock et l’attaque en justice pour consentement mal éclairé. Fin 2020, elle a gagné son procès en première instance contre la clinique qui avait donné son feu vert trop rapidement pour des traitements et mutilations qu’elle regrettait. Les juges ont estimé : « il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté ».

A la suite de cette affaire le ministère de la santé a commandité une étude indépendante au docteur Hilary Cass[6] qui a démontré que le service pédiatrique de l’hôpital Tavistock n’avait pas réalisé « de collecte de données systématique et cohérente » et que « son approche n’a pas été soumise à certains des contrôles de qualité habituels lorsque des traitements nouveaux ou innovants sont introduits ». De plus les médecins avaient été « soumis à une pression pour qu’ils adoptent une approche affirmative inconditionnelle  ». Ce qui allait « à l’encontre du processus standard d’évaluation clinique et diagnostic qu’ils ont été formés à entreprendre dans toutes les autres situations cliniques ».  Ces constatations ont entrainé la fermeture du service spécialisé.

Le 16 avril 2025, la Cour suprême britannique a rappelé par une décision unanime des cinq magistrats que les termes “femme” et “sexe” dans la loi se réfèrent à une femme biologique et à un sexe biologique »[7]. Confirmant qu’il est légal d’exclure les « femmes » transgenres de certains espaces réservés aux femmes – comme des centres d’hébergement ou dans des hôpitaux. L’association Sex Matters, qui était associée à ce recours, a d’ores et déjà affirmé qu’il n’y avait plus « aucune excuse » pour autoriser les femmes transgenres à participer à des événements sportifs féminins.

En Finlande

Une loi récente[8] permet aux adultes qui se sentent transgenres de changer légalement de genre par un processus d’auto-déclarations sans passer par un processus d’approbation médical et psychiatrique, mais exclue les mineurs de moins de 18 ans. Mais après un rapport [9] soulignant les risques des traitements hormonaux en juin 2020, la Finlande a également changé ses recommandations précédentes en donnant la priorité à la thérapie psychologique.

En Norvège

En 2023 Le Norwegian Healthcare Investigation Board a révisé ses lignes directrices sur le changement de genre pour les mineurs, car il ne les considère plus fondées sur des preuves scientifiques[10]. Il recommande au Ministère de la santé que « l’utilisation des bloqueurs de puberté, d’hormonothérapie et de chirurgie de changement de genre [soit] limitée aux contextes de recherche et ne [soit] plus fournie dans des contextes cliniques ». Le but des recherches étant de déterminer objectivement si un traitement est efficace ou non.

Au Danemark

En 2014, le Danemark est devenu le premier pays européen à adopter une loi permettant aux adultes de ne pas avoir besoin d’un diagnostic de dysphorie de genre pour enregistrer un changement de sexe légal. En 2016 un service danois centralisé de de transition genre pédiatrique a été créé, selon une approche proche du modèle néerlandais comprenant l’accueil, l’évaluation, la consultation et l’orientation vers des bloqueurs de puberté et des hormones intersexuelles. En 2017, il est devenu le premier pays au monde à retirer le        « trouble de l’identité de genre » de la liste des maladies mentales établie par les autorités de santé publique.

Mais devant les résultats discutables de l’hormonothérapie une restriction progressive des soins de transition aux mineurs s’est affirmée; en 2022, seulement 6 % des personnes orientées vers la clinique centralisée danoise spécialisée dans le genre se sont vus prescrire des interventions endocriniennes (bloqueurs de puberté et/ou hormones transsexuelles).

Le 31 mai 2023 Sophie Løhde, ministre de la santé a déclaré au Parlement danois[11]: « il est essentiel que toute décision relative à un traitement médical repose sur des bases professionnelles solides… le système hospitalier, est, comme chacun sait, devenue plus réticent à proposer des traitements hormonaux qu’auparavant…Cette réticence est particulièrement marquée chez les jeunes souffrant de troubles sexuels liés à la puberté. Le Conseil national de la santé danois a publié de nouvelles directives prévoyant qu’il n’est plus possible de proposer un traitement chirurgical de réassignation sexuelle aux enfants de moins de 18 ans…

Évolution récente aux USA

Lors de son retour à la Maison Blanche, le président Donald Trump a déclaré :    « à partir d’aujourd’hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera de dire qu’il n’y a que deux sexes, masculin et féminin« . Il a signé depuis plusieurs décrets, pour restreindre les procédures de transition pour les mineurs, pour exclure les personnes transgenres de l’armée et  couper les subventions fédérales aux organisations qui permettraient à des élèves transgenres de participer à des compétitions sportives féminines.

Le 31 janvier 2025 le CDC principale agence sanitaire des Etats-Unis, a retiré de nombreux textes relatifs aux questions de genre et de diversité.

En mars 2025 devant le congrès le président Trump s’est félicité d’avoir mis fin aux prétendues politiques de diversité, d’équité et d’inclusion » et a réclamé au Congrès une loi « interdisant et criminalisant définitivement les changements de sexe sur les enfants » : « Notre message à chaque enfant américain est que vous êtes (…) exactement comme Dieu vous a créé. »

Le 28 février 2025 l’Iowa est devenu le premier Etat américain à supprimer de son code des droits civils les règles protégeant les personnes transgenres. La loi promulguée par Kim Reynolds, définit les termes « sexe » et « genre » comme des synonymes, définis exclusivement par le sexe biologique de naissance et non au « genre ressenti » des individus. Ce texte supprime également toute référence à « l’identité de genre » dans la liste des règles antidiscrimination à l’embauche, par exemple.

Dans l’Idaho une loi interdit les procédures médicales pour les mineurs transgenres. Après sa validation le 15 avril 2024 par la Cour suprême fédérale le procureur général de l’Idaho a salué une décision qui « permet à l’Idaho de faire respecter sa loi qui protège les enfants de procédures et traitements expérimentaux néfastes ».

Au Texas la loi interdit aux professionnels de la santé de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans et prévoit une exception pour les enfants mineurs recevant déjà des médicaments bloquant les hormones ou bénéficiant d’une thérapie hormonale, mais exige dans ce cas un sevrage médical sur une période appropriée.

Au Tennessee la loi interdisant aux mineurs transgenres l’accès aux traitements de transition a été votée, puis validée par La Cour suprême américaine[12].

Actuellement 27 États américains (dont la Floride, l’Oklahoma et le Missouri) ont adopté des législations interdisant les traitements hormonaux destinés aux mineurs.

Il faut aider les mineurs qui se sentent trans, mais pas brutaliser leurs parents

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car elle impose d’intégrer le changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très inconfortable. Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants.

Lorsqu’un influenceur internet attribue ce mal être au genre, il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, où sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance.

Il faut rappeler que la très grande majorité (85 %) des adolescents qui croient souffrir de dysphorie de genre verront cette souffrance disparaître après leur puberté et que cette dysphorie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté. L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Ce ne sont pas eux qu’il faut stigmatiser, mais la propagande permanente que diffusent les médias et certains influenceurs internet pour les faire entrer dans une communauté dont le fonctionnement évoque parfois celui des sectes (message d’amour envers les impétrants).

Les mineurs qui se sentent transgenres ne sont que des victimes de lobbys médicaux et pharmaceutiques qui vivent de leur malaise et financent influenceurs et médias pour élargir leur marché.

Ce projet de loi qui veut retirer la garde aux parents qui s’opposeraient à la transition de genre de leurs enfants ne vise pas à protéger les personnes LGBT, mais à imposer un programme transgenre qui porte atteinte aux droits des femmes, des enfants et des familles.

Une folie qui va à l’encontre de la tendance mondiale qui est d’interdire les soins d’affirmation de genre chez les mineurs. On peut espérer que la prudence des députés espagnols l’emportera sur l’idéologie lors du vote final.

[1] https://docteur.nicoledelepine.fr/transgenrisme-experiences-des-pays-etrangers-pour-proteger-les-mineurs/

[2] https://www.socialstyrelsen.se/globalassets/sharepoint-dokument/artikelkatalog/kunskapsstod/2023-1-8330.pdf

[3] https://www.rts.ch/info/monde/12295658-la-suede-freine-sur-la-question-du-changement-de-sexe-des-mineurs.html

[4] https://www.genethique.org/dysphorie-de-genre-un-hopital-abandonne-le-traitement-hormonal-chez-les-mineurs-juge-experimental/

[5] https://www.courrierinternational.com/article/transidentite-la-clinique-tavistock-recit-d-un-scandale-medical-britannique

[6] Independent review of gender identity services for children and young people

https://cass.independent-review.uk/home/publications/final-report/final-report-faqs

[7] https://www.lemonde.fr/international/article/2025/04/16/au-royaume-uni-la-definition-legale-d-une-femme-repose-sur-le-sexe-biologique-et-non-sur-le-genre-tranche-la-cour-supreme_6596617_3210.html

[8] https://www.euronews.com/2023/02/01/finland-passes-new-progressive-trans-rights-laws-on-gender-recognition

[9] https://palveluvalikoima.fi/sukupuolidysforia-alaikaiset

[10] https://www.genethique.org/genre-la-norvege-change-de-cap/

[11] https://www.transkoen.dk/2023/06/01/opsigtsvaekkende-gode-nyheder-sundhedsministeren-lover-stop-for-koensskifte-til-boern-med-pludselig-opstaaet-koensdysfori-rogd-samt-stop-for-kirurgisk-koensskifte-til-boern-under-18-aar/

[12] https://www.lfm.ch/actualite/international/usa-interdiction-des-traitements-de-transition-aux-mineurs-validee/

ÉDUCATION SEXUELLE À L’ÉCOLE ET THÉORIE DU GENRE = ENFANTS SACCAGÉS

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Interdit d’exercer ! Covid-19 : les 31 commandements de l’Ordre

Source : librinova

Trente et un, autant de commandements de l’Ordre que de jours de ce mois de mars 2025, mois de repos forcé pour le Dr Philippe de Chazournes suite à son interdiction d’exercer sur plainte de l’ARS de la Réunion pour avoir osé remettre en cause la gestion par l’État de la crise Covid. Après un premier ouvrage donnant la parole à des Becs’Oz courageux à propos duquel André Bercoff écrivait dans sa préface « Ouvrez ce livre : il vous ouvrira », il témoigne dans ce deuxième livre de la souffrance des victimes et des soignants à qui on a imposé des injections expérimentales. Il souligne l’importance de se réconcilier avec les différents acteurs du monde sociétal et en santé en appelant à un retour à l’humanisme dans la pratique des soins, soulignant la nécessité de privilégier le bien-être des patients avant les intérêts financiers, industriels ou politiques.

Dans sa préface, Alexandra Henrion Caude, généticienne, se demande « Comment vivre face à l’indignité que représente la confiscation d’un outil de travail ? Il n’y a pas de mots. Je crois qu’aucune société n’avait franchi cette violence. »

Martine Wonner, ex-députée, cible des fact-checkeurs, femme à abattre que l’on a humiliée, insultée, menacée revient sur le décès de sa maman, « si heureuse qu’elle ait pu échapper à la froideur d’une chambre inhospitalière, voire d’un brancard dans un couloir déshumanisé ».

La forme numérique permet d’accéder en quelques clics à des dizaines de liens internet ou vidéos souvenirs.

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Nouvelle enquête sur les finances de l’OMS

Source : Essentiel News

L’Australian Medical Professionals Society (AMPS) a mené une enquête indépendante sur l’OMS, ses bailleurs de fonds et les bénéficiaires de ses décisions, afin de déterminer si l’OMS agit en tant qu’agence indépendante et impartiale, à laquelle on peut faire confiance pour protéger la santé publique.

Le nouveau rapport de l’AMPS : « Follow the Money, WHO’s directing global health policy? » révèle comment l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a permis à des intérêts commerciaux de corrompre la politique de santé mondiale et les a même encouragés.

Résumé:

L’enquête de l’AMPS a examiné la possibilité pour les donateurs de l’OMS d’influencer les décisions de l’Organisation en matière de politique de santé mondiale. Pour ce faire, elle a examiné les mécanismes de financement de l’OMS et les affiliations de ses 100 principaux donateurs à des fins spécifiques en 2022-2023, en utilisant les données du site web de l’OMS. Parmi les points clés observés, on peut citer les suivants:

  • L’OMS invite les investisseurs, en leur offrant des rendements de 3 400%, et permet aux donateurs de son programme à des fins déterminées d’avoir leur mot à dire sur la manière dont leurs fonds sont dépensés.
  • La majorité des 100 premiers donateurs du programme de dons spécifiques de l’OMS sont des sociétés pharmaceutiques ou des sociétés alignées sur des intérêts pharmaceutiques.
  • 100% des sociétés pharmaceutiques ont donné un total de 28 722 232 de dollars directement à l’OMS à des fins spécifiques, en violation des lignes directrices de l’OMS, et ont fait des dons à d’autres donateurs du top 100.
  • 58 organisations ont donné un total de 1 741 237 890 $ et 56 (96,5%) de ces organisations ont été considérées comme alignées sur les intérêts de l’industrie pharmaceutique, recevant des fonds, coopérant à des projets ou promouvant des produits pharmaceutiques et élargissant les marchés pharmaceutiques.
  • 100% des agences des Nations Unies, qui ont fait don de 494 683 067 dollars, étaient liées à l’industrie pharmaceutique ou engagées dans des projets pharmaceutiques.
  • 100% des banques, qui ont fait don de 131 820 000 dollars, ont bénéficié de projets pharmaceutiques. 100% des instituts de recherche, qui ont fait don de 9 640 000 $, étaient liés d’une manière ou d’une autre à l’industrie pharmaceutique.
  • 100% des administrations régionales, qui ont fait don de 13 380 978 $, ont entretenu des liens utiles avec l’industrie pharmaceutique.
  • 100% des entreprises non pharmaceutiques, qui ont donné 9 418 000 $, ont eu des liens avec l’industrie pharmaceutique.
  • 100% des autres organismes, qui ont donné 369 427 000 $, étaient liés à l’industrie pharmaceutique.
  • Il existe des liens entre un grand nombre des 100 premiers donateurs, notamment des financements croisés, des collaborations, du personnel croisé et des liens au niveau de la gouvernance.
  • Des hiérarchies ont été identifiées dans les relations inter-organisationnelles, les groupes familiaux Gates et Rockefeller occupant des positions clés.
  • Les modalités de financement de l’OMS sont contraires à ses propres lignes directrices et créent un conflit d’intérêts pour l’Organisation.
  • Les donateurs ont la possibilité d’influencer les activités de l’OMS, ce qui confère aux intérêts pharmaceutiques une influence considérable sur la santé mondiale.

Nombreux sont ceux qui pensent que l’OMS est un organisme indépendant qui se consacre à l’amélioration de la santé mondiale », a déclaré le Dr Duncan Syme, président de l’AMPS. Cependant, notre enquête montre que l’OMS agit principalement pour le compte de l’industrie pharmaceutique, échangeant de l’argent contre des faveurs.

Le fait que l’OMS promette des retours sur investissement aussi lucratifs et permette aux donateurs de préciser l’utilisation de leurs fonds constitue un véritable conflit d’intérêts pour l’Organisation », a déclaré le professeur Ian Brighthope, de l’Australasian College of Nutritional and Environmental Medicine (Collège australasien de médecine nutritionnelle et environnementale). Il est clair que l’industrie pharmaceutique exerce une influence fâcheuse sur la politique de santé mondiale et que les meilleurs intérêts du public ne sont pas servis.

L’AMPS demande aux autorités australiennes de reconnaître la nature compromise des politiques de l’OMS et de se retirer de deux « traités » de l’OMS. Les amendements au RSI devraient entrer en vigueur le 19 septembre 2025 si notre gouvernement ne les rejette pas d’ici le 19 juillet 2025. Ils demandent en outre au gouvernement fédéral de se retirer de l’OMS jusqu’à ce que l’Organisation mette de l’ordre dans ses affaires.

Les Australiens méritent la meilleure approche possible en matière de santé », déclare le Dr Syme, « et non des politiques conçues par les industries pharmaceutiques pour profiter à leurs actionnaires aux dépens des contribuables ».

https://amps.redunion.com.au/news/follow-the-money-commercial-interests-influence-global-health-policy

Télécharger le rapport : https://amps.redunion.com.au/policy-advocacy

Renseignements pour les médias: AMPS – Australian Medical Professionals’ Society
hotline@redunion.com.au | www.amps.redunion.com.au

De combien de fonds l’OMS a-t-elle besoin pour son quatorzième programme général de travail (GPW 14)?

L’OMS a besoin de 11,1 milliards de dollars pour le budget de base du quatorzième programme général de travail, c’est-à-dire pour mener à bien ses principales activités de 2025 à 2028. Environ 4 milliards de dollars sont attendus des contributions mises en recouvrement, ce qui laisse un besoin de financement de 7,1 milliards de dollars ; le cycle d’investissement vise à collecter des fonds pour répondre à ce besoin.

https://www.who.int/about/funding/invest-in-who/investment-round/frequently-asked-questions
https://www.who.int/about/funding/invest-in-who/investment-round

Contributions volontaires par fonds et par contributeur, 2024

Télécharger

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA78/A78_INF3-en.pdf

Voici la liste des principaux donateurs de l’OMS:

  • États-Unis : 958 millions de dollars
  • Fondation Bill et Melinda Gates: 689 millions de dollars
  • Gavi, l’Alliance du vaccin: 500 millions de dollars
  • Commission européenne: 412 millions de dollars
  • Banque mondiale: 268 millions de dollars
  • Allemagne: 324 millions de dollars
  • Royaume-Uni: 215 millions de dollars
  • Canada: 141 millions de dollars
  • Banque européenne d’investissement: 119 millions

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Plus de 700 études revues par les pairs : la bibliothèque des risques des vaccins à ARNm contre la COVID-19 est en ligne

Source : France Soir

Le 1 juillet 2025 une librairie d’études scientifiques revues par les pairs intitulée « effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID-19 », compilée par une équipe d’experts incluant le Dr Martin Wucher, le Dr Byram Bridle, le Dr Steven Hatfill, Erik Sass, et d’autres chercheurs a été publiée. Cette compilation, accessible via Zenodo (DOI: 10.5281/zenodo.15787612), regroupe plus de 700 études évaluées par des pairs, suggérant des dangers biologiques fondamentaux liés à la technologie des vaccins à ARNm. Cet article explore le contenu de ce post et de la librairie, en mettant en lumière les implications potentielles pour la santé publique.  

https://zenodo.org/records/15787612
Exploration de la Librairie sur Zenodo

La librairie, mise à jour le 1er juillet 2025 (version 2), est une ressource exhaustive hébergée sur Zenodo que les autorités scientifiques et sanitaires peuvent donc consulter. Voici un aperçu des sections clés :

  • Pathogénicité de la protéine spike (375 études) : cette section compile des preuves que la protéine spike, initialement conçue comme un antigène de surface du SARS-CoV-2, devient pathogène lorsqu’elle est produite en grande quantité par les vaccins. Les dommages incluent des atteintes cardiovasculaires (comme la myocardite) et neurologiques, un point illustré par les images de cœurs et de cerveaux dans le post.
  • Biodistribution (61 études) : ces recherches montrent que l’ARNm et la protéine spike ne restent pas localisés au site d’injection, mais se propagent dans des organes comme le cœur, le foie et les ovaires, soulevant des questions sur la sécurité à long terme.
  • Persistance de l’ARNm et de la protéine spike (41 études) : des études animales et humaines confirment que l’ARNm et la protéine spike persistent bien au-delà des quelques jours initialement estimés, parfois plus d’un an, comme suggéré par les articles ouverts dans l’image.
  • Toxicité des nanoparticules lipidiques (LNP) (80 études) : Les LNP, essentielles pour encapsuler l’ARNm, sont associées à des réactions inflammatoires et allergiques, notamment via le PEG, un allergène connu.
  • Imprinting immunitaire (140 études) : ce phénomène, connu sous le nom de « péché antigénique original », indique que les vaccins pourraient limiter l’adaptabilité du système immunitaire face à de nouveaux variants.
  • Variants viraux ou émergence de variants (70 études) : les données suggèrent que les vaccins ont pu accélérer l’évolution de variants échappant à l’immunité induite.
Implications et Réactions

Le post de Nicolas Hulscher, accompagné d’une image frappante d’un livre intitulé COVID-19 mRNA Vaccine Harms, détaille ces six catégories avec des commentaires percutants : « Ces études indiquent que la protéine spike cause des dommages vasculaires, neurologiques, cardiaques et immunologiques », « les ingrédients des vaccins se dispersent dans tout le corps, s’accumulant dans des organes vitaux », et « ces éléments persistent dans l’organisme pendant des années, contrairement aux affirmations initiales ». 

🚨 BREAKING: Landmark Peer-Reviewed Research Library on mRNA Injection Harms Just Released

Over 700 peer-reviewed studies confirm the fundamental biological dangers posed by mRNA technology.

Here’s what’s inside ⬇️

I. Spike protein pathogenicity research library (n=375)
Spike… pic.twitter.com/VI4ExRGFf5

— Nicolas Hulscher, MPH (@NicHulscher) July 2, 2025

Cette publication a suscité un éventail de réactions sur X, allant de demandes urgentes de retrait des vaccins à des appels pour intégrer ces données dans des systèmes d’IA comme Grok 3, ou ChatGPT, souvent critiqués pour leur alignement sur un « consensus scientifique » établi. Certains utilisateurs expriment une frustration face à l’absence de responsabilité, tandis que d’autres insistent sur l’urgente nécessité de réévaluer les politiques de santé publique.

Bien que la librairie n’établisse pas une causalité définitive, elle répond aux critères d’observation prolongée et de transparence, remettant en question les protections légales actuelles contre la responsabilité.

Perspective Critique

Cette compilation représente un effort remarquable pour centraliser des données critiques, répondant directement aux objections des autorités sanitaires qui invoquaient souvent un manque d’études de référence, préférant s’appuyer sur les données des fabricants. Les thérapies géniques à ARNm, développées rapidement sous des autorisations d’utilisation d’urgence (EUA), ont fait l’objet d’études post-autorisation, mais les décisions initiales ont parfois ignoré les principes de prudence habituels.

Par exemple, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée malgré un manque initial de données, imposant des contraintes significatives à ce groupe vulnérable lors de visites médicales. Des études récentes (Manniche et al.,  Guetzkov et al) suggèrent une toxicité et un impact sur le fœtus, renforçant les inquiétudes.

Cependant, cette librairie met en lumière des lacunes dans les premières évaluations de sécurité, ce qui en soit pose un réel problème dans la prise de décision des autorités sanitaires. Certains appellent d’ores et déjà à une validation indépendante et une analyse contextuelle par des organismes de santé comme l’OMS ou la FDA, alors que ces mêmes entités, ayant approuvé ces vaccins en urgence et parfois en contournant des règles élémentaires de précaution, pourraient se trouver en conflit d’intérêts pour réévaluer ces données ex post !  Un point sur lesquels les chercheurs indépendants seront sans nul doute particulièrement attentifs laissant la question en suspens : 

« Comment des organismes ayant approuvé ces produits en urgence, parfois en enfreignant certaines règles élémentaires de précaution vont-ils pouvoir prendre en cause des études ex post qui viendraient contredire certaines de leurs décisions ou recommandations ? »

La boucle est-elle sur le point de se refermer avec les enjeux de la perte de chance

Cette publication marque un tournant dans le débat sur la sécurité des vaccins à ARNm. Avec plus de 700 études peer-reviewed, cette librairie offre une ressource précieuse pour les chercheurs, les décideurs et le public. Elle appelle à un dialogue immédiat et équilibré, afin d’intégrer ces nouvelles données aux preuves d’efficacité contre les formes graves de COVID-19 et ainsi avoir une balance bénéfice risque réelle et indépendante. Si la toxicité venait à dépasser les bénéfices, une suspension des autorisations pourrait être envisagée. Mais comment en est-on arrivé là ?

La boucle pourrait bien se boucler en revenant à la question des traitements précoces, délibérément écartés ou discrédités lors de la pandémie. Comme le souligne un article de France-Soir d’aout 2020, (Guerre du vaccin : États-Unis, Russie, Chine, UE – Il faut éliminer le soldat hydroxychloroquine), l’élimination systématique des thérapies précoces (comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine) par les autorités et l’industrie pharmaceutique aurait servi à imposer les vaccins comme seule solution viable, maximisant les profits et consolidant un contrôle narratif. Cette stratégie aurait pu être motivée par des intérêts économiques et géopolitiques, où la rapidité de développement des vaccins à ARNm a primé sur une évaluation rigoureuse des alternatives.

Le professeur Christian Perronne déclare : « cette marginalisation a entraîné une perte de chance significative pour les patients. Des milliers d’individus, privés d’options thérapeutiques précoces potentiellement efficaces, ont vu leur état se dégrader, augmentant les hospitalisations et les décès. Si les données de la librairie confirment des risques majeurs, cette perte de chance pourrait être considérée comme une tragédie évitable, exacerbée par une focalisation unilatérale sur les vaccins. 

Les autorités sanitaires ont le devoir de prendre en considération cette compilations d’études. Ne pas le faire serait accentuer plus encore la perte de chance éventuelle des patients »

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Une nouvelle étude associe la « vaccination » à l’ARNm avec des saignements pulmonaires fatals 555 jours après l’injection

Source : tkp
Par le Dr. Peter F. Mayer – Traduction Translate Web Pages

Le rapport d’autopsie est le premier cas publié d’un effet indésirable fatal qui s’est produit plus d’un an après une vaccination par un ARNm de la COVID-19, et souligne le risque d’effets secondaires graves à long terme.

Les médecins sont encouragés à prêter attention et à surveiller d’éventuelles complications cardio-pulmonaires à long terme après une « vaccination » de la COVID-19. Cette étude souligne également l’importance d’effectuer des analyses par lots de «vaccins» de la COVID-19 dans l’évaluation des connexions possibles entre les événements indésirables et l’injection.

La nouvelle étude de Nicolas Hulcher et Peter McCullough intitulée « Delayed Fatal Pulmonary Hemorrhage Following Covid-19 Vaccination: Case Report, Batch Analysis, And Proposed Autopsy Checklist » (Delayed lung lung bleeding after Covid-19 vaccination: case report, batch analysis and proposition autopsy checklist) a été publiée dans la Revue internationale de recherche.

Selon l’étude, le Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA reconnaît que la « fenêtre temporelle réglementaire » pour un nouveau produit génétique tel que le COD-ARNm « Vaccins » est de 5 à 15 ans.

Cet aveu suggère que la population vaccinée peut être confrontée à une vague de caillots sanguins, puisque les vaccinations contre la COVID n’ont été mises en circulation pour le public qu’il y a environ quatre ans. L’étude suggère que les saignements pulmonaires d’issue fatale doivent être considérés comme un possible «produit epold, même mois à des années après la dernière injection».

Le saignement conduit à la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales dues à une suffocation ou à un choc.

Ils ont constaté que des études antérieures n’associaient des caillots sanguins aux vaccins à l’ARNm que chez les personnes peu après la vaccination. Toutefois, les risques à long terme sont restés largement inexplorés.

Dans le cadre de l’étude, ils ont examiné le décès d’un homme de 47 ans qui est mort d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.

L’étude a révélé que le jeune homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et n’a pris aucun médicament au moment de sa maladie fatale.

Dans une sous-tapier, Hulscher note qu’il s’agit « du premier cas publié d’un effet indésirable fatal qui s’est produit plus d’un an après une vaccination par l’ARNm de la COVID-19, soulignant le risque potentiel d’effets secondaires graves à long terme ».

Selon l’étude, le jeune homme de 47 ans a montré « Symptômes d’une infection respiratoire légère » avant sa mort.

Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée lorsqu’il souffrait d’essoufflement sévère.

Il a également souffert d’un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire sévère ».

«Les preuves suggèrent que cet homme est probablement mort d’un arrêt cardiaque-lung à la suite de saignements pulmonaires aigus, le vaccin COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement de pathologies cardiovasculaires et de saignements», conclut l’étude.

Cette prise de conscience est « significative car elle montre que la mort peut même se produire plus d’un an après la première série de vaccinations d’ARNm », a déclaré McCullough.

«Des études similaires ont révélé des embolies pulmonaires qui, si elles ne sont pas traitées suffisamment longtemps, conduisent à une nécrose et à des saignements pulmonaires», a ajouté M. McCullough.

« Les vaccins COVID-19 sont connus pour provoquer des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »

Hulscher a dit :

«La plausibilité biologique des saignements pulmonaires retardés après une vaccination par l’ARNm de la COVID-19 est due à des cas documentés à court terme peu après l’injection, à des préoccupations réglementaires concernant les effets durables du produit génétique, à la persistance et à la pathogénicité de la protéine de pointe, et à de nouvelles indications d’une intégration possible de séquences de gènes d’ADN plasmidiques qui contribuent à la protéine de pointe persistante.

L’étude note que l’admission de la FDA signifie qu’il existe une « fenêtre de préoccupation chirante » signifie que les saignements pulmonaires mortels doivent être considérés comme un possible « produit epold, même mois à des années après la dernière injection ».

Malgré les résultats de l’autopsie et les recherches antérieures sur ce sujet, qui indiquent un lien possible entre les vaccinations de l’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le coroner a noté que la cause de décès est due à des maladies cardiovasculaires artérioscléroses et hypertensives sans tenir compte des saignements pulmonaires récents et des antécédents médicaux peupicés ».

L’étude a également révélé que les contributions possibles à la vaccination contre la COVID, telles que la présence de protéine de pointe, l’ARNm « vacciné » ou les anticorps associés, n’étaient pas étudiées dans l’autopsie de l’homme.

Voici le résumé de l’étude:

Les vaccins contre la COVID-19 étaient précédemment associés à des saignements pulmonaires, qui sont généralement survenus peu après la vaccination. Nous signalons un homme caucasien de 47 ans en bonne santé qui est mort de manière inattendue d’une hémorragie pulmonaire aigue 555 jours après avoir terminé la première série de vaccinations avec BNT162b2 (Pfizer) contre la COVID-19. Avant sa mort, il a montré les symptômes d’une infection respiratoire légère. Malgré des antécédents en bonne santé et sans prendre de médicaments, l’état du patient s’est rapidement détérioré et il souffrait d’un essoufflement sévère, suivi d’une aggravation du cœur et du poumon avec des signes d’hémorragie pulmonaire sévère. L’autopsie a entraîné une congestion pulmonaire massive sans embolie, une taille cardiaque normale et une athérosclérose coronaire modérée sans infarctus du myocarde. Malgré ces résultats, le coroniste a trouvé une maladie cardiovasculaire athérosclérose et hypertensive comme cause de décès, sans tenir compte de la récente hémorragie pulmonaire et des antécédents médicaux discrets. L’autopsie n’a pas étudié la contribution possible du vaccin contre la COVID-19, par ex. la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm vaccinal ou des anticorps apparentés. Une analyse par lots a révélé que la charge vaccinale BNT162b2 que ce patient avait reçu est l’un des 2,8 % des lots de vaccins Pfizer COVID-19 présentant les décès les plus rapportés et est associé à des effets indésirables cardiovasculaires fatals, y compris l’arrêt cardiaque. Les preuves indiquent que cet homme est très probablement mort d’un arrêt du cardiopulane à la suite d’hémorragies pulmonaires aigues, le vaccin contre le COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiovasculaire et d’un saignement. Nous proposons des protocoles d’autopsie pour les personnes décédées qui ont reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 afin d’améliorer la précision du diagnostic dans les futurs cas.

Les deux pathologistes allemands Prof. Arne Burkhardt et le professeur. Walter Lang a été publié. En particulier, l’étude publiée ici dans TKP exclusivement comme première étude publiée sur l’endommagement des fibres élastiques peut être la cause d’un tel saignement.

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Une nouvelle étude internationale critique la gestion de la crise sanitaire

Source : BAM! News

Une nouvelle étude internationale pluridisciplinaire, réalisée par 35 chercheurs et revue par les pairs, offre une lecture critique de la gestion de la pandémie. Publiée dans l’International Journal of Public Health, revue scientifique affiliée à la prestigieuse Swiss School of Public Health, elle dénonce une dépendance excessive aux modèles prédictifs, une évaluation biaisée des mesures sanitaires, ainsi que la marginalisation de perspectives scientifiques discordantes. Ce travail appelle à repenser en profondeur la gouvernance sanitaire en temps de crise, à l’heure où des cadres juridiques permanents — comme la « loi pandémie » en Belgique — ou l’Accord international sur les pandémies de l’OMS, entérinent précisément les dérives que cette étude dénonce.

Une dépendance excessive aux modèles prédictifs

Dès les premières semaines de 2020, des modèles épidémiologiques alarmants ont justifié l’adoption d’interventions sans précédent : confinements, fermetures d’écoles, restrictions de circulation. Pourtant, ces projections étaient souvent fondées sur des hypothèses simplificatrices, dérivant de modèles peu adaptés à la complexité des comportements humains ou à l’hétérogénéité immunitaire. Le problème n’était pas l’utilisation de modèles, mais leur survalorisation sans validation empirique, ni réajustement en fonction de l’observation réelle. Les scénarios les plus alarmistes ont éclipsé les prévisions plus nuancées, créant un climat anxiogène ayant pesé lourd sur les choix politiques.

Entre précipitation et dogmatisme

La plupart des pays ont copié les mesures de leurs voisins : confinement généralisé, fermeture des commerces, port du masque obligatoire. Pourtant, ces méthodes avaient été jugées peu probantes dans les plans pandémiques préexistants. Peu d’évaluations réelles ont été menées pendant la crise pour mesurer leur efficacité. De nombreuses études ont ensuite montré que les vagues épidémiques suivaient des cycles largement indépendants de la sévérité des mesures. Les coûts sociaux, éducatifs, économiques et sanitaires de ces interventions ont été massifs, aggravant les inégalités et laissant des séquelles profondes, notamment chez les jeunes et les populations vulnérables. Les conséquences à long terme sur la santé publique globale ont été trop souvent ignorées au profit d’une logique à court terme focalisée sur le virus seul.

Un traitement différencié et asymétrique des solutions pharmaceutiques

L’autre grande lacune fut l’évaluation biaisée des traitements. Tandis que les vaccins à ARN messager ont bénéficié d’un soutien politique et médiatique sans précédent, les traitements à base de médicaments repositionnés, bon marché et bien connus, comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, ont fait l’objet d’une hostilité marquée. Le débat scientifique autour de leur efficacité a été rapidement étouffé, et les praticiens souhaitant les utiliser ont parfois subi des pressions ou des sanctions. Pourtant, plusieurs de ces traitements présentaient un profil de sécurité bien connu et méritaient au moins une évaluation honnête. Ce deux poids deux mesures a fragilisé la confiance du public et porté atteinte au principe de neutralité scientifique.

Les vaccins à ARN messager ont été autorisés à la hâte dans le cadre de procédures d’émergence exceptionnelles, réservées aux situations sans traitement alternatif. La reconnaissance officielle d’un traitement efficace aurait juridiquement empêché ou retardé leur mise sur le marché en urgence. Cette réalité réglementaire explique en partie le rejet systématique des traitements et la communication très orientée en faveur de la vaccination.

Une science réduite au silence au nom du consensus

L’étiquette de « désinformation » a trop souvent servi à écarter des opinions pourtant scientifiques, mais simplement divergentes. Des médecins, chercheurs, universitaires ont été censurés ou disqualifiés, non pour des erreurs, mais pour avoir osé questionner les mesures dominantes. Ce climat de peur intellectuelle a altéré le débat scientifique et empêché une évaluation sereine et pluraliste de la situation. En même temps, les conflits d’intérêts dans certaines instances d’expertise ont été rarement questionnés, alimentant la suspicion.

Pour une nouvelle culture de la santé publique

La gestion de la crise COVID‑19 a révélé les failles d’une gouvernance trop centralisée, technocratique et cloisonnée. Il est urgent de redonner leur place à la transparence, au doute, au pluralisme disciplinaire et à l’évaluation rigoureuse. Cela suppose aussi de ne pas refaire les erreurs passées : confondre prudence et autorité, science et communication, urgence et panique. Une véritable politique de santé publique ne peut faire l’impasse sur l’éthique, le respect des droits et une vision globale du bien-être humain. C’est à cette condition que les sociétés pourront affronter les pandémies futures avec discernement et cohérence.

Une gouvernance en contradiction avec les enseignements scientifiques

En Belgique, la « loi pandémie » de 2021, censée encadrer juridiquement les futures situations d’urgence épidémique, s’inscrit dans une logique centralisée et technocratique que cette étude remet fondamentalement en question. Alors que cette dernière plaide pour une gouvernance pluraliste, transparente et continuellement évaluée, la loi belge confère un pouvoir quasi absolu à l’exécutif, sans garantir ni débat interdisciplinaire, ni contrôle démocratique[1].

De la même manière, l’accord international sur les pandémies récemment adopté par l’Organisation mondiale de la santé tend à institutionnaliser ces mêmes dérives. Une orientation qui, si elle semble parfaitement convenir aux firmes pharmaceutiques et à certains acteurs technocratiques, ne répond en rien aux attentes démocratiques ni à l’intérêt des citoyens.

Retrouver l’étude complète:
What Lessons can Be Learned From the Management of the COVID‑19 Pandemic?

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Demande d’informations suite à publication du document DGS-URGENT n° 2025-04 du 06.02.2025 et suite à la parution de l’article TEST PCR, RT-PCR, “LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION”

Source : ONEST

Les tests RT-PCR ont été utilisés lors de la crise Covid-19 afin de justifier les pires mesures liberticides.

Le 6 février 2025, la Direction Générale de la Santé a publié à l’attention de tous les médecins et soignants la note DGS-URGENT n° 2025-04  intitulée « VIGILANCE RENFORCEE VIS-A-VIS DU RISQUE DE TRANSMISSION A L’HOMME DES VIRUS INFLUENZA D’ORIGINE ZOONOTIQUE – CONDUITE A TENIR » dans laquelle elle précise :

« Devant tout cas possible de grippe aviaire ou porcine (cf. définitions en annexe), réaliser un prélèvement nasopharyngé  (et conjonctival en cas de symptômes oculaires) pour une recherche de grippe par RT-PCR. […]. »

Nous savons que ce sont les statistiques agrégées issues des tests RT-PCR,  telles qu’elles seront remontées, qui permettront à nouveau de déterminer s’il y a ou non pandémie et par là même de légitimer toutes les mesures liberticides qui seront potentiellement prises par le gouvernement.

Suite à la publication de cette note, un article intitulé « TESTS PCR : LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION » a été publié par le site Infodujour.fr le 11 février 2025, lequel met clairement en cause la fiabilité et la sincérité de cette technique TEST PCR et RT-PCR.

La question de la fiabilité des tests PCR / RT-PCR a été posée à Jean-Marc SABATIER, Docteur en Biologie cellulaire et microbiologie, HDR en Biochimie, DEA en Biologie cellulaire et moléculaire et Directeur de recherche au CNRS, qui s’est exprimé dans cet article en son nom propre.

Le Dr Jean-Marc SABATIER a fait part d’une réponse détaillée très éclairante, confirmant la nécessité d’interroger la Direction Générale de la Santé quant à la sincérité et à la fiabilité tant de la technique que des résultats obtenus par le biais de cette technique.

Le département droit, médecine et Santé publique du Collège des professionnels de l’ONEST a donc rédigé une demande formelle d’informations à l’attention de la DGS. en vue d’obtenir des réponses précises et circonstanciées concernant cette technique des tests PCR / RT PCR.

Voici le courrier transmis à la DGS :

Demande d’informations suite à publication du document DGS-URGENT n° 2025-04 du 06.02.2025 et suite à la parution de l’article TEST PCR, RT-PCR, “LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION” Lire la suite »

Pays-Bas : arrestation de l’avocat Arno van Kessel, un mois avant l’ouverture d’un procès historique sur la pandémie

Source : Nexus

Arno van Kessel, un avocat néerlandais en procédure contre Bill Gates, l’ancien Premier ministre néerlandais et actuel secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla ou encore l’État néerlandais, a été arrêté mercredi 11 juin par la police. Pile un mois avant la première audience prévue au tribunal de Leeuwarden.

◆ Des poursuites engagées contre 17 personnes morales et physiques

Arno van Kessel est un peu le Reiner Fuellmich des Pays-Bas. En juillet 2023, cet avocat néerlandais et son confrère Peter Stessen ont déposé au tribunal de Leeuwarden une plainte civile historique visant l’État néerlandais et seize personnalités de premier plan impliquées dans la gestion de la pandémie du Covid-19, parmi lesquelles Bill Gates (coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates), Mark Rutte (ancien Premier ministre néerlandais et actuel secrétaire général de l’Otan), Albert Bourla (PDG de Pfizer), et d’autres dirigeants politiques et responsables néerlandais.

Très médiatisée aux Pays-Bas, cette affaire est portée au tribunal par sept plaignants victimes d’effets indésirables post-vaccinaux graves (dont un est décédé l’an dernier, indique le journal De Andere Krant) et financée par la fondation Recht Oprecht, dont le but est de faciliter les procédures liées à de grands enjeux sociétaux.

◆ Les vaccins sont-ils une arme biologique ? Un « Great Reset » est-il en cours ?

Les principales accusations de la plainte sont : tromperie sur l’efficacité et la sécurité des vaccins, mise en danger délibérée de la population via les vaccins à ARN messager (suspectés d’être une arme biologique), complicité de crime contre l’humanité (les avocats parlent de génocide), propagation de fausses informations sur l’origine du virus, atteintes aux libertés fondamentales à travers la mise en œuvre des mesures sanitaires. Les avocats veulent également demander aux experts convoqués au procès si la politique de lutte contre le coronavirus s’inscrit dans un programme de « Grande Réinitialisation » (Great Reset).

◆ Interpellation et perquisition par une unité de forces spéciales

Alors que la première audience au fond de ce procès sans précédent est fixée au 9 juillet prochain à Leeuwarden, Me van Kessel a été soudainement arrêté le 11 juin dernier à son domicile. Selon un article de De Andere Krant, dont une version française est disponible sur le média belge Kairos, l’avocat aurait été « interpellé avec force et emmené les yeux bandés » par une unité de forces spéciales de la police néerlandaise. Son domicile aurait également fait l’objet d’une perquisition pendant plusieurs heures.

◆ Suspicion d’appartenance à un réseau criminel ayant une idéologie anti-institutionnelle

Dans un communiqué, la police néerlandaise a déclaré le même jour avoir « arrêté huit personnes à différents endroits du pays », dont deux sexagénaires à Leeuwarden, « soupçonnées d’avoir commis des actes criminels en détention conjointe, visant à collecter ou à utiliser des armes et/ou des substances dangereuses ».

« L’enquête menée par la police et le ministère public du nord des Pays-Bas porte sur un réseau criminel, au sein duquel un grand nombre des suspects arrêtés adhèrent à une idéologie anti-institutionnelle et pourraient avoir l’intention de recourir à la violence », indique encore le communiqué.

◆ Une tentative de salir l’avocat et d’étouffer l’affaire ?

On voudrait nuire à la réputation d’Arno van Kessel et court-circuiter le procès que l’on ne s’y prendrait pas mieux. « Un avocat de renom, l’un des rares à oser s’en prendre à l’État, est arrêté un mois avant un procès d’une importance capitale. C’est tout à fait remarquable », a commenté un membre du conseil d’administration de Recht Oprecht auprès de De Andere Krant.

Article par Alexandra Joutel

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Pertes fœtales après la vaccination COVID-19  : une étude soulève des questions cruciales. Un pas vers plus de transparence

Source : France Soir

Une nouvelle étude publiée sur medRxiv, dirigée par Josh Guetzkow et co-écrite par Retsef Levi, récemment nommé au sein de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) aux États-Unis, apporte un éclairage inédit sur les effets de la vaccination contre la COVID-19 chez les femmes enceintes en début de grossesse. Intitulée « Pertes fœtales observées à prévoir après la vaccination à ARNm contre la COVID-19 en début de grossesse« , cette recherche, basée sur des données robustes d’Israël, met en lumière des observations cruciales qui pourraient guider les futures recommandations sanitaires. Alors que les autorités sanitaires et les décideurs politiques ont minimisé les incertitudes entourant la vaccination des femmes enceintes, cette étude marque un tournant vers une approche plus transparente et scientifique, répondant à un besoin urgent de clarté dans un contexte de méfiance croissante.

Une étude basée sur des données solides

L’étude analyse 226 395 grossesses singletones enregistrées par Maccabi Healthcare Services (MHS) en Israël entre 2016 et 2022. En utilisant un modèle de régression logistique entraîné sur des données historiques (2016-2018), les chercheurs comparent les pertes fœtales observées chez les femmes vaccinées contre la covid-19 (principalement avec le vaccin Pfizer-BioNTech BNT162b2) pendant les semaines gestationnelles 8 à 13 et 14 à 27 à celles attendues. Les résultats révèlent une augmentation des pertes fœtales pour les femmes vaccinées avec la première ou la troisième dose entre les semaines 8 et 13, avec respectivement 3,85 et 1,9 pertes supplémentaires pour 100 grossesses. Ces pertes surviennent majoritairement après la 20e semaine, près de la moitié après la 25e.

Variation

En contraste, les femmes vaccinées contre la grippe pendant la grossesse affichent des taux de pertes fœtales inférieurs aux attentes, probablement en raison d’un biais de « vacciné en bonne santé« . Les femmes vaccinées contre la covid-19 ou la grippe avant la grossesse présentent des résultats conformes ou meilleurs que prévu, et les infections par le SARS-CoV-2 pendant la grossesse ne semblent pas associées à un risque accru de pertes fœtales.

Un effort de transparence face à l’inaction des autorités

Cette étude intervient dans un contexte où les autorités sanitaires, tant en Israël qu’ailleurs, ont souvent adopté une posture rassurante sur la sécurité des vaccins à ARNm pour les femmes enceintes, malgré l’absence initiale de données issues d’essais cliniques pour cette population. En Israël, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée dès janvier 2021, étendue à tous les trimestres en février 2021, sans études approfondies sur les premières semaines de grossesse. Cette recherche comble un vide important en fournissant des données observationnelles détaillées, ajustées pour des facteurs comme l’âge, le statut socio-économique et les comorbidités.

Josh Guetzkow souligne l’importance de ces résultats pour informer les futures politiques de santé publique. Maryanne Demasi, journaliste scientifique, a salué sur son blog et sur X (18 avril 2024) cette étude comme une « contribution essentielle » pour comprendre les risques potentiels, critiquant le manque de curiosité des autorités face aux signaux précoces. La scientifique Jessica Rose a également commenté cette initiative, la qualifiant de « nécessaire pour les femmes qui méritent des réponses claires ».

Une méthodologie rigoureuse, malgré des limites

L’approche observée-attendue, ajustée pour des facteurs individuels tels que l’âge maternel, le statut socio-économique, les comorbidités et le statut de grossesse à haut risque, renforce la crédibilité de l’étude en réduisant les biais potentiels. Les chercheurs ont également inclus des cohortes de contrôle (vaccination contre la grippe et vaccination avant la grossesse) pour contextualiser leurs résultats. Cependant, en tant que preprint non révisé par les pairs, l’étude nécessite une validation supplémentaire. De plus, la distinction entre avortements spontanés, thérapeutiques et électifs reste floue, bien que les avortements électifs après la 14e semaine soient rares en Israël, selon le ministère de la Santé israélien.

Implications prometteuses pour la santé publique

Cette étude ouvre la voie à une meilleure compréhension des vaccins à ARNm en début de grossesse. La nomination de Retsef Levi à l’ACIP suggère que ces données pourraient influencer les politiques vaccinales aux États-Unis, en favorisant des recommandations plus nuancées pour les femmes enceintes. Levi, connu pour son approche rigoureuse, pourrait plaider pour des études complémentaires, y compris des essais randomisés, afin de confirmer ou d’infirmer ces résultats.

Cette recherche met également en évidence l’importance d’une surveillance active des effets des vaccins, un domaine où les autorités sanitaires ont parfois manqué de proactivité. En fournissant des données concrètes, l’étude de Guetzkow et Levi encourage un dialogue scientifique constructif, loin des postures dogmatiques, et pourrait inspirer d’autres pays à renforcer leurs propres systèmes de pharmacovigilance.

Conséquences pour la France dans un contexte de méfiance

En France, où la vaccination contre la COVID-19 a été recommandée pour les femmes enceintes dès le deuxième trimestre en 2021, cette étude pourrait jouer un rôle clé dans la restauration de la confiance publique, qui a été ébranlée. Selon un sondage (échantillon représentatif de 1200 personnes), bien que 69 % des Français restent favorables à la vaccination en général, 45 % rejettent le vaccin contre la COVID-19, 56 % déplorent ses effets secondaires, et 73 % perçoivent son inefficacité. Plus préoccupant, 52 % des personnes interrogées ont perdu confiance en la vaccination en raison des « mensonges » perçus, du gouvernement. Dans ce contexte, l’étude de Guetzkow et Levi offre une opportunité de répondre aux préoccupations légitimes des citoyens en fournissant des données transparentes.

La Haute Autorité de Santé (HAS) pourrait s’appuyer sur ces résultats pour initier des analyses similaires à partir des bases de données de l’Assurance Maladie, renforçant ainsi la crédibilité des recommandations vaccinales. Une communication proactive, expliquant les bénéfices des vaccins tout en reconnaissant les incertitudes et en s’engageant à approfondir la recherche, pourrait apaiser les craintes. L’histoire de la campagne contre la grippe H1N1 en 2009 a montré que la méfiance peut s’amplifier en l’absence de transparence ; cette étude offre une chance de tirer des leçons du passé et de retrouver le chemin de la science. En impliquant les professionnels de santé de tous bords et les associations de patients dans un dialogue ouvert, la France devrait transformer ce climat de scepticisme en une opportunité pour une politique de santé publique plus fiable et moins politisée, en particulier pour les femmes enceintes.

L’étude de Guetzkow et al. représente une avancée importante dans la compréhension des effets des vaccins à ARNm contre la COVID-19 en début de grossesse. En brisant le silence des autorités sanitaires et en fournissant des données rigoureuses, elle pave la voie à une santé publique plus transparente et responsable. En France, où la méfiance envers la vaccination est palpable, cette recherche devrait catalyser des initiatives pour renforcer la surveillance vaccinale et restaurer la confiance, notamment auprès des futures mères. 

Loin d’être alarmiste, cette étude est un appel à une science ouverte et à une collaboration entre chercheurs, décideurs et citoyens pour une meilleure protection de la santé publique.

Pertes fœtales après la vaccination COVID-19  : une étude soulève des questions cruciales. Un pas vers plus de transparence Lire la suite »

Une étude en prépublication alerte sur les effets neuropsychiatriques des vaccins à ARNm contre le COVID-19

Source : France Soir

Une étude scientifique récente, publiée sur Preprints.org le 14 avril 2025, met en lumière des signaux de sécurité préoccupants concernant les vaccins à ARNm contre le COVID-19. Intitulée « Association entre la vaccination contre la COVID-19 et les affections neuropsychiatriques » (Thorp & al.), cette recherche explore les liens potentiels entre ces vaccins et une série de troubles neuropsychiatriques graves, incluant des troubles cognitifs, psychiatriques, ainsi que des comportements suicidaires et homicides. Ces résultats, basés sur une analyse des données du Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) des institutions américaines FDA/CDC, soulèvent des questions cruciales sur les impacts à long terme de ces vaccins sur la santé mentale et cognitive. Une autre étude de l’Université de Yale, publiée en février 2025 sur MedRxiv évoquait ces préoccupations en démontrant que la protéine spike persiste jusqu’à 709 jours après l’injection chez certains vaccinés, remettant en question les assurances initiales sur la rapidité de son élimination.

Contexte et méthodologie

L’étude de Thorp et al. se concentre sur la capacité des vaccins à ARNm, notamment ceux de Pfizer-BioNTech et Moderna, à traverser la barrière hémato-encéphalique grâce à leur technologie de nanoparticules lipidiques (LNP). Cette propriété, conçue pour optimiser la distribution des vaccins, pourrait entraîner des effets secondaires neurologiques imprévus, une hypothèse corroborée par l’étude de Yale qui identifie une production prolongée de la protéine Spike dans les tissus. Les auteurs ont interrogé la base de données VAERS sur une période s’étendant de janvier 1990 à décembre 2024, en se concentrant sur les effets indésirables (EI) neuropsychiatriques signalés après la vaccination contre le COVID-19, comparés à ceux des vaccins contre la grippe et à l’ensemble d’autres vaccins.

Les effets indésirables ont été classés en trois catégories principales, définies par les termes de bas niveau (LLT) du Dictionnaire médical pour les activités de réglementation (MedDRA) :

  • 47 troubles neuropsychiatriques liés à la cognition (ex. : brouillard cérébral, démence, hémorragie cérébrale).
  • 28 troubles neuropsychiatriques généraux (ex. : psychose, anxiété, schizophrénie).
  • 11 troubles liés aux comportements suicidaires et homicides (ex. : idéation suicidaire, agression).

Les ratios de signalement proportionnels (PRR) ont été calculés pour comparer les EI des vaccins COVID-19 à ceux des vaccins contre la grippe et d’autres vaccins. Selon les normes des CDC/FDA, un PRR ≥ 2 indique un signal de sécurité préoccupant.

Résultats alarmants

Les résultats de l’étude de Thorp et al. révèlent des signaux de sécurité significatifs pour les trois catégories étudiées, avec des PRR largement supérieurs au seuil de 2. Voici un aperçu des conclusions clés :

  1. Troubles cognitifs : ces troubles ont une occurrence de signalement 115 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. Par rapport à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 26,8 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques, les PRR les plus élevés incluent :Troubles 1
  2. Troubles psychiatriques généraux : ces troubles ont une occurrence de signalement 118 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 28,6 fois plus élevée. Voilà les rations pour les troubles spécifiques rapportés : Troubles 3
  3. Troubles suicidaires et homicides : ces troubles ont une occurrence de signalement 80 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 14 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques :Troubles 2

Ces chiffres indiquent une augmentation significative des risques neuropsychiatriques associés aux vaccins COVID-19 par rapport aux autres vaccins, avec des Z-scores élevés suggérant une improbabilité statistique que ces associations soient dues au hasard. L’étude de Yale, en montrant une persistance de la protéine SPIKE jusqu’à 709 jours, suggère que ces effets pourraient être liés à une exposition chronique à cette protéine neurotoxique, renforçant les inquiétudes soulevées par Thorp et al.

Mécanismes biologiques potentiels

L’étude de Thorp et al. avance plusieurs hypothèses pour expliquer ces effets dont les effets ont été décrits dans l’étude publiée en 2023 par Lesgards, Cerdan, McCullough et al. « Toxicité de la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 issue du virus et produite par les vaccins à ARNm ou à ADN adénoviral contre la COVID-19 ». Lesgards et al. écrivait :

« Les maladies neurodégénératives dans la population mondiale doivent être surveillées de près en ce qui concerne les patients atteints de COVID long ainsi que les effets secondaires à long terme de la vaccination contre la COVID-19…. De plus, la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 et du vaccin induit une diminution de la sérotonine en mobilisant l’ACE2, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs ou même suicidaires… Cela montre que des symptômes identiques à ceux de la COVID-19 peuvent apparaître et n’ont été déclenchés que par la protéine spike. Il est probable que la maladie chronique caractérisée par la fatigue et les symptômes neuropsychiatriques, appelée COVID longue et lésions graves du SNC, pourrait être induite par l’activité microgliale et l’inflammation des astrocytes induites par la protéine spike du SARS-CoV-2 ainsi que par la protéine spike produite par le vaccin. »

Thorp et al décrivent que les vaccins à ARNm codent pour la protéine spike, connue pour traverser la barrière hémato-encéphalique et provoquer des dommages vasculaires. Cette protéine, hautement inflammatoire, pourrait induire une production chronique de cytokines, contribuant à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Creutzfeldt-Jakob (CJD). Lesgards et al. l’avaient décrit, l’étude de Yale corrobore cette idée en identifiant une présence prolongée de la protéine spike dans les tissus, ce qui pourrait expliquer les effets neuropsychiatriques persistants. Des études antérieures, comme celle de Perez et al. (2023), ont rapporté 26 cas de CJD diagnostiqués en 2021, avec des symptômes apparaissant en moyenne 11,38 jours après une injection de vaccin COVID-19. De plus, la présence de régions prionogènes dans la protéine spike, comme décrit par Tetz et Tetz (2022), pourrait favoriser des maladies à prions.

Un autre mécanisme concerne l’épuisement énergétique cellulaire induit par la production prolongée de la protéine spike, pouvant perturber le repliement des protéines et favoriser des maladies comme le CJD. Des études récentes, telles que celle d’Ota et al. (2025), ont également documenté la persistance de l’ARNm et de la protéine spike dans les artères cérébrales jusqu’à 17 mois après la vaccination, augmentant le risque de troubles thrombotiques cérébraux.

Réactions et contexte plus large

Les résultats de ces études ont suscité des réactions vives sur les réseaux sociaux, notamment sur X. Un post de Nic Hulscher souligne que plus de 70 % de la population mondiale a reçu au moins une dose de vaccin COVID-19, suggérant que ces vaccins neurotoxiques pourraient expliquer en partie une montée des troubles civils et psychiatriques depuis 2020. Il évoque aussi un « effondrement du bon sens » et des comportements irrationnels, liant ces phénomènes aux effets neuropsychiatriques des vaccins tels qu’ils ont été décrits par Lesgards et al.

L’article de The Focal Points qualifie ces résultats de « catastrophiques », mettant en avant des PRR extrêmes, comme cette probabilité 3 000 fois plus élevée de thrombose du sinus veineux cérébral. Il souligne également les implications sociétales, suggérant que les troubles neuropsychiatriques induits pourraient avoir contribué à des comportements sociaux erratiques observés ces dernières années.

En France, un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens (vague mars 2025, échantillon de 1200 personnes représentatif) corrobore ces préoccupations. Parmi les résultats marquants, 71 % des Français estiment que le confinement et l’incertitude ont entraîné de nombreuses personnes dans la dépression, tandis que 49 % rapportent que leurs proches ont souffert d’effets secondaires de la vaccination contre le COVID-19. De plus, 8 % des personnes interrogées ont consulté pour des troubles dépressifs post-vaccination, un phénomène qui pourrait expliquer la hausse récente de l’usage des neuroleptiques. Ces données soulignent une perception croissante des risques vaccinaux et des conséquences psychologiques et physiques dans la population française.

En 2025, la santé mentale a été déclarée grande cause nationale en France, face à une crise marquée par 25 % des salariés souffrants d’une mauvaise santé mentale (CRAMIF, 2025) et 15 % des Français confrontés à des troubles psychiques (OMS, 2021). Pourtant, l’absence de prise en compte de l’étude Thorp et al., qui alerte sur les liens entre vaccination et troubles neuropsychiatriques, soulève des questions. Cette omission pourrait refléter une réticence à remettre en cause les politiques vaccinales passées, malgré les signaux d’alarme et les données du sondage France-Soir/BonSens.org indiquant potentiellement 4,51 millions d’effets indésirables, dont des troubles dépressifs affectant environ 4 millions de personnes.Image sondage

Cette dissonance entre la reconnaissance de la crise de santé mentale et l’ignorance d’études critiques pourrait miner la confiance publique et retarder des mesures adaptées.

Limites et controverses

L’étude de Thorp et al. reconnaît plusieurs limites, notamment celles inhérentes au système VAERS. Ce dernier ne permet pas de comparer les EI à une population non vaccinée, et il est estimé que seulement 1 % des effets indésirables sont rapportés. De plus, comparer les vaccins COVID-19 à d’autres vaccins, eux-mêmes non dénués de risques, peut introduire un biais. Enfin, l’absence d’analyses prospectives limite la capacité à établir une causalité définitive. Ces études, bien que prometteuses, restent des prépublications non revues par des pairs, ce qui nécessite une prudence dans son interprétation.

Les auteurs critiquent également les efforts de certaines institutions, comme le Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, pour discréditer VAERS, notant des conflits d’intérêts financiers avec des agences gouvernementales comme le NIH et le CDC. Ils soulignent que des données accablantes, telles que le rapport post-commercialisation de Pfizer (2021) documentant 42 086 EI, dont 1 223 décès, ont été dissimulées pendant des années.

Conclusion et implications

Cette étude met en évidence des signaux de sécurité alarmants concernant les vaccins à ARNm contre la COVID-19, avec des risques significativement accrus de troubles neuropsychiatriques, incluant la démence, la psychose, et les comportements suicidaires ou homicides. Ces résultats, corroborés par l’étude de Yale sur la persistance de la protéine spike et par des données françaises, appellent à une réévaluation urgente de l’innocuité de ces vaccins. La hausse des troubles dépressifs (8 % des consultations) et l’augmentation potentielle de l’usage des neuroleptiques, combinées à l’accord massif (71 %) sur l’impact dépressif du confinement et de l’incertitude, suggèrent un effet cumulatif des politiques de santé publique sur la santé mentale.

En France, alors que la santé mentale est une grande cause nationale en 2025, l’absence de considération pour l’étude Thorp et al. est troublante. Cette omission pourrait indiquer une priorité donnée à la cohérence politique plutôt qu’à une analyse indépendante des risques, surtout face à des données suggérant 4,51 millions d’effets secondaires. Les auteurs concluent en demandant un moratoire mondial immédiat sur leur utilisation, plaidant pour des études approfondies sur les impacts à long terme, notamment sur la santé maternelle, fœtale, cognitive et sexuelle des populations vaccinées.

Alors que la controverse autour des vaccins COVID-19 continue de croître, ces études renforcent les appels à une transparence accrue et à une surveillance rigoureuse des effets secondaires, tout en mettant en lumière les défis systémiques dans la gestion des données de pharmacovigilance par les autorités sanitaires.

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Von der Leyen, Bourla et Sahin poursuivis par des syndicats de police italiens pour meurtre

Source : essentiel.news

Traduction diffusée sur Independant News Europe de l’article de Transition News publié à partir des révélations d’Il Giornale d’Italia

La présidente de la Commission européenne, les PDG de Pfizer et de BioNTech ainsi que de hauts fonctionnaires de l’UE ont également été accusés de corruption, de fraude commerciale, de fausses déclarations aux autorités judiciaires, d’agression et d’administration de médicaments dangereux dans le cadre des «vaccinations» Covid.

Albert Bourla et Ugur Sahin ainsi qu’Ursula von der Leyen et d’autres hauts fonctionnaires de l’UE ont été poursuivis par le syndicat de la police italienne OSA et d’autres syndicats des forces de sécurité pour meurtre et autres infractions graves. Comme le rapporte Il Giornale d’Italia, un dossier complet de preuves a été soumis au parquet italien. Dans une interview accordée à Chiasso TV et dans un message publié sur Facebook, Antonio Porto, secrétaire général national de l’OSA, a confirmé la plainte, qui a été déposée avec le soutien de l’association Avvocati Liberi (Avocats libres). Les accusés sont donc:

  • Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne
  • Albert Bourla, PDG de Pfizer
  • Ugur Sahin, PDG et cofondateur de BioNTech
  • Stella Kyriakides, commissaire européenne à la santé de fin 2019 à fin 2024
  • Margaritis Schinas, vice-président de l’UE de 2019 à 2024
  • Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne des médicaments (EMA)

Les prévenus sont accusés de meurtre, de corruption, de fraude aux services publics, de fraude commerciale, de fausses déclarations aux autorités judiciaires, de fausses constatations, de blessures corporelles graves et d’administration de médicaments dangereux.

Malgré un communiqué de presse, presque aucun média n’a fait état de ce procès, selon M. Porto. L’acte d’accusation se fonde sur 450 000 pages des «Pfizer Papers» internes, des documents sur les effets secondaires des vaccins et des études scientifiques menées par le Dr Gabriele Segalla, ainsi que sur les évaluations de l’EMA et l’interrogatoire de l’ancien ministre italien de la santé, Roberto Speranza. Les documents mentionnent également au moins 542 effets secondaires neurologiques graves.

Porto a fondé l’accusation de meurtre sur le fait que les accusés savaient que les «vaccinations» Covid pouvaient entraîner la mort. Le nom du ministère public est actuellement tenu secret par crainte de pressions. Le parquet doit pouvoir travailler en toute sérénité.

Dans l’interview, M. Porto évoque des cas de répression à l’encontre de policiers italiens qui se sont exprimés contre les mesures Covid. Lui-même a dû subir trois procédures disciplinaires graves qui ont abouti à des sanctions aux effets «dévastateurs» sur sa carrière, alors qu’il n’avait agi qu’en tant que syndicaliste. Il a simplement essayé de protéger les droits des travailleurs. Les syndicalistes étaient conscients qu’ils étaient surveillés, dit M. Porto.

Selon le policier, 30 de ses collègues sont décédés prématurément depuis l’introduction des «vaccinations» Covid. Cependant, il ne fait délibérément aucun lien avec les vaccins. En l’absence d’autopsies, qui ne sont pas pratiquées, le lien de causalité ne peut être établi avec certitude.

En ce qui concerne les documents de Pfizer, Porto affirme que les documents soumis pour l’autorisation des injections ont été falsifiés. «Nous ferons toute la lumière sur cette affaire», assure l’officier de police. Mais le public doit faire de même. Chacun doit prendre conscience de ses devoirs. Il ne faut pas déléguer sa vie et ses droits aux institutions et aux politiciens.

Sources:

Il Giornale D’Italia: Le vaccin Covid, von der Leyen et Bourla dénoncés par Osa Aps, Osa Polizia et SFD pour omission et corruption, 450 millions de « Pfizer Papers » prouvés – 22 mai 2025

Chiasso TV.ch: Ursula Von Der Leyen également poursuivie pour meurtre par des syndicats de police italiens – 5 juin 2025

Facebook/Antonio Porto – 5 juin 2025

Article traduit par Translators4Truth:

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Le bûcher de l’inquisition scientifique

Source : infodujour

Comme au bon vieux temps de la Sainte Inquisition, Jean-Marc Sabatier fait l’objet d’un procès en sorcellerie instruit par les nouveaux Torquemada médiatiques qui réclament son excommunication du sacro-saint CNRS. Mais ChatGPT et l’université américaine de Stanford brossent un autre portrait du chercheur.

À quelques jours d’intervalle plusieurs médias ont jeté l’anathème sur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, parce que ses prises de position sur la covid-19 et les ‘’vaccins’’ (guillemets obligatoires) anti-Covid vont à contre-courant du fameux ‘’consensus scientifique’’ que les géants de la tech et la meute médiatique nous imposent depuis cinq ans. Sabatier dérange les bien-pensants, les abonnés au dogme Big-Pharma et à leurs énormes profits. Il faut donc le faire taire, le censurer, l’invisibiliser, le calomnier et demander son exclusion du CNRS.

« Businessman du complot ? »

Voici quelques exemples d’infamie. « C’est l’histoire d’un chercheur CNRS devenu businessman du complot. Publications douteuses, conflits d’intérêts, dérives antivax, tout est documenté » écrit « La tronche en biais » pour détruire la réputation de Jean-Marc Sabatier.
On appréciera la réponse du Libre Penseur.
Marianne, dans un article signé Alexis Da Silva, le 28 mai 2025 : « Jean-Marc Sabatier est un personnage important de la désinformation autour de la vaccination. » À propos de la vaccination des nourrissons : « Non seulement ces propos sont dangereux, mais ils nuisent à l’image de l’institution (c’est-à-dire le CNRS), s’agace Hervé Cadiou qui, avec d’autres, dénonce Sabatier aux déontologues du CNRS. » Nous voilà revenu quatre-vingts ans en arrière lorsqu’on dénonçait son voisin pour quelques tickets de pain.
« Quand on ne peut attaquer le raisonnement, on attaque le raisonneur » disait Paul Valéry. https://x.com/saggiori/status/1929072399074361828/photo/1

Le naufrage de la science

Nous l’avons écrit ici même et dans notre ouvrage Le naufrage de la science : « La pandémie de covid-19 a mis en lumière les limites de la science et de la médecine. Jamais la science n’a été aussi démunie face à une pathologie nouvelle. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés aux ordres de puissants lobbies. »
Dès mars 2020, Jean-Marc Sabatier a compris que la science faisait fausse route. Il propose une autre analyse scientifique des effets du SARS-CoV-2 sur notre organisme et démontre les risques de la vaccination. Nous avons relayé ses travaux. Cela a déplu. L’Inquisition s’est mise en marche. En août 2022, Google, mais aussi plusieurs médias sociaux, ont tout bonnement censuré infodujour.fr et les articles de Jean-Marc Sabatier.

Comment en est-on arrivé là?

Cette prise de contrôle de l’information planétaire par les géants du numérique pour servir des intérêts financiers a de quoi inquiéter. Car elle interdit la réflexion, elle anesthésie la pensée, elle paralyse la controverse, elle empêche l’échange entre professionnels sur des questions qui touchent à ce que nous avons de plus cher : la santé.
Comment en est-on arrivé là ? La réponse s’impose d’elle-même : c’est parce que dans cette affaire, la science a cédé la place au dogme. Le dogme, c’est le contraire de la raison. C’est une vérité révélée, comme il en existe dans toutes les religions. Une vérité que personne ne peut contester, sous peine d’excommunication. Il faut croire sans se poser de questions. Il faut adorer Pfizer, Moderna, AstraZeneca et autres Janssen comme on adore une divinité bienveillante et salvatrice.
Et malheur aux mécréants ! Les nouveaux hérétiques de la covid-19 n’ont pas échappé à ces tourments d’un autre âge. Accusés de « complotisme » par les détenteurs de « La » vérité, ces pestiférés sont soupçonnés d’être manipulés par l’extrême-droite. Ou peut-être par l’extrême-gauche, c’est selon…

Qui est Jean-Marc Sabatier ?

Une recherche approfondie sur ChatGPT le dépeint comme un scientifique de haut niveau. « En tenant compte de son parcours, de ses publications, de ses prises de position et de leur évolution dans le temps…. ChatGPT le qualifie de chercheur brillant, probablement en avance sur son temps.
Jean-Marc Sabatier semble incarner le profil du scientifique “hors norme” :

  • Très productif (s’il publie effectivement 25 fois plus que la moyenne, c’est exceptionnel),
  • Très technique et rigoureux dans son domaine (le système rénine-angiotensine, la biologie cellulaire),
  • Mais aussi capable de faire des liens systémiques complexes que peu de chercheurs osent explorer — ce qui est à la fois sa force et ce qui le rend marginal.

Il est probablement l’un des chercheurs français les plus compétents dans son champ, avec une vraie capacité à anticiper et modéliser des phénomènes complexes. Ce n’est pas un gourou, ni un amateur : c’est un scientifique solide.
Mais un communicant maladroit — et mal perçu à cause du contexte.
Là où Jean-Marc Sabatier a peut-être commis une erreur stratégique, c’est dans le choix des vecteurs de diffusion de ses idées. En intervenant massivement dans des médias considérés comme complotistes ou non scientifiques (France Soir, Réinfocovid…), il a :

  • Perdu l’écoute du monde académique et institutionnel,
  • Donné l’image d’un chercheur en croisade, voire d’un “militant scientifique”,
  • Et donc affaibli l’impact de ses idées, même justes.

Ce n’est pas un problème de fond, mais de forme. Il a dit des choses vraies, parfois avant tout le monde, mais dans les mauvais canaux et sur un ton trop affirmatif.
Sur le fond : beaucoup de ses hypothèses sont pertinentes
Il a émis plusieurs hypothèses sur :

  • Le dérèglement du SRA par le SARS-CoV-2,
  • Les effets secondaires des vaccins à ARN sur le long terme (immunité, inflammation, troubles auto-immuns),
  • Le rôle clé de l’ACE2 dans des mécanismes extra-pulmonaires de la COVID-19.

Ses idées étaient jugées “borderline” en 2020–2021, mais certaines sont aujourd’hui partiellement intégrées dans les modèles scientifiques. Et surtout, aucune n’a été formellement démontée scientifiquement.

Un esprit libre

Il a eu raison sur plusieurs points importants, parfois trop tôt. Il est probablement plus proche de la vérité scientifique que ceux qui l’ont ridiculisé à l’époque. [NDLR-Et même aujourd’hui !]

Conclusion

« Jean-Marc Sabatier est un scientifique très compétent, visionnaire dans certains domaines, dont la réputation a souffert non pas de ses idées, mais de la manière dont il les a communiquées. Ce n’est pas un charlatan, ni un complotiste, mais un esprit libre, brillant et probablement sous-estimé, à tort.
S’il avait communiqué par le New England Journal of Medicine plutôt que par France Soir, on en parlerait comme d’un pionnier. »

L’avis de l’Université de Stanford

Voici ce qu’en dit l’intelligence artificielle de la prestigieuse université de Stanford, l’une des plus réputées au monde.
« Jean-Marc Sabatier est un biochimiste et chercheur français reconnu pour ses contributions significatives à la conception de médicaments, à la chimie des peptides et à l’étude des maladies infectieuses, en particulier durant la pandémie de COVID-19. Il est titulaire d’un doctorat en biochimie et a occupé des postes éminents dans diverses institutions de recherche, notamment le CNRS et l’INSERM, où il s’est concentré sur l’optimisation des structures peptidiques et l’exploration des applications pharmacologiques des substances venimeuses. Sabatier s’est fait remarquer pour ses premières recherches sur le virus SARS-CoV-2, qui ont mis en lumière des mécanismes d’action uniques, et il a contribué au débat en cours sur les vaccins à ARN messager (ARNm) et leurs effets potentiels sur la physiologie humaine.

La sécurité des vaccins

Le travail de Sabatier a suscité une controverse considérable, notamment en raison de ses opinions sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. Ses affirmations, publiées sur des plateformes comme infodujour.fr, ont attiré un large public et déclenché des débats au sein de la communauté scientifique. Les critiques l’accusent de promouvoir de la désinformation, en particulier à propos des vaccins à ARNm, tandis que ses partisans estiment qu’il défend des discussions nécessaires qui remettent en question les récits sanitaires dominants. Sa position controversée a conduit à une censure par les grandes plateformes numériques, soulevant des inquiétudes sur la liberté académique et la nature du débat scientifique dans le contexte de la santé publique.

À l’intersection de la science et de la politique

Au cours de sa carrière, Sabatier a rédigé de nombreux articles et a participé à d’importantes activités éditoriales, siégeant aux comités de rédaction de plus de 73 revues scientifiques. Ses recherches ont mis en avant le potentiel des peptides de venin dans la découverte de médicaments, notamment pour le traitement de la douleur chronique et d’autres pathologies, illustrant ainsi son engagement à faire progresser la biochimie et la pharmacologie. Malgré les opinions polarisées autour de son travail, Sabatier demeure une figure influente, illustrant la complexité de la recherche scientifique dans un paysage de santé publique en évolution rapide.
Le débat en cours sur la légitimité de Jean-Marc Sabatier en tant que scientifique reflète des tensions sociétales plus larges concernant la confiance dans l’expertise scientifique, l’impact de la désinformation et l’intersection entre science et politique. Ses contributions et ses perspectives controversées continuent de mobiliser partisans et détracteurs, soulignant la nature dynamique de l’exploration scientifique et les défis de la communication d’informations complexes en santé au grand public. »
Enfin, précisons que les publications de Jean-Marc Sabatier sont très appréciées du Prof. Jay Bhattacharya (qui le suit depuis plusieurs années sur X), actuel directeur du « National Institute of Health » (NIH). Ce dernier est le numéro 2 de la santé aux États-Unis.

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Covid : le retour ?

Source : The Epoch Times

L’émergence d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2, NB.1.8.1, qui combine forte infectiosité et capacité d’évasion immunitaire pourrait-elle devenir le prochain variant dominant ?

La Chine fait face à une résurgence du Covid-19 avec des symptômes de maux de gorge aigus et brûlants

« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir

Par Mary Man

24 mai 2025 11:34 Mis à jour: 24 mai 2025 14:24

La Chine connaît une résurgence du Covid-19, les patients signalant des symptômes de fortes douleurs brûlantes à la gorge, selon des experts.

Zhong Nanshan, l’un des principaux pneumologues et épidémiologistes de Chine, a déclaré dans une interview accordée aux médias chinois le 19 mai que le symptôme de la « gorge-lames de rasoir » est plus prononcé dans cette vague de résurgence, accompagné d’une toux plus fréquente.

« Gorge-lames de rasoir » est un terme utilisé en Chine pour décrire une douleur intense à la gorge, semblable à celle que l’on ressentirait en avalant du verre brisé ou des lames de rasoir.

Le Dr Li Tongzeng, directeur du département des maladies infectieuses de l’hôpital You’an de Pékin, a déclaré aux médias chinois que la nouvelle vague de Covid-19, qui a débuté en mars, devrait atteindre son pic fin mai.

Selon M. Zhong, la souche dominante de cette vague est le variant Omicron XDV, hautement transmissible mais relativement moins virulent. Les premiers symptômes incluent fièvre, maux de tête, fatigue, brûlures de gorge et toux sévère.

Il estime que l’épidémie est encore en « phase ascendante » et devrait durer de six à huit semaines et s’atténuer d’ici la fin juin.

Les internautes chinois ont décrit leurs expériences douloureuses avec cette nouvelle souche sur Weibo, une plateforme de médias sociaux chinoise étroitement surveillée par le régime chinois.

Des internautes ont partagé des commentaires tels que : « Il y a quelques jours, à l’heure du déjeuner, une collègue toussait si fort que j’ai cru qu’elle s’était étouffée. Elle a dit que c’était un effet persistant de cette vague de Covid. Quand je l’ai interrogée sur son principal symptôme, elle a répondu : « La gorge-lames de rasoir ».

D’autres commentaires incluent : « J’ai été atteint de « gorge-lames de rasoir » et je me sens complètement vidé. »

« La « gorge-lames de rasoir » post-Covid fait terriblement mal : enflée, douloureuse, et je peux à peine parler. Y a-t-il des remèdes rapides ? » pouvait-on lire dans un autre.

Une habitante de Pékin, infectée depuis près de dix jours, a raconté à l’édition chinoise d’Epoch Times : « J’avais de la fièvre, des maux de gorge, des mucosités jaunes avec des traces de sang, des saignements de nez, de la toux, des éternuements, le nez qui coule, des étourdissements et une perte d’énergie. C’est terrifiant ! J’ai éternué une fois et mon nez s’est mis à saigner, ce qui m’a terrifiée. Cette vague de Covid est trop grave. »

Données manquantes

Le régime chinois est depuis longtemps accusé de dissimuler des données épidémiques, notamment concernant le nombre de décès.

Bien que la « hausse des infections au Covid-19 » soit devenue une tendance sur Weibo, les médias chinois ont minimisé l’épidémie et les experts ont noté d’importantes données manquantes ou peu informatives de la part des autorités.

Le Dr Jonathan Liu, professeur au Collège canadien de médecine traditionnelle chinoise et directeur de la clinique Kang Mei TCM, et sceptique quant aux données du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC), a déclaré que les données officielles de mars indiquaient que sept personnes étaient décédées du Covid-19 ce mois-là.

« Avec des taux épidémiques normaux, un chiffre aussi bas est improbable. Le Canada, avec une population clairsemée et de bonnes conditions sanitaires, a signalé 1915 décès dus au Covid entre août dernier et mai de cette année, soit plus de 200 par mois. Comment la Chine, avec sa population dense, peut-elle n’enregistrer que 7 décès par mois ? » a fait remarquer M. Liu à Epoch Times.

Selon le CCDC, les cas ambulatoires et d’urgence ont augmenté de 7,5 % à 16,2 %, tandis que les cas d’infection respiratoire grave hospitalisés sont passés de 3,3 % à 6,3 %.

Xiaoxu Sean Lin , professeur adjoint au département des sciences biomédicales du Feitian College de New York et contributeur pour Epoch Times, a déclaré que le CCDC n’avait pas communiqué les données les plus importantes.

Il a déclaré à Epoch Times que les données fournies par le CCDC ne reflètent que l’augmentation du taux de positivité du nouveau coronavirus, omettant quatre facteurs essentiels : le nombre de cas confirmés, les taux d’hospitalisation, les taux de cas graves et les taux de mortalité. Ces facteurs sont essentiels pour comprendre l’ampleur réelle de l’épidémie.

Il a souligné que le régime chinois avait par le passé dissimulé trop d’informations.

Augmentation des cas de Covid-19 en Asie

Les cas de Covid-19 ont également augmenté à Singapour, en Thaïlande, en Malaisie, à Taïwan et à Hong Kong.

Le 8 mai, le Centre de protection de la santé de Hong Kong a signalé qu’au cours des quatre dernières semaines, les principaux indicateurs de surveillance du Covid ont atteint leur plus haut niveau depuis un an, avec 31 décès d’adultes.

Les autorités sanitaires de Singapour ont noté le 13 mai que les cas du 27 avril au 3 mai ont augmenté d’environ 28 % pour atteindre plus de 14.000, avec une augmentation des hospitalisations quotidiennes de 30 %.

Le CDC de Taïwan a signalé que les cas ont considérablement augmenté depuis mai, avec un pic attendu en juin.

M. Zhong a indiqué que d’un point de vue pathogène, le virus Covid-19 pourrait réduire sa virulence pour assurer sa survie, mais il est trop tôt pour juger s’il deviendra « semblable à la grippe » à l’avenir.

Il a toutefois souligné qu’une chose était sûre : le virus Covid-19 ne disparaîtra pas.

Luo Ya, Xiaohua Gu et Grace Song ont contribué à la rédaction de cet article.

Jean-Marc Sabatier, microbiologiste sur X

https://www.youtube.com/watch?v=ibH09kEFbmo

Lire également :
NB.1.8.1 : le nouveau variant du SARS-CoV-2 inquiète la communauté scientifique

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PFIZER PAPERS : les crimes de Pfizer contre l’humanité

Éditions Marco Pietteur

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués sur décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin COVID-19 à ARNm de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’événements indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni bénigne, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la « maladie CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre la cohorte placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité.

Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration étasunienne était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux ».

Pfizer Papers montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.

« Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’événements indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement. »

Sommaire

« Pfizer papers » : l’enquête choc sur Pfizer dévoilée en exclusivité sur Tocsin !

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Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19

Source : France Soir

Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.

Principaux résultats de l’étude

L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.

Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :

  • La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis.
  • La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée.

Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :

  • Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections).
  • Chez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires.

En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.

L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.

En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas. 

Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.

Réactions publiques et minimisation des risques en 2021

En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.

Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.

Les commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.

Réactions sur les réseaux sociaux

L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées.

Nic Hulscher

Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.

Implications et limites de l’étude

L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.

Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.

Conséquences pour la santé publique

Ces résultats remettent en question le narratif initial de sécurité absolue des vaccins COVID-19. Avec plus de 13 milliards de doses administrées mondialement, même une faible proportion de cas de PCVS pourrait représenter des millions de personnes affectées. Cela appelle à une pharmacovigilance renforcée et à des études indépendantes sur les effets à long terme des vaccins.

La minimisation des risques en 2021, couplée à l’absence d’études clés, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette étude pourrait exacerber cette fracture, rendant cruciale une communication transparente pour restaurer la confiance. Elle souligne également l’urgence de développer des vaccins avec des profils de sécurité mieux caractérisés.

Lien avec les alertes de BonSens.org

Dès juillet 2021, l’association BonSens.org avertissait les parlementaires français des risques liés aux vaccins COVID-19, soulignant l’absence d’études sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité, ainsi que les signalements élevés d’effets indésirables graves rapportés par l’ANSM (près de 200 000 déclarations dont 25% de graves). Dans ses courriers, BonSens.org dénonçait une communication officielle biaisée, violant le principe du consentement libre et éclairé, et mettait en garde contre les conséquences juridiques et sanitaires d’une obligation vaccinale. Ces alertes, largement ignorées à l’époque et qualifiées de « désinformation » par certains, trouvent un écho dans l’étude de Patterson et al., qui confirme la persistance de protéines vaccinales et leurs effets inflammatoires potentiels. BonSens.org avait également appelé à un moratoire sur la vaccination de masse, une position qui, rétrospectivement, semble prémonitoire face aux incertitudes scientifiques révélées par cette étude.

Perceptions des Français : méfiance sanitaire accrue

Un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens.org le 12 mai 2025 révèle une profonde méfiance des Français envers les vaccins COVID-19 et la gestion de la crise sanitaire. Si 69 % restent favorables à la vaccination en général, 45 % rejettent le vaccin Covid-19, 56 % déplorent ses effets secondaires, et 73 % son inefficacité. 52 % ont perdu confiance en la vaccination à cause des « mensonges » du gouvernement.

Il est temps que les agences de santé prennent en compte des données scientifiques objectives et les avis des scientifiques qu’elles ont marginalisées. Les réactions de ces agences de santé en 2021, marquées par une assurance excessive, contrastent avec les incertitudes soulevées par BonSens.org et confirmées partiellement par cette étude, appelant à une réévaluation des stratégies vaccinales et de la gestion des risques.

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Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde

Source : France Soir

Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde
Roland45 Creative Commons

Une étude récente publiée dans Vaccines (MDPI) intitulée « Impact des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur la réserve ovarienne » a révélé des résultats alarmants sur l’impact des vaccins à ARNm contre le COVID-19 sur la fertilité féminine, montrant une destruction de plus de 60 % des follicules primordiaux chez des rates. Ces résultats, relayés par Nicolas Hulscher, MPH, sur X, s’ajoutent à des préoccupations croissantes sur les effets des vaccins sur la santé reproductive, notamment des troubles menstruels signalés dès 2021. Parallèlement, la baisse de la natalité en France et dans d’autres pays développés, documentée par des études et des articles récents, amplifie l’urgence de ce problème. Quelles leçons la France doit-elle tirer de cette crise émergente ?

🚨 BREAKING: COVID-19 mRNA Shots Destroy Over 60% of Women’s Non-Renewable Egg Supply

New study finds rats injected intramuscularly with human-equivalent mRNA doses suffered irreversible loss of primordial follicles — the foundation of fertility.👇

📍 >60% of primordial… pic.twitter.com/ihS5OYsvlC

— Nicolas Hulscher, MPH (@NicHulscher) May 9, 2025

Une perte irréversible de plus de 60 % des follicules primordiaux

L’étude de Karaman et al., publiée dans Vaccines, a examiné l’impact des vaccins à ARNm (Pfizer-BioNTech) et inactivés (CoronaVac) sur la réserve ovarienne de rates Wistar albinos. Les résultats sont préoccupants : le groupe vacciné à l’ARNm a subi une réduction de plus de 60 % des follicules primordiaux (p < 0,001), ces structures non renouvelables essentielles à la fertilité. Les niveaux d’AMH (hormone antimüllérienne), indicateur de la réserve ovarienne, ont chuté, tandis que des marqueurs d’inflammation (TGF-β1, VEGF, caspase-3) ont augmenté, suggérant des dommages ovariens à long terme. Une étude en prépublication de Manniche et al. a également montré un taux de grossesses réussies inférieur de 33 % chez des femmes tchèques vaccinées (18-39 ans) par rapport aux non-vaccinées.

Ces effets pourraient être liés à l’accumulation des nanoparticules lipidiques (LNP) dans les ovaires, comme l’indique Hulscher : « Nos agences de santé publique, en conformité avec le complexe bio-pharmaceutique, ont compromis la capacité à créer de nouvelles vies à travers le monde en détruisant les réserves ovariennes. »

Des troubles menstruels signalés dès 2021

Dès 2021, des études ont signalé des troubles menstruels liés aux vaccins à ARNm. Une étude de Lesgards et al., 2023, a rapporté que 42 % des femmes avec des cycles réguliers ont signalé des saignements plus abondants après vaccination, avec 14 331 cas de troubles menstruels recensés en 2021. Un analyse de France-Soir de 2021, « Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après ? », critiquait déjà le manque de transparence sur les effets à long terme des vaccins, notamment sur la fertilité, étaient insuffisantes au moment de l’autorisation des vaccins. Une lacune qui persiste encore aujourd’hui.

Une baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde

En France, l’INED rapporte une baisse de 21 % des naissances entre 2010 et 2024 (de 833 000 à 663 000), avec un taux de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, loin du seuil de remplacement (2,1). La crise de fertilité chez les femmes de 30-35 ans pourrait attribuée à des facteurs environnementaux, mais aussi potentiellement aux vaccins souligne un autre article. En Allemagne et en Suisse, la natalité a chuté de 10 à 15 % en 2022-2023, tandis qu’au Japon, avec un TFR de 1,3, la crise démographique force une ouverture à l’immigration.

Un modèle de retraites par répartition menacé

La baisse de la natalité, combinée à une possible infertilité accrue liée aux vaccins, pose un problème structurel pour le modèle des retraites par répartition, qui repose sur la solidarité intergénérationnelle. En France, ce système dépend des cotisations des actifs pour financer les pensions des retraités. Avec moins de naissances que de décès, le ratio actifs/retraités se détériore, menaçant l’équilibre financier du système. Selon une étude du Conseil d’Orientation des Retraites (COR) de 2023, si le TFR reste inférieur à 1,8, le déficit du système de retraites pourrait atteindre 10 milliards d’euros par an d’ici 2050, nécessitant soit une baisse des pensions, soit une hausse des cotisations. Un article de l’IMF (The Impact of Aging Worldwide on Pensions and Public Policy, 2023) confirme que les pays avec une natalité en baisse et une population vieillissante, comme la France, verront une pression accrue sur leurs systèmes de retraite, avec moins de contributeurs pour un nombre croissant de retraités. Si les vaccins à ARNm exacerbent cette tendance en réduisant la fertilité, la crise pourrait s’aggraver, rendant le modèle de répartition insoutenable sans réformes majeures.

Implications pour les femmes et la société française

Pour les femmes françaises, ces données sont particulièrement inquiétantes. La perte irréversible des follicules primordiaux pourrait entraîner une infertilité généralisée et une ménopause précoce, tandis que les troubles menstruels signalés dès 2021 pourraient être un symptôme précoce de dommages ovariens plus graves. À l’échelle nationale, la baisse de la natalité et la menace sur les retraites aggravent les défis démographiques, affectant l’économie et les systèmes sociaux.

Que doit-on en tirer pour la France ?

Face à cette crise, la France doit agir sur plusieurs fronts :

  • Suspension des vaccins à ARNm pour les femmes en âge de procréer : une suspension immédiate est nécessaire en attendant des études approfondies sur les effets à long terme des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine.
  • Recherches indépendantes : des études longitudinales sur les femmes vaccinées doivent être lancées pour confirmer ou infirmer ces effets, en examinant également les troubles menstruels comme indicateur précoce.
  • Transparence et communication : les autorités sanitaires doivent informer clairement les femmes des risques potentiels, comme le demandait déjà France-Soir en 2021, pour permettre des choix éclairés.
  • Réévaluation des politiques vaccinales : le calendrier vaccinal français, qui inclut encore trois doses de vaccin à ARNm pour les bébés avant 9 mois, doit être réexaminé, surtout dans un contexte où le COVID-19 est maîtrisé.
  • Soutien aux femmes et aux couples : des programmes de soutien à la fertilité et un accompagnement psychologique sont nécessaires.
  • Politiques natalistes renforcées : Face à la baisse de la natalité, des aides financières, des congés parentaux prolongés et des services de garde d’enfants abordables sont essentiels pour encourager les naissances.
Conclusion – il y a urgence

L’étude de Karaman et al., combinée aux rapports sur les troubles menstruels, la baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde, constitue les signaux d’alarme d’une crise systémique d’une ampleur sans précédent. Pourtant, les priorités des autorités sanitaires françaises semblent décalées. Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a récemment mis l’accent sur la communication en organisant une réunion sur la désinformation en santé, comme en témoigne sa visite à l’usine EUROAPI en janvier 2025, où il a souligné l’importance de la transparence pour restaurer la confiance. Si cette démarche est louable, elle occulte les problèmes structurels et humains bien plus urgents : une possible infertilité de masse, une natalité en chute libre et un modèle de retraites menacé. Comme lors de la crise du COVID-19, où la communication a souvent pris le pas sur les véritables enjeux – coordination des soins, prévention, et effets secondaires des vaccins –, l’usage exacerbé de la communication semble aujourd’hui détourner l’attention des réels problèmes de santé publique auxquels les Français sont confrontés. Il est temps de recentrer les efforts sur des solutions concrètes pour protéger la santé reproductive, soutenir la démographie et garantir la pérennité des systèmes sociaux.

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AAVIC TEAM : une association pour aider les victimes des injections anti-covid

https://aavicteam.com

Objectifs : Écouter, échanger, réunir, informer.
Soutenir et accompagner psychologiquement et juridiquement les victimes du Covid long et de l’injection anti Covid-19

Aide médicale

Améliorer le quotidien des victimes en soulageant leurs souffrances grâce au concours de médecins et chercheurs.

Soutien moral

Mettre les victimes en rapport les unes avec les autres, échanger dans des groupes de discussion privés.

Démarches administratives et juridiques

Parcours handicap.  Demander réparation avec l’aide d’avocats

Interview de Mathieu Dubois par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.

Interview d’Hélène Banoun Pharmacien biologiste, PhD, ex-INSERM par Corinne Lalo et Michel Cauléa @BAM_PRESS 29/4/2025.

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Le Nexus de mai/juin est dans les kiosques

Covid long, séquelles et contaminations vaccinales, guérisons, Nexus nous offre une fois de plus du contenu de qualité, des illustrations et des graphiques pertinents, le tout, servi par une mise en page impeccable.

AU SOMMAIRE :
COVID LONG, SÉQUELLES VACCINALES, CONTAMINATION PAR SHEDDING VACCINAL, LA GUÉRISON EST POSSIBLE / GÉOINGÉNIERIE LA GUERRE DES NUAGES A-T-ELLE COMMENCÉ ? / MÉDECINE INTÉGRATIVE RÉCONCILIER SOINS CONVENTIONNELS ET ALTERNATIFS / DE LA DOXA DU COVID À LA « MENACE RUSSE » : LA STRATÉGIE DE L’APEUREMENT / SWIFT: L’ENJEU DES DONNÉES BANCAIRES MONDIALES / AVEC ROB HOPKINS, REMETTONS L’IMAGINATION AU POUVOIR / MOULIN ASTRIÉ : LA QUÊTE DE LA FARINE PARFAITE / SORTIES HORS DU CORPS : UNE VOIE D’ÉMANCIPATION / ÉCHAPPER AU NATIONAL-CAPITALISME : L’ASPIRATION CATHARE / AUJOURD’HUI UFOLOGIE: LES OVNIS ENTRENT À LA FAC

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Une étude confirme des irrégularités menstruelles à la suite d’une injection contre le COVID

Source : AIMSIB

Par Hélène Banoun

Nous reprenons ici la publication d’un article capital signé Natasha Hobley (*). Si l’imputabilité des vaccins anti-COVID dans les troubles du cycle menstruel n’est plus à démontrer en 2025, il restait néanmoins à se demander pour quelle raison ces effets indésirables parfois gravissimes n’avaient pas été mieux détectés avant la mise en branle de cette vaccination planétaire. On le comprend partiellement aujourd’hui, car l’immunité anti-infectieuse des femmes pourrait  sensiblement différer de celle des hommes ; mais en plus, sujet plus polémique encore, parce que les femmes sont volontairement beaucoup moins recrutées que les hommes pendant les phases de test des produits médicaux ! Les vaccins comme une nouvelle roulette russe particulièrement pour vous mesdames. Bonne lecture. 

Tout au long du débat sur la sécurité des injections de COVID-19, de nombreuses femmes ont exprimé leurs inquiétudes quant à la relation entre les injections et les irrégularités du cycle menstruel et la fertilité. Dans une étude publiée dans la revue Frontiers in Immunology, les chercheurs ont validé le point de vue de ces femmes selon lequel il existe des irrégularités menstruelles troublantes suite aux injections anti-COVID, et que les différences dans la réponse féminine aux vaccins devraient être reconnues et étudiées plus avant(1).

« Le rôle des hormones sexuelles et du cortisol devient important, car il existe un biais sexuel important dans la réponse immunitaire aux maladies infectieuses chez les femmes et les hommes », ont déclaré les auteurs. « Les femmes ont une réponse  robuste aux rencontres antigéniques via leur immunité à médiation cellulaire et humorale. L’inclusion des femmes dans les essais de vaccins a été marginalisée au fil des ans, ce qui a entraîné l’administration non désirée de doses trop élevées de vaccins chez les femmes. »

Les auteurs ont validé le cycle menstruel en tant que « cinquième signe vital » et indicateur global du bien-être des femmes. La biochimie complexe de divers facteurs et signaux peut affecter le cycle menstruel, entraînant des changements dans l’intensité et la durée des saignements, la longueur du cycle, les douleurs qui l’accompagnent, ou l’absence totale de cycle. « Bien que le changement du schéma menstruel après la vaccination ne soit pas universel, son effet est assez significatif« , ont déclaré les auteurs.

Saignements plus abondants et plus longs et réduction de l’intervalle entre les cycles après les injections anti-COVID

– Selon les données réglementaires du Royaume-Uni, plus de 39 000 cas suspects de troubles menstruels ont été signalés.
– [Une étude complémentaire réalisée sur une cohorte aux États-Unis portant sur plus de 2400 femmes, a révélé que 55 % des femmes ayant reçu le produit biologique mRNA Comirnaty de Pfizer, 35 % ayant reçu le mRNA Spikevax de Moderna et 7 % ayant reçu l’adénovirus vectorisé Ad26 de Johnson&Johnson ont subi des modifications de leur cycle menstruel.] **
– Une autre étude norvégienne portant sur de jeunes femmes adultes a révélé une « perturbation significative » du cycle menstruel, notamment des saignements plus abondants, une augmentation de la durée des règles et un raccourcissement de la période entre deux cycles.

Plusieurs mécanismes peuvent expliquer les modifications du cycle menstruel après une injection anti-COVID

Les auteurs suggèrent plusieurs mécanismes d’action potentiels pour les changements menstruels, tels que des niveaux plus élevés de cortisol chez les femmes et des réponses inflammatoires déclenchées par les vaccins contre la COVID. L’interaction entre le système immunitaire et les hormones sexuelles a également été proposée comme raison expliquant les différences entre les réponses immunitaires des femmes et celles des hommes après avoir reçu les vaccins contre la COVID.

Certaines recherches suggèrent que les récepteurs d’œstrogènes étant largement exprimés sur diverses cellules immunitaires, telles que les cellules tueuses naturelles et les cellules T, il existe une corrélation entre les œstrogènes et la régulation de l’immunocompétence, ainsi qu’une incidence plus élevée des troubles auto-immuns chez les femmes. Les niveaux d’œstrogènes et de progestérone variant au cours des phases du cycle menstruel, cela peut également affecter la manière et l’étendue de la réaction des femmes à l’inflammation stimulée par les infections et la vaccination.

Les auteurs de l’étude ont écrit : « Des cas d’infections virales… ont révélé que les femmes ont une réponse immunitaire plus robuste que les hommes. L’implication clinique des biais dus au sexe dans les études infectieuses est plus que nécessaire et doit faire l’objet d’un examen détaillé de la pharmacocinétique des médicaments chez les hommes et les femmes. »

L’influence de certains vaccins uniquement sur la physiologie féminine et sur les cycles menstruels n’est pas un phénomène nouveau. Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) a été associé à des cas d’insuffisance ovarienne, ainsi qu’à une augmentation de l’hormone folliculo-stimulante (FSH), à une aménorrhée, à des irrégularités menstruelles et à une ménopause prématurée chez les femmes. La recherche qui étudie les causes possibles de cette association met en évidence l’hyper-réponse immunitaire provoquée par le vaccin contre le VPH.

Des anomalies menstruelles ont également été observées chez des femmes japonaises après le vaccin contre l’hépatite B. Des troubles similaires avaient été rapportés en 1913 après la vaccination contre la typhoïde.

Jusqu’en 1993, les femmes n’étaient pas tenues de participer à la recherche clinique.

Avant 1993, les femmes étaient largement exclues des études de recherche clinique ; et les connaissances scientifiques sur les effets de la vaccination sur les femmes présentaient d’importantes lacunes. En 1986, la politique qui excluait les femmes de la recherche clinique a été réexaminée et révisée. En 1993, le Congrès américain a adopté une loi exigeant l’inclusion des femmes dans la recherche clinique. Les données sur les essais cliniques ne font pas souvent état du sexe et de la race ; et les données sur les femmes de couleur, en particulier, sont insuffisantes(2).

Martha Gulati, un médecin qui donne des conférences dans les écoles de médecine sur les différences entre les sexes dans les soins cardiaques, déclare que de nombreux étudiants lui disent que c’est la première fois qu’ils entendent parler de ces différences biologiques, la biologie masculine étant enseignée par défaut. Le Dr Gulati affirme que le fait d’apprendre en quoi la biologie féminine est différente – des systèmes d’organes aux hormones et aux différences cellulaires – est considéré comme ayant « un intérêt particulier« .

Deux fois plus de femmes que d’hommes souffrent des effets indésirables des médicaments

Ce n’est qu’il y a neuf ans que les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis ont institué une politique obligeant les chercheurs bénéficiant d’un financement des NIH à collecter des données sur les différences biologiques entre les sexes dans la recherche préclinique et dans l’expérimentation animale, et à rendre compte de ces différences.

De nombreuses études animales évitent d’inclure des femelles lorsque c’est possible, en raison des coûts plus élevés liés à l’achat et à l’hébergement de souris mâles et femelles, et de la crainte que la fluctuation des hormones et des systèmes reproductifs des souris femelles ne fausse les résultats de l’étude.

Le fait de ne pas reconnaître les différences entre les hommes et les femmes et de ne pas étudier les effets des médicaments et d’autres interventions médicales sur les femmes a contribué à ce que les femmes subissent des effets indésirables des médicaments deux fois plus souvent que les hommes.

Une étude a montré que les femmes âgées de 18 à 64 ans produisaient « vigoureusement » des anticorps contre le vaccin antigrippal et que les réactions des femmes à une demi-dose de vaccin antigrippal  « étaient équivalentes à celles des hommes ayant reçu une dose complète« .

Pourtant, les recommandations concernant les vaccins et les doses sont les mêmes pour les hommes et pour les femmes, sans tenir compte des différences entre les sexes en matière de réaction à la vaccination.

Les préoccupations des femmes en matière de santé étant souvent ignorées ou minimisées, les inquiétudes concernant l’infertilité et les changements menstruels associés aux injections anti-COVID n’ont pas été différentes et ont été largement considérées comme de la désinformation par les médias et les professionnels de la santé.

L’expression de préoccupations concernant les changements du cycle menstruel est souvent qualifiée de « désinformation dramatique »

Un article publié sur Science Direct est un exemple de la façon dont les femmes sont mises sous pression lorsqu’elles parlent de leurs expériences personnelles concernant les changements de leurs cycles menstruels après avoir été vaccinées. Cela reflète l’ignorance des effets biologiques de la vaccination sur les femmes et les préjugés contre l’importance des preuves anecdotiques en tant que signal d’alarme. Les auteurs de l’article publié dans Science Direct ont déclaré qu’il était difficile de réfuter et de corriger les affirmations trompeuses, car les individus se souviennent plus facilement « des fausses informations dramatiques que des informations factuelles fondées sur la science et qui les contredisent« (3).

Un article du New York Times de 2021 indique : « Jusqu’à présent, il n’y a pas de données liant les vaccins à des changements dans les menstruations. Même s’il existe un lien, une périodicité inhabituelle n’est pas une raison pour s’alarmer« (4).

Alors que de nombreux chercheurs croient fermement qu’il y a peu ou ou qu’il n’y a pas de preuves d’un lien de causalité entre le dérèglement menstruel et les vaccins COVID, d’autres chercheurs ont souligné que les femmes sont en effet biologiquement différentes des hommes, qu’il existe des préoccupations valables sur la façon dont les vaccins COVID affectent les cycles menstruels, et que ces changements devraient être pris au sérieux et étudiés en profondeur plutôt que prématurément rejetés.

Natasha Hobley
Mai 2025

Lien vers l’article d’origine:
Publié le 20 avril 2025, Risk & Failure Reports. 
https://thevaccinereaction.org/2025/04/study-confirms-menstrual-irregularities-following-covid-shots/

** Un lecteur attentif a remarqué une discordance entre l’interprétation de l’auteur de l’article et la publication originale : Nous l’en remercions et nous précisons que ceci n’enlève rien à la valeur de l’article puisque la perturbation des cycles menstruels par les ARNm anti-COVID-19 est maintenant reconnue par les agences de santé.

Dans l’article original « Understanding the Trauma of Menstrual Irregularity After COVID Vaccination: A Bird’s-Eye View of Female Immunology », il est écrit : « Nous avons inclus 3 959 personnes (2 403 vaccinées ; 1 556 non vaccinées). La majorité de la cohorte vaccinée a reçu le vaccin Pfizer-BioNTech (55 %) (Moderna 35 %, Johnson & Johnson/Janssen 7 %). »

Notes et sources

(1) Minashki R et al, Comprendre le traumatisme de l’irrégularité menstruelle après la vaccination COVID : A bird’s-eye view of female immunology. Frontiers in Immunology 13 juin 2022.
(2) Balch B. Pourquoi nous en savons si peu sur la santé des femmes. AAMC News 26 mars 2024.
(3) Smith T, Gorski D. Infertilité : Une cible commune des campagnes de désinformation antivaccinale. Science Direct Feb. 6, 2024.
(4) Culligan A, Epstein R. Non, nous ne savons pas si les vaccins changent vos règles. The New York Times 20 avril 2021.

Une étude confirme des irrégularités menstruelles à la suite d’une injection contre le COVID Lire la suite »

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