Beaucoup s’imaginent que les choses seraient presque revenues à la normale et que la crise sanitaire ne devrait bientôt plus être qu’un lointain souvenir. Erreur comme le rappelle le Dr Grégory Pamart : des médecins sont aujourd’hui convoqués pour avoir enfreint l’interdiction de soigner leurs patients. Car ne l’oublions pas, si une immense majorité de médecins se sont couchés et ont accepté cette injonction monstrueuse de ne pas soigner les malades du Covid, d’autres, plus courageux, ont respecté leur serment d’Hippocrate. Ils sont aujourd’hui dans le collimateur d’instances plus que douteuses… (NDLA)
Nous faisons face à une dérive totalitaire. Comment y résister, alors qu' »ils » ont tous les pouvoirs ? Comment résister ? Jean-Dominique Michel nous livre quelques clefs.
Lors d’un sommet mondial sur le Covid, 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d’avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.
Lors de cet entretien, le point est fait sur les bases de l’immunologie en rapport avec le Sars-Cov2, la protéine Spike et les essais cliniques anti-covid.
Des informations exclusives, une enquête qui finira d’enterrer le narratif de cette pandémie savamment orchestrée ! Hold OUT pose des questions et présente des faits. Après le détonant HOLD UP, puis le révélateur HOLD ON, voici donc HOLD OUT, le dernier volet de la trilogie d’enquêtes réalisées par le collectif de journalistes indépendants CITIZEN LIGHT.
Entretien de Michèle Rivasi, députée européenne avec Christine Cotton biostatisticienne après son audition à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) : des essais cliniques biaisés, inefficacité et dangerosité des injections.
Une conférence de presse où Didier Raoult et ses avocats rétablissent la vérité sur les révélations mensongères faites par Mediapart (contre lequel deux plaintes sont déposées) concernant les « expérimentations sauvages » de l’IHU sur des malades de la tuberculose, mais remettent aussi en perspective la diabolisation de l’hydroxychloroquine, de l’Ivermectine et de tout autre traitement efficace contre le covid 19. Sont également évoquées l’impossibilité des vaccins à endiguer les épidémies de coronavirus, la corruption et la politisation de la science ainsi que l’emprise démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la médecine.
L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a été saisi le 9 février par la commission des Affaires sociales du Sénat, afin de réaliser une étude sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19. Me Diane Protat a été entendue en qualité d’avocat de victimes d’effets secondaires. Elle nous raconte les coulisses de son audition.
Depuis plusieurs mois, des milliers de femmes rapportent des effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 affectant leur cycle menstruel. Mélodie, fondatrice du collectif « Où est mon cycle », regroupant les témoignages de ces personnes inquiètes, est venue rencontrer des députés européens au Parlement de Strasbourg, lundi 4 avril.
Bulletin d’information scientifique de l’IHU – Nous avons le droit d’être intelligents ! Conflits d’intérêts, inefficacité des vaccins et des masques, mesures sanitaires discriminatoires… Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection fait le bilan.
Overdose de perversion, d’injustice et de mensonge dans la stratégie sanitaire et vaccinale. À quoi sert le pass ? Pourquoi déjà 3 millions d’effets dits « secondaires » ont été déclarés à travers le monde ? Pourquoi observe-t-on des rechutes de cancer, des maladies neurodégénératives rares et de telles perturbations du système immunitaire ? Pour comprendre, Renard Buté, pour la première fois en binôme avec Belette Rusée, vous emmène faire un petit tour, avec la protéine Spike, à l’intérieur des cellules.
Cela fait 2 ans que la crise du coronavirus a démarré. Décoder l’info à montré sur cette chaîne de différentes manières que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris. La psychose depuis 2 ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”. Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès.
Pour lutter contre le Covid-19, nous avons tous été soumis à des mesures drastiques, changeantes, et même contradictoires. Mais s’il y a bien une constante depuis le départ de cette crise, c’est l’espoir affiché par nos gouvernants que les vaccins nous sauveront. Malheureusement, et même si ces cas semblent rares, ces vaccins provoquent parfois des effets secondaires graves, voire mortels.
Auditionnée le mardi 8 février par la Commission des affaires sociales au Sénat, le docteur Alice Desbiolles a pu s’exprimer avec son regard de médecin de santé publique sur sa vision du pass et sur la nécessité de reconsidérer la manière de gérer la crise sous Omicron. En 1 heure et 45 minutes, l’épidémiologiste a mis en pièces détachées le pass vaccinal, démonté la stratégie sanitaire mise en place, et donné une brillante leçon de déontologie médicale à toute l’assemblée. De quoi faire tomber les sénateurs de leurs fauteuils.
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