Louis Fouché et son association Les enfants d’Hippocrate entament leur bras de fer contre les autorités sanitaires !
L’association « Les Enfants d’Hippocrate » organisera le 29 avril 2025 à 11 h à Paris XIᵉ une conférence de presse. En présence du Pr Christian Perronne, du Dr Louis Fouché, du Dr Christian Velot, du Dr Hélène Banoun, Dr Claude Escarguel et des représentants de l’Association AAVICTEAM. L’association présentera le détail de ses recherches concernant les défauts majeurs de qualité, de sécurité et d’efficacité des produits dénommés vaccins anti-covid à ARNm : Comirnaty et Spikevax. Elle exposera également des propositions diagnostiques pour accompagner les victimes de covid long et d’effets indésirables des vaccins.
Collectif pour des thérapeutiques sûres et efficaces « Les Enfants d’Hippocrate » est une association bénévole, à but non lucratif, apartisane et laïque qui cherche à aider à la réouverture du dialogue entre les citoyens, les scientifiques, les soignants et les institutions, sur les questions relatives à la qualité, la sécurité et l’efficacité des thérapeutiques. https://lesenfantsdhippocrate.org
Le dernier rapport publié en juin 2023, par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalisait en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès. A ce jour, aucune action n’a été réellement entreprise par les autorités compétentes, en faveur des victimes.
Il y a des voix qui résonnent un peu partout en France et dans d’autres pays, nous souhaitons leur donner un écho décuplé à l’occasion d’une première date commune pour se rassembler, se coordonner partout sur nos territoires respectifs et porter un message commun : “En 2025, il n’est plus possible de taire cette réalité et de laisser des personnes souffrir dans le silence. Nous souhaitons que les victimes soient écoutées, reconnues, prises en charge et que des pistes de traitements adaptés soient explorées.” Chaque association et collectif est invité à proposer une action qui lui ressemble, dans la mesure de ses moyens et à communiquer autour de lui. Des victimes malades et proches de personnes décédées pourront prendre la parole, ainsi que des médecins, des soignants, des scientifiques (microbiologistes, généticiens…), des juristes, tout comme des citoyens engagés. Dans chaque ville participante, une personne de l’organisation locale filmera avec un smartphone et une connexion stable à internet. Le média citoyen BAM! enverra auparavant à chacun de ces filmeurs locaux, un lien pour connecter son smartphone au salon Restream de BAM!. Les images vidéos seront ainsi toutes enregistrées pendant qu’elles sont filmées. Les meilleurs moments seront diffusés au fil des jours suivants. Les ressources : les portraits du VIAC19, les témoignages sur le site VVC19.fr, le dernier rapport de l’ANSM en juin 2023, VAERS (Etats Unis), Eudravigilance (UE)… Pour nous prévenir de votre participation et pour toute information : contact-notdose@proton.me
Les villes participantes
Vérity France – Aix en Provence (13), Place de la Rotonde
AAVIC Team – Moulins (03), Place d’Allier
On a eu not’ dose – Strasbourg (67), Place d’Austerlitz
Les Masques Blancs – Lyon (69), 2ème arrondissement (lieu à venir)
Les Masques Blancs – Nantes (44), La croisée des trames
Les Masques Blancs – Toulouse (31), Métro Jean Jaurès
Collectif Liberty Haut de France – Lille (59), Monument Willy Brandt, place des Buisses
Réinfo 80- Amiens (80), Place Léon Gontier
Grelive – Grenoble (38), Place Grenette
Antipass Dole – Dole (39), Place aux fleurs
“Protéger sa pipe à St-Claude” – Saint-Claude (39), Place du 9 avril
Corse Humanis – Bastia (20), Place St Nicolas
Action 200 Belgique – Namur Belgique, Place d’Armes (en déambulation)
Impfopfer.info – Vienne Autriche, devant la Cathédrale Ste Étienne
« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984
Savez-vous, ou vous rappelez-vous que, pendant ou depuis l’état d’urgence?
-la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070: https://www.insee.fr/fr/statistiques/7670212 -près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
-le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Édouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Ces euthanasies s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi déoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04/2020. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 : https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM
les pays où les confinements ont été les plus sévères sont aussi ceux où la mortalité a été la plus forte (refus de soin, isolement, promiscuité, manque d’oxygène, de soleil, stress…) outre la catastrophe économique et psychologique pour les populations : https://www.monde-diplomatique.fr/2025/03/BOULAKIA/68102
“Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944
-les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte : https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657
-aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a d’abord été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective, l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes
les tests PCR ont été manipulés par des cycles d’amplification permettant de découvrir n’importe quelle trace, sans rapport avec une contagion quelconque, donnant des « faux positifs ». Leur inventeur, Kary Mullis, prix Nobel décédé l’été 2019, avait mis en garde contre ce biais : https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html «Cette sorte de pouvoirs que donne l’état d’urgence, nés de la crise, obéit à une parfaite histoire d’oppression.» Edward Snowden, 10 avril 2020, avec Shane Smith, Shelter in Place
Astrazeneca et Sanofi (depakine, dengvaxia…) sont derrière le beyfortus, dangereux vaccin contre la bronchiolite du nourrisson à partir de 3 jours de vie, depuis 2023 : https://neosante.eu/beyfortus-alerte-rouge/
-OMS : censure, corruption, conflits d’intérêts, gestion furent dénoncés dès 2016 sur ARTE : L’OMS dans les griffes des lobbyistes, https://www.youtube.com/watch?v=N-mL9gX9gws
-le serment d’Hippocrate déclare: «Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.» ;le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins; la convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas obéir à un intérêt autre que celui des populations. -Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants: https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl
regarder le CV personnel, professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance: qu’ont-ils fait jusqu’à présent et pour quels intérêts ?
suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien ? comment ? pourquoi ? sur le court, moyen et long terme.
écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
quelles sont les conséquences des mesures dites sécuritaires et salutaires, en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie?
couleur politique indifférente: beaucoup ont changé de bord, seuls comptent mots et actes.
Effets indésirables des vaccins covid :
Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, turbocancers et récidives foudroyantes avec métastases (nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches… Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux
Les innombrables scandales médicaux ou politiques ont toujours été révélés par la voix de témoins, victimes, quelques journalistes, avocats, médecins. Chaque voix compte. Nous sommes des millions!
Le traité déforcé poursuit sa route, avec plus de surveillance pour plus de « menaces », mais moins d’argent !
Il y a quelques jours, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir finalement obtenu un accord sur le traité pandémie. Le projet qui sera soumis au vote lors de la 78ème Assemblée mondiale de la santé est nettement moins contraignant que dans ses premières moutures, il y a 3 ans.
Le rôle central de l’organisation y est revu à la baisse, ce qui reflète son affaiblissement suite au départ des États-Unis et à la réduction drastique de son budget. Mais le vote de cet Accord, même “squelettique”, reste une menace sur les libertés fondamentales.
La fin des super pouvoirs
Dans son communiqué du 16 avril, l’OMS se félicite d’avoir obtenu un accord historique qui permettra de renforcer la collaboration mondiale en matière de prévention, de préparation et de réponses aux futures menaces pandémiques.
Parmi les principaux points négociés, l’agence cite notamment: l’établissement d’un système d’accès aux agents pathogènes et le partage de ses avantages (“PABS”), l’engagement sur une approche “One Health” ou “Une seule santé”, le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies et l’établissement d’un réseau mondial d’approvisionnement et de logistique.
Quant à la volonté initiale de faire de l’OMS un organe central disposant de super pouvoirs ou de donner au texte une valeur contraignante, il semble que le message ait été clairement entendu. Le communiqué de l’OMS y consacre même un paragraphe très explicite:
Le projet (de traité) affirme la souveraineté des pays pour traiter les questions de santé publique à l’intérieur de leurs frontières et prévoit que rien dans le projet d’accord ne doit être interprété comme donnant à l’OMS le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire des lois ou des politiques nationales, ou d’ordonner aux États de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, d’imposer des mandats de vaccination ou des mesures thérapeutiques ou diagnostiques ou de mettre en œuvre des confinements.
Ceci est clairement exprimé dans l’article 24 des “Accords” qui marque un revirement complet par rapport à la volonté initiale de conférer un pouvoir dictatorial au secrétariat de l’OMS.
Aucune disposition de l’accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au secrétariat de l’OMS, y compris au directeur général de l’OMS, le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire de quelque manière que ce soit la législation nationale et/ou domestique, etc.
Dans son introduction, le traité réaffirme vouloir respecter le droit des Etats à “mettre en oeuvre des mesures en accord avec leur législation nationale.”
De manière générale, le langage a été revu dans de nombreux points. La plupart des phrases spécifiant une obligation ont été supprimées et à plusieurs endroits des provisions rappelant “la nécessité d’agir en accord avec les lois nationales” ont été ajoutées.
Nouvelles menaces et nouveaux contrôles
Mais si l’on ne parle plus de créer un organe de décision central, les dispositions qui incitent les États signataires à identifier de nouveaux motifs d’urgence et à augmenter les mesures de surveillance restent au coeur du projet des “Accords”.
Ainsi les pays signataires ont l’obligation d’entamer une série de changements législatifs pour la mise en oeuvre des programmes “One Health” (article 5), le partage des données de santé (article 6) ou pour faciliter l’approbation et la règlementation des produits liés à la pandémie.
Dans l’article 19, on maintient le cap sur le changement climatique qui pourrait justifier la déclaration d’une situation d’urgence:
Reconnaissant l’importance et l’impact sur la santé publique de menaces croissantes telles que le changement climatique, la pauvreté et la faim, les environnements fragiles et vulnérables, la faiblesse des soins de santé primaires et la propagation de la résistance aux antimicrobiens…
Dans l’article 15, les gouvernements s’accordent toujours pour un programme de censure:
Reconnaissant qu’il est important d’instaurer la confiance et de veiller à ce que les informations soient échangées en temps utile afin d’éviter la désinformation et la stigmatisation…
Par ailleurs, le texte définit également un risque pour la santé publique qui pourrait inclure non seulement le changement climatique, mais aussi la violence armée ou le bioterrorisme.
L’ajout dans la dernière mouture de la Convention de 1972 sur les armes biologiques indique un renforcement de l’agenda de la santé autour des notions de terrorisme et de ‘biosécurité’.
L’OMS compte ici se mêler des questions de contrôle, de recherche, de prolifération et d’échange des agents pathogènes ayant un potentiel d’arme biologique. L’on pense bien entendu aux expérience de “gain-de-fonction” et la version “fuite du laboratoire de Wuhan” qui a récemment remplacé l’explication officielle du gouvernement Trump quant à l’origine du virus de la pandémie.
Car, si la version “chauve-souris et pangolin” du marché de Wuhan soutient l’agenda de la santé liée au climat et les politiques ‘Une seule santé”, les virus “trafiqués” introduisent un autre type de “menace”, tout autant susceptible de mener à des politiques de surveillance et de contrôle de la population et de ses mouvements.
Peu de générosité, beaucoup de business
Selon les accords négociés, les compagnies pharmaceutiques devront céder gratuitement un minimum de 10% de leur production de “contre-mesures’ à la pandémie. Ce paragraphe du traité est contraignant… mais ses détails doivent encore être élaborés dans un instrument séparé.
Même chose pour l’article 13 qui prévoit qu’une chaîne d’approvisionnement sera mise en place et gérée par l’OMS.
Le projet n’explique pas comment les biens seront répartis, ni qui s’en chargera. Ceci laisse penser qu’il y a peu de chances d’y parvenir dans le futur, si au bout de 3 ans de négociations intenses on n’est pas plus loin, alors que cet argument est censé avoir été “le moteur” du traité.
Obligations indirectes et exceptions
L’article 14 sur “le renforcement de la règlementation” est plus inquiétant. Il prévoit ici une obligation pour les parties et qu’elle consiste en réalité à affaiblir la règlementation pour accélérer l’approbation des produits liés aux mesures d’urgence.
L’article 18 “confiance en la science” exige aussi une forme d’engagement des pays signataires à étudier et favoriser l’adhésion de leur population aux mesures de santé publique et aux autorités de santé.
En revanche l’article 27 permet aux signataires d’opposer une réserve à certaines parties du traité. Apparemment, il s’agit d’une nouvelle disposition, faute de laquelle il n’y aurait peut-être pas de texte à soumettre au vote.
La montagne accouche d’une souris
Au bout de 3 ans, le fameux traité pandémie qui menaçait la souveraineté des pays sous l’emprise d’une dictature sanitaire internationale a perdu de sa vigueur. Pour l’instant, il n’engage pas grand monde à grand chose, n’honore pas ses rares promesses, et comme les budgets sont réduits, il ne devrait pas être suivi de beaucoup d’effets.
Après l’annonce de la sortie de l’OMS décrétée par Donald Trump le 25 janvier 2025, l’organisation est en perte de vitesse et devra subir une restructuration avec la liquidation de plusieurs milliers d’emplois et de programmes de santé. Selon Health Policy Watch, l’OMS aurait 2,5 milliards de dollars à combler dans son budget pour l’exercice 2025-2027.
L’Europe, qui était déjà la locomotive du projet en 2021 est plus que jamais le pilier central de cet accord, mais certains Etats membres de l’Union européenne questionnent le rôle de la Commission dans ces négociations.
C’est notamment le cas pour l’article 11, un des points centraux de la négociation du traité, où le transfert des technologies pour renforcer les capacités des pays défavorisés a été revu à la baisse, sous la pression de pays forts et de leur industrie, en particulier l’Allemagne qui a finalement prôné une approche “volontaire”.
L’argument initial “d’égalité des chances” que les promoteurs des Accords n’ont cessé d’invoquer pour légitimer leurs négociations doit donc être dénoncé comme un leurre.
Et le projet révèle plus que jamais le vrai visage de l’OMS, à savoir une organisation qui sert avant tout deux objectifs: le développement de nouveaux marchés pour l’industrie (récolte de données, surveillance, tests, vaccins, santé numérique, agenda du climat) et la mise en place d’une infrastructure de contrôle des populations par les gouvernements (censure de l’information, détection des pathogènes, mesures liées au climat).
Si l’idée d’un “gouvernement mondial de la santé” a été abandonnée, cela n’est pas le cas des objectifs précités. L’on assiste plutôt à une réorganisation de leur déploiement selon une nouvelle rhétorique.
L’Accord cadre est un squelette basé sur des engagements volontaires, mais il est évident que “les parties intéressées” chercheront à l’habiller avec le retour à des obligations, à la faveur d’un revirement politique ou d’une nouvelle “surprise” sanitaire.
De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif
Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes
Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats
Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion
La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.
La Food and Drug Administration (FDA) américaine a fait un aveu alarmant, révélant que les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid risquent de subir une mort soudaine et inattendue jusqu’à 15 ans après avoir reçu leur dernière injection.
Selon la FDA, les « vaccins » à ARNm ont créé une bombe à retardement de mort subite en raison du risque massivement accru que les personnes « vaccinées » souffrent d’un caillot sanguin mortel.
Cet aveu choquant a été révélé dans une nouvelle étude évaluée par des pairs publiée dans la prestigieuse revue International Journal of Innovative Research in Medical Science.
Selon l’étude, le Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA admet que la « fenêtre réglementaire de préoccupation » pour un nouveau produit génétique, tel que les « vaccins » à ARNm contre le Covid, est de 5 à 15 ans.
Il est inquiétant de constater que cet aveu suggère que la population vaccinée pourrait être confrontée à une vague de caillots sanguins, car les vaccins contre la Covid n’ont été déployés pour un usage public qu’il y a environ quatre ans.
L’étude suggère que cela signifie qu’une hémorragie pulmonaire mortelle devrait être considérée comme une « conséquence potentielle du nouveau produit, même des mois, voire des années, après la dernière injection ».
McCullough et Hulsher ont mené cette étude pour étudier les risques à long terme d’hémorragie pulmonaire – caillots sanguins.
L’hémorragie pulmonaire est une maladie potentiellement mortelle qui survient lorsque du sang saigne dans les poumons.
Le saignement provoque la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales par suffocation ou choc.
Ils ont noté que les études précédentes n’avaient lié les caillots sanguins aux injections d’ARNm que chez les personnes peu de temps après la vaccination.
Cependant, les risques à long terme restent largement non étudiés.
Au cours de l’étude, ils ont enquêté sur le décès d’un homme de 47 ans décédé d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.
Selon une nouvelle étude évaluée par des pairs, le caillot sanguin mortel a été causé par un « vaccin » Pfizer provenant d’un « lot hautement mortel » de vaccins contre le Covid.
L’étude a déterminé que l’homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et ne prenait pas de médicaments au moment de sa maladie mortelle.
L’étude a noté que les injections de Covid « ont déjà été associées à une hémorragie pulmonaire, généralement observée peu de temps après la vaccination ».
Dans un article de Substack , Hulscher note qu’il s’agit du « premier cas publié d’un événement indésirable mortel survenant plus d’un an après une injection d’ARNm de COVID-19, soulignant le potentiel d’effets indésirables graves à long terme ».
Selon l’étude, l’homme de 47 ans « présentait des symptômes d’une légère infection respiratoire » avant son décès.
Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée et il a souffert d’une grave détresse respiratoire.
Il a également subi un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire abondante ».
La taille de son cœur est restée normale.
« Les preuves suggèrent que cet homme est décédé d’un arrêt cardiopulmonaire, très probablement à la suite d’une hémorragie pulmonaire aiguë, le vaccin contre la COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiopulmonaire et d’une hémorragie », conclut l’étude.
Cette découverte est « importante car elle démontre que la mort peut survenir même plus d’un an après la première série d’injections d’ARNm », a déclaré McCullough.
« Des études similaires ont révélé une embolie pulmonaire qui, si elle est laissée suffisamment longtemps, peut provoquer une nécrose et une hémorragie pulmonaire », a ajouté McCullough.
« Il est bien connu que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »
Hulscher a déclaré :
« La plausibilité biologique d’une hémorragie pulmonaire retardée suite à la vaccination par ARNm contre la COVID-19 est étayée par des cas documentés à court terme survenant peu après l’injection, des préoccupations réglementaires concernant les effets prolongés des produits génétiques, la persistance et la pathogénicité de la protéine Spike, et des preuves émergentes d’une intégration potentielle du génome de l’ADN plasmidique contribuant à l’expression soutenue de la protéine Spike. »
Malgré les conclusions de l’autopsie et les recherches antérieures sur le sujet indiquant un lien possible entre les injections d’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le médecin légiste a déterminé que la cause du décès était attribuée à une maladie cardiovasculaire athéroscléreuse et hypertensive, sans tenir compte de l’hémorragie pulmonaire récente et des antécédents médicaux sans particularité. »
L’étude a également noté que l’autopsie de l’homme n’a pas examiné les contributions potentielles de l’injection de Covid, telles que la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm du « vaccin » ou des anticorps apparentés.
Lors d’une interview avec CHD, la militante pour la liberté de la santé Mary Holland a donné son avis sur l’étude et l’aveu alarmant de la FDA.
En parlant avec Polly Tommey de CHD, Holland s’est demandé si les gens auraient volontairement accepté de se faire vacciner s’ils savaient que se faire vacciner pouvait potentiellement les tuer ou les blesser jusqu’à 15 ans après l’injection initiale.
Holland soutient que l’un des plus grands crimes contre l’humanité est que la FDA savait que c’était une possibilité mais a quand même mis ses « vaccins » sur le marché.
Pire encore, la FDA a caché ce fait au public jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
« La FDA elle-même affirme que la période de préoccupation pour ces caillots sanguins est de 5 à 15 ans », a déclaré Holland.
« Eh bien, ils n’ont certainement pas dit cela aux gens lorsqu’ils encourageaient tout le monde à se faire vacciner. »
MONTRE:
Cette nouvelle intervient dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant la présence de caillots sanguins dangereux chez les personnes vaccinées.
Slay News précédemment Comme l’ a rapporté , les embaumeurs et les enquêteurs ont émis un avertissement effrayant après avoir découvert de nouvelles preuves concernant des rapports croissants de « caillots fibreux blancs » trouvés dans les cadavres de personnes ayant reçu des « vaccins » Covid mRMA.
En 2024, les embaumeurs ont signalé que des caillots avaient été découverts dans un pourcentage stupéfiant de 27 % des cadavres vaccinés contre le Covid.
Entre-temps, une autre révélation récente de la FDA a provoqué une onde de choc dans les communautés médicales et scientifiques.
Slay News Comme l’ a rapporté , la FDA a fait l’aveu explosif que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont contaminés par des contaminations qui ont déclenché une augmentation mondiale des cancers.
L’agence fédérale a fait cet aveu après qu’une étude de la FDA a confirmé que le « vaccin » à ARNm Covid de Pfizer contient des niveaux dangereux de contamination excessive de l’ADN.
D’éminents scientifiques avertissent depuis un certain temps que la recrudescence des cancers mortels parmi les personnes vaccinées contre le Covid était causée par des fragments d’ADN contenus dans les injections d’ARNm.
Ces avertissements ont maintenant été confirmés par une étude explosive menée dans le laboratoire de la FDA.
Des tests effectués sur le campus de White Oak de la FDA dans le Maryland ont révélé des niveaux choquants de contamination de l’ADN dans les « vaccins ».
Par leDr G DELEPINE chirurgien orthopédiste, statisticien
Le 18 avril 2025
Tout récemment le nouveau ministre de la santé Yannick Neuder, cardiologue et député, a proposé la création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » appuyé par un « programme national d’éducation critique en santé » en lien avec l’Éducation nationale.
Yannick Neuder a dû s’inspirer de 1984, le livre d’Orwell qui décrit avec 40 ans d’avance l’instauration d’un ministère de la vérité, symbole de l’obscurantisme et de la tyrannie.
La démocratie laisse le doute s’exprimer librement et la science s’en nourrit. Seules les religions et les théocraties croient détenir « la vérité »
George Orwell décrit le ministère de la vérité dit « Miniver », comme un bâtiment d’environ 300 mètres de haut comprenant plus de 3000 pièces au niveau du sol et des ramifications souterraines. Il régit l’information, l’éducation, les beaux-arts et les divertissements. Sur tous les médias, Il s’occupe de la propagande, et modifie ou supprime les vérités qui ne lui convienent pas afin d’effacer les souvenirs et réduire les habitants dans l’ignorance et l’oubli du monde réel. Le ministre qui n’a pas de rêve de grandeur se contentera peut-être d’un bâtiment de seulement 100 mètres pour abriter son miniver.
La création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » correspond tout à fait à une volonté d’établir « la vérité » en décernant un label officiel à ce qui doit être cru pour institutionnaliser le crédo officiel comme cela se passait en Allemagne au temps du nazisme et en Union Soviétique du temps du communisme. Il s’agit d’une forme moderne d’inquisition dont les grands inquisiteurs seront les experts proclamés par l’autorité suprême.
Cette volonté de définir une vérité officielle est fondamentalement antiscientifique. En science toute vérité du moment est constamment soumise à la critique des faits et elle évolue avec eux.
Les grandes avancées scientifiques se caractérisent le plus souvent par l’abandon de ce qu’on croyait jusqu’alors vrai grâce aux efforts d’ un individu longtemps raillé par les instances officielles (aujourd’hui on le traite de complotiste) et qui impose la nouvelle vérité grâce à sa ténacité de l’observation et de l’explication des faits.
En médecine, il suffit de se souvenir de l’opposition officielle forcenée contre l’existence des germes ou contre la découverte de Jenner qui a inventé la vaccination, et que la découverte des antibiotiques est due à une erreur de laboratoire bien remarquée et analysée par Fleming.
La création d’une science officielle, réprimant ceux qui s’écartent de la Doxa ruine tout progrès scientifique majeur. En Union Soviétique la création d’une science officielle a conduit entre autres à la ruine de la génétique, de la physiologie, de la linguistique, de la cybernétique, de l’informatique et de l’ingénierie qui ont contribué à la perte d’efficacité économique et à la chute du système.
Entendre un ministre de la Santé dire qu’il va établir une vérité officielle grâce à ses experts est totalement fou et angoissant pour la médecine. Il prétend vouloir défendre la science, mais sa politique coercitive aboutira à la détruire. La science ne peut prospérer que dans la liberté.
Les experts choisis pour définir « la vérité » sont pour le moins inquiétants
ou du moins leur impartialité, car beaucoup ont déjà fait leurs preuves comme médecins de plateau télé et acteurs de la médecine-spectacle lors de la crise covid.
Le Dr Michel Cymes « Monsieur super-Vax de la Télé à tout crin contre les antivax, à fond pour la vaccination contre le coronavirus» 1 » a participé à un film publicitaire des laboratoires Pfizer2 utilisant un plateau de France 3 et campagne de publicité pour le dépistage systématique du cancer de la prostate par le dosage des PSA que la HAS juge inutile et dangereux.
Il représente un des grands défenseurs des injections covid qu’il a reçu en direct à la télévision, ce qui ne l’a pourtant pas empêché d’attraper deux fois le covid.
Mais aussi pour ses certitudes infondées : « Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner », alors qu’actuellement c’est plutôt la responsabilité de ceux qui ont forcé à la pseudo vaccination dangereuse qui se pose dans de nombreux pays étrangers…Et encore pour son manque de compassion pour ses confrères qui ont eu le tort d’être donneurs d’alerte : « Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner »3.
Plus récemment il s’est opposé à la nomination de Robert Kennedy Jr comme secrétaire d’État à la santé U.S. et appelé non pas à argumenter, mais à faire taire celles et ceux qui ne sont pas dans la Doxa par tous les moyens ! Interdire tout débat, toute critique et réduire au silence ceux qui se battent pour la liberté : «Cette nomination va booster tous les complotistes du monde, y compris chez nous, chaque déclaration de Kennedy sera reprise par les RS, amplifiée, déformée, cela demande une grande vigilance mais également une grande réactivité de la part de tous ceux qui sont responsables de la santé en France. Gouvernement, administrations, institutions, informateurs, nous devons tous réagir immédiatement en cas de désinformation manifeste sur les sujets de santé, y compris et surtout nous, médecins […] Le conseil de l’ordre des médecins doit sanctionner immédiatement ceux qui épousent les thèses les plus farfelues… »
Karine Lacombe qui a reçu plus de 212 000 euros de divers laboratoires au cours des dernières années et représente ainsi « l’archétype du PU-PH modèle de conflits d’intérêts4 qu’elle oublie presque toujours de signaler.
Elle a perçu de l’argent de Gilead et AbbVie et travaillé avec d’autres laboratoires comme la compagnie pharmaceutique belge Janssen. Ces liens d’intérêts, qu’elle ne déclarait pas lors de ses interventions sur les plateaux de télévision, expliquent peut être qu’elle se soit élevée contre l’hydroxychloroquine, qu’elle ait qualifié le remdesivir de « prometteur » (alors qu’il s’est avéré un traitement fortement toxique et inefficace), qu’elle ait promu le Molnupiravir du laboratoire Merck, fort coûteux et mutagène, ou encore partagé des études douteuses sur le Bamlavinimab et partagé l’interprétation douteuse des données de la Direction de la recherche concluant à une efficacité prodigieuse du vaccin..
Le Pr Alain Fischer grand apôtre permanent des vaccinations fait le grand écart entre la recherche scientifique, les multinationales, et les fondations Edmond de Rothschild dont il membre du conseil 5. Depuis fin 2020, il a été adoubé par Emmanuel Macron lui-même pour diriger le conseil d’orientation de la politique vaccinale en France. L’échec retentissant de la politique anti-covid montre la faible pertinence de sa stratégie qui nous a placé, avec les pays pro vaccins parmi les pays aux plus fortes mortalités.
Le Dr Jean-David Zeitoun qui continue sur les ondes à glorifier la politique française du covid et à prétendre « qu’il n’y a pas de doute que les vaccins ont été extraordinairement efficaces »6 alors que les données de l’OMS prouvent le contraire.
En France :
Comme dans le reste du monde :
Le Pr Mathieu Molimard président honoraire du Collège National de Pharmacologie Médicale (CNPM), membre du conseil d’administration de la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique a accusé publiquement le Pr Raoult et la chloroquine des pires maux. Comment peut-il ignorer que ce traitement a permis aux quatre pays qui l’ont officiellement adopté (Algérie, Sénégal, Cote d‘Ivoire, Cameroun) des mortalité Covid 15 à 80 fois inférieures à celle de la France et de la Tunisie qui ont suivi la même politique du tout vaccin. Données de l’OMS illustrées par les courbes suivantes :
Dans sa propagande pour inciter à la 3ème injection anti-covid il a osé affirmer « Le rappel après les deux doses vaccinales booste fortement l’immunité sans majorer les effets indésirables « Nous avons aujourd’hui un important recul sur l’efficacité et la sécurité des vaccins anti Covid-19. Ces données transparentes… confirment l’excellente efficacité mais aussi sécurité des vaccins à ARNm y compris chez les femmes enceinte »
Le Pr Laurent Cordonier grand pourfendeur des complotistes contre lesquels il abandonne toute argumentation, préfère « la censure pour défendre la démocratie ». Démocratie à la chinoise sans droit de s’exprimer librement.
Certes, ce n’est pas parce que ces « experts » ont été très toxiques lors de la crise covid qu’ils le seront forcément demain. Mais un tel choix, qui n’est manifestement pas lié à la clairvoyance passée, ne permet guère d’être optimiste.
La désignation de tels « experts » au conseil de l’inquisition du ministère de la vérité annonce la violence des attaques qui seront portées contre la liberté d’expression. Mais nous saurons la défendre car la vérité du monde réel l’emportera sur leur volonté tyrannique.
Le ministre de la Santé veut imposer sa vérité à l’école
L’école enseigne de moins en moins à lire et compter, mais se focalise sur la mise en condition des cerveaux les plus sensibles, ceux de nos enfants. Nous l’avons observé avec l’abandon des notes, de la progression au mérite, la propagande du réchauffement climatique, de la théorie du genre et de la sexualité depuis le primaire.
Yannick Neuder veut l’étendre au domaine sanitaire en instaurant un « programme national d’éducation critique en santé » pour conditionner nos enfants à l’obéissance aux directives gouvernementales futures, qu’il s’agisse des vaccins futurs ou des dépistages et des tests discutables et coûteux, mais rentables pour l’industrie.
Hanna Harendt a bien montré que l’imprévisibilité de l’enfant en fait le dernier rempart contre le totalitarisme et souligné que les dictateurs s’attaquent prioritairement à la famille et à l’enfant (jeunesses hitlériennes, communistes, jeunesses Khmers rouges…).
Défendons nos enfants. Battons-nous contre ce programme national d’éducation critique en santé qui ne vise qu’à conditionner nos enfants à obéir sans réfléchir, alors que l’éducation devrait au contraire développer la réflexion critique nécessaire au citoyen.
Le ministre de la Santé déclare la guerre à la démocratie
Le ministre a raison de regretter la perte de confiance de la population dans la parole publique. Mais il se trompe sur les raisons et donc sur le traitement adapté. Cette perte de confiance est la conséquence directe des mensonges que l’état a répété lors du covid et dont la population s’est rendu compte. On ne fait plus confiance à ceux qui nous ont menti. Le seul moyen de restaurer la confiance est de prouver sa bonne foi en pratiquant la transparence des décisions et de leurs vrais motifs. La suppression du secret défense cachant les délibérations du comité scientifique du covid constituerait un premier pas prometteur.
A l’opposé la création du ministère de la vérité, le renforcement des censures et l’endoctrinement scolaire prônés par le ministre aggraveront forcément la méfiance de la population envers le gouvernement.
Notons que ce nouveau ministre n’a guère de « chance » dans sa chronologie malheureuse ! Sortir son projet de « ministère de la Vérité » le jour où apparait dans la soirée sur l’ensemble de la planète, le rapport officiel de la maison Blanche de plus de 550 pages sur l’histoire du Covid et les mensonges mondiaux dévoilés, relève de la « poisse » !
Voici le discours maintenant officiel à la Maison Blanche sur l’origine du virus de la Covid
1. Le virus possède une caractéristique biologique qui n’existe pas dans la nature. En effet, il s’agit du site furine qui n’existe pas dans ce sous-genre de coronavirus
2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’une seule introduction chez l’homme. Cela va à l’encontre des pandémies précédentes, où il y avait eu plusieurs événements de propagation.
3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui a déjà mené des recherches sur le gain de fonction (modification génétique augmentant la pathogénicité d’un organisme) dans des conditions de biosécurité inadéquates.
4. Des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux du COVID à l’automne 2019, plusieurs mois avant la découverte du COVID-19 sur un marché aux animaux vivants.
5. Selon presque toutes les mesures scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été mises au jour. Or, ce n’est pas le cas. En effet : il n’y aucun argument en faveur de l’origine naturelle.
Et pour les plus téméraires, la vidéo du nauséabond Colloque – Lutte contre l’obscurantisme et la désinformation en santé. Question : croient-ils à ce qu’ils racontent ?
Le samedi 1er février 2025, les deuxièmes rencontres citoyennes internationales ont eu lieu à Vierzon. (1) Cet événement était organisé par Cher Atout Coeur, une association qui promeut les actions locales et citoyennes. (2)
Le colloque a réuni des médecins, des scientifiques, des juristes et des citoyens. Le Dr Eric Ménat, président de la Fondation Hippocrate, était présent. (2) Cette année, le programme était consacré aux effets secondaires liés aux injections à ARNm contre le covid 19. Un temps pour les victimes des vaccins contre la covid 19 De nombreux collectifs et associations représentant des victimes de ces effets secondaires ont participé à cette journée. Ces personnes se sont fait vacciner pour leur travail ou pour « jouer le jeu ». Elles ont fait confiance au gouvernement et aux institutions sanitaires. Aujourd’hui, elles souffrent de multiples effets secondaires. Malheureusement, personne ne veut les entendre : ni les médias, ni les autorités, ni même, parfois, leur famille ou leurs proches. Lors de ces deuxièmes rencontres citoyennes internationales à Vierzon, elles ont pu livrer leurs témoignages. Et les effets secondaires dont elles parlent correspondent aux longues listes qui ont été reconnues par les fabricants de ces vaccins expérimentaux à ARNm contre le covid 19. (3,4,5,6,7,8)
Voici la liste complète pour le vaccin Pfizer par exemple : Thrombose sanguine, Lésion rénale aiguë, Myélite flasque aiguë, Anticorps anti-spermatozoïdes positifs, Embolie du tronc cérébral, Thrombose du tronc cérébral, Arrêt cardiaque (des centaines de cas), Insuffisance cardiaque, Thrombose ventriculaire cardiaque, Choc cardiogénique, Vasculite du système nerveux central, Décès néonatal, Thrombose veineuse profonde, Encéphalite du tronc cérébral, Encéphalite hémorragique, Épilepsie du lobe frontal, Psychose épileptique, Paralysie faciale, Syndrome de détresse fœtale, Amylose gastro-intestinale, Crise tonico-clonique généralisée, Encéphalopathie de Hashimoto, Thrombose vasculaire hépatique, Réactivation du zona, Réactivation de cancers, Turbo cancers, Hépatite à médiation immunitaire, Maladie pulmonaire interstitielle, Embolie de la veine jugulaire, Épilepsie myoclonique juvénile, Lésions hépatiques, Faible poids à la naissance, Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant, Myocardite, Crise épileptique néonatale, Pancréatite, Pneumonie, Mortinatalité, Tachycardie, Épilepsie du lobe temporal, Auto-immunité testiculaire, Accident vasculaire cérébral thrombotique, Diabète sucré de type 1, Thrombose veineuse néonatale, Thrombose de l’artère vertébrale, Péricardite, mort subite du nourrisson.
Notez que ces effets secondaires listés par Pfizer n’ont rien de théorique. S’ils sont mentionnés dans la liste, c’est qu’à un moment donné une personne prenant part à l’essai clinique ou ayant été vacciné a subi cet effet secondaire. Ils correspondent déjà tous à au moins une victime réelle dans le monde. Hélas pour un certain nombre de victimes, les symptômes sont cumulatifs. Un scandale sanitaire dont les médias ne parlent pas Certains patients rapportent souffrir de plus de 50 symptômes à la fois. (2,9) Et souvent, la seule réponse qu’ils reçoivent de leur médecin, voire des instances officielles est : « c’est dans votre tête, consultez un psychologue » Parmi toutes ces victimes, on compte beaucoup de personnes de moins de 50 ans. Ce sont des personnes qui travaillaient, qui avaient toute la vie devant elles et qui, en quelques jours, et parfois en quelques heures, ont perdu la santé. C’étaient des personnes actives. Elles sont devenues dépendantes. Certaines personnes sont handicapées à vie. Des parents ont perdu leur enfant adolescent ou jeune adulte. Ce sont les forces vives du pays qui ont été touchées par ces effets secondaires. Nous vivons donc, dans un silence assourdissant, un drame national, et même mondial, puisque de nombreuses autres nations que la France ont été touchées.
Et après ? Malgré tout, ces rencontres ont aussi représenté un temps d’espoir et d’entraide. En effet, il semble que dans le monde, une partie des responsables politiques ait enfin compris qu’il y avait eu un problème avec cette campagne de vaccination contre le covid 19. Ainsi en Irlande du Nord, le parlement a tenu une journée d’auditions des victimes des effets secondaires. (2) Par ailleurs, ces rencontres ont aussi été l’occasion pour les citoyens de rencontrer diverses associations qui œuvrent en faveur des victimes dont voici une liste non exhaustive : Cher Atout Coeur, organisateur de l’événement : https://cheratoutcoeur.fr/ Ou est mon Cycle : https://www.ouestmoncycle.com/ On a eu notre dose : https://www.helloasso.com/associations/on-a-eu-not-dose Verity France : https://www.pappers.fr/entreprise/verity-france-914544747 AA Vic Team : https://associationvicteam.com/ SOS écoute effets indésirables: https://collectifs.reinfoliberte.fr/sos-effets-indesirables-vaccinations-covid/ SOLIDEKLA : Une plateforme d’aide à la déclaration des effets secondaires du vaccin : https://solidekla.info/ La Fondation Hippocrate a soutenu spécifiquement l’association SOLIDEKLA en 2025 pour son action auprès des victimes.
Pierre Kory à Paris le 27 septembre 2025 En attendant, les 3e rencontres internationales l’année prochaine à Vierzon, je profite de cette infolettre pour vous parler d’une autre association et du Congrès qu’elle organise à Paris le 27 septembre 2025. Il s’agit de l’AIMSIB, association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante. Cette année l’AIMSIB organise son dixième congrès sur le thème : “Lumière sur les mensonges et les manipulations en matière de santé” À cette occasion, le Dr Pierre Kory, pneumologue et spécialisé dans les soins intensifs viendra des Etats-Unis pour présenter son parcours et ses travaux. Il a notamment défendu avec vigueur l’ivermectine qu’il a utilisé chez des milliers de patients pour soigner le covid 19. Il a également développé des protocoles de soins utilisant la vitamine C en intraveineuse. C’est un médecin reconnu par ses pairs et très apprécié de ses patients. Son dévouement a permis de sauver de très nombreuses vies durant la crise sanitaire. Son approche innovante et intégrative est un exemple de ce à quoi la médecine de demain pourrait ressembler. D’autres orateurs que vous connaissez seront présents comme Louis et Caroline Fouché, ou encore Eric Ménat, Hélène Banoun, Vincent Reliquet, Gilles-Eric Seralini et Corinne Lalo.
Le Congrès a lieu à Paris et les inscriptions sont ouvertes pour y participer en présentiel mais aussi en distanciel pour ceux qui le préfèrent. Dans les deux cas, les lecteurs de la lettre de la Fondation Hippocrate bénéficient d’un tarif réduit. Dans ce cas, Pour vous inscrire, il vous suffit de vous connecter sur ce lien : https://my.weezevent.com/congres-aimsib-2025 et quand on vous le demande, de saisir le code promo “FondH” dans la case prévue à cet effet en bas de l’interface d’inscription. Voici l’affiche de l’événement :
J’espère avoir la joie de vous y retrouver ! Affaire à suivre, Augustin de Livois
PS : Vous avez la possibilité de laisser un commentaire sur cet article en cliquant ici.
L’obstétricienne expérimentée Dr Kimberly Biss , qui a accompagné des milliers de grossesses, tire la sonnette d’alarme : Depuis le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19, elle a observé une augmentation drastique des fausses couches – de 100 % par rapport à l’année précédente.
Particulièrement explosif : selon Biss, un taux de fausses couches de 80 pour cent s’est déjà produit lors des essais cliniques de Pfizer – et l’entreprise le savait .
OB/GYN: “The miscarriage rate was 80 percent in the Pfizer trials. They knew that.”
Dr. Kimberly Biss, who has been involved in thousands of pregnancies, saw miscarriage rates rise “by 100 percent” year-to-year after the COVID shots.
Baisse du taux de natalité dans le monde : un problème systémique ?
Plus alarmant encore est le déclin du taux de natalité dans le monde , qui semble être directement lié aux taux de vaccination .
Selon la tendance, plus le taux de vaccination est élevé, plus la baisse des naissances est importante.
Par exemple, le mathématicien Igor Chudov a analysé des données provenant de Hongrie et a découvert un lien frappant :
Dans les cinq comtés où le taux de vaccination est le plus bas, le taux de natalité n’a baissé en moyenne que de 4,66 % .
Dans les cinq districts où les taux de vaccination sont les plus élevés, la baisse a toutefois été en moyenne de 15,2 % .
Un million d’enfants à naître dans l’UE ?
La journaliste américaine Naomi Wolf , qui a analysé les données de Chudov, parle d’une réduction démographique massive :
dans l’UE « Le déclin est tellement systémique que nous manquons un million de nouveau-nés – un million de bébés qui auraient dû naître. »
Conclusion : Modèles de corrélation avec la puissance explosive
Si ces observations et ces chiffres se confirment, les responsables de la médecine, de la politique et de l’industrie seront confrontés à une question désagréable : Y a-t-il eu des preuves précoces d’effets secondaires graves des vaccins contre la COVID sur la fertilité – et ont-ils été supprimés ?
La demande de clarification indépendante se fait de plus en plus forte.
10 mai 2025, une journée pour témoigner des effets indésirables des vaccinations
De nombreuses associations françaises et internationales de victimes des vaccins covid réunies à Vierzon en février 2025 appellent à une grande journée de témoignage public le samedi 10 mai, de 14h à 17h, ou à l’heure qui vous convient, dans le quartier le plus animé de votre ville ou village, au cœur de la vie citadine.
Ce jour-là, réunissons-nous avec des portraits de victimes, des informations, des rapports de l’ANSM, de l’EMA, d’Eudravigilance ou de sources officielles de notre pays, grâce à une communication impeccable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, les arguments, les raisons pour lesquelles certaines personnes subissent des effets indésirables et d’autres non, le tout de manière irréfutable, en invitant les responsables politiques, les médecins, les journalistes, etc., à diffuser la vérité autant que possible. Nous vous invitons à suivre l’événement en direct sur Facebook, YouTube, TikTok, Instagram et à le partager avec d’autres pays.
Nous sommes en Europe 27 pays et 447 millions.
Parmi nous, il y a des dizaines de millions de personnes éveillées, courageuses, compétentes, expérimentées ou pleinesde bonne volonté.
Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il y a presque quatre ans, nous luttons pour ce qu’il y a de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.
Ce jour-là, affluons avec des portraits de victimes, de l’information, des rapports de l’ANSM, de la EMA, Eudravigilance ou des sources officielles de notre pays, avec une communication irréprochable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, l’argumentation, les raisons pour lesquelles certaines personnes sont victimes d’effets indésirables et d’autres non, le tout sourcé de façon inattaquable, en invitant les politiques, médecins, journalistes etc. pour répercuter au maximum. Nous vous invitons à faire des directs FB, Youtube, TikTok, Instagram et partager avec les autres pays.
Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il ya bientôt quatre ans, nous nous battons pour ce qu’il ya de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.
Nous comptons dans nos rangs des associations et structures existantes de longue date ou récemment créées, de nombreux militants et bénévoles, des avocats et juristes, de petits et grands médias alternatifs, des personnalités et des chercheurs, des médecins et soignants, des victimes et familles de victimes, des enseignants, des personnalités publiques, des politiciens engagés, des représentants élus des populations au niveau local ou européen, des artistes…
Faisons du 10 mai 2025 une grande journée d’union et de solidarité, pour l’avenir et la vérité :
Marc Van Ranst, virologue, explique, le 22 janvier 2019, lors d’une conférence des parties prenantes de l’ESWI/Chatham House sur la préparation à la pandémie de grippe, comment vendre aux populations une épidémie et un vaccin en utilisant les médias. Commissaire interministériel belge pendant la pandémie de grippe porcine (H1N1) en 2009, il explique à un auditoire totalement conquis comment il a procédé durant cette crise. Le cynisme et le mépris de cet homme envers ses compatriotes est assez confondant. Passant assez rapidement sur ses conflits d’intérêts en début d’intervention, le virologue, ainsi que ses admirateurs, semblent convaincus d’œuvrer pour le bien commun. Tout discours alternatif devenant ainsi de la désinformation.
La question de l’efficacité et de la toxicité des vaccins étant aussi polémique que confuse, une analyse scientifique est indispensable pour avoir un avis éclairé face aux discours unanime des experts et des autorités sanitaires concernant cette question. Nous allons tenter dans cette émission de proposer une analyse de la vaccination : le rapport bénéfice/risque, à l’échelle individuelle et communautaire. Nous allons revenir sur les techniques permettant d’évaluer scientifiquement chaque vaccin et d’exposer les potentiels biais méthodologiques qui auraient conduit à des appréciations approximatives ou inexactes des réalités vaccinales.
La Cour de justice de l’Union européenne tranche sur la prescription obligatoire des vaccins COVID-19 et la responsabilité des médecins
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment rendu une décision qui pourrait avoir un impact majeur sur la responsabilité des professionnels de santé ayant administré les vaccins contre le COVID-19. Selon cet arrêt, une prescription médicale était nécessaire pour l’administration de ces vaccins, ce qui remet en cause la manière dont la campagne de vaccination a été menée dans plusieurs pays européens.
L’importance de la prescription médicale
L’affaire portée devant la CJUE par le professeur Frajese met en lumière un point fondamental : les médecins avaient la liberté d’évaluer la pertinence d’une vaccination pour leurs patients. Contrairement à ce qui a été appliqué dans certains États membres, l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 n’impliquait aucune obligation pour les médecins de prescrire ou d’administrer ces vaccins.
La Cour rappelle que la relation médecin-patient repose sur un principe essentiel : la liberté de prescription. Chaque professionnel de santé doit pouvoir, en fonction des spécificités du patient, choisir le traitement le plus adapté, en toute indépendance. Ainsi, ceux qui ont choisi de ne pas recommander ces vaccins ou de les déconseiller ne peuvent être poursuivis ni disciplinés pour cette raison.
Les conséquences sur la responsabilité des médecins
L’arrêt de la CJUE précise que les médecins ayant administré ces vaccins sans évaluation individuelle du patient pourraient voir leur responsabilité engagée. En effet, le fait que ces vaccins aient reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM) ne suffisait pas à exempter les praticiens de leur devoir d’analyse des risques pour chaque patient.
Cela signifie que les professionnels de santé qui ont procédé à la vaccination sans prescription spécifique pourraient être poursuivis pour faute médicale. La Cour souligne que la protection juridique dont bénéficiaient les médecins ne s’applique que si l’administration des vaccins a respecté les règles en vigueur, ce qui inclut l’évaluation individuelle de chaque patient.
L’impact sur les recours en justice
Les décisions de la CJUE s’imposent aux juges nationaux, et cet arrêt pourrait influencer de nombreuses procédures en cours. En particulier, les personnels de santé suspendus ou radiés pour avoir refusé d’administrer ces vaccins pourraient voir leur situation réexaminée à la lumière de cette jurisprudence.
Par ailleurs, les personnes ayant subi des effets indésirables après la vaccination disposent désormais d’un argument supplémentaire pour engager des actions en responsabilité contre les médecins et les autorités sanitaires. L’absence de prescription médicale constitue une violation des règles établies, rendant possibles des demandes d’indemnisation pour préjudice corporel.
Une décision qui redéfinit la liberté de soins
Cette décision de la CJUE marque un tournant majeur dans l’approche des politiques de santé publique. Elle réaffirme le principe selon lequel les médecins doivent conserver leur liberté de prescription et rappelle que toute obligation de vaccination doit être encadrée par des règles claires respectant les droits des patients.
Alors que les débats sur les politiques vaccinales continuent, cette décision apporte une clarification essentielle : les professionnels de santé doivent être libres de prescrire ou de déconseiller un traitement, en fonction des besoins réels de leurs patients, sans subir de pressions extérieures.
Si vous êtes victime d’un effet secondaire suite à la vaccination, il est important de savoir que vous avez des droits.Lecabinet ELLIPSIS AVOCATS se spécialise dans la défense des victimes de dommages corporels et vous accompagne pour obtenir une indemnisation et faire valoir vos droits face aux autorités compétentes.
N’hésitez pas à nous contacter pour toute question ou pour discuter de votre situation.
Certainement un des ouvrages les plus complets et sourcés sur « l’affaire Covid ». Une enquête d’utilité publique qui se lit comme un polar. Un livre à faire circuler de toute urgence.
Un vague sentiment de vous être fait avoir ? Pourquoi ? Comment ? Fruit d’une enquête minutieuse, ce livre choc vous dévoile les coulisses et les mensonges des « pandémies », présentes, passées et à venir. Des faits, rien que des faits. Qui a orchestré cette fraude planétaire, quand et comment les membres d’un petit groupe organisé ont patiemment tissé leur toile, corrompu le système et subverti les représentants des peuples ? Dix grands mensonges, dix grandes vérités. Voici enfin la vérité, voici les réponses.
Soyez prêts à protéger votre santé, et, peut-être, sauver votre vie.
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