décembre 2024

Consentement libre et éclairé : les réponses de Maitre Joseph

Source : Profession Gendarme

De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna).  Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection.  Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.

De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.

Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.

Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.

PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?

Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.

1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :

Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :

« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;

Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;

Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :

« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»

2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :

Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :

[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;

3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :

Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »

Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.

L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.

Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.

En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :

« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »

PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?

Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».

Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !

Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.

Nous entendons ainsi :

– Tous les bénéfices du « vaccin » ;

– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;

– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.

Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!

PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?

Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :

Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.  

Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :

« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;

Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.  

PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?

Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée. 

Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382). 

Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique) 

PG : Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?

Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :

Ainsi, il incombe à l’injecteur :

A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;

B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.

PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?

Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.

Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.

En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.

Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».

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Interview de Pierre Chaillot

Pierre Chaillot « On a vu une chute de natalité dans les pays qui ont massivement vacciné, on a une trace statistique hyper nette et hyper forte. Pile au moment où l’on vaccine les femmes enceintes on voit une surmortalité néonatale précoce »
Source : X

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Pétition pour une abrogation des obligations vaccinales sur le site du Sénat

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Nous portons à votre connaissance les faits suivants :
I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.

Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »

Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?

Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.

II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.

Dans la première, la HAS préconise que :
– « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.

– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »

– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.

Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que :
– les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues,
– « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.

Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.

III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux.
– L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré.
– Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a
commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.

IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant :
• Bordetella pertussis ;
• Haemophilus influenzae ;
• Leptospira icterohaemorrhagiae ;
• Neisseria meningitidis ;
• Salmonella typhi ;
• Streptococcus pneumoniae ;
• Virus de l’encéphalite japonaise ;
• Virus de la fièvre jaune ;
• Virus de l’hépatite B ;
• Virus des oreillons ;
• Virus de la poliomyélite ;
• Virus de la rougeole ;
• Virus de la rubéole ;
• Virus de la vaccine »

Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole),
deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.

En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que :
« Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent :
2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ;
3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ;
5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.

La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »

Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.

Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.

Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations
Info Vaccins France

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000036358484
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000036543886
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424589/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-1er-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3424586/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationspour-les-etudiants-et-professionnels-des-secteurs-sanitaire-medicosocial-et-en-contacts-etroitsavec-de-jeunes-enfants
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456352/fr/obligations-vaccinales-des-professionnels-la-haspublie-le-2nd-volet-de-ses-travaux
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456351/fr/actualisation-des-recommandations-et-obligationsvaccinales-des-professionnels
https://ansm.sante.fr/actualites/decision-du-07-09-2023-portant-inscription-sur-la-liste-i-dessubstances-veneneuses-definie-a-larticle-l-5132-6-du-code-de-la-sante-publique
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042654763

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Mélanie Maupas, touchée par la maladie de Charcot, enfin reconnue comme victime du vaccin Pfizer anti-Covid par la pharmacovigilance

Source : Nexus

Nous avions interviewé Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer, pendant les Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées à Vierzon en février 2023. Nous découvrions alors AAVIC TEAM, l’association dont elle est la vice-présidente aux côtés de son papa Alain, avec qui nous nous sommes entretenus. Il nous a annoncé qu’après plusieurs années, Mélanie a enfin été reconnue comme victime de l’injection anti-Covid par la pharmacovigilance française. Mais le combat n’est pas fini…

◆ De l’errance médicale et du déni

En 2022, Mélanie Maupas partageait son effroyable expérience sur la page Facebook de l’association Verity France après sa deuxième injection anti-Covid. Il a fallu un an et demi d’errance médicale avant que le diagnostic ne tombe : “Ce lundi 7 novembre 2022, le diagnostic tombe. On m’annonce que j’ai la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou plus connue, la maladie de Charcot. L’annonce a été brutale pour moi, ma famille et mes amis… À ce jour, il n’y a que ma jambe droite qui n’est pas touchée… La neurologue me dit que cette maladie est tombée du ciel, ce n’est pas l’injection, mais il faut quand même que je déclare mes symptômes à la pharmacovigilance… Logique ?

◆ Un chemin courageux parsemé d’épreuves

Le parcours d’un malade qui souhaite informer l’État français des effets secondaires potentiellement liés à un médicament peut être littéralement semé d’embûches administratives et juridiques, en plus des symptômes de la maladie. “Au départ, Mélanie a fait elle-même une déclaration auprès de la pharmacovigilance. Elle n’a eu aucun retour. C’est grâce à l’association Solidekla qui aide les malades à monter les dossiers. Un médecin a envoyé le dossier de Mélanie à la pharmacovigilance, avec une vingtaine de rapports de médecins, des scanners, IRM, analyses de sang, etc.”, nous explique Alain Maupas.

◆ Un lien de causalité difficilement envisageable

Rares sont les soignants qui osent écrire ce qu’ils pensent tout bas. Il faut dire que les représailles en France contre ceux qui ne suivent pas la doxa peuvent être féroces. Alain poursuit : “Hormis celui de la pharmacovigilance, aucun médecin ne s’est aventuré à rédiger un rapport faisant officiellement un lien de causalité entre le vaccin et l’état de Mélanie. Ils n’ont pu qu’écrire que ‘suite à l’injection, Mélanie est tombée malade’, mais pas que ‘Mélanie est tombée malade à cause du vaccin’.” “La pharmacovigilance a donc gravi une marche et enfin reconnu l’évidence. Cela nous motive à continuer, et voulons que la France suive le même chemin que l’Allemagne, l’Angleterre ou la Belgique en reconnaissant davantage les erreurs commises pendant la crise sanitaire et les effets secondaires des injections anti-Covid, tout comme ceux du Covid lui-même.

⇒ Voir notre entretien avec Mélanie Maupas en février 2023 à Vierzon :

◆ Une victoire mais encore beaucoup à faire

Deux ans plus tard, après un parcours juridique éprouvant, “Mélanie a enfin été reconnue comme victime du vaccin Comirnaty de Pfizer par la pharmacovigilance il y a un mois et demi environ”, comme nous le rapporte son papa Alain Maupas. “C’est la deuxième personne de notre association à l’avoir été, mais c’est encore trop peu. Dans l’association, nous comptons 22 personnes touchées par la maladie de Charcot encore en vie. Deux sont déjà décédées et celles qui vont de plus en plus mal aujourd’hui sont toutes âgées entre 21 et 50 ans. Dans le service neurologique d’un grand hôpital, ils m’ont confié sans pour autant pouvoir me l’attester par écrit par peur de poursuites, que le nombre de cas de maladies de Charcot auxquels ils font face a augmenté de plus de 20 % entre 2021 et 2022, et de 22 % entre 2022 et 2023. Aujourd’hui, ils font état de plus 800 patients atteints par cette maladie en deux ans, du jamais vu dans ce service.

◆ Une procédure en cours

Lorsque nous demandons le document officiel de pharmacovigilance à Alain, il nous répond ne pas pouvoir nous le fournir à la demande de son avocat, Régis Senet, puisqu’une procédure juridique est en cours. “Nous allons porter plainte contre X au civil et ce document de pharmacovigilance sera ajouté au dossier. Il ne peut être pour l’instant divulgué. Le dossier de Mélanie Maupas sera envoyé sous peu avec une vingtaine d’autres dossiers e au procureur.

Après avoir été reçus au Parlement, nous devions être reçus par le ministre de la Santé, notamment grâce au soutien du député Yannick Monnet, mais il y a eu la dissolution. Puis, alors que nous attendions la réponse de la nouvelle ministre, le Premier ministre, Michel Barnier, est parti. De quoi retarder à nouveau l’échéance. À croire qu’ils le font exprès, qu’ils sentent le vent tourner et qu’ils ne veulent pas faire face à leurs responsabilités.”.

Mélanie Maupas pendant l’été 2023

◆ Un état de santé de plus en plus fragile

Quand nous l’avions rencontrée en février 2023, Mélanie arrivait encore à se déplacer elle-même en fauteuil roulant. Aujourd’hui, même si elle garde son sourire, elle passe la plupart de son temps alitée et ne supporte pas la position assise très longtemps. Alain nous confie, ému : “Son état se détériore. Nous venons d’avoir rendez-vous pour son protocole de fin de vie… Elle ne peut plus rien faire seule, comme je le lui ai dit récemment, elle est redevenue mon bébé.

Mélanie a pourtant essayé une multitude de remèdes, qu’ils soient allopathiques ou non, testés et approuvés ou en cours d’étude. “Mélanie a notamment essayé le traitement expérimental Himalaya qui était voué à faire stagner la maladie ou mieux. Nous avons eu un gros espoir, car cela fonctionnait bien pour notre fille qui faisait partie du panel de 387 patients. Mais comme il y a eu parmi eux des cas d’effets secondaires, et alors que Mélanie elle n’en a eu aucun et souhaitait le poursuivre, ils ont ‘selon la loi’ arrêté le protocole d’essai ! Quand il s’agit d’un essai vaccinal sur la population, on ne prend pas autant de précautions !” s’indigne Alain. “II y aura bientôt un nouveau traitement à partir des cellules du corps du patient qui va être expérimenté à Lille, mais comme nous habitons dans le Sud, Mélanie ne pourra le tester alors qu’il semble très prometteur.

◆ Des victimes esseulées à aider

Nous sommes là pour notre fille, elle est notre priorité. Nous avons investi sans regret nos économies pour que la maison lui soit accessible et pour tous ses frais de santé et juridiques. Certaines victimes, en revanche, ne sont pas entourées et se retrouvent seules dans une grande souffrance physique et psychologique. Avec l’association, nous faisons du mieux que nous pouvons pour les aider, mais comme l’association ne pourra défiscaliser les dons que dans un an, beaucoup de gens qui aimeraient donner ne donnent pas alors qu’il y a un grand besoin.”

Comme le lui ont expliqué certains médecins, même si cette maladie est très souvent incurable, il arrive qu’il se produise des guérisons soudaines, inexpliquées et définitives. Nous ne pouvons que souhaiter à Mélanie que cela lui arrive, elle qui se bat du mieux qu’elle peut contre la maladie, les autorités qui ne veulent pas reconnaître leurs erreurs et pour les autres victimes comme elle…

Pour connaître l’association AAVIC TEAM et adhérer : https://aavicteam.com/

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Depuis la nuit des temps, des ondes pour soigner

Source : AIMSIB

Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture. 

Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?

Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.

lakho

Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne.
Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.

L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.

En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires.
Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.

Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.

Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?

Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux :
– Qu’est-ce qu’une onde ?
– Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz.  Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.

Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants :
• 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles)
• courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz
• de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores )
• ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz
• ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson.
• infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz
• lumière visible autour de 1013,5-14 Hz
• ultra-violets : 1015 Hz
• rayons X, puis les ondes cosmiques

freq ondes

Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?

• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques.
• certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures.
• Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important.
• Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle.
• Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra.
• Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient.
• Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.

Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être  transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine,  correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique.
◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.

• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique,  c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.

Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser.
Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.

Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?

Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.

1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées.
2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.

Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.

Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?

Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.

Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.

Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?

En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.

Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.

Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.

Sylvie Henry-Réant
Décembre 2024

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Interview de maître Joseph sur les nouveaux ARN messagers notamment ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants et leur utilisation actuelle sur les canards et les poules et peut-être bientôt sur les humains

Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).

PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?

J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.

Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.

Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.

Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…

Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :

QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :

L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).

Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).

Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.

Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.

D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.

Questions 1:

Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 2 :

Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?

Question 3:

Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?

Question 4:

Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?

Question 5 :

Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?

Question 6 :

Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?

Question 7 :

Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?

Question 8 :

Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?

La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)

Je rappelle que :

L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :

« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »

L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :

Interventions sur le génome humain

« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »

L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :

« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »

Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.

L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.

Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.

A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X

C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y

Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.

Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.

Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.

De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.

Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?

Quel était le but des fabricants de ces injections ?

Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?

Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.

Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.

Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !

Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.

Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).

Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).

Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.

C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !

Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.

Interview de maître Joseph sur les nouveaux ARN messagers notamment ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants et leur utilisation actuelle sur les canards et les poules et peut-être bientôt sur les humains Lire la suite »

Impact des vaccins COVID-19 sur le cerveau

Source : Le Point Critique

Une série d’études récentes alerte sur le lien entre les vaccins COVID-19 et l’apparition de troubles neurologiques ou psychiatriques peu de temps après une vaccination. Les mécanismes susceptibles d’expliquer ces atteintes ne sont pas formellement élucidées, mais les rapports d’évaluation de Pfizer et de Moderna indiquaient tous les deux que le vaccin pénètre dans le cerveau.

En octobre 2023, une étude de cohorte italienne[1] a révélé qu’une personne vaccinée sur trois (31,2 %) avait subi des complications neurologiques, la plupart du temps bénignes et transitoires, au cours des six mois suivant la vaccination. On dispose aujourd’hui d’une série de nouvelles études, qui alertent sur le risque de complications neurologiques graves associées aux vaccins anti-COVID.

Dans cet article, nous recensons les dernières études concernant l’impact des injections sur le cerveau, ainsi que certaines publications plus anciennes dont les résultats sont connus depuis plus de deux ans. À ce jour, la base React 19 en recense 625.

Nouvelles études parues en 2023-2024

Le Journal de l’Association médicale canadiennealertait en 2022 sur un nombre croissant de patients présentent des troubles neurologiques fonctionnels (TNF) après la vaccination contre le SRAS-CoV-2[2], affectant la motricité, les fonctions sensitives ou sensorielles. Les dernières études confirment que les injections peuvent initier ou exacerber des processus auto-immuns, provoquer des altérations des systèmes de contrôle inflammatoires ou des conditions pro-inflammatoires, et induire un large spectre de symptômes neurologiques ou psychiatriques.

Troubles neurologiques débilitants

Une étude internationale (Garcia-Dominguez et al.)[3] publiée en juillet 2024 (preprint) a analysé le rôle potentiel des vaccins dans l’apparition de trois troubles neurologiques débilitants : l’encéphalite auto-immune (AE), le trouble du spectre de la neuromyélite optique (NMOSD) et la maladie associée aux anticorps anti-MOG (MOGAD).

Résultats : La vaccination était impliquée dans 26,3 % des NMOSD, 52,4 % des AE et 85,7 % des MOGAD recensés dans la base du VAERS depuis sa création (1990), mais la plupart de ces cas sont survenus secondairement au vaccin contre le SRAS-CoV-2.

Épilepsie

Une méta-analyse italienne (Dasara et al.)[4] publiée en juillet 2024 a recensé l’ensemble des études concernant l’apparition d’un statut de mal épileptique (SE) chez les personnes vaccinées contre le COVID-19. Les auteurs présentent deux cas d’état de SE réfractaire survenus après une injection Pfizer.

Résultats : L’un des patients a nécessité 150 jours d’hospitalisation, le second est décédé de complications infectieuses après 90 jours d’hospitalisation. Sept autres cas ont été recensés dans la littérature, 4 après une injection Moderna, 2 après une injection Pfizer, 1 après une injection AstraZeneca. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 4,5 jours. Les auteurs concluent que l’EDM est une complication rare mais sévère de la vaccination anti-COVID.

Maladie d’Alzheimer

Une étude sud-coréenne (Roh et al.)[5] publiée en mai 2024 a analysé l’évolution de l’état neurologique des personnes vaccinées (519 330) vs non-vaccinées (38 687) sur une période de trois mois.

Résultats : L’incidence de la maladie d’Alzheimer et des démences légères a augmenté de façon significative chez les personnes vaccinées, en particulier celles ayant reçu des vaccins à ARNm. Trois mois après une injection ARNm, la hausse est de :

  • + 23 % de maladies d’Alzheimer
  • + 140 % de démences légères

Les démences légères étant un stade précoce de la maladie d’Alzheimer, qui est associée à une espérance de vie moyenne de 8 à 12 ans, ce deuxième résultat est considéré comme dramatique par les scientifiques.

Troubles psychiatriques

Une étude sud-coréenne (Kim et al.)[6] publiée en juin 2024 a évalué l’impact de la vaccination anti-COVID sur 10 troubles psychiatriques. La cohorte représente 50 % de la population de Séoul (4 348 412 personnes).

Résultats : L’incidence cumulée de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels était plus élevée dans le groupe vacciné, trois mois après la vaccination.

  • Dépression : + 68 %
  • Anxiété, dissociative, stress, troubles du sommeil : + 44 %
  • Troubles du sommeil : + 93 %
  • Troubles sexuels : 556 %

Psychoses

Une revue systématique lettonienne (Lazareva et al.)[7] publiée en avril 2024 a recensé l’ensemble des rapports de cas sur l’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre le COVID-19.

Résultats : Les femmes étaient impliquées dans 54 % des cas, avec un âge moyen de 34 ans et un délai moyen d’apparition des symptômes de 6 jours. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 6 jours, avec une durée moyenne de 52 jours, mais 50 % des patients n’ont obtenu un rétablissement complet.

Maladies à prions

Une étude indienne (Begum et al.)[8] publiée en juillet 2024 relate un cas d’apparition tardive de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez un homme de 83 ans à la suite d’une infection COVID-19. Le patient a développé les premiers symptômes un an après l’infection, il est décédé sept mois plus tard d’un choc septique et d’une défaillance respiratoire.

Résultats : Le mécanisme n’est pas discuté dans l’étude, mais selon le chercheur Walter Chesnut[9], ce cas confirme que la protéine Spike du SARS-CoV-2, peut induire une maladie à prions. Il suggère plus spécifiquement que les protéines contaminées par la protéine Spike deviennent des prions.

Nous envisageons presque certainement une toute nouvelle forme de maladie à prions. Une maladie neurodégénérative traditionnelle qui ne se limite pas à la maladie neurodégénérative. Cette nouvelle version attaque plusieurs protéines, plusieurs organes. Nous avons besoin de biopsies et d’autopsies pour déterminer dans quelle mesure, le cas échéant, cela se produit. Ma crainte est qu’il y ait une vague silencieuse de construction de la maladie à prions qui nous attrapera (pour certains) par surprise.Chesnut W. The Spike protein and systemic prion disease: RBD Prion-Like domain/mitochondrial interactions induce a novel form. 2024 Jul 22. https://wmcresearch.substack.com/p/the-spike-protein-and-systemic-prion.

Le statut vaccinal du patient n’est pas évoqué, contrairement à celui dont le cas a été relaté dans une étude italienne en mars 2024[10]. L’étude décrit le cas d’une patiente de 51 ans ayant développé une forme génétique de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après une infection COVID. La patiente avait contracté le COVID deux mois auparavant et avait reçu une dose de vaccin Pfizer six mois plus tôt. Elle est décédée deux mois plus tard.

Retard de développement et autisme*

Une étude turque (Erdogan et al.)[11] publiée en janvier 2024 a évalué les implications potentielles des vaccins ARNm (en l’occurrence Pfizer) chez des femelles rats enceinte et leur progéniture sur trois critères : les comportements de type autiste, le développement neuronal et les performances motrices.

Résultats : Trois résultats alarmants se dégagent de l’étude.

  • Les rats mâles ont présenté des comportements de type autisme prononcé, caractérisés par une réduction marquée de l’interaction sociale et des schémas de comportement répétitifs.
  • Il y a eu une diminution substantielle du nombre neuronal dans les régions critiques du cerveau, indiquant une neurodégénérescence potentielle ou un neurodéveloppement altéré.
  • Les rats mâles ont démontré une altération des performances motrices, mises en évidence par une réduction de la coordination et de l’agilité.

Les auteurs concluent :

Nos résultats révèlent que le vaccin ARNm BNT162b2 (Pfizer) modifie significativement l’expression génique du WNT et les taux de BDNF chez les rats mâles et femelles, avec des effets particulièrement prononcés observés chez les mâles. Ces résultats suggèrent un impact profond du vaccin sur les principales voies du développement neurologique.
Ils soulignent l’importance de la poursuite de la recherche dans ce domaine pour garantir la sécurité et le bien-être de toutes les personnes, en particulier celles qui sont enceintes et leur progéniture.

Caillots cérébraux*

Une étude américaine (Ryu et al.)[12] publiée en août 2024 a étudié les mécanismes sous-jacents aux thromboses et aux symptômes neurologiques mettant en jeu le pronostic vital chez les patients atteints de COVID longs.

Résultats : La fibrine, composante clé des caillots sanguins, pulmonaires ou cérébraux, se lie à la protéine Spike du SRAS-CoV-2, formant des caillots sanguins pro-inflammatoires qui entraînent une thromboinflammation systémique, une neuropathologie et une perte neuronale. Ce mécanisme est impliqué dans les COVID longs mais également les cancers, par destruction des cellules NK (natural killers). Les auteurs ne pensent pas que cette découverte remette en cause la sécurité des vaccins ARNm qui produiraient selon eux « de petites quantités de protéine Spike qui s’accumulent localement et dans les ganglions drainants, où la réponse immunitaire est initiée et la protéine est éliminée ». Cet optimisme est contreduit par les études de biodistribution et par la découverte de quantités astronomiques de quantités Spike chez de nombreux vaccinés, à distance de plusieurs mois d’une injection.

NB. Le manuscrit a été reçu le 13 février 2023 par l’éditeur. Pourquoi une telle rétention ?

Décès dus à des maladies neurologiques chez les jeunes adultes

Une étude portugaise (Alegria et al.)[13] publiée en preprint en juin 2024 a analysé l’évolution des décès par tranche d’âge, recensés par le CDC entre 2000 et 2023 et impliquant une maladie neurologique.

Résultats : Les décès excessifs impliquant une maladie neurologique se sont produits pour la plupart des groupes d’âge. L’effet le plus fort a été observé chez les 15-44 ans :

  • 2020 : + 4,4 % (cause sous-jacente) et + 11,2 % (causes multiples)
  • 2021 : + 10,0 % et 20,6 %
  • 2022 : + 9,9 % et 14,7 %
  • 2023 : + 8,1 % et 7,1 %

Les chercheurs précisent : « Les résultats indiquent qu’à partir de 2020, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès neurologiques semble être particulièrement présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. »

Effets secondaires neurologiques déjà documentés

Les études présentées ici ne représentent qu’un petit échantillon des publications disponibles aujourd’hui.

Ce qu’on savait en octobre 2021 lorsque l’obligation vaccinale est entrée en vigueur

Une revue de la littérature indienne parue en octobre 2021 (Garg et al.)[14] a recensé 147 études.

Résultats : Les complications neurologiques rapportées après la vaccination anti-COVID augmentent de manière continue depuis le déploiement des injections. Les plus « dévastatrices » sont la thrombose veineuse cérébrale et les sinus veineux cérébraux chez les femmes en âge de procréer.

Autres complications neurologiques majeures :

  • la paralysie de Bell principalement après les vaccins ARNm ;
  • la myélorite transverse aiguë ;
  • l’encéphalomyélite disséminée aiguë ;
  • la polyneuropathie démyélicanisante aiguë ;
  • la réactivation du zona de l’herpès, fréquente après un vaccin ARNm.
Complications neurologiques des vaccins COVID (d'après Garg et al.)
Complications neurologiques des vaccins COVID (d’après Garg et al.)

Ce qu’on savait en décembre 2022, lorsque la HAS a recommandé la vaccination à partir de 6 mois[15]

  • Une revue de la littérature conduite par des chercheurs américains et iraniens (Mohseni Afshar et al.)[16] recensait 249 études en novembre 2022. Les événements indésirables (EI) neurologiques susceptibles d’être exacerbés ou induits par la vaccination anti-COVID incluent des maladies neuro-immunologiques telles que la myasthénie grave (MG) et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), les crises d’épilepsie, la réactivation du virus varicelle-zona, les accidents vasculaires cérébraux, la paralysie de Bell, la myélite transverse (MT) et l’encéphalomyélite aiguë disséminée (EADM). Les auteurs mettent en garde :

Tout symptôme neurologique après la vaccination contre la COVID-19 peut être potentiellement critique et doit être évalué avec prudence.

  • Une seconde revue de la littérature réalisée par deux chercheurs indiens (Chatterjee et al.)[17]recense les complications neurologiques documentées à l’issue de 18 mois de vaccination en distinguant les atteintes du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Les auteurs précisent :

La précipitation de nouvelles lésions cérébrales démyélinisantes […] et l’aggravation de troubles neurologiques préexistants (comme l’épilepsie, la sclérose en plaques) sont très préoccupantes, bien que aucune preuve concluante impliquant les vaccins n’est disponible dès à présent. […] La sécurité, au moins des vaccins à ARNm, est toujours discutée pour les patients atteints de sclérose en plaques rémittente active, NMOSD et MOGAD. Il est recommandé aux patients présentant des symptômes neurologiques aigus de consulter un médecin, en particulier avant la vaccination.

Commentaire : Selon le Pr Josef Finsterer[18], cette étude omet plusieurs événements graves. La figure ci-dessous est issue de l’étude de Chatterjee et al. complétée par celle de Finsterer(**).

Complications neuroleptiques par système nerveux (d'après Chatterjee et al.)
Complications neuroleptiques par système nerveux (d’après Chatterjee et al.)

État des connaissances acquises en février 2023

Une revue de la littérature iranienne (Hosseini et al.)[19] publiée en février 2023 établit le profl neurologique des vaccins, sur la base d’un recensement de 147 études.

Les complications le plus courantes sont les troubles cérébrovasculaires et les troubles démyélinisants, notamment la myélite transverse, la sclérose en plaques (SEP) inaugurale et la neuromyélite optique. Les auteurs précisent :

Les vaccins anti-COVID peuvent parfois avoir des effets secondaires graves sur le système nerveux, y compris le cerveau, la moelle épinière, les nerfs crâniens et les nerfs périphériques. Ces effets sont souvent aigus et transitoires, mais ils peuvent être sévères et même fatals dans quelques cas.

Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)
Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)

La maladie de Creutzfeldt-Jakob doit-elle être ajoutée à cette liste ?

Le tout premier article du Point critique, paru en février 2022, concernait de Mauricette Doyer, décédée quelques mois plus tard d’une maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) qu’elle avait déclarée quinze jours après sa 2e dose de vaccin Pfizer. D’autres cas similaires ont été décrits depuis après une vaccination anti-COVID[20]. Nous posions cette question, en nous basant sur un faisceau d’études et sur l’émergence d’un signal au Nouveau-Brunswick (Canada) où un cluster de maladies neurodégénératives de type MCJ avait été signalé : Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

Le lien entre la maladie de Maurciette et la vaccination a été jugé plausible par la justice mais les autorités sanitaires, que ce soit en France et au Canada, ne sont pas curieuses de savoir si cette maladie à déclaration obligatoire pourrait avoir été inoculée à des millions de citoyens : des échanges de mails montrent que l’enquête canadienne a été étouffée, et Olivier Véran n’a jamais répondu à l’alerte du Pr Montagnier qui aurait dû pourtant déclencher une suspension a minima temporaire de la vaccination pour s’assurer qu’elle ne mettait pas en danger la population.

Les preuves d’un lien possible entre la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les injections anti-COVID se sont multipliées depuis deux ans, mais l’alerte a été donnée dès 2021 par plusieurs scientifiques[21],[22],[23],[24] suite à la découverte de séquences de type « prions » dans le virus du SARS-CoV-2 et la confirmation que la protéine Spike peut franchir la barrière hématoencéphalique et pénétrer dans le cerveau[25],[26],[27]. D’autres mécanismes susceptibles d’induire une MCJ ont été découverts en 2021-2023[28][29],[30],[31],[32],[33] : induction du mauvais repliement de nombreuses protéines, formation d’agrégats amyloïdes, accumulation de la protéine Spike dans la rate…

Ces données ont été consolidées en 2023 dans une revue de la littérature[34], qui analyse le rôle potentiel de la protéine Spike dans les maladies neurodégénératives, dont la MCJ. Les inquiétudes suscitées par cette étude ont été renforcées par la publication d’une étude[35] qui démontre que la technologie ARNm utilisée dans les injections génère des erreurs de traduction (décalage du cadre ribosomique), se traduisant par la production de protéines errantes ou inconnues autre que la protéine Spike.

De manière plus anecdotique, des chercheurs ont lancé un appel à témoins concernant la survenue de symptômes neurologiques débilitants chez des personnes vaccinées. Ils ont recueilli 60 cas sur un échantillon de 15 000 visites, ce qui représente une fréquence de 1 cas sur 66, alors que la maladie est réputée toucher touche 1 personne sur 1000000.

Selon le Dr Chesnut, on peut également s’inquiéter de l’affinité entre de nombreuses complications des injections avec la maladie à prions (cardiomyopathie, diabète de type 2, caillots…) et, inversement, de l’implication potentielle des prions dans les complications neurologiques des COVID longs. Il cite notamment une étude tchèque de 2023[36] dont la conclusion est particulièrement inquiétante :

Ensemble, nous supposons, en partie, le COVID prolongé peut impliquer l’induction d’une émergence spontanée du prion, en particulier chez les individus susceptibles d’être à son origine, ce qui peut expliquer certaines de ses manesfestestions virales après une infection virale aiguë.

Conclusion

À ce jour, en France, les seuls signaux de sécurité confirmés des vaccins ARNm COVID-19 sont l’hypertension artérielle, la myocardite/péricardite et les saignements menstruels importants (Pfizer et Moderna) ainsi que l’apparition d’un érythème polymorphe et d’une réaction au site d’injection (Moderna). Trois complications neurologiques sont toujours sous surveillance pour le vaccin Pfizer (thrombose veineuse cérébrale, méningo-encéphalite zostérienne, syndrome de Guillain-Barré), deux pour le vaccin Moderna (perte de connaissance et syndrome de Parsonage Turner), mais l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en charge de la pharmacovigilance, a cessé de publier les données depuis un. Son dernier rapport remonte au 28 août 2023, on suppose donc qu’elle n’a pas pu établir de lien avec le vaccin.

Cette mini-revue de la littérature suggère pourtant que les preuves sont pléthoriques. On dispose aujourd’hui d’une série d’études démontrant que le vaccin traverse la barrière hématoencéphalique, ce qui peut expliquer un grand nombre des complications neurologiques observées, mais l’Agence européenne des médicaments le savait au moment où les vaccins Pfizer et Moderna. Ses rapports d’évaluation[37],[38]. le mentionnent explicitement :

De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique).Rapport d’évaluation Moderna, p. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/spikevax-previously-covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf

Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau.Rapport d’évaluation Pfizer, p. 54. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf#page=54

D’autres éléments suggèrent que le concepteur du vaccin Pfizer était conscient des effets délétères qu’il aurait sur le cerveau.

Que faut-il en conclure ? Ceux qui n’ont pas encore trouvé la réponse à cette question seraient avisés de se dépêcher. La prochaine pandémie est déjà là, les vaccins aussi, mais cette fois les choses sont plus claires : les fabricants ont déjà admis que l’efficacité n’avait pas été évaluée chez l’homme et on connaît déjà le nom de certains effets secondaires graves.

* Article mis à jour le 31 août 2024.


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[36] Stefano GB, Büttiker P, Weissenberger S, Anders M, Raboch J, Ptacek R, et al. Potential prion involvement in long COVID-19 neuropathology, including behavior. Cell Mol Neurobiol. 2023 Aug;43(6):2621-2626. https://doi.org/10.1007/s10571-023-01342-8.

[37] European Medicines Agency. Committee for medicinal products for human use (CHMP) Assessment report. Comirnaty. Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified). Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.

[38] European Medicines Agency. Committee for Medicinal Products for Human Use (CHMP) Assessment report. COVID-19 Vaccine Moderna. Common name: COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside-modified) Procedure. No. EMEA/H/C/005791/0000. 2021 Mar 11. P. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf.

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Le livre qui révèle tout sur les dessous de l’affaire des SMS de Pfizer !

Une plainte pénale avec constitution de partie civile est déposée dans les mains du juge d’instruction liégeois Frédéric Frenay par le lobbyiste Frédéric Baldan. Fait sans précédent, elle est à charge de la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Les préventions soulevées ?
Corruption, prise illégale d’intérêts, destruction de documents administratifs et usurpation des titres et fonctions. En cause, la négociation secrète par textos échangés entre la Présidente et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. L’enjeu, le droit à la transparence et les 35,1 milliards d’euros offerts sur un plateau à Pfizer.
Alors qu’il réclame la suspension des commissaires pour violation de leur code de bonne conduite, c’est la Commission von der Leyen qui finit par radier l’accréditation de lobbyiste de Frédéric. Une manœuvre de rétorsion évidente contraire à la directive de l’UE qui protège les lanceurs d’alerte — en théorie.
Pourquoi la Commission von der Leyen refuse-t-elle obstinément de rendre publics ces contrats ? Quels sont les principaux lobbys de la crise COVID ? Comment ont-ils infiltré les institutions ? Dans quel but ? Comment Ursula von der Leyen a-t-elle été compromise ? Qu’est-il advenu de nos données de santé et de nos droits fondamentaux à l’occasion de cette crise ?
Dans son ouvrage, Frédéric Baldan expose les secrets de l’industrie du lobbying afin que nous accédions à l’information et puissions nous réapproprier les moyens de reprendre le contrôle de nos vies. Des mots de l’auteur lui-même, ce livre met en évidence des éléments que la Police judiciaire n’a pas eu les moyens d’identifier par elle-même. Notamment, il y révèle le nom du grand cabinet de lobbying ayant “vendu” la guerre du Golfe et qui a été chargé par Pfizer de travestir la science.

L’interview de Frédéric Baldan par André Bercoff sur Tocsin.

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Manifestation pour libérer Reiner Fuellmich, « prisonnier politique », le 30 novembre 2024 à Genève

Quelques centaines de manifestants se sont déplacés depuis la Suisse, la France, l’Allemagne… pour se retrouver sur la Place des Nations à Genève, devant l’ONU, samedi 30 novembre dernier, en soutien à Reiner Fuellmich, emprisonné dans des conditions inadmissibles en Allemagne.

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covid : nouveau rapport aux USA et nouvelles révélations

Un nouveau rapport choc de plus de 500 pages aux USA, émit par la Chambre des représentants révèle l’origine artificielle du Covid-19, l’échec des politiques sanitaires et les dissimulations crapuleuses des responsables…

Une interview de Louis Fouché sur Tocsin et dont la pensée toujours aussi fluide nous apporte un autre éclairage plus mitigé sur ce ce rapport.

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Le système de santé de Singapour est-il confronté à une crise ? L’oncologue le plus expérimenté de Singapour tire la sonette d’alarme

Source

« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »

Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.

Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.

En 2020, Temasek, la société d’investissement gouvernementale de Singapour, a investi 330 millions de dollars singapouriens (250 millions de dollars américains) dans la société de biotechnologie allemande BioNTech, qui développait un vaccin expérimental contre le coronavirus en partenariat avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Que sont exactement ces vaccins à ARNm ?

En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.

Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.

En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.

En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.

La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.

Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.

Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.

Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.

Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.

– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024

Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour.
Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 .
Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.

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Crise sanitaire : c’est l’heure de juger les coupables ! – Dr Alain Colignon et Dr Martin Zizi

Une interview de Tocsin :
Avec Dr Alain Colignon Chirurgien vasculaire, président et fondateur de l’OUPS (Ordre Universel des Praticiens de la Santé).
Avec Dr Martin Zizi Médecin, biophysicien moléculaire,ancien professeur de neurophysiologie (VUB) et ancien directeur scientifique à la Défense Belge, et ancien président de la Commission Éthique au sein du département Défense Belge.

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Revirement sur l’enseignement de la théorie du genre à l’école

Source : Essentiel.News

L’intervention au Sénat du ministre délégué à la réussite scolaire force le gouvernement français à faire marche arrière.

Le quotidien français Le Monde a relaté la nouvelle la semaine dernière sans faire preuve de la déontologie dont il se targue pourtant. Sa journaliste Sylvie Lecherbonnier écrit en effet, à la fin de son premier paragraphe: «il n’existe pas de théorie du genre, vocable utilisé comme repoussoir par un courant réactionnaire, mais des études sur le genre.»

Cette affirmation, outre le fait qu’elle est ouvertement et manifestement fausse, a sans doute été imaginée pour décrédibiliser, aux yeux de ses lecteurs les moins avertis, le discours historique du ministre français délégué à la réussite scolaire, Alexandre Portier, devant le sénat français le 27 novembre dernier.

Dans son discours, sous les exclamations indignées d’une partie de l’assemblée, et avant d’être interrompu dans son élan, M. Portier, ministre de 34 ans, normalien et professeur de philosophie, explique:

L’école a pour mission de protéger nos enfants et en même temps de les aider à construire leur jugement par eux-mêmes. […] C’est aussi pour ça qu’il est évidemment hors de question de laisser faire tout et n’importe quoi. Je vous le dis à la fois comme élu mais aussi, comme beaucoup ici, en tant que père de famille, ce programme, en l’état, n’est pas acceptable, et il doit être revu. […]

Premièrement, je m’engagerai personnellement pour que la théorie du genre ne trouve pas sa place dans nos écoles, parce qu’elle ne doit pas y avoir sa place. Deuxièmement, le militantisme n’a pas non plus sa place dans nos écoles. […]

Voici la vidéo de son intervention ci-dessous, qui a fait suite à une tribune sénatoriale signée par 100 sénateurs sur le sujet.

Théorie du genre

Pour rappel, la théorie du genre stipule en substance que le sexe biologique est secondaire – voire anecdotique – dans l’identité individuelle des êtres humains, et que la façon dont les individus décident de s’autoproclamer supplante largement, dans la définition de ce qui constitue un «homme» ou une «femme», la génétique ou les organes reproducteurs.

La conséquence logique et naturelle de cette théorie est notamment qu’il est tout à fait possible que des hommes tombent enceintes; ce que les théoriciens du genre revendiquent effectivement, bien qu’une telle conclusion falsifie rigoureusement leur théorie, reductio ad absurdum.

Ainsi, la théorie du genre est combattue par beaucoup de féministes, qui affirment que cette idéologie réduit les femmes à une série de stéréotypes caricaturaux; selon elles, il ne suffit pas par exemple de s’habiller en rose, de porter des talons aiguilles et de déambuler avec déhanchement pour être une femme; ou qu’un homme biologique ne peut pas, en réalité, être une lesbienne.

En substance, ces féministes revendiquent une appellation d’origine contrôlée pour les femmes.

C’est donc une alliance hors norme entre les féministes et les conservateurs qui s’oppose en ce moment, en France et dans le monde, à ce que la théorie du genre soit imposée aux enfants. Ils qualifient cette idéologie d’obscurantiste, et refusent de voir les écoliers y être exposés.

Le gouvernement français fait marche arrière

Suite à la tribune sénatoriale et au discours d’Alexandre Portier, le gouvernement français a décidé de faire marche arrière. Selon les médias, l’entourage d’Anne Genetet, ministre de l’éducation nationale, affirme désormais que la théorie du genre ne figurera pas dans la version définitive du programme scolaire.

Selon les informations du Monde, avant ce revirement, la direction générale de l’enseignement scolaire travaillait encore sur une version qui intégrait cette notion au programme dans le cadre de la «lutte contre les discriminations.»

Ce revirement a produit les exclamations indignées de plusieurs associations militantes, dont par exemple la Civiise, qui prétend pourtant agir contre les violences sexuelles faites aux enfants. Elle a publié un communiqué indiquant que «jamais le besoin d’instruire les enfants de manière progressive et ajustée à leur âge et de leur permettre de comprendre les enjeux de la vie affective et relationnelle, de l’intimité, du consentement, n’ont été plus évidents et consensuels.»

Pour en savoir plus

Essentiel News a eu l’occasion de traiter de ce sujet à de nombreuses reprises, notamment pour mettre en lumière les mutilations irréversibles que l’idéologie du genre fait subir aux enfants, les scandales qui en découlent, et la multiplication des appels à la prudence sur ce sujet.

Pour creuser encore davantage la thématique, notamment pour ce qui concerne la Suisse romande, ci-dessous figure une vidéo faisant intervenir Vanessa Van der Lelij et Diego Bischof, respectivement présidente et vice-président de l’ACPS, le Collectif Parents Suisse.

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