En tant que groupe international de politiciens et professionnels qualifiés, nous sommes gravement préoccupés par les effets des vaccins à ARNm modifiés contre le COVID-19 sur nos populations et appelons à leur suspension immédiate.
ENTRETIEN – Le bras de fer judiciaire entre la Commission européenne et les citoyens de l’Union se durcit. Condamnée en juillet 2024 par le Tribunal de l’Union européenne pour son opacité dans la gestion des contrats d’achat de vaccins, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’UE, assorti d’un référé visant à suspendre partiellement l’exécution d’un jugement obtenu par Me Arnaud Durand au nom de 2089 requérants. Depuis octobre, cette procédure inédite a connu de nombreux rebondissements : l’exécutif européen refuse la divulgation des contrats, en violation d’une décision de justice devenue exécutoire, et bafoue le principe du contradictoire, en ne communiquant pas les arguments qu’il invoque pour empêcher des milliers de citoyens de se joindre à l’affaire, dénonce l’avocat. Paradoxalement, la Commission a exigé un droit de réplique aux conclusions en réponse déposées en décembre, signe, selon lui, que « nos arguments ont manifestement été perçus comme menaçants ». Enfin, ce 4 février, le juge des référés a rejeté les « arguments classiques » de la Commission, mais néanmoins estimé qu’il revenait à la CJUE d’avoir le dernier mot sur la divulgation de l’identité cachée des négociateurs des contrats. Dans cet entretien, Me Arnaud Durand revient sur ces derniers développements et analyse les enjeux d’un affrontement judiciaire qui touche au cœur même des principes de transparence au sein de l’Union européenne. À l’heure même où la Commission a annoncé la signature d’un nouveau contrat de vaccins Covid-19… dont elle n’a pas dévoilé toute la teneur.
Epoch Times : Le 24 janvier, la Commission a passé un marché avec le laboratoire américain Moderna pour l’achat groupé de vaccins contre le Covid-19 : jusqu’à 146 millions de doses de vaccins ARN messager. Avant d’aborder la procédure en pourvoi, quel regard portez-vous sur ce dossier ?
Me Arnaud Durand : Lors de notre entretien du 6 octobre 2024, je dénonçais la dérive de la Commission von der Leyen dans son opacité toujours plus marquée après la décision rendue par le tribunal de l’Union européenne le 17 juillet 2024, la condamnant pour son manque de transparence dans l’affaire des contrats d’achat de vaccins Covid-19. Aujourd’hui la Commission européenne réitère. En témoigne la non-divulgation de ce contrat conclu avec Moderna pour près d’une dose par habitant pour les seize États membres impliqués (Belgique, Espagne, France, etc.).
À ce jour, les conditions financières de cet accord sont inconnues. Par l’intermédiaire de son autorité HERA “de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire”, la Commission tente de rassurer en mettant en avant l’absence de clause de minimum d’achat. Cependant, la signature d’un contrat suppose en principe des engagements notamment financiers de la part des États signataires. Dès lors, plusieurs questions se posent : ce contrat est-il équilibré ? Confère-t-il à Moderna des avantages excessifs au détriment des contribuables européens ? À ce stade, la Commission cache ces informations.
Je rappelle que la conclusion des précédents contrats d’achat Covid-19, pour un montant total estimé à 71 milliards d’euros, avait, à l’époque, soulevé de sérieux doutes quant à l’équité des négociations. En effet, l’augmentation des commandes de doses s’était accompagnée d’une hausse des prix, ce qui est contraire aux principes économiques usuels, qui voudraient au contraire que des commandes massives entraînent une baisse des coûts unitaires.
De plus, la Commission avait accepté des prix d’achat supérieurs à ceux négociés par d’autres États, et ce, pour des injections dont les données d’étude étaient à la fois parcellaires et fragiles. L’histoire a montré qu’en fin de compte, ces produits n’ont pas du tout tenu leurs promesses.
Ce nouveau manquement à la transparence va donc une fois de plus à l’encontre des principes fondamentaux de l’Union européenne. Il est d’autant plus préoccupant qu’il contredit directement la volonté exprimée par le Parlement européen lui-même, qui avait adopté, le 12 juillet 2023, une résolution sans équivoque dénonçant l’opacité des accords passés par la Commission.
Ce texte demandait que « les contrats soient conclus et que les négociations sur les prix soient menées de manière transparente ». Pourtant, la Commission persiste dans son attitude de dissimulation, à l’encontre de cette résolution du Parlement européen. Une telle attitude ne peut qu’éroder davantage la confiance des citoyens.
À l’occasion du nouveau contrat avec Moderna, la presse française a rapidement rappelé les accusations concernant le manque de transparence sur la passation de ces marchés à l’époque. TF1 a d’ailleurs renvoyé ses lecteurs vers son article traitant de la condamnation de la Commission pour ces faits en juillet dernier. Qu’avez-vous pensé du traitement médiatique sur la signature de ce nouveau contrat ?
Lorsque l’on constate qu’un média grand public comme TF1 commence à accorder du crédit aux demandes de transparence contre la Commission européenne, demandes qui étaient encore récemment qualifiées de « complotistes », on peut raisonnablement penser que le vent commence à tourner.
Contrairement à d’autres médias, je me réjouis qu’ils aient eu la loyauté de renvoyer leurs lecteurs vers l’article annonçant la condamnation de la Commission européenne que nous avons obtenue en juillet dernier.
Le manque de transparence de l’exécutif européen ne repose pas sur des spéculations fantaisistes, mais bien sur des griefs que le tribunal de l’UE a reconnus en donnant raison aux 2089 requérants que je représente. L’arrêt rendu par le Tribunal marque un tournant dans le débat public, légitimant enfin des interrogations trop longtemps moquées et balayées d’un revers de main par les prétendus “fact-checkers”.
Toutefois, je reste prudent quant au traitement médiatique de ces affaires. Ce frémissement, bien que notable, ne garantit pas une couverture impartiale et approfondie. La couverture presse de juillet dernier en est d’ailleurs un bon exemple : il minimisait l’impact de cette décision de justice en titrant que la Commission aurait été juste « épinglée ». Or, en réalité, elle a bel et bien été condamnée.
L’article de TF1 se conclut en rappelant que la plainte pénale déposée en avril 2023 par le lobbyiste belge Frédéric Baldan a été jugée irrecevable par la justice belge en janvier, ce qui, selon la presse, a consécutivement frappé d’irrecevabilité toutes les autres plaintes déposées dans son sillage, celles de ceux invités à se joindre à cette procédure mais aussi celles déposées à l’initiative des États membres. Frédéric Baldan a accusé la justice « d’organiser l’impunité » d’Ursula von der Leyen. Quelle analyse faites-vous de ce jugement ?
Bien avant que la justice n’ait statué qu’en début 2025, j’avais mi-2024 prévenu les lecteurs de ma newsletter “DejaVu” qu’une telle plainte, déposée par des personnes tierces devant la justice belge, était certainement vouée à l’échec, faute d’être juridiquement recevable.
En effet, dans le type de procédure engagée, seule une victime directe de l’infraction peut agir en réparation du dommage. C’est le cas aussi bien en droit belge qu’en droit français.
Dans ces conditions, il est ici difficile de désapprouver la justice belge qui a rendu une décision tout simplement conforme au droit applicable en ce qui concerne les plaignants personnes physiques.
Certaines associations, dans des conditions bien précises, pourraient, elles, être jugées recevables. Il appartient maintenant à ces associations d’agir utilement.
En tant qu’avocat intervenant sur de grandes causes, je crois en la nécessité d’éclairer les justiciables sur les perspectives de chaque procédure. Bien sûr, il existe un aléa devant la Justice, a fortiori sur les causes sensibles. En revanche, j’ai toujours refusé de faire exprès de me tromper pour ensuite blâmer une décision prétendument mauvaise, en réalité logique, rendue par un juge.
Toutefois, dans l’affaire belge, on ne comprend pas bien pourquoi les États membres de l’Union européenne, qui avaient également déposé plainte, ont été eux aussi jugés irrecevables. J’espère que ces États-membres se reprendront afin de faire valoir leur droit à un procès, soit en déposant une nouvelle plainte, soit en engageant un recours devant la Cour de cassation belge à ce stade.
Le 17 juillet dernier, le Tribunal de l’Union européenne a condamné la Commission pour son manque de transparence concernant les contrats d’achat de vaccins et l’identité des négociateurs impliqués. Face à cette décision, le 27 septembre 2024, la Commission a formé un pourvoi devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qu’elle a assorti d’un référé en mesures provisoires. Le 4 février, vous avez reçu la décision du juge des référés. Quelle est-elle ?
Ce pourvoi devant la CJUE, seule voie de contestation possible pour la Commission, ne vise pas à remettre en cause les faits du dossier, mais plutôt la manière dont les juges du Tribunal de l’UE ont appliqué le droit. Il s’agit donc d’une procédure comparable à un pourvoi en cassation en France : la Cour de cassation ne rejuge pas les faits, mais vérifie si la règle de droit a été correctement appliquée, en s’appuyant sur la jurisprudence.
Parallèlement, la Commission avait donc introduit un référé afin de suspendre l’exécution de l’arrêt du Tribunal, mais uniquement sur la divulgation des noms des négociateurs, sans que l’obligation de publier les contrats d’achat fortement caviardés ne soit suspendue.
L’objectif de cette démarche de la Commission était d’obtenir en urgence la suspension de l’exécution de la décision du 17 juillet 2024, devenue exécutoire en septembre.
Thomas von Danwitz, juge des référés, dans sa décision rendue le 4 février 2025, n’a pas retenu les arguments classiques de la Commission mais a opté pour une approche pragmatique, à savoir la “mise balance des intérêts” : tant que la CJUE ne s’est pas prononcée sur le pourvoi, divulguer les noms des négociateurs serait irréversible. Il a donc suspendu la divulgation des noms jusqu’à la décision finale, non pas en accordant quelque crédit que ce soit aux arguments juridiques premiers de la Commission, mais exploitant cet outil très élastique qu’est la “mise en balance des intérêts”, sorte de “voiture-balai” des intérêts des parties lorsque les outils juridiques classiques sont insuffisants pour prendre une décision dans tel ou tel sens.
Il est vrai que si le pourvoi de la Commission devait in fine être jugé fondé par la Cour, il serait en pratique difficile de revenir en arrière une fois ces informations rendues publiques.
Gageons que le Parlement européen, expression de la démocratie au sein de l’Union européenne, qui a formellement demandé la divulgation de l’identité des négociateurs et de leurs déclarations de conflits d’intérêts, ait l’oreille de la Cour au fond de l’affaire.
Si le référé introduit par la Commission portait exclusivement sur l’identité des négociateurs, pourquoi n’a-t-elle toujours pas divulgué les contrats d’achat des vaccins avec les différents laboratoires ?
La Commission n’a pas introduit de référé concernant la divulgation des contrats, probablement parce qu’elle savait ses arguments encore moins solides que ceux avancés pour dissimuler l’identité des négociateurs. Cela en dit long sur la fragilité juridique de sa position : la Commission sait qu’elle ne pouvait justifier son refus de transparence devant le juge des référés sans courir un risque considérable de voir son recours rejeté.
Le 18 octobre 2024, j’ai officiellement sommé la Commission d’exécuter la décision du Tribunal, qui l’obligeait à divulguer ces documents. À ce jour, elle continue de faire la sourde oreille en utilisant divers prétextes fantaisistes. En réalité, sa tactique repose sur l’idée de jouer la montre, en espérant qu’un arrêt favorable de la Cour lui permette de ne jamais divulguer ces contrats.
Le mécanisme d’exécution des décisions au sein de l’Union européenne est en effet particulier : par principe, le juge de l’Union ne peut pas contraindre directement une administration à exécuter une décision de justice. Cependant, la Commission est tenue de respecter les décisions de Justice, faute de quoi les intéressés peuvent engager un nouveau recours, qu’ils sont pratiquement certains de gagner à nouveau, puisque visant uniquement à faire respecter un arrêt déjà rendu.
Au-delà des détails d’exécution, ce refus de la Commission européenne de se conformer à… une décision de justice montre à quel point cette commission n’est pas attachée au principe de transparence.
Et cela, cet attachement premier de la Commission européenne à des intérêts partisans voire mercantiles, les citoyens de l’Union s’en rendent de mieux en mieux compte.
Pouvez-vous faire un état des lieux de cette procédure en pourvoi en précisant son calendrier ?
Le 10 décembre 2024, nous avons conclu au fond contre le pourvoi de la Commission. Les arguments que nous avons développés dans l’intérêt des 2 089 requérants ont manifestement été perçus comme suffisamment menaçants pour inquiéter la Commission, puisqu’elle a demandé à la Cour l’autorisation d’y répliquer. Ce qu’elle devra faire d’ici une quinzaine de jours.
En tant que défendeurs contre le pourvoi nous serons amenés à répondre à notre tour, ce qui nous conduira aux alentours du mois d’avril 2025. L’affaire devrait donc être jugée par la CJUE d’ici début 2026.
Par ailleurs, le 11 décembre 2024, 3782 citoyens de l’Union européenne ont introduit une demande d’intervention volontaire pour se joindre à la procédure en cours afin de soutenir les requérants. La Commission européenne s’y est opposée, mais ni le Tribunal ni la Commission n’ont jugé bon de communiquer ce mémoire en opposition aux requérants. Ne s’agit-il pas d’une violation du principe du contradictoire ?
Oui, c’est une violation manifeste du droit à un procès équitable : chaque partie doit évidemment pouvoir connaître des arguments de son adversaire avant qu’une décision ne soit rendue. Pourtant, dans ce cas précis, nous ne connaissons toujours pas les arguments que la Commission a avancé dans le but d’empêcher la participation de milliers de citoyens européens au dossier.
Cette situation est profondément problématique sur le plan du droit. Il est inouï que la Commission européenne, institution censée défendre l’intérêt général, s’oppose à la participation de citoyens européens tout en les empêchant de connaître des arguments avancés contre eux.
En fonction de la décision qui sera rendue, nous déterminerons si un recours ou une autre action légaliste s’impose pour contester cette atteinte évidente au droit à un procès équitable, en serait-ce que pour les requérants eux-mêmes qui se verraient priver de l’intervention en leur soutien de plus de 3000 intervenants.
Ce que doit maintenant comprendre la Commission européenne avec les milliers de citoyens que je défends, c’est qu’elle ne peut plus agir subrepticement comme elle a trop pris l’habitude de le faire dans les affaires où les requérants agissent isolément. En première instance, elle nous avait tendu tous les pièges procéduraux possibles et imaginables. Cela n’a pas fonctionné. La Commission ferait mieux de se ranger à la transparence légitime réclamée par les citoyens de l’Union. Qu’elle comprenne bien : nous ne lâcherons rien.
Pourquoi la Commission tient-elle tant que cela à maintenir confidentiels l’identité des négociateurs ainsi que leurs potentiels conflits d’intérêts selon vous ?
Il est depuis peu de notoriété publique que l’une des principales négociatrices des contrats d’achat de vaccins était Mme Ursula von der Leyen elle-même. De manière manifestement solitaire, la Présidente de la Commission a tenu des négociations avec Pfizer.
Au-delà de l’article du New York Times évoquant les SMS où Mme von der Leyen aurait traité directement avec le PDG du fabricant Pfizer, cette affaire a entre-temps été confirmée par la Cour des comptes européennes qui a dénoncé, en tête d’un rapport spécial, n’avoir « reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE ».
La question est donc simple : les négociateurs étaient-ils exempts de tout conflit d’intérêts, comme l’affirme la Commission ?
Actuellement, la seule réponse que nous a fournie la Commission est une liste de déclarations de conflits d’intérêts… entièrement anonymisée et… ne mentionnant l’existence d’aucun conflit d’intérêts.
Il est donc impératif, une fois ces documents obtenus, de vérifier si Mme von der Leyen y figure bien, compte tenu de son rôle révélé depuis dans ces négociations.
Et plusieurs éléments suscitent des interrogations quant à de potentiels conflits d’intérêts impliquant Mme von der Leyen. D’une part, son propre mari est directeur chez Orgenesis, une société spécialisée dans l’ARN messager en matière de Covid-19. D’autre part, Mme von der Leyen elle-même a acquis des options d’achat dans cette entreprise, ce qui pose directement la question d’un conflit d’intérêts majeur.
Quand on regarde le caractère particulièrement farfelu des arguments de la Commission, on se rend compte qu’en réalité, c’est très probablement à cause de sa présidente que la Commission redoute l’exécution de sa condamnation du 17 juillet 2024.
Comment la Commission justifie-t-elle ses positions dans ses conclusions ?
La Commission européenne cherche aujourd’hui à clore le débat en affirmant que l’objectif de transparence et de vérification des conflits d’intérêts aurait déjà été atteint par la publication des déclarations caviardées.
Cette affirmation est d’une absurdité manifeste. Comment prétendre vérifier des conflits d’intérêts lorsque les noms des signataires sont cachés ? Sans connaître l’identité des négociateurs, il est tout simplement impossible de procéder à la moindre vérification.
Face à cette incohérence, la Commission tente de rassurer en affirmant qu’il ne faut pas s’inquiéter, qu’elle a déjà vérifié en termes de conflits d’intérêts. Mais cette demande de confiance aveugle et naïve, nous la refusons fermement. Nous ne croyons pas la Commission, le Parlement européen ne la croit pas non plus, et, plus largement, personne ne semble convaincu, puisque les appels à la transparence se multiplient. En enjoignant les citoyens à une sorte de “circulez, il n’y a rien à voir”, la Commission a attisé le besoin de transparence.
Dans ses conclusions, l’exécutif européen avance que le contrôle démocratique de l’identité des négociateurs ne relève pas d’un but d’« intérêt public ».
La Commission a effectivement saisi la Cour de justice de l’Union européenne de cette question au fond dans son pourvoi. Elle en avait aussi saisi le Tribunal en première instance, puis le juges des référés. Tous deux ont écarté cet argument.
La Commission tentait d’affirmer que l’objectif poursuivi n’était pas d’intérêt public, mais cette position était intenable… aux yeux mêmes de la Commission qui se contredisait à la phrase suivante en indiquant que cette vérification des conflits d’intérêts était bien dans « l’intérêt public ».
Une contradiction aussi flagrante revenait à anéantir son propre argumentaire. Nous avons donc rappelé à l’encontre de la Commission qu’en droit, des arguments contradictoires équivalent à une absence d’arguments.
Dans son pourvoi, la Commission se justifie également en arguant que la divulgation de l’identité de ces négociateurs pourrait entraîner « des attaques à leur intégrité physique ainsi que du harcèlement, notamment par des supporteurs des “théories du complot“, dont le nombre n’est pas négligeable en lien avec la pandémie de Covid-19 ». Pourtant, bien des prédictions jugées « complotistes » à l’époque se sont révélées vraies. Dernier exemple en date : ce 25 janvier, on apprend que la CIA elle-même considère comme probable l’hypothèse d’une fuite de laboratoire à Wuhan comme origine du Covid-19, hypothèse elle aussi qualifiée autrefois avec virulence de théorie complotiste. Que cela vous inspire-t-il ?
Tout d’abord, je reviens une fois de plus sur la résolution adoptée par le Parlement européen le 12 juillet 2023, qui recommande explicitement que « les négociateurs de contrats avec des entreprises pharmaceutiques déclarent leurs intérêts financiers et autres » et, dans une clarté absolue, recommande également de « rendre ces déclarations publiques ». Mais la Commission continue de dissimuler ces quelques identités, pour un coût exorbitant en termes de finance comme en matière de confiance.
Dans ce contexte, sous-entendre que les requérants seraient « complotistes » n’est pas seulement décalé, mais c’est aussi malhonnête. Les personnes que je représente sont des citoyens légalistes ayant obtenu en justice la condamnation de la Commission européenne pour son opacité.
Au-delà, l’exemple de la fuite probable du laboratoire concernant l’origine du virus est un exemple particulièrement révélateur : à l’époque, nous avions assisté à une véritable mascarade visant à fermer tout débat et à mettre en garde contre les “dangereux complotistes” posant des questions à ce sujet.
Une délégation de l’OMS, censée enquêter sur l’origine du virus, avait dans son rapport à l’époque conclu qu’elle n’avait toujours pas identifié l’hôte naturel du SARS-CoV-2. Soyons sérieux : comment prétendre aboutir à des conclusions crédibles lorsque l’on refuse d’explorer sérieusement la piste d’une origine artificielle ?
Il est temps de réhabiliter le pangolin et la chauve-souris, ces boucs émissaires érigés en coupables sans défense !
Derrière cette absurdité se cache un problème plus vaste. La Commission européenne n’est qu’un rouage d’un système dans lequel des institutions comme l’OMS ont cherché à imposer un prétendu consensus, pourtant absurde, évacuant toute hypothèse dérangeante au profit d’une pensée officielle.
Pourquoi le “bon chemin” argué par ces instances est-il pratiquement toujours en faveur des intérêts financiers des fabricants de médicaments ? Pendant la crise, tout semblait cadré pour éviter toute mise en cause de ce laboratoire installé en Chine avec le concours de… Français et d’Américains.
Si l’hypothèse, désormais plausible, d’une fuite de laboratoire venait à être définitivement confirmée, les implications seraient colossales en termes de responsabilités civiles, pénales et politiques à l’échelle internationale.
Les nanoparticules lipidiques (LNP), utilisées pour délivrer l’ARNm du vaccin Covid-19 aux cellules du corps, ne restent pas au point d’injection – elles circulent dans tout le corps et atteignent les organes vitaux, y compris le cœur, selon un nouvel article publié dans Nature Biotechnology.
Les résultats “suggèrent un mécanisme potentiel par lequel les vaccins ARNm à base de LNP pourraient contribuer aux complications cardiaques signalées”, notamment la myocardite, écrivent les auteurs de l’étude.
Publiées dans l’une des revues scientifiques les plus prestigieuses, les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des responsables de la santé publique et des scientifiques lors du déploiement du vaccin Covid-19, selon lesquelles les LNP étaient sûres parce qu’elles ne se déplaçaient que vers des sites ciblés spécifiques dans le corps.
Un nouveau type de test
Selon les auteurs, il n’existe pas de technologie adéquate pour déterminer où les transporteurs de nanoparticules, telles que les nanoparticules lipidiques, aboutissent dans l’organisme après avoir été administrés par injection intramusculaire, en particulier pour les médicaments tels que les vaccins, qui contiennent de faibles doses de particules.
Dans cette étude, les auteurs ont mis au point une technologie expérimentale permettant de déterminer où les différents vecteurs de nanoparticules, y compris les LNP, se retrouvent dans l’organisme après une injection intramusculaire. Ils ont testé cette technologie sur des souris.
Les chercheurs ont constaté que même à des doses extrêmement faibles, les LNP portant l’ARNm de la protéine Spike du SARS-CoV-2 atteignaient les organes vitaux. Elles ont atteint le tissu cardiaque et provoqué des modifications cellulaires ou tissulaires.
Les LNP injectant l’ARNm Covid-19 circulent de manière systémique et sont absorbées par les organes vitaux, ce qui entraîne la production de la protéine Spike toxique à l’échelle du corps”, a écrit Nicolas Hulscher, épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough, sur Substack.
Selon Karl Jablonowski, chercheur principal à l’ONG Children’s Health Defense, l’idée fausse la plus répandue au début du déploiement du vaccin Covid-19 était que les nanoparticules lipidiques “restaient dans les cellules musculaires“.
Cet article illustre parfaitement que ces affirmations sont fausses, puisqu’on y trouve des LNP injectées par voie intramusculaire dans le cœur, le foie, les reins, la rate, la tête et “tous les ganglions lymphatiques analysés”, a déclaré M. Jablonowski.
La recherche aurait dû être effectuée avant la vaccination de masse, et non après
Selon l’étude, plus de 30 nouveaux médicaments – y compris des outils d’édition du génome, des médicaments à base d’ARNm et de protéines – ont été approuvés par la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments.
Mais les développeurs de médicaments sont confrontés à un défi majeur dans l’application clinique de ces outils : comment s’assurer que les médicaments n’atteignent que les cellules qu’ils ciblent?
Pour cibler des cellules spécifiques, les médicaments utilisent des “nanocarriers” (nanoporteurs) – de minuscules particules capables de transporter un médicament dans tout l’organisme – sélectionnés pour leur capacité différentielle à cibler des types de cellules particuliers. Différents types de nanoporteurs, notamment les liposomes, les vecteurs viraux et les LNP, les nanoparticules lipidiques, ont été utilisés dans les vaccins Covid-19.
Les nanoporteurs sont dotés d’un revêtement qui les rend stables et les aide à atteindre les cellules cibles. Cependant, lorsqu’ils sont introduits dans l’organisme, ils subissent des modifications qui rendent leur fonction plus imprévisible.
Selon M. Jablonowski, ces changements sont dus au fait que des protéines se lient aux nanoparticules et influencent leur destination et leur mode d’interaction.
Cette interaction avec les protéines de l’environnement est inéluctable et constitue une source d’incertitude critique”, a-t-il déclaré.
C’est ce qui fait des LNP un outil de thérapie génique risqué, généralement utilisé uniquement par des personnes qui “luttent pour leur vie et sont prêtes à accepter les effets indésirables potentiels résultant du fait que les LNP atteignent la mauvaise cible”, a déclaré M. Jablonowski.
Une personne en bonne santé ne prendrait pas un risque aussi important pour un bénéfice aussi minime.
Technologie de précision
Les chercheurs ont entrepris de mettre au point une technologie appelée “Single Cell Precision Nanocarrier Identification”, conçue pour cartographier et quantifier l’endroit où aboutissent les nanoporteurs injectés dans une souris.
Leur technologie utilise l’apprentissage automatique pour analyser les données d’images, ce qui permet de quantifier avec précision l’emplacement des nanoparticules au niveau de l’organe, du tissu et de la cellule unique dans l’ensemble du corps.
Ils l’ont spécialement conçue pour mesurer les faibles doses de médicaments généralement présentes dans les vaccins. Ils l’ont ensuite testée sur plusieurs nouveaux types de médicaments et ont pu identifier avec succès la localisation des nanoparticules dans l’ensemble du corps d’une souris.
Après avoir injecté dans le muscle une LNP contenant l’ARNm de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, les chercheurs ont détecté l’ARNm et la protéine de pointe dans le foie, la rate, les poumons, le cœur, la tête et les reins de la souris.
Ces résultats ont des “implications directes pour la traduction clinique” des médicaments, ont-ils déclaré.
Risque cardiaque confirmé
“Notre découverte de changements dans l’expression des protéines immunitaires et vasculaires dans le tissu cardiaque après l’administration de l’ARNm LNP spike correspond aux rapports de myocardite et de péricardite dans un sous-ensemble d’individus ayant reçu des vaccins ARNm”, écrivent-ils.
Au 27 décembre 2024, 27 357 cas de myocardite et de péricardite avaient été signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis, dont 20 846 cas attribués à Pfizer, 5 952 cas à Moderna et 482 cas au vaccin de Johnson & Johnson.
La principale limite de la technologie Single Cell Precision Nanocarrier Identification est qu’elle ne peut pas être utilisée sur des sujets vivants. Cela signifie qu’il n’y a toujours pas de moyen de suivre efficacement l’évolution des LNP chez les êtres humains vivants.
“Cette technologie ne peut pas fournir les informations dynamiques et longitudinales qu’offrent les méthodes utilisées sur les animaux vivants, telles que la TEP ou l’imagerie par bioluminescence”, a déclaré M. Jablonowski.
Les auteurs de l’étude ont déclaré que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour déterminer si des effets similaires se produisent chez l’homme et si les changements moléculaires qu’ils ont trouvés dans l’organisme des souris sont liés à des symptômes cliniques.
Action urgente pour les agences de santé
Commentant la déclaration des auteurs selon laquelle les effets similaires probables sur les humains devraient être explorés dans des travaux futurs, Jablonowski a déclaré :
Tous les organismes de réglementation des vaccins dans le monde qui ont approuvé les LNP pour une distribution de masse devraient se repentir de leur décision hâtive et complaisante, car ce “travail à réaliser par la suite”, aurait dû l’être bien avant l’approbation.
Aux États-Unis, le processus d’approbation des vaccins dure dix ans. Parmi tous ceux qui ont été approuvés jusqu’à présent, aucun n’est réellement sûr, mais le processus permet d’éliminer certains des vaccins les plus dangereux. Cinq ans après sa création, la plateforme vaccinale à ARNm Covid-19 ressemble de plus en plus à l’un des plus dangereux.”
Hulscher est d’accord, écrivant que “des études de biodistribution auraient dû être réalisées AVANT la “vaccination” de masse de la population mondiale”. Il demande que les “injections invasives de thérapie génique” soient immédiatement retirées du marché.
Ce petit guide donne des informations pratiques et théoriques sur les vaccins infantiles obligatoires et recommandés. Il est destiné aux parents inquiets des risques de la vaccination. L’État français a rendu obligatoire 11 vaccins (depuis 2018) pour l’entrée dans toute “collectivité d’enfants” (crèche, garderie, école, garderie, colonies de vacances). L’instruction est obligatoire à 3 ans. Beaucoup de parents sont désemparés face au dilemme de la vaccination face à la santé de leur enfant. Il a été réalisé par deux collectifs de citoyens et soignants de Paris et d’Aix-en-Provence, qui défendent la sécurité des vaccins et la liberté vaccinale.
Ils sont en train de débarquer. Après les vaccins à ARN messager (ARNm), voici les vaccins à ARN messager auto-amplifiant (ARNma). Depuis avril 2024, ils sont utilisés en France pour la vaccination des poules et des canards d’élevage contre la grippe aviaire. Le mois dernier, c’est l’Agence européenne du médicament qui a donné sa bénédiction au premier vaccin humain à ARNma contre le Covid. Annoncés sûrs et efficaces, ces produits ont plutôt de quoi soulever des inquiétudes.
◆ Encore le Covid ?!
Qui, de nos jours, se vaccine encore contre le Covid-19 ? On peut sérieusement se le demander. Les campagnes d’incitation de l’Assurance maladie, en tout cas, se poursuivent. Depuis l’automne, le site Ameli recommande aux personnes à risque de forme grave de se faire injecter la nouvelle version du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech adaptée au variant JN.1, celui qui dominerait actuellement en France et dans le monde.
Pendant ce temps, et presque en douce, l’Agence européenne du médicament (EMA) a donné un avis favorable, le 12 décembre dernier, au premier vaccin à ARN messager auto-amplifiant (ARNma) contre le SARS-CoV-2.
◆ L’alerte de Jean-Marc Sabatier sur ces nouveaux vaccins
Le sujet de la vaccination anti-Covid est donc loin d’être enterré pour les autorités de santé. Quant à celui des injections à ARNma, il ne fait (malheureusement) que commencer.
Le 29 février 2024, nous avions publié une interview du Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, spécialisé en biologie cellulaire et en microbiologie. Il tirait la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels des nouveaux vaccins à ARNm en développement, notamment ceux à ARNm auto-amplifiant (ou auto-répliquant) et trans-amplifiant, dont il expliquait les mécanismes.
⇒ Lire notre article du 29/02/2024 :
◆ Le Kostaive à ARNma, déjà autorisé au Japon
À l’époque, le Japon venait d’approuver le premier vaccin à ARNma contre le SARS-CoV-2, l’ARCT-154, également le premier vaccin humain utilisant cette technologie à être approuvé dans le monde. Vendu sous le nom commercial de Kostaive (dont le principe actif est le zapomeran), ce vaccin a été mis au point par la société états-unienne Arcturus Therapeutics, basée à San Diego en Californie.
Un an plus tard, c’est donc au tour de l’Agence européenne du médicament de lui donner son feu vert, sans qu’on ne sache trop ce qui a motivé l’avis favorable du comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA, le document publié étant particulièrement succinct. Même si le dossier doit encore passer entre les mains de la Commission européenne pour être définitivement validé, il y a peu de chance que celle-ci aille à l’encontre de l’agence. L’autorisation de mise sur le marché est donc quasiment actée.
◆ Un vaccin efficace, avec des effets indésirables légers, selon l’EMA
Selon l’avis du CHMP, « le bénéfice de Kostaive en primo-vaccination contre le Covid-19 a été démontré dans une vaste étude dans laquelle les adultes ont reçu soit deux doses de Kostaive, soit un placebo. Par rapport au placebo, la vaccination avec Kostaive a entraîné une réduction de la proportion de patients ayant développé un Covid-19 symptomatique entre une semaine et trois mois après la deuxième dose de vaccin. » Une autre étude plus petite aurait, par ailleurs, montré l’efficacité de Kostaive en tant que vaccin de rappel, suite à une primovaccination faite avec un autre vaccin.
Le CHMP indique également que « les effets indésirables les plus couramment observés sont les réactions au site d’injection (douleur et sensibilité), l’arthralgie, la myalgie, les maux de tête, les vertiges, la fatigue, les frissons et la pyrexie ».
◆ Les vaccins à ARNm se sont pourtant révélés peu sûrs et peu efficaces
Si l’on se fie à cet avis, le nouveau vaccin Kostaive serait donc à la fois efficace et sans danger, tout comme le sont toujours officiellement les vaccins à ARN messager déjà sur le marché, alors qu’ils n’ont objectivement prouvé ni leur efficacité ni leur sécurité.
On ne compte plus, en effet, les vaccinés ayant développé un ou plusieurs Covid symptomatiques, parfois sévères, malgré leur soi-disant protection vaccinale. Quant aux effets indésirables graves, parmi lesquels on trouve de nombreux cas de décès, les chiffres de pharmacovigilance et plusieurs associations de victimes (Verity France, Où est mon cycle ?, AAVIC Team…) sont là pour en témoigner.
◆ Une technologie jamais remise en question par les autorités
Ce qui choque le plus dans cet avis de l’EMA est que jamais n’est remise en question la technologie de l’ARNm, sur laquelle on peut pourtant avoir de sérieux doutes.
Rappelons brièvement que l’ARNm contenu dans les vaccins anti-Covid code pour la protéine Spike du virus SARS-CoV-2. Injecté, cet ARNm est censé pénétrer dans nos cellules pour y être lu et traduit en acides aminés, afin que nos cellules fabriquent elles-mêmes cette protéine Spike, qui sera ensuite détectée par notre système immunitaire pour fabriquer les antigènes correspondants.
◆ Les erreurs de lecture problématiques de l’ARNm vaccinal
Or, comme le soulignait Jean-Marc Sabatier dans notre article cité plus haut, « cette technologie n’est pas du tout maîtrisée, on en a eu confirmation avec l’étude publiée dans Nature le 6décembre 2023, montrant des problèmes de lecture et de traduction de l’ARNm vaccinal en protéines ».
Plus précisément, l’uridine de synthèse utilisée dans l’ARNm des vaccins n’est pas toujours bien lue par nos cellules et ces erreurs de lecture aboutissent à la fabrication de protéines autres que la Spike. Les conséquences de cette production erratique de protéines inconnues pourraient, à terme, s’avérer délétères.
⇒ Lire notre article du 18/12/2023 :
◆ Une production de Spike incontrôlée
De plus, ajoutait Jean-Marc Sabatier, « on se rend compte que la production de protéine Spike, qui devait être limitée, n’est pas du tout contrôlée.On a détecté de la Spike vaccinale dans le sang de personnes vaccinées jusqu’à 15 mois après leur dernière injection, ce qui suggère que ces personnes continuent à en produire. »
Le cardiologue américain Peter McCullough faisait le même constat lors de son intervention au Parlement européen en septembre 2023, où il a déclaré que « pas une seule étude ne montre que l’ARN messager est dégradé » dans le corps humain, une fois injecté. Et s’il n’est pas dégradé, cela signifie qu’il continue à servir pour produire aussi bien de la Spike que d’autres protéines inconnues.
◆ Le risque d’avoir en soi une machine infernale ?
Avec les vaccins à ARNm auto-amplifiant, ce processus incontrôlé risque d’être pire encore. À travers cette nouvelle technologie, notre corps n’est plus seulement transformé en usine de production de la Spike, mais également en usine de production d’ARN messagers, puisqu’une fois injectés, ceux-ci vont s’auto-répliquer à l’intérieur de nos cellules !
Sur le papier, ces ARNm auto-amplifiants sont censés se dégrader au bout d’un certain temps. Mais si, encore une fois, ils ne se dégradent pas comme prévu, le risque est qu’ils se reproduisent indéfiniment et que nos cellules fabriquent tout aussi indéfiniment de la Spike ou d’autres protéines, sans que personne ne puisse stopper cette machine infernale.
◆ Peu de recul et aucune prudence
Alors que la prudence devrait être de mise face à ces nouvelles technologies vaccinales, on voit qu’il n’en est rien et que les autorités de santé continuent de donner leur approbation à des produits qui nécessiteraient à l’évidence une meilleure maîtrise et de nombreuses années de recul.
De manière tout aussi inquiétante, les vaccins à ARNm auto-amplifiant sont désormais également utilisés en médecine vétérinaire.
◆ Quels risques pour les consommateurs de canards vaccinés à l’ARNma ?
Depuis avril 2024, le Respons AI H5 du laboratoire Ceva Santé animale est ainsi administré en France aux poules et aux canards d’élevage, dans le cadre de la campagne de vaccination obligatoire contre la grippe aviaire de souche H5. Avec quels risques pour les consommateurs ? Aucun, selon le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
La pharmacienne biologiste Hélène Banoun, qui vient de publier sur le site de l’Aimsib un article consacré à ce sujet, n’en est pas si convaincue. « Aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande de canard », souligne-t-elle, avant d’expliquer les raisons pour lesquelles, selon elle, « si la viande est mal cuite […], le consommateur peut théoriquement être “vacciné” par cet ARNm destiné au canard. »
Attention, affaire lamentable ! C’est l’histoire d’une dame sans histoire âgée de 30 ans qui développe les signes caractéristiques de la maladie de Charcot quelques jours après une seconde administration du vaccin anti-Covid de Pfizer, et que le centre de pharmacovigilance déclarera imputable à cette injection. Publication de la nouvelle dans la presse locale et c’est immédiatement le drame, on déprogramme l’article en extrême urgence. Depuis quand une décision d’imputabilité d’un centre de pharmacovigilance ne peut pas faire l’objet d’une nouvelle journalistique, depuis quand les sujets sanitaires sont-ils tous gérés par destruction de la liberté d’informer ? Courage Madame « Mélanie », bonne lecture.
Le 30 décembre dernier, France Bleu Auvergne faisait paraître un article sous le titre : « Première reconnaissance officielle, pour une Moulinoise, atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anti-covid ».
Cet article n’est resté en ligne que quelques heures pour, finalement, faire l’objet d’une dépublication en fin de journée.
Cette succession d’événements a été suffisante pour enflammer les réseaux sociaux, mais aussi les rédactions de presse (tous supports confondus).
Il ne pouvait en être autrement pour un sujet « hyper » clivant. Nous avons, en effet, d’un côté les défenseurs acharnés d’un vaccin anti-covid, dont ils sont absolument certains qu’il ne peut pas être à l’origine de pathologies très graves, comme la maladie de Charcot, et de l’autre côté, non pas comme cela est présenté de façon simpliste, ceux que certains nomment les « antivax », mais des personnes qui, depuis qu’elles ont été vaccinées contre la Covid, en 2021, 2022 … ont déclenché des pathologies plus ou moins graves dont les médecins ne pouvaient expliquer le déclenchement soudain.
Une question s’est alors légitiment posée : et si les vaccins anti-covid étaient à l’origine de la détérioration de mon état de santé ? Il semble pourtant qu’il soit, en France, interdit de se poser cette simple question.
Pire, si vous posez cette question, vous êtes immédiatement diabolisé et taxé de complotiste. C’est ainsi la meilleure façon de faire taire, non pas toute critique, mais toute tentative visant à émettre des doutes quant à un discours officiel dont les chiens de garde persistent à affirmer, de façon sentencieuse, que les vaccins anti-covid ne présentent aucun risque, ou, en tout cas, pas de risque grave pour la santé.
Des vigies semblent donc scruter la moindre apparition d’articles sur le sujet, comme pour mieux réagir à des affirmations qui pourraient remettre en cause un discours officiel, quitte à se comporter comme des maîtres censeurs.
Concrètement, que s’est-il passé le 30 décembre dernier ?
France Bleu Auvergne fait paraître un article, pourtant très neutre, et sans parti pris, qui fait suite à un long entretien avec Mélanie, jeune femme âgée de 35 ans, atteinte de la maladie de Charcot. Cet article avait le grand mérite de montrer la solitude et la détresse des malades atteints de telles pathologie et de leur famille, surtout quand ils cherchent à comprendre pourquoi.
Il convient ici de préciser que la maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative. C’est une maladie rare (extrêmement rare chez les personnes comme Mélanie qui, au moment du diagnostic, avait 31 ans) dont la prévalence est de 2,7 sur 100 000.
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie grave qui entraîne le décès de la personne dans un délai de 3 à 5 ans en moyenne, après l’apparition de la maladie, principalement en raison de l’atteinte des muscles responsables de la respiration. Il convient encore de préciser qu’à ce stade des recherches scientifiques, les causes de la maladie de Charcot demeurent inconnues dans 90 % des cas (on parle de cas sporadiques). En revanche, des causes héréditaires de la maladie de Charcot ont pu être mises en évidence dans 10 % des cas.
Mais quel est l’apport de cet article, à l’origine de tant de réactions ?
Il est écrit : « C’est bien le vaccin anti-Covid, qu’elle a reçu, en 2021, qui est à l’origine de la maladie de Charcot (de Mélanie) …/… La pharmacovigilance vient de la reconnaître (…) ».
Ces seules affirmations ont mis le feu aux poudres
Devant les vives réactions des lecteurs de cet article, principalement sur les réseaux sociaux, la Direction de France Bleu a décidé de mettre un terme de façon brutale à un débat dont, manifestement, elle ne veut pas, en le dépubliant. Le même média tente alors de s’en justifier : « Un article qui évoquait la reconnaissance d’un lien entre la maladie de Charcot et le vaccin de Pfizer/BioNTech contre le Covid-19. Cet article avait été publié à partir d’informations parcellaires, ayant entraîné une erreur d’interprétation ».
France Bleu reconnaît, alors, qu’il s’agit là d’une information sensible mais, dans son grand courage, qu’elle ne veut pas participer » à la propagation de fausses informations ». De préciser, encore, qu’il ne s’agit en aucun cas de censure, en d’autre temps, sous d’autres régimes, la presse d’État n’aurait pas fait mieux.
Mais ce média va plus loin en se livrant, alors, à une diffusion de vérités toutes relatives, il affirme : – « Les autorités sanitaires françaises n’ont jamais confirmé de lien entre la vaccination contre la Covid-19 et la sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot). La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente évoquée n’a, à ce jour, pas été reconnue »,
De minimiser enfin le rôle de la pharmacovigilance en précisant : « C’est l’ANSM qui tranche, et non un organisme de pharmacovigilance. Et à ce jour, l’ANSM n’a pas communiqué sur un quelconque lien entre la maladie de Charcot et le vaccin Pfizer contre la Covid-19. »
Qu’en est-il réellement ? Ces objections sont-elles recevables ?
Non.
Sur le premier point : la non reconnaissance d’un lien entre la SLA de Mélanie et le vaccin Pfizer contre la Covid.
Si France Bleu avait eu le souci de vérifier ses informations, nous lui aurions présenté la fiche établie par le centre de pharmacovigilance qui a traité le cas de Mélanie. Ce média aurait vu que dans les jours qui ont suivi une deuxième injection (juin 2021), Mélanie a été victime de fasciculations. Un mois après, ont été constatées des atteintes neurologiques. Au mois de septembre 2022, était posé le diagnostic d’une SLA. En conclusion, il est écrit : – « Diagnostic de SLA dont les premiers signes se sont manifestés quelques jours après la D2 de Comirnaty»
Le pharmacovigilant note : « L’imputabilité retenue en l’espèce est établie selon la méthode française officielle de 1985 publiée par Bégaud et al. (Bulletin officiel du ministère chargé de la santé n° 84/50 fr 1985) et réactualisée par le Cercle de Réflexion sur l’imputabilité en 2011 (publié dans Théraphie 2011 ; 66:517- 25). Les éventuels scores d’imputabilité qui auront été retenus sont établis sans préjudice des éléments d’investigation qui pourraient être effectués dans le cadre de procédures juridiques ou amiables d’indemnisations ».
Nous précisons ici que Mélanie n’avait aucun antécédent médical, et que le facteur héréditaire a été écarté.
Donc, contrairement à ce qu’affirme France Bleu, la SLA, contractée par Mélanie est bien imputable au vaccin Pfizer contre la COVID et cette imputabilité a bien été confirmée par une autorité sanitaire.
Il convient de ne pas minimiser, comme France Bleu, le rôle et l’importance des centre régionaux de pharmacovigilance qui ont une mission dévolue par le Ministère de la Santé.
À ce titre, la pharmacovigilance a pour mission la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effets indésirables résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré après commercialisation. Dans ce cadre, la pharmacovigilance met en place des enquêtes et des études pour analyser les risques et participer à la mise en place et au suivi des plans de gestion des risques. La pharmacovigilance s’appuie sur une base réglementaire nationale et européenne : lois, décrets, directives, bonnes pratiques de pharmacovigilance publiées par arrêté. Dans notre cas d’espèce, nous avons eu confirmation par le CRPV que le cas de Mélanie a été remonté à l’ANSM avec pour commentaire : « ce dossier a été remonté à l’ANSM en proposant un « cas marquant », ce qui signifie que nous souhaitons appuyer l’attention de l’ANSM sur les cas de SLA déclarés après vaccination contre la Covid-19 ». Au moment où a été rédigé l’article, l’ANSM était informée.
Nous précisons encore qu’au niveau de l’association AAVIC TEAM, dont fait partie Mélanie, nous avons au moins un deuxième cas identique.
Quant au rôle de l’ANSM défendu par France Bleu et sur le fait que ce soit elle qui tranche et non la pharmacovigilance. Si, effectivement, c’est elle qui tranche, comment peut-on imaginer aujourd’hui, sur ce cas, et à la lumière des protocoles d’examens qui ont été mis en œuvre pour établir cette imputabilité, qu’elle puisse dire autrement ? Il semble impossible qu’elle puisse avoir un avis contraire à la lumière des résultats qui lui seront présentés. Mieux, il va être de son devoir de prendre en considération le risque d’effets indésirables graves, et examiner les options permettant de prévenir les risques ou les réduire, au besoin, pour prendre des mesures appropriées. À partir de là, il convient que certaines attitudes doctes soient abandonnées.
Cette réponse méritait d’être apportée, d’autant plus qu’à la suite de ces articles, certains ont cru bon publier à leur tour des articles inutilement blessants et confinant à la diffamation.
Un, en particulier, a retenu notre attention, celui publié le 2 janvier 2025 par le Journal International de Médecine. Cet article odieux, qui brille par son absence de contenu et une compassion de façade,
n’a pour finalité que de décrédibiliser les associations, dont AAVIC TEAM, qui tentent d’aider ces malades qui, après des injections contre la COVID, se trouvent dans une situation d’errance médicale insupportable. Nous parlons en particulier au niveau de cette association, de plusieurs centaines de personnes dont la vie a été bouleversée : pathologies graves, perte d’autonomie, perte d’emploi, situation financière précaire … aussi l’absence d’empathie de certains « vaccinolâtres » écervelés leur est insupportable. D’ailleurs, et à la suite d’Hannah Arendt, nous affirmons que « la mort de l’empathie humaine est l’un des premiers signes et le plus révélateur d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie ».
Notre combat est d’aider ces malades à faire éclater la vérité, à ce qu’ils soient pris en charge comme il se doit et qu’ils soient indemnisés à hauteur des préjudices qui sont les leurs.
Le dernier combat de Mélanie est d’être la porte-parole de ces malades, et de faire entendre leur voix.
Durant les trois années qu’a duré la crise dite sanitaire, nous avons été submergés d’annonces officielles, de décisions autoritaires et des discours prétendument « scientifiques » qui se sont imposés à nous comme des dogmes.
Mais aujourd’hui, les faits commencent à parler, et ils racontent une toute autre histoire.
Le Digital Services Act ou DSA est désormais actif dans l’Union européenne depuis l’été dernier. Cette organisation, ignorant la volonté des peuples européens, a décidé de se doter des moyens efficaces pour lutter contre ce qu’elle appelle la « désinformation » et des publications aux contenus « illicites » ! Evidemment, on se pose sur le champ la question de savoir ce qui est « licite » ? Il va de soi, et tout le monde l’aura compris depuis bien longtemps, qu’il s’agit d’un instrument de contrôle, de censure des informations qui ne sont pas en parfaite symbiose avec le discours idéologique mondialiste des serviteurs de la Trilatérale, les Léo-straussiens et autres Forum Economique Mondial (FEM), Bri, Dolder Club, Bilderberg … etc. Ces gens conduisent le monde vers un Nouvel Ordre Mondial enfin advenu dans toute son ampleur et prévu par l’Agenda 2030 ayant planifié dans le détail les mesures successives permettant cet avènement de la dictature absolue, « le meilleur des mondes », une sorte de confinement indéfini pour tous les peuples strictement autorisés à vivre dans la seule mesure d’une soumission inconditionnelle…
La liberté d’expression n’est pas compatible avec un Nouvel Ordre Mondial : l’UE, dont la seule raison d’être est celle de servir ce projet, fait donc tout ce qui est possible pour appliquer le plan concocté par les tyrans du mondialisme. Les peuples de l’Union européenne ont été pris en otage par ses dirigeants qu’ils n’ont pas mandatés …
Avec l’arrivée des nouveaux élus aux Etats-Unis, on remarque que Meta et Instagram ont mis fin à la censure qu’ils pratiquaient sous le contrôle des plus grands « démocrates » de la planète !
Et voilà que l’UE de son côté se met à faire le contraire de ce qui se passe aux USA.
Le DSA exige des plates-formes numériques une censure acharnée sous peine de sanctions pouvant infliger une perte de 6% de leur chiffre d’affaires annuel.
Le DSA va utiliser des outils comme NewsGuard pour exercer sa dictature. Cette dernière société est une entreprise privée qui joue un rôle de chien de garde au service du système de censure. NewsGuard évalue tous les sites d’information et contrôle leur alignement sur l’idéologie dominante seule tolérée par le DSA. Cette société s’est donnée le pouvoir d’attribuer des notes de « crédibilité » à tous les médias et particulièrement aux sites alternatifs qui proposent une lecture plus objective de l’information en promotionnant la liberté d’expression désormais proscrite dans l’Union européenne. Les limiers de NewsGuard se permettent d’agir sans le moindre mandat des peuples qu’ils prétendent contrôler en ignorant leurs droits ! Qui a donné à ces gens un tel pouvoir, avec quelle légitimité ?
Tout média qui sera jugé dans ses publications non conforme aux critères idéologiques de la « vérité » définie par le DSA , sera pénalisé financièrement, étranglé et à terme éliminé. Les revenus publicitaires seront réduits via des mécanismes de dévalorisation commandés par les algorithmes de service !
Mis à part l’expérience des Grecs puis celle de l’Odénossonie en Amérique du Nord avant l’arrivée des colons européens, puis celle du Chiapas dont la devise déclare que : « Dans une véritable démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit« , il n’existe pas de démocraties pouvant sérieusement se donner ce titre. On se souvient du discours historique de Sieyès du 7 septembre 1789 : « Le peuple… dans un pays qui n’est pas une démocratie – et la France ne saurait l’être –, le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. » Depuis longtemps, les médias inféodés au système, comme les politiques, ne cessent de faire croire que nous sommes en démocratie alors que nous ne l’avons jamais été. La démocratie a été systématiquement et volontairement confondue avec les libertés publiques et privées !
Mais les libertés publiques et privées c’était encore beaucoup trop : il fallait réduire ces libertés à néant, faute de quoi il n’était pas possible d’envisager un Nouvel Ordre Mondial incompatible avec les idées de démocratie et de libertés …
L’esprit critique, le sens de l’objectivité, la voix des sciences, la sagesse de l’expérience et le simple bon sens, tout cela n’est pas recevable par les inquisiteurs du DSA qui appliquent la censure à l’encontre de tous ceux qui sont jugés hérétiques, schismatiques, idolâtres, divergents, non alignés, « complotistes », récalcitrants, opposants voire « terroristes », « climato-sceptiques » ou « menaces pour la sécurité des États » etc …
En revanche, l’AFP qui doit faire figure d’organisme de référence de la vérité, est grassement rémunérée pour que tout ce qu’elle transmet soit strictement conforme à l’idéologie mondialiste.
Ainsi le débat public n’a pas lieu puisqu’il est totalement orienté dans une seule direction. Les opinions divergentes ne sont donc pas accessibles ou difficilement accessibles pour le grand nombre qui est maintenu dans sa bulle d’informations stérilisées et univoques.
Le DSA est donc bien « Le ministère de la vérité » ayant traversé la fiction pour devenir réalité !
Nous sommes officiellement manipulés, orientés à ne penser que dans un sens : celui du mondialisme qui s’impose brutalement à tous.
Le DSA n’est pas autre chose qu’un instrument de censure et de contrôle idéologique, une expression violente de la dictature des « élites » mondialistes non élues et qui décident pour tous ce que sera la vie de tous.
Conclusion
Quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons contourner la censure. Il y a des Plates-formes comme Odysee.com ou CrowdBunker.com en France qui relaient les informations censurées et militent intelligemment pour la liberté d’expression.
Le site mondialisation.ca est une référence pour la liberté d’expression, l’information objective, non censurée.
Il est donc toujours possible de contourner le dispositif des inquisiteurs: leur maltraitance, leur persécution, leurs interdits, leurs sanctions et leurs bûchers et s’informer correctement ! Finalement, le problème n’est pas de savoir si l’on peut s’informer, mais si l’on veut vraiment s’informer!
La servitude volontaire est une faiblesse chez ceux qui se sont exposés trop longtemps au dressage psychologique en acceptant la facilité de l’information fast-food des télévisions et des autres médias inféodés, baxtérisés à l’argent public pour certains et pour les autres, formatés à l’idéologie mondialiste dont leurs propriétaires milliardaires sont les gourous !
Nous, les Européens, pouvons-nous accepter le totalitarisme d’un « ministère de la vérité » ? Pouvons-nous tolérer le retour de l’inquisition? Toutes ces créations de l’Union européenne ne sont ni légitimes, ni acceptables éthiquement comme humainement ! Nous avons le devoir de boycotter ces institutions, de les mettre en échec, de les combattre par tous les moyens et de les détruire en se moquant de leur prétention!
Femme de 59 ans présentant une thrombose veineuse profonde étendue et une thromboembolie pulmonaire 7 jours après une première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34117206/
Images TEP numériques 68 Ga-DOTATOC d’infiltrats de cellules inflammatoires dans la myocardite après vaccination avec le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34746968/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas d’encéphalopathie aiguë et d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST après vaccination avec l’ARNm-1273 : effet indésirable possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703815/
Un cas de vascularite associée aux ANCA après vaccination AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) contre le SRAS-CoV-2 : victime ou causalité ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416184/
Un cas de purpura thrombocytopénique idiopathique après une dose de rappel du vaccin COVID-19 BNT162b2 (Pfizer-Biontech) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820240/
Un cas de syndrome de Guillain-Barré ataxique sensoriel avec des anticorps anti-GM1 d’immunoglobuline G après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34871447/
Un cas de présentation clinique légère inhabituelle de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombose de la veine splanchnique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34843991/
Une série de cas de péricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 dans le contexte de rapports récents en Europe et aux États-Unis : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34635376/
Une série de cas de réactions cutanées au vaccin COVID-19 dans le département de dermatologie de l’Université de Loma Linda : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34423106/
Un regard sur le rôle de l’immunohistochimie post-mortem dans la compréhension de la physiopathologie inflammatoire de la maladie COVID-19 et des événements indésirables thrombotiques liés au vaccin : une revue narrative : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34769454/
Un trouble thrombocytopénique prothrombotique ressemblant à une thrombocytopénie induite par l’héparine après vaccination contre le coronavirus-19 : https://europepmc.org/article/PPR/PPR304469
Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le COVID-19 AstraZeneca : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34274191/
Un cas rare de thrombose veineuse cérébrale et de coagulation intravasculaire disséminée temporellement associée à l’administration du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33917902/
Un cas rare de thrombopénie thrombotique induite par le vaccin COVID-19 (VITT) affectant la circulation artérielle veinosplanchnique et pulmonaire dans un hôpital général de district du Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535492/
Un cas rare de thrombose et de thrombocytopénie de la veine ophtalmique supérieure après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34276917/
Un rapport sur les événements indésirables liés à la myocardite dans le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins. (VAERS) en association avec les produits biologiques injectables COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34601006/
Abbate, A., Gavin, J., Madanchi, N., Kim, C., Shah, PR, Klein, K., . . . Danielides, S. (2021). Myocardite fulminante et hyperinflammation systémique associées temporellement à la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez deux patients. Int J Cardiol, 340, 119-121. est ce que je:10.1016/j.ijcard.2021.08.018. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34416319
Douleurs abdominales et hémorragie surrénalienne bilatérale dues à une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34546343/
Abu Mouch, S., Roguin, A., Hellou, E., Ishai, A., Shoshan, U., Mahamid, L., . . . Berar Yanay, N. (2021). Myocardite après vaccination à ARNm contre le COVID-19. Vaccin, 39(29), 3790-3793. est ce que je:10.1016/j.vaccine.2021.05.087. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34092429
Hépatite aiguë de type auto-immune avec anticorps antimitochondriaux atypiques après vaccination avec l’ARNm du COVID-19 : une nouvelle entité clinique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34293683/
Névrite optique/chiasme bilatéral aigu bilatéral avec myélite transversale extensive longitudinale dans la sclérose en plaques stable de longue date après vaccination à base de vecteur contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34131771/
Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512961/
AVC ischémique aigu révélant une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCov-19 : impact sur la stratégie de recanalisation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34175640/
Infarctus aigu du myocarde dans les 24 heures suivant la vaccination contre le COVID-19 : le syndrome de Kounis est-il le coupable : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702550/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles provenant de la base de données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Rechute aiguë et altération de la vaccination après la vaccination contre le COVID-19 chez un patient atteint de sclérose en plaques traité par rituximab : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34015240/
Infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST secondaire à une thrombose immunitaire induite par le vaccin avec thrombocytopénie (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34580132/
Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec une vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie auto-immune associé au vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induit par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, centrés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, axés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
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Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33444297/
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Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après la première vaccination par ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après première vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
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Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : Prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
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Thrombose des sinus veineux cérébraux et thrombocytopénie après vaccination contre le COVID-19 : à propos de deux cas au Royaume-Uni : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33857630/
Thrombose des sinus veineux cérébraux et événements thrombotiques après les vaccins vectoriels contre la COVID-19 : revue systématique et méta-analyse : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34610990/
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Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://www.sciencedirect.com/science/article/ pi/S1871402121002046
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov /34186376/
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé et non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002046 .
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Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138
Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138/
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L’administration immédiate d’immunoglobulines intraveineuses à haute dose, suivie d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, est cruciale pour la survie en cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin.
Des immunoglobulines intraveineuses à haute dose immédiate, suivies d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, sont cruciales pour la survie dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin VITT adenoviral à vecteur Sars-Covid-19 avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34023956/
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Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou maladie d’apparition récente chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/
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Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite ?
Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34453510/
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Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après la vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/
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Un an après un cas bénin de COVID-19 : la plupart des patients conservent une immunité spécifique, mais un patient sur quatre souffre encore de symptômes à long terme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34362088/
Apparition/épidémie de psoriasis après le vaccin contre le virus Corona ChAdOx1 nCoV-19 (Oxford-AstraZeneca/Covishield) : rapport de deux cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34350668/
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Anticorps pathologiques contre le facteur plaquettaire 4 après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19. Cet article précise : « En l’absence de pathologies prothrombotiques antérieures, 22 patients présentaient une thrombocytopénie aiguë et une thrombose, principalement une thrombose veineuse cérébrale, et 1 patient présentait une thrombocytopénie isolée et un phénotype hémorragique » : https://www.nejm.org/doi /full/10.1056/NEJMoa2105385?query=TOC&fbclid=IwA R2ifm2TQjetAMb42YRRUlKEeqCQe-lDasIWvjMgzHHaItbuPbu6n7NlG3cic.
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Insuffisance surrénalienne primaire associée à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin Oxford-AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34256983/
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Microparticules procoagulantes : un lien possible entre la thrombocytopénie immunitaire induite par le vaccin (VITT) et la thrombose veineuse des sinus cérébraux : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34129181/
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Myocardite auto-limitée se manifestant par des douleurs thoraciques et une élévation du segment ST chez les adolescents après vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34180390/
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Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475
Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475?query=featured_home
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Perfusion de thromboaspiration et fibrinolyse pour la thrombose portomésentérique après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34132839/
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Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
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Thrombose dans la maladie artérielle périphérique et la thrombocytopénie thrombotique après la vaccination adénovirale contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34649281/
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes <60 % analyse risque-bénéfice pour les personnes de <60 ans en Australie : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Thrombose avec syndrome de thrombopénie (STT) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes < 60 %.
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (STT) après la vaccination contre la COVID-19 par AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : analyse risque-bénéfice pour les personnes de moins de 60 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Événements indésirables thrombotiques signalés pour les vaccins Moderna, Pfizer et Oxford-AstraZeneca contre la COVID-19 : comparaison de l’occurrence et des résultats cliniques dans la base de données EudraVigilance : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835256/
Événements thrombotiques après vaccination contre le COVID-19 chez les personnes de plus de 50 ans : résultats d’une étude de population en Italie : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835237/
Tinoco, M., Leite, S., Faria, B., Cardoso, S., Von Hafe, P., Dias, G., . . . Lourenço, A. (2021). Périmyocardite après la vaccination contre le COVID-19. Clin Med Insights Cardiol, 15, 11795468211056634. est ce que je:10.1177/11795468211056634. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34866957
Paralysie oculomotrice transitoire après administration du vaccin messager ARN-1273 pour la diplopie du SRAS-CoV-2 après le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34369471/
Thrombocytopénie transitoire avec auto-anticorps plaquettaires spécifiques aux glycoprotéines après vaccination avec Ad26.COV2.S : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34516272/
Traitement de l’accident vasculaire cérébral ischémique aigu associé à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461442/
Truong, DT, Dionne, A., Muniz, JC, McHugh, KE, Portman, MA, Lambert, LM, . . . Newburger, JW (2021). Myocardite cliniquement suspectée liée temporellement à la vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes. Circulation. est ce que je:10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056583. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34865500
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Deux cas de maladie de Basedow après vaccination SARS-CoV-2 : un syndrome auto-immun/inflammatoire induit par les adjuvants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858208/
Les interférons de type I comme mécanisme potentiel reliant les vaccins à ARNm contre la COVID-19 à la paralysie de Bell : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858693/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombocytopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S, 2 mars-21 avril 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
Umei, T., Kishino, Y., Shiraishi, Y., Inohara, T., Yuasa, S. et Fukuda, K. (2021). Récidive de myopéricardite après vaccination par ARNm COVID-19 chez un adolescent de sexe masculin. CJC ouvert. est ce que je:10.1016/j.cjco.2021.12.002. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34904134
Lymphadénopathie axillaire unilatérale liée au vaccin COVID-19 : modèle d’IRM mammaire de dépistage permettant une évaluation bénigne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325221/
Lymphadénopathie unilatérale après vaccination contre le COVID-19 : un plan de prise en charge pratique pour les radiologues de toutes spécialités : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33713605/
Résultats d’imagerie uniques de fantosmie neurologique après la vaccination Pfizer-BioNtech COVID-19 : un rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096896/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S (contre le covid-19), du 2 mars au 21 avril 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
Thrombocytopénie et thrombose associées au vaccin : endothéliopathie veineuse conduisant à une micro-macrothrombose veineuse combinée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34833382/
Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin.
Thrombose immunitaire induite par le vaccin et syndrome de thrombocytopénie après vaccination contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à vecteur adénovirus : une nouvelle hypothèse sur les mécanismes et les implications pour le développement futur d’un vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664303/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : cibler les mécanismes pathologiques avec les inhibiteurs de la tyrosine kinase de Bruton : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851389/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le covid-19 ; une revue systématique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34365148/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme sévère de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après vaccination Ad26.COV2.S chez un homme présentant une thromboembolie veineuse aiguë : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096082/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : le lien insaisissable entre la thrombose et les vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34191218/
Réactivation du virus varicelle-zona et du virus de l’herpès simplex après vaccination contre le COVID-19 : examen de 40 cas dans un registre dermatologique international : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487581/
Réactions cutanées vésiculobulleuses induites par le vaccin à ARNm COVID-19 : à propos de quatre cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34236711/
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Zimmermann, P. et Curtis, N. (2020). Pourquoi le COVID-19 est-il moins grave chez les enfants ? Un examen des mécanismes proposés sous-tendant la différence de gravité liée à l’âge des infections par le SRAS-CoV-2. Arch Dis Enfant. est ce que je:10.1136/archdischild-2020-320338. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33262177
Cette fois j’y serai! Merci de partager l’information, y compris à vos amis européens, ceci nous concerne tous!
Frédéric Baldan, Notre Bon Droit, le parti germanophone « Vivant », la Pologne, la Hongrie et plus de mille parties civiles citoyennes ont intenté un procès contre Ursula Von der Leyen, dans le cadre de la négociation des contrats Pfizer et BioNtech, pendant la crise Covid. Le 6 janvier 2025 un jugement devrait enfin être prononcé.
L’action a été introduite auprès des tribunaux belges et devrait normalement pouvoir être jugée par la justice de notre pays. Mais l’EPPO, le parquet de justice de l’Union européenne tente de s’immiscer dans ce procès pour forcer nos juges à leur transmettre l’affaire. Si la Belgique se dessaisit au profit de l’UE, les plaignants perdront leur chance. Si, au contraire elle confirme sa compétence, l’action pourra poursuivre son cours et d’autres plaignants de différents pays pourront encore venir grossir les rangs des indignés.
L’audience de ce 6 janvier est donc d’une importance capitale.
Venez nombreux manifester votre présence.
Rappel:
En avril 2023, le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile auprès du tribunal de Liège contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour des actes graves et potentiellement illégaux dans la gestion des contrats de vaccins COVID-19.
Pourquoi cette plainte ?
En avril 2021, des révélations ont indiqué que Mme von der Leyen aurait négocié directement, sans mandat explicite des États membres, un contrat d'achat de vaccins avec le groupe Pfizer, représentant des milliards d'euros. Ces négociations, menées via des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ont été critiquées pour leur manque de transparence. De plus, la suppression présumée de ces SMS soulève des questions sur la destruction de documents publics.
Ce que cela signifie :
L’Office du Procureur Européen (EPPO), chargé de lutter contre la fraude affectant les intérêts financiers de l’UE, a déclaré lors d’une audience publique qu’aucune victime identifiable ne pouvait être déterminée dans cette affaire, rendant les faits difficiles à établir juridiquement. Cette position néglige une réalité fondamentale : nous, citoyens européens, sommes les victimes directes de ces décisions opaques, quel que soit notre statut vaccinal.
En devenant plaignants, nous affirmons que ces agissements nous ont lésés collectivement :
• Nos impôts ont financé des contrats passés dans des conditions opaques, contraires aux principes de bonne gouvernance.
• Nous avons été soumis à des décisions sanitaires contraires aux droits fondamentaux et à la Charte des Doits fondamentaux de l’UE, ainsi qu’à des décisions financières prises sans transparence ni concertation.
• Notre confiance envers les institutions européennes, garantes de la démocratie et de la justice, a été profondément ébranlée.
Un appel à tous les citoyens de l’UE
Cette plainte, initiée en Belgique, dépasse nos frontières nationales : elle concerne tous les Européens. En élargissant cette action à l’échelle de l’Union, nous pouvons démontrer que les citoyens européens refusent de rester passifs face à des abus qui affectent leurs droits, leurs finances et leur santé.
Ce que nous demandons :
• La tenue d’une enquête pénale indépendante des institutions de l’UE:
Nous exigeons qu’une enquête approfondie et impartiale soit menée pour faire toute la lumière sur les actes reprochés à Ursula Von Der Leyen et aux responsables impliqués. Cette enquête doit garantir la transparence et répondre aux attentes des citoyens européens.
• La contestation de la légitimité de l’EPPO pour ce dossier :
Bien que l’Office du Procureur Européen (EPPO) soit officiellement chargé de la lutte contre les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l’Union, nous remettons en question sa capacité à traiter ce dossier pour plusieurs raisons :
o Conflit d’intérêts institutionnel : L’EPPO est étroitement lié aux institutions européennes, ce qui soulève des doutes sur sa capacité à enquêter de manière indépendante sur des faits impliquant la présidente de la Commission européenne, l’une des figures centrales du pouvoir exécutif de l’UE.
o Position de l’EPPO lors d’une audience publique : L’EPPO a déclaré qu’il n’existait « aucune victime identifiable » dans cette affaire, une affirmation que nous contestons fermement. Chaque citoyen européen, quel que soit son statut vaccinal, a été de à la transparence démocratique.
o Les limites des missions de l’EPPO : Les compétences de l’EPPO se concentrent sur les fraudes affectant le budget européen. Or, dans ce dossier, les contrats de vaccins ont été honorés financièrement par chaque État membre, individuellement, et non par un financement direct de l’Union européenne. Ursula Von Der Leyen elle-même l’a admis : pas un euro du budget de l’UE n’a été utilisé pour ces contrats. Cela rend inadaptée la juridiction de l’EPPO pour traiter ces infractions potentielles.
Ensemble, nous avons la responsabilité de protéger nos droits fondamentaux mais aussi un modèle de société qui replace la justice, la transparence et l’équité au centre de la gouvernance. Ce n’est qu’en nous mobilisant que nous pourrons exiger des comptes et restaurer la confiance dans nos institutions.
Rejoignez-nous et rejoignez Frédéric Baldan pour défendre nos droits face aux lobbies pharmaceutiques.
Voir aussi France-Soir : 📽UrsulaGates : en plus des plaintes visant Ursula von der Leyen, Frédéric Baldan et Diane Protat annoncent lors de leur conférence de presse avoir porté plainte contre Laura Kövesi, cheffe de l’EPPO, le parquet européen.
De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna). Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection. Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.
De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.
Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.
Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.
PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?
Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.
1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :
Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :
« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;
Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;
Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :
« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»
2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :
Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;
3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :
Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :
« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »
Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.
L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.
Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.
En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :
« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »
PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?
Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».
Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !
Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.
Nous entendons ainsi :
– Tous les bénéfices du « vaccin » ;
– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;
– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.
Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!
PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?
Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :
Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.
Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :
« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;
Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.
PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?
Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée.
Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382).
Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique)
PG :Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?
Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :
Ainsi, il incombe à l’injecteur :
A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;
B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.
PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?
Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.
Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.
En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.
Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».
Nous portons à votre connaissance les faits suivants : I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.
Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »
Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?
Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.
II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.
Dans la première, la HAS préconise que : – « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.
– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »
– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.
Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que : – les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues, – « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.
Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.
III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux. – L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré. – Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.
IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant : • Bordetella pertussis ; • Haemophilus influenzae ; • Leptospira icterohaemorrhagiae ; • Neisseria meningitidis ; • Salmonella typhi ; • Streptococcus pneumoniae ; • Virus de l’encéphalite japonaise ; • Virus de la fièvre jaune ; • Virus de l’hépatite B ; • Virus des oreillons ; • Virus de la poliomyélite ; • Virus de la rougeole ; • Virus de la rubéole ; • Virus de la vaccine »
Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole), deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.
En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que : « Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent : 2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ; 3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ; 5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.
La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »
Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.
Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.
Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations Info Vaccins France
Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture.
Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?
Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.
Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne. Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.
L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.
En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires. Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.
Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.
Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?
Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux : – Qu’est-ce qu’une onde ? – Quelles sont ses principales caractéristiques ?
Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz. Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.
Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants : • 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles) • courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz • de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores ) • ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz • ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson. • infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz • lumière visible autour de 1013,5-14 Hz • ultra-violets : 1015 Hz • rayons X, puis les ondes cosmiques
Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?
• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques. • certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures. • Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important. • Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle. • Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra. • Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient. • Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.
Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine, correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique. ◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.
• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique, c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.
Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser. Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.
Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?
Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.
1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées. 2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.
Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.
Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?
Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.
Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.
Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?
En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.
Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.
Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.
Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).
PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?
J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.
Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.
Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.
Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…
Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :
QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :
L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).
Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).
Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.
Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.
D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.
Questions 1:
Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 2 :
Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?
Question 3:
Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?
Question 4:
Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?
Question 5 :
Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 6 :
Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?
Question 7 :
Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?
Question 8 :
Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?
La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)
Je rappelle que :
–L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :
« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
– L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »
– L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :
Interventions sur le génome humain
« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise quepour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a paspour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
– L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »
Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.
L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.
Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.
A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X
C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y
Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.
Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.
Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.
De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.
Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?
Quel était le but des fabricants de ces injections ?
Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?
Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.
Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.
Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !
Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.
Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).
Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).
Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.
C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !
Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.
Une série d’études récentes alerte sur le lien entre les vaccins COVID-19 et l’apparition de troubles neurologiques ou psychiatriques peu de temps après une vaccination. Les mécanismes susceptibles d’expliquer ces atteintes ne sont pas formellement élucidées, mais les rapports d’évaluation de Pfizer et de Moderna indiquaient tous les deux que le vaccin pénètre dans le cerveau.
En octobre 2023, une étude de cohorte italienne[1] a révélé qu’une personne vaccinée sur trois (31,2 %) avait subi des complications neurologiques, la plupart du temps bénignes et transitoires, au cours des six mois suivant la vaccination. On dispose aujourd’hui d’une série de nouvelles études, qui alertent sur le risque de complications neurologiques graves associées aux vaccins anti-COVID.
Dans cet article, nous recensons les dernières études concernant l’impact des injections sur le cerveau, ainsi que certaines publications plus anciennes dont les résultats sont connus depuis plus de deux ans. À ce jour, la base React 19 en recense 625.
Nouvelles études parues en 2023-2024
Le Journal de l’Association médicale canadiennealertait en 2022 sur un nombre croissant de patients présentent des troubles neurologiques fonctionnels (TNF) après la vaccination contre le SRAS-CoV-2[2], affectant la motricité, les fonctions sensitives ou sensorielles. Les dernières études confirment que les injections peuvent initier ou exacerber des processus auto-immuns, provoquer des altérations des systèmes de contrôle inflammatoires ou des conditions pro-inflammatoires, et induire un large spectre de symptômes neurologiques ou psychiatriques.
Résultats : La vaccination était impliquée dans 26,3 % des NMOSD, 52,4 % des AE et 85,7 % des MOGAD recensés dans la base du VAERS depuis sa création (1990), mais la plupart de ces cas sont survenus secondairement au vaccin contre le SRAS-CoV-2.
Épilepsie
Une méta-analyse italienne (Dasara et al.)[4] publiée en juillet 2024 a recensé l’ensemble des études concernant l’apparition d’un statut de mal épileptique (SE) chez les personnes vaccinées contre le COVID-19. Les auteurs présentent deux cas d’état de SE réfractaire survenus après une injection Pfizer.
Résultats : L’un des patients a nécessité 150 jours d’hospitalisation, le second est décédé de complications infectieuses après 90 jours d’hospitalisation. Sept autres cas ont été recensés dans la littérature, 4 après une injection Moderna, 2 après une injection Pfizer, 1 après une injection AstraZeneca. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 4,5 jours. Les auteurs concluent que l’EDM est une complication rare mais sévère de la vaccination anti-COVID.
Maladie d’Alzheimer
Une étude sud-coréenne (Roh et al.)[5] publiée en mai 2024 a analysé l’évolution de l’état neurologique des personnes vaccinées (519 330) vs non-vaccinées (38 687) sur une période de trois mois.
Résultats : L’incidence de la maladie d’Alzheimer et des démences légères a augmenté de façon significative chez les personnes vaccinées, en particulier celles ayant reçu des vaccins à ARNm. Trois mois après une injection ARNm, la hausse est de :
Une étude sud-coréenne (Kim et al.)[6] publiée en juin 2024 a évalué l’impact de la vaccination anti-COVID sur 10 troubles psychiatriques. La cohorte représente 50 % de la population de Séoul (4 348 412 personnes).
Résultats : L’incidence cumulée de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels était plus élevée dans le groupe vacciné, trois mois après la vaccination.
Dépression : + 68 %
Anxiété, dissociative, stress, troubles du sommeil : + 44 %
Troubles du sommeil : + 93 %
Troubles sexuels : 556 %
Psychoses
Une revue systématique lettonienne (Lazareva et al.)[7] publiée en avril 2024 a recensé l’ensemble des rapports de cas sur l’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre le COVID-19.
Résultats : Les femmes étaient impliquées dans 54 % des cas, avec un âge moyen de 34 ans et un délai moyen d’apparition des symptômes de 6 jours. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 6 jours, avec une durée moyenne de 52 jours, mais 50 % des patients n’ont obtenu un rétablissement complet.
Maladies à prions
Une étude indienne (Begum et al.)[8] publiée en juillet 2024 relate un cas d’apparition tardive de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez un homme de 83 ans à la suite d’une infection COVID-19. Le patient a développé les premiers symptômes un an après l’infection, il est décédé sept mois plus tard d’un choc septique et d’une défaillance respiratoire.
Résultats : Le mécanisme n’est pas discuté dans l’étude, mais selon le chercheur Walter Chesnut[9], ce cas confirme que la protéine Spike du SARS-CoV-2, peut induire une maladie à prions. Il suggère plus spécifiquement que les protéines contaminées par la protéine Spike deviennent des prions.
Nous envisageons presque certainement une toute nouvelle forme de maladie à prions. Une maladie neurodégénérative traditionnelle qui ne se limite pas à la maladie neurodégénérative. Cette nouvelle version attaque plusieurs protéines, plusieurs organes. Nous avons besoin de biopsies et d’autopsies pour déterminer dans quelle mesure, le cas échéant, cela se produit. Ma crainte est qu’il y ait une vague silencieuse de construction de la maladie à prions qui nous attrapera (pour certains) par surprise.Chesnut W. The Spike protein and systemic prion disease: RBD Prion-Like domain/mitochondrial interactions induce a novel form. 2024 Jul 22. https://wmcresearch.substack.com/p/the-spike-protein-and-systemic-prion.
Le statut vaccinal du patient n’est pas évoqué, contrairement à celui dont le cas a été relaté dans une étude italienne en mars 2024[10]. L’étude décrit le cas d’une patiente de 51 ans ayant développé une forme génétique de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après une infection COVID. La patiente avait contracté le COVID deux mois auparavant et avait reçu une dose de vaccin Pfizer six mois plus tôt. Elle est décédée deux mois plus tard.
Retard de développement et autisme*
Une étude turque (Erdogan et al.)[11] publiée en janvier 2024 a évalué les implications potentielles des vaccins ARNm (en l’occurrence Pfizer) chez des femelles rats enceinte et leur progéniture sur trois critères : les comportements de type autiste, le développement neuronal et les performances motrices.
Résultats : Trois résultats alarmants se dégagent de l’étude.
Les rats mâles ont présenté des comportements de type autisme prononcé, caractérisés par une réduction marquée de l’interaction sociale et des schémas de comportement répétitifs.
Il y a eu une diminution substantielle du nombre neuronal dans les régions critiques du cerveau, indiquant une neurodégénérescence potentielle ou un neurodéveloppement altéré.
Les rats mâles ont démontré une altération des performances motrices, mises en évidence par une réduction de la coordination et de l’agilité.
Les auteurs concluent :
Nos résultats révèlent que le vaccin ARNm BNT162b2 (Pfizer) modifie significativement l’expression génique du WNT et les taux de BDNF chez les rats mâles et femelles, avec des effets particulièrement prononcés observés chez les mâles. Ces résultats suggèrent un impact profond du vaccin sur les principales voies du développement neurologique. Ils soulignent l’importance de la poursuite de la recherche dans ce domaine pour garantir la sécurité et le bien-être de toutes les personnes, en particulier celles qui sont enceintes et leur progéniture.
Caillots cérébraux*
Une étude américaine (Ryu et al.)[12] publiée en août 2024 a étudié les mécanismes sous-jacents aux thromboses et aux symptômes neurologiques mettant en jeu le pronostic vital chez les patients atteints de COVID longs.
Résultats : La fibrine, composante clé des caillots sanguins, pulmonaires ou cérébraux, se lie à la protéine Spike du SRAS-CoV-2, formant des caillots sanguins pro-inflammatoires qui entraînent une thromboinflammation systémique, une neuropathologie et une perte neuronale. Ce mécanisme est impliqué dans les COVID longs mais également les cancers, par destruction des cellules NK (natural killers). Les auteurs ne pensent pas que cette découverte remette en cause la sécurité des vaccins ARNm qui produiraient selon eux « de petites quantités de protéine Spike qui s’accumulent localement et dans les ganglions drainants, où la réponse immunitaire est initiée et la protéine est éliminée ». Cet optimisme est contreduit par les études de biodistribution et par la découverte de quantités astronomiques de quantités Spike chez de nombreux vaccinés, à distance de plusieurs mois d’une injection.
NB. Le manuscrit a été reçu le 13 février 2023 par l’éditeur. Pourquoi une telle rétention ?
Décès dus à des maladies neurologiques chez les jeunes adultes
Une étude portugaise (Alegria et al.)[13] publiée en preprint en juin 2024 a analysé l’évolution des décès par tranche d’âge, recensés par le CDC entre 2000 et 2023 et impliquant une maladie neurologique.
Résultats : Les décès excessifs impliquant une maladie neurologique se sont produits pour la plupart des groupes d’âge. L’effet le plus fort a été observé chez les 15-44 ans :
Les chercheurs précisent : « Les résultats indiquent qu’à partir de 2020, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès neurologiques semble être particulièrement présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. »
Effets secondaires neurologiques déjà documentés
Les études présentées ici ne représentent qu’un petit échantillon des publications disponibles aujourd’hui.
Ce qu’on savait en octobre 2021 lorsque l’obligation vaccinale est entrée en vigueur
Une revue de la littérature indienne parue en octobre 2021 (Garg et al.)[14] a recensé 147 études.
Résultats : Les complications neurologiques rapportées après la vaccination anti-COVID augmentent de manière continue depuis le déploiement des injections. Les plus « dévastatrices » sont la thrombose veineuse cérébrale et les sinus veineux cérébraux chez les femmes en âge de procréer.
Autres complications neurologiques majeures :
la paralysie de Bell principalement après les vaccins ARNm ;
la myélorite transverse aiguë ;
l’encéphalomyélite disséminée aiguë ;
la polyneuropathie démyélicanisante aiguë ;
la réactivation du zona de l’herpès, fréquente après un vaccin ARNm.
Ce qu’on savait en décembre 2022, lorsque la HAS a recommandé la vaccination à partir de 6 mois[15]
Une revue de la littérature conduite par des chercheurs américains et iraniens (Mohseni Afshar et al.)[16] recensait 249 études en novembre 2022. Les événements indésirables (EI) neurologiques susceptibles d’être exacerbés ou induits par la vaccination anti-COVID incluent des maladies neuro-immunologiques telles que la myasthénie grave (MG) et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), les crises d’épilepsie, la réactivation du virus varicelle-zona, les accidents vasculaires cérébraux, la paralysie de Bell, la myélite transverse (MT) et l’encéphalomyélite aiguë disséminée (EADM). Les auteurs mettent en garde :
Tout symptôme neurologique après la vaccination contre la COVID-19 peut être potentiellement critique et doit être évalué avec prudence.
Une seconde revue de la littérature réalisée par deux chercheurs indiens (Chatterjee et al.)[17]recense les complications neurologiques documentées à l’issue de 18 mois de vaccination en distinguant les atteintes du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Les auteurs précisent :
La précipitation de nouvelles lésions cérébrales démyélinisantes […] et l’aggravation de troubles neurologiques préexistants (comme l’épilepsie, la sclérose en plaques) sont très préoccupantes, bien que aucune preuve concluante impliquant les vaccins n’est disponible dès à présent. […] La sécurité, au moins des vaccins à ARNm, est toujours discutée pour les patients atteints de sclérose en plaques rémittente active, NMOSD et MOGAD. Il est recommandé aux patients présentant des symptômes neurologiques aigus de consulter un médecin, en particulier avant la vaccination.
Commentaire : Selon le Pr Josef Finsterer[18], cette étude omet plusieurs événements graves. La figure ci-dessous est issue de l’étude de Chatterjee et al. complétée par celle de Finsterer(**).
Une revue de la littérature iranienne (Hosseini et al.)[19] publiée en février 2023 établit le profl neurologique des vaccins, sur la base d’un recensement de 147 études.
Les complications le plus courantes sont les troubles cérébrovasculaires et les troubles démyélinisants, notamment la myélite transverse, la sclérose en plaques (SEP) inaugurale et la neuromyélite optique. Les auteurs précisent :
Les vaccins anti-COVID peuvent parfois avoir des effets secondaires graves sur le système nerveux, y compris le cerveau, la moelle épinière, les nerfs crâniens et les nerfs périphériques. Ces effets sont souvent aigus et transitoires, mais ils peuvent être sévères et même fatals dans quelques cas.
La maladie de Creutzfeldt-Jakob doit-elle être ajoutée à cette liste ?
Le tout premier article du Point critique, paru en février 2022, concernait de Mauricette Doyer, décédée quelques mois plus tard d’une maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) qu’elle avait déclarée quinze jours après sa 2e dose de vaccin Pfizer. D’autres cas similaires ont été décrits depuis après une vaccination anti-COVID[20]. Nous posions cette question, en nous basant sur un faisceau d’études et sur l’émergence d’un signal au Nouveau-Brunswick (Canada) où un cluster de maladies neurodégénératives de type MCJ avait été signalé : Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?
Le lien entre la maladie de Maurciette et la vaccination a été jugé plausible par la justice mais les autorités sanitaires, que ce soit en France et au Canada, ne sont pas curieuses de savoir si cette maladie à déclaration obligatoire pourrait avoir été inoculée à des millions de citoyens : des échanges de mails montrent que l’enquête canadienne a été étouffée, et Olivier Véran n’a jamais répondu à l’alerte du Pr Montagnier qui aurait dû pourtant déclencher une suspension a minima temporaire de la vaccination pour s’assurer qu’elle ne mettait pas en danger la population.
Les preuves d’un lien possible entre la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les injections anti-COVID se sont multipliées depuis deux ans, mais l’alerte a été donnée dès 2021 par plusieurs scientifiques[21],[22],[23],[24] suite à la découverte de séquences de type « prions » dans le virus du SARS-CoV-2 et la confirmation que la protéine Spike peut franchir la barrière hématoencéphalique et pénétrer dans le cerveau[25],[26],[27]. D’autres mécanismes susceptibles d’induire une MCJ ont été découverts en 2021-2023[28][29],[30],[31],[32],[33] : induction du mauvais repliement de nombreuses protéines, formation d’agrégats amyloïdes, accumulation de la protéine Spike dans la rate…
Ces données ont été consolidées en 2023 dans une revue de la littérature[34], qui analyse le rôle potentiel de la protéine Spike dans les maladies neurodégénératives, dont la MCJ. Les inquiétudes suscitées par cette étude ont été renforcées par la publication d’une étude[35] qui démontre que la technologie ARNm utilisée dans les injections génère des erreurs de traduction (décalage du cadre ribosomique), se traduisant par la production de protéines errantes ou inconnues autre que la protéine Spike.
De manière plus anecdotique, des chercheurs ont lancé un appel à témoins concernant la survenue de symptômes neurologiques débilitants chez des personnes vaccinées. Ils ont recueilli 60 cas sur un échantillon de 15 000 visites, ce qui représente une fréquence de 1 cas sur 66, alors que la maladie est réputée toucher touche 1 personne sur 1000000.
Selon le Dr Chesnut, on peut également s’inquiéter de l’affinité entre de nombreuses complications des injections avec la maladie à prions (cardiomyopathie, diabète de type 2, caillots…) et, inversement, de l’implication potentielle des prions dans les complications neurologiques des COVID longs. Il cite notamment une étude tchèque de 2023[36] dont la conclusion est particulièrement inquiétante :
Ensemble, nous supposons, en partie, le COVID prolongé peut impliquer l’induction d’une émergence spontanée du prion, en particulier chez les individus susceptibles d’être à son origine, ce qui peut expliquer certaines de ses manesfestestions virales après une infection virale aiguë.
Conclusion
À ce jour, en France, les seuls signaux de sécurité confirmés des vaccins ARNm COVID-19 sont l’hypertension artérielle, la myocardite/péricardite et les saignements menstruels importants (Pfizer et Moderna) ainsi que l’apparition d’un érythème polymorphe et d’une réaction au site d’injection (Moderna). Trois complications neurologiques sont toujours sous surveillance pour le vaccin Pfizer (thrombose veineuse cérébrale, méningo-encéphalite zostérienne, syndrome de Guillain-Barré), deux pour le vaccin Moderna (perte de connaissance et syndrome de Parsonage Turner), mais l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en charge de la pharmacovigilance, a cessé de publier les données depuis un. Son dernier rapport remonte au 28 août 2023, on suppose donc qu’elle n’a pas pu établir de lien avec le vaccin.
Cette mini-revue de la littérature suggère pourtant que les preuves sont pléthoriques. On dispose aujourd’hui d’une série d’études démontrant que le vaccin traverse la barrière hématoencéphalique, ce qui peut expliquer un grand nombre des complications neurologiques observées, mais l’Agence européenne des médicaments le savait au moment où les vaccins Pfizer et Moderna. Ses rapports d’évaluation[37],[38]. le mentionnent explicitement :
Que faut-il en conclure ? Ceux qui n’ont pas encore trouvé la réponse à cette question seraient avisés de se dépêcher. La prochaine pandémie est déjà là, les vaccins aussi, mais cette fois les choses sont plus claires : les fabricants ont déjà admis que l’efficacité n’avait pas été évaluée chez l’homme et on connaît déjà le nom de certains effets secondaires graves.
* Article mis à jour le 31 août 2024.
Références
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« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »
Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.
Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.
En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.
Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.
En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.
En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.
La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.
Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.
Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.
Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.
Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.
– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024
Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour. Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 . Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.
L’action des vaccins à base d’ARNm nécessite l’expression de l’antigène dans des cellules ciblées par des complexes lipidiques nanoparticules-ARNm. Lorsque l’antigène vaccinal n’est pas entièrement retenu par les cellules productrices, sa diffusion locale et systémique peut avoir des conséquences dépendant à la fois des niveaux d’expression de l’antigène et de son activité biologique. Une particularité des vaccins COVID-19 à base d’ARNm réside dans les quantités extraordinairement élevées d’antigène Spike exprimées par les cellules cibles. De plus, le vaccin Spike peut être excrété et se lier aux récepteurs cellulaires ACE-2, induisant ainsi des réponses d’importance pathogénétique, notamment la libération de facteurs solubles qui, à leur tour, peuvent déréguler des processus immunologiques clés. De plus, les réponses immunitaires circulatoires déclenchées par le vaccin Spike sont assez puissantes et peuvent conduire à une liaison croisée efficace des anticorps anti-Spike, ainsi qu’à l’émergence d’anticorps à la fois auto- et anti-idiotypes. Dans cet article, les inconvénients immunologiques de la forte efficacité de la traduction de l’ARNm associé aux vaccins contre la COVID-19 sont discutés ainsi que les arguments soutenant l’idée que la plupart d’entre eux peuvent être évités avec l’avènement des vaccins muqueux contre la COVID-19 de nouvelle génération. 19 vaccins.
Les vaccins à base d’ARNm contre la COVID-19 ont été distribués à de nombreuses personnes dans leurs versions originales et actuelles mises à jour. En outre, la technologie de l’ARNm constitue la base de vaccins expérimentaux supplémentaires ainsi que de la dernière génération d’immunothérapies anticancéreuses. Il est donc obligatoire d’identifier, de surveiller et d’analyser en profondeur les événements inattendus les plus pertinents que cette technologie peut produire chez l’homme, même si ceux-ci se produisent rarement.
Plusieurs caractéristiques distinguent les vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm des vaccins « traditionnels » basés sur des virus atténués/inactivés, des produits de sous-unités ou des produits recombinants, qui ont été si utiles pour l’élimination/le confinement de plusieurs maladies infectieuses. Premièrement, la formulation du vaccin comprend des nanoparticules lipidiques (LNP) complexées avec des molécules d’ARNm produites par le processus de transcription in vitro. Deuxièmement, l’immunogène ne fait pas partie de la formulation du vaccin, mais il devrait être synthétisé par les cellules internalisant les complexes ARNm/LNP. Cette preuve justifie la définition plus appropriée du promédicament (conçu comme une substance pharmacologiquement inactive qui est convertie dans le corps en un médicament pharmacologiquement actif) plutôt que du vaccin [ 1 ]. Troisièmement, l’immunogène (c’est-à-dire la protéine virale Spike) est synthétisé par les cellules cibles à des niveaux très élevés et persiste dans le temps [ 2 ]. Quatrièmement, l’immunogène reconnaît, se lie et active un récepteur cellulaire de signalisation répandu, à savoir l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ACE)-2, et est stabilisé dans sa conformation de préfusion par deux mutations consécutives en proline aux positions d’acides aminés 986 et 987. qui n’ont pas d’impact négatif sur la liaison/activation de l’ACE-2. Par conséquent, l’abondance, la diffusion, la persistance, l’activité biologique et la stabilité de l’immunogène sont des points clés distinguant les vaccins COVID-19 à base d’ARNm.
Dans cet article, les conséquences les plus pertinentes de la surproduction de l’antigène Spike après la vaccination contre le COVID-19 à base d’ARNm et de la réponse immunitaire circulatoire plutôt puissante évoquée sont discutées. Une image complète de toutes les préoccupations possibles serait d’une utilité majeure pour le développement de vaccins plus sûrs et plus ciblés contre le SRAS-CoV-2 et d’autres agents infectieux aéroportés. Parmi ceux-ci, les vaccins muqueux méritent une certaine attention compte tenu de leur action au point d’entrée du virus et de l’absence d’effets systémiques indésirables.
2. Niveaux élevés et persistants de pic de circulation après la vaccination
Les complexes ARNm/nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. L’injection dans le muscle deltoïde favorise leur entrée dans les cellules musculaires ; cependant, l’inflammation modérée induite par certains composants lipidiques [ 3 ] peut attirer des cellules professionnelles présentatrices d’antigène (APC) vers le site d’injection. Les APC peuvent ingérer les LNP, subir une activation et migrer vers les ganglions lymphatiques [ 4 ]. De plus, des quantités non quantifiables de complexes ARNm/LNP injectés échappent à l’internalisation cellulaire au site d’injection, entrant ainsi en circulation. De manière cohérente, les études de biodistribution réalisées par un fabricant de vaccins à ARNm COVID-19 ont mis en évidence la diffusion potentielle des LNP injectés par voie intramusculaire dans presque tous les tissus [ 5 ].
L’ARNm et le vaccin Spike persistent dans l’organisme longtemps après la vaccination. Une étude réalisée sur des échantillons autooptiques de patients après vaccination contre le COVID-19 a démontré la persistance de l’ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques axillaires bilatéraux jusqu’à 30 jours après la vaccination [ 6 ]. Notamment, l’ARNm du vaccin a également été trouvé dans les ventricules cardiaques jusqu’à 20 jours après l’injection, et sa présence était corrélée à des lésions myocardiques associées à un nombre anormalement élevé de macrophages myocardiques. Dans une autre étude, l’ARNm du vaccin a été trouvé jusqu’à 60 jours après la deuxième dose dans des biopsies des ganglions lymphatiques axillaires homolatéraux [ 2 ].
Une partie du Spike exprimé de manière intracellulaire reste exposée sur la membrane plasmique des cellules cibles sous sa forme trimérique, tandis qu’une fraction cohérente de celui-ci peut être excrétée et circuler. En conséquence, une médiane de 47 pg/mL de Spike libre a été mesurée dans le plasma des vaccinés 1 à 2 jours après l’injection, avec des pics de 174 pg/mL [ 2 ]. Ces niveaux de Spike dans le plasma semblent étonnamment élevés, allant, par exemple, aux concentrations de cytokines inflammatoires détectées chez les sujets présentant une inflammation systémique aiguë [ 7 ]. Cette preuve est particulièrement pertinente compte tenu de la forte affinité de Spike pour ACE-2, c’est-à-dire un récepteur cellulaire répandu impliqué dans plusieurs processus physiologiques clés.
3. ACE-2 : Résumé des fonctions, de la distribution et de la signalisation lors de la liaison de pointes
ACE-2 est une protéine transmembranaire de type I longue de 805 acides aminés avec une région N-terminale extracellulaire glycosylée contenant le domaine carboxypeptidase dont la fonction consiste à éliminer les acides aminés uniques de l’extrémité C-terminale de ses substrats. ACE-2 est un régulateur clé du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui contrôle la pression artérielle. Il catalyse la conversion de l’angiotensine I, un décapeptide, en angiotensine 1 à 9, qui peut être convertie en peptides d’angiotensine vasodilatateurs plus petits (par exemple, angiotensine 1 à 7) par l’ECA dans les poumons. L’ACE-2 se lie également à l’angiotensine II, c’est-à-dire un octapeptide généré par le clivage de l’angiotensine I piloté par l’ACE, pour produire l’angiotensine vasodilatatrice 1-7. ACE-2 est également impliqué dans la production de bradykinines, c’est-à-dire un groupe de peptides ayant de puissants effets vasodilatateurs [ 8 ].
ACE-2 est exprimé par une grande variété de cellules, notamment les entérocytes, les cardiomyocytes, les tubules rénaux, le système vasculaire et les cellules canalaires. À l’inverse, l’expression de l’ACE-2 dans les tissus respiratoires est limitée à un petit nombre de types de cellules spécialisées, c’est-à-dire les cellules alvéolaires de type II et les macrophages alvéolaires [ 9 ].
L’interaction entre l’ACE-2 et l’angiotensine II induit diverses voies de signalisation conduisant finalement à la libération de plusieurs cytokines, dont l’IL-6, le TNF-α et le TGF-β [ 10 ]. Notamment, les effets de l’interaction de l’ACE-2 avec Spike récapitulent ceux décrits pour sa liaison avec ses ligands naturels [ 11 ]. En particulier, dans les cellules endothéliales vasculaires, Spike naturel génère un bloc des fonctions mitochondriales [ 12 ]; pendant ce temps, la commutation de la signalisation dépendante de l’intégrine ⍺5β1 conduit à la translocation nucléaire de NF-κB. Ces événements induisent finalement l’expression de VCAM-1, ICAM-1, de facteurs de coagulation et la libération de cytokines inflammatoires TNFα, IL-1β et IL-6 [ 13 ]. Des mécanismes d’activation similaires ont été rapportés pour les macrophages et les cellules dendritiques [ 14 , 15 ]. Il est important de noter que Spike naturel induit dans les cellules épithéliales et endothéliales la libération de cytokine pléiotrope TGF-β [ 16 ].
4. L’axe SARS-CoV-2 Spike/ACE-2/TGF-β dans la surveillance immunitaire antitumorale et la transition épithéliale à mésenchymateuse
La liaison de Spike avec ACE-2 produit de profondes altérations de la signalisation intracellulaire avec l’activation de facteurs de transcription et la libération de plusieurs facteurs solubles. En particulier, il a été constaté que les cellules endothéliales vasculaires humaines traitées avec Spike libèrent à la fois du TGF-β1 et du TGF-β2 [ 17 ], ce qui est cohérent avec les précédentes preuves « in vivo » suggérant un rôle clé du TGF-β dans la pathogenèse du COVID-19 [ 18 , 19 ].
Le TGF-β, avec ses trois isoformes, c’est-à-dire -β1 à -β3, est un régulateur clé de la réponse immunitaire adaptative [ 20 ], agissant, par exemple, comme un inhibiteur de l’activité de présentation d’antigène dans les cellules dendritiques (DC) grâce à la régulation négative des molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) [ 21 , 22 ] ( Figure 1 ). Il réduit également l’expression de l’IL-12 et des molécules co-stimulatrices telles que CD40 dans les macrophages et CD80, CD83 et CD86 dans les CD, dans le cadre des mécanismes de régulation de l’activation des cellules immunitaires médiées par APC [ 23 , 24 ].
Graphique 1. Effets spectateurs de la liaison Spike/ACE-2. La protéine libre SARS-CoV-2 Spike se lie aux cellules exprimant l’ACE-2, induisant ainsi une signalisation intracellulaire, conduisant à la libération de facteurs solubles. Parmi ceux-ci, le TGF-β est connu pour réguler négativement l’activité de présentation de l’antigène dans les APC via une régulation négative du CMH de classe I/II. Le TGF-β est également un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases.
Le TGF-β peut également interférer avec les mécanismes de surveillance immunitaire contrôlant la croissance des cellules tumorales. Par exemple, le TGF-β peut induire la polarisation des macrophages de M1 (marquée par la libération de cytokines inflammatoires telles que l’IL-1β, l’IFN-γ, le TNF-α, l’IL-12 et l’IL-18) vers les macrophages M2, sécrétant cytokines anti-inflammatoires comme l’IL-1ra et l’IL-10, et caractérisées par de multiples propriétés immunosuppressives du microenvironnement tumoral [ 25 ]. D’autre part, le TGF-β est un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse (EMT) [ 26 ], qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases. Dans ce scénario, les résultats cohérents des travaux expérimentaux de deux groupes de recherche ont soulevé l’hypothèse selon laquelle Spike naturel peut contribuer à l’EMT ( Figure 1 ). En détail, Lai et ses collègues ont fourni la preuve que la signalisation liée au TGF-β fait partie du mécanisme sous-jacent à l’acquisition d’un phénotype de type mésenchymateux de cellules cancéreuses du sein humaines exprimant Spike. Plus important encore, ils ont démontré que le nombre de métastases pulmonaires chez les souris inoculées avec des cellules cancéreuses du sein 4T1 exprimant Spike augmentait par rapport à celui induit par les cellules parentales. 27 , 28 ]. Ciszewski et ses collègues ont observé que le traitement avec Spike recombinant de type sauvage des cellules endothéliales humaines HUVEC et HMEC-1 induit la libération de TGF-β associée à la trans-différenciation cellulaire. En étudiant le mécanisme d’action sous-jacent, ils ont prouvé l’implication de l’axe ACE-2/TGF-β/MRTF (facteur de transcription lié à la myocarde)-β dans l’EMT observé. Enfin, la contribution du TGF-β dans l’EMT lié à Spike a été en outre corroborée par la démonstration que les cellules endothéliales humaines traitées par Spike n’ont pas réussi à se trans-différencier en présence d’anticorps anti-TGF-β [ 17 ].
Les résultats de ces études posent la question de savoir si Spike peut contribuer à l’EMT chez l’homme. Même si aucune donnée clinique décrivant les événements associés à ces réponses immunitaires pathologiques n’est disponible jusqu’à présent, les implications potentielles en termes de sécurité des vaccins contre la COVID-19 semblent également se manifester compte tenu des preuves selon lesquelles les ARNm/LNP peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. Par exemple, l’entrée malheureuse de complexes ARNm/LNP dans des cellules tumorales déjà émergées peut reproduire les conditions décrites par Lai et ses collègues, représentant ainsi un risque en termes de formation de métastases. D’un autre côté, des effets pathogénétiques de spectateur peuvent être induits par la production locale de fortes concentrations de Spike par des cellules normales ciblées par les ARNm/LNP et situées à proximité des cellules tumorales, comme décrit par Ciszewski et coll. Pour ces raisons, étendre les études à des systèmes cellulaires supplémentaires ainsi qu’à des modèles « in vivo » appropriés apparaît obligatoire compte tenu de la possibilité que des complexes ARNm/LNP circulent dans l’organisme après la vaccination.
5. Immunité non spécifique induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : liaison croisée d’anticorps, autoanticorps, anticorps anti-idiotypes et changement de cadre ribosomal
Les niveaux élevés de vaccin Spike produits après l’injection sont associés à une réponse immunitaire circulatoire extraordinairement puissante, avec la production de titres élevés d’anticorps anti-Spike. D’une part, ce résultat est considéré comme un avantage en termes de protection antivirale ; d’un autre côté, cependant, une immunogénicité aussi puissante peut être associée à des effets indésirables pertinents apparaissant généralement en présence de stimuli antigéniques à la fois élevés et persistants. Ceux-ci incluent la liaison substantielle des anticorps anti-Spike réagissant de manière croisée avec les antigènes du « soi » avec l’induction de processus non physiologiques/pathogénétiques, l’émergence d’auto-anticorps et la génération d’anticorps anti-idiotypes. Ces événements ont été corrélés à l’émergence chez les vaccinées de pathologies comme la thrombocytopénie, la myocardite, divers troubles du cycle menstruel, la réémergence d’infections latentes et le syndrome vaccinal post-COVID (PCVS).
Les anticorps à réaction croisée se lient à des cibles hétérologues via le mécanisme du mimétisme moléculaire. Très probablement, des effets pathogénétiques peuvent se produire lorsque des quantités suffisantes d’entre eux se lient à des cibles moléculaires non spécifiques agissant dans des processus biologiques pertinents. Grâce à une analyse informatique du mimétisme moléculaire entre Spike et des épitopes humains connus, il a été rapporté que Spike partage des motifs linéaires immunogènes avec, entre autres, la thrombopoïétine (TQPLL) et la tropomyosine alpha-3 (ELDKY) [ 29 ]. Ces résultats semblent pertinents puisque le premier est un facteur de croissance clé nécessaire à la différenciation mégacaryocytaire et à la production de plaquettes, et le second est un composant structurel des cardiomyocytes. Dans une autre étude, il a été rapporté que Spike partage 41 déterminants immunitaires minimaux avec 27 protéines humaines spécifiques au système reproducteur féminin liées à l’ovogenèse, à la réceptivité utérine, à la décidualisation et à la placentation [ 30 ].
Des études cliniques ont fourni la preuve que l’injection de vaccins à ARNm contre la COVID-19 peut être associée à la production d’auto-anticorps, c’est-à-dire d’anticorps non anti-Spike reconnaissant les auto-antigènes, comme conséquence possible d’une dérégulation immunitaire générale. Par exemple, Xu et ses collègues [ 31 ] ont trouvé des anticorps neutralisants anti-interféron de type I chez 10 % des individus vaccinés en bonne santé, bien qu’avec une taille d’échantillon limitée. Dans une autre étude, 18 % des patients développant un PCVS produisent des auto-anticorps contre les sous-unités des neurofilaments [ 32 ]. Même si, dans certains cas, les auto-anticorps peuvent représenter des spectateurs innocents, il est encore difficile de savoir si la vaccination réactive l’auto-immunité latente préexistante ou induit la génération « de novo » d’auto-anticorps.
Le mimétisme moléculaire est également à la base des effets des anticorps anti-idiotypes ( Figure 2 ).
Graphique 2. Génération d’anticorps anti-idiotypes après la vaccination contre le COVID-19. Le système immunitaire peut générer des anticorps contre les séquences d’anticorps anti-Spike reconnaissant le domaine Spike liant le récepteur ACE-2 (domaine de liaison au récepteur, RBD). Grâce à un mécanisme de mimétisme moléculaire, ces anticorps (anticorps anti-idiotypes) peuvent se lier à l’ACE-2 tout comme le Spike immunogène.
Dans le cas où l’immunogène est un antigène se liant à un partenaire moléculaire, le système immunitaire peut réagir contre les séquences au sein des anticorps anti-antigènes induits qui reconnaissent la région de l’antigène qui se lie à son partenaire, par exemple dans le cas de Spike, le domaine de liaison au récepteur (RBD). Dans des conditions physiologiques, ce mécanisme contribue au contrôle de la production d’anticorps spécifiques de l’antigène. Cependant, en présence de quantités excessives d’anticorps spécifiques de l’antigène, comme dans le cas de la vaccination anti-COVID-19 à base d’ARNm, l’hyperproduction d’anticorps anti-idiotype qui en résulte peut conduire à des effets imitant ceux induits par la liaison de Spike avec ACE-2 [ 33 ]. Bellucci et ses collègues ont récemment démontré les effets secondaires associés à la production d’anticorps anti-idiotype se liant à l’ACE-2. En particulier, ils ont signalé des complications cliniques neurologiques, notamment une radiculite, une myélite et un syndrome de Guillain-Barré, chez des sujets infectés et non infectés par le SRAS-CoV-2, ayant reçu une injection de vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm et développant des auto-anticorps anti-ACE-2. 34 ]. Malheureusement, les autoanticorps et les anticorps anti-idiotypes devraient persister au-delà de la durée de la réponse immunitaire anti-Spike.
La découverte récente selon laquelle l’incorporation de N1-méthyl-pseudouridine à la place du résidu naturel d’uridine dans le squelette de l’ARNm associé au vaccin peut induire un décalage de cadre ribosomal +1 a ajouté une autre couche de complexité en termes de réponse immunitaire induite par le vaccin. Il a été estimé qu’environ 8 % du total des produits traduits représentent des protéines inconnues immunogènes chez l’homme [ 35 ]. Le potentiel auto-immun des produits protéiques aberrants ainsi générés représente un point supplémentaire qui doit être étudié plus en profondeur.
6. Vaccins muqueux : une alternative potentiellement exempte d’effets secondaires systémiques
Le champ de bataille du COVID-19 est le système respiratoire, où le vaccin idéal contre le COVID-19 devrait développer sa force immunologique et antivirale la plus efficace. Les données cliniques rapportées concernant les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm soutiennent l’idée selon laquelle la forte réponse immunitaire circulatoire est associée à une immunité antivirale dans les zones respiratoires qui est trop limitée [ 36 ].
De la même manière que ce qui a été démontré avec les infections naturelles [ 37 ], les vaccins muqueux ont le potentiel de susciter des réponses immunitaires efficaces dans le compartiment respiratoire grâce à l’induction à la fois d’IgA dimères/sécrétoires neutralisantes dans le district oronasopharyngé [ 38 ] et de CD8 de mémoire résidente antivirale. + Lymphocytes T dans les voies respiratoires inférieures [ 39 ]. Ainsi, des vaccins muqueux efficaces ont l’avantage incomparable de bloquer la chaîne de transmission du SRAS-CoV-2 ainsi que d’autres virus aéroportés.
À l’heure actuelle, deux vaccins muqueux COVID-19 ont été approuvés et d’autres sont en expérimentation clinique [ 40 ]. Il convient de noter qu’en aucun cas ces vaccins ne devraient induire de réponses immunitaires systémiques robustes comme celles observées avec les vaccins actuels contre la COVID-19. Cependant, une immunisation systémique sous-optimale/faible ne doit pas être considérée comme un inconvénient fonctionnellement pertinent compte tenu du compartimentage du système immunitaire respiratoire [ 41 ], qui limite l’accès des IgG neutralisantes et des cellules immunitaires antivirales du district circulatoire. À l’inverse, cela représente un avantage en termes de forte réduction/absence d’effets systémiques immunologiques induits par les vaccins COVID-19 à base d’ARNm injectés par voie parentérale, y compris la production d’anticorps anti-idiotypiques circulatoires indésirables.
7. Conclusions
Plusieurs éléments de preuve expérimentaux soutiennent l’idée selon laquelle la protéine Spike est produite en abondance et persiste après la vaccination par ARNm COVID-19. Cependant, les vaccins actuels contre la COVID-19 à base d’ARNm reconnaissent une série de limitations pertinentes, notamment le déclin rapide de la réponse immunitaire, l’incapacité de développer une réponse immunitaire efficace au point d’entrée du virus et l’efficacité réduite des formulations mises à jour en raison de la phénomène de péché antigénique originel [ 42 , 43 ]. D’un autre côté, une traduction puissante de l’ARNm associée à une surproduction de Spike peut conduire à une dérégulation de la signalisation ACE-2 et de la production de cytokines, à une réaction croisée des anticorps contre des cibles moléculaires non spécifiques, à l’émersion d’anticorps auto- et anti-idiotypes et à des réponses immunitaires. d’importance incertaine contre des produits inconnus. De plus, les cytokines produites après la liaison Spike/ACE-2 peuvent influencer défavorablement le devenir des tumeurs encore « dormantes » et des pathologies auto-immunes préexistantes ainsi que des inflammations chroniques. Pour ces raisons, l’indication actuelle des vaccins à ARNm contre la COVID-19 pour la population « fragile » doit être soigneusement réévaluée à la lumière de la typologie de chaque fragilité spécifique.
Malgré l’efficacité remarquable de la production d’antigènes, des tentatives pour améliorer les performances de ces vaccins COVID-19 à base d’ARNm ont été faites dans le sens de renforcer la production de Spike grâce à l’injection parentérale de vecteurs à base d’ARNm auto-réplicatifs [ 44 ]. Notamment, le ministère japonais de la Santé a récemment approuvé un essai clinique pour tester la sécurité et l’efficacité d’un vaccin COVID-19 basé sur cette technologie [ 45 ]. Ce choix semble véritablement discutable étant donné les lacunes décrites ci-dessus induites par la production excessive et la persistance de Spike circulatoire dictées par les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm. Dans ce scénario, l’augmentation des quantités et de la persistance de Spike en circulation devrait exacerber les effets secondaires à la fois cellulaires et immunologiques, mais sans agir sur la limitation fonctionnelle la plus importante de ces vaccins, à savoir leur incapacité à susciter une immunité neutralisante dans les voies respiratoires. à la compartimentation immunitaire du système respiratoire. De plus, un stimulus immunogène trop puissant et persistant est connu pour induire une tolérance immunologique, comme cela a également été rapporté dans quelques articles sur les vaccins actuels contre le COVID-19. 46 , 47 ].
À l’inverse, une voie plus plausible à suivre est représentée par le développement de vaccins muqueux efficaces [ 48 ] compte tenu de leur capacité à agir au point d’entrée du virus et à éviter la plupart des effets secondaires systémiques observés dans les vaccins à ARNm COVID-19 injectés par voie intramusculaire. .
La technologie basée sur l’ARNm suscite actuellement l’intérêt de nombreux scientifiques du monde entier. Dans le cas des vaccins contre la COVID-19, il semble plus que raisonnable qu’une charge d’enquête adéquate soit concentrée sur l’identification et l’analyse d’événements inattendus, dans le but évident de rendre cette stratégie prophylactique plus sûre et adaptée à une utilisation dans un grand nombre de personnes. de personnes en bonne santé.
Financement
Ce travail a été soutenu par la subvention RiPrEI, no. Rip 001, du ministère de la Santé, Rome, Italie.
Déclaration du comité d’examen institutionnel
Sans objet.
Déclaration de consentement éclairé
Sans objet.
Déclaration de disponibilité des données
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Remerciements
Je remercie Rosangela Duranti et Federica Magnani pour leur assistance en matière de secrétariat.
Conflits d’intérêts
L’auteur ne déclare aucun conflit d’intérêts.
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« Avant 1914, déjà, Auguste Trillat étudiait comment diffuser au mieux une épidémie… Éminent chercheur, il mettra sa science et son ingéniosité au service de l’armée pendant la Grande Guerre. »Étienne Aucouturier1
« Une partie du monde a été vacciné par du vaccin tué, inactivé, et une autre partie a été vaccinée par du virus vivant, et ce virus, quand il s’est retrouvé dans l’intestin, s’est mis d’accord avec d’autres virus dans l’intestin qui étaient très proches et on l’a très bien vu avec le Covid, qui s’est recombiné avec d’autres virus qui étaient dangereux et qui f**t des polyomiélites. Celui qu’il vient d’y avoir à Gaza n’est pas un virus naturel. Le virus de la polyomielite de Gaza est un virus vaccinal. Il y a actuellement trente fois plus de polyomiélites qui sont dues à du virus vaccinal qu’à du virus naturel. » Pr. Didier Raoult, le 9 septembre 2024 sur Cnews.
«Je cherche d’abord à comprendre les questions.»
Accueilli par des membres et sympathisants et des collectifs locaux, le Dr Jean-Pierre Eudier, président d’honneur de la Ligue depuis que sa collègue Martine Gardenal lui a succédé au titre de présidente, a effectué un voyage apprécié en Dauphiné en cette fin septembre, donnant trois conférences à l’occasion de la sortie du livre collectif de la Ligue Liberté sous surveillance (éd. Marco Pietteur). A Grenoble, il a été accompagné du chercheur Dominique Labbé, co-auteur de l’ouvrage collectif de référénce Un nouveau regard sur le Covid 19 (Ed. Demi-Lune, 2024).
Gap, ville élue il y a quelques années numéro un pour la qualité de vie en France, Voiron aux portes de la Grande Chartreuse et son élixir des Pères chartreux, Grenoble, berceau de la Révolution française mais aussi laboratoire élu de nombreuses innovations technologiques et sociales aux effets parfois ambigus tels que houille blanche, syndicat d’initiative, planning familial, informatique, intelligence artificielle, énergie atomique, nanotechnologies et transhumanisme, et plus récemment l’écologie deux point-zéro, le clientélisme et les indulgences communautaristes de la mairie ELVV d’Eric Piolle. Le Dauphiné fut autrefois donné au futur roi de France, d’où l’expression Dauphin. Le lien avec le mammifère marin venant de l’expression qui vint spontanément au roi lorsqu’il vit son fils encore enfant venir vers lui. Aimant à affubler Jean-Pierre du qualificatif de roi de France, en raison de la légitimité historique de la Ligue, de la noblesse de son combat pour l’Humanité, et de l’aspect «sacré» pour les corps et les esprits que ce combat revêt, je ne pouvais m’empêcher de faire ce rappel qu’il me pardonnera certainement, comme les lecteurs…
Jean-Pierre Eudier aime à dire: «Je cherche à comprendre les questions.» C’est en effet par l’analyse de toutes les interrogations simultanées que pose un phénomène, une épidémie, que les réponses arrivent souvent. La pensée complexe d’Edgar Morin, c’est aussi cela.
Voyageur né ayant dès l’âge de 17 ans réalisé deux tours d’Europe en auto-stop, Jean-Pierre a toujours aimé rencontrer les hommes, ressentir les terres, comprendre l’histoire en train de se faire.
Un parcours au plus près de l’Histoire
C’est pourquoi, le connaissant depuis bientôt quatre ans et l’ayant interviewé plusieurs fois, j’ai voulu que son témoignage de vie, avec ses rencontres, ses voyages, ses prises de conscience et ses rendez-vous avec l’Histoire qui nous a menés jusqu’au point de bascule actuel, et dont les vaccins pointent la direction, soit le fil de ses interventions.
Selon Hegel, les grands hommes font l’Histoire, vecteurs de la Raison cherchant à se réaliser à travers l’Humanité, une raison confisquée et amputée de son âme aujourd’hui qui enfante des monstres. Pour Marx, ce sont les peuples, acceptant ou pas la domination de ceux qui possèdent l’argent, le capital. C’est dans la coopération des deux qu’est le salut.
De son côté, Jean-Pierre avait clairement décidé d’orienter sa prise de parole sur le rapport étroit entre vaccins et guerres bactériologiques. Or, ce qui pourrait apparaître comme le summum du complotisme, y compris pour des vaccino-sceptiques informés se révèle en réalité irréfutable, à la vue de la succession chronologique des faits, année après année, de leur convergence et de la direction claire qu’il s’en dégage.
A la manière dont on relie par des lignes les numéros d’un jeu pour enfant, un dessin et dessein d’ensemble apparaît clairement au fur et à mesure de l’exercice. Des décisions impliquant des populations entière ne peuvent être prises que par de gens extrêmement puissants, connus ou pas. Et encore une fois l’inentendable suit autant l’innommable que le silence des témoins. La Dr Simone Delarue, épouse de Fernand Delarue, ancien président de la Ligue et elle-même présidente jusqu’en 1992, avait publié en 1990: Vaccinations et guerre biologique. Un livre à lire absolument, qu’il serait bien trop long de résumer ici.
De l’empoisonnement des puits à la guerre bactériologique moderne
Le Dr Eudier a d’abord rappelé que l’empoisonnement des puits ou la projection de cadavres contaminés dans des villes assiégées faisaient partie des techniques de guerre dès l’Antiquité, poursuivies au Moyen-Âge par les Turcs à Caffa en Crimée, ou par les couvertures souillées de variole offertes aux Indiens d’Amérique du Nord par les colons anglais au XVIIIème siècle.
Puis, entrant dans la pépriode moderne et préventive, il a cité la vaccination des enfants de Louis XVI par l’inoculation de la vaccine, maladie bénigne commune aux vaches et aux humains, et Jenner, Anglais ayant travaillé sur le pis des vaches à l’extrême fin du XVIIIème siècle pour immuniser les population contre la variole. Enfin celle, peu convaincante, des armées de Napoléon par Parmentier.
En 1923, après la Grande Guerre, on interdit les armes bactériologiques et chimiques à des fins offensives, mais pas préventives ou défensives, et c’est le début de toute une recherche au sein de laboratoires comme Porten Down en Angleterre, et la guerre chimique menée par le Japon contre la Chine en Mandchourie dans les années 30. La fin de la première Guerre mondiale voit lui succéder la Grippe espagnole après une grande campagne de vaccinations et juste avant l’avènement du fascisme italien en 1922 avec la marche sur Rome. C’était il y a précisément un siècle. Guerres, épidémies, crises économiques: un excellent moyen pour le contrôle des nations à travers les stratégies du choc.
Après la deuxième Guerre mondiale, une date fondamentale est 1969 aux États-Unis où le ministère de la Défense demande aux scientifiques le temps et le prix nécessaires à l’élaboration d’un virus contre lequel il n’y aurait pas de parade. La réponse est « dix ans de recherche et millions de dollars.» Beaucoup de recherches dans ce sens furent dissimulées sous la recherche contre le cancer, voire celle d’un vaccin anticancéreux. En 1972, un nouvel accord sur les armes bactériologiques est négocié entre les États-Unis et l’Union soviétique. C’est à cette période-là, en 1976, qu’Ebola, issu des manipulations du laboratoire de Porten Down en Angleterre, fait sa première apparition à la frontière entre l’Angola et le Congo belge – Zaïre ou Congo-Kinchasa – sous le règne de Joseph-Désiré Mobutu, avec un demi-millier de morts.
Il faut noter que les apparitions et disparitions d’Ebola, comme d’autres virus, furent souvent liées aux orientations politiques désirées, et préparées en haut-lieu dans les pays qui en furent le théâtre, comme les réunion de l’Event 201 et le déclenchement de la crise Covid quelques mois plus tard l’ont démontré.
L’épidémie de SIDA des années 80 au Zaïre et la rencontre de Leonard Horowitz
Les années 1978-1987 sont décisives pour le Dr Eudier: peu après l’évacuation du Vietnam par les Occidentaux, obligé de quitter le pays en guerre, il ouvre un cabinet de dentiste à Kinchasa et assiste à l’explosion de l’épidémie de SIDA suite à la campagne de vaccination contre la variole et rencontre Jonathan Mann, fonctionnaire du center for Disease Control (CDC) et de l’OMS, «homme charmant au demeurant», comme le dit l’expression, qui déclarera plus tard nous dit Jean-Pierre «Le SIDA a été semé, nous allons voir ce que nous allons récolter.»2Jonathan Mann disparaîtra en mer au large de la Nouvelle Écosse dans le vol Swissair 111 New-York-Genève du 2 septembre 1998.3
En 1992, après une mission humanitaire avec Médecins du Monde en Albanie, où il prédit la guerre avec la Serbie et l’exode sept ans plus tard, le Dr Eudier effectue une visite de l’Irak après sa défaite au Koweit, qui lui met la puce à l’oreille sur l’usage d’armes bactériologiques, mais l’éveil n’a pas encore eu lieu, si bien qu’en 1994 il effectue une autre mission en Côte d’Ivoire en coopération avec l’Allemagne pour réhabiliter le système vaccinal.
L’éveil se produit en 1998 lors d’un congrès dentaire aux États-Unis avec la rencontre de Léonard Horowitz4 et la découverte de livres sur les origines du SIDA en lien à la vaccinologie entre USA et Afrique noire. L’histoire de la recherche sur les virus lui apparaît indissociablement liée à la recherche militaire. Aidé par le Pr Beljanski, chercheur révolutionnaire et médecin personnel de François Mitterrand pour lutter contre son cancer, Jean-Pierre invitera le Dr Horowitz en France et traduira Emerging Viruses, AIDS and Ebola sorti le 10 décembre 2000 sous le titre La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, accidentel ou intentionnel ?
Les plus de quarante pays où il travailla ou œuvra sur le continent africain lui révélèrent l’incurie et l’irresponsabilité effrayante des programmes vaccinaux réalisés principalement en zones rurales avec des populations isolées, invisibilisées, comme en témoigne le programme de GAVI et son président Bill Gates sur les adivasis, les populations aborigènes de l’Inde «contre la poliomyélite» entre 2000 et 2017, provoquant, selon des médecins indiens relayés par Robert Kennedy Jr, d’innombrables cas de paralysies d’enfants. Il y eut également, révélés par la Pr Vandana Shiva, figure de proue de la lutte anti-OGM, des implants sous-cutanées primus par la Bill & Melinda Gates Fooudation permettant de réguler la fertilité féminine. Ce programme amena l’expulsion de GAVI du sous-continent.
Le détournement de l’action humanitaire, si bien qu’il décida en 1996 de se concentrer sur la vente de matériel dentaire dans le « Tiers-Monde » et l’Afrique, la santé passant en grande partie par les dents, avant de fonder Mecolux en 2004 à cet effet. Mais ces incessantes pérégrinations lui permirent aussi des rencontres décisives dans la compréhension des ressorts profonds de la marche du monde. Le climat, ignoré sciemment par l’industrie pharmaceutique, peut être aussi être systématiquement en cause dans la santé des peuples: en 2003, au cours d’un voyage au Burkina Faso où est en cours une campagne de vaccination imposée contre la méningite qui sévit au Sahel, il constate que c’est l’Harmattan, le vent qui dessèche la végétation comme les poumons – ayant conformément à la théorie des signatures de Paracelse, la forme d’arbres, nos bronches qui nous oxygènent étant nos branches – jusqu’à la maladie, qui en est à l’origine et qu’il s’agit avant tout de réhydrater les populations à commencer par les enfants.
Michel Georget et la présidence de la Ligue
En 2009, il est témoin au Tchad d’une série d’accidents vaccinaux et en 2014, c’est la seconde épidémie d’Ebola. L’Université Lafayette de Louisiane annonce un vaccin en mars 2017.
C’est la même année que le Dr Eudier rencontre son collègue le Pr. Michel Georget de l’Université de Tours, auteur de plusieurs livres sur les vérités indésirables des vaccinations. Celui-ci le pousse à accepter la présidence de la Ligue et en 2017, et Florence Wurtz entame une fidèle collaboration par des bulletins d’information réguliers.
Trois rencontres avec le Pr Montagné: en 1998 à l’Institut Pasteur à Paris, puis en 2019 avec le Dr Andrew Wakefield qui révéla le lien entre le vaccin ROR rougeole oreillons, rubéole et l’autisme infantile (documentaire Vaxxed, 2016), enfin en 2021 au Luxembourg où le professeur fut invité à prendre la parole. Le Dr Eudier salue le combat du Pr Perronne qui, après leur différend passé au sujet de la variole, et ce malgré ses études relativement anciennes et iconoclastes sur la maladie de Lyme, a récemment déclaré avoir été abusé des années durant par tout un système mêlant laboratoires, universités, journaux médicaux et pharmacovigilance.
Une actualité immédiate qui confirme partout l’Histoire et notre devoir de parole
Parmi les buts déclarés de l’intervention russe en Ukraine, outre la protection des populations russophones et russophiles du Donbass en raison du non-respect des accords de Minsk, il y a sa « dénazification » 80 ans après la « Shoah par balle » perpétrée par une armée ukrainienne en partie acquise aux Nazis en raison de la terrible répression et extermination par la faim exercée par les Soviétiques dans les années 20 et 30. Mais il y a aussi la mise hors d’état de nuire – nous l’espérons du moins – de plusieurs laboratoires d’armes biologiques, que les Américain et Anthony Fauci, fait docteur Honoris Causa de l’Université de Sienne en juin 2023, voudraient massivement rapatrier en Italie, terre inféodée à l’OTAN, aux multiples expérimentations sociales depuis sa défaite en 1945. La grande manifestation de Pesaro, le 1er mai 2023 et d’autres, à Trieste et ailleurs, ont fait connaître ce nouveau combat.
Les déclarations du Pr Raoult citées en début d’article ont-elles joué dans le verdict en appel du 2 octobre 2024 lui interdisant d’exercer la médecine pour deux ans – décision « de communication » selon lui-même étant donné qu’il ne consultait plus depuis des années ?
Aujourd’hui, informe le Dr Eudier, de nombreux états possèdent des armes bactériologiques. Il est de leur devoir de défendre les citoyens, et un sigle, NRBC, résume l’arsenal des défenses nationales : nucléaire, Rayonnement, bactériologique, chimique. Et il serait bien étonnant qu’elles n’aient jamais toutes été testées. Le problème, si tant est que les pouvoirs publics aient été par le passé plus vertueux dans leur tâche, est que tout ou presque est privatisé ou aux mains d’intérêts privés.
Nous l’évoquions en introduction, le décompte des faits et des dates trace, à l’instar des dessins enfantins constitués de numéros apparemment épars et incohérents, une silhouette toujours plus claire qui n’est pas du domaine des contes de fées. Plutôt du récit d’une Histoire qui se répète, donc entre mythe, actualité et science-fiction, l’âpre réalité humaine, tout simplement, où ni une bonne, ni une mauvaise action ou information ne furent jamais perdues pour certains. C’est dans l’ombre, et le petit nombre, des laboratoires, cabinets politiques, rédactions des journaux ou tables d’écrivains que l’histoire s’écrit, jouée ou révélée ensuite au grand nombre sur les murs de la caverne de Platon ou dans la pleine lumière. Virus et Vishnou ont la même étymologie : vis, la force, ce qui pénètre à l’intérieur des choses. Le dieu indien qui protège l’Univers s’incarne régulièrement sous formes d’avatars – descentes – pour la perte des méchants, le salut de la Terre, un nouveau tour de roue de l’Humanité, nous disent les écritures indiennes.
Il ne fait plus aucun doute, la chute de la natalité et de l’espérance de vie en Occident depuis 2021 le signalent officiellement, que les virus sont des armes de masse, tout comme les vaccins, dans la guerre qui nous fut déclarée le 16 mars 2020. Les mots des résistants en sont aussi. L’appel du 18 juin 1940 l’a démontré, tout comme le discours légendaire de Churchill, refusant la paix d’Hitler la même année, «mobilisa la langue anglaise et l’envoya au combat.» en même temps que son peuple. C’est la force du Logos qui ramène le Cosmos contre le Chaos. Il nous appartient, à la Ligue comme ailleurs, de continuer à redonner la mémoire et de rouvrir l’horizon, en continuant à témoigner de la réalité des faits, qu’ils soient historiques ou personnels, chacun à notre échelle.
C’est en visitant l’immense Inde en train, pendant plusieurs années, au contact des populations que le Mahatma Gandhi réveilla sa force tout aussi immense et libéra par «la force de la Vérité» le Sous-continent avec son compagnon Nehru et tous les anonymes. A la suite de la conférence de Voiron, une action commune avec tous les collectifs de la région a été décidée pour reprendre le dialogue public. Souhaitons que les voyages du Dr Eudier se multiplient partout.
François-Marie Périer
Signalons également touchant à notre sujet le remarquable travail de cet été 2024, sur les chemtrails, de Jean-Dominique Michel, Chemtrails : Crimes contre l’Humanité ou attrape-nigauds? à partir de sources scientifiques et de médias mainstream francophones et internationaux et du documentaire Vers un climat artificiel, de Jacqueline Roche.
Charles de Gaulle disait : « des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais que des chercheurs qui trouvent, on en cherche ». Des chercheurs qui trouvent, il en est un au Japon, peu connu chez nous. Pourtant son travail a déjà sauvé des centaines de millions de personnes dans le monde, sans doute des milliards d’animaux domestiques et d’élevage. Et je pense que ce n’est pas fini si les politiques, l’OMS de Bill Gates, l’industrie pharmaceutique et les Ordres médicaux retournent à la vraie médecine.
Cet homme, c’est Satoshi Omura, le découvreur de l’avermectine et l’inventeur de l’ivermectine, produit également peu connu, et pourtant inégalé. Aucun médicament n’a un tel panel d’actions, aucun médicament n’est aussi peu toxique. J’avais l’habitude de dire que plus un produit est efficace, plus il peut avoir d’effets secondaires, jusqu’à ce que l’ivermectine me contredise. De nombreuses pistes prometteuses sont encore inexplorées, comme les bactéries multirésistantes, les cancers, voire certaines maladies neurologiques. Satoshi Omura n’est ni connu ni reconnu chez nous, mais quand même reconnu ailleurs, avec notamment un prix Nobel en 2015 pour saluer son travail et le service rendu à l’humanité.
Pharmacologue spécialisé dans la recherche sur les antibiotiques, alors devenu chercheur aux USA, il est rappelé par l’Université de Kitasato à Tokyo pour un poste de professeur. Pour se donner les moyens de ses recherches, il crée la première collaboration industrie-université : l’industriel finance la recherche et récupère en retour la propriété des brevets. Ce qui intéressait Omura n’était pas l’argent pouvant être récolté par un brevet, mais d’avoir les moyens d’une recherche efficace. Il signera avec le laboratoire Merck, dirigera le laboratoire de pharmacologie de l’université en plus de sa chaire de professeur, trouvant nombre de composés utilisables. La plus grosse prise sera l’avermectine. Professeur, il formera également dans sa carrière 120 médecins spécialistes et 32 professeurs d’université.
Chercheur et homme de terrain, il découvre un nouvel actinomyces (variété de bactérie) dans de la terre en bordure du terrain de golf de Kawana dans la préfecture de Shizuoka. Après avoir donné une solution de culture de cette bactérie mélangée à de la nourriture à des souris infectées par des nématodes (ce sont des vers), il constate un effet vermifuge. Il développera avec Merck 522 composés dont 26 seront commercialisés comme produits pharmaceutiques, médicaments vétérinaires, pesticides et réactifs de recherche en biologie. De son côté, son collaborateur chez Merck, le Dr William Campbell étudiera les milliers de microbes de la banque de Merck, sans en trouver un seul capable de produire de tels composants. L’actinomyces découvert sera appelé Streptomyces avermectinius.
Streptomyces avermectinius produit de l’avermectine, composé organique comportant 8 composants aux propriétés assez proches, qu’il était difficile de séparer industriellement, ce qui pourra être fait grâce au catalyseur de Geoffrey Wilkinson, qui recevra en 1973 un prix Nobel pour cette découverte. Ce n’est qu’avec ce catalyseur que la double liaison peut être sélectivement réduite pour produire de l’ivermectine. Pour cette découverte, avec les immenses bénéfices qu’elle engendrera, l’OMS déclarera l’ivermectine « produit essentiel ». Satoshi Omura et William Campbell recevront le Prix Nobel de médecine en 2015.
L’IVERMECTINE, PRODUIT VETERINAIRE
Omura fera ensuite plusieurs expériences, pour constater que l’ivermectine était active non seulement sur les nématodes, mais également sur les arthropodes (invertébrés, présentant le plus grand nombre d’espèces et d’individus dans le monde animal), efficace tant en ingestion qu’en injection, et sur les parasites internes et externes. Après une expérience (sur 24 vaches de pâturages dont 12 injectées en sous-cutané) présentée à un congrès à Philadelphie en 1979 et ayant enthousiasmé la salle (pratiquement 100 % des parasites ayant disparu après une seule injection à 0,2 mg/kg), l’ivermectine sera commercialisée comme produit vétérinaire en 1981 et après 3 ans il deviendra le médicament vétérinaire le plus vendu dans le monde pendant 20 ans.
Grâce à cela, Merck ayant accepté de reverser une partie des bénéfices, l’Institut Kitasato aux finances difficiles sera sauvé. Mieux, les préfectures de Saitama ou de Chiba ayant le plus petit nombre de lits par habitant, un grand terrain a été acheté dans la ville de Kitamoto et un hôpital de plus de 400 lits a été construit. Omura et son institut ont également pu ouvrir le Kitasato Medical Center, ainsi qu’une école d’infirmières avec internat. Autres temps, autres mœurs de l’industrie pharmaceutique et de chercheurs efficaces, travaillant pour la population.
IVERMECTINE ET ONCHOCERCHOSE
En 1973, Robert McNamara, alors président de la Banque Mondiale (institution financière internationale finançant des opérations dans les pays en voie de développement), déclarait : « L’onchocercose est la maladie la plus grave du point de vue sanitaire et économique pour les populations des pays d’Afrique de l’Ouest ». Il dirigera l’éradication de cette onchocercose, qui se passera mal, avec plusieurs morts.
L’onchocercose, également connue sous le nom de « cécité des rivières », est transmise à l’homme par des moucherons, l’agent causal est un nématode appelé onchocerca volvulus. Ce ver quasiment invisible à l’œil nu (microfilaire) vit dans l’organisme pendant 14 à 15 ans, au cours desquels il donne naissance à des millions de larves, jusqu’à 1 000 par jour, se déplaçant dans tout le corps, et devenant adultes après 6-12 mois. Ils peuvent se propager à la peau et aux yeux, provoquant de fortes démangeaisons et des lésions cutanées, le plus grave étant la cécité.
Omura a testé l’ivermectine sur l’onchocercose, et a découvert que cela ne tuait pas les vers adultes mais seulement les larves, ce qui n’est pas un inconvénient, car les vers adultes ne vivant que quelques jours, c’est l’éradication des larves qui traite rapidement la maladie. Ce point est bénéfique car la campagne mise en place en 1973 par McNamara avec d’autres traitements, entraînait des décès par choc dû à une réaction dite de Mazotti : lorsqu’un onchocerca adulte meurt, il éclate provoquant l’intervention d’une bactérie avec laquelle il vit en symbiose, Wolbachia, provoquant une inflammation rapide pouvant être mortelle, comme peut l’être le choc cytokinique avec le Sars-Cov-2. L’ivermectine, qui ne tue que les larves, supprime ce risque d’effet indésirable pouvant être mortel, avec tout autant d’efficacité, tuant toutes les larves et laissant les adultes vivre leur vie et mourir de mort naturelle après quelques jours.
À l’origine africaine, l’onchocercose est passée en Amérique au XVIIIe siècle, accompagnant les esclaves. En 1987, près de 40 pays d’Afrique et d’Amérique du Sud et plus de 21 millions d’individus étaient atteints. La France sera le premier pays à autoriser l’ivermectine dans l’onchocercose, grâce à une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) de l’ancêtre de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). L’Agence du médicament de 1987 l’autorisait dans l’indication onchocercose au vu d’une seule publication portant sur 1 206 patients, l’ANSM de 2021 refuse l’AMM de l’ivermectine dans l’indication covid pouvant sauver des dizaines de millions de vies dans le monde malgré, à l’époque de notre demande, 50 publications portant sur 40 000 patients (dont 2 expériences françaises montrant 100 % de réussite en prophylaxie et en curatif). Autres temps, autres mœurs : les autorités sanitaires de l’époque visant l’intérêt des populations avant celui de l’industrie, les autorités actuelles visant l’intérêt de l’industrie avant celui des populations.
L’ivermectine sera alors utilisée avec succès pour éradiquer l’onchocercose, une prise par an étant en général suffisante pour éviter la maladie sans la transférer. Omura s’intéressera ensuite aux autres maladies parasitaires, comme la filariose lymphatique, autre maladie due à un nématode transmis par des moustiques, provoquant des œdèmes considérables par destruction du tissu lymphatique (éléphantiasis). La zone endémique concernait 1,3 milliards de personnes en 2000, avec environ 120 millions de contaminés. Les zones où la filariose lymphatique est endémique chevauchent souvent des zones où l’onchocercose est endémique, de sorte que l’ivermectine est utilisée dans les deux zones où les deux sont endémiques. Plus de 300 millions de personnes sont actuellement traitées à l’ivermectinedans les deux zones.
En fait l’ivermectine est efficace chez l’homme dans tous les vers intestinaux et d’autres parasites comme la gale en 2006, remplaçant avec 2 doses seulement des traitements autrefois difficiles et longs. D’autres recherches sont encore en cours contre toutes les maladies tropicales, mais également contre plusieurs maladies virales. En 2020, 4,5 milliards de doses avaient été produites et distribuées chez l’homme depuis l’origine.
IVERMECTINE ET CORONAVIRUS
Les études de l’activité de l’ivermectine sur les virus, et sur les effets délétères du Sars-Cov-2 comme le choc cytokinique mortel, ne datent pas du covid mais du début du siècle, n’en déplaise à Mme Costagliola de l’Inserm qui a pesé de tout son poids pour faire en sorte que l’ivermectine ne soit pas utilisée, tant en France qu’auprès du Dr Andrew Hill chargé de rédiger un rapport utilisé par l’Agence Européenne et l’OMS. Elle a créé une polémique en ne se basant que sur une étude, celle des docteurs Kylie et Wagstaff de l’Université Monash en Australie. Elle a tout simplement ignoré la totalité des autres travaux sur l’ivermectine par ignorance et incompétence sur le sujet.
En effet Satoshi Omura m’a rappelé, en m’envoyant son livre que je souhaitais traduire (son éditeur n’était pas intéressé), que dans sa conférence lors de la remise de son prix Nobel, il signalait qu’«il a été constaté que l’ivermectine avait des effets anticancéreux, mais également antiviraux, inhibant en particulier la croissance des flavirus». Les flavivirus sont des virus à ARN (comme le corona) transmis par les moustiques et les acariens et comportant environ 70 espèces, comme le virus de l’encéphalite japonaise, le virus de la dengue, ou le virus du Nil occidental. C’est ce que madame Costagliola aurait dû savoir avant de dénigrer l’ivermectine auprès des autorités, ce que Mme Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice de l’ANSM (directrice de l’ARS Grand Est depuis le 15 juin 2024) aurait dû savoir en se renseignant à la source quand on lui a demandé une autorisation de mise sur le marché pourl’ivermectine. Quand des millions de vie sont en jeu, on ne laisse rien au hasard, on ne bâcle pas.
L’Université de Kitasato, où est née l’ivermectine, a fait des recherches dès février 2020 pour savoir si l’ivermectine pouvait être efficace, et des chercheurs qui cherchent et qui trouvent, ils en ont, alors que chez nous personne n’a rien trouvé car on n’a rien cherché, sinon à cacher ses actions.
Dans une expérience du professeur Kazuhiko Katayama, des cellules Vero ont été infectées par le nouveau coronavirus, et de l’ivermectine a été administrée pour étudier l’évolution de ce virus. Les cellules Vero sont des lignées cellulaires cultivées à partir de cellules épithéliales rénales de singes verts africains, et sont largement utilisées dans la recherche et la production de vaccins en raison de leur bonne prolifération de divers virus et de leur grande sensibilité aux toxines bactériennes. Cette expérience a montré qu’il était clair que l’ivermectine inhibait la croissance du virus d’une manière dépendante de la concentration, sans atteindre une concentration cytotoxique contrairement à ce qu’affirmait Mme Costagliola sans s’appuyer sur aucune étude de son organisme, l’Inserm, pourtant Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale.
Des expériences utilisant des hamsters ont également été menées par les professeurs Hideaki Hanaki et Takayuki Uematsu, les infectant avec le nouveau coronavirus, constatant que la charge virale dans les poumons du groupe hamster traité à l’ivermectine le troisième jour était réduite à environ 90 % par rapport au groupe non traité à l’ivermectine. L’institut Pasteur confirmera en 2022 un effet bénéfique de l’ivermectine dans une étude semblable.
Les chercheurs de l’université ont également constaté dans les expérimentations animales un puissant effet anti-inflammatoire. Omura a alors essayé d’induire une pneumonie artificielle chez des souris pour voir ce que pouvait donner l’ivermectine, constatant qu’elle était 10 fois plus active que la clarithromycine (antibiotique de la famille des macrolides), connue pour ses propriétés antiinflammatoires, avec réduction des cytokines inflammatoires. Sans aller jusque-là et interroger le Japon sur ce point, l’ANSM et Costagliola, auraient pu ouvrir le Vidal ou le dossier du Soolantra, qui est de l’ivermectine en pommade. Dans le Vidal on peut lire : « L’ivermectine appartient à la classe des avermectines qui ont des effets anti-inflammatoires par inhibition de la production de cytokines inflammatoires induites par le lipopolysaccharide ». Rappelons qu’à l’époque les patients mouraient du covid en raison d’un choc cytokinique.
Par ailleurs, depuis les études sur les flavirus, on sait que l’ivermectine bloque le transport du virus dans la cellule en agissant sur les importines α et β. Le Pr Hideaki Hanaki de l’Université de Kitasato a montré aussi que l’ivermectine se lie à la spike protéine, bloquant sa liaison au récepteur ACE2, porte d’entrée du virus dans la cellule, et le Dr Hiroshi Maruta, en Australie, que l’ivermectine inhibe une substance appelée PAK1 kinase. Cette kinase augmente lorsqu’elle est infectée par des bactéries et inhibe la fonction immunitaire, empêchant la production d’anticorps, fonction restaurée par l’ivermectine, d’où son action connue, immunomodulatrice. Tout ceci a été développé lors du 96e congrès de la Société japonaise des maladies infectieuses et du 69e congrès annuel de la Société japonaise de chimiothérapie le 8 mai 2021. Seuls les « complotistes » suivent ces informations et les rendent publiques, les autres les cachent.
Toutes ces actions sont confirmées par nombre de publications, régulièrement évoquées ici. Pour faire court, je rappellerai les deux premières expériences françaises de Pierre Loué et de Charlotte Bernigaud montrant une efficacité dépassant les 90 % en ehpad, là où on avait le plus de morts, ce tant en prophylaxie qu’en curatif. Ces expériences étaient connues de l’ANSM, de Costagliola et de l’Inserm, comme actuellement les 7 publications françaises, toutes favorables, les 18 études mondiales en prophylaxie, toutes dépassant 80 % d’efficacité et les 105 études mondiales dans plus de 30 pays, portant sur plus de 220 000 patients, signées de 1206 médecins différents.
N’oublions pas non plus le rapport du Dr Andrew Hill demandé par Unitaid (qui avait comme présidente notre ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), et la publication de l’OMS (page 17) sur les traitements possibles du covid. Les deux montrent une baisse de 75 % de la mortalité des patients sous ivermectine versus patients sans traitement, dans des études randomisées sélectionnées pour leur qualité. Pour en refuser la prescription, les deux préconisent qu’il faudrait encore plus d’études pour confirmer, études que tous les pays ont refusé de faire, comme le refus de l’Inserm de Mme Costagliola et du Dr Yazdan Yazdanpanah au Dr Loué qui proposait de reproduire ses résultats dans 5 ehpads, lors de sa réunion du 4 mai 2020.
Ce refus d’autorisation devant tant d’études comparé aux conditions de validation dans l’onchocercose ou la filariose montre bien que les décisions actuelles sont politiques et non médicales, l’intérêt de l’industrie pharmaceutique passant avant celui des patients. Autres temps, autres mœurs.
Les études faites sur l’ivermectine depuis sa création permettaient indiscutablement, dès les premiers jours de l’épidémie, d’avancer une possible efficacité contre le Sars-Cov-2, et orienter vers un essai de traitement rapide étant donné que l’ivermectine était également connue comme un des médicaments les plus sûrs au monde.
Ceux qui l’ont fait, ont constaté une efficacité remarquable, inespérée dans le contexte, reléguant la maladie au niveau de la grippe saisonnière en matière de dangerosité. Les autorités, les professionnels qui ont empêché de traiter, qui ont empêché que ces informations soient divulguées, ne pouvaient pas ne pas savoir, ou alors ils étaient totalement incompétents et auraient dû se taire s’ils ne savaient pas. Une fois qu’on leur a mis les faits sous le nez, ils ont continué à cacher et empêcher toute prescription, en toute connaissance de cause, mettant en danger la vie d’autrui.
IVERMECTINE ET CANCERS
En février 2023, j’évoquais l’action de l’ivermectine sur plusieurs cancers, à la suite d’un témoignage spectaculaire que je rapportais. En fait ces propriétés sont connues et en cours d’évaluation par quelques chercheurs trop peu nombreux depuis des années. Dans le manuscrit de son livre qu’il m’avait envoyé, je constate que Satoshi Omura l’évoquait déjà lors de sa remise de prix Nobel.
Un livre pourrait être écrit sur toutes les études faites sur le sujet par des chercheurs isolés du monde entier. Pour faire court, l’action de l’ivermectine a été constatée et étudiée dans tous les cancers. La plus spectaculaire est dans les cancers gynécologiques, sein et ovaires, et dans bien d’autres indications (colon, rectum, reins, poumons, mélanome, leucémie…), actions que l’on peut retrouver dans plusieurs centaines d’études et publications. Je vous invite à relire mon billet de février 2023, qui cite notamment entre autres un article de 2020 de Pharmacologic Research. Cet article étudie à partir de 114 études les différents mécanismes d’action de l’ivermectine dans différents cancers. On peut y lire que « l’ivermectine a de puissants effets anti-tumoraux, y compris sur les métastases, dans une variété de cellules cancéreuses,… L’ivermectine favorise la mort programmée des cellules cancéreuses ou apoptose (processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal), l’autophagie et la pyroptose,…l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la multi-résistance aux médicaments et exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres agents chimiothérapeutiques. »
En marge de ces potentiels effets sur les cancers, n’oublions pas cette autre découverte (qui a 5 ans quand même !) : la remyélinisation, ouvrant des voies dans le traitement de la sclérose en plaques (ici et là). On a également trouvé une action contre les bactéries multi-résistantes, comme la tuberculose, maladie infectieuse qui reprend de la vigueur dans le monde, après avoir épuisé les drogues classiques. En effet l’ivermectine détruit le biofilm, membrane protectrice élaborée par les bactéries pour se protéger d’un environnement hostile, rendant alors la bactérie résistante, à nouveau sensible aux antibiotiques.
CONCLUSION
L’ivermectine n’a pas fini de nous étonner, tant sa molécule est complexe et son panel d’indications large, inégalé, et de loin, dans la pharmacopée. Une vraie molécule miracle. Ses possibles nouvelles indications ne sont pas des découvertes récentes suite à sa mise en avant dans le covid, mais j’ai bien peur que l’attitude des autorités et des médecins de plateaux et de salon n’ait mis un frein à une recherche pourtant prometteuse dans ce domaine. En effet, aujourd’hui on ne peut pas prononcer le mot ivermectine devant 90 % des médecins, sans passer pour un médecin incompétent, malfaisant et complotiste à fuir et ne surtout pas écouter. Même chose pour tout médecin qui aurait l’idée de parler de sa découverte dans une nouvelle maladie, chez un patient qui était par hasard sous ivermectine pour une autre indication. C’est pourtant comme cela que la médecine a progressé depuis des siècles : par l’expérience, l’observation, la diffusion, et non par l’argent et la statistique.
L’autre problème de l’ivermectine est que sa production ne coûte rien (quelques euros le kilo alors que cela se prescrit en milligrammes), et qu’elle est tombée dans le domaine public. Aucun laboratoire ne financera une quelconque recherche sans aucun retour sur investissement, le médicament pouvant être alors produit et commercialisé par n’importe quel autre laboratoire, qui profiterait alors des résultats de la recherche et de la découverte. Ainsi, Merck qui a financé la recherche sur l’ivermectine il y a 40 ans a pu en toucher les bénéfices pendant une trentaine d’années, mais a dénigré son bébé en 2020, dans l’espoir de sortir le Molnupiravir dont on savait qu’il était mauvais, mais pouvant être commercialisé à 1 500 euros la dose. L’ivermectine commercialisée dans le covid, ce sont des dizaines de milliards de pertes pour l’industrie du médicament (et de l’OMS, de l’EMA, de certains politiques, de financiers, de fonds,..), tels Pfizer, Moderna, AstraZeneca, pour les principaux.
Steve Kirsch, un entrepreneur américain très suivi durant la pandémie, et fondateur de l’organisation Vacsafety.org, lance un appel aux médias mainstream pour publier le dossier explosifde 300 pages accablantes qu’on lui a confié.
Cette boîte de Pandore est une collation de documents prouvant que le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis) a volontairement trompé le public depuis 30 ans sur le lien entre l’autisme et la vaccination. Le dossier rend justice au Dr Andrew Wakefield, à Brian Hooker (voir le documentaire Vaxxed I), au scientifique repenti William Thompson et à tant d’autres, dont les carrières ont été détruites pour avoir tenté de mettre fin à cette catastrophe planétaire (1 enfant sur 33 aux USA).
L’on ne doute pas que Robert Kennedy Jr. sera amené à se pencher sur ces informations, puisque l’équipe de sa fondation Children’s Health Defense est essentiellement composée de familles touchées par ce type de dommages vaccinaux. Selon les rumeurs, de nombreux employés du CDC seraient en train de préparer leur lettre de démission depuis l’annonce de la nomination de Kennedy à la santé.
Reste à savoir si un média grand public aura le courage de s’en emparer. C’est certainement “le moment où jamais”. Le barrage est sur le point de céder.
“J’ai récemment reçu un trésor de documents électroniques provenant du CDC. Ces documents n’ont jamais été mis à la disposition du public.
Les documents comprennent des enregistrements vocaux, des courriels, des notes manuscrites, des diagrammes et des données.
L’affirmation souvent répétée selon laquelle « les vaccins ne causent pas l’autisme » est tout simplement incompatible avec cette preuve qui peut être authentifiée.
Je travaille avec Trevor Fitzgibbon pour présenter cela à tous aux médias grand public, afin d’atteindre une population différente. Ils sont les mieux placés pour le faire, il y a peu de chances que les médias alternatifs puissent y parvenir.
C’est un énorme scandale et nos enfants en ont payé le prix depuis des décennies parce que le CDC ne veut pas admettre publiquement qu’ils avaient tort
J’ai parlé avec un journaliste de haut niveau chez Inside Edition qui pensait que c’était l’une des plus grandes histoires de la décennie. Il a dit qu’il essaierait d’inviter ses amis de 60 Minutes et d’autres formats de ce type à se pencher sur l’affaire (l’histoire est trop énorme pour Inside Edition).
Je vous tiendrai au courant.
Les documents peuvent être authentifiés par des personnes à l’intérieur et à l’extérieur du CDC.
J’ai envoyé les documents à d’autres de notre côté (juste au cas où quelque chose m’arriverait).
Brian Hooker a analysé les données de l’étude sur l’autisme du CDC à partir de l’article de DeStefano ; les preuves que j’ai reçues confirment ce qu’il a trouvé.
Regardez la dernière rangée. La valeur OR (Odds Ratio, rapport de cotes) et la valeur p. C’est sans appel! Personne n’a insinué qu’il y avait des erreurs de calcul. Et l’article a passé deux cycles de relecture par des pairs dans DEUX revues médicales différentes !
Vous voyez le ratio de cotes de 3,86 dans la dernière rangée ? Et la valeur p de 0.005 ? Ces chiffres sont accablants. Il n’y a aucun moyen d’expliquer des effets aussi importants.
C’est pourquoi Coleen Boyle (ndlr: la supérieure du Dr Thompson au CDC) a ordonné à Thompson de détruire les données du sous-groupe montrant la valeur élevée de ce rapport de cotes : puisqu’ils ne pouvaient pas faire disparaître le signal, ils ont fait disparaître les données.
De plus, les preuves que j’ai obtenues montrent que Coleen Boyle aurait carrément refusé de témoigner devant le Congrès sur cette question si le membre du Congrès américain Bill Posey avait été autorisé à la convoquer. Pourquoi aurait-elle dit ça, s’il n’y avait rien à cacher? Malheureusement, Posey a été contraint par ses pairs au Congrès d’abandonner l’enquête pour protéger les sociétés pharmaceutiques. C’est pourquoi cela ne s’est jamais produit.
OR= 3,86 avec une valeur p de 0.005 indique une catastrophe absolue.
Cela signifie que la plupart des cas d’autisme de ce sous-groupe sont causés par des vaccins.
Il n’y a pas d’autre explication possible de ces données.
Si les vaccins ROR ne sont pas liés à l’autisme, toutes les valeurs de RO dans le tableau ci-dessus doivent être très proches de 1 (et les valeurs p doivent être >0,10) parce qu’il s’agit de mesures du moment de l’injection ROR (et non du moment du diagnostic d’autisme) qui doit être NON PERTINENTE si les injections sont sûres.
Comment le CDC a-t-il réagi aux allégations de Thompson selon lesquelles son patron Coleen Boyle lui aurait illégalement ordonné de détruire les documents d’analyse de sous-groupe liant le vaccin ROR à l’autisme ?
Le CDC a fait une enquête interne et a parlé aux personnes qui étaient dans la pièce où l’incident s’est produit. Quatre d’entre elles ont nié les faits et ont accusé Thompson d’avoir fabriqué toute l’histoire. L’enquête interne des CDC a donc conclu qu’ils avaient raison parce qu’ils étaient 4 contre 1. C’est tout.
Mais ma boîte de Pandore montre que toutes les preuves sont cohérentes avec ce que dit Thompson à propos de l’ordre de détruire les données qu’ils n’aimaient pas.
Et le papier de DeStefano en est déjà la preuve puisque le ratio de cotes de 3,86 dans les données aurait dû être signalé dans l’article.
En sciences, vous n’êtes pas autorisé à faire une analyse de sous-groupe, à trouver un signal, puis à ne pas le rapporter dans les conclusions. Si vous pensez que le signal est faux, vous devez alors fournir les données montrant qu’il est faux.
Vous ne pouvez pas rembobiner la cassette en arrière, détruire les preuves et prétendre que cela ne s’est pas produit… c’est contraire à l’éthique. Vous devez vous enfoncer dans le terrier du lapin. C’est ainsi que fonctionne la science.
Il est illégal de détruire les données gouvernementales. Et vous ne détruisez jamais les données de l’étude avant la publication de votre étude. C’est sans précédent. Pourquoi feraient-ils cela ? Ils l’ont fait pour cacher le signal, parce qu’ils ne pouvaient pas le cacher grâce à la manipulation statistique.
Personne ne peut expliquer les données temporelles du pédiatre : le CDC a changé de sujet lorsqu’une pédiatre lui a demandé d’expliquer les données qu’elle a observées dans sa pratique
La pédiatre “L” (elle ne voulait pas que son nom soit utilisé jusqu’à ce qu’elle ait parcouru manuellement ses dossiers d’hospitalisation en urgence pour confirmer ses estimations) estime qu’environ 180 enfants de son cabinet avaient présenté un autisme régressif d’apparition brutale. Parmi ceux-ci, elle pense que la majorité s’est produite dans les 2 semaines suivant une visite de vaccination. Elle n’a jamais pensé à regarder les données réelles, donc cela pourrait être près de 100% des cas. Les services d’urgence ne suivent pas cela, vous devez donc examiner manuellement chaque cas individuellement. Elle m’a dit qu’elle le ferait.
Il n’y a aucun moyen d’expliquer ces chiffres si les vaccins ne déclenchent pas l’autisme.
Lorsqu’elle a confronté le CDC à ce problème, elle leur a demandé : « Alors, comment expliquez-vous que les cas d’autisme sont si susceptibles de se produire juste après la vaccination si les vaccins ne causent pas l’autisme ? » Ils ont simplement changé de sujet en soulignant ce que les études évaluées par des pairs ont montré et évité de répondre à la question. Les vrais scientifiques ne changent jamais de sujet lorsqu’on leur demande d’expliquer les données. La science concerne la recherche de la vérité, et non le rejet des données que vous n’aimez pas.
Mais le Dr. L n’est pas la seule.
Le pédiatre Doug Hulstedt a suivi les antécédents de tous ses patients porteurs d’autisme. Il a vu plus de 180 enfants autistes au cours de ses 35 ans de carrière de pédiatre et il est très apprécié par ses patients pour ses soins médicaux.
Sur les 44 enfants atteints d’autisme « à survenance rapide », 100% de ces cas sont survenus dans les 14 jours suivant l’administration d’un ou plusieurs vaccins.
100%.
Tout ce que Doug a fait, c’est établir les antécédents médicaux en demandant les dossiers de vaccination des enfants et la date à laquelle l’autisme a été remarqué pour la première fois par les parents.
Il n’y a pas une seule étude dans la littérature médicale qui a examiné les enfants atteints d’autisme à régression rapide et a tracé la date du vaccin qui était la plus proche de l’événement, qu’il soit avant ou après. Pourquoi cela ? Parce que l’on trouverait un énorme signal. C’est pourquoi les études ne le font jamais.
Si les vaccins ne causent pas d’autisme, il y aura autant de « vaccins aussi proches » du développement soudain de l’autisme avant la vaccination qu’après la vaccination.
C’est pourquoi ces études sur l’autisme ne trouvent jamais de signal. Ils utilisent toujours une méthodologie qui ne prend pas les données temporelles en compte. Ils n’utilisent jamais la mesure la plus sensible que je viens de décrire. Et la plupart des pédiatres, si vous leur demandez leurs données à ce sujet, ne savent pas vous répondre, parce qu’ils ne les suivent pas. Et la plupart refusent d’examiner leurs propres chiffres.
Les cabinets pédiatriques où les parents choisissent de ne pas vacciner leurs enfants ont ZÉRO cas d’autisme
Je connais un grand cabinet pédiatrique en Californie. En 25 ans, aucun des milliers d’enfants de leur pratique (dont presque tous ne sont pas du tout vaccinés) n’a reçu un diagnostic d’autisme parmi les enfants non vaccinés. ZÉRO.
Comment la communauté médicale explique-t-elle cela ? Elle ne le fait pas.
Si l’autisme est principalement causé par des toxines environnementales ou par l’hérédité, comment expliquer ces données ? Toutes les cliniques pédiatriques proches de ce cabinet pédiatrique ont des taux d’autisme standards.
Des études publiées dans la littérature médicale montrent des ratios de cotes compris entre 4,2 et 5,0, lorsque l’on compare les enfants entièrement vaccinés par rapport aux enfants entièrement non vaccinés
Comment chaque étude de la littérature évaluée par des pairs qui compare les enfants entièrement vaccinés et les enfants entièrement non vaccinés peut-elle montrer un ratio de cote très similaire pour l’autisme ? Chaque étude, sans exception. Le ratio de cotes de ces études est supérieur à 4. Étant donné que 99% des enfants sont vaccinés, le risque attribuable à la population (PAR) est de 75% ou plus.
En d’autres termes, la plupart des cas d’autisme sont causés par les injections parce que nous avons un ratio élevé et parce que les cinq critères de Bradford Hill sont amplement satisfaits. S’il y a une explication plus probable pour le ratio de cotes, pourquoi personne sur cette planète n’est-il en mesure de la fournir ? Les attaques sont toutes des arguments qui balayent tout d’un revers de la main sans rien montrer de solide.
Ainsi, le principe de précaution de la médecine exige de supposer que les vaccins provoquent l’autisme, jusqu’à preuve du contraire.
Voici les études :
Voici les études dont vous n’entendez tout simplement jamais parler :
Paul Thomas (2020) avait 0 cas d’autisme. 561 parmi le total des 561 enfants non vaccinés de sa pratique. Pour ceux qui ont suivi le calendrier de vaccination du CDC, il y avait 15 cas d’autisme chez 894 patients. La valeur p du test exact de Fisher est de 0,0008, ce qui est stupéfiant. Le OR était infini, avec une limite de confiance inférieure de 95% de 2,3. Voir aussi cet excellent article sur l’étude qui souligne que “les enfants non vaccinés sont en meilleure santé selon plusieurs indicateurs et bénéficient de 25 fois moins de visites pédiatriques“. Les méchants ont pu faire rétracter le document en affirmant que les taux plus élevés d’autisme chez les vaccinés étaient dus à plus de visites au cabinet. Le problème avec cette critique est que la raison de la rétractation a ensuite été réfutée dans un article ultérieur !
Hooker (2021) : 5,03 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés.
Mawson (2017) : 4,2 ratio de cotes pour l’autisme chez les personnes vaccinées par rapport aux non vaccinés (666 dans cette étude).
Geier (2013) : rapport de 2,1 à 3,4 dans la base de données Vaccine Safety Database en fonction de l’âge au moment de l’injection. Un ratio de cotes qui augmente avec l’âge. Cette étude, publiée dans la littérature évaluée par des pairs, a été réalisée à l’aide d’une méthodologie en deux phases utilisée par le CDC. Elle a montré que le vaccin HepB était aussi fortement associé à l’autisme. Ils ont examiné chacune des 3 périodes de vaccination et à chaque fois, le ratio de cotes augmentait et la valeur p était faible ! L’étude n’a jamais été rétractée. Après que Brian Hooker ait trouvé ce signal dans la base de données VSD, son accès a été immédiatement révoqué par le CDC, sans la moindre explication. Rien de tel que d’être ouvert à la transparence des données, n’est-ce pas ?
Garner / Groupe de contrôle (2022) : 82 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés. « Pour ceux qui n’ont aucune exposition aux vaccins post-partum, aux vaccins prénatals ou à l’injection de vitamine K, le taux total d’autisme dans l’ensemble de l’étude du groupe de contrôle est de 0% (0 sur 1 024) ». Lorsque j’ai fait un calcul du ratio de cotes sur les réponses à mon enquête auprès de 10 000 enfants : OR=82 CI:5.1197 à 1315 z statistique : 3,114 Niveau de signification. P = 0,0018. Voir aussi le site Web du groupe Control.
Lyons-Weiler (2022) : L’étude était trop petite pour évaluer le risque d’autisme, mais a montré de meilleurs résultats de santé chez les non vaccinés que chez les vaccinés pour d’autres affections. Voir cet article qui note que les non vaccinés avaient de meilleurs résultats lors des visites de contrôles que les vaccinés, ce qui élimine un argument commun que les anti-anti-vaccins utilisent. L’article constate que “les familles non vaccinées se sont plus souvent présentées aux visites de contrôle que les familles vaccinées”.
Étude de Liz Mumper : Elle a divisé l’incidence de l’autisme par 6 dans sa pratique en limitantles vaccins administrés aux enfants. Comment la communauté médicale explique-t-elle cela? Une réduction de 6X est énorme. Elle a également reproduit le travail de Paul Thomas.
Une nouvelle étude de 50 000 enfants (soumise par Tony Mawson pour publication mais pas encore publiée) montre les mêmes ratios de cote pour les maladies chroniques que les études Hooker et Mawson. L’ensemble de données est très important.
L’étude Generation Rescue (GR) réalisée le 26 juin 2007 a montré que les enfants vaccinés étaient nettement moins lotis dans toutes les catégories examinées. « Pour moins de 200 000 $, nous avons pu réaliser une étude que le CDC, avec un budget de 8 milliards de dollars par an, n’a pas été capable de faire ou n’a pas voulu faire. » Où est l’enquête du CDC ? Introuvable ! Ils ne veulent tout simplement pas le faire. Lisez l’enquête et consultez cet article pour plus d’informations. GR ne pouvait pas altérer l’étude ou manipuler les résultats parce qu’elle a été réalisée par une société d’enquête indépendante sans conflits d’intérêts. Si les sociétés pharmaceutiques n’aimaient pas le résultat, elles auraient facilement pu commander une autre société de sondage. Mais ils ne l’ont pas fait !!! Ou peut-être qu’ils l’ont fait et ont simplement choisi de ne pas publier les résultats parce qu’ils étaient si mauvais. Dans tous les cas, l’absence d’un sondage montrant le contraire du sondage GR est très très problématique pour le récit “sûr et efficace”.
Il y a un défaut de la partie adverse à citer une seule étude qui montre le contraire de ce que ces études montrent, par exemple, que les personnes entièrement vaccinées sont soit en aussi bonne santé, soit en meilleure santé que les personnes entièrement non vaccinées.
J’ai trouvé indépendamment un ratio de cotes très similaire lorsque j’ai interrogé 10 000 parents en leur demandant: “parlez-moi de vos enfants”
Tout le monde peut reproduire l’enquête sur les parents que j’ai faite. Vous obtiendrez les mêmes résultats. Mais personne n’est prêt à regarder.
J’ai demandé à 10 000 parents de me parler de leurs enfants et j’ai énuméré une vaste gamme de maladies chroniques, y compris deux contrôles négatifs pour valider les résultats.
Les OR sur les témoins négatifs (malformation congénitale et défaut génétique) étaient respectivement de 0.9 et 1.0.
Pour l’autisme, j’ai obtenu un rapport de cotes de 4,5, ce qui est à mi-chemin des valeurs trouvées dans les études que j’ai citées ci-dessus (Hooker (2021) a trouvé 5,03 et l’étude de Mawson de 2017 a trouvé 4,2).
Voici le tableau récapitulatif des OR.
Notez comment la vaccination aggrave toutes les maladies chroniques (les chiffres sont tous >1), un résultat conforme aux études citées ci-dessus :
Ratios de cotes dans mon enquête auprès des parents. Plus vous étiez vacciné, plus vous avez de chances d’avoir ces conditions. Les enfants entièrement vaccinés étaient 4,5 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués avec l’autisme que leurs pairs non vaccinés.
Les études sur l’autisme publiées dans la littérature ont été conçues pour NE PAS trouver de signal. Lorsque les erreurs ont été signalées, les auteurs ont refusé de répondre aux critiques. Ce n’est pas ce que font des scientifiques honnêtes.
Nous pouvons montrer comment chacun des documents présentés par les partisans du vaccin sont défectueux. Choisissez le meilleur et discutons-en !
Le problème bien sûr est que tous ces documents ont été démystifiés dans l’analyse SafeMinds.
Les meilleures études étaient les études de cohorte et l’une des études de cohorte a été jugée « à haut risque ». Les quatre autres études de cohorte ont été décrites dans l’analyse SafeMinds. Pour les études cas-témoins, les deux plus importantes de l’étude ont également été décrites dans l’analyse SafeMinds.
Ainsi, le meilleur des meilleurs de leurs meilleures études a été démystifié. Ces méta-analyses sont aussi faibles que les documents qu’elles reprennent.
Pouvons-nous parler en détail des 3 meilleurs articles de chaque groupe ? Ils ne veulent pas en discuter publiquement. Ils ne le font jamais. Comment sommes-nous censés résoudre nos différends si l’autre partie ne s’engage pas dans un dialogue civil avec quiconque n’est pas d’accord avec lui ?
Le professeur Hviid, co-auteur de l’article le plus référencé pour réfuter le lien entre l’autisme et la vaccination (l’étude Madsen), a refusé de répondre à toute question sur son article. Pourquoi refusent-ils de répondre aux questions légitimes qui ont été soulevées ?
Vous ne pouvez pas prouver l’hypothèse nulle
Tout scientifique sait que vous ne pouvez jamais prouver l’hypothèse nulle.
En anglais simple, vous ne pouvez pas prouver qu’il n’y a pas de lien. Vous pouvez seulement prétendre que “les études que nous avons faites n’ont pas trouvé de lien”.
C’est ce qu’ils devraient dire s’ils étaient semi-honnêtes. Mais bien sûr, c’est faux. Ils évitent simplement les études dans la littérature évaluée par des pairs qui montrent le contraire.
Les personnes qui prétendent qu’il n’y a aucune preuve dans la littérature scientifique que les vaccins causent l’autisme vous mentent simplement et la presse ne fait que répéter ce qu’on lui sert
L’essentiel ici est que la presse ment toujours lorsqu’elle dit que les vaccins ne causent pas l’autisme parce que vous ne pouvez jamais prouver un négatif (selon la section précédente).
Lorsque les gens font cette déclaration, ils doivent ignorer les articles de la littérature évaluée par les pairs, les données des médecins et les histoires des parents (qu’ils ne peuvent pas expliquer dans leur ensemble parce qu’ils sont cohérents avec les rapports des médecins).
Au mieux, ils pourraient dire : « Les études que nous choisissons de croire n’ont pas trouvé de signal ; les études que nous avons décidé de ne pas croire ont trouvé un ÉNORME signal. Mais nous avons choisi de ne pas croire à ces autres études parce que tout le monde sait que les vaccins ne causent pas l’autisme. » Voyez le raisonnement circulaire ici ?
Mais il n’y a pas de DONNÉES qui devraient amener les gens à ne pas “croire” les études qui ont montré le lien. Ils ne croient tout simplement pas à ces études parce qu’ils arrivent à une conclusion différente et non parce qu’ils ont réellement trouvé un défaut légitime dans les études.
La presse ignore ces études parce qu’elles obéit aux « experts ». Cela fonctionne parfaitement parce que la plupart des journalistes se refèrent à des experts en qui ils ont confiance et n’investiront pas le temps d’écouter les deux parties expliquer les données et d’arriver à leur propre conclusion. Ils vont directement croire à l’”expert” avec les plus hautes références.
Pourquoi ne pas simplement divulguer les preuves à Tucker Carlson, Joe Rogan, etc?
Parce que je veux qu’une source médiatique grand public couvre l’histoire et interviewe les employés du CDC qui authentifieront les preuves. Il est peu probable qu’ils le fassent si l’histoire est déjà couverte par quelqu’un d’autre.
Interprétation par l’IA de mes preuves
Croyez-le ou non, trouver un épidémiologiste honnête est vraiment difficile de nos jours.
Donc… toutes les données sont ajoutées dans un LLM (une machine d’intelligence artificielle) neutre pour analyse.
Ce sera très intéressant de voir le résultat.
Analyse experte des données
James Lyons-Weiler est un expert en autisme. Il convient que les études conçues pour trouver une association ont en fait été conçues pour ne pas trouver d’association.
Voici sa réaction à mon article :
Tout finira par sortir et ce sera un très très mauvais jour pour Merck.
Steve a raison. J’ai analysé toutes les études sur l’autisme et la vaccination citées dans une lettre adressée au président Trump lors de son 1er mandat. Aucun n’était capable de tester valablement le lien causal. L’épidémiologie n’est pas un instrument adéquat pour étudier des problèmes comme les dommages vaccinaux; et même lorsque ça l’est, et qu’une association très forte a pu être démontrée, le CDC a toujours tout fait pour l’enterrer.
In fine
Quelqu’un dans les médias grand public touchera-t-il à cette histoire ? Nous sommes sur le point de le découvrir.
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