Robert Kennedy Jr vient d’être confirmé à la tête du département américain de la santé (HHS). Son arrivée avec des équipiers de poids, le Pr Jay Bhattacharya au NIH, le Dr Dave Weldon au CDC, le Dr Marty Makary à la FDA et le Dr Aseem Malhotra comme conseiller du président Trump, laisse espérer une révolution dans la politique de santé américaine. Mais ces cinq rebelles lors de la “crise sanitaire”, défenseurs de la science et des libertés, seront‑ils à la hauteur de leurs promesses? Feront‑ils éclater la vérité sur l’origine du coronavirus, le hold‑up de Big Pharma et le désastre, présent et à venir, des injections covid? Auront‑ils le pouvoir de s’attaquer aux responsables et à la corruption du système? On veut le croire, mais on les jugera sur leurs actes. Galerie de portraits de Kennedy et ses hommes, placés aux postes clés.
Jamais la nomination d’un secrétaire d’État à la santé n’aura suscité autant de controverses que celle de Robert Kennedy Jr. Le secrétariat des HHS (Health & Human Services), équivalent américain du ministère de la santé, représente près de 20% du budget fédéral. Celui qui occupe ce poste, contrôle 14 subdivisions ou agences gouvernementales. Il supervise et finance la recherche médicale et scientifique par l’intermédiaire des NIH (National Institutes of Health). Il contrôle la sécurité et l’efficacité des produits pharmaceutiques et des aliments à travers la FDA (Food & Drug Administration). Il pilote la prévention et le suivi des épidémies par l’intermédiaire du CDC (Center For Disease Control). Il assure un accès aux soins pour les personnes âgées ou précarisées via Medicare et Medicaid. C’est donc véritablement un pouvoir colossal qui vient d’être confié à Robert Kennedy Jr.
Sa nomination a catalysé tous les espoirs de changement de ceux qui dénoncent la corruption des agences gouvernementales et réclament une remise en question de la santé publique. Une réforme du système, notamment de la recherche biologique et médicale, qui, à n’en pas douter, aurait un impact au niveau mondial. Robert Kennedy Jr s’est aussitôt heurté aux calomnies de la presse et aux attaques d’une majorité de la communauté scientifique et médicale ainsi que des membres du parti démocrate contre celui qu’ils dépeignent comme un “dangereux complotiste antivax”. Il a cependant survécu à un parcours miné, obtenant de justesse l’aval de la Commission des Finances puis de la Santé, jusqu’à la confirmation de sa nomination par un vote du Sénat, 52 voix contre 48, jeudi 13 février 2025.
Promettre, faire des compromis, trahir; telles sont les règles du jeu politique. Il ne doit sa validation par la Commission des Finances, 14 voix contre 13, qu’aux promesses faites au sénateur républicain Bill Cassidy. Promesse, par exemple, de conserver le système actuel de surveillance de la sécurité, notamment celle des vaccins, et de continuer à affirmer qu’ils ne sont pas la cause de l’autisme. Véritables concessions, ou jeu de passe‑passe politique? Les promesses n’engagent que ceux qui y croient… Mais on doit pourtant se demander si cette nouvelle équipe, déployée par Trump pour assainir la santé publique, aura les moyens de ses ambitions.
C’est Trump lui‑même qui a placé la première mine sur la route de Robert Kennedy Jr. En effet, dès le lendemain de son investiture, le président lançait fièrement un titanesque projet de développement de l’IA, dont l’une des missions devrait être une nouvelle plateforme vaccinale ARNm contre le cancer. Doutes et frustration ont alors succédé aux espoirs d’un vrai changement de cap. Vers quel genre d’âge d’or le président Trump veut‑il vraiment ouvrir la voie? Une société du contrôle numérique, où les patients sont des numéros de dossiers et les soins sont prodigués par une machine? Donald Trump qui n’a d’ailleurs jamais exprimé le moindre regret concernant le lancement accéléré des injections contre le Covid‑19 via l’opération Warp Speed en 2020, injections qui continuent de faire de nombreuses victimes à travers le monde.
Difficile pour Kennedy de concilier ses convictions personnelles, sur l’avortement, la fluoration de l’eau et surtout le manque de sécurité des vaccins, avec une ligne politique définie par la Maison‑Blanche, et des politiques et fonctionnaires sous influence du lobby industriel de la santé, qui les finance. Ce double écueil est apparu clairement lors des auditions devant le Sénat.
Alors, peut‑on annoncer une véritable révolution dans la politique sanitaire américaine grâce à l’arrivée des “hommes de Kennedy” aux postes clés? Quelle sera leur marge de manœuvre? Le Pr Christian Perronne, auteur de la préface du livre de Robert Kennedy Jr, Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, invité du gala MAHA (Make America Healthy Again) et interrogé au téléphone par BAM! lors de ce gala, reste optimiste mais pragmatique. “Il faut leur laisser le temps de s’installer. Je pense qu’il va y avoir des changements. C’est déjà énorme ce qui se passe. Ces nominations sont déjà une véritable révolution. Ensuite, on jugera leurs actes”…
Robert F. Kennedy Jr, la bête noire de Big Pharma
Il vient d’être confirmé au poste de Secrétaire d’État chargé de la Santé et des Services Sociaux (HHS). Avocat, spécialiste en droit de l’environnement, il est aussi l’héritier symbolique d’une grande dynastie démocrate. Il est le neveu du président John F. Kennedy et le fils du sénateur, ministre de la justice, puis candidat à la présidence, Robert F. Kennedy, tous deux assassinés lorsque “Bobby Jr” était enfant. Après avoir été lui‑même candidat aux présidentielles de 2024, Robert Kennedy Jr s’est rallié au camp de Donald Trump, en août 2024, en échange d’une promesse du futur président de lui donner l’opportunité de réformer la santé publique aux États‑Unis. Le pari de Kennedy était que Trump, désillusionné par les hommes dont il s’était entouré durant son premier mandat et désireux d’un vrai changement, serait le seul capable de lui fournir cette véritable opportunité[1] de “drainer le marécage” de Washington, le marécage au sein des agences de régulation[2].
Selon les propres déclarations de Kennedy, il s’est mis d’accord avec le président sur trois objectifs majeurs[3]. Tout d’abord, éliminer la mainmise des intérêts privés et la corruption des agences de santé publique. “Il m’a demandé d’éradiquer la corruption et de mettre fin aux conflits d’intérêts au sein de nos agences de régulation, à cette mainmise des multinationales, qui a transformé ces agences en marionnettes de l’industrie qu’elles sont censées réguler[4].” Ce premier objectif est une condition indispensable pour atteindre le second, qui est de recentrer la priorité des agences fédérales sur l’excellence scientifique et d’en restaurer la transparence.
Le troisième objectif tient particulièrement à cœur à Robert Kennedy Jr, cofondateur de l’association Children Health Defense (CHD) qui défend la santé des enfants. Il s’agit de s’attaquer à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la société américaine. Ce n’est pas un moindre défi. 74% des américains sont obèses ou en surpoids et plus de 50% souffrent d’une ou plusieurs maladies chroniques. On observe une augmentation, parfois exponentielle, du diabète, des maladies auto‑immunes et cardiovasculaires, de l’ADHD et de l’autisme, des dépressions et des addictions. 38% des adolescents sont diabétiques ou pré-diabétiques et 77% sont considérés inaptes au service militaire. Pour Robert Kennedy Jr, c’est “non seulement un problème de sécurité nationale, mais aussi un problème moral et spirituel[5].”
Il pointe principalement du doigt “deux coupables: les aliments ultra‑transformés et les produits chimiques toxiques, présents dans l’alimentation, la médecine et l’environnement[6].” Des affirmations notamment supportées par 32 études qui montrent que les aliments ultra‑transformés causent de multiples problèmes de santé[7]. “Nous sommes massivement empoisonnés par Big Food et Big Pharma[8]. Nos enfants baignent dans une soupe toxique de produits chimiques délétères[9].” D’où la naissance du programme MAHA (Make America Healthy Again), pour restaurer la santé de l’Amérique, et dont le président Trump souhaite voir “des résultats mesurables dans les deux ans[10].”
Pour Robert Kennedy Jr, les vaccins sont l’un des composants de la “soupe toxique” qui menace la santé des enfants. De nombreuses études ont établi des liens troublants entre vaccination et autisme[11], ainsi que d’autres troubles neurodéveloppementaux[12].
À propos des vaccins… Aux USA, l’augmentation des diagnostics d’autisme suit une courbe exponentielle[13]. Une étude relue par des pairs, parue en janvier 2025, conclut à un risque d’autisme accru de 170 %, ainsi que d’autres troubles neurodéveloppementaux accrus de 212 %, chez les enfants vaccinés[14]. Ce que le CDC, le Centre de Contrôle des Maladies, continue de nier fermement. Pourtant, un document interne du CDC atteste d’une réunion, durant laquelle les intervenants des agences de régulation et de l’industrie, auraient discuté de la façon de cacher des données embarrassantes. Il faut dire qu’avec 72 injections préconisées dans l’agenda vaccinal des enfants américains entre 0 et 18 ans, c’est un marché que le lobby pharmaceutique n’est pas disposé à perdre. D’autant plus que la loi fédérale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins[15], protège les fabricants contre toute poursuite liée aux effets indésirables. Une protection renforcée en 2011 par un jugement de la Cour Suprême, qui s’est prononcée contre un recours en justice au niveau des États fédéraux[16].
La sécurité des vaccins est l’un des chevaux de bataille de Robert Kennedy Jr. Mais il avoue lui‑même que Donald Trump “ne souhaite pas que je supprime l’accès aux vaccins. Dans ce pays, nous croyons au libre choix. Mais il faut connaître les risques et les avantages de tout ce que nous consommons. Pour cela nous avons besoin d’une bonne science, nous avons besoin d’un consentement éclairé[17]”.
Parmi les autres produits toxiques dans le collimateur du nouveau Secrétaire à la Santé, il y a également la fluoration de l’eau du robinet. RFK Jr a déjà demandé au président de faire cesser l’adjonction de fluorure dans l’eau potable, après l’avoir mis en garde contre sa neurotoxicité[18].
Kennedy Jr a également fait partie des opposants à la politique menée par Anthony Fauci, durant la “crise” Covid‑19. Fauci dont il a répertorié les nombreuses compromissions dans un livre paru en décembre 2021, Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma – leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. Dès le mois de mai 2021, il avait par ailleurs demandé au gouvernement fédéral de suspendre l’autorisation de mise sur le marché des “vaccins contre le Covid‑19”, les qualifiant de “vaccins les plus mortels jamais fabriqués[19].” Il lui tient donc à cœur de faire la lumière sur cette affaire. Et les hommes qui le seconderont, si leur nomination par le président Trump est confirmée par le Sénat, tiennent tout autant que Kennedy Jr à ce que la vérité prévale.
Jay Bhattacharya, le défenseur des libertés
Nommé directeur des NIH (National Institutes of Health / Institut nationaux de la Santé), Jay Bhattacharya contrôlera un budget colossal de plus de 47 milliards de dollars[20], pour le financement de la recherche scientifique, biologique et médicale. Parmi les 27 instituts que regroupe le NIH, il y a par exemple le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases), supervisant la recherche sur les maladies infectieuses, dirigé jusqu’en décembre 2022 par Anthony Fauci, qui fut notamment à l’origine des fonds attribués à EcoHealth Alliance pour les recherches en gain de fonction sur le SARS‑COV‑2 à Wuhan.
Chercheur à l’université de Stanford, Jay Bhattacharya est à la fois professeur de médecine, d’économie et de recherche en politique de santé. Épidémiologiste et économiste des maladies infectieuses, il dirige notamment le Centre sur la Démographie de la Santé et du Vieillissement de Stanford. C’est un homme ouvert d’esprit, qui croit et pratique le dialogue.
Il fut l’un des premiers à s’insurger contre la gestion du Covid‑19 par les autorités sanitaires. Dès octobre 2020, il rédigea, avec deux autres épidémiologistes de renom, la Déclaration de Great Barrington[21], qui a depuis recueilli plus de 940 000 signatures. Dans cette lettre ouverte, il mettait en garde les responsables de la santé publique contre les conséquences néfastes des confinements généralisés, proposant comme alternative la protection focalisée des personnes fragiles, tout en laissant le reste de la société ouverte, favorisant le développement d’une immunité de groupe.
Tandis qu’un véritable débat scientifique aurait été nécessaire, les responsables du NIH s’étaient au contraire alarmés du bruit suscité par cette déclaration. Leurs e‑mails (obtenus grâce à la Loi sur la Liberté d’Information) ont révélé qu’ils ont alors jugé qu’il fallait réagir par “une opération pour les discréditer, rapide et dévastatrice[22]”, en qualifiant notamment le Professeur Bhattacharya et ses coauteurs d’“épidémiologistesmarginaux”[23]. Accusation tournée en dérision par l’intéressé, par la création d’une émission scientifique incontournable intitulée Science à la marge (Science from the Fringe)[24].
Revanche du destin, le “marginal” devrait se retrouver à la tête du plus important organisme gouvernemental de financement de la recherche biomédicale au monde. Plus de 300 000 chercheurs, 2 500 universités et de nombreux organismes publics et privés, dépendent des subventions des NIH. Leur rôle est donc primordial dans l’orientation et le contrôle de la recherche.
Jay Bhattacharya, défenseur de la liberté académique et pourfendeur du pseudo consensus scientifique, entend restaurer la confiance dans la science et la recherche, en divisant les centres de décision afin d’éviter un monopole du pouvoir entre les mains d’un petit groupe de bureaucrates. Une façon aussi de stimuler l’excellence. Appelé à témoigner devant la Commission du Congrès sur le Covid, le Pr Bhattacharya avait en effet dénoncé la censure pratiquée par “une petite cabale de bureaucrates, arrogants, mesquins et puissants”[25], fonctionnant “davantage comme des dictateurs que comme des scientifiques”[26]. Il avait qualifié leur “acceptation de la censure gouvernementale de la discussion scientifique” comme étant la plus grande menace actuelle contre la démocratie[27], démontrant que le gouvernement américain avait été la principale source de désinformation[28].
Le Pr Bhattacharya souhaite qu’une commission, non plus politique mais scientifique, puisse enquêter sur les politiques Covid, qui ont violé l’éthique médicale, réduit des scientifiques au silence et imposé des injections dangereuses et dévastatrices. “La censure tue la science et, dans ce cas, je pense que la censure a tué des gens”, il estime qu’il faudra présenter des excuses aux Américains[29].
Marty Makary, monsieur immunité naturelle
Le Dr Marty Makary, est le choix de Donald Trump pour prendre la tête de la FDA (Food and Drug Administration), l’agence américaine de régulation des aliments et des médicaments. Bien que considérée comme la moins controversée parmi la sélection de Trump pour la santé, cette nomination a quand même fait grincer quelques dents. “La FDA a perdu la confiance des Américains et a perdu de vue son objectif premier de régulateur” a expliqué le président. Avant d’ajouter, “l’agence a besoin du Dr Marty Makary, chirurgien oncologue très respecté et expert en politique de santé, pour changer de cap”[30].
Ce spécialiste du cancer du pancréas avait lui‑même sévèrement jugé l’agence qu’il doit maintenant diriger. “Le covid nous a permis de jeter un regard lucide sur une FDA défaillante, embourbée dans la politique et la bureaucratie”[31]. Tandis que Robert Kennedy Jr, annonçait : “La guerre de la FDA contre la santé publique est sur le point de prendre fin”. Il avait cité une liste de produits censurés par l’administration, comme les cellules souches, l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, les vitamines, des aliments comme le lait cru et des bienfaits naturels non brevetables, comme l’exposition au soleil, avant de lancer un avertissement. “Si vous travaillez pour la FDA et que vous faites partie de ce système corrompu, j’ai deux messages pour vous : 1. sauvegardez vos dossiers, et 2. préparez vos valises”[32].
La FDA octroie ou refuse les autorisations de mise sur le marché des produits alimentaires et pharmaceutiques. Cette administration est souvent dénoncée pour ses compromissions avec les entreprises privées qu’elle régule et dont provient 45% de son financement[33]. La pratique des “portes tournantes”, qui permettent à d’anciens salariés de Big Pharma d’obtenir des postes de régulation, et aux anciens fonctionnaires de négocier leur fin de carrière dans les compagnies qu’ils ont régulées, favorise la corruption. On rappellera que c’est la FDA qui, sommée au titre de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act) de fournir sa documentation sur la sécurité des injections Pfizer, avait demandé un délai de 75 ans, avant d’être contrainte à la fournir sous 8 mois par la justice[34]. La FDA fut aussi à l’origine d’une campagne médiatique mensongère pour ridiculiser le recours à l’Ivermectine, en qualifiant ce médicament reconnu de longue date d’antiparasitaire pour chevaux.
Diplômé de Harvard en santé publique, chef du service de chirurgie spécialisé dans la transplantation de cellules pancréatiques à la l’Université médicale John Hopkins, membre de l’Académie Nationale de Médecine, le Dr Marty Makary s’est fait connaître par de nombreuses publications scientifiques et trois NYTimes best‑sellers, dans lesquels il dénonçait notamment le coût exorbitant de la santé aux USA, les erreurs médicales et le manque de transparence. Après avoir initialement soutenu les confinements et le port du masque au tout début de la crise covid, Marty Makary s’était insurgé contre le refus d’Anthony Fauci de reconnaître l’immunité naturelle, acquise par une partie de la population. Citant 200 études dont la sienne, -65 vérifiées par le Lancet-, il avait argumenté: “toutes les études concluent que l’immunité naturelle est au moins aussi efficace que l’immunité acquise par le vaccin et probablement plus efficace”[35].
Sans être par ailleurs opposé à la vaccination, il avait cependant réagi énergiquement contre les obligations vaccinales, déplorant notamment que les universités aient “ignoré les données et forcé de jeunes étudiants en bonne santé à choisir entre le risque de myocardite ou être mis à la porte de leur école, même s’ils avaient déjà acquis une immunité naturelle”[36]. Marty Makary avait témoigné dans ce sens devant la Commission du Congrès
Il soutient la plateforme Make America Healthy Again proposée par Robert Kennedy Jr, et sa propre mission à la FDA sera “d’évaluer les produits toxiques qui empoisonnent l’alimentation, ainsi que les médicaments et autres produits pharmaceutiques (..) pour s’attaquer à l’épidémie de maladies chroniques, notamment chez les enfants”, selon les termes du président[37]. Il milite pour la prévention et l’éducation plutôt que la médication, ce qui n’est pas forcément pour plaire à l’industrie. “Nous avons la population la plus surmédicalisée et la plus malade du monde et personne ne parle des causes profondes”. Citant par exemple : “Peut-être devrions‑nous parler des repas scolaires, plutôt que de mettre les enfants sous médicaments contre l’obésité”[38].
Dave Weldon, le cauchemar des fabricants de vaccins
Choisi par le président Trump pour diriger le CDC (Center for Disease Control), le Dr David Weldon doit occuper le poste clé de la prévention et du contrôle des maladies, bien que n’ayant pas de formation classique en santé publique. En revanche, ce médecin généraliste de Floride a une longue expérience de la politique. Ce républicain a en effet été élu pour représenter son État au Congrès durant sept mandats consécutifs, de 1995 à 2009, avant de reprendre ses consultations médicales.
Durant son passage à la Chambre des Représentants, le Dr Weldon a siégé dans plusieurs commissions dont celles concernant la science, ou la santé et les services sociaux. Il s’est distingué par des prises positions dissidentes. En 2007, il a notamment proposé, sans succès, un projet de loi (le Vaccine Safety and Public Confidence Act) pour faire interdire le thimerosal dans les vaccins. Ce dérivé du mercure est fréquemment utilisé comme conservateur dans les préparations vaccinales. Et, bien que le CDC nie officiellement tout lien de causalité, il est soupçonné d’être associé à la multiplication des cas d’autisme parmi les enfants. Dave Weldon réclamait également la création d’une agence indépendante, chargée de mener des recherches sur la sécurité des vaccins. Il avait alors pointé du doigt les conflits d’intérêts au sein du CDC et de la FDA[39].
Sa position, proche de celle de Robert Kennedy Jr sur ce sujet, pourrait donc ébranler le CDC, l’agence fédérale qui détermine les programmes de vaccination. D’autant plus que la gestion coercitive du Covid‑19 par le CDC est fortement critiquée. Son ancienne directrice, Rochelle Walenski, a elle‑même admis avoir diffusé des informations fausses ou incomplètes[40], notamment sur l’efficacité et la sécurité des injections ou en parlant d’une “pandémie des non‑vaccinés” sans avoir de données sur le statut vaccinal des malades hospitalisés[41]. Grâce à la Loi sur la Liberté d’Information, on a désormais la preuve que le CDC a directement orchestré, sur les réseaux sociaux, la censure des opposants[42]. Donald Trump, lui‑même, en nommant le Dr Dave Weldon, a officiellement dénoncé le CDC pour “s’être livréà la censure, à la manipulation de données et à la désinformation”[43].
Dave Weldon est également à l’origine d’un amendement qui porte son nom, et interdit au département de la santé de financer des programmes pratiquant la discrimination contre les personnels soignants qui refusent de promouvoir ou de pratiquer l’avortement. Il a par ailleurs participé à l’interdiction du dépôt de brevet sur les embryons humains. Pour la première fois dans l’histoire du CDC, la nomination de son directeur devra être confirmée par le Sénat, suite à une modification de la loi de finance.
Aseem Malhotra, “no retreat, no surrender”
Cardiologue britannique de renom, le Dr Aseem Malhotra a été choisi par le président Trump pour être son conseiller pour les questions de santé.
Aseem Malhotra est considéré comme l’un des experts mondiaux dans le domaine de l’Evidence‑Based Medecine (EBM), médecine qui tient compte à la fois des connaissances scientifiques et de l’expertise clinique, mais aussi des spécificités et préférences des patients. Auteur et relecteur pour de nombreuses publications scientifiques renommées, le Dr Malhotra a également été l’un des plus jeunes conseillers santé du gouvernement britannique. En plus de la cardiologie, il s’intéresse particulièrement à la prévention des maladies coronariennes, au surpoids, à l’obésité et au diabète de type 2.
Fervent pratiquant et défenseur d’un mode d’alimentation et de vie sains, il est le producteur d’un documentaire choc intitulé First Do No Pharm. Il y dénonce l’influence néfaste de Big Pharma, qu’il accuse d’avoir détourné le secteur de la santé pour son propre profit. Il met en garde contre l’usage excessif de médicaments, identifiés comme la troisième cause de décès à travers le monde, derrière les maladies cardiovasculaires et le cancer. Il exhorte la population à reprendre la responsabilité de sa propre santé, en insistant sur l’importance de l’alimentation (réduction de la consommation d’aliments ultra‑transformés et de sucre) et d’une bonne hygiène de vie. Le Dr Aseem Malhotra a présenté le régime qu’il recommande, inspiré par l’alimentation des villageois de Pioppi, dans le sud de l’Italie, dans son livre The Pioppi Diet. Un ouvrage qui a suscité des polémiques dans la sphère médicale orthodoxe, tout comme ses deux autres ouvrages, The 21‑Day Immunity Plan et A Statin‑Free Life.
En rejoignant l’équipe de Trump à la Maison Blanche, il a promis de s’attaquer à la première cause de mortalité aux USA, les maladies cardiovasculaires. Il veut sensibiliser les Américains au problème de la malbouffe et la combattre, au même titre que le tabac. Il préconise de bannir des écoles et des hôpitaux les aliments ultra‑transformés et voudrait instaurer une taxe sur les snacks sucrés, sodas et crèmes glacées. Il sera donc un rouage essentiel de “la plus grande opération que le pays ait jamais connue contre les mauvaises habitudes alimentaires des Américains” annoncée par Trump.
C’est un drame personnel, le décès prématuré de son père suite à l’injection à ARNm, qui a ouvert les yeux du cardiologue britannique sur les scandales liés au covid et aux injections géniques. Son père, lui‑même médecin connu et respecté, est décédé en juillet 2021 d’une crise cardiaque, alors qu’il n’avait pas d’antécédents pouvant l’expliquer. Suite à l’autopsie et à des discussions avec des collègues chercheurs, Aseem Malhotra découvrit les risques cardiovasculaires liés aux injections, risque que ses collègues avaient choisi de taire, pour ne pas perdre le financement de leurs recherches par Big Pharma. Examinant alors les chiffres officiels du gouvernement britannique, il a alors lui‑même constaté une augmentation de 14000 cas d’arrêts cardiaques suite au déploiement des “vaccins” en 2021, par rapport à l’année précédente[44].
Réalisant que son père avait été “victime du plus grand crime en col blanc de l’histoire”[45], Aseem Malhotra a juré de se battre “pour une justice sanitaire universelle, jusqu’à mon dernier souffle”[46]. Et pour honorer la mémoire de son père, il a fait la promesse: “ta disparition prématurée ne sera pas vaine et nous obtiendrons justice pour ceux qui ont souffert inutilement d’une injection d’ARNm qui n’aurait jamais dû être approuvée et certainement pas administrée sans consentement éclairé”[47].
Ami proche de Robert Kennedy Jr, Aseem Malhotra n’aura de cesse de réclamer que “les vaccins covid à ARNm soient suspendus dans le monde entier et que les personnes blessées par le vaccin reçoivent une aide réelle”[48]. Laissons‑lui le mot de la fin, une référence à la loi de Sparte, qu’il martèle en clôture de ses messages sur X: “no retreat, no surrender” – “ni retraite, ni reddition”. Puissent Robert Kennedy Jr et sa nouvelle équipe incarner cette devise.
En tant que groupe international de politiciens et professionnels qualifiés, nous sommes gravement préoccupés par les effets des vaccins à ARNm modifiés contre le COVID-19 sur nos populations et appelons à leur suspension immédiate.
ENTRETIEN – Le bras de fer judiciaire entre la Commission européenne et les citoyens de l’Union se durcit. Condamnée en juillet 2024 par le Tribunal de l’Union européenne pour son opacité dans la gestion des contrats d’achat de vaccins, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’UE, assorti d’un référé visant à suspendre partiellement l’exécution d’un jugement obtenu par Me Arnaud Durand au nom de 2089 requérants. Depuis octobre, cette procédure inédite a connu de nombreux rebondissements : l’exécutif européen refuse la divulgation des contrats, en violation d’une décision de justice devenue exécutoire, et bafoue le principe du contradictoire, en ne communiquant pas les arguments qu’il invoque pour empêcher des milliers de citoyens de se joindre à l’affaire, dénonce l’avocat. Paradoxalement, la Commission a exigé un droit de réplique aux conclusions en réponse déposées en décembre, signe, selon lui, que « nos arguments ont manifestement été perçus comme menaçants ». Enfin, ce 4 février, le juge des référés a rejeté les « arguments classiques » de la Commission, mais néanmoins estimé qu’il revenait à la CJUE d’avoir le dernier mot sur la divulgation de l’identité cachée des négociateurs des contrats. Dans cet entretien, Me Arnaud Durand revient sur ces derniers développements et analyse les enjeux d’un affrontement judiciaire qui touche au cœur même des principes de transparence au sein de l’Union européenne. À l’heure même où la Commission a annoncé la signature d’un nouveau contrat de vaccins Covid-19… dont elle n’a pas dévoilé toute la teneur.
Epoch Times : Le 24 janvier, la Commission a passé un marché avec le laboratoire américain Moderna pour l’achat groupé de vaccins contre le Covid-19 : jusqu’à 146 millions de doses de vaccins ARN messager. Avant d’aborder la procédure en pourvoi, quel regard portez-vous sur ce dossier ?
Me Arnaud Durand : Lors de notre entretien du 6 octobre 2024, je dénonçais la dérive de la Commission von der Leyen dans son opacité toujours plus marquée après la décision rendue par le tribunal de l’Union européenne le 17 juillet 2024, la condamnant pour son manque de transparence dans l’affaire des contrats d’achat de vaccins Covid-19. Aujourd’hui la Commission européenne réitère. En témoigne la non-divulgation de ce contrat conclu avec Moderna pour près d’une dose par habitant pour les seize États membres impliqués (Belgique, Espagne, France, etc.).
À ce jour, les conditions financières de cet accord sont inconnues. Par l’intermédiaire de son autorité HERA “de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire”, la Commission tente de rassurer en mettant en avant l’absence de clause de minimum d’achat. Cependant, la signature d’un contrat suppose en principe des engagements notamment financiers de la part des États signataires. Dès lors, plusieurs questions se posent : ce contrat est-il équilibré ? Confère-t-il à Moderna des avantages excessifs au détriment des contribuables européens ? À ce stade, la Commission cache ces informations.
Je rappelle que la conclusion des précédents contrats d’achat Covid-19, pour un montant total estimé à 71 milliards d’euros, avait, à l’époque, soulevé de sérieux doutes quant à l’équité des négociations. En effet, l’augmentation des commandes de doses s’était accompagnée d’une hausse des prix, ce qui est contraire aux principes économiques usuels, qui voudraient au contraire que des commandes massives entraînent une baisse des coûts unitaires.
De plus, la Commission avait accepté des prix d’achat supérieurs à ceux négociés par d’autres États, et ce, pour des injections dont les données d’étude étaient à la fois parcellaires et fragiles. L’histoire a montré qu’en fin de compte, ces produits n’ont pas du tout tenu leurs promesses.
Ce nouveau manquement à la transparence va donc une fois de plus à l’encontre des principes fondamentaux de l’Union européenne. Il est d’autant plus préoccupant qu’il contredit directement la volonté exprimée par le Parlement européen lui-même, qui avait adopté, le 12 juillet 2023, une résolution sans équivoque dénonçant l’opacité des accords passés par la Commission.
Ce texte demandait que « les contrats soient conclus et que les négociations sur les prix soient menées de manière transparente ». Pourtant, la Commission persiste dans son attitude de dissimulation, à l’encontre de cette résolution du Parlement européen. Une telle attitude ne peut qu’éroder davantage la confiance des citoyens.
À l’occasion du nouveau contrat avec Moderna, la presse française a rapidement rappelé les accusations concernant le manque de transparence sur la passation de ces marchés à l’époque. TF1 a d’ailleurs renvoyé ses lecteurs vers son article traitant de la condamnation de la Commission pour ces faits en juillet dernier. Qu’avez-vous pensé du traitement médiatique sur la signature de ce nouveau contrat ?
Lorsque l’on constate qu’un média grand public comme TF1 commence à accorder du crédit aux demandes de transparence contre la Commission européenne, demandes qui étaient encore récemment qualifiées de « complotistes », on peut raisonnablement penser que le vent commence à tourner.
Contrairement à d’autres médias, je me réjouis qu’ils aient eu la loyauté de renvoyer leurs lecteurs vers l’article annonçant la condamnation de la Commission européenne que nous avons obtenue en juillet dernier.
Le manque de transparence de l’exécutif européen ne repose pas sur des spéculations fantaisistes, mais bien sur des griefs que le tribunal de l’UE a reconnus en donnant raison aux 2089 requérants que je représente. L’arrêt rendu par le Tribunal marque un tournant dans le débat public, légitimant enfin des interrogations trop longtemps moquées et balayées d’un revers de main par les prétendus “fact-checkers”.
Toutefois, je reste prudent quant au traitement médiatique de ces affaires. Ce frémissement, bien que notable, ne garantit pas une couverture impartiale et approfondie. La couverture presse de juillet dernier en est d’ailleurs un bon exemple : il minimisait l’impact de cette décision de justice en titrant que la Commission aurait été juste « épinglée ». Or, en réalité, elle a bel et bien été condamnée.
L’article de TF1 se conclut en rappelant que la plainte pénale déposée en avril 2023 par le lobbyiste belge Frédéric Baldan a été jugée irrecevable par la justice belge en janvier, ce qui, selon la presse, a consécutivement frappé d’irrecevabilité toutes les autres plaintes déposées dans son sillage, celles de ceux invités à se joindre à cette procédure mais aussi celles déposées à l’initiative des États membres. Frédéric Baldan a accusé la justice « d’organiser l’impunité » d’Ursula von der Leyen. Quelle analyse faites-vous de ce jugement ?
Bien avant que la justice n’ait statué qu’en début 2025, j’avais mi-2024 prévenu les lecteurs de ma newsletter “DejaVu” qu’une telle plainte, déposée par des personnes tierces devant la justice belge, était certainement vouée à l’échec, faute d’être juridiquement recevable.
En effet, dans le type de procédure engagée, seule une victime directe de l’infraction peut agir en réparation du dommage. C’est le cas aussi bien en droit belge qu’en droit français.
Dans ces conditions, il est ici difficile de désapprouver la justice belge qui a rendu une décision tout simplement conforme au droit applicable en ce qui concerne les plaignants personnes physiques.
Certaines associations, dans des conditions bien précises, pourraient, elles, être jugées recevables. Il appartient maintenant à ces associations d’agir utilement.
En tant qu’avocat intervenant sur de grandes causes, je crois en la nécessité d’éclairer les justiciables sur les perspectives de chaque procédure. Bien sûr, il existe un aléa devant la Justice, a fortiori sur les causes sensibles. En revanche, j’ai toujours refusé de faire exprès de me tromper pour ensuite blâmer une décision prétendument mauvaise, en réalité logique, rendue par un juge.
Toutefois, dans l’affaire belge, on ne comprend pas bien pourquoi les États membres de l’Union européenne, qui avaient également déposé plainte, ont été eux aussi jugés irrecevables. J’espère que ces États-membres se reprendront afin de faire valoir leur droit à un procès, soit en déposant une nouvelle plainte, soit en engageant un recours devant la Cour de cassation belge à ce stade.
Le 17 juillet dernier, le Tribunal de l’Union européenne a condamné la Commission pour son manque de transparence concernant les contrats d’achat de vaccins et l’identité des négociateurs impliqués. Face à cette décision, le 27 septembre 2024, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qu’elle a assorti d’un référé en mesures provisoires. Le 4 février, vous avez reçu la décision du juge des référés. Quelle est-elle ?
Ce pourvoi devant la CJUE, seule voie de contestation possible pour la Commission, ne vise pas à remettre en cause les faits du dossier, mais plutôt la manière dont les juges du Tribunal de l’UE ont appliqué le droit. Il s’agit donc d’une procédure comparable à un pourvoi en cassation en France : la Cour de cassation ne rejuge pas les faits, mais vérifie si la règle de droit a été correctement appliquée, en s’appuyant sur la jurisprudence.
Parallèlement, la Commission avait donc introduit un référé afin de suspendre l’exécution de l’arrêt du Tribunal, mais uniquement sur la divulgation des noms des négociateurs, sans que l’obligation de publier les contrats d’achat fortement caviardés ne soit suspendue.
L’objectif de cette démarche de la Commission était d’obtenir en urgence la suspension de l’exécution de la décision du 17 juillet 2024, devenue exécutoire en septembre.
Thomas von Danwitz, juge des référés, dans sa décision rendue le 4 février 2025, n’a pas retenu les arguments classiques de la Commission mais a opté pour une approche pragmatique, à savoir la “mise balance des intérêts” : tant que la CJUE ne s’est pas prononcée sur le pourvoi, divulguer les noms des négociateurs serait irréversible. Il a donc suspendu la divulgation des noms jusqu’à la décision finale, non pas en accordant quelque crédit que ce soit aux arguments juridiques premiers de la Commission, mais exploitant cet outil très élastique qu’est la “mise en balance des intérêts”, sorte de “voiture-balai” des intérêts des parties lorsque les outils juridiques classiques sont insuffisants pour prendre une décision dans tel ou tel sens.
Il est vrai que si le pourvoi de la Commission devait in fine être jugé fondé par la Cour, il serait en pratique difficile de revenir en arrière une fois ces informations rendues publiques.
Gageons que le Parlement européen, expression de la démocratie au sein de l’Union européenne, qui a formellement demandé la divulgation de l’identité des négociateurs et de leurs déclarations de conflits d’intérêts, ait l’oreille de la Cour au fond de l’affaire.
Si le référé introduit par la Commission portait exclusivement sur l’identité des négociateurs, pourquoi n’a-t-elle toujours pas divulgué les contrats d’achat des vaccins avec les différents laboratoires ?
La Commission n’a pas introduit de référé concernant la divulgation des contrats, probablement parce qu’elle savait ses arguments encore moins solides que ceux avancés pour dissimuler l’identité des négociateurs. Cela en dit long sur la fragilité juridique de sa position : la Commission sait qu’elle ne pouvait justifier son refus de transparence devant le juge des référés sans courir un risque considérable de voir son recours rejeté.
Le 18 octobre 2024, j’ai officiellement sommé la Commission d’exécuter la décision du Tribunal, qui l’obligeait à divulguer ces documents. À ce jour, elle continue de faire la sourde oreille en utilisant divers prétextes fantaisistes. En réalité, sa tactique repose sur l’idée de jouer la montre, en espérant qu’un arrêt favorable de la Cour lui permette de ne jamais divulguer ces contrats.
Le mécanisme d’exécution des décisions au sein de l’Union européenne est en effet particulier : par principe, le juge de l’Union ne peut pas contraindre directement une administration à exécuter une décision de justice. Cependant, la Commission est tenue de respecter les décisions de Justice, faute de quoi les intéressés peuvent engager un nouveau recours, qu’ils sont pratiquement certains de gagner à nouveau, puisque visant uniquement à faire respecter un arrêt déjà rendu.
Au-delà des détails d’exécution, ce refus de la Commission européenne de se conformer à… une décision de justice montre à quel point cette commission n’est pas attachée au principe de transparence.
Et cela, cet attachement premier de la Commission européenne à des intérêts partisans voire mercantiles, les citoyens de l’Union s’en rendent de mieux en mieux compte.
Pouvez-vous faire un état des lieux de cette procédure en pourvoi en précisant son calendrier ?
Le 10 décembre 2024, nous avons conclu au fond contre le pourvoi de la Commission. Les arguments que nous avons développés dans l’intérêt des 2 089 requérants ont manifestement été perçus comme suffisamment menaçants pour inquiéter la Commission, puisqu’elle a demandé à la Cour l’autorisation d’y répliquer. Ce qu’elle devra faire d’ici une quinzaine de jours.
En tant que défendeurs contre le pourvoi nous serons amenés à répondre à notre tour, ce qui nous conduira aux alentours du mois d’avril 2025. L’affaire devrait donc être jugée par la CJUE d’ici début 2026.
Par ailleurs, le 11 décembre 2024, 3782 citoyens de l’Union européenne ont introduit une demande d’intervention volontaire pour se joindre à la procédure en cours afin de soutenir les requérants. La Commission européenne s’y est opposée, mais ni le Tribunal ni la Commission n’ont jugé bon de communiquer ce mémoire en opposition aux requérants. Ne s’agit-il pas d’une violation du principe du contradictoire ?
Oui, c’est une violation manifeste du droit à un procès équitable : chaque partie doit évidemment pouvoir connaître des arguments de son adversaire avant qu’une décision ne soit rendue. Pourtant, dans ce cas précis, nous ne connaissons toujours pas les arguments que la Commission a avancé dans le but d’empêcher la participation de milliers de citoyens européens au dossier.
Cette situation est profondément problématique sur le plan du droit. Il est inouï que la Commission européenne, institution censée défendre l’intérêt général, s’oppose à la participation de citoyens européens tout en les empêchant de connaître des arguments avancés contre eux.
En fonction de la décision qui sera rendue, nous déterminerons si un recours ou une autre action légaliste s’impose pour contester cette atteinte évidente au droit à un procès équitable, en serait-ce que pour les requérants eux-mêmes qui se verraient priver de l’intervention en leur soutien de plus de 3000 intervenants.
Ce que doit maintenant comprendre la Commission européenne avec les milliers de citoyens que je défends, c’est qu’elle ne peut plus agir subrepticement comme elle a trop pris l’habitude de le faire dans les affaires où les requérants agissent isolément. En première instance, elle nous avait tendu tous les pièges procéduraux possibles et imaginables. Cela n’a pas fonctionné. La Commission ferait mieux de se ranger à la transparence légitime réclamée par les citoyens de l’Union. Qu’elle comprenne bien : nous ne lâcherons rien.
Pourquoi la Commission tient-elle tant que cela à maintenir confidentiels l’identité des négociateurs ainsi que leurs potentiels conflits d’intérêts selon vous ?
Il est depuis peu de notoriété publique que l’une des principales négociatrices des contrats d’achat de vaccins était Mme Ursula von der Leyen elle-même. De manière manifestement solitaire, la Présidente de la Commission a tenu des négociations avec Pfizer.
Au-delà de l’article du New York Times évoquant les SMS où Mme von der Leyen aurait traité directement avec le PDG du fabricant Pfizer, cette affaire a entre-temps été confirmée par la Cour des comptes européennes qui a dénoncé, en tête d’un rapport spécial, n’avoir « reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE ».
La question est donc simple : les négociateurs étaient-ils exempts de tout conflit d’intérêts, comme l’affirme la Commission ?
Actuellement, la seule réponse que nous a fournie la Commission est une liste de déclarations de conflits d’intérêts… entièrement anonymisée et… ne mentionnant l’existence d’aucun conflit d’intérêts.
Il est donc impératif, une fois ces documents obtenus, de vérifier si Mme von der Leyen y figure bien, compte tenu de son rôle révélé depuis dans ces négociations.
Et plusieurs éléments suscitent des interrogations quant à de potentiels conflits d’intérêts impliquant Mme von der Leyen. D’une part, son propre mari est directeur chez Orgenesis, une société spécialisée dans l’ARN messager en matière de Covid-19. D’autre part, Mme von der Leyen elle-même a acquis des options d’achat dans cette entreprise, ce qui pose directement la question d’un conflit d’intérêts majeur.
Quand on regarde le caractère particulièrement farfelu des arguments de la Commission, on se rend compte qu’en réalité, c’est très probablement à cause de sa présidente que la Commission redoute l’exécution de sa condamnation du 17 juillet 2024.
Comment la Commission justifie-t-elle ses positions dans ses conclusions ?
La Commission européenne cherche aujourd’hui à clore le débat en affirmant que l’objectif de transparence et de vérification des conflits d’intérêts aurait déjà été atteint par la publication des déclarations caviardées.
Cette affirmation est d’une absurdité manifeste. Comment prétendre vérifier des conflits d’intérêts lorsque les noms des signataires sont cachés ? Sans connaître l’identité des négociateurs, il est tout simplement impossible de procéder à la moindre vérification.
Face à cette incohérence, la Commission tente de rassurer en affirmant qu’il ne faut pas s’inquiéter, qu’elle a déjà vérifié en termes de conflits d’intérêts. Mais cette demande de confiance aveugle et naïve, nous la refusons fermement. Nous ne croyons pas la Commission, le Parlement européen ne la croit pas non plus, et, plus largement, personne ne semble convaincu, puisque les appels à la transparence se multiplient. En enjoignant les citoyens à une sorte de “circulez, il n’y a rien à voir”, la Commission a attisé le besoin de transparence.
Dans ses conclusions, l’exécutif européen avance que le contrôle démocratique de l’identité des négociateurs ne relève pas d’un but d’« intérêt public ».
La Commission a effectivement saisi la Cour de justice de l’Union européenne de cette question au fond dans son pourvoi. Elle en avait aussi saisi le Tribunal en première instance, puis le juges des référés. Tous deux ont écarté cet argument.
La Commission tentait d’affirmer que l’objectif poursuivi n’était pas d’intérêt public, mais cette position était intenable… aux yeux mêmes de la Commission qui se contredisait à la phrase suivante en indiquant que cette vérification des conflits d’intérêts était bien dans « l’intérêt public ».
Une contradiction aussi flagrante revenait à anéantir son propre argumentaire. Nous avons donc rappelé à l’encontre de la Commission qu’en droit, des arguments contradictoires équivalent à une absence d’arguments.
Dans son pourvoi, la Commission se justifie également en arguant que la divulgation de l’identité de ces négociateurs pourrait entraîner « des attaques à leur intégrité physique ainsi que du harcèlement, notamment par des supporteurs des “théories du complot“, dont le nombre n’est pas négligeable en lien avec la pandémie de Covid-19 ». Pourtant, bien des prédictions jugées « complotistes » à l’époque se sont révélées vraies. Dernier exemple en date : ce 25 janvier, on apprend que la CIA elle-même considère comme probable l’hypothèse d’une fuite de laboratoire à Wuhan comme origine du Covid-19, hypothèse elle aussi qualifiée autrefois avec virulence de théorie complotiste. Que cela vous inspire-t-il ?
Tout d’abord, je reviens une fois de plus sur la résolution adoptée par le Parlement européen le 12 juillet 2023, qui recommande explicitement que « les négociateurs de contrats avec des entreprises pharmaceutiques déclarent leurs intérêts financiers et autres » et, dans une clarté absolue, recommande également de « rendre ces déclarations publiques ». Mais la Commission continue de dissimuler ces quelques identités, pour un coût exorbitant en termes de finance comme en matière de confiance.
Dans ce contexte, sous-entendre que les requérants seraient « complotistes » n’est pas seulement décalé, mais c’est aussi malhonnête. Les personnes que je représente sont des citoyens légalistes ayant obtenu en justice la condamnation de la Commission européenne pour son opacité.
Au-delà, l’exemple de la fuite probable du laboratoire concernant l’origine du virus est un exemple particulièrement révélateur : à l’époque, nous avions assisté à une véritable mascarade visant à fermer tout débat et à mettre en garde contre les “dangereux complotistes” posant des questions à ce sujet.
Une délégation de l’OMS, censée enquêter sur l’origine du virus, avait dans son rapport à l’époque conclu qu’elle n’avait toujours pas identifié l’hôte naturel du SARS-CoV-2. Soyons sérieux : comment prétendre aboutir à des conclusions crédibles lorsque l’on refuse d’explorer sérieusement la piste d’une origine artificielle ?
Il est temps de réhabiliter le pangolin et la chauve-souris, ces boucs émissaires érigés en coupables sans défense !
Derrière cette absurdité se cache un problème plus vaste. La Commission européenne n’est qu’un rouage d’un système dans lequel des institutions comme l’OMS ont cherché à imposer un prétendu consensus, pourtant absurde, évacuant toute hypothèse dérangeante au profit d’une pensée officielle.
Pourquoi le “bon chemin” argué par ces instances est-il pratiquement toujours en faveur des intérêts financiers des fabricants de médicaments ? Pendant la crise, tout semblait cadré pour éviter toute mise en cause de ce laboratoire installé en Chine avec le concours de… Français et d’Américains.
Si l’hypothèse, désormais plausible, d’une fuite de laboratoire venait à être définitivement confirmée, les implications seraient colossales en termes de responsabilités civiles, pénales et politiques à l’échelle internationale.
Comment franchir le cap tumultueux du changement de monde en cours sans perdre notre âme et nos repères ? Jean-Dominique Michel aborde avec Philippe Bobola, physicien, biologiste et anthropologue, les caractéristiques de cette période troublée et de ses lignes de force fondamentales.
Les nanoparticules lipidiques (LNP), utilisées pour délivrer l’ARNm du vaccin Covid-19 aux cellules du corps, ne restent pas au point d’injection – elles circulent dans tout le corps et atteignent les organes vitaux, y compris le cœur, selon un nouvel article publié dans Nature Biotechnology.
Les résultats “suggèrent un mécanisme potentiel par lequel les vaccins ARNm à base de LNP pourraient contribuer aux complications cardiaques signalées”, notamment la myocardite, écrivent les auteurs de l’étude.
Publiées dans l’une des revues scientifiques les plus prestigieuses, les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des responsables de la santé publique et des scientifiques lors du déploiement du vaccin Covid-19, selon lesquelles les LNP étaient sûres parce qu’elles ne se déplaçaient que vers des sites ciblés spécifiques dans le corps.
Un nouveau type de test
Selon les auteurs, il n’existe pas de technologie adéquate pour déterminer où les transporteurs de nanoparticules, telles que les nanoparticules lipidiques, aboutissent dans l’organisme après avoir été administrés par injection intramusculaire, en particulier pour les médicaments tels que les vaccins, qui contiennent de faibles doses de particules.
Dans cette étude, les auteurs ont mis au point une technologie expérimentale permettant de déterminer où les différents vecteurs de nanoparticules, y compris les LNP, se retrouvent dans l’organisme après une injection intramusculaire. Ils ont testé cette technologie sur des souris.
Les chercheurs ont constaté que même à des doses extrêmement faibles, les LNP portant l’ARNm de la protéine Spike du SARS-CoV-2 atteignaient les organes vitaux. Elles ont atteint le tissu cardiaque et provoqué des modifications cellulaires ou tissulaires.
Les LNP injectant l’ARNm Covid-19 circulent de manière systémique et sont absorbées par les organes vitaux, ce qui entraîne la production de la protéine Spike toxique à l’échelle du corps”, a écrit Nicolas Hulscher, épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough, sur Substack.
Selon Karl Jablonowski, chercheur principal à l’ONG Children’s Health Defense, l’idée fausse la plus répandue au début du déploiement du vaccin Covid-19 était que les nanoparticules lipidiques “restaient dans les cellules musculaires“.
Cet article illustre parfaitement que ces affirmations sont fausses, puisqu’on y trouve des LNP injectées par voie intramusculaire dans le cœur, le foie, les reins, la rate, la tête et “tous les ganglions lymphatiques analysés”, a déclaré M. Jablonowski.
La recherche aurait dû être effectuée avant la vaccination de masse, et non après
Selon l’étude, plus de 30 nouveaux médicaments – y compris des outils d’édition du génome, des médicaments à base d’ARNm et de protéines – ont été approuvés par la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments.
Mais les développeurs de médicaments sont confrontés à un défi majeur dans l’application clinique de ces outils : comment s’assurer que les médicaments n’atteignent que les cellules qu’ils ciblent?
Pour cibler des cellules spécifiques, les médicaments utilisent des “nanocarriers” (nanoporteurs) – de minuscules particules capables de transporter un médicament dans tout l’organisme – sélectionnés pour leur capacité différentielle à cibler des types de cellules particuliers. Différents types de nanoporteurs, notamment les liposomes, les vecteurs viraux et les LNP, les nanoparticules lipidiques, ont été utilisés dans les vaccins Covid-19.
Les nanoporteurs sont dotés d’un revêtement qui les rend stables et les aide à atteindre les cellules cibles. Cependant, lorsqu’ils sont introduits dans l’organisme, ils subissent des modifications qui rendent leur fonction plus imprévisible.
Selon M. Jablonowski, ces changements sont dus au fait que des protéines se lient aux nanoparticules et influencent leur destination et leur mode d’interaction.
Cette interaction avec les protéines de l’environnement est inéluctable et constitue une source d’incertitude critique”, a-t-il déclaré.
C’est ce qui fait des LNP un outil de thérapie génique risqué, généralement utilisé uniquement par des personnes qui “luttent pour leur vie et sont prêtes à accepter les effets indésirables potentiels résultant du fait que les LNP atteignent la mauvaise cible”, a déclaré M. Jablonowski.
Une personne en bonne santé ne prendrait pas un risque aussi important pour un bénéfice aussi minime.
Technologie de précision
Les chercheurs ont entrepris de mettre au point une technologie appelée “Single Cell Precision Nanocarrier Identification”, conçue pour cartographier et quantifier l’endroit où aboutissent les nanoporteurs injectés dans une souris.
Leur technologie utilise l’apprentissage automatique pour analyser les données d’images, ce qui permet de quantifier avec précision l’emplacement des nanoparticules au niveau de l’organe, du tissu et de la cellule unique dans l’ensemble du corps.
Ils l’ont spécialement conçue pour mesurer les faibles doses de médicaments généralement présentes dans les vaccins. Ils l’ont ensuite testée sur plusieurs nouveaux types de médicaments et ont pu identifier avec succès la localisation des nanoparticules dans l’ensemble du corps d’une souris.
Après avoir injecté dans le muscle une LNP contenant l’ARNm de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, les chercheurs ont détecté l’ARNm et la protéine de pointe dans le foie, la rate, les poumons, le cœur, la tête et les reins de la souris.
Ces résultats ont des “implications directes pour la traduction clinique” des médicaments, ont-ils déclaré.
Risque cardiaque confirmé
“Notre découverte de changements dans l’expression des protéines immunitaires et vasculaires dans le tissu cardiaque après l’administration de l’ARNm LNP spike correspond aux rapports de myocardite et de péricardite dans un sous-ensemble d’individus ayant reçu des vaccins ARNm”, écrivent-ils.
Au 27 décembre 2024, 27 357 cas de myocardite et de péricardite avaient été signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis, dont 20 846 cas attribués à Pfizer, 5 952 cas à Moderna et 482 cas au vaccin de Johnson & Johnson.
La principale limite de la technologie Single Cell Precision Nanocarrier Identification est qu’elle ne peut pas être utilisée sur des sujets vivants. Cela signifie qu’il n’y a toujours pas de moyen de suivre efficacement l’évolution des LNP chez les êtres humains vivants.
“Cette technologie ne peut pas fournir les informations dynamiques et longitudinales qu’offrent les méthodes utilisées sur les animaux vivants, telles que la TEP ou l’imagerie par bioluminescence”, a déclaré M. Jablonowski.
Les auteurs de l’étude ont déclaré que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour déterminer si des effets similaires se produisent chez l’homme et si les changements moléculaires qu’ils ont trouvés dans l’organisme des souris sont liés à des symptômes cliniques.
Action urgente pour les agences de santé
Commentant la déclaration des auteurs selon laquelle les effets similaires probables sur les humains devraient être explorés dans des travaux futurs, Jablonowski a déclaré :
Tous les organismes de réglementation des vaccins dans le monde qui ont approuvé les LNP pour une distribution de masse devraient se repentir de leur décision hâtive et complaisante, car ce “travail à réaliser par la suite”, aurait dû l’être bien avant l’approbation.
Aux États-Unis, le processus d’approbation des vaccins dure dix ans. Parmi tous ceux qui ont été approuvés jusqu’à présent, aucun n’est réellement sûr, mais le processus permet d’éliminer certains des vaccins les plus dangereux. Cinq ans après sa création, la plateforme vaccinale à ARNm Covid-19 ressemble de plus en plus à l’un des plus dangereux.”
Hulscher est d’accord, écrivant que “des études de biodistribution auraient dû être réalisées AVANT la “vaccination” de masse de la population mondiale”. Il demande que les “injections invasives de thérapie génique” soient immédiatement retirées du marché.
Dans une tournure sans précédent, un groupe international de 700 professionnels et politiciens a envoyé une lettre choc à 20 gouvernements européens, exigeant l’arrêt immédiat des vaccins à ARN messager contre la COVID-19.
Cette coalition, connue sous le nom de NORTH Group, inclut des médecins, avocats, scientifiques et élus de haut niveau, dénonçant les risques graves pour la santé publique.
Depuis le 25 novembre, des pays d’Europe du Nord comme le Danemark, la Suède et la Norvège ont été rejoints par des nations de l’Europe centrale et du Sud, y compris la Slovénie, l’Irlande et l’Espagne.
Ce mouvement représente désormais 20 pays unis pour la transparence et la sécurité sanitaire.
1. Effets secondaires catastrophiques : Les vaccins mRNA présentent des taux d’effets indésirables graves sans précédent, incluant des décès et des risques de dommages à l’ADN humain.
2. Données dissimulées : Des analyses révèlent des résidus d’ADN étrangers dans les vaccins de Pfizer et Moderna, un danger jamais testé ou communiqué au public.
3. Mensonge sur l’efficacité : Les vaccins n’ont jamais été testés pour empêcher la transmission du virus, contredisant les messages de santé publique.
Les signataires demandent :
• L’arrêt immédiat des campagnes de vaccination.
• Une enquête indépendante sur les processus d’approbation et les risques cachés des vaccins.
• Des garanties scientifiques sur l’absence de danger pour les générations actuelles et futures.
Alors que la NORTH Group tire la sonnette d’alarme, les gouvernements restent inertes face à ces révélations.
Des preuves accablantes, issues d’analyses scientifiques et de témoignages, continuent de s’accumuler, mais les régulateurs semblent complices d’un scandale sanitaire mondial.
Imaginez que vous êtes à la caisse d’un supermarché, et que vos achats vous sont refusés, parce que vous avez dépassé votre quota mensuel autorisé pour certains produits. Imaginez qu’un employé du gouvernement puisse appuyer sur un simple bouton et désactiver votre compte en banque instantanément. Imaginez que l’argent que vous avez sur votre compte a désormais une date d’expiration, et que si vous ne le dépensez pas, il finit par disparaitre.
Ce petit guide donne des informations pratiques et théoriques sur les vaccins infantiles obligatoires et recommandés. Il est destiné aux parents inquiets des risques de la vaccination. L’État français a rendu obligatoire 11 vaccins (depuis 2018) pour l’entrée dans toute “collectivité d’enfants” (crèche, garderie, école, garderie, colonies de vacances). L’instruction est obligatoire à 3 ans. Beaucoup de parents sont désemparés face au dilemme de la vaccination face à la santé de leur enfant. Il a été réalisé par deux collectifs de citoyens et soignants de Paris et d’Aix-en-Provence, qui défendent la sécurité des vaccins et la liberté vaccinale.
Ils sont en train de débarquer. Après les vaccins à ARN messager (ARNm), voici les vaccins à ARN messager auto-amplifiant (ARNma). Depuis avril 2024, ils sont utilisés en France pour la vaccination des poules et des canards d’élevage contre la grippe aviaire. Le mois dernier, c’est l’Agence européenne du médicament qui a donné sa bénédiction au premier vaccin humain à ARNma contre le Covid. Annoncés sûrs et efficaces, ces produits ont plutôt de quoi soulever des inquiétudes.
◆ Encore le Covid ?!
Qui, de nos jours, se vaccine encore contre le Covid-19 ? On peut sérieusement se le demander. Les campagnes d’incitation de l’Assurance maladie, en tout cas, se poursuivent. Depuis l’automne, le site Ameli recommande aux personnes à risque de forme grave de se faire injecter la nouvelle version du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech adaptée au variant JN.1, celui qui dominerait actuellement en France et dans le monde.
Pendant ce temps, et presque en douce, l’Agence européenne du médicament (EMA) a donné un avis favorable, le 12 décembre dernier, au premier vaccin à ARN messager auto-amplifiant (ARNma) contre le SARS-CoV-2.
◆ L’alerte de Jean-Marc Sabatier sur ces nouveaux vaccins
Le sujet de la vaccination anti-Covid est donc loin d’être enterré pour les autorités de santé. Quant à celui des injections à ARNma, il ne fait (malheureusement) que commencer.
Le 29 février 2024, nous avions publié une interview du Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, spécialisé en biologie cellulaire et en microbiologie. Il tirait la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels des nouveaux vaccins à ARNm en développement, notamment ceux à ARNm auto-amplifiant (ou auto-répliquant) et trans-amplifiant, dont il expliquait les mécanismes.
⇒ Lire notre article du 29/02/2024 :
◆ Le Kostaive à ARNma, déjà autorisé au Japon
À l’époque, le Japon venait d’approuver le premier vaccin à ARNma contre le SARS-CoV-2, l’ARCT-154, également le premier vaccin humain utilisant cette technologie à être approuvé dans le monde. Vendu sous le nom commercial de Kostaive (dont le principe actif est le zapomeran), ce vaccin a été mis au point par la société états-unienne Arcturus Therapeutics, basée à San Diego en Californie.
Un an plus tard, c’est donc au tour de l’Agence européenne du médicament de lui donner son feu vert, sans qu’on ne sache trop ce qui a motivé l’avis favorable du comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA, le document publié étant particulièrement succinct. Même si le dossier doit encore passer entre les mains de la Commission européenne pour être définitivement validé, il y a peu de chance que celle-ci aille à l’encontre de l’agence. L’autorisation de mise sur le marché est donc quasiment actée.
◆ Un vaccin efficace, avec des effets indésirables légers, selon l’EMA
Selon l’avis du CHMP, « le bénéfice de Kostaive en primo-vaccination contre le Covid-19 a été démontré dans une vaste étude dans laquelle les adultes ont reçu soit deux doses de Kostaive, soit un placebo. Par rapport au placebo, la vaccination avec Kostaive a entraîné une réduction de la proportion de patients ayant développé un Covid-19 symptomatique entre une semaine et trois mois après la deuxième dose de vaccin. » Une autre étude plus petite aurait, par ailleurs, montré l’efficacité de Kostaive en tant que vaccin de rappel, suite à une primovaccination faite avec un autre vaccin.
Le CHMP indique également que « les effets indésirables les plus couramment observés sont les réactions au site d’injection (douleur et sensibilité), l’arthralgie, la myalgie, les maux de tête, les vertiges, la fatigue, les frissons et la pyrexie ».
◆ Les vaccins à ARNm se sont pourtant révélés peu sûrs et peu efficaces
Si l’on se fie à cet avis, le nouveau vaccin Kostaive serait donc à la fois efficace et sans danger, tout comme le sont toujours officiellement les vaccins à ARN messager déjà sur le marché, alors qu’ils n’ont objectivement prouvé ni leur efficacité ni leur sécurité.
On ne compte plus, en effet, les vaccinés ayant développé un ou plusieurs Covid symptomatiques, parfois sévères, malgré leur soi-disant protection vaccinale. Quant aux effets indésirables graves, parmi lesquels on trouve de nombreux cas de décès, les chiffres de pharmacovigilance et plusieurs associations de victimes (Verity France, Où est mon cycle ?, AAVIC Team…) sont là pour en témoigner.
◆ Une technologie jamais remise en question par les autorités
Ce qui choque le plus dans cet avis de l’EMA est que jamais n’est remise en question la technologie de l’ARNm, sur laquelle on peut pourtant avoir de sérieux doutes.
Rappelons brièvement que l’ARNm contenu dans les vaccins anti-Covid code pour la protéine Spike du virus SARS-CoV-2. Injecté, cet ARNm est censé pénétrer dans nos cellules pour y être lu et traduit en acides aminés, afin que nos cellules fabriquent elles-mêmes cette protéine Spike, qui sera ensuite détectée par notre système immunitaire pour fabriquer les antigènes correspondants.
◆ Les erreurs de lecture problématiques de l’ARNm vaccinal
Or, comme le soulignait Jean-Marc Sabatier dans notre article cité plus haut, « cette technologie n’est pas du tout maîtrisée, on en a eu confirmation avec l’étude publiée dans Nature le 6décembre 2023, montrant des problèmes de lecture et de traduction de l’ARNm vaccinal en protéines ».
Plus précisément, l’uridine de synthèse utilisée dans l’ARNm des vaccins n’est pas toujours bien lue par nos cellules et ces erreurs de lecture aboutissent à la fabrication de protéines autres que la Spike. Les conséquences de cette production erratique de protéines inconnues pourraient, à terme, s’avérer délétères.
⇒ Lire notre article du 18/12/2023 :
◆ Une production de Spike incontrôlée
De plus, ajoutait Jean-Marc Sabatier, « on se rend compte que la production de protéine Spike, qui devait être limitée, n’est pas du tout contrôlée.On a détecté de la Spike vaccinale dans le sang de personnes vaccinées jusqu’à 15 mois après leur dernière injection, ce qui suggère que ces personnes continuent à en produire. »
Le cardiologue américain Peter McCullough faisait le même constat lors de son intervention au Parlement européen en septembre 2023, où il a déclaré que « pas une seule étude ne montre que l’ARN messager est dégradé » dans le corps humain, une fois injecté. Et s’il n’est pas dégradé, cela signifie qu’il continue à servir pour produire aussi bien de la Spike que d’autres protéines inconnues.
◆ Le risque d’avoir en soi une machine infernale ?
Avec les vaccins à ARNm auto-amplifiant, ce processus incontrôlé risque d’être pire encore. À travers cette nouvelle technologie, notre corps n’est plus seulement transformé en usine de production de la Spike, mais également en usine de production d’ARN messagers, puisqu’une fois injectés, ceux-ci vont s’auto-répliquer à l’intérieur de nos cellules !
Sur le papier, ces ARNm auto-amplifiants sont censés se dégrader au bout d’un certain temps. Mais si, encore une fois, ils ne se dégradent pas comme prévu, le risque est qu’ils se reproduisent indéfiniment et que nos cellules fabriquent tout aussi indéfiniment de la Spike ou d’autres protéines, sans que personne ne puisse stopper cette machine infernale.
◆ Peu de recul et aucune prudence
Alors que la prudence devrait être de mise face à ces nouvelles technologies vaccinales, on voit qu’il n’en est rien et que les autorités de santé continuent de donner leur approbation à des produits qui nécessiteraient à l’évidence une meilleure maîtrise et de nombreuses années de recul.
De manière tout aussi inquiétante, les vaccins à ARNm auto-amplifiant sont désormais également utilisés en médecine vétérinaire.
◆ Quels risques pour les consommateurs de canards vaccinés à l’ARNma ?
Depuis avril 2024, le Respons AI H5 du laboratoire Ceva Santé animale est ainsi administré en France aux poules et aux canards d’élevage, dans le cadre de la campagne de vaccination obligatoire contre la grippe aviaire de souche H5. Avec quels risques pour les consommateurs ? Aucun, selon le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
La pharmacienne biologiste Hélène Banoun, qui vient de publier sur le site de l’Aimsib un article consacré à ce sujet, n’en est pas si convaincue. « Aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande de canard », souligne-t-elle, avant d’expliquer les raisons pour lesquelles, selon elle, « si la viande est mal cuite […], le consommateur peut théoriquement être “vacciné” par cet ARNm destiné au canard. »
Le jour où Éloïse a reçu sa deuxième dose de vaccin, sa vie a complètement basculé. Avant dynamique et sans antécédent, elle multiplie aujourd’hui les pathologies cardiaque, rénales, et neurologique. En un an, elle a déjà subi une trentaine de malaise et plusieurs opérations chirurgicale. Aujourd’hui c’est toute sa vie qui est remise en question. Elle se bat aujourd’hui pour que les conséquences du vaccin soient rendus publiques. Même chez Al Jazeera on commence à ouvrir les yeux.
Attention, affaire lamentable ! C’est l’histoire d’une dame sans histoire âgée de 30 ans qui développe les signes caractéristiques de la maladie de Charcot quelques jours après une seconde administration du vaccin anti-Covid de Pfizer, et que le centre de pharmacovigilance déclarera imputable à cette injection. Publication de la nouvelle dans la presse locale et c’est immédiatement le drame, on déprogramme l’article en extrême urgence. Depuis quand une décision d’imputabilité d’un centre de pharmacovigilance ne peut pas faire l’objet d’une nouvelle journalistique, depuis quand les sujets sanitaires sont-ils tous gérés par destruction de la liberté d’informer ? Courage Madame « Mélanie », bonne lecture.
Le 30 décembre dernier, France Bleu Auvergne faisait paraître un article sous le titre : « Première reconnaissance officielle, pour une Moulinoise, atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anti-covid ».
Cet article n’est resté en ligne que quelques heures pour, finalement, faire l’objet d’une dépublication en fin de journée.
Cette succession d’événements a été suffisante pour enflammer les réseaux sociaux, mais aussi les rédactions de presse (tous supports confondus).
Il ne pouvait en être autrement pour un sujet « hyper » clivant. Nous avons, en effet, d’un côté les défenseurs acharnés d’un vaccin anti-covid, dont ils sont absolument certains qu’il ne peut pas être à l’origine de pathologies très graves, comme la maladie de Charcot, et de l’autre côté, non pas comme cela est présenté de façon simpliste, ceux que certains nomment les « antivax », mais des personnes qui, depuis qu’elles ont été vaccinées contre la Covid, en 2021, 2022 … ont déclenché des pathologies plus ou moins graves dont les médecins ne pouvaient expliquer le déclenchement soudain.
Une question s’est alors légitiment posée : et si les vaccins anti-covid étaient à l’origine de la détérioration de mon état de santé ? Il semble pourtant qu’il soit, en France, interdit de se poser cette simple question.
Pire, si vous posez cette question, vous êtes immédiatement diabolisé et taxé de complotiste. C’est ainsi la meilleure façon de faire taire, non pas toute critique, mais toute tentative visant à émettre des doutes quant à un discours officiel dont les chiens de garde persistent à affirmer, de façon sentencieuse, que les vaccins anti-covid ne présentent aucun risque, ou, en tout cas, pas de risque grave pour la santé.
Des vigies semblent donc scruter la moindre apparition d’articles sur le sujet, comme pour mieux réagir à des affirmations qui pourraient remettre en cause un discours officiel, quitte à se comporter comme des maîtres censeurs.
Concrètement, que s’est-il passé le 30 décembre dernier ?
France Bleu Auvergne fait paraître un article, pourtant très neutre, et sans parti pris, qui fait suite à un long entretien avec Mélanie, jeune femme âgée de 35 ans, atteinte de la maladie de Charcot. Cet article avait le grand mérite de montrer la solitude et la détresse des malades atteints de telles pathologie et de leur famille, surtout quand ils cherchent à comprendre pourquoi.
Il convient ici de préciser que la maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative. C’est une maladie rare (extrêmement rare chez les personnes comme Mélanie qui, au moment du diagnostic, avait 31 ans) dont la prévalence est de 2,7 sur 100 000.
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie grave qui entraîne le décès de la personne dans un délai de 3 à 5 ans en moyenne, après l’apparition de la maladie, principalement en raison de l’atteinte des muscles responsables de la respiration. Il convient encore de préciser qu’à ce stade des recherches scientifiques, les causes de la maladie de Charcot demeurent inconnues dans 90 % des cas (on parle de cas sporadiques). En revanche, des causes héréditaires de la maladie de Charcot ont pu être mises en évidence dans 10 % des cas.
Mais quel est l’apport de cet article, à l’origine de tant de réactions ?
Il est écrit : « C’est bien le vaccin anti-Covid, qu’elle a reçu, en 2021, qui est à l’origine de la maladie de Charcot (de Mélanie) …/… La pharmacovigilance vient de la reconnaître (…) ».
Ces seules affirmations ont mis le feu aux poudres
Devant les vives réactions des lecteurs de cet article, principalement sur les réseaux sociaux, la Direction de France Bleu a décidé de mettre un terme de façon brutale à un débat dont, manifestement, elle ne veut pas, en le dépubliant. Le même média tente alors de s’en justifier : « Un article qui évoquait la reconnaissance d’un lien entre la maladie de Charcot et le vaccin de Pfizer/BioNTech contre le Covid-19. Cet article avait été publié à partir d’informations parcellaires, ayant entraîné une erreur d’interprétation ».
France Bleu reconnaît, alors, qu’il s’agit là d’une information sensible mais, dans son grand courage, qu’elle ne veut pas participer » à la propagation de fausses informations ». De préciser, encore, qu’il ne s’agit en aucun cas de censure, en d’autre temps, sous d’autres régimes, la presse d’État n’aurait pas fait mieux.
Mais ce média va plus loin en se livrant, alors, à une diffusion de vérités toutes relatives, il affirme : – « Les autorités sanitaires françaises n’ont jamais confirmé de lien entre la vaccination contre la Covid-19 et la sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot). La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente évoquée n’a, à ce jour, pas été reconnue »,
De minimiser enfin le rôle de la pharmacovigilance en précisant : « C’est l’ANSM qui tranche, et non un organisme de pharmacovigilance. Et à ce jour, l’ANSM n’a pas communiqué sur un quelconque lien entre la maladie de Charcot et le vaccin Pfizer contre la Covid-19. »
Qu’en est-il réellement ? Ces objections sont-elles recevables ?
Non.
Sur le premier point : la non reconnaissance d’un lien entre la SLA de Mélanie et le vaccin Pfizer contre la Covid.
Si France Bleu avait eu le souci de vérifier ses informations, nous lui aurions présenté la fiche établie par le centre de pharmacovigilance qui a traité le cas de Mélanie. Ce média aurait vu que dans les jours qui ont suivi une deuxième injection (juin 2021), Mélanie a été victime de fasciculations. Un mois après, ont été constatées des atteintes neurologiques. Au mois de septembre 2022, était posé le diagnostic d’une SLA. En conclusion, il est écrit : – « Diagnostic de SLA dont les premiers signes se sont manifestés quelques jours après la D2 de Comirnaty»
Le pharmacovigilant note : « L’imputabilité retenue en l’espèce est établie selon la méthode française officielle de 1985 publiée par Bégaud et al. (Bulletin officiel du ministère chargé de la santé n° 84/50 fr 1985) et réactualisée par le Cercle de Réflexion sur l’imputabilité en 2011 (publié dans Théraphie 2011 ; 66:517- 25). Les éventuels scores d’imputabilité qui auront été retenus sont établis sans préjudice des éléments d’investigation qui pourraient être effectués dans le cadre de procédures juridiques ou amiables d’indemnisations ».
Nous précisons ici que Mélanie n’avait aucun antécédent médical, et que le facteur héréditaire a été écarté.
Donc, contrairement à ce qu’affirme France Bleu, la SLA, contractée par Mélanie est bien imputable au vaccin Pfizer contre la COVID et cette imputabilité a bien été confirmée par une autorité sanitaire.
Il convient de ne pas minimiser, comme France Bleu, le rôle et l’importance des centre régionaux de pharmacovigilance qui ont une mission dévolue par le Ministère de la Santé.
À ce titre, la pharmacovigilance a pour mission la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effets indésirables résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré après commercialisation. Dans ce cadre, la pharmacovigilance met en place des enquêtes et des études pour analyser les risques et participer à la mise en place et au suivi des plans de gestion des risques. La pharmacovigilance s’appuie sur une base réglementaire nationale et européenne : lois, décrets, directives, bonnes pratiques de pharmacovigilance publiées par arrêté. Dans notre cas d’espèce, nous avons eu confirmation par le CRPV que le cas de Mélanie a été remonté à l’ANSM avec pour commentaire : « ce dossier a été remonté à l’ANSM en proposant un « cas marquant », ce qui signifie que nous souhaitons appuyer l’attention de l’ANSM sur les cas de SLA déclarés après vaccination contre la Covid-19 ». Au moment où a été rédigé l’article, l’ANSM était informée.
Nous précisons encore qu’au niveau de l’association AAVIC TEAM, dont fait partie Mélanie, nous avons au moins un deuxième cas identique.
Quant au rôle de l’ANSM défendu par France Bleu et sur le fait que ce soit elle qui tranche et non la pharmacovigilance. Si, effectivement, c’est elle qui tranche, comment peut-on imaginer aujourd’hui, sur ce cas, et à la lumière des protocoles d’examens qui ont été mis en œuvre pour établir cette imputabilité, qu’elle puisse dire autrement ? Il semble impossible qu’elle puisse avoir un avis contraire à la lumière des résultats qui lui seront présentés. Mieux, il va être de son devoir de prendre en considération le risque d’effets indésirables graves, et examiner les options permettant de prévenir les risques ou les réduire, au besoin, pour prendre des mesures appropriées. À partir de là, il convient que certaines attitudes doctes soient abandonnées.
Cette réponse méritait d’être apportée, d’autant plus qu’à la suite de ces articles, certains ont cru bon publier à leur tour des articles inutilement blessants et confinant à la diffamation.
Un, en particulier, a retenu notre attention, celui publié le 2 janvier 2025 par le Journal International de Médecine. Cet article odieux, qui brille par son absence de contenu et une compassion de façade,
n’a pour finalité que de décrédibiliser les associations, dont AAVIC TEAM, qui tentent d’aider ces malades qui, après des injections contre la COVID, se trouvent dans une situation d’errance médicale insupportable. Nous parlons en particulier au niveau de cette association, de plusieurs centaines de personnes dont la vie a été bouleversée : pathologies graves, perte d’autonomie, perte d’emploi, situation financière précaire … aussi l’absence d’empathie de certains « vaccinolâtres » écervelés leur est insupportable. D’ailleurs, et à la suite d’Hannah Arendt, nous affirmons que « la mort de l’empathie humaine est l’un des premiers signes et le plus révélateur d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie ».
Notre combat est d’aider ces malades à faire éclater la vérité, à ce qu’ils soient pris en charge comme il se doit et qu’ils soient indemnisés à hauteur des préjudices qui sont les leurs.
Le dernier combat de Mélanie est d’être la porte-parole de ces malades, et de faire entendre leur voix.
Organisées par Cher Atout Cœur, le samedi 1er février 2025 de 9 h à 18 h, auront lieu au Centre des Congrès de VIERZON les deuxièmes Rencontre Citoyennes Internationales avec près de 60 associations et collectifs présents.
Ouvert au public avec participation libre en conscience. Réflexions sur l’Intelligence Artificielle au service de la médecine. Les effets indésirables des vaccins Covid et réalité du Covid Long.
Durant les trois années qu’a duré la crise dite sanitaire, nous avons été submergés d’annonces officielles, de décisions autoritaires et des discours prétendument « scientifiques » qui se sont imposés à nous comme des dogmes.
Mais aujourd’hui, les faits commencent à parler, et ils racontent une toute autre histoire.
Une intervention faite le 7/11/2023. 14 mois plus tard, le sénat ne semble toujours pas vouloir prendre la mesure de l’hécatombe qui sévit dans les pays occidentaux. Les autorités de Santé s’enfoncent même davantage aujourd’hui dans l’absurde et l’expérimentation délétère en ajoutant pour nos enfants trois nouveaux vaccins obligatoires aux onze mis en place en 2017. https://sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/vaccins-obligatoires/article/de-nouveaux-vaccins-obligatoires-pour-les-nourrissons Il est grand temps que la médecine et la science s’extraient de la soumission et de l’hypnose pour retrouver une autonomie cérébrale.
Mélanie, une jeune femme atteinte de la maladie de charcot suite au vaccin Pfizer : interview d’Alain Maupas le père de Mélanie et de Mathieu Dubois Président de l’association AAVIC Team.
Dans le podcast de Joe Rogan, Mark Zuckerberg explique comment le gouvernement Biden a fait pression sur son réseau social pour qu’il censure des contenus pendant la pandémie de Covid-19.
Le Digital Services Act ou DSA est désormais actif dans l’Union européenne depuis l’été dernier. Cette organisation, ignorant la volonté des peuples européens, a décidé de se doter des moyens efficaces pour lutter contre ce qu’elle appelle la « désinformation » et des publications aux contenus « illicites » ! Evidemment, on se pose sur le champ la question de savoir ce qui est « licite » ? Il va de soi, et tout le monde l’aura compris depuis bien longtemps, qu’il s’agit d’un instrument de contrôle, de censure des informations qui ne sont pas en parfaite symbiose avec le discours idéologique mondialiste des serviteurs de la Trilatérale, les Léo-straussiens et autres Forum Economique Mondial (FEM), Bri, Dolder Club, Bilderberg … etc. Ces gens conduisent le monde vers un Nouvel Ordre Mondial enfin advenu dans toute son ampleur et prévu par l’Agenda 2030 ayant planifié dans le détail les mesures successives permettant cet avènement de la dictature absolue, « le meilleur des mondes », une sorte de confinement indéfini pour tous les peuples strictement autorisés à vivre dans la seule mesure d’une soumission inconditionnelle…
La liberté d’expression n’est pas compatible avec un Nouvel Ordre Mondial : l’UE, dont la seule raison d’être est celle de servir ce projet, fait donc tout ce qui est possible pour appliquer le plan concocté par les tyrans du mondialisme. Les peuples de l’Union européenne ont été pris en otage par ses dirigeants qu’ils n’ont pas mandatés …
Avec l’arrivée des nouveaux élus aux Etats-Unis, on remarque que Meta et Instagram ont mis fin à la censure qu’ils pratiquaient sous le contrôle des plus grands « démocrates » de la planète !
Et voilà que l’UE de son côté se met à faire le contraire de ce qui se passe aux USA.
Le DSA exige des plates-formes numériques une censure acharnée sous peine de sanctions pouvant infliger une perte de 6% de leur chiffre d’affaires annuel.
Le DSA va utiliser des outils comme NewsGuard pour exercer sa dictature. Cette dernière société est une entreprise privée qui joue un rôle de chien de garde au service du système de censure. NewsGuard évalue tous les sites d’information et contrôle leur alignement sur l’idéologie dominante seule tolérée par le DSA. Cette société s’est donnée le pouvoir d’attribuer des notes de « crédibilité » à tous les médias et particulièrement aux sites alternatifs qui proposent une lecture plus objective de l’information en promotionnant la liberté d’expression désormais proscrite dans l’Union européenne. Les limiers de NewsGuard se permettent d’agir sans le moindre mandat des peuples qu’ils prétendent contrôler en ignorant leurs droits ! Qui a donné à ces gens un tel pouvoir, avec quelle légitimité ?
Tout média qui sera jugé dans ses publications non conforme aux critères idéologiques de la « vérité » définie par le DSA , sera pénalisé financièrement, étranglé et à terme éliminé. Les revenus publicitaires seront réduits via des mécanismes de dévalorisation commandés par les algorithmes de service !
Mis à part l’expérience des Grecs puis celle de l’Odénossonie en Amérique du Nord avant l’arrivée des colons européens, puis celle du Chiapas dont la devise déclare que : « Dans une véritable démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit« , il n’existe pas de démocraties pouvant sérieusement se donner ce titre. On se souvient du discours historique de Sieyès du 7 septembre 1789 : « Le peuple… dans un pays qui n’est pas une démocratie – et la France ne saurait l’être –, le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. » Depuis longtemps, les médias inféodés au système, comme les politiques, ne cessent de faire croire que nous sommes en démocratie alors que nous ne l’avons jamais été. La démocratie a été systématiquement et volontairement confondue avec les libertés publiques et privées !
Mais les libertés publiques et privées c’était encore beaucoup trop : il fallait réduire ces libertés à néant, faute de quoi il n’était pas possible d’envisager un Nouvel Ordre Mondial incompatible avec les idées de démocratie et de libertés …
L’esprit critique, le sens de l’objectivité, la voix des sciences, la sagesse de l’expérience et le simple bon sens, tout cela n’est pas recevable par les inquisiteurs du DSA qui appliquent la censure à l’encontre de tous ceux qui sont jugés hérétiques, schismatiques, idolâtres, divergents, non alignés, « complotistes », récalcitrants, opposants voire « terroristes », « climato-sceptiques » ou « menaces pour la sécurité des États » etc …
En revanche, l’AFP qui doit faire figure d’organisme de référence de la vérité, est grassement rémunérée pour que tout ce qu’elle transmet soit strictement conforme à l’idéologie mondialiste.
Ainsi le débat public n’a pas lieu puisqu’il est totalement orienté dans une seule direction. Les opinions divergentes ne sont donc pas accessibles ou difficilement accessibles pour le grand nombre qui est maintenu dans sa bulle d’informations stérilisées et univoques.
Le DSA est donc bien « Le ministère de la vérité » ayant traversé la fiction pour devenir réalité !
Nous sommes officiellement manipulés, orientés à ne penser que dans un sens : celui du mondialisme qui s’impose brutalement à tous.
Le DSA n’est pas autre chose qu’un instrument de censure et de contrôle idéologique, une expression violente de la dictature des « élites » mondialistes non élues et qui décident pour tous ce que sera la vie de tous.
Conclusion
Quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons contourner la censure. Il y a des Plates-formes comme Odysee.com ou CrowdBunker.com en France qui relaient les informations censurées et militent intelligemment pour la liberté d’expression.
Le site mondialisation.ca est une référence pour la liberté d’expression, l’information objective, non censurée.
Il est donc toujours possible de contourner le dispositif des inquisiteurs: leur maltraitance, leur persécution, leurs interdits, leurs sanctions et leurs bûchers et s’informer correctement ! Finalement, le problème n’est pas de savoir si l’on peut s’informer, mais si l’on veut vraiment s’informer!
La servitude volontaire est une faiblesse chez ceux qui se sont exposés trop longtemps au dressage psychologique en acceptant la facilité de l’information fast-food des télévisions et des autres médias inféodés, baxtérisés à l’argent public pour certains et pour les autres, formatés à l’idéologie mondialiste dont leurs propriétaires milliardaires sont les gourous !
Nous, les Européens, pouvons-nous accepter le totalitarisme d’un « ministère de la vérité » ? Pouvons-nous tolérer le retour de l’inquisition? Toutes ces créations de l’Union européenne ne sont ni légitimes, ni acceptables éthiquement comme humainement ! Nous avons le devoir de boycotter ces institutions, de les mettre en échec, de les combattre par tous les moyens et de les détruire en se moquant de leur prétention!
Femme de 59 ans présentant une thrombose veineuse profonde étendue et une thromboembolie pulmonaire 7 jours après une première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34117206/
Images TEP numériques 68 Ga-DOTATOC d’infiltrats de cellules inflammatoires dans la myocardite après vaccination avec le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34746968/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas d’encéphalopathie aiguë et d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST après vaccination avec l’ARNm-1273 : effet indésirable possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703815/
Un cas de vascularite associée aux ANCA après vaccination AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) contre le SRAS-CoV-2 : victime ou causalité ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416184/
Un cas de purpura thrombocytopénique idiopathique après une dose de rappel du vaccin COVID-19 BNT162b2 (Pfizer-Biontech) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820240/
Un cas de syndrome de Guillain-Barré ataxique sensoriel avec des anticorps anti-GM1 d’immunoglobuline G après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34871447/
Un cas de présentation clinique légère inhabituelle de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombose de la veine splanchnique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34843991/
Une série de cas de péricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 dans le contexte de rapports récents en Europe et aux États-Unis : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34635376/
Une série de cas de réactions cutanées au vaccin COVID-19 dans le département de dermatologie de l’Université de Loma Linda : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34423106/
Un regard sur le rôle de l’immunohistochimie post-mortem dans la compréhension de la physiopathologie inflammatoire de la maladie COVID-19 et des événements indésirables thrombotiques liés au vaccin : une revue narrative : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34769454/
Un trouble thrombocytopénique prothrombotique ressemblant à une thrombocytopénie induite par l’héparine après vaccination contre le coronavirus-19 : https://europepmc.org/article/PPR/PPR304469
Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le COVID-19 AstraZeneca : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34274191/
Un cas rare de thrombose veineuse cérébrale et de coagulation intravasculaire disséminée temporellement associée à l’administration du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33917902/
Un cas rare de thrombopénie thrombotique induite par le vaccin COVID-19 (VITT) affectant la circulation artérielle veinosplanchnique et pulmonaire dans un hôpital général de district du Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535492/
Un cas rare de thrombose et de thrombocytopénie de la veine ophtalmique supérieure après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34276917/
Un rapport sur les événements indésirables liés à la myocardite dans le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins. (VAERS) en association avec les produits biologiques injectables COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601006/
Abbate, A., Gavin, J., Madanchi, N., Kim, C., Shah, PR, Klein, K., . . . Danielides, S. (2021). Myocardite fulminante et hyperinflammation systémique associées temporellement à la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez deux patients. Int J Cardiol, 340, 119-121. est ce que je:10.1016/j.ijcard.2021.08.018. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34416319
Douleurs abdominales et hémorragie surrénalienne bilatérale dues à une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34546343/
Abu Mouch, S., Roguin, A., Hellou, E., Ishai, A., Shoshan, U., Mahamid, L., . . . Berar Yanay, N. (2021). Myocardite après vaccination à ARNm contre le COVID-19. Vaccin, 39(29), 3790-3793. est ce que je:10.1016/j.vaccine.2021.05.087. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34092429
Hépatite aiguë de type auto-immune avec anticorps antimitochondriaux atypiques après vaccination avec l’ARNm du COVID-19 : une nouvelle entité clinique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34293683/
Névrite optique/chiasme bilatéral aigu bilatéral avec myélite transversale extensive longitudinale dans la sclérose en plaques stable de longue date après vaccination à base de vecteur contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34131771/
Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512961/
AVC ischémique aigu révélant une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCov-19 : impact sur la stratégie de recanalisation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34175640/
Infarctus aigu du myocarde dans les 24 heures suivant la vaccination contre le COVID-19 : le syndrome de Kounis est-il le coupable : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702550/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles provenant de la base de données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Rechute aiguë et altération de la vaccination après la vaccination contre le COVID-19 chez un patient atteint de sclérose en plaques traité par rituximab : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34015240/
Infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST secondaire à une thrombose immunitaire induite par le vaccin avec thrombocytopénie (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34580132/
Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec une vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie auto-immune associé au vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induit par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, centrés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, axés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Événements indésirables liés à l’injection du COVID pouvant survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi .nlm.nih.gov/33706861/
Incidence spécifique à l’âge et au sexe de la thrombose du sinus veineux cérébral associée à la vaccination Ad26.COV2.S COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34724036/
Albert, E., Aurigemma, G., Saucedo, J. et Gerson, DS (2021). Myocardite suite à la vaccination contre le COVID-19. Représentant de l’affaire Radiol, 16(8), 2142-2145. est ce que je:10.1016/j.radcr.2021.05.033. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34025885
Composants allergènes du vaccin à ARNm-1273 contre le COVID-19 : implication possible du polyéthylène glycol et de l’activation du complément médiée par les IgG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33657648/
Réactions allergiques et événements indésirables associés à l’administration de vaccins à base d’ARNm. Une expérience du système de santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34474708/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, 21 décembre 2020-10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33507892/
Réactions allergiques, y compris l’anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Modern COVID-19 – États-Unis, du 21 décembre 2020 au 10 janvier 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641268/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14 au 23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33641264/
Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33444297/
Une étude observationnelle pour identifier la prévalence de la thrombocytopénie et des anticorps anti-PF4/polyanion chez les agents de santé norvégiens après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33909350/
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Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après la première vaccination par ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après première vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
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Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : Prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
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Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://www.sciencedirect.com/science/article/ pi/S1871402121002046
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov /34186376/
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé et non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002046 .
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Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138
Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138/
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L’administration immédiate d’immunoglobulines intraveineuses à haute dose, suivie d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, est cruciale pour la survie en cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin.
Des immunoglobulines intraveineuses à haute dose immédiate, suivies d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, sont cruciales pour la survie dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin VITT adenoviral à vecteur Sars-Covid-19 avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34023956/
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Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou maladie d’apparition récente chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/
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Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite ?
Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34453510/
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Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après la vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/
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Un an après un cas bénin de COVID-19 : la plupart des patients conservent une immunité spécifique, mais un patient sur quatre souffre encore de symptômes à long terme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34362088/
Apparition/épidémie de psoriasis après le vaccin contre le virus Corona ChAdOx1 nCoV-19 (Oxford-AstraZeneca/Covishield) : rapport de deux cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34350668/
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Anticorps pathologiques contre le facteur plaquettaire 4 après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19. Cet article précise : « En l’absence de pathologies prothrombotiques antérieures, 22 patients présentaient une thrombocytopénie aiguë et une thrombose, principalement une thrombose veineuse cérébrale, et 1 patient présentait une thrombocytopénie isolée et un phénotype hémorragique » : https://www.nejm.org/doi /full/10.1056/NEJMoa2105385?query=TOC&fbclid=IwA R2ifm2TQjetAMb42YRRUlKEeqCQe-lDasIWvjMgzHHaItbuPbu6n7NlG3cic.
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Microparticules procoagulantes : un lien possible entre la thrombocytopénie immunitaire induite par le vaccin (VITT) et la thrombose veineuse des sinus cérébraux : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34129181/
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Myocardite auto-limitée se manifestant par des douleurs thoraciques et une élévation du segment ST chez les adolescents après vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34180390/
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Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475
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Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
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Thrombose avec syndrome de thrombopénie (STT) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes < 60 %.
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Traitement de l’accident vasculaire cérébral ischémique aigu associé à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461442/
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Deux cas de maladie de Basedow après vaccination SARS-CoV-2 : un syndrome auto-immun/inflammatoire induit par les adjuvants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858208/
Les interférons de type I comme mécanisme potentiel reliant les vaccins à ARNm contre la COVID-19 à la paralysie de Bell : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858693/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombocytopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S, 2 mars-21 avril 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
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Lymphadénopathie axillaire unilatérale liée au vaccin COVID-19 : modèle d’IRM mammaire de dépistage permettant une évaluation bénigne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325221/
Lymphadénopathie unilatérale après vaccination contre le COVID-19 : un plan de prise en charge pratique pour les radiologues de toutes spécialités : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33713605/
Résultats d’imagerie uniques de fantosmie neurologique après la vaccination Pfizer-BioNtech COVID-19 : un rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096896/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S (contre le covid-19), du 2 mars au 21 avril 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
Thrombocytopénie et thrombose associées au vaccin : endothéliopathie veineuse conduisant à une micro-macrothrombose veineuse combinée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34833382/
Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin.
Thrombose immunitaire induite par le vaccin et syndrome de thrombocytopénie après vaccination contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à vecteur adénovirus : une nouvelle hypothèse sur les mécanismes et les implications pour le développement futur d’un vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664303/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : cibler les mécanismes pathologiques avec les inhibiteurs de la tyrosine kinase de Bruton : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851389/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le covid-19 ; une revue systématique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34365148/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme sévère de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après vaccination Ad26.COV2.S chez un homme présentant une thromboembolie veineuse aiguë : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096082/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : le lien insaisissable entre la thrombose et les vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34191218/
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