Pour Tribune Libre, le 14 septembre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec François-Marie Périer à l’Université d’Été Rassemblante 2025 à Castres, un événement organisé par Cécile Maïchak entourée de dizaines de bénévoles.
Le 29 septembre aura lieu à Grenoble un rassemblement pacifique devant le palais de justice de Grenoble pour témoigner des effets indésirables des injections obligatoires de la période covid et du silence de la Justice malgré les nombreuses plaintes déposées. Toutes les villes comptant des victimes sont appelées à se rassembler ce jour là. Marie-Charlotte Bouttier (Macha Bout’), a été victime d’effets indésirables extrêmement violents des injections covid. A Castres pour l’Université d’Eté rassemblante (UER), elle explique la différence entre les lots injectés, les problèmes physiques et psychologiques déclenchés et l’importance des médecines naturelles, parallèles, énergétiques et de la spiritualité pour la nette amélioration de son état physique et psychologique. Macha invite aussi toutes les victimes à témoigner des effets indésirables des injections en pleine lumière pour changer l’Histoire.
J’ai alerté dès mars 2021 sur la non innocuité des vaccins covid donc sur les risques avérés, en particulier sur les myocardites et l’hypertension artérielle qui sont maintenant reconnus officiellement par l’ANSM (Agence de « sécurité du médicament ») et l’ONIAM (Office d’indemnisation des « Accidents » médicaux).
👇🧐 Tout avait déjà été dit dès les premiers mois du plan de #vaccination .
(X) @AgretDenis / En effet, Le Médecin Urgentiste Denis Agret avait signalé, dès le 6 mars 2021, la dangerosité liée à la vaccination anti-Covid, avec des sources provenant de l’ANSM et de Santé… pic.twitter.com/KQYcxbqgGo
J’avais également alerté sur les risques très graves liés à la vaccination covid chez les femmes enceintes (mort in utéro par thrombose du cordon ombilical…) en avril et Juin 2021 en me fondant sur les rapports ANSM.
👇🧐 Partage de l'information / du Dr. @AgretDenis Toutes les preuves étaient sous vos yeux dès le premier semestre 2021, mais les médias mainstream les ont ignorées et continuent encore aujourd’hui de vous les dissimuler pour protéger les décideurs.
👇🧐 Pour rappel. La cardiologie est au courant depuis des années que les myocardites peuvent avoir des conséquences gravissimes conduisant à la réanimation voir au décès. Pourquoi ne pas avoir tout stopper dès le 20 juillet 2021, lorsque que le Dr Denis Agret a donné l’alerte… pic.twitter.com/uDNALT3XEj
Toutes mes alertes m’ont valu du discrédit médiatique, des procès d’intention de la part de la justice et de l’ordre des médecins qui est allé jusqu’à me radier en janvier 2025 : abus de pouvoir manifeste. J’ai bien sûr fait appel de cette décision inique auprès du conseil d’Etat dont la décision tarde à venir.
A force de lire les publications scientifiques (pubmed), de recueillir des témoignages de nombreuses victimes des vaccins dont des autopsies récentes d’enfants décédés après vaccination, je suis arrivé à la conclusion largement établie y compris par des médecins de la société française de cardiologie que les vaccins pédiatriques (DTP, ROR, méningocoque) causent des myocardites, des maladies de Kawasaki (vascularites).
« Les myocardites liées aux vaccins c’est une entité qui est connu depuis des années ! » Les vaccins DTP et grippe causent des myocardites. Dr Kerneiss et Roubille Congrès SFC 2022 https://x.com/aileastick1/status/1849154950321852558
Les vaccins causent des vascularites (vascularites à IgA). Ces vascularites peuvent donc causer chez les enfants des myocardites, des maladies de Kawasaki (caractérisée par une inflammation de la paroi des vaisseaux sanguins (vascularite) dans tout le corps) avec ou sans anévrisme coronaire, des infarctus du myocarde…
Le rapport de l’ANSM sur la « Surveillance des vaccins obligatoires chez les enfants de moins de deux ans » confirme la non innocuité des vaccins avec des risques graves dont décès, maladie de Kawasaki et des « échecs » vaccinaux.
Evidemment, la sous déclaration majeure des effets indésirables graves des vaccins pédiatriques a pour conséquence la non information du grand public et des médecins.
👇🤨 #France Partage de l'info merci à @AgretDenis ——————- Vous lirez dans le rapport ANSM que les vaccins pédiatriques causent des thrombopénies, des maladies de Kawasaki = vascularites ayant des conséquences cardiaques graves dont myocardites et anévrismes… pic.twitter.com/9SsZdXMd43
Les « échecs » vaccinaux décrit dans le rapport ANSM sont très graves et probablement bien plus nombreux du fait d’une sous déclaration majeure : « 7 cas d’échec vaccinal …considérés comme des échecs vaccinaux confirmés chez des enfants âgés de 7 à 11 mois : des infections à Haemophilus influenzae de type b (méningite dans 5 cas ; 1 sepsis avec arthrite du coude et 1 ostéomyélite du genou) et d’un cas d’otite moyenne aigue et bactériémie à Streptococcus pneumoniae de sérotype 3 vaccinal. Le critère de gravité était une hospitalisation dans 5 cas et une mise en jeu du pronostic vital dans 2 cas. »
Les obligations vaccinales de masse peuvent causer des « épidémies » vaccinales comme je l’ai démontré dans ces publications sur les vaccins méningocoques (B, C , A, W, Y) et ROR Rougeole Oreillons Rubéole comme en janvier 2018 pour la rougeole.
👇🧐 Partage de l'info. Merci à @AgretDenis pour son combat pour la vérité. ______________________ Réponse à l'AFP qui me diffame sans m'avoir consulté à propos de cette vidéo https://t.co/dqHaAnJ479… vu plus de 300.000 fois sur mes réseaux. Article AFP "Factuel" du 6/1/2024… pic.twitter.com/vptXY4a9V4
En septembre 2023, la quasi-totalité des vaccins ont été classés sur la liste des substances vénéneuses : 1 très toxiques, 2 toxiques, 3 nocives …, 7 cancérogènes, 8 mutagènes, 9 toxiques pour la reproduction. C’est l’ANSM qui l’a annoncé !
Les médias et l’ANSM laissant entendre qu’il s’agit d’une formalité administrative pour « harmoniser les conditions de prescription et de délivrance » mentent bien évidemment.
Or, cela consiste simplement à reporter la responsabilité juridique sur les prescripteurs et à dédouaner les grands dirigeants de laboratoires pharmaceutiques.
Le 30/07/2025, le conseil national de l’ordre des médecins a rappelé, à propos des pesticides, que « sur le plan médical, le doute n’est pas raisonnable lorsqu’il s’agit de substances susceptibles d’exposer la population à des risques majeurs » et que « ces alertes ne peuvent être ignorées« . Il rappelle également le principe constitutionnel de précaution.
Alors pourquoi mes alertes sur les conséquences graves des vaccins sur la santé des enfants et des adultes sont-elles ignorées ?
Pour votre parfaite compréhension, plusieurs conférences que j’ai tenu au sujet des risques des vaccins ici.
👇🧐 Partage de l'info @AgretDenis ——————- Conférence du Dr Denis AGRET 26/05/2025 Pour la liberté vaccinale Désolé #Bigpharma , Désolé Pasteur et mes confrères, Aucun vaccin n'est sûr, donc tous les vaccins comportent des risques graves. Histoire des vascularites… pic.twitter.com/SHHmMp4dSv
Toutes ces obligations vaccinales (DTP diphtérie tétanos polio, coqueluche, Haemophilus, Hépatite B, pneumocoque, ROR rougeole oreillons rubéole, Méningocoque B, C, A, W, Y soit plus de 15 souches de maladies) pour la vie en collectivité sont assimilables à un pass sanitaire dont nous sommes très nombreux à avoir contesté le bien-fondé avec les vaccins covid. Il ne peut y avoir de discrimination pour scolariser les enfants du fait de leur statut vaccinal.
Compte tenu des risques graves liés aux vaccins, les obligations vaccinales de janvier 2018 et janvier 2025 sont illicites.
L’obligation vaccinale pour les enfants concernent environ 670 000 naissances tous les ans en France. En tant qu’adultes conscients, il est de notre devoir de les protéger des risques graves liés aux vaccins.
C’est donc en ma qualité de père de famille, de médecin et de lanceur d’alerte, d’objecteur de conscience que je demande l’abrogation définitive de la loi et de son décret du 25 janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire et l’abrogation du décret du 5 juillet 2024 relatif à l’obligation vaccinale contre les méningocoques de type B et ACWY entré en vigueur le 1er janvier 2025.
et la révision démocratique des conditions dans lesquelles ces décrets ont été adoptés et qui posent grandement question.
Il conviendra aussi d’abroger définitivement les obligations vaccinales concernant la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (juin 1938, novembre 1940, juillet 1964).
Par conséquent, il est nécessaire d’abroger toutes les obligations vaccinales qui sont venues se rajouter au fil des années étant donné les risques graves connus et avérés des vaccins et des échecs vaccinaux documentés par l’ANSM.
Aujourd’hui, je suis seul à écrire, mais non seul à avoir compris dont de très nombreux médecins.
Pour Tribune Libre, le 14 septembre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec le Dr Denis Agret à l’Université d’Été Rassemblante 2025 à Castres, un événement organisé par Cécile Maïchak entourée de dizaines de bénévoles.
Courant 2021, nous avons déposé plainte pour tentative d’empoisonnement, et mise en danger de la personne, face à la campagne de vaccination Covid, au nom de 130 personnes. En effet, constatant que :
– Tant le gouvernement que les principaux médias nous vantaient les mérites du nouveau vaccin anti-covid 19, prétendant qu’il était efficace et sans danger,
-Dès les 1er mois de la vaccination, des milliers de déclarations d’effets secondaires, étaient enregistrées sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalement niées par les pouvoirs publics,
Nous avons estimé que l’on tentait d’empoisonner la population, et avons déposé cette plainte.
Cette plainte n’ayant pas donné lieu à une réaction positive du Parquet de Grenoble. Nous avons alors saisi le Doyen des Juges d’instruction dans le cadre d’une plainte avec constitution de partie civile.
Comme en cette matière, il faut verser une caution (appelée « consignation ») proportionnelle aux revenus des plaignants, le montant de la caution pour 130 personnes risquait d’être faramineux.
Voilà pourquoi nous n’avons gardé que 6 personnes qui allaient déposer cette nouvelle plainte.
Le montant fixé par le Juge était au total de 6.400 €. Cette somme a été versée, et l’instruction a pu commencer.
En fin 2022, le Juge a rendu une ordonnance de refus d’informer contre laquelle nous avons relevé appel.
La Chambre de l’Instruction de la Cour d’Appel de Grenoble, a malheureusement confirmé ce refus d’informer.
Nous avons alors formé un pourvoi à l’intention de la Cour de Cassation siégeant à Paris, et avons déposé quelques jours plus tard, (nov. 2023) un long mémoire contenant nos arguments.
Depuis cette date, nous attendons la décision de la Cour de Cassation.
Face à ce silence de près de 2 ans, et, alors que le nombre de victimes de la vaccination Covid augmente dans des proportions colossales, nous organisons un rassemblement devant le Palais de Justice de Grenoble, le Lundi 19 sept. 2025 à partir de 8h. , dans le but de faire savoir qu’aujourd’hui des dizaines de milliers de personnes ont été victimes d’un véritable empoisonnement, et que les victimes attendent que Justice soit faite.le
C’est une alarme. Une bombe. Une déclaration de guerre scientifique contre le silence. Après le Japon, c’est l’Allemagne qui bascule. Neuf professeurs, médecins, scientifiques de haut niveau appellent à l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm. Pas demain. Pas plus tard. Maintenant.
Ils dénoncent une catastrophe sanitaire masquée par les autorités et les médias : hausse de la surmortalité, maladies chroniques inexpliquées, et surtout chute brutale des naissances. « Nous lançons un avertissement urgent et appelons à un moratoire total sur les vaccins à ARNm. » Les données sont accablantes : Corrélation forte entre vaccination, surmortalité, morbidité et effondrement démographique. » Déclaration officielle de la conférence, cosignée par 200 professionnels.
QUI OSE ENCORE PARLER ? Voici les noms des neuf intervenants. Ce ne sont ni des anonymes, ni des youtubeurs. Ce sont des sommités dans leur domaine, avec des dizaines d’années d’expérience, des centaines de publications scientifiques. – Dr Gerald Dyker — Professeur de chimie à l’Université de la Ruhr, expert en nanomatériaux. – Dr Andreas Sönnichsen — Professeur de médecine interne, auteur reconnu, président du Réseau allemand de médecine factuelle. – Dr Kurt E. Müller — Spécialiste en dermatologie environnementale, médecine préventive, pathologies non infectieuses. – Prof. Konstantin Beck — Statisticien, expert en assurance santé et démographie. – Dr Michael Nehls — Généticien, auteur, ancien expert au Bundestag. – Dr Erich Freisleben — Médecin généraliste à Berlin, témoin des effets indésirables. – Dr Christian Schubert — Professeur en psychoneuroimmunologie, directeur de laboratoire. – Christina Delprete — Pharmacienne suisse, experte en normes de fabrication. – Dr Dirk Seeling — Psychologue, animateur de la conférence. Et plus de 200 signataires : médecins, avocats, psychologues, chercheurs, tous unis pour une chose : stopper l’expérience ARNm.
LES FAITS QUI DÉRANGENT – Les pays les plus vaccinés sont ceux où la surnatalité s’effondre. – Les campagnes de rappel sont systématiquement suivies d’un pic de surmortalité. – Les effets secondaires sont sous-déclarés, minimisés, ignorés. – Les agences sanitaires refusent d’enquêter sur les mécanismes d’immunosuppression, les troubles menstruels, les fausses couches, les inflammations chroniques. Les organisateurs parlent d’un effondrement biologique silencieux. Et accusent les autorités de fermer les yeux pour ne pas affoler les marchés.
UN SCANDALE MONDIAL Le Japon a déjà recommandé l’arrêt des vaccins ARNm dans son propre rapport d’expertise. L’Allemagne suit. Et d’autres suivront. Combien de temps les médias pourront-ils encore enterrer ces alertes ? Combien de temps avant qu’un procureur ose dire ce que tout médecin lucide voit déjà ? Les données existent. Les signaux sont clairs. Le mensonge, lui, devient criminel.
L’un des plus grands experts mondiaux en matière de données a révélé que le secteur des assurances constate désormais jusqu’à 5 000 décès chaque semaine liés aux « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Le nombre effarant de morts a été révélé par Edward Dowd, un analyste de données renommé de Wall Street.
Tout en tirant la sonnette d’alarme au sujet de cette découverte, Dowd a révélé que le nombre de jeunes adultes en bonne santé « mourant subitement » a explosé.
Il note également que les blessures liées aux « vaccins » sont désormais « 10 à 15 fois plus élevées » qu’avant la campagne de « vaccination » massive contre le Covid.
Il est toutefois inquiétant de constater que les victimes de blessures liées aux « vaccins » et les familles des victimes ont trop peur de s’exprimer car elles « craignent des réactions négatives ».
Dowd soutient que les rapports sur les décès et les blessures liés aux injections d’ARNm sont réduits au silence par les grandes entreprises technologiques et les médias d’entreprise.
Aux États-Unis seulement, Dowd a révélé que les données des assurances montrent « 3 000 à 5 000 décès liés aux vaccins par semaine ».
« Les blessures sont 10 à 15 fois plus nombreuses », a-t-il ajouté.
« Les 30-50 ans meurent raides morts. »
« Les victimes craignent des réactions négatives ou ne peuvent pas accepter d’avoir été trompées. »
« Les médias et les géants de la technologie suppriment activement ces histoires », prévient-il.
Dowd, ancien cadre de la plus grande société d’investissement au monde, BlackRock , tire la sonnette d’alarme depuis un certain temps sur la hausse des décès parmi les personnes vaccinées contre le Covid. Il est considéré comme l’un des plus grands experts en données d’Amérique.
Grâce à son analyse experte des données du secteur des assurances, Dowd est devenu une figure de proue des enquêtes sur l’impact de la campagne mondiale de « vaccination » contre le Covid.
Slay News précédemment Comme l’a rapporté , Dowd a lancé un avertissement effrayant en avril après avoir découvert des preuves montrant que le nombre de décès excédentaires chez les Américains en âge de travailler monte en flèche.
Selon un avertissement alarmant de Dowd, les données du secteur des assurances montrent que la surmortalité explose parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans.
Ces décès ont commencé à exploser après que les « vaccins » à ARNm contre la Covid ont été déployés pour un usage public début 2021.
Cependant, les décès ne semblent montrer aucun signe de ralentissement, malgré la fin de la pandémie et la baisse des taux de « vaccination ».
En janvier 2022, le PDG de Life Insurance, Scott Davidson, a signalé que les taux de mortalité parmi les personnes en âge de travailler âgées de 18 à 64 ans étaient « en hausse de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie ».
Il a expliqué qu’une augmentation de 40 % du nombre de décès était totalement sans précédent.
Davidson a comparé une augmentation de 10 % des décès à une inondation qui ne se produit qu’une fois tous les 200 ans.
Selon Dowd, la surmortalité est désormais « hors normes ».
Davidson a également noté que les décès excédentaires qui ont commencé à augmenter en 2021 étaient des décès non liés au Covid.
Pendant ce temps, d’autres pays fortement vaccinés dans le monde continuent de tirer la sonnette d’alarme face à la hausse des décès.
Une nouvelle alerte explosive est apparue à Singapour concernant le taux de mortalité excédentaire en flèche du pays parmi les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Ces données effrayantes ont soulevé de sérieuses questions sur le véritable bilan de la campagne mondiale agressive de « vaccination » contre le Covid.
Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis indiquent que les « décès excédentaires » correspondent au nombre de décès supérieur à celui auquel on pourrait s’attendre sur la base des tendances historiques.
Selon des données explosives provenant de la base de données sur la mortalité humaine (HMD) et d’études évaluées par des pairs, le pays a connu une augmentation forte et soutenue de la surmortalité immédiatement après le déploiement des « vaccins » contre la Covid.
Ce pic est un signal inquiétant indiquant que les vaccins pourraient avoir joué un rôle important dans la hausse de la mortalité.
Les données dressent un tableau inquiétant d’un pays qui, bien qu’étant l’un des plus vaccinés au monde, est confronté à des niveaux de mortalité sans précédent.
En mars 2022, la surmortalité à Singapour a atteint un taux étonnant de 49,9 % supérieur aux décès attendus.
La période plus large entre février et avril 2022 a enregistré une moyenne de 24,0 % de décès de plus que d’habitude.
Il est toutefois alarmant de constater que cette hausse n’était pas temporaire.
La surmortalité a continué d’augmenter bien après la pandémie.
En décembre 2024, les données les plus récentes révèlent que la surmortalité à Singapour s’est stabilisée à environ 25 à 30 % au-dessus du niveau de référence historique.
Les données suggèrent que ce taux de mortalité élevé est devenu la nouvelle norme pour la nation entièrement « vaccinée ».
Une nouvelle étude de Yale a trouvé une cible prometteuse pour traiter le brouillard cérébral qui peut suivre le COVID-19 et offre un nouvel éclairage sur une hypothèse sur l’origine de la maladie d’Alzheimer.
L’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer est la présence de plaques formées par l’accumulation de peptides bêta-amyloïdes (courtes chaînes d’acides aminés) dans et autour des cellules cérébrales. Certains chercheurs soupçonnent que les peptides bêta-amyloïdes, structurellement similaires aux peptides antimicrobiens, protègent le cerveau contre les bactéries, les virus, les parasites et les infections fongiques. La barrière hémato-encéphalique ayant tendance à se dégrader chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, l’accumulation de bêta-amyloïdes pourrait indiquer une infiltration cérébrale par des agents pathogènes.
Dans une nouvelle étude publiée dans Science Advances , des chercheurs de Yale ont étudié si l’infection par le SARS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, peut déclencher une accumulation de bêta-amyloïde semblable à celle de la maladie d’Alzheimer, entraînant des troubles neurologiques comme le brouillard cérébral.
« De plus en plus de preuves établissent un lien entre la COVID-19 et le brouillard cérébral, un symptôme fréquemment rapporté après une infection », explique l’auteur principal, Brian Hafler, MD, PhD, professeur agrégé d’ophtalmologie et de sciences visuelles à la faculté de médecine de Yale. Le brouillard cérébral, ou difficulté à penser ou à se concentrer, est un symptôme que les patients atteints de la maladie d’Alzheimer peuvent également ressentir. « Bien que les mécanismes du brouillard cérébral après la COVID-19 ne soient pas entièrement compris, les scientifiques ont découvert que le SARS-CoV-2 peut induire une accumulation de bêta-amyloïde dans le système nerveux central. »
Utiliser la rétine pour étudier le cerveau
Pour récapituler les complexités génétiques de la maladie d’Alzheimer, Hafler et son équipe ont utilisé du tissu rétinien donné et cultivé des organoïdes rétiniens, des mini-organes fabriqués à partir de cellules souches humaines, destinées à devenir du tissu rétinien. Dans ce cas, les organoïdes rétiniens reproduisaient les caractéristiques de la maladie d’Alzheimer, notamment des mutations génétiques qui les conduisent à produire davantage de bêta-amyloïde que les tissus normaux.
« Nous pensons que les organoïdes rétiniens humains présentent de nombreux avantages par rapport aux animaux en raison de la spécificité humaine du modèle. Nous ne sommes confrontés à aucune incompatibilité entre espèces », explique Hafler.
Les scientifiques ont d’abord confirmé que l’accumulation de bêta-amyloïde, typiquement présente dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, était également présente dans leur tissu rétinien. La rétine offre donc une fenêtre accessible et non invasive pour étudier le fonctionnement du système nerveux central, explique Hafler.
L’équipe a également trouvé des preuves que le SARS-CoV-2 peut pénétrer dans les cellules de la rétine.
Pour ce faire, ils ont évalué la production de protéines dans les différents types de cellules du tissu rétinien en mesurant l’ARN dans les noyaux cellulaires individuels. Ils se sont concentrés plus particulièrement sur les protéines NRP1 (neuropiline-1) et ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), dont les données suggèrent que le SARS-CoV-2 les utilise pour pénétrer dans les neurones.
Dans le tissu rétinien des personnes atteintes de la COVID-19, ils ont trouvé NRP1 dans les neurones et un autre type de cellule du système nerveux central appelé glie, suggérant que l’œil dispose d’un mécanisme d’entrée virale.
» Cela renforce l’hypothèse antimicrobienne de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales.«
Brian Hafler, docteur en médecine et titulaire d’un doctorat
Forts de ces résultats, les chercheurs ont ensuite exposé des organoïdes à la protéine Spike du SARS-CoV-2, la partie du virus essentielle à l’entrée dans les cellules humaines. Ils ont constaté que les concentrations de bêta-amyloïde dans les organoïdes augmentaient une fois la protéine Spike entrée dans les cellules.
De plus, les tissus rétiniens humains prélevés sur des patients atteints de la COVID-19 mais sans antécédents de démence ont également montré une accumulation de bêta-amyloïde plus élevée que celle trouvée chez les individus en bonne santé, à un degré similaire à celui que les chercheurs ont trouvé dans les tissus rétiniens des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Cette accumulation de bêta-amyloïde a cependant été inversée lorsque les scientifiques ont administré un inhibiteur de NRP1 à des échantillons de rétine humaine traités par la protéine Spike du SARS-CoV-2. NRP1 a été exploré par d’autres comme une cible antitumorale prometteuse bloquant la formation de vaisseaux sanguins. Cependant, jusqu’à présent, ses applications se limitent au contexte préclinique.
« D’un point de vue mécaniste, l’implication de NRP1 dans l’agrégation de la protéine bêta-amyloïde fournit une cible moléculaire spécifique pour de futures recherches », explique Hafler. Une application potentielle consiste à cibler NRP1 pour prévenir ou traiter les complications neurologiques consécutives à une infection à la COVID-19.
Traitement du brouillard cérébral et d’autres troubles neurologiques causés par des virus
L’étude ouvre de nombreuses perspectives de recherche future, déclare Hafler. « Notre étude a montré que l’exposition au SARS-CoV-2, en particulier à la protéine Spike, peut entraîner la formation d’agrégats de bêta-amyloïde dans le tissu rétinien humain et les organoïdes rétiniens. »
L’étude renforce également le lien entre la maladie d’Alzheimer et l’infection microbienne.
« Cela renforce l’hypothèse d’un effet antimicrobien de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales », explique Hafler. En raison de sa ressemblance avec de petits peptides connus pour se lier à d’autres microbes, l’accumulation de bêta-amyloïde pourrait s’étendre aux infections causées par d’autres virus, soupçonne Hafler. Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ce lien, ajoute-t-il.
Compte tenu des symptômes neurologiques de la COVID-19, tels que le brouillard cérébral, Hafler et son équipe étudient, dans le cadre d’études cliniques au YSM, si l’infection par le SRAS-CoV-2 augmenterait le risque à long terme de la maladie d’Alzheimer et si cela peut être évité grâce à un traitement précoce.
« Notre objectif ultime est de prévenir les effets neurologiques à long terme du COVID-19 et d’explorer les inhibiteurs de NRP1 et d’autres modulateurs des interactions virus-hôte comme thérapies potentielles pour prévenir la pathologie amyloïde induite par le virus et la maladie d’Alzheimer », explique Hafler.
Les recherches présentées dans cet article ont été soutenues par les National Institutes of Health (bourses R01eY034234, R01EY034652, R01EY026065 et subvention principale P30EY026878) et l’Université Yale. Le contenu n’engage que la responsabilité des auteurs et ne reflète pas nécessairement la position officielle des National Institutes of Health. Des financements supplémentaires ont été apportés par la Fondation caritative Doris Duke, la Fondation H. Eric Cushing, la Fondation de la famille Nancy Lurie Marks, la Fondation caritative CJL et le Prix Reynold et Michiko Spector en neurosciences.
🔷 Xavier Bazin Journaliste scientifique et écrivain, auteur de “Antivax toi-même ! – Retrouvons un esprit critique face à la vaccination” Édition Guy Tredaniel (récemment réédité) 🔷 Hélène Banoun Pharmacienne biologiste à la retraite, ex-chargée de recherche à l’INSERM Chercheur indépendant, Auteur de “La Science face au Pouvoir – Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle” (éditions Talma) Auteur d’un article récemment publié sur le Beyfortus
Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués à la suite d’une décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’effets indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni légère, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la » maladie du CoVax ».
Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre le bras placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité. Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration américaine était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux » . » Pfizer Papers » montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite » PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens. » Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’effets indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement.
Dans une révélation stupéfiante au Parlement Européen, tirée des documents de Pfizer, @naomirwolf révèle que la découverte la plus choquante ne concerne pas les effets secondaires connus, mais l’obsession à 360 degrés du vaccin visant à endommager la reproduction humaine, et non le système respiratoire.
« Elle explique comment les nanoparticules lipidiques sont conçues pour traverser toutes les membranes, y compris le placenta. Cela entraîne des calcifications, empêchant les bébés d’obtenir nutriments et oxygène. Résultat ?
Les sages-femmes signalent une désagrégation du placenta, entraînant des naissances prématurées, de terribles hémorragies maternelles et une augmentation de 40 % de la mortalité maternelle en Occident.
Pfizer savait que les nanoparticules envahiraient les testicules des bébés garçons in utero, dégradant les cellules de Leydig responsables de la masculinité et de la fertilité. Ils pourraient ne jamais se développer normalement, même s’ils n’étaient jamais vaccinés.
Un rapport d’andrologie a confirmé que le vaccin altère la motilité des spermatozoïdes chez les hommes.
Plus grave encore, Pfizer a mis en garde les participants masculins à l’essai contre les rapports sexuels avec des femmes non vaccinées et l’utilisation de deux méthodes de contraception, définissant l’« exposition » par le sperme, le contact cutané et la respiration.
Sur les 270 grossesses étudiées, 234 ont été « perdues ». Mais sur les 36 grossesses restantes, plus de 80 % ont abouti à la perte du bébé. Pfizer le savait. La question est : pourquoi cette découverte a-t-elle été au cœur de leurs recherches ? »
In a stunning revelation from the Pfizer documents, Naomi Wolf exposes that the most shocking finding isn’t the known side effects, but the vaccine’s obsessive, 360-degree focus on damaging human reproduction—not the respiratory system.
apport 37 : Pfizer, la FDA et le CDC ont dissimulé les effets nocifs avérés des ingrédients du vaccin à ARNm sur la qualité du sperme masculin et la fonction testiculaire
par Amy Kelly
Lorsque le déploiement du vaccin contre la COVID-19 auprès du public a commencé fin 2020, les professionnels de la santé, les agences de santé publique et les porte-parole du gouvernement ont tous assuré au public américain que les nouveaux vaccins à ARNm n’avaient pas d’effets systémiques négatifs sur le corps humain.
Ils ont promis au public, dont beaucoup étaient sceptiques quant à la sécurité d’un médicament mis sur le marché à « vitesse fulgurante », que les vaccins étaient « sûrs et efficaces ».
Les propres documents de Pfizer et d’autres études médicales montrent :
Les ingrédients des vaccins à ARNm peuvent être transférés d’une personne à une autre par contact peau à peau, par inhalation et par « rapport sexuel », par l’intermédiaire des fluides corporels. En d’autres termes, l’« excrétion » du vaccin peut se produire par contact sexuel, y compris par exposition au sperme. [« Étude de phase 1/2/3, contrôlée par placebo, randomisée, en aveugle, de recherche de dose pour évaluer l’innocuité, la tolérance, l’immunogénicité et l’efficacité des candidats vaccins à ARN du SRAS-CoV-2 contre la COVID-19 chez les individus en bonne santé », amendement 14 du protocole,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-protocol.pdfEn d’autres termes, selon les propres documents internes de Pfizer, un homme vacciné peut exposer son partenaire sexuel aux ingrédients du vaccin, via l’éjaculation.
Les ingrédients du vaccin à ARNm circulent dans tout le corps et s’accumulent dans les organes, y compris dans les testicules. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf, p. 24.]
Les vaccins à ARNm produisant des « anticorps anti-spermatozoïdes » – c’est-à-dire des anticorps qui traitent les spermatozoïdes comme un « envahisseur » et les endommagent ou les tuent – constituent un événement indésirable connu lié à cette forme de vaccination. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.] [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]
Les vaccins à ARNm provoquent une chute vertigineuse de la concentration de sperme et du nombre total de spermatozoïdes mobiles. [Gat, Itai, et al. « La vaccination contre la Covid-19 BNT162B2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme. » Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]
En supprimant toute discussion sur ces informations, les agences de santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements du monde entier ont refusé et continuent de refuser aux hommes un véritable consentement éclairé.
Transfert d’ingrédients de vaccins à ARNm entre humains
Nous avons indiqué ci-dessus que Pfizer savait que les hommes pouvaient transmettre les ingrédients du vaccin à leurs partenaires par le biais de rapports sexuels. Le protocole d’essai clinique de Pfizer montre que la société soupçonnait que son vaccin pouvait avoir des effets négatifs sur la fertilité des hommes. Les participants masculins à l’essai devaient suivre des « critères d’inclusion reproductive des participants masculins » spécifiques. Ceux-ci étaient précisés dans les quatorze versions du protocole de Pfizer :
« Les participants masculins sont éligibles à participer s’ils acceptent les exigences suivantes pendant la période d’intervention et pendant au moins 28 jours après la dernière dose de l’intervention de l’étude, ce qui correspond au temps nécessaire pour éliminer le risque de sécurité reproductive de la ou des intervention(s) de l’étude »
De toute évidence, Pfizer a fait preuve de fortes inquiétudes et a pris des précautions contre l’exposition à « l’intervention d’étude » – c’est-à-dire le vaccin à ARNm – par contact avec des fluides corporels tels que l’exposition à l’éjaculat, et par contact peau à peau.
Pourtant, pas plus tard qu’en juillet 2022, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont assuré aux Américains que l’excrétion de l’ARNm du vaccin contre la COVID-19 – « la libération ou la décharge de l’un des composants du vaccin à l’intérieur ou à l’extérieur du corps » – était un « mythe ». [« Mythes et faits sur les vaccins contre la Covid-19 ». Centres pour le contrôle et la prévention des maladies , Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, 20 juillet 2022,https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/facts.html.] En effet, une récente demande d’accès à l’information (FOIA) via America First Legal révèle que Carol Crawford, du CDC, s’est coordonnée avec des employés de Twitter pour cibler les tweets (dont un du Dr Naomi Wolf) sur la « perte de sang », comme exemple, selon le CDC, de « désinformation ». Mais il ne s’agissait pas du tout, selon les propres documents de Pfizer, de désinformation. Selon le fabricant, la « perte de sang » était une réelle préoccupation.
Effets indésirables du vaccin à ARNm sur la reproduction masculine
Les National Institutes of Health (NIH) ont déclaré avec audace le 1er février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la Covid-19 ne réduit pas les chances de conception, selon une étude. » National Institutes of Health , US Department of Health and Human Services, 1er février 2022,https://www.nih.gov/news-events/news-releases/covid-19-vaccination-does-not-reduce-chances-conception-study-suggests.] Cependant, la déclaration du NIH était et est fausse.
Pfizer n’a pas initialement évalué la « toxicité reproductive » masculine de son vaccin – c’est-à-dire les effets indésirables sur la fertilité chez les hommes adultes – lors des essais cliniques parce que l’entreprise était pressée : « L’absence de données sur la toxicité reproductive reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner en premier lieu le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre au besoin urgent de santé actuel. » [« Résumé du rapport d’évaluation publique du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech. » GOV.UK , GOV.UK,https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine.]
Mais lorsque Pfizer a finalement étudié l’impact du vaccin à ARNm sur la fertilité masculine, la société a utilisé des rats « mâles non traités » pour ses études de « toxicité pour la reproduction et le développement ». Les mâles non traités se sont accouplés avec des rats femelles qui avaient reçu le vaccin à ARNm BNT162b2 de Pfizer. [ 2.4 Aperçu non clinique ,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M2_24_nonclinical-overview.pdf, p. 29.]
En d’autres termes, Pfizer a testé les effets sur la fertilité des mammifères femelles traités avec son produit à ARNm, mais n’a pas administré les mâles.
Tout au long des documents de Pfizer, le problème se pose : les études ont été construites de telle sorte que Pfizer (et la FDA) ne trouvent pas ce qu’ils ont choisi de ne pas chercher.
Comment les scientifiques peuvent-ils déterminer les effets indésirables d’un nouveau médicament sur la fertilité masculine s’ils ne donnent le traitement en question qu’à la moitié de la population reproductrice – les femelles ?
Cette déclaration semble indiquer que l’étude visait à évaluer si le vaccin était transmis par les fluides corporels et/ou par contact cutané lors des rapports sexuels entre les femmes traitées et les hommes non traités.
Mais quelle commodité : les tissus reproducteurs des rats mâles ont été déclarés exempts de toxicité ; mais les rats mâles n’avaient jamais été vaccinés du tout.
Figure 1 : Rats mâles non traités dans l’étude 2.4 de Pfizer. Aperçu non clinique.
Puisqu’il n’y avait aucun rat mâle vacciné dans les études de reproduction de Pfizer au cours de ses essais internes, il semble que Pfizer, et puisque les hommes humains dans l’étude Pfizer devaient promettre de s’abstenir de rapports sexuels avec des femmes en âge de procréer ou bien d’utiliser un préservatif PLUS un autre contraceptif efficace – il semble que les agences de santé publique occidentales aient décidé de tester les effets des vaccins à ARNm sur la reproduction masculine simplement en utilisant l’« intervention » – le vaccin à ARNm – sur des sujets humains, hommes et femmes, lors d’une campagne de vaccination de masse.
Les ingrédients du vaccin à ARNm se déplacent dans tout le corps et se rassemblent dans les organes
Comme nous l’avons vu dans d’autres rapports de volontaires de recherche de documents Pfizer de DailyClout/War Room, les professionnels des agences médicales et de santé publique ont assuré au public américain que les ingrédients du vaccin COVID restaient dans le muscle deltoïde une fois injectés et ne se dispersaient pas dans tout le corps. [Chandler, Robert W. « Pfizer a utilisé des hypothèses dangereuses, plutôt que des recherches, pour deviner les résultats. » DailyClout , DailyClout, 9 août 2022,https://dailyclout.io/pfizer-used-dangerous-assumptions-rather-than-research-to-guess-at-outcomes/.]Cependant, la FDA a reçu le document de Pfizer, « Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », le 9 novembre 2020, plus d’un mois avant que le vaccin de Pfizer ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) et ne commence à être injecté chez l’homme dans le monde entier. Le document montre des résultats de biodistribution choquants. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,
La « biodistribution » est une méthode de suivi du déplacement d’ingrédients donnés dans le corps d’un animal de laboratoire ou d’un sujet humain. Le document démontre clairement que le contenu du vaccin à ARNm de Pfizer, y compris les nanoparticules lipidiques, pénètre dans la circulation sanguine, se déplace dans tout le corps et s’accumule dans les organes, y compris dans les testicules. Tableau de référence 1, « Concentration moyenne (sexe combiné) de radioactivité totale dans le sang total, le plasma et les tissus (suite) après une administration intramusculaire unique de [3H]-08-A01-C01 à des rats Wistar Han – Niveau de dose cible : 50 µg d’ARNm/animal ; 1,29 mg de lipides totaux/animal – Résultats exprimés en concentration lipidique totale (µg d’équivalent lipide/g (mL)) et % de la dose administrée », indiqué ci-dessous. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf, p. 24.]
Comment les dirigeants médicaux et de santé publique sont-ils restés si fermement convaincus que la vaccination à ARNm n’avait pas d’impact sur la fertilité masculine, même s’ils avaient accès à l’étude de biodistribution de Pfizer ?
Ces experts qui juraient que les ingrédients du vaccin à ARNm ne quittaient pas le site d’injection avaient également accès à un article publié en 2018 par le NIH qui montre clairement que les nanoparticules – dont les nanoparticules lipidiques sont le sous-type [Murthy, Shashi K. « Nanoparticules in Modern Medicine: State of the Art and Future Challenges. » International Journal of Nanomedicine , Dove Medical Press, juin 2007,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2673971/.] — pourraient passer du sang dans les testicules et causer des dommages à la reproduction masculine. L’étude de 2018 a montré que les NP s’accumulent dans les testicules, ce qui nuit à la qualité et à la quantité des spermatozoïdes, ainsi qu’à leur « motilité », ou capacité à se déplacer efficacement, une condition nécessaire à la conception :
« Les nanoparticules peuvent traverser la barrière hémato-testiculaire… puis s’accumuler dans les organes reproducteurs. L’accumulation de nanoparticules endommage les organes (testicules, épididyme…) en détruisant les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales, provoquant un dysfonctionnement des organes reproducteurs qui affecte négativement la qualité, la quantité, la morphologie et la motilité des spermatozoïdes … » [Wang, Ruolan, et al. « Potential Adverse Effects of Nanoparticles on the Reproductive System. » International Journal of Nanomedicine , US National Library of Medicine, 11 décembre 2018,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/.]
Pour apprécier pleinement la manière dont les NP nuisent aux composants clés du développement et de la fonction sexuelle masculine saine, il faut comprendre les rôles des organes et des cellules endommagés, tous essentiels à la santé sexuelle masculine et même au développement sexuel masculin, mentionnés ci-dessus.
L’« épididyme » est impliqué dans le transport des spermatozoïdes depuis les testicules. [Boskey, Elizabeth. « Anatomie et fonction de l’épididyme ». Verywell Health , Verywell Health, 30 juin 2022,https://www.verywellhealth.com/epididymis-anatomy-4774615.]
Les « cellules de Sertoli » sont essentielles au développement des testicules. « Les cellules de Sertoli sont d’une importance cruciale pour le développement des testicules… [et] sont les principaux régulateurs du développement des testicules… » [Pelosi, Emanuele et Peter Koopman. « Développement du testicule. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2017,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.] « Pendant [le processus de développement des spermatozoïdes], les spermatozoïdes en développement sont étroitement liés aux cellules de Sertoli. » [Carlson, Bruce. « Gamétogenèse. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2014,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.]
Les « cellules de Leydig » sont présentes dans le tissu interstitiel testiculaire. Leur fonction principale est de produire de la testostérone pour le maintien de la création et du développement des spermatozoïdes et du développement du corps masculin. [Huhtaniemi, Ilpo et Katja Teerds. « Cellule de Leydig ». Cellule de Leydig – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2018,https://www.sciencedirect.com/topics/neuroscience/leydig-cell.] Ainsi, lorsque les cellules de Leydig sont endommagées, on pourrait dire que la masculinité physique elle-même est endommagée. Il est particulièrement urgent d’en tenir compte lorsque l’on réfléchit au fait que des petits garçons et des adolescents, qui n’ont pas encore atteint ou terminé leur puberté, reçoivent des injections de vaccins à ARNm contenant des nanoparticules lipidiques.
Les « cellules germinales » sont des précurseurs des spermatozoïdes. [« Cellules germinales – Définition, embryonnaires à gamètes, contre cellules somatiques. » MicroscopeMaster , MicroscopeMaster.com,https://www.microscopemaster.com/germ-cells.html.]
Ainsi, ces extraits et citations montrent que :
Les nanoparticules lipidiques s’accumulent dans les organes humains, notamment les testicules,
les nanoparticules sont préjudiciables à la reproduction masculine normale et
Les grandes sociétés pharmaceutiques et les agences de santé publique ont délibérément joué avec les effets néfastes sur le développement sexuel des garçons et des adolescents, sur les niveaux de testostérone des hommes de tous âges, sur le nombre de spermatozoïdes des hommes plus âgés et sur la fertilité masculine.
Un effet indésirable du vaccin à ARNm lié au sperme qui provoque l’infertilité masculine
Un événement indésirable d’intérêt particulier (EIIP) lié au vaccin à ARNm a été révélé fin février 2021. Le propre document de Pfizer mentionne « l’anticorps anti-spermatozoïdes positif » parmi ses 1 290 EIIP. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.]
Qu’est-ce qu’un « ASA » ?
Selon inviTRA , un magazine médical certifié créé par des médecins et des experts en fertilité, « La présence d’anticorps anti-spermatozoïdes (ASA) dans l’éjaculat est une cause immunitaire d’infertilité masculine. L’adhésion des anticorps aux spermatozoïdes affecte leur motilité, rendant le voyage des spermatozoïdes vers l’ovule très difficile, voire impossible. » [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]
Ce document Pfizer de fin février 2021 confirmant les anticorps anti-spermatozoïdes est la première indication documentée que j’ai trouvée dans les dossiers Pfizer selon laquelle le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer a un impact négatif sur la fertilité masculine.
Français Notez que Pfizer était au courant de cet effet indésirable lié à l’infertilité masculine près de 12 mois avant la déclaration clairement fausse du NIH de février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception, suggère une étude », 1er février 2022.] La Food and Drug Administration (FDA) était au courant de cet effet indésirable le 30 avril 2021. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf]
Pendant près d’un an, la FDA, les agences de santé publique et les organisations médicales ont donc ignoré cette « cause d’infertilité masculine » contenue dans les documents de Pfizer – qui ont tous été envoyés à la FDA. Puis ils ont menti à ce sujet.
Ils ont gardé le silence pendant un an, puis ont trompé l’opinion publique au lieu de l’alerter. La campagne de vaccination de masse s’est poursuivie sans même une brève pause, et encore une fois, les hommes se sont vu refuser leur consentement éclairé.
La suspension du consentement éclairé pour les hommes se poursuit
Contrairement à l’éthique médicale établie, Pfizer et les agences de santé publique n’ont pas révélé les véritables impacts des vaccins à ARNm sur la fertilité masculine et, par conséquent, comme indiqué ci-dessus, ont refusé aux hommes le consentement éclairé. [« Consentement éclairé – Définition, exemples, cas, processus. » Dictionnaire juridique , Dictionnaire juridique, 7 décembre 2015,https://legaldictionary.net/informed-consent/.]
En fait, les établissements médicaux, les gouvernements, les agences de santé publique du monde entier, les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques se sont entendus pour taire les faits, les risques et les alternatives liés au vaccin contre la COVID. [Tucker, Jeffrey A, et Debbie Lerman. « Besties : Twitter, Facebook, Google, CDC, NIH, WHO. » Brownstone Institute , Brownstone Institute, 3 août 2022,https://brownstone.org/articles/besties-twitter-facebook-google-cdc-nih-who/.]
En janvier 2021, l’American Society for Reproductive Medicine a publié la « Déclaration conjointe concernant le vaccin COVID-19 chez les hommes désirant une fertilité de la Society for Male Reproduction and Urology (SMRU) et de la Society for the Study of Male Reproduction (SSMR) » encourageant la vaccination COVID pour les hommes, y compris pour les patients suivant un traitement de fertilité masculine, malgré l’absence de données sur son impact sur la santé reproductive masculine :
« Au 9 janvier 2021, il n’existe aucune donnée sur l’impact du vaccin contre la COVID-19 sur la fertilité masculine. […] l’American Society for Reproductive Medicine ne recommande pas de refuser le vaccin aux patients qui envisagent de concevoir, et souligne que les patients qui suivent un traitement de fertilité et les patientes enceintes doivent être encouragés à se faire vacciner en fonction des critères d’éligibilité. » [« Mise à jour n° 11 Vaccination contre la Covid-19 16 décembre 2020 – ASRM. » American Society for Reproductive Medicine , American Society for Reproductive Medicine, 9 janv. 2021,https://www.asrm.org/globalassets/asrm/asrm-content/news-and-publications/covid-19/covidtaskforceupdate11.pdf.]
De plus, pour les hommes, SMRU et SSMR recommandent :
Le vaccin contre la COVID-19 ne doit pas être refusé aux hommes désirant devenir fertiles et répondant aux critères de vaccination.
Les vaccins contre la COVID-19 devraient être proposés aux hommes désirant être fertiles, de la même manière qu’aux hommes ne désirant pas être fertiles, lorsqu’ils répondent aux critères de vaccination.
L’ASRM, la SMRU et la SSMR – toutes des sociétés de reproduction – ont déclaré à l’unisson en 2021 qu’il n’existait aucune donnée sur les impacts sur la fertilité et que les hommes « désirant la fertilité » devraient prendre le médicament pour lequel les impacts sur la fertilité sont inconnus.
Mais comment pourraient-ils conseiller aux hommes de se faire vacciner s’il n’y avait aucune donnée prouvant qu’il n’aurait pas d’effet sur la fertilité ?
Le message biaisé a continué lorsque l’étude clinique « Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer » a déclaré : « Des allégations infondées dans les médias populaires ont établi un lien possible entre le vaccin COVID-19 et une éventuelle infertilité masculine. Actuellement, il n’existe aucune information dans la littérature médicale qui ait examiné les paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19. » [« Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer. » Affichage du texte intégral – ClinicalTrials.gov , ClinicalTrials.gov, 2 mars 2021,https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04778033.]
Encore une fois, comment les spéculations publiques sur une éventuelle infertilité induite par le vaccin à ARNm pourraient-elles être « sans fondement » alors que les responsables de l’étude admettent qu’en février 2021, il n’existait aucune donnée prouvant qu’une telle inquiétude était invalide ?
La volonté de mettre de côté les préoccupations en matière de fertilité s’est poursuivie tout au long de l’année 2021.
En septembre 2021, la revue Fertility and Sterility a publié une étude concluant : « Après avoir reçu les deux doses de vaccins, nous n’avons pas observé de baisse cliniquement significative des paramètres du sperme au sein de la cohorte, ce qui suggère que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur le potentiel de fertilité masculine. »
Cependant, l’étude était erronée. Elle admettait ensuite : « Les limites de l’étude comprennent le petit nombre d’hommes inscrits ; la généralisabilité limitée au-delà des hommes jeunes et en bonne santé ; le suivi court ; et l’absence de groupe témoin. » [Gonzalez, Daniel C., et al. « Sperm Parameters before and after COVID-19 mRNA Vaccination. » JAMA , JAMA Network, 20 juillet 2021,https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2781360.] [Gonzalez, Daniel, et al. « Effet des vaccins ARNm contre la COVID-19 sur la qualité du sperme. » Fertility and Sterility , publié par Elsevier Inc., 17 septembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8446925/.]
Les véritables expériences comprennent toujours au moins un groupe témoin qui ne reçoit pas le traitement expérimental. Sans groupe témoin, le résultat d’une étude ne peut être certain. Pourtant, malgré le rejet des normes scientifiques établies de longue date, « la science » a indiqué aux hommes dans ce cas que les vaccins contre la COVID n’auraient pas d’effet négatif sur leur fertilité.
Fin 2021, une étude chinoise a publié des vérités que les études occidentales précédentes avaient refusé de reconnaître. L’étude a validé les inquiétudes concernant les vaccins liés à la fertilité : « Bien que plusieurs sociétés de fertilité aient annoncé que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’auraient probablement aucun effet sur la fertilité, il est indéniable que les preuves actuelles sont très limitées, ce qui est l’une des raisons de l’hésitation à se faire vacciner… » L’étude chinoise poursuit : « … étant donné les dommages potentiels du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) sur le système reproducteur, certaines personnes soupçonnent que le vaccin qui imite le virus (vaccin à ARNm) peut également affecter la fertilité via le même mécanisme. » Elle aborde même le fait que les vaccins contre la COVID ont été mis sur le marché à la hâte : « Il est vrai que les données sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont incomplètes par rapport aux vaccins traditionnels basés sur des études à long terme avec de grands échantillons. » [Chen, Fei, et al. « Effets de la COVID-19 et des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine. » Reproduction humaine (Oxford, Angleterre) , Oxford University Press, 27 décembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8689912/.]
Finalement, des fissures apparaissaient dans le barrage d’informations sur les vaccins à ARNm et la fertilité, et ces fissures préfiguraient une révélation stupéfiante qui était sur le point de tomber.
Le vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 provoque en réalité une chute étonnante de la fertilité masculine
Le 22 juin 2022, Andrology a publié une étude choc, « La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motiles chez les donneurs de sperme ». L’étude, qui n’incluait même pas les effets des injections de rappel supplémentaires, a montré une baisse stupéfiante de la fertilité masculine, avec une diminution moyenne de 22,1 % dans l’ensemble du groupe d’étude, par rapport aux seules injections initiales. L’étude a conclu : « La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de baisse transitoire de la concentration de sperme et du nombre total de motiles (TMC) ». [Gat, Itai, et al. « Covid-19 Vaccination BNT162B2 Temporarily Impairs Semen Concentration and Total Motile Count among Semen Donors ». Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]
Chaque participant à l’étude a fourni plusieurs échantillons de sperme tout au long de la durée de l’étude comme suit :
T0 = valeur de référence avant la vaccination
T1 = 15-45 jours après la vaccination
T2 = 75-120 jours après la vaccination
T3 = 150+ jours après la vaccination
Les chercheurs ont étudié les participants pendant cinq mois (T1-T3 ci-dessus) après avoir reçu le vaccin de Pfizer. Le tableau 2 ci-dessous montre les résultats inquiétants, qui ont un intervalle de confiance de 95 %. La collecte de T3 a duré en moyenne 174 (+/- 26,8) jours.
Ainsi, près de six mois après la vaccination, la concentration, la motilité et le nombre total de spermatozoïdes mobiles étaient encore tous dans des états de déclin significatif par rapport aux niveaux d’avant la vaccination. La concentration de spermatozoïdes n’avait pas du tout récupéré et était, en fait, à son point le plus bas.
Figure 3 : Extrait de « Le vaccin Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme », p. 4.
Malgré ces résultats alarmants, l’étude publiée a continué à encourager la vaccination : « Étant donné que la désinformation sur des sujets liés à la santé représente une menace pour la santé publique, nos résultats devraient soutenir les programmes de vaccination. D’autres études se concentrant sur différents vaccins et populations (par exemple, les patients hypofertiles) sont nécessaires de toute urgence. » [Gat, Itai, et al., 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209, p. 6.]
Il est alarmant de constater que les hommes continuent de recevoir des messages incompréhensibles et contradictoires, leur demandant de continuer à s’injecter les vaccins à ARNm, même lorsque l’étude qui contient ces exhortations démontre clairement des résultats négatifs sur la fertilité – chez les hommes.
Le public se retrouve avec plus de questions qu’il n’a de réponses
Cette revue de documents et d’études, dont une montre des données choquantes sur les vaccins à ARNm réduisant de manière concluante la fertilité des hommes, soulève d’importantes questions :
Quand, si jamais, la fertilité des hommes se rétablit-elle complètement après une baisse aussi drastique après une série de vaccinations à deux doses ?
Les rappels, que 29 % de la population mondiale a reçus au 31 juillet 2021, ont-ils un impact négatif encore plus fort sur la fertilité des hommes ? [Holder, Josh. « Suivi des vaccinations contre le coronavirus dans le monde ». The New York Times , The New York Times, 29 janv. 2021,https://www.nytimes.com/interactive/2021/world/covid-vaccinations-tracker.html.]
L’administration de vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux hommes prépubères et adolescents affecte-t-elle leur développement sexuel normal et leur capacité à se reproduire, comme le suggère l’étude sur les NP dans les testicules ?
La baisse des taux de natalité est-elle observée dans les pays fortement vaccinés [Chudov, Igor. « Igor’s Newsletter. » Substack , Igor Chudov,https://igorchudov.substack.com/.] au moins en partie en raison de la manière dont les vaccins à ARNm ont eu un effet concluant sur la fertilité masculine ?
Quels facteurs dans la « mortalité infantile » bien documentée observée dans le monde entier peuvent provenir des effets de la vaccination des hommes avec des vaccins à ARNm ? [Wolf, Naomi. « Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. » Substack , Outspoken avec le Dr Naomi Wolf, 30 mai 2022,https://naomiwolf.substack.com/p/dear-friends-sorry-to-announce-a.]
Pourquoi les sociétés pharmaceutiques, les responsables de la santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements ont-ils dit au public que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’avaient pas d’effet sur la fertilité des hommes alors qu’ils ne disposaient d’aucune donnée pour étayer une telle conclusion ?
Pourquoi, lorsque les responsables de la santé, les médecins et les gouvernements ont reçu des données confirmant que les vaccins à ARNm avaient un impact négatif sur la fertilité des hommes, n’ont-ils pas tiré la sonnette d’alarme et ne se sont-ils pas battus pour donner aux hommes un consentement éclairé ?
L’opinion publique doit exiger des réponses à ces questions de la part des sociétés pharmaceutiques, des gouvernements du monde entier, des agences de santé publique et du corps médical. Ces entités ont empêché les hommes de donner leur consentement éclairé et en ont fait des participants inconscients d’un essai clinique en cours sur une nouvelle thérapie génique.
De telles atteintes à l’humanité et à sa capacité de reproduction, et en particulier aux dommages potentiels causés aux garçons, aux jeunes et aux bébés à naître, doivent être dénoncées. Les responsables d’expériences humaines qui ont manifestement porté atteinte à la fertilité masculine doivent être tenus responsables.
Dans cette vidéo, nous déconstruisons la « croisade » médiatique menée par Michel Cymes et Olivier Véran. Une offensive déclarée contre une nouvelle ère fondée sur la transparence, le consentement et la remise en question des anciens dogmes. Ils présentent leur chaîne « Mieux » comme un rempart contre la désinformation… mais s’agit‑il d’un bouclier ou d’un bunker idéologique ? Entre hypercontrôle narratif et servilité au pouvoir… quel rôle pour la vérité scientifique ?
Solidekla est une association à but non-lucratif de droit français (régie par la loi du 1er juillet 190) créée en mars 2023 par des soignants issus du Syndicat Liberté Santé, de REINFO COVID et d’autres collectifs locaux.
La mission principale de Solidekla est l’aide à la déclaration à la pharmacovigilance des effets et évènements indésirables survenus suite à l’injection des vaccins anti-COVID19.
Solidekla est une association composée de soignants en exercice sans conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, de soignants retraités ou inactifs, mais également de citoyens, tous bénévoles.
Les bénévoles de l’association se proposent de vous écouter et de vous aider à déclarer un évènement indésirable survenant suite à la vaccination covid, aux organismes officiels de pharmacovigilance. Vous serez accompagnés tout au long de cette démarche au cours de laquelle toutes vos questions seront accueillies.
Cette déclaration est gratuite, facile et anonyme.
Rappel des effets les plus fréquents :
Infection Covid-19
Fatigue persistante
Fièvre, toux, rhume
Essoufflement persistant
Grosseur et/ou douleur au point d’injection
Ganglions périphériques
Douleurs articulaires
Bourdonnements d’oreilles (acouphènes)
Vertiges, maux de tête, troubles de la mémoire
Aggravation d’une démence (Alzheimer…)
Convulsions infantiles
Douleurs ou faiblesse musculaire persistantes
Règles plus longues et/ou plus douloureuses, reprise des règles après la ménopause, arrêt des règles
Anomalies pendant la grossesse (fausse couche, mort foetale in utero, malformation, prématurité…)
Alors que nous découvrons une agressivité et une violence hors norme chez les gens depuis ces 5 dernières années, le Dr Naomi Wolf explique au parlement européen (06/09/25), les liens entre le vaccin ARNm COVID et la démence.
En 2016, le Dr Marcus Zervos a accepté l’impensable : tester les vaccinés contre les non vaccinés. Convaincu que cela prouverait la sécurité des vaccins, il a promis de publier les résultats quoi qu’il arrive. Ces résultats n’ont jamais vu le jour, jusqu’à maintenant. Voici ce que l’étude enterrée a révélé.
Rencontrez le Dr Marcus Zervos , responsable des maladies infectieuses au Henry Ford Health de Détroit. Il est un fervent partisan des vaccins.
En 2016, il a croisé le chemin du journaliste spécialisé dans la liberté de la santé Del Bigtree, qui l’a exhorté à s’attaquer à quelque chose que la santé publique avait évité pendant des décennies : une étude comparant les résultats de santé des enfants vaccinés et non vaccinés.
Le Dr Zervos a accepté de mener l’étude, déterminé à prouver que Bigtree et les autres sceptiques face aux vaccins avaient tort. À l’époque, il avait juré : « Quels que soient les résultats, ils seront publiés . »
Début 2020, Bigtree et son équipe ont reçu une copie de l’étude. Il s’agissait d’une comparaison rétrospective entre sujets vaccinés et non vaccinés, examinant l’état de santé à long terme de 18 468 sujets.
Son titre était « Impact de la vaccination infantile sur les résultats de santé chroniques à court et à long terme chez les enfants : une étude de cohorte de naissance ».
Voici ce que les résultats ont révélé :
Les enfants vaccinés étaient quatre fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic d’asthme que les enfants non vaccinés.
Ils ont également constaté une augmentation de six fois des infections aiguës et chroniques de l’oreille.
Les troubles de la parole étaient 4,47 fois plus élevés dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.
Pendant ce temps, la cohorte non vaccinée n’a montré aucun cas de dysfonctionnement cérébral, de diabète, de troubles d’apprentissage, de déficience intellectuelle, de tics ou d’autres troubles psychologiques.
« C’est dévastateur. »
L’avocat Aaron Siri de l’ICAN (Informed Consent Action Network) note que cette étude aurait dû être « publiée d’urgence ».
Mais cela n’est pas arrivé.
Pourquoi ? Parce que publier cela aurait ruiné la carrière de Zervos.
Comme l’a témoigné Siri lors d’une audience du Sénat sur les vaccins mardi, les résultats globaux ont montré qu’« après 10 ans, 17 % des enfants non vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, tandis que 57 % des enfants vaccinés en avaient au moins un ».
Il s’agit d’une augmentation de plus de trois fois du risque de maladies chroniques chez les personnes vaccinées.
« Le seul véritable problème de cette étude », a déclaré Siri, « est que ses conclusions ne concordent pas avec la croyance et la politique selon lesquelles les vaccins sont sûrs. Si elle avait conclu que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé, elle aurait sans doute été publiée immédiatement. Mais comme elle a conclu au contraire, elle a été mise au placard . »
Un grand mérite revient à Del Bigtree, The Highwire, l’avocat Aaron Siri et d’autres pour 1) avoir convaincu le Dr Zervos de mener cette étude et 2) l’avoir mise en lumière.
Le documentaire complet, intitulé An Inconvenient Study , devrait sortir le 3 octobre.
nous sommes très nombreux, 130 à peu près, à avoir rejoint la plainte avec Maître Joseph en 2021.
C’était une période de lutte et d’espoir, de grande solidarité.
Depuis, cette plainte a été refusée, refusée en appel, et est aujourd’hui en cassation.
Suite à la venue de Maître Brusa à Voiron ce printemps, l’idée m’est venue d’organiser une GRANDE ACTION VISIBLE devant le palais de Justice de Grenoble, avec tous les porteurs de la plainte et bien d’autres, tous ceux qui voudront se joindre à nous.
L’issue de notre plainte est peut-être perdue d’avance, mais la résonance, la diffusion que nous lui donnerons, là est l’essentiel car nous nous battons tous évidemment pour beaucoup plus que pour nous-mêmes.
Et ainsi le secret qu’ils désirent se retourne en son contraire.
J’ai appelé tous les collectifs de France à se joindre à nous chez eux en leur envoyant ce message.
Nous sommes d’innombrables individus ou collectifs à avoir déposé des plaintes et actions en justice depuis 2, 3, 4, 5 ans… avec quels résultats?
Les plaintes sont classées par dizaines, centaines, milliers alors que l’offensive contre la Vie, les enfants, la Liberté continue avec d’autres vaccins, d’autres lois liberticides.
La justice, sa fausse indépendance, son silence, ses choix, sont au centre de tout ce que nous combattons.
Le 29 septembre, jour de la Saint Michel, symbolisant la lutte éternelle et plus que jamais actuelle entre l’ombre et la Lumière, entre le secret et la parole du Messager, exposons le silence de la justice elle-même devant nos palais de justice en montrant la réalité des politiques sanitaires, des vaccinations et du monde d’injustice et de corruption que le système judiciaire cautionne.
Nous serons à Grenoble dès 8 h 30 devant le palais de justice de Grenoble avec les porteurs de notre plainte refusée depuis 4 ans et aujourd’hui en cassation et les portraits des victimes des campagnes de vaccination.
Soyez aussi devant les palais de justice partout en France ou ailleurs ce jour-là.
Nous serons à L’Université d’Eté Rassemblante organisée par Cécile Maichak ce week-end.
François-Marie Périer et Kevin Quentric, collectifs AURA Liberté Auvergne-Rhône-Alpes
Le 9 septembre 2025, la Commission Permanente d’Enquête (Permanent Subcommittee on Investigations) du Comité sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales du Sénat des États-Unis, présidée par le sénateur républicain Ron Johnson, que France-Soir est le seul média français à avoir interviewé, a tenu une audience intitulée « comment la corruption de la science a impacté la perception publique et les politiques relatives aux vaccins ». Cette session, qui s’inscrit dans une série d’enquêtes lancées par Johnson sur la transparence vaccinale, a réuni trois témoins aux profils contrastés : Toby Rogers, un chercheur en économie politique et fellow à l’Institut Brownstone ; Aaron Siri, avocat spécialisé dans les litiges vaccinaux ; et le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à l’Université Stanford. Leurs témoignages, riches en données et en accusations, ont mis en lumière des divergences profondes sur la sécurité des vaccins, l’épidémie d’autisme et l’intégrité scientifique. Voici un compte-rendu détaillé de ces interventions, basé sur leurs déclarations écrites soumises au sous-comité.
Contexte de l’audience : une enquête sur la transparence et les enjeux publics
Le sénateur Ron Johnson, son engagement à éclairer les zones d’ombre des politiques sanitaires, a ouvert l’audience en soulignant l’importance d’examiner comment des biais scientifiques pourraient influencer les politiques publiques. L’objectif était d’explorer les lacunes dans les études pré- et post-licence des vaccins, ainsi que les impacts sur la santé publique, notamment l’autisme et les maladies chroniques. Avec le sénateur Richard Blumenthal (démocrate) en présence, l’audience a promis un débat bipartisan, mais les témoignages ont rapidement révélé des clivages idéologiques et scientifiques.
Les trois témoins ont été sélectionnés pour représenter des perspectives variées : Rogers et Siri, critiques des narratifs officiels, et Scott, défenseur de la science vaccinale établie. Leurs interventions, limitées à des déclarations écrites de 5 à 12 pages, ont été diffusées en amont et devraient être suivies d’interrogatoires oraux.
Toby Rogers : l’épidémie d’autisme comme conséquence des vaccins et des toxines
Toby Rogers, Ph.D. en Économie Politique de l’Université de Sydney et fellow à l’Institut Brownstone (un think tank critique des politiques sanitaires), a ouvert son témoignage par une anecdote personnelle poignante. En juillet 2015, le fils de sa partenaire a été diagnostiqué autiste, ce qui l’a poussé à plonger dans la littérature scientifique via le site du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Formé à analyser les sources primaires, Rogers a vite conclu que le récit officiel du CDC – attribuant l’autisme principalement à des facteurs génétiques – ne tenait pas la route.
Rogers a détaillé une explosion de la prévalence de l’autisme aux États-Unis : de moins de 1 cas sur 10 000 enfants en 1970 (étude de Treffert, 1970) à 1 sur 31 en 2022 (rapport CDC, Shaw et al., 2025), soit une augmentation de 32 158 % en 52 ans. Selon lui, cette hausse n’est pas génétique – « il n’existe pas d’épidémie génétique » – et ne s’explique pas par des changements diagnostiques (études californiennes de Byrd et al., 2002, et Hertz-Picciotto & Delwiche, 2009). Il a critiqué les explications du CDC : le valproïque (médicament contre l’épilepsie) et la thalidomide n’expliquent qu’une poignée de cas, tandis que l’âge parental avancé a un effet modeste insuffisant pour justifier la flambée.
Son doctorat, achevé en 2019 et devenu l’une des thèses les plus téléchargées de l’histoire de Sydney, porte sur « L’Économie Politique de l’Autisme ». Depuis, Rogers collabore avec Children’s Health Defense (organisation anti-vaccins fondée par Robert F. Kennedy Jr.) et publie en indépendant. Il a passé en revue près de 1 000 études, concluant que les vaccins sont la cause principale, aux côtés d’une douzaine de toxines environnementales.
Rogers a balayé les 22 études prétendant que les vaccins ne causent pas l’autisme : aucune n’inclut de groupe contrôle complètement non vacciné, les rendant inutiles. Les cinq grands projets génétiques (AGRE, SSC, etc.) ont englouti 2,3 milliards de dollars pour peu de résultats, car le génome humain ne mute pas si vite. Les quatre projets épigénétiques (CHARGE, etc.), qui examinent pollution, pesticides et métaux lourds, ignorent les vaccins comme variable confuse, biaisant les conclusions.
La clé, selon Rogers, réside dans les événements d’activation immunitaire : infections, toxines industrielles ou vaccins. Une étude de Thomas et Margulis (2016) montre un taux d’autisme de 1/715 chez les non-vaccinés contre 1/31 chez les vaccinés. L’étude d’Ozonoff et al. (2018) révèle que 88 % des cas impliquent une régression autistique post-exposition aiguë, souvent liée à un rendez-vous vaccinal « pour le bien du bébé », corroboré par des milliers de témoignages parentaux.
Rogers a cité six études « invisibilisés/supprimées » par les médias et l’establishment médical :
Gallagher & Goodman (2008, 2010) : La dose de naissance du vaccin hépatite B augmente le risque d’autisme.
Mawson (2017a, 2017b, 2025) : Vaccination multiplie par 4,2 le risque d’autisme ; chez les prématurés, par 12 fois le risque de handicap neurodéveloppemental.
Hooker & Miller (2021) : Vaccination x5 le risque ; sans allaitement x12,5 ; avec césarienne x18,7.
Conclusion de Rogers : arrêter l’exposition aux vaccins et toxines stopperait les épidémies d’autisme et maladies chroniques. Il renvoie à sa thèse et un article substack pour plus de détails.
Aaron Siri : corruption systémique et études inédites sur les risques vaccinaux
Aaron Siri, à la tête de Siri & Glimstad LLP, apporte une voix juridique puissante et engagée. Il a soumis un témoignage de 12 pages, incorporant une soumission antérieure de mai 2025. Spécialiste des exemptions vaccinales et transparence, Siri argue que la « corruption de la science » repose sur un biais a priori : « Les vaccins sont sûrs », ce qui empêche des études rigoureuses.
Sur les essais pré-licence : aucun des essais pour les vaccins pédiatriques du CDC n’a confirmé leur sécurité en raison de designs limités (référence à sa soumission précédente). Post-licence, l’autisme – soi-disant « le plus étudié » – n’a pas été examiné pour les vaccins infantiles. L’IOM (Institute of Medicine) et une revue HHS admettent que la plupart des blessures rapportées (y compris celles reconnues par les pharma) n’ont pas été étudiées. Les systèmes CDC comme VAERS ne font que signaler des alertes, sans causalité prouvée.
Siri met en avant une étude inédite de Henry Ford Health (2017-2020), menée par des scientifiques respectés comme le Dr Marcus Zervos et Lois Lamerato, comparant les enfants vaccinés et non-vaccinés.
Les résultats sont encourageants pour ceux qui cherchent des réponses : les vaccinés présentaient des taux significativement plus élevés de maladies chroniques (asthme x4,29, troubles neurodéveloppementaux x5,53), tandis que des conditions comme l’ADHD étaient absentes chez les non-vaccinés. Siri note que ces maladies impliquent une dysrégulation immunitaire, liée aux vaccins dans la littérature existante.
Malgré une conception « bien exécutée » (affirmée par Zervos et Lamerato), l’étude n’a pas été publiée : Lamerato craignait de « gêner les médecins », Zervos son emploi. Siri conclut que ce biais systémique – études biaisées ou supprimées – perpétue un narratif pro-vaccins, ignorant les risques chroniques. Il appelle à une transparence accrue via des poursuites judiciaires. Son travail juridique, combiné à des collaborations avec l’ICAN, ouvre la voie à une réévaluation des protocoles vaccinaux, offrant un espoir de justice pour les familles affectées.
Dr Jake Scott : une défense imposante mais manquant de précisions cruciales
Le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à Stanford, apporte une défense solide de la science vaccinale, citant un corpus de 1 704 essais randomisés (1941-2025, >10,5 millions de participants) et des impacts mondiaux comme 154 millions de vies sauvées. Sa base de données publique, accessible via PubMed, et son projet Vaccine Integrity Project sur 590 études respiratoires sont louables. Cependant, cette approche, bien que transparente, manque de prudence face aux critiques, notamment l’occurrence massive d’effets indésirables suite à la vaccination covid qui sont niés et inexpliqués par bien des médecins.
Cependant, Scott affirme que les systèmes de surveillance détectent des événements rares (1/million) et que l’absence de « vague de maladies chroniques » invalide les inquiétudes. Pourtant, il n’adresse pas directement les études vacciné/non-vacciné comme celle de Henry Ford, ni les biais potentiels dans les essais pré-licence. Sa confiance en des cohortes comme celle danoise (1,2 million d’enfants) est intéressante, mais sans examiner les données brutes ou les variables confondues (vaccins vs environnement), ses conclusions paraissent prématurées. Malgré ses déclarations minimales de liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique (45,62 $ en repas), l’absence de débat sur les lacunes post-licence affaiblit son argumentation, et son apparente faible connaissance sur la biodistribution des vaccins à ARN messager pose question.
Analyse et implications : un débat politisé sur la santé publique
Ces témoignages illustrent un fossé béant. Rogers et Siri accusent une épidémie iatrogène (causée par les soins médicaux), avec des études supprimées et un biais pro-vaccins, tandis que Scott met en avant un corpus massif prouvant sécurité et efficacité. L’absence d’études vacciné/non-vacciné rigoureuses (admis par tous) reste un point faible.
Cette audience pourrait influencer les politiques : Johnson pousse pour plus de transparence, potentiellement via des réformes CDC ou FDA. Avec des élections en vue, elle ravive le débat sur la confiance vaccinale.
Les enregistrements complets ont été publiés sur le site du Sénat et la traduction publiée par France-Soir.
Imaginez ouvrir un flacon de vaccin ARNm — et y découvrir des milliards de fragments d’ADN là où il ne devrait y en avoir qu’un soupçon. Pas une rumeur. Pas une hypothèse. Une découverte documentée dans une étude scientifique, publiée le 6 septembre 2025 par trois chercheurs de renom, dont le généticien Kevin McKernan.
Leur conclusion ? Les injections Pfizer et Moderna contre le Covid-19 seraient contaminées par de l’ADN plasmidique résiduel à des niveaux… jusqu’à 627 fois supérieurs aux normes de sécurité établies par la FDA et l’OMS.
Mais ce n’est pas tout. Certains de ces fragments — encapsulés dans les fameuses nanoparticules lipidiques — contiennent des séquences de promoteur SV40, un élément génétique reconnu pour ses liens avec des mécanismes cancérigènes.
Qu’est-ce que cela signifie pour la santé publique ? Pourquoi ces résidus sont-ils toujours présents, même dans les formulations les plus récentes ? Et surtout, pourquoi les autorités n’ont-elles pas encore réagi, malgré la multiplication de rapports concordants ?
Dans cet article, nous allons explorer :
Ce que dit réellement l’étude (et ce qu’elle ne dit pas)
Les risques biologiques potentiels liés à cette contamination
Les données sur les effets indésirables graves (VAERS)
Et pourquoi cette affaire pourrait bien devenir le prochain grand scandale sanitaire
Une contamination massive et persistante
Des fragments d’ADN protégés dans des nanoparticules lipidiques peuvent pénétrer nos cellules… Un scénario que la réglementation n’avait jamais anticipé.
Cette étude évaluée par des pairs et publiée par le Dr David J. Speicher, la Dr Jessica Rose et le chercheur Kevin McKernan a secoué la communauté scientifique. Leur analyse portait sur 32 flacons issus de 16 lots différents de vaccins ARNm — Pfizer et Moderna — dans leurs versions originales, bivalentes, et XBB.1.5. L’objectif ? Quantifier les résidus d’ADN plasmidique présents dans chaque dose.
Résultat : chaque flacon contenait entre plusieurs milliards et plusieurs centaines de milliards de fragments d’ADN.
Et il ne s’agit pas de contaminations accidentelles datant du lancement du vaccin en 2020. Les formulations les plus récentes sont elles aussi concernées, ce qui signifie que le problème est toujours actif dans la chaîne de production actuelle.
Des flacons récents aussi concernés
Les chercheurs ont formellement identifié la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les doses dites “bivalentes” (adaptées aux variants récents) ainsi que dans celles ciblant le variant XBB.1.5. En d’autres termes, les versions censées être “les plus à jour” des vaccins Covid restent contaminées par le même ADN que celui détecté en 2021.
Cela invalide l’hypothèse d’une erreur de jeunesse ou d’un défaut temporaire dans le processus de purification. Nous sommes face à un problème systémique.
Des milliards de fragments d’ADN par dose
Chaque dose analysée contenait entre 100 et 160 milliards de fragments d’ADN, certains atteignant jusqu’à 3,5 kilobases de longueur — soit une taille suffisante pour inclure des gènes complets ou des éléments régulateurs puissants. De quoi inquiéter, d’autant plus que…
Une partie de cet ADN est encapsulée dans les nanoparticules lipidiques, ce qui pourrait lui permettre de pénétrer les cellules et de contourner les défenses naturelles — un scénario que les normes de sécurité n’avaient pas envisagé.
Pour creuser davantage ces implications, notamment sous un angle cinématographique et documenté, nous vous recommandons de visionner le film “Inside mRNA Vaccines : Une seconde opinion”, disponible sur notre blog. Ce documentaire propose une analyse complète du déploiement des vaccins ARNm, loin des filtres institutionnels habituels.
Pourquoi ces résidus posent un problème biologique sérieux
ADN encapsulé dans des nanoparticules lipidiques
Ce qui inquiète particulièrement les auteurs de l’étude, ce n’est pas seulement la quantité d’ADN retrouvée, mais la forme sous laquelle il se présente.
L’ADN détecté n’est pas libre dans le solvant. Il est encapsulé dans les mêmes nanoparticules lipidiques que celles censées véhiculer l’ARNm vers les cellules. Cela signifie que ces fragments pourraient être délivrés directement à l’intérieur des cellules humaines, contournant les protections naturelles du système immunitaire.
Cela n’avait jamais été pris en compte lors de la définition des seuils de sécurité actuels (10 ng par dose).
En résumé, l’ADN n’est pas juste un déchet passif. Il est potentiellement fonctionnel… et actif biologiquement.
Le cas spécifique du SV40 : un promoteur hautement controversé
Plus inquiétant encore : les flacons de Pfizer contiennent une séquence spécifique appelée promoteur-enhancer SV40.
Ce nom peut sembler technique. Il s’agit en réalité d’un élément génétique utilisé pour forcer l’expression de gènes — largement connu dans les milieux de recherche comme ayant un fort potentiel oncogène (cancérigène).
L’OMS fixe la limite à 10 ng par dose. Certaines injections Covid en contiendraient jusqu’à 627 fois plus. Documenté, vérifié, publié.
“Cet élément est reconnu pour entraîner l’intégration génomique, la mutation de l’ADN et l’activation d’oncogènes”, écrivent les auteurs.
Pourquoi une telle séquence se trouve-t-elle dans un vaccin destiné au grand public ? Pourquoi n’a-t-elle pas été signalée par les fabricants eux-mêmes ?
Aucune réponse officielle à ce jour.
Les risques théoriques : mutagenèse, cancer, immunité
Trois scénarios sont évoqués par les chercheurs comme risques plausibles :
Mutagenèse insertionnelle : L’ADN résiduel pourrait s’intégrer dans le génome humain, notamment dans des cellules en division rapide, avec des conséquences imprévisibles.
Activation d’oncogènes : Le promoteur SV40 pourrait forcer l’activation de gènes liés au développement de tumeurs.
Réactions auto-immunes : La présence d’ADN étranger dans l’organisme pourrait déclencher des réponses immunitaires inappropriées, voire chroniques.
Même si ces effets ne sont pas prouvés à ce jour, leur plausibilité biologique est suffisante pour exiger une évaluation rigoureuse.
Des seuils largement dépassés : ce que disent les chiffres
La limite FDA/OMS : 10 ng par dose
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Drug Administration (FDA) ont établi une limite claire pour les résidus d’ADN dans les vaccins : 10 nanogrammes par dose.
Ce seuil n’est pas arbitraire. Il est censé représenter une quantité si faible qu’elle n’aurait aucun effet biologique plausible sur le corps humain. Au-delà, les risques — théoriques ou réels — deviennent significatifs, notamment en matière de transfection, d’intégration génomique ou de réponse immunitaire imprévue.
Mais que se passe-t-il si cette limite est non seulement dépassée… mais explosée à grande échelle ?
Pfizer: jusqu’à 1 548 ng — Moderna : jusqu’à 6 280 ng
Selon l’étude publiée par Speicher, Rose et McKernan, les doses analysées contiennent bien plus que les 10 ng autorisés :
Vaccins Pfizer : entre 371 et 1 548 ng par dose, soit 37 à 153 fois la limite.
Vaccins Moderna : entre 1 130 et 6 280 ng par dose, soit 113 à 627 fois la limite.
Des chiffres qui, pour tout spécialiste en biologie moléculaire, dépassent l’entendement.
“Tous les produits analysés dépassaient les limites de sécurité réglementaire de 36 à 627 fois”, précisent les auteurs.
Confirmation par plusieurs techniques de mesure
Pour éliminer toute possibilité d’erreur, les chercheurs ont utilisé deux méthodes de quantification :
Fluorométrie + digestion à la RNase A : une technique qui permet de mesurer l’ADN total (en éliminant l’ARN). Résultat : tous les lots testés dépassaient les normes.
qPCR (PCR quantitative) : une méthode plus ciblée mais qui sous-estime souvent l’ADN total, car elle ne détecte que des séquences spécifiques. Malgré cela, trois flacons Pfizer ont tout de même montré des taux d’ADN SV40 (promoteur-enhancer) supérieurs à 10 ng.
Cela confirme un point fondamental : les résultats ne dépendent pas d’un seul outil, ni d’un seul laboratoire. Il s’agit bien d’un phénomène systémique, reproductible, et objectivement mesurable.
Corrélation inquiétante : plus d’ADN = plus d’effets graves ?
Plusieurs lots fortement contaminés sont aussi les plus associés à des effets secondaires graves. Corrélation ou hasard ? Le silence des autorités devient assourdissant.
Les données de VAERS
Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), la base de données officielle américaine de pharmacovigilance, a révélé un signal troublant : les lots de vaccins les plus fortement contaminés en ADN sont aussi ceux qui présentent les plus hauts taux d’effets secondaires graves (SAE).
Dans certains cas, entre 50 % et 95 % des rapports associés à ces lots sont classés comme graves — hospitalisations, incapacités permanentes, décès.
Les chercheurs soulignent que cette corrélation ne prouve pas une causalité… mais qu’elle est trop forte pour être ignorée.
Certains lots massivement contaminés, massivement rapportés
Kevin McKernan et ses collègues ont constaté que plusieurs flacons analysés provenaient des mêmes lots que ceux identifiés comme problématiques dans les bases de données publiques. Ces lots apparaissent dans les classements de lot-to-SAE ratio les plus élevés, un indicateur déjà utilisé par des analystes indépendants comme Craig Paardekooper.
Plus de fragments d’ADN, plus d’effets secondaires ? C’est une hypothèse de travail qui mérite une investigation sérieuse — et rapide.
Coïncidence ou causalité ?
Impossible, à ce stade, d’affirmer que l’ADN résiduel est la cause directe des effets secondaires. Mais le principe de précaution impose d’exiger une transparence totale sur la composition réelle des doses injectées à des millions de personnes.
Pourquoi cette affaire secoue la communauté scientifique
Une dizaine de rapports indépendants concordants
Loin d’être une étude isolée, les travaux de Speicher, Rose et McKernan corroborent au moins dix autres analyses indépendantes menées au Canada, en Allemagne, en Australie et en Suède. Toutes convergent vers un constat similaire : des fragments d’ADN plasmidique persistent dans les vaccins ARNm, à des niveaux élevés.
Et pourtant, aucune alerte de l’OMS. Aucun retrait. Aucune suspension de lot. Silence.
Une réponse réglementaire absente ou tardive
À ce jour, ni la FDA, ni l’EMA, ni l’ANSM en France n’ont répondu officiellement à cette accumulation de preuves. Le sujet reste quasiment absent du débat public, ignoré des médias grand public et peu abordé par les professionnels de santé.
Seule une poignée de scientifiques, souvent marginalisés, tirent la sonnette d’alarme.
Comment expliquer une telle inertie alors que les implications pourraient être massives?
Ce que demandent les chercheurs
Les auteurs de l’étude ne réclament pas “l’abandon de la vaccination” ni n’alimentent un discours conspirationniste. Leur message est clair: ces produits ne respectent pas les normes de sécurité établies. Ils exigent :
Le retrait immédiat des lots contaminés
Un moratoire sur l’utilisation des vaccins concernés
Une enquête indépendante sur les processus de fabrication
Ce que vous devez retenir (et ce que vous pouvez faire)
Est-ce une raison de paniquer ?
Non. C’est une raison de s’informer, de questionner, et d’agir (lisez les livres proposés au bas de l’article). Ce que révèle cette étude n’est pas un “complot”, mais une défaillance grave des processus de contrôle d’un produit injecté à grande échelle!
La transparence scientifique n’est pas un luxe. C’est une obligation.
Interrogez les autorités sanitaires sur les lots utilisés dans votre région
L’importance de preuves indépendantes
Dans une époque où l’expertise est souvent captive d’intérêts privés, l’indépendance scientifique est notre meilleure protection collective. Et aujourd’hui, elle nous dit : quelque chose cloche profondément dans ces formulations.
FAQ: vos questions, nos réponses
1. Ces résidus d’ADN peuvent-ils vraiment s’intégrer dans notre génome ? C’est biologiquement plausible, surtout en cas de contact avec des cellules en division rapide. C’est pourquoi les seuils sont si stricts.
2. Tous les vaccins ARNm sont-ils concernés ? L’étude a testé des flacons de Pfizer et Moderna, dans toutes leurs versions connues. Tous étaient contaminés.
3. Pourquoi personne n’en parle ? Les mécanismes de contrôle, de financement et de communication dans le monde médical rendent ce type d’information difficile à faire remonter au public.
4. Que signifie “promoteur SV40” ? C’est une séquence génétique puissante utilisée pour forcer l’expression de gènes. Elle est associée à un potentiel oncogène élevé.
5. Ces doses sont-elles toujours administrées ? Oui. L’étude date de septembre 2025 et les flacons testés sont récents.
6. Peut-on identifier les lots à éviter ? Certaines bases de données comme VAERS permettent de croiser les effets indésirables par lot. Mais cette analyse nécessite des compétences techniques.
7. Existe-t-il une solution ? Le premier pas est la prise de conscience collective. Ensuite, exiger une action réglementaire est indispensable.
C’était une audience électrique au Sénat américain. Pendant plus de trois heures, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé, a affronté une armée de sénateurs hostiles, tous alignés derrière le même mantra : « sûrs et efficaces ».
Mais derrière leurs slogans, une réalité glaçante : des millions de dollars de Big Pharma coulent dans leurs campagnes.
Pendant ce temps, Kennedy révèle les vérités qui dérangent : •Le coup de balai au CDC et le licenciement des responsables du désastre COVID. •Les dangers des injections à ARNm : caillots, turbo-cancers, effets à long terme ignorés. •La dénonciation des conflits d’intérêts et de la corruption systémique des sénateurs. •Les risques sanitaires de la 5G, encore passés sous silence. •La fracture entre les États-Unis : la Floride supprime tous les mandats de vaccination tandis que la Californie les renforce. •L’écho mondial, de l’Europe à la France, où la confiance dans les institutions s’effondre. Kennedy ne parle pas seulement aux Américains. Il pose la question fondamentale pour le monde entier : voulons-nous rester des cobayes dans un essai clinique planétaire… ou reprendre le contrôle de nos vies ?
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.