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Woke or Smoke Screens ?

(Éveillés ou enfumés par les écrans ?)

Que répondre à la propagande Woke ou LGBTQR ?
Chassez le patriarcat religieux, il revient par la science.


François-Marie Périer

« Il faut s’attendre à ce que les avancées de la physiologie et de la psychologie donnent aux gouvernements beaucoup plus de contrôle sur le mental des individus qu’ils n’en ont maintenant même dans les pays totalitaires. Fichte écrivit que l’éducation devait viser à détruite le libre arbitre afin que, après que les élèves aient quitté l’école, ils soient incapables, pour tout le reste de leur vie, de penser ou d’agir de façon autre que celle que leurs maîtres d’école l’auront souhaité. Mais en ces temps-là, c’était un idéal inaccessible : ce qu’il considérait comme le meilleur système de son vivant produisit Karl Marx. Dans le futur, de tels échecs ne seront pas à même de se produire lorsqu’il y aura dictature. Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible.
Même si tous sont misérables, tous se croiront heureux, parce que le gouvernement leur dira qu’ils le sont. »

Bertrand Russell, prix Nobel de Littérature, 1950
in The Impact of Science on Society, p. 92, 1944 © Allia, 2015. https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.351235/page/n91/mode/2up?q=diet

“D’un buisson voisin sortit une infirmière, tenant par la main un petit garçon qui hurlait tout en marchant. Une petite fille lui trottait sur les talons avec un air inquiet. — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le Directeur. L’infirmière haussa les épaules. — Pas grand-chose, répondit-elle. C’est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires. Je l’avais déjà remarqué précédemment une fois ou deux. Et voilà qu’il recommence aujourd’hui. Il vient de se mettre à hurler… (…) De sorte que, reprit-elle, s’adressant de nouveau au Directeur, je l’emmène chez le Surveillant Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s’il n’y a pas quelque chose d’anormal. — C’est très bien, dit le Directeur. Menez-le chez le Surveillant. – Toi, tu vas rester ici, petite, ajouta-t-il, comme l’infirmière s’éloignait avec le sujet, toujours hurlant, confié à ses soins.”

“Au-dessus d’eux encore, il y avait les salles de récréation où, le temps s’étant mis à la pluie, neuf cents enfants plus âgés s’amusaient à des jeux de construction et de modelage, au zip-furet, et à des jeux érotiques.
Bzz, bzz ! La ruche bourdonnait, activement, joyeusement. Le chant des jeunes filles penchées sur leurs tubes
à essais montait avec allégresse, les Prédestinateurs sifflaient tout en travaillant, et dans la Salle de Décantation, quelles bonnes blagues on se disait au-dessus des flacons vides !
Mais le visage du Directeur, au moment où il pénétra dans la Salle de Fécondation avec Henry Foster, était grave, figé dans sa sévérité comme s’il était taillé dans le bois.”

“Quelles intimités suffocantes, quelles relations dangereuses, insensées, obscènes,
entre les membres du groupe familial ! Pareille à une folle furieuse, la mère couvait ses enfants (ses enfants)… elle les couvait comme une chatte, ses petits… mais comme une chatte qui parle.”

Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes, 1932

« On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
(…) la seule peur — qu’il faudra entretenir — sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »
Günther Anders, L’Obsolescence de l’homme (Editions Ivréa), 1956

Le Wokisme — Woke, abréviation de Awoke, Réveillé — se présente comme un réveil des jeunes consciences occidentales soudain douloureusement frappées d’un sentiment de culpabilité face à la faute historique de domination de leur culture blanche patriarcale sur la nature, le monde et en particulier sur les peuples d’Afrique noire, la femme, les Juifs et plus récemment l’Islam. On associe fréquemment les mots « mâle blanc dominant violeur ». Un viol qui historiquement concernerait la femme, la nature, les autres peuples.
Or, nous verrons que cette triple violence est bien réelle, mais dans quasiment toutes les cultures, et que le Woke perpétue plus que jamais cette domination violente et mortifère d’un certain modèle masculin de « civilisation », « religieuse » ou « scientifique », et pas seulement occidental, sur la Vie elle-même dans ce qu’elle a de plus sacré.

1) Un peu d’Histoire

Historiquement, le Woke est né des bavures — assassinats — de la police américaine sur de jeunes noirs, certains sans casier judiciaire. Des faits non reconnus par la justice, après des siècles d’esclavage et des décennies d’apartheid, ayant provoqué émeutes et mouvements sociaux.
Mais c’est au printemps 2020 que le Woke a explosé à la face du monde suite à la lente et brutale mort par étouffement de l’ancien délinquant Georges Floyd. Le policier sera dans ce cas condamné à 21 ans de prison pour homicide volontaire et ses collègues inculpés pour complicité de meurtre.
C’était juste après les confinements et ses semaines d’oppression non justifiée. La phrase du George Floyd « I can’t breath! – Je ne peux pas respirer » reprise partout en Occident était on ne peut plus parfaite pour témoigner de ce qui venait d’arriver et de ce qui allait continuer en termes de masques… La grande violence subie par la population, blanche ou noire, jaune ou rouge, voulue par les pouvoirs en place, trouva là encore un exutoire manipulé en se retournant comme toujours contre elle-même, physiquement ou contre des symboles passés tels que les statues ou les biographies tronquées de personnages historiques certes loin d’être irréprochables et méritant d’être clarifiées.
La question fondamentale est : sur quelles nouvelles valeurs rebâtir lorsque tout ou presque est remis en question ?
Les populations blanches ou noires, toutes deux victimes des gouvernements, se sont opposées au lieu de s’unir contre l’absurdité du système économique, sanitaire et politique.
Il y a l’immunité blanche en haut-lieu, des marchands d’armes, de big pharma, de l’industrie agro-alimentaire… et l’impunité des bas-fonds, avec ses autres commerces criminels. Les deux prennent la société en étau et en otage sans se déranger réciproquement, chacun profitant des affaires de l’autre, le chaos général étant bon pour leur ordre particulier.
Les intellectuels se plaisent à dire que le Fascisme commence par le mécontentement des classes moyennes, suggérant par là la bêtise et la méchanceté foncières des petits-bourgeois des classes laborieuses respectant en réalité naïvement ou obtusément le contrat social.
Mais ils oublient de dire, comme le rappelait l’écrivain et cinéaste homosexuel Pasolini, assassiné parce qu’il dénonçait un certain ordre pétrolier du monde, que c’est le Fascisme qui est déjà en œuvre dans les traités de libre échange, la criminalité des hautes sphères et leur capitalisme, dans le non-droit de la société d’en bas et la destruction des cultures, et que c’est ce fascisme là, en niant l’état de droit et le contrat social, qui fait qu’on en appelle à plus de droit et plus d’état, une attitude que les partisans du chaos nommeront fasciste tout simplement parce que revenir au contrat social dérange leurs affaires.
Concernant le mouvement de défense des minorités sexuelles LGBT, il y a certes une oppression ou une discrimination touchant aux personnes homosexuelles, hommes ou femmes, dans un certain nombre de pays, puni-e-s de morts ou de châtiments corporels, alors que dans notre propre pays un certain de nombre de personnalités marquantes et valorisées de notre Histoire étaient elles-mêmes homosexuelles.

Colonies et conquêtes réciproques des peuples

Tout d’abord, et pas du tout par hypocrisie, il faut affirmer que oui, le racisme des Blancs occidentaux a conquis le Monde à partir des Grandes découvertes de la Renaissance, et a organisé le génocide de millions d’Amérindiens, des Guanches des Canaries et d’autres peuples, ainsi que la déportation et l’esclavage d’autres millions de Noirs africains vers les Amériques, sans compter la conquête des Indes et d’autres terres d’Asie et d’Océanie. Ajoutons les deux guerres mondiales, fruits de nos impérialismes, nos libéralismes nos racismes ou nos fascismes, les génocides herrero, juif et gitan (je reste pour l’instant dans ceux commis par les « Blancs ») la Guerre froide obligeant les peuples à se polariser pour l’URSS ou les USA, l’exportation de nos idéologies mortifères au XXe siècle Capitalisme, Fascisme, Communisme, Scientisme) ou de notre modèle économique agricole et énergétique suicidaire… Avouons qu’il est difficile de présenter l’Occident uniquement comme le gardien de la Civilisation, héritier des Grecs, de la Renaissance et des Lumières.
Le problème est qu’une simple chronologie de l’Histoire mondiale nous démontre en quelques instants que les Perses, les Grecs, les Arabes, les Mongols, les Turcs et aujourd’hui les Chinois ou les Israéliens et bien d’autres, à petite ou grande échelle n’ont rien à envier en termes d’oppression territoriale, de génocides (arménien, tibétain, ouïghour entre autres) de guerres de conquête justifiées ou pas de mille façons, par le sentiment d’élection divine ou naturelle ou la simple loi du plus fort.
Supposément à l’opposé de l’Ultralibéralisme, jamais le vote Vert n’a été aussi important, la préoccupation pour la planète aussi forte et le vivant aussi valorisé, la compassion pour les animaux aussi mise en avant dans le véganisme… et pourtant, aussi bien du côté de l’État que de la Gauche et des Verts, jamais on ne s’est autant attaqué de façon idéologique au corps de l’enfant et de l’adolescent, jamais on n’a autant cautionné les technologies vaccinales des lobbies capitalistes touchant à l’ARN, violant les droits individuels et le principe de précaution en oubliant les méthodes naturelles efficaces et sans effets secondaires catastrophiques et définitifs, contrairement aux vaccins.

Alors, voici des points bien réels parfois refoulés par tous les bords politiques, repris par les Woke, mais mis en avant bien avant eux par des personnalités à l’opposé des dérives et délires des Woke :

Oui, le racisme est très fort dans la police américaine qui a déclenché les émeutes, tout comme en Russie, en Chine, en Turquie, en Arabie saoudite, en Israël et ailleurs) Ces différents racismes montrent bien ce que le monde serait si on laissait libre-cours au sentiment de supériorité de ces peuples se prétendant élus.
Oui, la consommation industrielle de viande est source d’énormes souffrances animales injustifiables, détruit la planète, nuit à notre santé physique, psychique et à notre rapport au monde, et abîme également physiquement et psychologiquement ceux qui travaillent dans cette filière.
Oui, l’oppression de la femme (ou du féminin) malgré les postes de pouvoir qu’elle a pu occasionnellement occuper est une réalité historique insupportable encore en cours dans pas mal d’endroits.
Oui, les pays musulmans du Proche-Orient sont un à un détruits sous les bombes pour des intérêts communautaires ou économiques depuis la deuxième guerre mondiale, dans l’accord parfait entre « Chrétiens » néo-conservateurs, « Musulmans » salafistes et « Juifs » sionistes. Mais les Chrétiens d’Orient souffrent aussi injustement et l’antisémitisme continue.

Soyons donc plus cultivés, intelligents et constructifs que les journalistes et les « intellectuels », de l’école élémentaire à l’Université, et du quotidien local au Monde, écrivant simplement ce que leurs maîtres ou financeurs leur dictent ou se préoccupant de ce que les précédents diront d’eux.

2) Covid, Spike et Woke : la simultanéité d’une offensive contre le corps et l’esprit de l’enfant et contre la Vie en général

Mais la question est : pourquoi la défense des minorités sexuelles s’est-elle transformée en une offensive sur tous les fronts de l’Éducation Nationale et des médias depuis plusieurs années, visant à demander de façon répétée à chaque enfant dès son plus jeune âge s’il pense être un garçon ou une fille, ou autre chose ? Quitte à l’amener dans un périlleux et douloureux processus de changement de sexe.

Les enseignants peuvent-ils répondre à cette question ?

De même, peuvent-ils expliquer pourquoi masquer, distancier, tester, isoler et vacciner des millions d’enfants non menacés par un virus, et ne menaçant personne ? Pourquoi introduire en eux un vaccin expérimental produit et promu par les firmes les plus corrompues en provoquant des milliers d’effets secondaires gravissimes voire mortels ?
Dans les deux cas, il s’agit de la promotion simultanée, par l’école et les enseignants, de l’intrusion dans le corps des enfants avec des conséquences irréversibles sur leur vie et leur capacité à transmettre la vie. Et cela touche aussi les OGM, les semences non reproductibles, la disparition des abeilles, ainsi que le nucléaire. On peut y ajouter la 5G, inutile, dangereuse, et pourtant imposée partout dans la plus grande hâte par des décrets dès le début du Covid…. Faut-il vraiment y voir un hasard alors qu’on est dans un modèle même de civilisation prétendument émancipateur, mais de surveillance totale,  contradictoire et manipulateur ? Qui est assez aveugle pour le soutenir ?

Historiquement, l’école a toujours été l’instrument du pouvoir étatique pour se perpétuer, même si en parallèle elle a aussi été l’expression d’une opposition très conformiste et contrôlée et qui a montré sa vraie teneur avec le Covid.
Le tour de force avec le Woke est que l’Ultralibéralisme (qui vise à la synthèse entre Fascisme, Communisme, Capitalisme, Dictature scientifique et loi de la Jungle avec un état qui serve uniquement à assurer l’ordre nécessaire à ses affaires) a réussi non seulement à faire préférer l’école à ses parents, à passer par elle pour les attaquer en justice, à en faire des enfants-espions de la police de la pensée comme dans 1984, mais aussi à faire passer l’école pour le lieu branché et rebelle, bienveillant et compassionnel, des droits fondamentaux, alors qu’elle est devenue l’outil de l’écrasement des droits, de l’originalité de la pensée, des aspirations fondamentales de l’Humanité, remplacés par une bouillie où se mélangent la prévenance et la peur, la « communication non violente » et la perversion, au service de quelques immenses intérêts géopolitiques, économiques, civilisationnels, se résumant à ce but : nuire aux corps et aux âmes, et pourquoi pas les détruire ou les remplacer.

Avec la théorie du genre, on est exactement dans le même processus qu’avec les vaccinations imposées aux enfants pour quelque chose dont ils n’ont pas besoin : c’est une intrusion artificielle dans les corps et les esprits, « disruptive », pour reprendre un terme à la mode, c’est à dire imprévue et brutale, sous ses dehors bienveillants, aussi inutile que dangereuse, sans aucun recul, voulue par quelques personnes prétendant expérimenter leurs produits et leurs théories sur les enfants et les adolescents. Or, le casier judiciaire des fabricants et des promoteurs des vaccins suffit à démontrer que le bien de l’humanité et des sociétés est tout sauf leur préoccupation.

On doit donc rappeler aux chefs d’établissement, aux enseignants et aux éducateurs qui ont toujours soutenu les mesures gouvernementales à travers les générations :

– ils ont détruit les langues régionales comme le leur avait demandé Jules Ferry à la fin du XIXe siècle

– ils ont enseigné « Nos ancêtres les Gaulois » aux quatre coins de l’Empire, selon les mêmes directives du ministre qui expliquait bien que les droits de l’Homme n’étaient pas pour les Noirs.

– ils ont enseigné « Je serai soldat » avant la première Guerre mondiale…

Or, quel est le devoir fondamental de l’Éducation Nationale ?

– le personnel de l’éducation et les responsables en particulier ne sont pas payés par le gouvernement contrairement à ce qu’ils répètent en boucle « pour obéir aux consignes » et « pour appliquer la politique du gouvernement élu » en sous-entendant par là qu’ils accomplissent la logique d’un « jeu démocratique » auquel la population perd toujours tandis qu’eux y gagnent, sur le dos des enfants qui souffrent, leur salaire et leur confort social.
Non, les chefs d’établissement, les enseignants et les éducateurs sont payés par la population pour véritablement informer et protéger les enfants, les amener à construire une société juste, libre et épanouissante, en accord avec la Planète, les valeurs des Lumières, les droits de l’Homme, au service de la réalisation de ce que l’Humanité a de meilleur, en dehors des pressions politiques et des lobbies. Ils ne sont pas là pour donner l’exemple de la lâcheté, de l’hypocrisie et du service rendu contre salaire à un modèle destructeur et oppressif.

– tout lobby est condamnable lorsqu’il favorise les intérêts d’une minorité au détriment d’une majorité. Il faut certes protéger une minorité opprimée dans son droit mais non chercher à influencer une majorité en la soupçonnant a priori.

– le fait qu’une minorité ait été ou soit encore opprimée ne lui donne pas le droit de culpabiliser une population entière non responsable en prétendant la rééduquer : il ne faut pas confondre justice et vengeance.

– le mouvement LGBT se dit contre l’oppression historique du mâle blanc occidental violeur et dominateur, mais l’idéologie du doute sur son identité sexuelle ou de genre, enseignée par les écoles, est en réalité une continuation et une accentuation de la guerre faite par la science à la Nature, au corps, au vivant, au biologique depuis la révolution industrielle, voire avant (voir plus loin)

– la théorie du genre et les questionnements sexuels enseignés à l’école sont aussi un prolongement des expérimentations idéologiques, des modes et théories intellectuelles, des créations sociales dont les corps et les esprits des enfants sont les terrains de jeux.

– la promotion de la pédophilie par d’anciens ministres ou hommes politiques à l’époque de la « libération sexuelle » et du « Il est interdit d’interdire », devrait rendre prudents les pédagogues zélés d’avant garde et les parents…

– il serait judicieux de se demander pourquoi Sade (XVIIIe siècle), incarnation de l’aristocrate prédateur et criminel de la société d’Ancien régime, a été transformé par toute la culture libertaire des années 60 en un modèle d’émancipation à suivre, et pourquoi le « philosophe » médiatique Raphaël Enthoven en a fait son maître à penser.

– on fait passer pour réactionnaire le refus de telles intrusions, alors qu’elles sont précisément un retour des théories sexuelles des années 60 et 70 qui ont mené à tant de dérives en particulier dans le milieu de l’éducation

– faut-il rappeler qu’il y a encore quelques années on considérait à l’hôpital qu’il n’y avait pas de souffrance chez le nouveau-né, et pas de conscience chez l’enfant de moins de 5 ans ? Comment se fait-il qu’aujourd’hui, par un étrange renversement, on l’amène à s’infliger autant de souffrances et à prendre autant de décisions précipitées ?

– imposer à un enfant ou un adolescent des questions qu’il ne s’est pas posé spontanément, c’est aller à l’encontre de son corps, de sa maturation, de lui-même, de son évolution naturelle.

– pourquoi ne pas demander à un enfant s’il a essayé de se scarifier ou encore autre chose pour savoir s’il en retire du plaisir, auquel cas il faudrait alors l’orienter vers le masochisme ou d’autres formes de sexualité ?

– pourquoi ne pas faire des programmes pour proposer dès l’enfance des substances telles que CBD, la Ritaline etc. afin qu’ils aient le choix, en leur disant qu’ils ont le droit de remplacer le calme naturel par des substances ?

– y-a-t-il vraiment une différence entre la violence patriarcale et archaïque de l’excision d’une petite fille africaine et l’opération proposée à un petit garçon occidental non informé des conséquences et manipulé par quelques idéologues bien-pensants ?

– l’enfant manque de discernement dans beaucoup de ses choix : l’accoutumance spontanée au sucre peut l’amener à toutes sortes de dépendances. Faut-il donc l’orienter vers tout ce qui peut le séduire très jeune ?

– est-on vraiment dans le libre choix lorsque le changement de genre est fortement valorisé par toute la société et la culture des jeunes ? – c’est toujours l’adulte qui imagine et oriente les questions à partir de modes intellectuelles jamais interrogées par les éducateurs qui les appliquent.
– l’obsession précoce de l’orientation sexuelle peut amener à un narcissisme et à une fixation régressive sur le corps qui va à l’encontre de l’ouverture sur le monde, sur l’autre, sur la Vie en général.

– derrière les apparences l’hypersexualisation amène aussi à se détourner de luttes communes contre un système qui justement n’a jamais été autant dominé par le capitalisme, la consommation et le divertissement blanc occidental : c’est une forme de plus de matérialisme et de consommation, tout à fait dans l’esprit du « Il est interdit d’interdire «  de Mai 68 qui, après avoir été une révolte contre la société de consommation, a conduit à son exacerbation décomplexée et à un comportement prédateur vis-à-vis du Vivant en général, menant à son risque d’extinction.

– la simultanéité de l’offensive vaccinale et du Woke n’a en réalité rien d’un hasard quand on voit que la source est commune et que les résultats convergent pour créer la confusion par de fausses questions de civilisation et la division dans les populations.

– les parents sont aussi stupéfaits et démunis pour la plupart face à cette offensive que l’ont été les parents de toutes les dictatures en voyant l’école se faire l’antenne de la doxa gouvernementale.

– l’école n’est-elle pas devenue le relais étonnamment naïf et empressé, et le reflet de l’hypersexualisation des écrans et jeux vidéo à des fins commerciales, permis par les gouvernements venant du privé et collaborant avec les lobbies du privé, avec des conséquences graves en termes de comportements sexuels ?

– par quelle autorité légitime sont imposés les questionnements de la théorie du genre pour qu’elles occupent soudain une telle place  et quelle en est l’origine ?

– l’imposition de ces programmes par un petit nombre de décideurs est tout sauf représentative de la volonté démocratique, tout comme de nombreux autres aspects négatifs du libéralisme imposé aux populations : santé, agriculture, médias, réseaux sociaux…

– est-ce la « civilisation » qu’on impose aux enfants ou les délires intellectuels et expérimentaux de quelques-uns ?

– n’est-ce pas un peu inquiétant de constater que c’est le même gouvernement qui enferme ses citoyens, impose la vaccination, sacrifie l’hôpital, effondre son économie et sa santé, vend la France aux multinationales et aux GAFAM, censure la liberté d’expression, réprime avec brutalité les demandes de justice sociale et fait la promotion de la théorie du genre qui s’en prend aux corps et aux consciences des enfants ? Peut-on vraiment croire chez les enseignants et leurs cadres que ce gouvernement veut le bien des enfants malgré toutes les preuves qu’il donne de sa corruption et de son cynisme ?

– concernant la question de l’Islamophobie, les programmes émanent précisément d’autorités cherchant à se déculpabiliser de fautes géopolitiques ou coloniales qu’ils en ont commises en les faisant porter à des personnes non responsables.

– comme pour le Covid, le Wokisme est une entreprise d’hyperculpabilisation des populations permettant de les manipuler, exactement comme dans la Genèse de l’Ancien Testament : c’est une nouvelle forme de religion obscurantiste basée sur le conflit avec la Nature et la culpabilité de nous considérer tel Caïn, coupable de la mort de son frère Abel.. Une réinitialisation des consciences morales par la Science dont les enseignants sont les prêtres zélés.

– les procédés de contrainte ou de violence faite au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.

3) Maltraiter le corps et la nature et culpabiliser : une continuité entre religions et science

Les bloqueurs de puberté, prises d’hormones croisées et opérations contrarient et font violence à tout un équilibre et une organisation qui ont produit et permis la vie dont nous bénéficions, et voudrait spontanément se perpétuer à travers nous. Rien de comparable au fait de nous mettre à marcher sur deux pieds ou apprendre à parler, créer pour épanouir toutes nos potentialités : il s’agit de contraindre tout notre métabolisme et nos cellules par une pression de tous les instants et une intervention extérieure en les détournant de ce qu’elles désirent naturellement.

Or, historiquement, la violence faite aux corps, appelée « soins de santé » par la prise d’hormones, la testostérone ou les œstrogènes, les bandages qui écrasent la poitrine ou le sexe, les opérations, etc. n’est que le prolongement de l’oppression de la Nature par l’agriculture intensive, les engrais chimiques, les greffes, les OGM en cherchant à lui imposer d’être à l’image de nos désirs ou de notre avidité, en un modèle qui a démontré qu’il détruisait la vie et l’Humanité.

Les procédés de contrainte, d’ablation ou de violences faites au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.
Les enseignants savent-ils et informent-ils les enfants et les jeunes que… ?

– si le taux de suicide est plus important chez les transgenres, ce n’est pas uniquement à cause de certaines discriminations, mais aussi à cause du regret et de la souffrance du corps et parce que beaucoup de transgenres se rendent compte que leur opération n’a rien changé à leur mal de vivre.

– de nombreux enfants et jeunes ont amèrement et toute leur vie regretté leur décision irrévocable après leur opération.

– l’Académie de Médecine déconseille les hormones en ces termes :

« une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles.
À cet égard, il est important de rappeler la décision récente (mai 2021) de l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm d’interdire désormais l’usage des bloqueurs d’hormones.
Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans condition d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause.
Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. » : https://www.academie-medecine.fr/la-medecine-face-a-la-transidentite-de-genre-chez-les-enfants-et-les-adolescents/

– les effets secondaires des hormones masculines sur les femmes sont les suivants : polyglobulie, prise de poids, acné, calvitie, apnée du sommeil, maladies cardiovasculaires, hypertension, diabète de type 2, troubles psychiatriques.
– les effets secondaires des hormones féminines sur les hommes sont : thromboembolie veineuse, calculs biliaires, augmentation des enzymes hépatiques, prise de poids, hypertriglycéridémie.

– on ose parler de « soins », par ailleurs remboursés et très chers alors que de nombreuses personnes ne sont pas soignées, mais surtout alors que les effets secondaires seront pires que le mal-être. Encore un détournement de langage comme dans le cas des injections.

– le sentiment de culpabilité dans le cas du Wokisme est lié à la Nature, « Environnement », aux colonies, aux guerres économiques et aux injustices sociales. Mais cette culpabilité qu’on fait porter par des non-responsables contre des non-responsables aboutit exactement au contraire de ce qu’elle voudrait, en suscitant une autre violence contre soi et les autres, sans s’en prendre aux véritables responsables, et ce n’est certainement pas un hasard, quand on voit d’où émane cette idéologie.

– avec l’éco-anxiété et le Wokisme, on aboutit aussi à une forte culpabilité personnelle et une paralysie qui inhibe l’union avec d’autres formes de résistance et on diabolise les luttes non conformes au lieu de favoriser le dialogue et l’union des forces.

– l’éco-anxiété et le Wokisme amènent à abandonner la planète précisément à ceux qui la détruisent et créent les inégalités en haut-lieu, tout en espérant qu’elle survive principalement pour eux avec une société diminuée tant psychologiquement que physiquement par le marasme et les privations.

– L’état du monde, l’extinction des espèces, la disparition des abeilles, l’urgence écologique sont là pour témoigner de la folie qu’il y a à imposer des théories humaines à courte vue sur le vivant, sur un ordre naturel se déployant depuis des millions d’années… Allons-nous aveuglément appliquer aux enfants les détournements et expérimentations imposées à la Terre, aux végétaux et aux animaux ?

4) Une école semblable au Meilleur des mondes d’Aldous Huxley

Les enseignants ne devraient-ils pas s’interroger sur le fait que l’hypersexualisation des enfants a été annoncée par Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes, décrivant à Londres l’organisation d’une société de castes où l’ignorance, la bêtise, les stupéfiants, la consommation et le divertissement règnent en maîtres afin de contrôler les populations soi-disant pour leur éviter des guerres ? Si Le meilleur des mondes est au programme des classes de lycée depuis des décennies, c’est parce qu’Aldous Huxley, il l’a clairement dit lui-même, nous a tout simplement mis en garde à travers lui contre notre avenir programmé :

– remise de leur liberté par les citoyens à l’establishment après une grande guerre 

– état mondial scientifique conditionnant les individus 

– hyper-sexualisation des enfants 

–  mépris et dévalorisation de la famille et de la conception biologique au profit de la culture et de la manipulation in vitro des embryons ;

– psychotropes dès l’enfance et prise constante de soma, euphorisant de type Prozac 

– vie des « sauvages » dans des réserves en dehors de l’état mondial 

– apprentissage par suggestion hypnopédique (en dormant) 

– dépréciation des sentiments au profit du plaisir

– non-conformisme et sentiments non dictés par le plaisir considérés comme une menace pour la société

5) La « Destruktion », des valeurs occidentales du philosophe Heidegger appliquée dans la « déconstruction » à la mode.

Les proviseurs,, principaux, directeurs, enseignants, ne devraient-ils pas questionner le fait que la fameuse « déconstruction » des repères sociétaux et intellectuels, utilisée dans la théorie du genre, trouve sa source dans la « Destruktion » généralisée des certitudes occidentales, voulue par le philosophe allemand Heidegger, membre convaincu du parti nazi, non SS, mais fonctionnaire de l’Université ? Le concept est en fait hérité d’Heidegger lui-même.

On peut parler de « constructions » sociales pour les inégalités hommes-femmes et les rôles rigides qui leur sont assignés. En revanche, sauf si on est solipsiste ou schizophrène, le Réel se définit précisément par ce qui n’a pas besoin qu’on y croie pour exister : c’est ce qui produit et soutient la vie, en dehors des idéologies changeantes. Le sexe biologique n’a donc rien à voir avec une construction sociale, et c’est la construction sociale idéologique de l’Occidental qui s’attaque au Réel quand elle s’attaque à la biologie. Ce n’est pas une révolte de notre vraie nature contre la société qui l’opprime, c’est au contraire une ruse de la société, et des plus dominants (scientifiques, théoriciens les plus à la pointe de l’esprit occidental, pour continuer à opprimer la Nature aux sources mêmes du Vivant en nous. Et c’est à l’opposé de ce que font les sociétés traditionnelles les plus respectueuses de la Nature, de la femme et du corps, dont parlait en particulier Marija Gimbutas, la chercheuse lituanienne qui a beaucoup travaillé sur le culte de la Grande Déesse qui a précédé les religions du Livre patriarcales.

6) Les enseignants instaurent-ils des discussions autour de cette édifiante histoire anglaise ? La fermeture de la Tavistock and Portman clinic de Londres

L’affaire nationale Keira Bell au Royaume Uni et la Tavistock and Portman Clinic
Pourquoi la Tavistock and Portman, la clinique de changement de genre la plus célèbre du monde a-t-elle été contrainte de fermer ses portes ?

Le Tavistock and Portman NHS Trust, la clinique de changement de genre la plus célèbre d’Angleterre, contrainte de fermer ses portes pour mise en danger de la sécurité de ses patients.
le 1er décembre 2020, la Haute Cour de Londres avait donné raison à Keira Bell qui avait attaqué la célèbre Tavistock and Portman NHS Trust pour avoir influencé et précipité son changement et a jugé que l’on ne pouvait pas considérer qu’un enfant puisse faire preuve d’un consentement éclairé pour demander un changement de genre. » ? Les avocats de la clinique ont ensuite réussi à lui donner tort mais Keira Bell a déclaré : « Je suis surprise et déçue que le tribunal ne se soit pas inquiété du fait que des enfants âgés d’à peine 10 ans aient été mis sur la voie de la stérilisation ». Toutefois, elle affirme être « ravie » d’avoir contribué à faire « la lumière sur les pratiques obscures de l’un des plus grands scandales médicaux de l’ère moderne »
Mais un nouveau rebondissement eut lieu pendant l’été 2022.

Cette même clinique spécialisée dans le transgenre, la Tavistock and Portman NHS Trust, va fermer ses portes en 2023 suite à de nombreux procès de la part de filles transgenres et de nombreuses dénonciations de son personnel ayant révélé le surdiagnostic de dysphorie et poussé aux opérations précoces :

« Le GIDS a fait l’objet d’un examen approfondi ces dernières années, un certain nombre d’anciens membres du personnel ayant fait part publiquement de leurs préoccupations concernant le “surdiagnostic” de la dysphorie de genre, les conséquences des interventions médicales précoces et l’augmentation significative des renvois de filles s’interrogeant sur leur identité de genre — une tendance qui se reflète en Europe et dans le monde. » Source :
https://www.theguardian.com/society/2022/jul/28/tavistock-gender-identity-clinic-is-closing-what-happens-next
En raison de craintes pour la sécurité des patients, le service national de la santé du Royaume-Uni (NHS) a annoncé la fermeture de la plus grande clinique pédiatrique du monde spécialisée dans le traitement de la dysphorie de genre, le Gender Identity Development Service in London (GIDS), connu sous le nom de Tavistock.
Cette annonce fait suite aux recommandations émises par Dr Hilary Cass, mandatée par le gouvernement britannique pour procéder à un examen indépendant de ce service spécialisé. Le Dr Cass a estimé que le modèle de traitement fondé sur l’affirmation du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » car ses interventions reposent sur des preuves insuffisantes et son modèle de soins expose les jeunes à un « risque considérable » de mauvaise santé mentale. Récemment, la Suède et, avant elle, la Finlande en tant que pionnière, se sont distancées du modèle de traitement affirmatif du genre pour les enfants et adolescents dysphoriques.
Au-delà du cas spécifique de Tavistock, ce sont les normes de soins de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH) auxquelles se réfèrent l’Office fédéral de la santé et les médecins qui pratiquent dans les consultations spécialisées des services de pédiatrie d’hôpitaux cantonaux, qui sont ainsi mises en question.
Le rapport intermédiaire de Dr Cass souligne notamment un manque profond de preuves et de consensus médical sur la meilleure approche pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants. Il déplore qu’en dépit des controverses et des incertitudes, les services spécialisés prennent la déclaration des jeunes de se ressentir du sexe opposé comme point de départ du traitement, en négligeant les conditions de santé mentale concomitantes.
Source : https://www.amqg.ch/fermeture-tavistock

7) Les anciennes sociétés matriarcales que semblent regretter les Woke sont à l’inverse des pratiques transgenres

– dans le système matriarcal, on est conscient de faire partie d’une intelligence qui nous dépasse et nous grandit, on est précisément dans la valorisation et la sacralisation de la Nature, la compréhension et l’adaptation aux lois naturelles, et pas le contraire.

– il y a dans le transgenre une forme de scarification et d’automutilation, de castration qui rejoint la violence faite à la Terre et la violence des sociétés patriarcales. Le transgenre promu par les programmes n’a rien d’initiatique et n’a rien à voir avec les Heyokas Indiens ou « clowns sacrés » d’Amérique du Nord.

8) Collaboration avec les inégalités communautaires, oppression de la femme et inversion accusatoire

Le Fascisme, c’est précisément l’imposition d’une volonté de puissance qui exalte le masculin : physique, intellectuelle, technologique aux plus démunis : les enfants et les anciens, la femme et la Nature.
Il y a une grande hypocrisie de la part des partis de Gauche qui méprisent et dénoncent profondément les religions mais se voilent la face en acceptant que les femmes se voilent par clientélisme politique pour ce qui touche au communautarisme en défendant le patriarcat, le relativisme et le droit du plus fort plutôt que l’universalité des droits humains affichés.

Notons que l’enseignement du Christ lui-même dans les Évangiles est émancipateur pour la femme et à l’opposé du patriarcat, et à distinguer des constructions sociales des différentes branches telles que Catholicisme, Orthodoxie, Protestantisme, qui ont hérité des sociétés où elles sont nées, et où la religion a emprunté des cadres préexistants, comme l’Islam.

Le véritable réactionnaire et obscurantiste est le Woke lorsqu’il soutient une pratique extrêmement patriarcale et non inscrite dans le Coran, le Voile, en prétendant défendre un droit personnel et culturel, le Wokisme protège en réalité des courûmes patriarcales et attaque des droits humains. La charia qui permet la lapidation ou le féminicide pour adultère, tout comme la Loi ancienne juive ou les Lois de Manou des castes indiennes, est l’expression par excellence d’une « religion » du père diabolisant le corps et la femme et ne lui attribuant de valeur que dans le travail domestique ou agricole, ou cet autre « travail » qu’est la procréation, puis l’élevage des enfants, au bénéfice d’une société masculine, ce qui est la définition même de l’aliénation.
Historiquement, il est difficile de trouver modèle plus « mâle dominant violeur » que l’Islam politique qui en quelques décennies avait conquis militairement le monde de l’Espagne aux frontières de l’Inde et était déjà en de constantes guerres tribales intestines.
On peut se demander qui a intérêt à tenir la société par de si grosses ficelles, et répondre à cette question assez facilement en se souvenant que les Frères Musulmans sont les grands amis des Capitalistes, car ils sont conservateurs pour les mœurs et libéraux en économie : ils tiennent ainsi sagement la société en laisse pendant que les Capitalistes font leurs affaires.
On est donc bien loin des idéaux de la Gauche.

C’est précisément parce qu’ils sont universels que les droits doivent être défendus partout et que personne n’a le droit, dans un état de droit, de faire porter sur des descendants ou n’importe qui des problèmes historiques. 

9) De la culpabilisation à l’agression contre soi ou l’autre : psychologiquement, le Woke peut être manipulé par plusieurs choses :

– son propre ressentiment et son désir de vengeance contre une société dont il se sent exclu

– la culpabilité d’être un privilégié par son niveau ou son confort de vie

– la culpabilité des guerres occidentales contre les pays arabes et musulmans

– les arguments de certains prédicateurs musulmans

– la perspective d’une vie sans culpabilité

– le confort et le soulagement d’avoir trouvé un terrain de focalisation : son corps, ou un terrain de combat avec des responsables : ses ennemis classés à « l’extrême-droite », représentant ses propres refoulements et sa peur de voir la simple la réalité, alors qu’ils se battent précisément pour les valeurs que lui prétend défendre.

– la volonté des politiques et des néo-libéraux de diviser la société pour la contrôler, exactement comme ils ont importé de la main-d’œuvre bon marché non syndiquée et prête à tout pour casser les luttes sociales, en provenance des anciennes colonies, puis ont organisé le regroupement familial alors que commençait la crise économique des années 70, contre l’avis même de la Gauche communiste à l’époque, qu’on ne pouvait qualifier de fasciste.

10) De Francis Bacon au Woke : la modernité scientifique vise à la soumission du vivant jusqu’au nucléaire, aux OGM, à la culture des cellules souches, aux vaccins ARNm, et au Transgenre à travers le viol de tous les sanctuaires naturels ou humains.

La domination biologique de la Nature est l’essence même du patriarcat scientifique, religieux et sociétal. À partir du travail du philosophe David Fideler

Le père de la « Modernité » anglaise, modèle fondateur de la méthode scientifique occidentale, fut Francis Bacon (1561-1626). Il participa lui-même à des procès contre des « sorcières » et a expliqué dans son ouvrage Novum Organum (« Un nouvel Organe », titre très révélateur dans ce sujet touchant au patriarcat et au transgenre…), que la science était comme « une inquisition », que la nature devait être « l’esclave de l’humanité », qu’elle se révèle lorsqu’elle est « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée » « La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de “recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin” et d’établir la “domination de l’homme sur l’univers.” En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la “naissance véritablement masculine du temps” et fera de la nature “l’esclave de l’homme”, écrit en citant Francis Bacon le philosophe américain David Fideler auteur de Restoring the Soul of the World, Our Living Bond with Nature’s Intelligence (Inner Traditions, 2014, “Restaurer l’Âme du monde, notre lien vivant avec l’intelligence de la Nature”, non traduit).

Un viol scientifique et technologique que prolongent le Woke et le Transgenre

11) “La nouvelle expérience : mettre la nature au pilori” Intégralité de l’article de David Fideler :

“Au fur et à mesure que la nature était modelée en machine pendant la période de la révolution scientifique, un nouvel esprit a commencé à naître dans lequel la nature n’était pas considérée comme ayant une valeur intrinsèque, mais seulement comme un objet d’utilisation humaine — et comme un objet de contrôle technologique.
Écrivant vers la fin du XVIe siècle, Francis Bacon a utilisé, pour décrire cette nouvelle idée de domination de l’homme sur la nature, un langage dont l’imagerie est choquante pour de nombreux lecteurs contemporains. Ce bref extrait de la philosophie de Bacon est tiré de L’âme du monde, chapitre 8, ‘In the Name of Utility: L’exploitation de la nature et le déclin du plaisir ».

À l’instar de René Descartes dans sa quête d’une science universelle, Francis Bacon (1561-1626) a parlé d’un novum organum, un ‘nouvel instrument’ de recherche humaine qui satisfera les ambitions impériales de l’humanité sur le monde naturel. Cette nouvelle méthode, écrit-il, s’appliquera ‘non seulement aux sciences naturelles mais à toutes les sciences’ et ‘embrassera tout’. La nouvelle méthode d’enquête permettra une connaissance universelle et objectivée. Elle est comme un instrument, ‘une nouvelle machine pour l’esprit’, qui guidera infailliblement l’humanité pour comprendre le monde tel qu’il est réellement. Dans ce processus de connaissance de la réalité, Bacon nous assure que l’esprit ne sera pas ‘laissé à lui-même, mais guidé à chaque pas et que l’affaire sera faite comme par une machine’. De cette façon, l’humanité acquerra une connaissance infaillible et une maîtrise totale de la nature.
La clé de la domination de la nature par Bacon réside dans la méthode expérimentale, et la ligne de démarcation entre expérimentation et domination n’est jamais distincte. La seule raison de l’expérimentation, en premier lieu, est d’acquérir le pouvoir sur le monde. Comme le souligne Carolyn Merchant, l’image de la nature qui guide Bacon est celle d’une femme qui attend d’être dominée et violée, et il jure à ses lecteurs que la nouvelle philosophie fera de la nature l’” esclave même de l’humanité ».
Bacon a écrit que « la nature se montre plus clairement sous les épreuves et les vexations de l’art que lorsqu’elle est laissée à elle-même ». En d’autres termes, la voie sûre vers la compréhension passe par l’expérimentation mécanique. Pour Bacon, l’expérimentation est « une inquisition », dans laquelle la nature est contrainte de livrer ses secrets cachés. Dans le cadre de ses fonctions professionnelles, Bacon était un inquisiteur légal impliqué dans les procès de sorcellerie contemporains, ce qui a profondément influencé son langage et son imagerie concernant la domination de la nature. Au cours de ces procès, des confessions étaient arrachées par la torture à des femmes innocentes exposées sur le chevalet. De la même manière, Bacon insiste sur le fait que les expériences mécaniques de la nouvelle philosophie doivent approcher la nature « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée ». Grâce à l’expérimentation, il sera possible de faire avouer à la nature des choses qu’elle ne pourrait pas avouer dans le cadre d’un examen moins rigoureux. Mais une fois son secret dévoilé, on peut la forcer à le révéler encore et encore. Ainsi, Bacon explique que le chercheur scientifique doit « suivre et pour ainsi dire traquer la nature dans ses pérégrinations, et vous pourrez, quand vous le voudrez, la conduire et la ramener au même endroit ». Grâce à cette expérimentation, l’homme pourra « pénétrer plus avant », dépasser « les cours extérieures de la nature » et « trouver enfin un chemin vers ses chambres intérieures ».
Puisque la mesure du savoir est le pouvoir, la nouvelle philosophie vise les découvertes utiles. Ainsi, écrit Bacon, les arts mécaniques ne se contentent pas « de guider avec douceur le cours de la nature ; ils ont le pouvoir de la conquérir et de la soumettre, de l’ébranler dans ses fondements ». Puisque « la domination de l’homme sur la nature ne repose que sur la connaissance », la clé de la maîtrise du monde par l’homme réside dans la recherche scientifique organisée. De cette façon, les découvertes de nombreux chercheurs seront réunies dans une entreprise commune et le savoir s’accroîtra progressivement. Bacon appelle à un effort commun, exhortant tous les hommes à faire la paix entre eux afin qu’ils puissent se tourner « avec des forces unies contre la Nature des choses, pour prendre d’assaut et occuper ses châteaux et ses forteresses, et étendre les frontières de l’empire humain, aussi loin que Dieu tout-puissant dans sa bonté puisse le permettre ». La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de « recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin » et d’établir la « domination de l’homme sur l’univers. » En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la « naissance véritablement masculine du temps » et fera de la nature « l’esclave de l’homme ».

12) L’EVRAS en Belgique

En Belgique, depuis 2012, l’EVRAS, Éducation à une Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle, est une matière obligatoire, même si tous les établissements n’obéissent pas, en particulier ceux l’enseignement catholique.
L’EVRAS se présente comme une prévention contre l’hypersexualisation et la pornographie dans la société, phénomènes entraînant de mauvais repères et un mauvais vécu sexuel, et une information contre la discrimination, pour promouvoir l’amour et le respect mutuel chez les jeunes.
Il s’agit d’instaurer un « climat naturel, où on peut aborder beaucoup de choses sans jugement »
Sur demande de l’école, l’EVRAS peut commencer en maternelle et il est souhaité qu’elle se poursuive tout au long du cursus scolaire, donc systématiquement chaque année. On peut regretter au passage qu’autant de moyens ne soient pas dévoués à l’enseignement de l’histoire réelle de l’Humanité, du système bancaire, des dictatures et de la mondialisation, car nul doute que nos problèmes disparaîtraient en une génération.
Des dizaines d’organisations se sont regroupées pour faire pression sur le monde politique. Afin que l’EVRAS soit généralisée. Déjà en 2010, on lisait sur le site de l’OMS :

« Madrid, 20 octobre 2010 – L’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance. » et les rapports Kinsey

Cela rappelle fortement, juste après la Deuxième Guerre mondiale, les rapports Kinsey, fortement biaisés par les catégories sociales hors-norme, telles que des prostituées, qui avaient constitué la base des sondages déterminant un état des lieux de la sexualité des Américains moyens…
Et ce n’est pas pour rien : Alfred Kinsey, professeur d’entomologie et de zoologie, est appelé le « père de la révolution sexuelle », et il avait lui-même une sexualité débridée et « complexe » (bisexualité, union libre et masochisme). Il manipula les études dans le but de faire exploser les cadres sociaux.
Les rapports Kinsey s’étendaient sur la riche sexualité des bébés auxquels à aucun moment on avait demandé s’ils étaient d’accord pour participer à ces expérimentations. Tout comme en 2021 Stéphane Bancel, le PDG néo-milliardaire de Moderna, n’avait pas demandé l’autorisation de tester son injection ARNm aux enfants de 6 mois qu’il utilisait.
Sans faire de mauvais esprit, l’EVRAS, avec son statut d’« expert », profite donc d’un énorme problème sociétal, l’hypersexualisation et la pornographie, permis et encouragé par tout un système, entre autres par la « libération sexuelle » depuis les rapports Kinsey, pour apporter une « solution » elle-même produite par le système. C’est un processus identique au processus virus/vaccin déjà produit et promu par l’OMS avec le même vocabulaire : « égalité des chances », « information », « respect », « bienveillance ».
Tout n’est certainement pas à condamner, et on peut croire aux bonnes intentions d’un certain nombre de pédagogues et intervenants EVRAS… tout comme des vaccinateurs et applicateurs zélés des mesures sanitaires. Le problème est que tout le passé des organisations et des trusts derrière ces idéologies témoigne contre eux, à commencer par le Covid. Et on connaît la suite de ce qui est présenté aux Maternelles.
Alors tout simplement, pourquoi ne pas pénaliser la pornographie violente si elle est si dommageable ? À cause des restes de la « libération sexuelle » contre l’ancien ordre moral, parce qu’il ne faut pas intervenir sur le marché qui fait loi, le plus grand crime étant d’empêcher la croissance, et parce qu’il faut continuer à déstructurer la société pour mieux lui imposer ensuite des lois absurdes et des manipulations indécelables…
Par ailleurs, si la pornographie est un problème qui touche les préadolescents ou adolescents, pourquoi en parler dès la maternelle, voire dès la naissance ?
Pourquoi ne pas associer plus étroitement les parents, en faisant une grande campagne contre la pornographie ?

Manipulation du vocabulaire et fin de la vie privée : novlangue et totalitarisme soft
Les jeunes non-hétérosexuels se disent « non-binaires »…. du coup qualifier l’hétérosexualité de « binaire », c’est un peu discriminatoire… On n’est pas loin de « primaire » et « obtus », « manichéen », les termes ne sont pas neutres…
La pudeur n’est pas nécessairement le signe d’une névrose, mais le signe qu’on a gardé le sens de l’intimité, du domaine du privé et du respect de certains sujets dont on connaît intuitivement l’enjeu capital : la Vie et l’Amour. Et parfois on voudrait juste vivre ça avec soi-même ou avec ceux qu’on a choisis.
On parle souvent de la fin de la vie privée dans les temps qui sont les nôtres. C’est une caractéristique des systèmes totalitaires. Intrusion dans la vie intime des jeunes des la naissance, suggestion de modifications physiologiques, euthanasie qui avance, on prépare la fin de la vie privée dès la naissance, et on termine par la privation de la fin de vie dans la vieillesse.
L’Amour et la Conscience sont précisément les sanctuaires et les refuges de cette vie privée, intime, nous ouvrant sur l’Universel. C’est pourquoi ils ont toujours été suspects et persécutés ou dévalorisés, aussi bien chez les marxistes que les capitalistes et les fascistes. Et les théocraties n’étaient pas en reste, car l’amour et la conscience sont ce qui nous relie directement à la transcendance, sans besoin d’idéologues ni de prêtres jaloux, laïques ou religieux. Ils nous relient à la Source et à l’Océan, et démasquent tout le factice des totalitarismes.
Version du 2 février 2023

Version du 30 janvier 2023
www.thesouloftheworld.com

Quelques pistes :

La fabrique de l’enfant transgenre, Céline Masson, Caroline Eliacheff, 2022

La fabrique de l’enfant transgenre, Céline Masson, Caroline Eliacheff, 2022

https://www.editions-observatoire.com/content/La_fabrique_de_l%E2%80%99enfant_transgenre

La théorie du genre ou le monde rêvé des anges, Bénérice Levet, Grasset, 2014

https://soseducation.org
https://www.parent.evras.be/?rp=yes

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapports_Kinsey

https://aphadolie.com/2018/08/20/du-rapport-kinsey-a-la-legalisation-progressive-de-la-pedophilie-videos/


Mauvais genre – une épidémie mondiale Documentaire de 90 minutes, réalisé par Sophie Robert

Sommes-nous face à une épidémie de transidentité chez les jeunes ? D’où vient-elle et comment expliquer ce phénomène ? Quelles en sont les conséquences ? Qu’est-ce que le transgenrisme ? « Mauvais genre – une épidémie mondiale » le premier documentaire critique de l’idéologie du genre. « Mauvais genre – une épidémie mondiale » pose la problématique générale, questionne la réalité de cette épidémie et les différents facteurs qui ont concouru à l’explosion des chiffres. Il met en évidence le phénomène des influenceurs trans, la contamination par les pairs, la fragilité spécifique des jeunes autistes/TDAH, des jeunes homosexuels (en particulier des jeunes femmes non conformes aux stéréotypes de genre) et des jeunes avec antécédents psychiatriques vis-à-vis de cette propagande. Ce film déconstruit les arguments des transactivistes et les confronte à la réalité. Il met en évidence que ce qui est présenté comme un mouvement de mode spontané chez les jeunes, de personnes victimisées et brimées, est piloté par de puissantes associations caritatives richement dotées et une stratégie de lobbying redoutablement efficace issue des pays anglo-saxons, qui rayonne dans toute l’Europe de l’ouest.

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Ne jouons pas avec la santé de nos enfants

Par Nicole Delépine

À l’heure où l’extrême toxicité potentielle de certains lots de « vax » anticovid (la roulette russe) déferle sur tous les médias mondiaux dont certains mainstream, ce que nous — médecins et soignants — recevons de la direction générale de la santé (DGS) nous invite à vous parler une nouvelle fois des risques des injections anticovid chez les enfants, de plus parfaitement inutiles pour une maladie curable par de simples médicaments et n’ayant aucun risque létal chez l’enfant tout particulièrement.

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Que révèlent les études précliniques Moderna et Pfizer dévoilées récemment par FOIA ?

Les requêtes FOIA représentent des transmissions de documents officiels, détenus par les agences fédérales US ou d’autres pays anglo-saxons, vers qui en fait la demande. Celles-ci doivent se soumettre à une loi promulguée en 1966, intitulée « Freedom Of Information Act », qui les oblige en théorie à s’exécuter, hormis quand ces documents doivent rester frappés du secret (*). Les dossiers préparatoires aux agréments des vaccins anti-Covid y sont détenus et quand ils sont exhumés, ce qui paradoxalement se révèle très long et difficile, de vilaines surprises ainsi que d’énormes mensonges voient brutalement le jour : « Ils » savaient déjà à l’avance ce que « nous » avions fini par comprendre à l’usage, merci à Hélène Banoun de nous éclairer encore une fois sur cette éclatante preuve de fraude à la science. Bonne lecture.

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Stupeur en Allemagne: 10 fois plus de morts subites depuis 2021

Il a fallu invoquer les droits à l’information et à la transparence pour obtenir auprès de l’association allemande des médecins conseils des caisses d’assurances maladie les données concernant les différents effets indésirables suivant la vaccination Covid. La KBV, la Kassenartzliche Bundesvereinigung, s’est finalement exécutée fin novembre suite à l’insistance de Edgar Franke, parlementaire social-démocrate au Bundestag qui s’étonnait de ne pas voir de rapport sur cette question à l’Institut Paul Ehrlich.

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Incidence non négligeable des myocardites après 3ème dose de vaccin à ARN messager anti-COVID 19

Il n’existait avant cette étude aucune donnée prospective sur les lésions myocardiques post vaccinales lors de la vaccination par un vaccin à ARNm. Seules les myocardites les plus graves hospitalisées ont été rapportées, touchant majoritairement les hommes de moins de 18 ans.
L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives.
Les lésions myocardiques touchent plus les femmes contrairement à ce qui est décrit dans les études précédentes.
La possibilité de doses répétées de vaccin afin de maintenir la couverture vaccinale efficace doit mener à une grande prudence concernant de possibles lésions myocardiques à répétition et leurs impacts sur d’éventuelles complications cardio-vasculaires.

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À quel moment surviennent les effets secondaires liés à la vaccination anti-Covid ?

On savait que les effets indésirables des vaccins demeuraient sous déclarés de 90 à 99%, leur « décompte rassurant » ne rassurait en réalité aucun observateur éveillé. Mais, si en plus, la durée habituelle d’enregistrement des effets indésirables, 6 semaines, se révèle dramatiquement trop courte, quel chiffre absolument catastrophique d’accidents post-vaccinaux se cache encore derrière cette double erreur de méthode ? Remercions chaudement les auteurs, Hélène Banoun et Patrick Provost pour ce travail franco-canadien d’une très haute valeur épidémiologique. En bonus, comment le rapport bénéfice sur risque d’un vaccin probablement défectueux dès sa conception peut se révéler catastrophique pour la santé des populations qui s’y soumettent. Bonne lecture.

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Morts subites décuplées : entretien avec Tom Lausen, l’expert qui embarrasse le Bundestag

A force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des ‘morts subites inexpliquées’ en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral.

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Les masques sont des baillons inutiles et dangereux pour la santé mentale et physique

Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :
1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.
Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.

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Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19

Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.

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Le gouvernement annonce des « Assises des dérives sectaires et du complotisme »

Face à l’augmentation de 33% des signalements selon le rapport annuel de la Miviludes, l’exécutif souhaite organiser des « assises des dérives sectaires et du complotisme » début 2023, annonçant au passage la création de nouveaux outils, dont un numéro Vert pour faciliter les signalements.
Le point de vue de Nicole Delépine

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Aux États-Unis, la Cour suprême ordonne la réintégration des soignants : la victoire judiciaire de Perronne mènera-t-elle au même scénario en France ?

Aux États-Unis, le 24 octobre 2022, la Cour suprême de New York a déclaré la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle et ordonné la réintégration des soignants avec rétroactivité des salaires.
Il devient urgent que le gouvernement français dépose un projet de loi d’amnistie générale concernant tous les soignants poursuivis sur le plan disciplinaire, à l’occasion de leurs prises de position sur la politique vaccinale contre la Covid-19.
La victoire du Pr Perronne n’est qu’une étape. N’oublions pas les autres soignants. Une bataille a été gagnée, mais pas la guerre.

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Lettre recommandée avec A.R aux membres de COVARS sur la non efficacité des masques en population générale et leurs effets délétères

L’association BonSens.org a envoyé par RAR aux membres de COVARS ainsi qu’aux ministres François Braun et Sylvie Retailleau, une lettre faisant le point sur les données de la science concernant le port du masque généralisé, concluant à l’inefficacité et aux effets délétères potentiels, particulièrement chez les enfants. Nous avons désormais reçu tous les accusés réception de ces envois.

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Lettre recommandée avec A.R aux membres de COVARS sur la non efficacité des masques en population générale et leurs effets délétères Lire la suite »

RNm du sars-cov-2 dans le noyau : impossible nous disait-on !

Une étude non relue par les pairs a montré la possibilité pour la protéine Spike et l’ARNm qui la code d’accéder au noyau de cellules infectées par le SARS-CoV-2 grâce à un signal de localisation nucléaire porté par la Spike au niveau du site de clivage furine, site absolument unique parmi les coronavirus.

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RNm du sars-cov-2 dans le noyau : impossible nous disait-on ! Lire la suite »

Les rapports du gouvernement prouvent que la vaccination COVID tue des centaines de milliers de personnes chaque semaine. Des documents confidentiels de Pfizer confirment ces faits.

Source : L’Exposé 16 octobre 2022

expose–news-com.translate.goog /2022/10/16/covid-jab-killing-millions-gov-knew-it-would-happen/

Vous trouverez peut-être certaines des affirmations suivantes initialement difficiles à croire. Mais nous pouvons vous assurer que chacun a été extrait de documents officiels approuvés par le gouvernement.

Si vous êtes prêt à continuer à lire, vous êtes sur le point de tomber sur la sélection la plus complète de preuves qui prouvent que la vaccination contre le Covid-19 provoque en fait un dépeuplement massif, et votre gouvernement savait que cela se produirait.

Nous référencerons chaque document pour que vous puissiez «vérifier les faits» vous-même .


Ne perdons pas le contact… Votre gouvernement et Big Tech tentent activement de censurer les informations rapportées par TheExposer pour servir leurs propres besoins. Abonnez-vous maintenant pour vous assurer de recevoir les dernières nouvelles non censurées dans votre boîte de réception…


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Décès excessifs

L’Europe enregistre un excès de décès par rapport à la moyenne 2016-2019 sur une base hebdomadaire et ce, toute l’année.

Eurostat est l’office statistique de l’Union européenne, responsable de la publication de statistiques et d’indicateurs européens de haute qualité permettant des comparaisons entre pays et régions.

Le graphique suivant est tiré du site Web d’Eurostat et a été publié le 13 octobre 2022. Il montre la surmortalité à travers l’Europe pour le mois d’août –

La source

Ce qui précède n’est pas unique. C’est la même vieille histoire toute l’année, mais personne n’en parle.

Le graphique suivant montre la surmortalité en Europe pour le mois de juin –

La source

C’était une histoire similaire à travers l’Europe en mai 2022 également –

La source

Nous constatons également des milliers de décès supplémentaires chaque semaine en Angleterre et au Pays de Galles.

L’Office for National Statistics (ONS) publie des chiffres hebdomadaires sur les décès enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles.

Le graphique suivant, créé par l’Office des statistiques nationales (ONS), montre le nombre de décès par semaine jusqu’au 16 septembre 2022, par rapport à la moyenne sur 5 ans, et il prouve que la tendance des décès excédentaires hebdomadaires en 2022 a commencé vers le fin avril –

La source

Parce que le graphique fourni par l’ONS est médiocre pour disséquer les chiffres de décès, nous avons téléchargé les chiffres officiels de l’ONS sur les décès, que vous pouvez faire vous-même ici , et créé des graphiques pour découvrir la véritable gravité de la situation depuis avril 2022.

Le graphique suivant montre le nombre de décès en excès chaque semaine entre la semaine 16 et la semaine 37 de 2022 par rapport à la moyenne sur cinq ans –

La seule semaine où l’Angleterre et le Pays de Galles n’ont enregistré aucun décès excessif au cours des 22 semaines entre le 16 avril et le 16 septembre est la semaine 22. Cependant, cela est très probablement dû à la sous-déclaration des décès en raison du fait que cette semaine est le week-end férié prolongé pour la fin Jubilé de platine de la reine Elizabeth II.

La pire semaine pour les décès en excès au cours de cette période a été la semaine 19. C’était la semaine se terminant le 15 mai et elle a enregistré 2 208 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles.

Depuis lors, le nombre moyen de décès excédentaires par semaine est égal à 1 145,1, variant principalement d’environ 1 000 à 1 700+ par semaine.

Le graphique suivant montre le nombre total de décès entre la semaine 16 et la semaine 37 de 2022 par rapport au nombre moyen de décès sur cinq ans et au nombre total de décès excédentaires en 2022 –

Malheureusement, près de 26 000 personnes de plus que prévu sont mortes.

Mais revenons à l’Europe.

Les chiffres officiels fournis par 29 pays européens confirment qu’il y a eu plus de décès excédentaires en 2022 dans toute l’Europe qu’en 2020 au plus fort de la pandémie de Covid-19, ainsi qu’en 2021 où une énorme quantité de décès s’est produite suite à l’autorisation d’utilisation d’urgence du Covid -19 injections.

Malheureusement, l’analyse montre que l’augmentation en 2022 est due à tant d’enfants et de jeunes adultes qui meurent désormais chaque semaine.

EuroMOMO est une activité européenne de surveillance de la mortalité. L’organisation précise que son objectif est de « détecter et mesurer les surmortalités liées à la grippe saisonnière, aux pandémies et autres menaces de santé publique ».

Des statistiques nationales officielles sur la mortalité sont fournies chaque semaine par les 29 pays européens ou régions infranationales du réseau collaboratif EuroMOMO, soutenu par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et hébergé par le Statens Serum Institut , Danemark.

À la semaine 37 de 2022, l’Europe avait enregistré 243 617 décès supplémentaires.

Au cours de la même période en 2020 (semaine 0 à semaine 37), 233 737 décès supplémentaires ont été enregistrés. Ceux-ci étaient principalement étiquetés comme des décès de Covid-19.

Au cours de la même période en 2021, il y a eu 231 956 décès supplémentaires. Une grande partie d’entre eux auront été étiquetés comme Covid-19 à l’hiver 2021, mais les injections de Covid-19 auraient dû mettre un terme à la fois aux décès présumés de Covid-19 et à une énorme augmentation des décès en excès.

Données source

Malheureusement, ce n’est pas le cas.

À la semaine 37, l’Europe avait officiellement enregistré 9 880 décès supplémentaires en 2022 par rapport à 2020 au plus fort de la pandémie.

Il a également officiellement enregistré 11 661 décès supplémentaires en 2022 par rapport à 2021, malgré le fait qu’il y a eu une prétendue énorme vague de décès de Covid-19 au début de 2021.

La question est pourquoi?

Eh bien, il existe de nombreuses preuves suggérant que ce sont les injections de Covid-19 qui contribuent maintenant au nombre important de décès excessifs qui se produisent encore semaine après semaine.

1 personne vaccinée sur 73 était décédée en mai 2022 en Angleterre

Le tableau suivant montre le nombre total de décès suite à la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022 sur la base des chiffres fournis par l’ONS

Données source

Le graphique suivant montre la couverture vaccinale totale par rapport au refus total de vaccination en Angleterre par dose –

Les données du graphique ont été extraites de la page 65 du rapport Weekly National Influenza and Covid-19 Surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire – Semaine 27 ,

Par conséquent, sur la base du fait que 44,48 millions de personnes avaient reçu au moins une dose d’un vaccin Covid-19 en Angleterre, et 606 537 décès parmi les vaccinés, cela équivaut à 1 personne vaccinée Covid-19 sur 73 étant malheureusement décédée à la fin de mai 2022.

Les vaccins Covid-19 sont au moins 75 fois plus mortels que tous les autres vaccins combinés

Le UK Medicine Regulator a confirmé que sur une période de dix-neuf mois, les vaccins Covid-19 ont causé au moins 5,5 fois plus de décès que tous les autres vaccins disponibles combinés au cours des 21 dernières années.

Cela signifie que, lorsqu’elles sont comparées côte à côte, les injections de Covid-19 sont choquantes de 7 402% / 75x plus mortelles que tous les autres vaccins disponibles au Royaume-Uni.

Le UK Medicine Regulator a révélé en réponse à une demande d’accès à l’information qu’il avait reçu un total de 404 effets indésirables signalés à tous les vaccins disponibles (à l’exclusion des injections Covid-19) associés à une issue fatale entre le 1er janvier 2001 et le 25 août. 2021 – une période de 20 ans et 8 mois.

Le UK Medicine Regulator a également révélé qu’au 13 juillet 2022, ils avaient reçu 2 213 effets indésirables signalés aux vaccins Covid-19 associés à une issue fatale.

Données source

Vingt ans et 8 mois, c’est une période 13,7 fois plus longue que la période de dix-neuf mois où les vaccins Covid-19 ont été déployés.

Par conséquent, le nombre de décès signalés pour tous les autres vaccins combinés au cours de la même période de dix-neuf mois équivaut à 29,5 décès.

Cela signifie que les injections de Covid-19 se révèlent être 7 402 %/75 fois plus mortelles que tous les autres vaccins disponibles au Royaume-Uni.

Les taux de mortalité sont les plus bas parmi les non vaccinés dans chaque groupe d’âge

Les trois graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels normalisés selon l’âge selon le statut vaccinal pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d’âge. Vous pouvez cliquer sur chaque graphique pour l’agrandir –

Données source
Données source
Données source

Les données ont été extraites du tableau 2 de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni ‘ Decess by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 ‘, qui peut être consulté sur le site de l’ONS ici , et téléchargé ici .

Au cours de chaque mois depuis le début de 2022, les personnes partiellement et doublement vaccinées de chaque groupe d’âge étaient plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées du même groupe d’âge. Et en mai 2022 au plus tard, les triples vaccinés de chaque groupe d’âge étaient plus susceptibles de mourir que les non vaccinés du même groupe d’âge.

Cela ne peut pas simplement s’expliquer par le fait que plus de personnes sont vaccinées car il s’agit de taux pour 100 000 habitants.

Il faut environ 5 mois pour que la vaccination contre le Covid-19 tue des milliers de personnes

La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2021, et voici les chiffres sur les taux de mortalité par statut vaccinal dans les 4 mois suivants –

Les données ont été extraites du tableau 1 de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni ‘ Decess by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 ‘, qui peut être consulté sur le site de l’ONS ici , et téléchargé ici .

Les personnes non vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles de mourir de toute cause autre que Covid-19 que la population vaccinée en janvier et février 2021, avant que les taux ne semblent se normaliser fin avril.

Mais regardez ce qui s’est passé à partir de mai 2021 –

Tout à coup, la population vaccinée dans son ensemble était plus susceptible de mourir que les non vaccinés de toute cause autre que Covid-19, et cette tendance s’est poursuivie mois après mois depuis.

Il ne faut donc pas s’étonner de savoir pourquoi environ cinq mois après la campagne de rappel de Covid-19, les taux de mortalité parmi les triples vaccinés ont dépassé les taux de mortalité parmi les non vaccinés.

La vaccination contre le Covid-19 affaiblit le système immunitaire

Le graphique suivant montre les taux de cas de Covid-19 pour 100 000 par statut vaccinal en Angleterre entre la semaine 51 2021 et la semaine 12 2022 –

Cliquez pour agrandir

Les données ont été extraites des tableaux trouvés dans les rapports de surveillance des vaccins de la semaine 3 , de la semaine 7 et de la semaine 13 de la UK Health Security Agency.

Ce qui précède montre une amélioration rapide des taux de cas parmi la population non vaccinée dans chaque groupe d’âge sur trois mois, et une augmentation effrayante des taux de cas pour 100 000 chez les personnes triplement vaccinées dans chaque groupe d’âge sur une période de trois mois.

En fait, la différence entre les deux groupes était si importante qu’à la semaine 12 de 2022, l’efficacité du vaccin dans le monde réel s’avérait aussi faible que moins 391 % chez les 60 à 69 ans. Cela avait chuté d’une efficacité déjà préoccupante de moins-104,7% parmi le même groupe d’âge à la semaine 2 de 2022.

Formule de Pfizer : Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / Taux de cas non vaccinés x 100 = Efficacité du vaccin

Mais soyons absolument clairs. Malgré une campagne médiatique de masse pour vous faire croire qu’il est essentiel d’obtenir un rappel pour «renforcer votre immunité» en raison de la baisse d’efficacité, il est en fait impossible que l’efficacité du vaccin diminue en ce qui concerne les injections de Covid-19.

Le vaccin Covid-19 est censé fonctionner en injectant de l’ARNm dans votre corps, qui envahit ensuite vos cellules et leur ordonne de fabriquer la protéine de pointe trouvée dans le prétendu virus SARS-CoV-2. Une fois que votre corps a produit des millions de protéines de pointe, votre système immunitaire est censé se mettre au travail, débarrasser le corps des protéines de pointe, puis n’oubliez pas de libérer ces mêmes anticorps si jamais vous rencontrez le virus présumé du SRAS-CoV-2.

Ainsi, lorsque les autorités déclarent que l’efficacité des vaccins s’affaiblit avec le temps, ce qu’elles veulent vraiment dire, c’est que la performance de votre système immunitaire s’affaiblit avec le temps.

Le problème que nous voyons dans les données du monde réel est que le système immunitaire ne revient pas à l’état naturel observé chez la plupart de la population non vaccinée. Si c’était le cas, nous verrions une efficacité du vaccin proche de 0 %, et non un moins choquant de 391 %. Cela signifie que la vaccination contre Covid-19 endommage le système immunitaire, et nous voyons cela se refléter dans les chiffres de décès de Covid-19.

9 décès de Covid-19 sur 10 en 2022 ont été parmi la population vaccinée

Le graphique suivant montre les décès de Covid-19 par mois par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier et le 31 mai 2022 –

Les données ont été extraites du tableau 1 de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni ‘ Decess by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 ‘, qui peut être consulté sur le site de l’ONS ici , et téléchargé ici .

Janvier a vu le plus de décès parmi la population vaccinée et non vaccinée en Angleterre, avec 3 914 décès parmi les vaccinés et 693 décès parmi les non vaccinés. Mais là s’arrêtent les similitudes car on constate qu’à l’exception du mois de mai, les décès ont augmenté chez les vaccinés à partir de février, tandis qu’ils ont baissé chez les non vaccinés.

Le graphique suivant montre le pourcentage de décès de Covid-19 par statut vaccinal par mois en Angleterre entre le 1er janvier et le 31 mai 2022, selon le dernier ensemble de données de l’ONS –

Le graphique ci-dessus illustre parfaitement comment les choses se sont aggravées pour les vaccinés mois après mois, alors qu’elles se sont améliorées pour les non vaccinés mois après mois.

En janvier, les vaccinés représentaient 85 % des décès liés au Covid-19, tandis que les non vaccinés représentaient 15 %. En mars, les vaccinés représentaient 93% des décès de Covid-19, tandis que les vaccinés ne représentaient que 7%. Et en mai, les vaccinés représentaient 94% des décès de Covid-19, tandis que les vaccinés ne représentaient que 6%.

Les décès de nouveau-nés sont à des niveaux critiques et les taux de natalité sont en baisse

Les chiffres officiels révèlent que le taux de décès néonatals est passé à 4,6 pour 1000 naissances vivantes en mars 2022, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu en Écosse. Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a franchi un seuil d’alerte supérieur appelé «limite de contrôle» pour la deuxième fois en au moins quatre ans.

La dernière fois qu’il a franchi une brèche, c’était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1000 naissances vivantes ont grimpé à 5,1. Bien que le taux fluctue d’un mois à l’autre, le chiffre pour septembre 2021 et mars 2022 est comparable aux niveaux qui ont été généralement observés pour la dernière fois à la fin des années 1980.

La source

Public Health Scotland (PHS) n’a jamais officiellement annoncé qu’il lançait une enquête, mais c’est ce qu’il est censé faire lorsque le seuil d’alerte supérieur est atteint, et il l’a fait en 2021.

À l’époque, PHS a déclaré que le fait que la limite de contrôle supérieure ait été dépassée  » indique qu’il y a une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui peuvent avoir contribué au nombre de décès survenus « .

Cependant, le 30 septembre, le gouvernement écossais est intervenu et a annoncé qu’il commandait enfin une enquête attendue depuis longtemps sur les décès néonatals en Écosse depuis que le vaccin Covid-19 a été approuvé pour la première fois.

Le gouvernement écossais déclare que «l’examen couvrira tous les décès signalés en Écosse entre le 1er avril 2021 et le 31 mars 2022 pour savoir s’il y a quelque chose qui aurait pu contribuer à l’augmentation. Tout ce qui sera identifié alimentera les recommandations et les actions visant à améliorer la qualité des soins pour la mère et les bébés. »

Pendant ce temps, les données officielles provenant d’Allemagne montrent que les taux de natalité ont chuté de façon spectaculaire.

Les données officielles sur les naissances allemandes ont été récemment publiées et mises à jour jusqu’en avril 2022  et elles continuent d’afficher une baisse de 11 % par rapport à la moyenne des 7 dernières années et une baisse de 13 % par rapport à 2021.

La source
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La vaccination contre le Covid-19 augmente le risque de faire une fausse couche d’au moins 1 517 %

Selon la base de données des événements indésirables sur les vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control (CDC) , en avril 2022, un total de 4 113 décès fœtaux avaient été signalés comme réactions indésirables aux injections de Covid-19, dont 3 209 contre le Injection de Pfizer.

Le CDC a admis que seulement 1 à 10% des effets indésirables sont effectivement signalés au VAERS, par conséquent, le chiffre réel pourrait être bien pire. Mais pour mettre ces chiffres en perspective, seuls 2 239 décès fœtaux ont été signalés au VAERS au cours des 30 années précédant l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections de Covid-19 en décembre 2020. (Source)

Et une autre étude qui peut être consultée ici a révélé que le risque de faire une fausse couche après la vaccination contre le Covid-19 est 1 517 % plus élevé que le risque de faire une fausse couche après la vaccination contre la grippe.

La source

Le vrai risque pourrait cependant être beaucoup plus élevé car les femmes enceintes sont un groupe cible pour la vaccination contre la grippe, alors qu’elles ne représentent jusqu’à présent qu’un petit groupe démographique en termes de vaccination contre le Covid-19.

La vaccination contre le Covid-19 augmente le risque de développer un cancer

Le tableau suivant montre le nombre d’événements indésirables liés au cancer signalés aux Centers for Disease Control (CDC) aux États-Unis contre les vaccins contre la grippe (2008 à 2020) et les vaccins Covid-19 (décembre 2020 à août 2022) –

La source

Les données ont été extraites du CDC Vaccine Adverse Event Reporting System trouvé ici .

Bien que choquant, ce qui précède ne représente pas correctement la gravité de la situation.

Selon ‘Our World in Data’ , au 9 août 2022, 606 millions de doses de vaccins Covid-19 ont été administrées aux États-Unis. Cela signifie qu’il y a eu en fait près de 3 fois plus de vaccins contre la grippe administrés entre 2008 et 2020 que d’injections de Covid-19 depuis la fin de 2020, sans parler de tous les autres vaccins qui ont été administrés.

Sur la base des chiffres ci-dessus fournis par le CDC, le nombre d’événements indésirables liés au cancer signalés pour 100 000 doses de vaccin contre la grippe administrées équivaut à seulement 0,0003 pour 100 000 doses.

Mais le nombre d’événements indésirables liés au cancer signalés pour 100 000 doses de vaccin Covid-19 administrées équivaut à 0,43 pour 100 000 doses.

Cela signifie que la vaccination contre le Covid-19 est 1433,33 fois plus susceptible de provoquer un cancer que la vaccination contre la grippe, ce qui suggère qu’elle augmente le risque de cancer. Et il existe des preuves scientifiques pour expliquer comment cela peut se produire.

La voie de réparation de l’ADN par recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.

Et en octobre 2021, deux scientifiques vénérés, appelés Jiang et Mei, ont fait publier un article, après examen par les pairs, dans MDPI , montrant que la protéine de pointe du SRAS-Cov-2 a effacé le mécanisme de réparation de l’ADN dans les lymphocytes.

La protéine de pointe virale était si toxique pour cette voie qu’elle en a éliminé 90 %. Si toute la protéine de pointe pénétrait dans le noyau (dans les ovaires) et qu’une quantité suffisante était produite et traînait assez longtemps avant que le corps ne puisse s’en débarrasser, cela provoquerait un cancer.

Heureusement, dans le cas d’une infection naturelle, il est peu probable que cela se produise. Mais les «vaccins» expérimentaux à base d’ARNm induisent la production de protéines de pointe dans et autour du noyau cellulaire et cela se produit pendant au moins 60 jours et presque certainement plus longtemps.

Dépeuplement

Lorsque nous associons le fait que des centaines de milliers de décès supplémentaires sont enregistrés dans le monde chaque semaine avec le fait que les taux de natalité chutent et que les décès de nouveau-nés sont à des niveaux critiques, nous pouvons voir comment cela va conduire ou provoquer une dépopulation.

Et lorsque nous associons cela au fait que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les vaccinés dans chaque groupe d’âge, la vaccination Covid-19 endommage le système immunitaire et augmente le risque de faire une fausse couche, nous pouvons voir comment la vaccination Covid-19 pourrait être à blâmer pour la situation.

Cependant, il existe de nombreuses autres preuves pour confirmer le fait que la vaccination contre le Covid-19 est entièrement responsable du dépeuplement qui a suivi, et ces preuves sont contenues dans des documents confidentiels qui ont été rassemblés au début de 2021, prouvant que votre gouvernement savait que tout cela était sur le point de se produire et a choisi de ne rien faire à ce sujet.

90 % des femmes enceintes vaccinées contre le Covid-19 ont perdu leur bébé, mais votre gouvernement et les régulateurs des médicaments ont choisi d’ignorer les données

La  Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin COVID-19 de Pfizer pendant 75 ans malgré l’approbation de l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le  11 décembre 2020 .

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman leur a ordonné de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages fin janvier.

Depuis lors, PHMPT a publié tous les  documents  sur son site Web. La dernière baisse s’est produite le 1er juin 2022 .

L’un des documents contenus dans le vidage de données est ‘reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf’ . La page 12 du document confidentiel contient des données sur l’utilisation de l’injection Pfizer Covid-19 pendant la grossesse et l’allaitement.

Pfizer déclare dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Quarante-six pour cent des mères (124) exposées à l’injection Pfizer Covid-19 ont subi une réaction indésirable.

Sur ces 124 mères souffrant d’un effet indésirable, 49 ont été considérées comme des effets indésirables non graves, tandis que 75 ont été considérées comme graves. Cela signifie que 58% des mères qui ont déclaré avoir subi des effets indésirables ont subi un événement indésirable grave allant de la contraction utérine à la mort fœtale.

Source – Page 12

Au total, 4 cas graves de fœtus/bébés ont été signalés en raison d’une exposition à l’injection de Pfizer.

Mais voici où les choses deviennent plutôt préoccupantes. Pfizer déclare que sur les 270 grossesses, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre elles.

Mais voici les résultats connus des grossesses restantes –

Source – Page 12

Il y avait 34 résultats au total au moment du rapport, mais 5 d’entre eux étaient toujours en attente. Pfizer note que seulement 1 des 29 résultats connus étaient normaux, tandis que 28 des 29 résultats ont entraîné la perte/la mort du bébé. Cela équivaut à 97% de tous les résultats connus de la vaccination contre le Covid-19 pendant la grossesse entraînant la perte de l’enfant.

Lorsque nous incluons les 5 cas où le résultat était toujours en attente, cela équivaut à 82% de tous les résultats de la vaccination contre le Covid-19 pendant la grossesse entraînant la perte de l’enfant. Cela équivaut à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et 97 %.

Pfizer et les régulateurs de médicaments ont caché les dangers de la vaccination contre le Covid-19 pendant la grossesse en raison d’une étude animale révélant un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité

Voici les conseils tirés du document ‘REG 174 INFORMATION FOR UK HEALTHCARE PROFESSIONALS’ du gouvernement britannique –

C’est ainsi que se lisaient les directives en décembre 2020 de toute façon. Malheureusement, à peine un mois plus tard, le gouvernement britannique et d’autres gouvernements du monde entier ont révisé ces directives pour qu’elles se lisent comme suit :

Source – Page 7

Il s’agit toujours des directives officielles en juin 2022, et conduit à plusieurs questions nécessitant des réponses urgentes si l’on considère que depuis début 2021, on a dit aux femmes enceintes que la vaccination contre le Covid-19 est parfaitement sûre.

Il suffit de regarder les choses qu’on a dit aux femmes d’éviter pendant la grossesse avant de se faire dire qu’il est parfaitement sûr de prendre une injection expérimentale pour réaliser que quelque chose ne va pas ici –

  • Poisson fumé,
  • Fromage à pâte molle,
  • Peinture fraîche,
  • Café,
  • Thé aux herbes,
  • Suppléments de vitamines,
  • Malbouffe transformée.

Ce ne sont que quelques-uns, et la liste est interminable.

Commençons donc par la section « Grossesse » des directives officielles. En décembre 2020, la directive indiquait que « la vaccination contre le Covid-19 n’est pas recommandée pendant la grossesse ». À peine un mois plus tard, cette directive indiquait que  » les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs sur la grossesse, etc. « 

Jetons donc un coup d’œil aux études animales en question.

Mais avant de le faire, il convient de souligner que les directives officielles indiquent, à partir de juin 2022, que « l’administration du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus ». . Alors, pourquoi diable toutes les femmes enceintes ont-elles été activement contraintes de recevoir cette injection ?

L’étude limitée sur les animaux dont il est question dans les directives officielles a en fait révélé le risque de dommages importants pour le fœtus en développement, mais les régulateurs des médicaments aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie ont activement choisi de supprimer ces informations des documents publics.

L’étude proprement dite peut être consultée dans son intégralité ici et s’intitule  » Absence d’effets sur la fertilité féminine et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats avec BNT162b2, un vaccin COVID-19 à base d’ARNm «  .

L’étude a été réalisée sur 42 rats femelles Wistar Han. Vingt et un ont reçu l’injection Pfizer Covid-19, et 21 ne l’ont pas été .

Voici les résultats de l’étude –

La source

Les résultats du nombre de fœtus observés comme ayant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin étaient de 3/3 (2,1). Mais les résultats du nombre de fœtus à avoir des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné étaient de 6/12 (8,3). Ainsi, en moyenne, le taux de survenue était de 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires également appelées côtes accessoires sont une variante peu courante des côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Donc, ce que cette étude a trouvé est la preuve d’une formation fœtale anormale et de malformations congénitales causées par l’injection Pfizer Covid-19.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « pertes avant l’implantation » dans le groupe de rats vaccinés était le double de celui du groupe témoin.

La source

La perte préimplantatoire fait référence aux ovules fécondés qui ne parviennent pas à s’implanter. Par conséquent, cette étude suggère que l’injection de Pfizer Covid-19 réduit les chances qu’une femme puisse tomber enceinte. Donc, par conséquent, augmente le risque d’infertilité.

Alors, dans ce cas, comment diable les régulateurs de la médecine du monde entier ont-ils réussi à déclarer dans leurs directives officielles que « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse » ? Et comment ont-ils réussi à affirmer « On ne sait pas si le vaccin Pfizer a un impact sur la fertilité » ?

La vérité est qu’ils ont activement choisi de le dissimuler.

Nous le savons grâce à une demande de liberté d’information (FOI) adressée au ministère australien de la Santé Therapeutic Goods Administration (TGA).

Un document intitulé « Aperçu du délégué et demande d’avis de l’ACV » qui a été créé le 11 janvier 2021 a été publié dans le cadre de la demande FOI. La page 30 et suivantes du document présente un « examen des informations sur le produit » et met en évidence les modifications qui doivent être apportées au « Rapport d’évaluation non clinique » avant la publication officielle.

Les modifications ont été demandées par Pfizer avant la prochaine mise à jour des informations sur le produit.

Certaines de ces modifications demandées étaient les suivantes –

L’évaluateur du module 4 a demandé à Pfizer de retirer son affirmation selon laquelle « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la toxicité pour la reproduction ».

Pourquoi?

L’évaluateur du module 4 a indiqué à Pfizer que la « catégorie de grossesse B2 » était considérée comme appropriée et a demandé qu’ils ajoutent la ligne suivante :

« Une étude combinée de fertilité et de toxicité pour le développement chez le rat a montré une augmentation de la fréquence des côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus de rats femelles traités par COMIRNATY ».

Mais voici un rappel de la façon dont le document officiel délivré au grand public se lit –

Source – Page 7

La catégorie de grossesse a été changée en ‘B1’, aucune ligne n’a été incluse sur l’occurrence accrue de côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus, et ils ont à la place inclus la ligne dont la suppression a été demandée en affirmant que « les études animales n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects avec par rapport à la grossesse… ».

Voici la description officielle des catégories de grossesse –

La source

C’est une assez grande différence entre les deux catégories. Mais le fait que l’évaluateur du module 4 ait même pensé que la catégorie de grossesse B2 était appropriée est très discutable si l’on considère les résultats, comme nous l’avons révélé ci-dessus, de l’étude animale «inadéquate» et extrêmement petite qui a été réalisée pour évaluer la sécurité de l’administration du Pfizer. Injection de Covid-19 pendant la grossesse.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires ; maintenant les cas de cancer de l’ovaire sont à un niveau record

Une autre étude, qui se trouve dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier via une ordonnance du tribunal ici , a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une seule dose intramusculaire de l’injection Pfizer Covid-19, puis le contenu et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminés à des points prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité d’injection de Covid-19 qui s’est propagée à d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus préoccupantes de l’étude est le fait que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Un « ovaire » fait partie d’une paire de glandes femelles dans lesquelles les ovules se forment et les hormones femelles œstrogène et progestérone sont fabriquées.

Au cours des 15 premières minutes suivant l’injection du jab Pfizer, les chercheurs ont découvert que la concentration totale de lipides dans les ovaires mesurait 0,104 ml. Celle-ci a ensuite augmenté à 1,34 ml après 1 heure, 2,34 ml après 4 heures, puis 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques, cependant, n’ont mené aucune autre recherche sur l’accumulation après une période de 48 heures, nous ne savons donc tout simplement pas si cela concernant l’accumulation a continué.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, qui peuvent être trouvées ici , offrent des indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres du nombre de personnes souffrant d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne de 2017-2019.

Cancer de l’ovaire – Source

Le graphique ci-dessus montre jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland montrent maintenant des chiffres jusqu’en décembre 2021 et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec l’augmentation significative du nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire.

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Des documents confidentiels de Pfizer révèlent des preuves de maladies auto-immunes et de maladies aggravées associées aux vaccins, mais votre gouvernement et les autorités de réglementation des médicaments ont choisi de les ignorer

Voici ce que Pfizer a révélé à la FDA concernant la maladie améliorée associée aux vaccins dans son intégralité –

Source – Page 11

Pfizer écrit dans la section de description que –

« Un taux attendu de VAED est difficile à établir, de sorte qu’une analyse significative observée / attendue ne peut pas être effectuée à ce stade sur la base des données disponibles. La faisabilité de mener une telle analyse sera réévaluée de manière continue à mesure que les données sur le virus augmentent et que les données sur la sécurité des vaccins continuent de s’accumuler ».

Compte tenu du fait que ce document a été approuvé le 30 avril 2021 et sur la base des données sur les effets indésirables reçues jusqu’au 28 février 2021, cette phrase devrait concerner même les adorateurs pharmaceutiques les plus fidèles.

Au Royaume-Uni, le vaccin Pfizer a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence le 8 décembre 2020 et la première injection a été administrée le lendemain. En avril 2021, 5 mois plus tard, Pfizer admettait qu’il n’avait aucune idée si ses injections de Covid-19 causaient un VAED, et qu’ils ne le sauront qu’une fois qu’ils auront plus de données.

Cela confirme noir sur blanc que le grand public a participé à peut-être la plus grande expérience jamais menée, et c’est une expérience qui a rendu quelques privilégiés extrêmement riches.

Pfizer continue dans la section de description pour indiquer –

« Depuis la première autorisation temporaire d’approvisionnement d’urgence en vertu du règlement 174 au Royaume-Uni (1er décembre 2020) et jusqu’au 28 février 2021, 138 cas [0,33% de l’ensemble total de données sur les PM], signalant 317 événements potentiellement pertinents ont été récupérés. »

Ce que Pfizer admet ici, c’est que jusqu’au 28 février 21, 138 personnes avaient signalé des événements indésirables qui étaient des marqueurs de la maladie aggravée associée au vaccin.

Selon Pfizer, ces 138 cas signalant 317 événements pertinents au VAED comprenaient –

  • 71 incidents au Royaume-Uni ;
  • 25 incidents aux États-Unis ;
  • 14 incidents en Allemagne ;
  • 16 incidents en France, en Italie, au Mexique et en Espagne (4 chacun) ;
  • 3 incidents au Danemark ;
  • et 9 incidents dans 9 pays différents

Sur les 138 cas, 71 ont été jugés « médicalement significatifs », dont 8 avec des handicaps graves. Une hospitalisation non mortelle/ne mettant pas la vie en danger a été nécessaire pour 16 cas, dont 1 avec des handicaps graves. 17 cas ont été jugés mettant en jeu le pronostic vital dont 7 ont été jugés graves nécessitant une hospitalisation et 38 cas ont entraîné le décès.

Au moment du rapport, qui était basé sur des données soumises jusqu’à fin février 2021, outre les 38 cas connus pour avoir entraîné la mort à l’époque, seuls 26 autres cas étaient répertoriés comme résolus, dont 65 non résolu, 1 non résolu avec des séquelles et 8 avec des résultats inconnus.

Pfizer poursuit en déclarant dans le document confidentiel que –


‘Sur les 317 événements pertinents, les PT les plus fréquemment signalés (≥ 2 %) étaient : médicament inefficace (135), dyspnée (53), diarrhée (30), pneumonie liée au COVID-19 (23), vomissements (20), insuffisance respiratoire. (8) et Saisie (7).’

Pfizer conclut dans son document que –

« Le VAED peut se présenter comme des manifestations cliniques graves ou inhabituelles du COVID-19. Dans l’ensemble, il y avait 37 sujets suspects de COVID-19 et 101 sujets avec COVID-19 confirmé après une ou les deux doses du vaccin ; 75 des 101 cas étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou la mort.

Cela semble être un aveu de Pfizer que son vaccin n’est pas très efficace pour protéger les receveurs de son expérimental. Il est important de se rappeler que ces injections n’empêchent pas l’infection ou la transmission, elles sont uniquement censées protéger contre l’hospitalisation et la mort. Par conséquent, avec 75 des 101 cas confirmés de Covid-19 étant graves (69%), cela semble être un aveu de Pfizer que son vaccin n’est pas très bon pour faire cela.

Pfizer termine en déclarant que –

« Dans cette revue de sujets atteints de COVID-19 après vaccination, sur la base des preuves actuelles, le
VAED/VAERD reste un risque théorique pour le vaccin . La surveillance se poursuivra.

Ici, Pfizer admet que la maladie aggravée associée au vaccin est un risque théorique associé à sa thérapie génique expérimentale Covid-19, qui a été injectée dans les bras de centaines de millions de personnes dans le monde à plusieurs reprises depuis décembre 2020.

Il n’y a pas de mots appropriés qui pourraient exprimer à quel point la décision de donner cette injection à des millions de personnes, y compris des enfants, était et est toujours incroyablement stupide et dangereuse.

Maladie auto-immune

Malheureusement, la FDA a également choisi d’ignorer les preuves présentées par Pfizer de la maladie auto-immune subie en tant qu’effets indésirables de son injection de Covid-19.

La page 20 du document reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf contient des détails sur les événements indésirables rapportés liés aux maladies à médiation immunitaire/auto-immunes.

Source – Page 20

Selon Pfizer, sur les 42 086 participants à l’essai, 1 050 ont déclaré souffrir d’une maladie auto-immune, dont 760 ont été médicalement confirmées.

Seuls 196 de ces cas concernaient des personnes âgées, la grande majorité (746) chez des adultes et 2 autres chez des adolescents.

780 de ces cas de maladies auto-immunes ont été considérés comme graves, tandis que 297 ont été considérés comme non graves.

Les événements les plus fréquemment signalés comprenaient l’hypersensibilité, la neuropathie périphérique, la péricardite, la myocardite et les troubles auto-immuns et le phénomène de Raynaud parmi beaucoup d’autres.

Cela montre qu’en avril 2021, les régulateurs des médicaments étaient pleinement conscients du risque de souffrir de myocardite et de péricardite. En juin 2022, ce sont deux des seuls effets secondaires de la vaccination contre le Covid-19 que les régulateurs des médicaments ont admis pouvoir se produire, prouvant à quel point les effets secondaires sont courants.

De manière douteuse, Pfizer a conclu dans son document soumis que –

« Cet examen cumulatif des cas ne soulève pas de nouveaux problèmes de sécurité. La surveillance va continuer. »

C’est une déclaration que Pfizer regretterait au moins en ce qui concerne la myocardite et la péricardite.

Voici comment les deux maladies auto-immunes ont affecté les personnes aux États-Unis selon le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) , où seulement 1 à 10 % des effets indésirables sont réellement signalés –

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés et des milliers de décès au cours des 90 premiers jours du déploiement du vaccin Covid-19

Dans le document confidentiel de Pfizer intitulé  Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Records Reports , il est évident que dans les 90 premiers jours du déploiement du vaccin Covid-19 sous l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA – à partir du 1er décembre. 2020 – 28 février 2021 – des dizaines de milliers d’effets indésirables ont été signalés, dont plus de 1200 décès. 

Comme le rapport n’incluait que les événements indésirables du vaccin que les chercheurs considéraient comme des « cas graves », il y avait des milliers d’autres soumissions qui ont été exclues de ces données.

Le rapport indique qu’au total, il y a eu un total de 42 086 rapports de cas d’individus ayant eu une réaction indésirable au vaccin de Pfizer dans le monde, le plus grand nombre (13 739) provenant des États-Unis et du Royaume-Uni (13 404).

Selon le document, les femmes (29 914) étaient plus de 3 fois plus susceptibles de ressentir une réaction que les hommes (9 182). Au total, 1223 personnes ont eu une réaction mortelle au vaccin expérimental de Pfizer.

Le rapport indique également que tout cas jugé « non grave » serait traité dans les 90 jours. Pourtant, ce rapport a été publié avant même que les 90 jours de disponibilité du vaccin de Pfizer ne se soient écoulés.

« En raison du grand nombre de rapports d’événements indésirables spontanés reçus pour le produit, le titulaire de l’AMM a donné la priorité au traitement des cas graves, afin de respecter les délais de déclaration réglementaires accélérés et de garantir que ces rapports sont disponibles pour la détection des signaux et l’activité d’évaluation.

Les cas non graves sont traités dans les meilleurs délais et au plus tard dans les 90 jours suivant leur réception. Pfizer a également pris plusieurs mesures pour aider à atténuer la forte augmentation des rapports d’événements indésirables. »

Votre gouvernement savait que cela arriverait

Les documents confidentiels de Pfizer révèlent que votre gouvernement connaissait les risques de déployer les injections expérimentales de Covid-19 à la population générale, mais a choisi d’ignorer ces risques et de procéder quand même.

Ils savaient les dommages que les vaccins pouvaient causer pendant la grossesse, mais ont choisi non seulement de les ignorer, mais aussi de les dissimuler.

Ils savaient que le vaccin s’accumulait dans toutes les parties du corps mais insistaient pour qu’il reste au site d’injection.

Ils savaient qu’il existait des preuves que les vaccins causaient des maladies auto-immunes et des maladies aggravées associées aux vaccins, mais ont choisi de les ignorer.

Et ils savaient que les vaccins Covid-19 avaient mutilé et tué des milliers de personnes au cours des 90 premiers jours de déploiement, mais ont quand même choisi de continuer à offrir l’injection au public.


Les rapports du gouvernement prouvent que la vaccination COVID tue des centaines de milliers de personnes chaque semaine. Des documents confidentiels de Pfizer confirment ces faits. Lire la suite »

Une pandémie d’impostures  ?

Jour après jour, tel un barrage, le rempart de mensonges ayant caractérisé cette crise dite sanitaire se lézarde et se fend ; ce qui semble devoir suivre risque de noyer les endormis dans des vagues de vérités trop puissantes pour celles et ceux qui n’ont pas encore réalisé que, depuis le début, la pandémie et les mesures qui ont suivi ont été orchestrées sur la base de mystifications.

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Une pandémie d’impostures  ? Lire la suite »

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