Louis Fouché et son association Les enfants d’Hippocrate entament leur bras de fer contre les autorités sanitaires !
L’association « Les Enfants d’Hippocrate » organisera le 29 avril 2025 à 11 h à Paris XIᵉ une conférence de presse. En présence du Pr Christian Perronne, du Dr Louis Fouché, du Dr Christian Velot, du Dr Hélène Banoun, Dr Claude Escarguel et des représentants de l’Association AAVICTEAM. L’association présentera le détail de ses recherches concernant les défauts majeurs de qualité, de sécurité et d’efficacité des produits dénommés vaccins anti-covid à ARNm : Comirnaty et Spikevax. Elle exposera également des propositions diagnostiques pour accompagner les victimes de covid long et d’effets indésirables des vaccins.
Collectif pour des thérapeutiques sûres et efficaces « Les Enfants d’Hippocrate » est une association bénévole, à but non lucratif, apartisane et laïque qui cherche à aider à la réouverture du dialogue entre les citoyens, les scientifiques, les soignants et les institutions, sur les questions relatives à la qualité, la sécurité et l’efficacité des thérapeutiques. https://lesenfantsdhippocrate.org
Le dernier rapport publié en juin 2023, par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalisait en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès. A ce jour, aucune action n’a été réellement entreprise par les autorités compétentes, en faveur des victimes.
Il y a des voix qui résonnent un peu partout en France et dans d’autres pays, nous souhaitons leur donner un écho décuplé à l’occasion d’une première date commune pour se rassembler, se coordonner partout sur nos territoires respectifs et porter un message commun : “En 2025, il n’est plus possible de taire cette réalité et de laisser des personnes souffrir dans le silence. Nous souhaitons que les victimes soient écoutées, reconnues, prises en charge et que des pistes de traitements adaptés soient explorées.” Chaque association et collectif est invité à proposer une action qui lui ressemble, dans la mesure de ses moyens et à communiquer autour de lui. Des victimes malades et proches de personnes décédées pourront prendre la parole, ainsi que des médecins, des soignants, des scientifiques (microbiologistes, généticiens…), des juristes, tout comme des citoyens engagés. Dans chaque ville participante, une personne de l’organisation locale filmera avec un smartphone et une connexion stable à internet. Le média citoyen BAM! enverra auparavant à chacun de ces filmeurs locaux, un lien pour connecter son smartphone au salon Restream de BAM!. Les images vidéos seront ainsi toutes enregistrées pendant qu’elles sont filmées. Les meilleurs moments seront diffusés au fil des jours suivants. Les ressources : les portraits du VIAC19, les témoignages sur le site VVC19.fr, le dernier rapport de l’ANSM en juin 2023, VAERS (Etats Unis), Eudravigilance (UE)… Pour nous prévenir de votre participation et pour toute information : contact-notdose@proton.me
Les villes participantes
Vérity France – Aix en Provence (13), Place de la Rotonde
AAVIC Team – Moulins (03), Place d’Allier
On a eu not’ dose – Strasbourg (67), Place d’Austerlitz
Les Masques Blancs – Lyon (69), 2ème arrondissement (lieu à venir)
Les Masques Blancs – Nantes (44), La croisée des trames
Les Masques Blancs – Toulouse (31), Métro Jean Jaurès
Collectif Liberty Haut de France – Lille (59), Monument Willy Brandt, place des Buisses
Réinfo 80- Amiens (80), Place Léon Gontier
Grelive – Grenoble (38), Place Grenette
Antipass Dole – Dole (39), Place aux fleurs
“Protéger sa pipe à St-Claude” – Saint-Claude (39), Place du 9 avril
Corse Humanis – Bastia (20), Place St Nicolas
Action 200 Belgique – Namur Belgique, Place d’Armes (en déambulation)
Impfopfer.info – Vienne Autriche, devant la Cathédrale Ste Étienne
« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984
Savez-vous, ou vous rappelez-vous que, pendant ou depuis l’état d’urgence?
-la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070: https://www.insee.fr/fr/statistiques/7670212 -près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
-le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Édouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Ces euthanasies s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi déoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04/2020. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 : https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM
les pays où les confinements ont été les plus sévères sont aussi ceux où la mortalité a été la plus forte (refus de soin, isolement, promiscuité, manque d’oxygène, de soleil, stress…) outre la catastrophe économique et psychologique pour les populations : https://www.monde-diplomatique.fr/2025/03/BOULAKIA/68102
“Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944
-les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte : https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657
-aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a d’abord été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective, l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes
les tests PCR ont été manipulés par des cycles d’amplification permettant de découvrir n’importe quelle trace, sans rapport avec une contagion quelconque, donnant des « faux positifs ». Leur inventeur, Kary Mullis, prix Nobel décédé l’été 2019, avait mis en garde contre ce biais : https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html «Cette sorte de pouvoirs que donne l’état d’urgence, nés de la crise, obéit à une parfaite histoire d’oppression.» Edward Snowden, 10 avril 2020, avec Shane Smith, Shelter in Place
Astrazeneca et Sanofi (depakine, dengvaxia…) sont derrière le beyfortus, dangereux vaccin contre la bronchiolite du nourrisson à partir de 3 jours de vie, depuis 2023 : https://neosante.eu/beyfortus-alerte-rouge/
-OMS : censure, corruption, conflits d’intérêts, gestion furent dénoncés dès 2016 sur ARTE : L’OMS dans les griffes des lobbyistes, https://www.youtube.com/watch?v=N-mL9gX9gws
-le serment d’Hippocrate déclare: «Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.» ;le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins; la convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas obéir à un intérêt autre que celui des populations. -Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants: https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl
regarder le CV personnel, professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance: qu’ont-ils fait jusqu’à présent et pour quels intérêts ?
suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien ? comment ? pourquoi ? sur le court, moyen et long terme.
écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
quelles sont les conséquences des mesures dites sécuritaires et salutaires, en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie?
couleur politique indifférente: beaucoup ont changé de bord, seuls comptent mots et actes.
Effets indésirables des vaccins covid :
Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, turbocancers et récidives foudroyantes avec métastases (nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches… Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux
Les innombrables scandales médicaux ou politiques ont toujours été révélés par la voix de témoins, victimes, quelques journalistes, avocats, médecins. Chaque voix compte. Nous sommes des millions!
De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif
Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes
Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats
Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion
La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.
La Food and Drug Administration (FDA) américaine a fait un aveu alarmant, révélant que les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid risquent de subir une mort soudaine et inattendue jusqu’à 15 ans après avoir reçu leur dernière injection.
Selon la FDA, les « vaccins » à ARNm ont créé une bombe à retardement de mort subite en raison du risque massivement accru que les personnes « vaccinées » souffrent d’un caillot sanguin mortel.
Cet aveu choquant a été révélé dans une nouvelle étude évaluée par des pairs publiée dans la prestigieuse revue International Journal of Innovative Research in Medical Science.
Selon l’étude, le Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA admet que la « fenêtre réglementaire de préoccupation » pour un nouveau produit génétique, tel que les « vaccins » à ARNm contre le Covid, est de 5 à 15 ans.
Il est inquiétant de constater que cet aveu suggère que la population vaccinée pourrait être confrontée à une vague de caillots sanguins, car les vaccins contre la Covid n’ont été déployés pour un usage public qu’il y a environ quatre ans.
L’étude suggère que cela signifie qu’une hémorragie pulmonaire mortelle devrait être considérée comme une « conséquence potentielle du nouveau produit, même des mois, voire des années, après la dernière injection ».
McCullough et Hulsher ont mené cette étude pour étudier les risques à long terme d’hémorragie pulmonaire – caillots sanguins.
L’hémorragie pulmonaire est une maladie potentiellement mortelle qui survient lorsque du sang saigne dans les poumons.
Le saignement provoque la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales par suffocation ou choc.
Ils ont noté que les études précédentes n’avaient lié les caillots sanguins aux injections d’ARNm que chez les personnes peu de temps après la vaccination.
Cependant, les risques à long terme restent largement non étudiés.
Au cours de l’étude, ils ont enquêté sur le décès d’un homme de 47 ans décédé d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.
Selon une nouvelle étude évaluée par des pairs, le caillot sanguin mortel a été causé par un « vaccin » Pfizer provenant d’un « lot hautement mortel » de vaccins contre le Covid.
L’étude a déterminé que l’homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et ne prenait pas de médicaments au moment de sa maladie mortelle.
L’étude a noté que les injections de Covid « ont déjà été associées à une hémorragie pulmonaire, généralement observée peu de temps après la vaccination ».
Dans un article de Substack , Hulscher note qu’il s’agit du « premier cas publié d’un événement indésirable mortel survenant plus d’un an après une injection d’ARNm de COVID-19, soulignant le potentiel d’effets indésirables graves à long terme ».
Selon l’étude, l’homme de 47 ans « présentait des symptômes d’une légère infection respiratoire » avant son décès.
Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée et il a souffert d’une grave détresse respiratoire.
Il a également subi un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire abondante ».
La taille de son cœur est restée normale.
« Les preuves suggèrent que cet homme est décédé d’un arrêt cardiopulmonaire, très probablement à la suite d’une hémorragie pulmonaire aiguë, le vaccin contre la COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiopulmonaire et d’une hémorragie », conclut l’étude.
Cette découverte est « importante car elle démontre que la mort peut survenir même plus d’un an après la première série d’injections d’ARNm », a déclaré McCullough.
« Des études similaires ont révélé une embolie pulmonaire qui, si elle est laissée suffisamment longtemps, peut provoquer une nécrose et une hémorragie pulmonaire », a ajouté McCullough.
« Il est bien connu que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »
Hulscher a déclaré :
« La plausibilité biologique d’une hémorragie pulmonaire retardée suite à la vaccination par ARNm contre la COVID-19 est étayée par des cas documentés à court terme survenant peu après l’injection, des préoccupations réglementaires concernant les effets prolongés des produits génétiques, la persistance et la pathogénicité de la protéine Spike, et des preuves émergentes d’une intégration potentielle du génome de l’ADN plasmidique contribuant à l’expression soutenue de la protéine Spike. »
Malgré les conclusions de l’autopsie et les recherches antérieures sur le sujet indiquant un lien possible entre les injections d’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le médecin légiste a déterminé que la cause du décès était attribuée à une maladie cardiovasculaire athéroscléreuse et hypertensive, sans tenir compte de l’hémorragie pulmonaire récente et des antécédents médicaux sans particularité. »
L’étude a également noté que l’autopsie de l’homme n’a pas examiné les contributions potentielles de l’injection de Covid, telles que la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm du « vaccin » ou des anticorps apparentés.
Lors d’une interview avec CHD, la militante pour la liberté de la santé Mary Holland a donné son avis sur l’étude et l’aveu alarmant de la FDA.
En parlant avec Polly Tommey de CHD, Holland s’est demandé si les gens auraient volontairement accepté de se faire vacciner s’ils savaient que se faire vacciner pouvait potentiellement les tuer ou les blesser jusqu’à 15 ans après l’injection initiale.
Holland soutient que l’un des plus grands crimes contre l’humanité est que la FDA savait que c’était une possibilité mais a quand même mis ses « vaccins » sur le marché.
Pire encore, la FDA a caché ce fait au public jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
« La FDA elle-même affirme que la période de préoccupation pour ces caillots sanguins est de 5 à 15 ans », a déclaré Holland.
« Eh bien, ils n’ont certainement pas dit cela aux gens lorsqu’ils encourageaient tout le monde à se faire vacciner. »
MONTRE:
Cette nouvelle intervient dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant la présence de caillots sanguins dangereux chez les personnes vaccinées.
Slay News précédemment Comme l’ a rapporté , les embaumeurs et les enquêteurs ont émis un avertissement effrayant après avoir découvert de nouvelles preuves concernant des rapports croissants de « caillots fibreux blancs » trouvés dans les cadavres de personnes ayant reçu des « vaccins » Covid mRMA.
En 2024, les embaumeurs ont signalé que des caillots avaient été découverts dans un pourcentage stupéfiant de 27 % des cadavres vaccinés contre le Covid.
Entre-temps, une autre révélation récente de la FDA a provoqué une onde de choc dans les communautés médicales et scientifiques.
Slay News Comme l’ a rapporté , la FDA a fait l’aveu explosif que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont contaminés par des contaminations qui ont déclenché une augmentation mondiale des cancers.
L’agence fédérale a fait cet aveu après qu’une étude de la FDA a confirmé que le « vaccin » à ARNm Covid de Pfizer contient des niveaux dangereux de contamination excessive de l’ADN.
D’éminents scientifiques avertissent depuis un certain temps que la recrudescence des cancers mortels parmi les personnes vaccinées contre le Covid était causée par des fragments d’ADN contenus dans les injections d’ARNm.
Ces avertissements ont maintenant été confirmés par une étude explosive menée dans le laboratoire de la FDA.
Des tests effectués sur le campus de White Oak de la FDA dans le Maryland ont révélé des niveaux choquants de contamination de l’ADN dans les « vaccins ».
Par leDr G DELEPINE chirurgien orthopédiste, statisticien
Le 18 avril 2025
Tout récemment le nouveau ministre de la santé Yannick Neuder, cardiologue et député, a proposé la création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » appuyé par un « programme national d’éducation critique en santé » en lien avec l’Éducation nationale.
Yannick Neuder a dû s’inspirer de 1984, le livre d’Orwell qui décrit avec 40 ans d’avance l’instauration d’un ministère de la vérité, symbole de l’obscurantisme et de la tyrannie.
La démocratie laisse le doute s’exprimer librement et la science s’en nourrit. Seules les religions et les théocraties croient détenir « la vérité »
George Orwell décrit le ministère de la vérité dit « Miniver », comme un bâtiment d’environ 300 mètres de haut comprenant plus de 3000 pièces au niveau du sol et des ramifications souterraines. Il régit l’information, l’éducation, les beaux-arts et les divertissements. Sur tous les médias, Il s’occupe de la propagande, et modifie ou supprime les vérités qui ne lui convienent pas afin d’effacer les souvenirs et réduire les habitants dans l’ignorance et l’oubli du monde réel. Le ministre qui n’a pas de rêve de grandeur se contentera peut-être d’un bâtiment de seulement 100 mètres pour abriter son miniver.
La création d’un « observatoire national dédié à la désinformation » correspond tout à fait à une volonté d’établir « la vérité » en décernant un label officiel à ce qui doit être cru pour institutionnaliser le crédo officiel comme cela se passait en Allemagne au temps du nazisme et en Union Soviétique du temps du communisme. Il s’agit d’une forme moderne d’inquisition dont les grands inquisiteurs seront les experts proclamés par l’autorité suprême.
Cette volonté de définir une vérité officielle est fondamentalement antiscientifique. En science toute vérité du moment est constamment soumise à la critique des faits et elle évolue avec eux.
Les grandes avancées scientifiques se caractérisent le plus souvent par l’abandon de ce qu’on croyait jusqu’alors vrai grâce aux efforts d’ un individu longtemps raillé par les instances officielles (aujourd’hui on le traite de complotiste) et qui impose la nouvelle vérité grâce à sa ténacité de l’observation et de l’explication des faits.
En médecine, il suffit de se souvenir de l’opposition officielle forcenée contre l’existence des germes ou contre la découverte de Jenner qui a inventé la vaccination, et que la découverte des antibiotiques est due à une erreur de laboratoire bien remarquée et analysée par Fleming.
La création d’une science officielle, réprimant ceux qui s’écartent de la Doxa ruine tout progrès scientifique majeur. En Union Soviétique la création d’une science officielle a conduit entre autres à la ruine de la génétique, de la physiologie, de la linguistique, de la cybernétique, de l’informatique et de l’ingénierie qui ont contribué à la perte d’efficacité économique et à la chute du système.
Entendre un ministre de la Santé dire qu’il va établir une vérité officielle grâce à ses experts est totalement fou et angoissant pour la médecine. Il prétend vouloir défendre la science, mais sa politique coercitive aboutira à la détruire. La science ne peut prospérer que dans la liberté.
Les experts choisis pour définir « la vérité » sont pour le moins inquiétants
ou du moins leur impartialité, car beaucoup ont déjà fait leurs preuves comme médecins de plateau télé et acteurs de la médecine-spectacle lors de la crise covid.
Le Dr Michel Cymes « Monsieur super-Vax de la Télé à tout crin contre les antivax, à fond pour la vaccination contre le coronavirus» 1 » a participé à un film publicitaire des laboratoires Pfizer2 utilisant un plateau de France 3 et campagne de publicité pour le dépistage systématique du cancer de la prostate par le dosage des PSA que la HAS juge inutile et dangereux.
Il représente un des grands défenseurs des injections covid qu’il a reçu en direct à la télévision, ce qui ne l’a pourtant pas empêché d’attraper deux fois le covid.
Mais aussi pour ses certitudes infondées : « Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner », alors qu’actuellement c’est plutôt la responsabilité de ceux qui ont forcé à la pseudo vaccination dangereuse qui se pose dans de nombreux pays étrangers…Et encore pour son manque de compassion pour ses confrères qui ont eu le tort d’être donneurs d’alerte : « Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner »3.
Plus récemment il s’est opposé à la nomination de Robert Kennedy Jr comme secrétaire d’État à la santé U.S. et appelé non pas à argumenter, mais à faire taire celles et ceux qui ne sont pas dans la Doxa par tous les moyens ! Interdire tout débat, toute critique et réduire au silence ceux qui se battent pour la liberté : «Cette nomination va booster tous les complotistes du monde, y compris chez nous, chaque déclaration de Kennedy sera reprise par les RS, amplifiée, déformée, cela demande une grande vigilance mais également une grande réactivité de la part de tous ceux qui sont responsables de la santé en France. Gouvernement, administrations, institutions, informateurs, nous devons tous réagir immédiatement en cas de désinformation manifeste sur les sujets de santé, y compris et surtout nous, médecins […] Le conseil de l’ordre des médecins doit sanctionner immédiatement ceux qui épousent les thèses les plus farfelues… »
Karine Lacombe qui a reçu plus de 212 000 euros de divers laboratoires au cours des dernières années et représente ainsi « l’archétype du PU-PH modèle de conflits d’intérêts4 qu’elle oublie presque toujours de signaler.
Elle a perçu de l’argent de Gilead et AbbVie et travaillé avec d’autres laboratoires comme la compagnie pharmaceutique belge Janssen. Ces liens d’intérêts, qu’elle ne déclarait pas lors de ses interventions sur les plateaux de télévision, expliquent peut être qu’elle se soit élevée contre l’hydroxychloroquine, qu’elle ait qualifié le remdesivir de « prometteur » (alors qu’il s’est avéré un traitement fortement toxique et inefficace), qu’elle ait promu le Molnupiravir du laboratoire Merck, fort coûteux et mutagène, ou encore partagé des études douteuses sur le Bamlavinimab et partagé l’interprétation douteuse des données de la Direction de la recherche concluant à une efficacité prodigieuse du vaccin..
Le Pr Alain Fischer grand apôtre permanent des vaccinations fait le grand écart entre la recherche scientifique, les multinationales, et les fondations Edmond de Rothschild dont il membre du conseil 5. Depuis fin 2020, il a été adoubé par Emmanuel Macron lui-même pour diriger le conseil d’orientation de la politique vaccinale en France. L’échec retentissant de la politique anti-covid montre la faible pertinence de sa stratégie qui nous a placé, avec les pays pro vaccins parmi les pays aux plus fortes mortalités.
Le Dr Jean-David Zeitoun qui continue sur les ondes à glorifier la politique française du covid et à prétendre « qu’il n’y a pas de doute que les vaccins ont été extraordinairement efficaces »6 alors que les données de l’OMS prouvent le contraire.
En France :
Comme dans le reste du monde :
Le Pr Mathieu Molimard président honoraire du Collège National de Pharmacologie Médicale (CNPM), membre du conseil d’administration de la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique a accusé publiquement le Pr Raoult et la chloroquine des pires maux. Comment peut-il ignorer que ce traitement a permis aux quatre pays qui l’ont officiellement adopté (Algérie, Sénégal, Cote d‘Ivoire, Cameroun) des mortalité Covid 15 à 80 fois inférieures à celle de la France et de la Tunisie qui ont suivi la même politique du tout vaccin. Données de l’OMS illustrées par les courbes suivantes :
Dans sa propagande pour inciter à la 3ème injection anti-covid il a osé affirmer « Le rappel après les deux doses vaccinales booste fortement l’immunité sans majorer les effets indésirables « Nous avons aujourd’hui un important recul sur l’efficacité et la sécurité des vaccins anti Covid-19. Ces données transparentes… confirment l’excellente efficacité mais aussi sécurité des vaccins à ARNm y compris chez les femmes enceinte »
Le Pr Laurent Cordonier grand pourfendeur des complotistes contre lesquels il abandonne toute argumentation, préfère « la censure pour défendre la démocratie ». Démocratie à la chinoise sans droit de s’exprimer librement.
Certes, ce n’est pas parce que ces « experts » ont été très toxiques lors de la crise covid qu’ils le seront forcément demain. Mais un tel choix, qui n’est manifestement pas lié à la clairvoyance passée, ne permet guère d’être optimiste.
La désignation de tels « experts » au conseil de l’inquisition du ministère de la vérité annonce la violence des attaques qui seront portées contre la liberté d’expression. Mais nous saurons la défendre car la vérité du monde réel l’emportera sur leur volonté tyrannique.
Le ministre de la Santé veut imposer sa vérité à l’école
L’école enseigne de moins en moins à lire et compter, mais se focalise sur la mise en condition des cerveaux les plus sensibles, ceux de nos enfants. Nous l’avons observé avec l’abandon des notes, de la progression au mérite, la propagande du réchauffement climatique, de la théorie du genre et de la sexualité depuis le primaire.
Yannick Neuder veut l’étendre au domaine sanitaire en instaurant un « programme national d’éducation critique en santé » pour conditionner nos enfants à l’obéissance aux directives gouvernementales futures, qu’il s’agisse des vaccins futurs ou des dépistages et des tests discutables et coûteux, mais rentables pour l’industrie.
Hanna Harendt a bien montré que l’imprévisibilité de l’enfant en fait le dernier rempart contre le totalitarisme et souligné que les dictateurs s’attaquent prioritairement à la famille et à l’enfant (jeunesses hitlériennes, communistes, jeunesses Khmers rouges…).
Défendons nos enfants. Battons-nous contre ce programme national d’éducation critique en santé qui ne vise qu’à conditionner nos enfants à obéir sans réfléchir, alors que l’éducation devrait au contraire développer la réflexion critique nécessaire au citoyen.
Le ministre de la Santé déclare la guerre à la démocratie
Le ministre a raison de regretter la perte de confiance de la population dans la parole publique. Mais il se trompe sur les raisons et donc sur le traitement adapté. Cette perte de confiance est la conséquence directe des mensonges que l’état a répété lors du covid et dont la population s’est rendu compte. On ne fait plus confiance à ceux qui nous ont menti. Le seul moyen de restaurer la confiance est de prouver sa bonne foi en pratiquant la transparence des décisions et de leurs vrais motifs. La suppression du secret défense cachant les délibérations du comité scientifique du covid constituerait un premier pas prometteur.
A l’opposé la création du ministère de la vérité, le renforcement des censures et l’endoctrinement scolaire prônés par le ministre aggraveront forcément la méfiance de la population envers le gouvernement.
Notons que ce nouveau ministre n’a guère de « chance » dans sa chronologie malheureuse ! Sortir son projet de « ministère de la Vérité » le jour où apparait dans la soirée sur l’ensemble de la planète, le rapport officiel de la maison Blanche de plus de 550 pages sur l’histoire du Covid et les mensonges mondiaux dévoilés, relève de la « poisse » !
Voici le discours maintenant officiel à la Maison Blanche sur l’origine du virus de la Covid
1. Le virus possède une caractéristique biologique qui n’existe pas dans la nature. En effet, il s’agit du site furine qui n’existe pas dans ce sous-genre de coronavirus
2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’une seule introduction chez l’homme. Cela va à l’encontre des pandémies précédentes, où il y avait eu plusieurs événements de propagation.
3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui a déjà mené des recherches sur le gain de fonction (modification génétique augmentant la pathogénicité d’un organisme) dans des conditions de biosécurité inadéquates.
4. Des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux du COVID à l’automne 2019, plusieurs mois avant la découverte du COVID-19 sur un marché aux animaux vivants.
5. Selon presque toutes les mesures scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été mises au jour. Or, ce n’est pas le cas. En effet : il n’y aucun argument en faveur de l’origine naturelle.
Et pour les plus téméraires, la vidéo du nauséabond Colloque – Lutte contre l’obscurantisme et la désinformation en santé. Question : croient-ils à ce qu’ils racontent ?
Le samedi 1er février 2025, les deuxièmes rencontres citoyennes internationales ont eu lieu à Vierzon. (1) Cet événement était organisé par Cher Atout Coeur, une association qui promeut les actions locales et citoyennes. (2)
Le colloque a réuni des médecins, des scientifiques, des juristes et des citoyens. Le Dr Eric Ménat, président de la Fondation Hippocrate, était présent. (2) Cette année, le programme était consacré aux effets secondaires liés aux injections à ARNm contre le covid 19. Un temps pour les victimes des vaccins contre la covid 19 De nombreux collectifs et associations représentant des victimes de ces effets secondaires ont participé à cette journée. Ces personnes se sont fait vacciner pour leur travail ou pour « jouer le jeu ». Elles ont fait confiance au gouvernement et aux institutions sanitaires. Aujourd’hui, elles souffrent de multiples effets secondaires. Malheureusement, personne ne veut les entendre : ni les médias, ni les autorités, ni même, parfois, leur famille ou leurs proches. Lors de ces deuxièmes rencontres citoyennes internationales à Vierzon, elles ont pu livrer leurs témoignages. Et les effets secondaires dont elles parlent correspondent aux longues listes qui ont été reconnues par les fabricants de ces vaccins expérimentaux à ARNm contre le covid 19. (3,4,5,6,7,8)
Voici la liste complète pour le vaccin Pfizer par exemple : Thrombose sanguine, Lésion rénale aiguë, Myélite flasque aiguë, Anticorps anti-spermatozoïdes positifs, Embolie du tronc cérébral, Thrombose du tronc cérébral, Arrêt cardiaque (des centaines de cas), Insuffisance cardiaque, Thrombose ventriculaire cardiaque, Choc cardiogénique, Vasculite du système nerveux central, Décès néonatal, Thrombose veineuse profonde, Encéphalite du tronc cérébral, Encéphalite hémorragique, Épilepsie du lobe frontal, Psychose épileptique, Paralysie faciale, Syndrome de détresse fœtale, Amylose gastro-intestinale, Crise tonico-clonique généralisée, Encéphalopathie de Hashimoto, Thrombose vasculaire hépatique, Réactivation du zona, Réactivation de cancers, Turbo cancers, Hépatite à médiation immunitaire, Maladie pulmonaire interstitielle, Embolie de la veine jugulaire, Épilepsie myoclonique juvénile, Lésions hépatiques, Faible poids à la naissance, Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant, Myocardite, Crise épileptique néonatale, Pancréatite, Pneumonie, Mortinatalité, Tachycardie, Épilepsie du lobe temporal, Auto-immunité testiculaire, Accident vasculaire cérébral thrombotique, Diabète sucré de type 1, Thrombose veineuse néonatale, Thrombose de l’artère vertébrale, Péricardite, mort subite du nourrisson.
Notez que ces effets secondaires listés par Pfizer n’ont rien de théorique. S’ils sont mentionnés dans la liste, c’est qu’à un moment donné une personne prenant part à l’essai clinique ou ayant été vacciné a subi cet effet secondaire. Ils correspondent déjà tous à au moins une victime réelle dans le monde. Hélas pour un certain nombre de victimes, les symptômes sont cumulatifs. Un scandale sanitaire dont les médias ne parlent pas Certains patients rapportent souffrir de plus de 50 symptômes à la fois. (2,9) Et souvent, la seule réponse qu’ils reçoivent de leur médecin, voire des instances officielles est : « c’est dans votre tête, consultez un psychologue » Parmi toutes ces victimes, on compte beaucoup de personnes de moins de 50 ans. Ce sont des personnes qui travaillaient, qui avaient toute la vie devant elles et qui, en quelques jours, et parfois en quelques heures, ont perdu la santé. C’étaient des personnes actives. Elles sont devenues dépendantes. Certaines personnes sont handicapées à vie. Des parents ont perdu leur enfant adolescent ou jeune adulte. Ce sont les forces vives du pays qui ont été touchées par ces effets secondaires. Nous vivons donc, dans un silence assourdissant, un drame national, et même mondial, puisque de nombreuses autres nations que la France ont été touchées.
Et après ? Malgré tout, ces rencontres ont aussi représenté un temps d’espoir et d’entraide. En effet, il semble que dans le monde, une partie des responsables politiques ait enfin compris qu’il y avait eu un problème avec cette campagne de vaccination contre le covid 19. Ainsi en Irlande du Nord, le parlement a tenu une journée d’auditions des victimes des effets secondaires. (2) Par ailleurs, ces rencontres ont aussi été l’occasion pour les citoyens de rencontrer diverses associations qui œuvrent en faveur des victimes dont voici une liste non exhaustive : Cher Atout Coeur, organisateur de l’événement : https://cheratoutcoeur.fr/ Ou est mon Cycle : https://www.ouestmoncycle.com/ On a eu notre dose : https://www.helloasso.com/associations/on-a-eu-not-dose Verity France : https://www.pappers.fr/entreprise/verity-france-914544747 AA Vic Team : https://associationvicteam.com/ SOS écoute effets indésirables: https://collectifs.reinfoliberte.fr/sos-effets-indesirables-vaccinations-covid/ SOLIDEKLA : Une plateforme d’aide à la déclaration des effets secondaires du vaccin : https://solidekla.info/ La Fondation Hippocrate a soutenu spécifiquement l’association SOLIDEKLA en 2025 pour son action auprès des victimes.
Pierre Kory à Paris le 27 septembre 2025 En attendant, les 3e rencontres internationales l’année prochaine à Vierzon, je profite de cette infolettre pour vous parler d’une autre association et du Congrès qu’elle organise à Paris le 27 septembre 2025. Il s’agit de l’AIMSIB, association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante. Cette année l’AIMSIB organise son dixième congrès sur le thème : “Lumière sur les mensonges et les manipulations en matière de santé” À cette occasion, le Dr Pierre Kory, pneumologue et spécialisé dans les soins intensifs viendra des Etats-Unis pour présenter son parcours et ses travaux. Il a notamment défendu avec vigueur l’ivermectine qu’il a utilisé chez des milliers de patients pour soigner le covid 19. Il a également développé des protocoles de soins utilisant la vitamine C en intraveineuse. C’est un médecin reconnu par ses pairs et très apprécié de ses patients. Son dévouement a permis de sauver de très nombreuses vies durant la crise sanitaire. Son approche innovante et intégrative est un exemple de ce à quoi la médecine de demain pourrait ressembler. D’autres orateurs que vous connaissez seront présents comme Louis et Caroline Fouché, ou encore Eric Ménat, Hélène Banoun, Vincent Reliquet, Gilles-Eric Seralini et Corinne Lalo.
Le Congrès a lieu à Paris et les inscriptions sont ouvertes pour y participer en présentiel mais aussi en distanciel pour ceux qui le préfèrent. Dans les deux cas, les lecteurs de la lettre de la Fondation Hippocrate bénéficient d’un tarif réduit. Dans ce cas, Pour vous inscrire, il vous suffit de vous connecter sur ce lien : https://my.weezevent.com/congres-aimsib-2025 et quand on vous le demande, de saisir le code promo “FondH” dans la case prévue à cet effet en bas de l’interface d’inscription. Voici l’affiche de l’événement :
J’espère avoir la joie de vous y retrouver ! Affaire à suivre, Augustin de Livois
PS : Vous avez la possibilité de laisser un commentaire sur cet article en cliquant ici.
10 mai 2025, une journée pour témoigner des effets indésirables des vaccinations
De nombreuses associations françaises et internationales de victimes des vaccins covid réunies à Vierzon en février 2025 appellent à une grande journée de témoignage public le samedi 10 mai, de 14h à 17h, ou à l’heure qui vous convient, dans le quartier le plus animé de votre ville ou village, au cœur de la vie citadine.
Ce jour-là, réunissons-nous avec des portraits de victimes, des informations, des rapports de l’ANSM, de l’EMA, d’Eudravigilance ou de sources officielles de notre pays, grâce à une communication impeccable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, les arguments, les raisons pour lesquelles certaines personnes subissent des effets indésirables et d’autres non, le tout de manière irréfutable, en invitant les responsables politiques, les médecins, les journalistes, etc., à diffuser la vérité autant que possible. Nous vous invitons à suivre l’événement en direct sur Facebook, YouTube, TikTok, Instagram et à le partager avec d’autres pays.
Nous sommes en Europe 27 pays et 447 millions.
Parmi nous, il y a des dizaines de millions de personnes éveillées, courageuses, compétentes, expérimentées ou pleinesde bonne volonté.
Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il y a presque quatre ans, nous luttons pour ce qu’il y a de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.
Ce jour-là, affluons avec des portraits de victimes, de l’information, des rapports de l’ANSM, de la EMA, Eudravigilance ou des sources officielles de notre pays, avec une communication irréprochable et non politisée, avec les faits, les chiffres, les exemples de personnes indemnisées, l’argumentation, les raisons pour lesquelles certaines personnes sont victimes d’effets indésirables et d’autres non, le tout sourcé de façon inattaquable, en invitant les politiques, médecins, journalistes etc. pour répercuter au maximum. Nous vous invitons à faire des directs FB, Youtube, TikTok, Instagram et partager avec les autres pays.
Dans cette guerre totale qui nous a été déclarée il ya bientôt quatre ans, nous nous battons pour ce qu’il ya de plus sacré : nos corps, nos âmes, notre mémoire, notre avenir, nos aînés, nos enfants, nos droits et nos devoirs, la Nature et la Civilisation, la Liberté.
Nous comptons dans nos rangs des associations et structures existantes de longue date ou récemment créées, de nombreux militants et bénévoles, des avocats et juristes, de petits et grands médias alternatifs, des personnalités et des chercheurs, des médecins et soignants, des victimes et familles de victimes, des enseignants, des personnalités publiques, des politiciens engagés, des représentants élus des populations au niveau local ou européen, des artistes…
Faisons du 10 mai 2025 une grande journée d’union et de solidarité, pour l’avenir et la vérité :
La question de l’efficacité et de la toxicité des vaccins étant aussi polémique que confuse, une analyse scientifique est indispensable pour avoir un avis éclairé face aux discours unanime des experts et des autorités sanitaires concernant cette question. Nous allons tenter dans cette émission de proposer une analyse de la vaccination : le rapport bénéfice/risque, à l’échelle individuelle et communautaire. Nous allons revenir sur les techniques permettant d’évaluer scientifiquement chaque vaccin et d’exposer les potentiels biais méthodologiques qui auraient conduit à des appréciations approximatives ou inexactes des réalités vaccinales.
La Cour de justice de l’Union européenne tranche sur la prescription obligatoire des vaccins COVID-19 et la responsabilité des médecins
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment rendu une décision qui pourrait avoir un impact majeur sur la responsabilité des professionnels de santé ayant administré les vaccins contre le COVID-19. Selon cet arrêt, une prescription médicale était nécessaire pour l’administration de ces vaccins, ce qui remet en cause la manière dont la campagne de vaccination a été menée dans plusieurs pays européens.
L’importance de la prescription médicale
L’affaire portée devant la CJUE par le professeur Frajese met en lumière un point fondamental : les médecins avaient la liberté d’évaluer la pertinence d’une vaccination pour leurs patients. Contrairement à ce qui a été appliqué dans certains États membres, l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 n’impliquait aucune obligation pour les médecins de prescrire ou d’administrer ces vaccins.
La Cour rappelle que la relation médecin-patient repose sur un principe essentiel : la liberté de prescription. Chaque professionnel de santé doit pouvoir, en fonction des spécificités du patient, choisir le traitement le plus adapté, en toute indépendance. Ainsi, ceux qui ont choisi de ne pas recommander ces vaccins ou de les déconseiller ne peuvent être poursuivis ni disciplinés pour cette raison.
Les conséquences sur la responsabilité des médecins
L’arrêt de la CJUE précise que les médecins ayant administré ces vaccins sans évaluation individuelle du patient pourraient voir leur responsabilité engagée. En effet, le fait que ces vaccins aient reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM) ne suffisait pas à exempter les praticiens de leur devoir d’analyse des risques pour chaque patient.
Cela signifie que les professionnels de santé qui ont procédé à la vaccination sans prescription spécifique pourraient être poursuivis pour faute médicale. La Cour souligne que la protection juridique dont bénéficiaient les médecins ne s’applique que si l’administration des vaccins a respecté les règles en vigueur, ce qui inclut l’évaluation individuelle de chaque patient.
L’impact sur les recours en justice
Les décisions de la CJUE s’imposent aux juges nationaux, et cet arrêt pourrait influencer de nombreuses procédures en cours. En particulier, les personnels de santé suspendus ou radiés pour avoir refusé d’administrer ces vaccins pourraient voir leur situation réexaminée à la lumière de cette jurisprudence.
Par ailleurs, les personnes ayant subi des effets indésirables après la vaccination disposent désormais d’un argument supplémentaire pour engager des actions en responsabilité contre les médecins et les autorités sanitaires. L’absence de prescription médicale constitue une violation des règles établies, rendant possibles des demandes d’indemnisation pour préjudice corporel.
Une décision qui redéfinit la liberté de soins
Cette décision de la CJUE marque un tournant majeur dans l’approche des politiques de santé publique. Elle réaffirme le principe selon lequel les médecins doivent conserver leur liberté de prescription et rappelle que toute obligation de vaccination doit être encadrée par des règles claires respectant les droits des patients.
Alors que les débats sur les politiques vaccinales continuent, cette décision apporte une clarification essentielle : les professionnels de santé doivent être libres de prescrire ou de déconseiller un traitement, en fonction des besoins réels de leurs patients, sans subir de pressions extérieures.
Si vous êtes victime d’un effet secondaire suite à la vaccination, il est important de savoir que vous avez des droits.Lecabinet ELLIPSIS AVOCATS se spécialise dans la défense des victimes de dommages corporels et vous accompagne pour obtenir une indemnisation et faire valoir vos droits face aux autorités compétentes.
N’hésitez pas à nous contacter pour toute question ou pour discuter de votre situation.
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Un vague sentiment de vous être fait avoir ? Pourquoi ? Comment ? Fruit d’une enquête minutieuse, ce livre choc vous dévoile les coulisses et les mensonges des « pandémies », présentes, passées et à venir. Des faits, rien que des faits. Qui a orchestré cette fraude planétaire, quand et comment les membres d’un petit groupe organisé ont patiemment tissé leur toile, corrompu le système et subverti les représentants des peuples ? Dix grands mensonges, dix grandes vérités. Voici enfin la vérité, voici les réponses.
Soyez prêts à protéger votre santé, et, peut-être, sauver votre vie.
Demande de traitement humain et de libération immédiate du Dr Reiner Füellmich. La communauté internationale des signataires de cette déclaration de soutien exige la libération immédiate du Dr Reiner Füellmich, avocat et principal critique des mesures COVID-19, emprisonné depuis octobre 2023.
Le Dr Reiner Füelmich est en détention provisoire depuis octobre 2023. Il a été arrêté dans des circonstances douteuses à l’aéroport de Francfort le 13 octobre 2023.
L’affaire du Dr Füellmich a soulevé de sérieuses inquiétudes quant à la légalité de sa détention et à l’intégrité du processus judiciaire. Des 18 chefs d’accusation initiaux contre Füellmich, il n’en reste plus qu’un, relatif à des prêts personnels.
En vertu du droit allemand, la durée maximale de la détention provisoire est de six mois, comme décrit dans l’article 121, paragraphe 1, du Code de procédure pénale allemand (StPO). « Les raisons particulières ou importantes justifiant une prolongation de la détention provisoire au-delà de six mois ne sont pas claires. » Cette réclamation souligne la nécessité urgente de réévaluer la détention continue du Dr Fuel me.
Le Dr Füellmich est actuellement détenu à la prison de Rosdorf près de Göttingen, où il est détenu dans des conditions difficiles et isolées. Il est séparé des autres prisonniers, n’a droit qu’à un temps d’isolement dans la cour et sa communication avec le monde extérieur est limitée à seulement trois heures de visites privées par mois.
Cet environnement punitif soulève d’autres questions quant au traitement des personnes en détention provisoire, notamment compte tenu du manque de preuves substantielles justifiant de telles mesures.
Le 11 juin, Reiner Füellmich a de nouveau été placé à l’isolement, un statut qu’il continue de maintenir. Cet isolement signifie qu’il lui est interdit d’avoir des contacts avec d’autres détenus. Les autorités ont justifié cette mesure extrême en affirmant que Füellmich avait fourni des conseils juridiques à ses codétenus, une situation jugée inacceptable par les responsables de sa détention. Füellmich doit manger de manière isolée et n’a droit qu’à une heure par jour pour des activités de plein air, qu’il doit également passer dans une solitude totale. Il n’a pas accès à la salle de sport et ne peut utiliser le téléphone qu’une fois que les autres détenus sont rentrés dans leurs cellules. Ce régime strict souligne la gravité de son internement et des restrictions qui lui sont imposées.
Les accusations portées contre le Dr Füellmich incluent le détournement de fonds, mais de nombreux observateurs, y compris sa défense, soutiennent que ce procès va au-delà des procédures judiciaires ordinaires et est devenu une tentative politiquement motivée de faire taire un éminent critique des mesures COVID-19. Le procès a révélé des changements inquiétants dans les paramètres juridiques, compliquant davantage l’affaire et portant atteinte aux principes de justice.
À la lumière de ces graves allégations et du mépris apparent de la procédure régulière, les signataires de cette pétition demandent la libération immédiate du Dr Reiner Füellmich.
Cette situation ne touche pas seulement un individu, mais constitue également un rappel brutal du potentiel d’influence politique qui peut pénétrer le système judiciaire, sapant ainsi les fondements de la justice et de l’équité.
Alors que le mouvement international pour la liberté observe attentivement la situation, il est essentiel que justice soit faite et que le Dr Füellmich reçoive la liberté qu’il mérite – une liberté qui est essentielle non seulement pour lui, mais aussi pour l’intégrité du système judiciaire lui-même.
Les signatures de cette pétition seront remises à Reiner Fuellmich (ou à son avocat) et au tribunal pour montrer que Reiner Fuellmich n’est pas seul.
Cette remise se fera sur papier (et non numériquement) et ne comportera que les initiales et le nom de famille et sans adresse e-mail.
Un article de Laurent Mucchielli qui s’efforce de synthétiser l’état de la connaissance scientifique sur la criminalité des industries du médicament, à partir des sources américaines et françaises.
Jean-Marc SABATIER est directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches en biochimie, est un spécialiste des vaccins et thérapies à base de protéines modifiées.
Contexte : Le développement rapide des vaccins contre la COVID-19, combiné à un nombre élevé de rapports d’effets indésirables, a suscité des inquiétudes quant aux mécanismes possibles de lésions, notamment la distribution systémique des nanoparticules lipidiques (LNP) et de l’ARNm, les lésions tissulaires associées à la protéine Spike, la thrombogénicité, le dysfonctionnement du système immunitaire et la cancérogénicité. L’objectif de cette revue systématique est d’étudier les liens de causalité possibles entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et le décès, en utilisant des autopsies et des analyses post-mortem. Méthodes : Nous avons recherché dans PubMed et ScienceDirect tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organes publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai. ème , 2023. Toutes les études d’autopsie et d’autopsie restreinte à des organes incluant la vaccination contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été incluses. L’état des connaissances ayant progressé depuis les publications originales, trois médecins ont examiné chaque cas de manière indépendante et déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès. Résultats : Nous avons initialement identifié 678 études et, après sélection de nos critères d’inclusion, nous avons inclus 44 articles contenant 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur). L’âge moyen du décès était de 70,4 ans. Le système organique le plus impliqué parmi les cas était le système cardiovasculaire (49 %), suivi par le système hématologique (17 %), le système respiratoire (11 %) et plusieurs systèmes organiques (7 %). Trois systèmes organiques ou plus étaient touchés dans 21 cas. Le délai moyen entre la vaccination et le décès était de 14,3 jours. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin. Au total, 240 décès (73,9 %) ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus ou significativement contribués par la vaccination contre la COVID-19, dont les principales causes de décès comprennent la mort cardiaque subite (35 %), l’embolie pulmonaire (12,5 %), l’infarctus du myocarde (12 %), le VITT (7,9 %), la myocardite (7,1 %), le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %) et l’hémorragie cérébrale (3,8 %). Conclusions : La concordance observée entre les cas de cette revue et les mécanismes connus de lésions et de décès liés aux vaccins contre la COVID-19, ainsi que la confirmation de l’autopsie par un médecin, suggèrent une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une enquête plus approfondie est nécessaire de toute urgence afin de clarifier nos conclusions.
Introduction
Au 31 mai St En 2023, le SRAS-CoV-2 a infecté environ 767 364 883 personnes dans le monde, entraînant 6 938 353 décès selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) [1]. Ces chiffres officiels sont probablement exagérés en raison de l’utilisation généralisée de la RT-PCR quantitative (RT-qPCR) avec des seuils de cycles arbitrairement élevés comme base du diagnostic de la COVID-19 [2]. En réponse directe à cette catastrophe mondiale, les gouvernements ont adopté une approche coordonnée pour limiter le nombre de cas et la mortalité en combinant des interventions non pharmaceutiques (INP) et de nouvelles plateformes vaccinales basées sur les gènes. Les premières doses de vaccin ont été administrées moins de 11 mois après l’identification de la séquence génétique du SRAS-CoV-2 (aux États-Unis, dans le cadre de l’initiative Operation Warp Speed), ce qui a représenté le développement vaccinal le plus rapide de l’histoire, avec des garanties limitées de sécurité à long terme [3]. Au 31 mai St En 2023, environ 69 % de la population mondiale a reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 [1].
Français Certaines des plateformes vaccinales COVID-19 utilisées comprennent le virus inactivé (Sinovac – CoronaVac), la sous-unité protéique (Novavax – NVX-CoV2373), le vecteur viral (AstraZeneca – ChAdOx1 nCoV-19, Johnson & Johnson – Ad26.COV2.S) et l’ARN messager (Pfizer-BioNTech – BNT162b2, Moderna – ARNm-1273)[4]. Tous utilisent des mécanismes qui peuvent provoquer des effets indésirables graves ; la plupart impliquent la synthèse incontrôlée de la glycoprotéine Spike comme base de la réponse immunologique. La protéine Spike circulante est le mécanisme délétère probable par lequel les vaccins COVID-19 produisent des effets indésirables [5-9,12,13]. La protéine Spike et/ou les sous-unités/fragments peptidiques peuvent déclencher la dégradation du récepteur ACE2 et la déstabilisation du système rénine-angiotensine (SRA), entraînant une thrombose sévère [5]. Français La protéine Spike active les plaquettes, provoque des lésions endothéliales et favorise directement la thrombose [6]. De plus, les cellules du système immunitaire qui absorbent les nanoparticules lipidiques (LNP) des vaccins contre la COVID-19 peuvent ensuite distribuer systémiquement la protéine Spike et les microARN via les exosomes, ce qui peut entraîner de graves conséquences inflammatoires [6]. De plus, le contrôle du cancer à long terme peut être compromis chez les personnes injectées avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 en raison du dérèglement du facteur de régulation de l’interféron (IRF) et du gène suppresseur de tumeur [6]. De plus, un lien de causalité possible entre les vaccins contre la COVID-19 et diverses maladies a été établi, notamment les troubles neurologiques, la myocardite, les déficits plaquettaires sanguins, les maladies du foie, l’affaiblissement de l’adaptabilité immunitaire et le développement du cancer [6]. Ces résultats sont corroborés par la découverte que la vaccination récurrente contre la COVID-19 avec des vaccins génétiques peut déclencher des niveaux anormalement élevés d’anticorps IgG4, ce qui peut entraîner un dérèglement du système immunitaire et contribuer à l’émergence de maladies auto-immunes, de myocardite et de croissance cancéreuse [7].
Français Les effets neurotoxiques de la protéine Spike peuvent causer ou contribuer au syndrome post-COVID, notamment des céphalées, des acouphènes, un dysfonctionnement autonome et une neuropathie des petites fibres [8]. Spécifique à l’administration de vaccins à vecteur viral contre la COVID-19 (AstraZeneca ; Johnson et Johnson), un nouveau syndrome clinique appelé thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) a été identifié en 2021 et caractérisé par le développement de thromboses à des sites corporels atypiques associé à une thrombocytopénie sévère après la vaccination [10]. La pathogenèse de cet effet secondaire potentiellement mortel est actuellement inconnue, bien qu’il ait été suggéré que la TTIV soit causée par des anticorps post-vaccination contre le facteur plaquettaire 4 (PF4) déclenchant une activation plaquettaire importante [10]. Les vaccins à base d’ARNm provoquent rarement une TTIV, mais ils sont associés à une myocardite, ou inflammation du myocarde [11]. Français Les mécanismes de développement de la myocardite après la vaccination contre la COVID-19 ne sont pas clairs, mais on a émis l’hypothèse qu’elle pourrait être causée par le mimétisme moléculaire de la protéine Spike et des auto-antigènes, la réponse immunitaire à l’ARNm et une expression dérégulée des cytokines [11]. Chez les adolescents et les jeunes adultes diagnostiqués avec une myocardite post-vaccinale à ARNm, la protéine Spike libre a été détectée dans le sang tandis que les témoins vaccinés n’avaient pas de protéine Spike circulante [12]. Il a été démontré que les séquences d’ARNm du vaccin contre le SARS-CoV-2 Spike peuvent circuler dans le sang jusqu’à 28 jours après la vaccination [13]. Cependant, les auteurs n’ont pas mesuré l’ARNm du vaccin au-delà de 28 jours. Ces données indiquent que des événements indésirables peuvent survenir pendant une période inconnue après la vaccination, la protéine Spike jouant un rôle étiologique potentiel important.
Parry et al. ont démontré la distribution systémique des LNP contenant de l’ARNm après l’administration du vaccin chez le rat, concluant que les LNP atteignaient leur concentration la plus élevée au site d’injection, suivi du foie, de la rate, des glandes surrénales, des ovaires (femelles) et de la moelle osseuse (fémur) sur 48 heures [14]. De plus, des LNP ont été détectés dans le cerveau, le cœur, les yeux, les poumons, les reins, la vessie, l’intestin grêle, l’estomac, les testicules (mâles), la prostate (mâles), l’utérus (femelles), la thyroïde, la moelle épinière et le sang [14]. Ces données de biodistribution suggèrent que la protéine Spike pourrait être exprimée dans les cellules de nombreux systèmes d’organes vitaux, soulevant des inquiétudes importantes quant au profil de sécurité des vaccins contre la COVID-19. Compte tenu des syndromes de vaccination identifiés et de leurs mécanismes possibles, la fréquence des rapports d’événements indésirables devrait être élevée, en particulier compte tenu du grand nombre de doses de vaccin administrées dans le monde.
Jusqu’au 31 mai St Français En 2024, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) contenait 1 640 416 rapports d’événements indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19, dont 37 647 décès, 28 445 myocardites et péricardites, 21 741 crises cardiaques et 9 218 rapports de thrombocytopénie [15]. Si la vaccination contre la COVID-19 est effectivement un déterminant du nombre alarmant de décès signalés, les implications pourraient être immenses, notamment : le retrait complet de tous les vaccins contre la COVID-19 du marché mondial, la suspension de tous les mandats et passeports vaccinaux contre la COVID-19 restants, la perte de confiance du public dans le gouvernement et les institutions médicales, des enquêtes et des investigations sur la censure, le silence et la persécution des médecins et des scientifiques qui ont soulevé ces préoccupations, et une indemnisation pour ceux qui ont été lésés à la suite de l’administration des vaccins contre la COVID-19. Cependant, il n’est pas possible d’utiliser uniquement les données du VAERS pour établir un lien direct entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès en raison de nombreuses limitations et facteurs de confusion.
En 2021, Walach et al. ont indiqué que chaque décès après la vaccination contre la COVID-19 devrait faire l’objet d’une autopsie afin d’étudier les mécanismes de préjudice [16]. Les autopsies sont l’un des outils de diagnostic les plus puissants en médecine pour établir la cause du décès et clarifier la physiopathologie de la maladie [17]. Les vaccins contre la COVID-19, avec des mécanismes plausibles de lésion du corps humain et un nombre substantiel de rapports d’événements indésirables, représentent une exposition qui peut être liée de manière causale au décès dans certains cas. L’objectif de cette revue systématique est d’étudier les liens de causalité possibles entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et le décès à l’aide d’analyses post-mortem, y compris des autopsies.
Méthodes
Sources de données et stratégie de recherche
Nous avons effectué une revue systématique de tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organe publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai. ème , 2023. Nous avons utilisé la déclaration PRISMA (Preferred Reporting Items for Systematic Review and Meta-Analysis Protocols) [18] afin de limiter les biais de sélection des études et de garantir la transparence et l’exhaustivité des rapports. Les bases de données suivantes ont été utilisées : PubMed et ScienceDirect. Les mots-clés suivants ont été utilisés : « Vaccin contre la COVID-19 », « Vaccin contre le SARS-CoV-2 » ou « Vaccination contre la COVID » et « Post-mortem » ou « Autopsie ». Toutes les combinaisons de mots-clés possibles ont été recherchées manuellement. La recherche n’était limitée à aucune langue. Toutes les études sélectionnées ont été examinées pour la littérature pertinente contenue dans leurs références.
Critères d’éligibilité et processus de sélection
Tous les articles originaux, essais cliniques randomisés, rapports de cas et séries de cas contenant des résultats d’autopsie ou d’autopsie restreinte à un organe (analyse macroscopique et histologique d’un seul organe) avec des vaccins contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été inclus. Les articles de synthèse, les revues systématiques, les méta-analyses, les articles sans résultats d’autopsie ou d’autopsie restreinte à un organe, les études non humaines et les articles sans statut vaccinal COVID-19 déclaré ont été exclus. Les conclusions des auteurs n’ont pas été prises en compte pour l’inclusion de l’étude afin d’éviter tout biais. Deux auteurs (NH et PAM) ont examiné indépendamment le texte intégral de toutes les études récupérées afin d’évaluer leur éligibilité à l’inclusion et ont supprimé toutes les études inéligibles/en double. Tout désaccord concernant l’inclusion d’un article a été résolu par discussion jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé.
Extraction et analyse des données
Français À partir des études sélectionnées, deux auteurs (NH et PAM) ont extrait indépendamment les données suivantes dans Microsoft Excel : année de publication, pays où l’étude a été menée et toutes les informations individuelles disponibles sur les cas (âge, sexe, marque du vaccin COVID-19, nombre cumulé de doses de vaccin COVID-19 administrées, jours entre la dernière administration du vaccin COVID-19 et le décès, constatations post-mortem et type de procédure post-mortem). Toute divergence dans les données a été résolue par discussion et réextraction des données. Étant donné la présence de certaines données manquantes, toutes les informations disponibles ont été utilisées pour calculer des statistiques descriptives. L’âge estimé (âge exact non indiqué) et le temps déduit entre la dernière administration du vaccin et le décès (pas de temps définitif indiqué) ont été exclus des calculs et des chiffres. Étant donné que les connaissances concernant la sécurité du vaccin contre la COVID-19 ont progressé depuis les publications originales, nous avons réalisé une revue contemporaine : trois médecins experts (RH, WM, PAM) expérimentés en matière de jugement de décès et d’anatomopathologie clinique ont examiné de manière indépendante les données disponibles pour chaque cas (tableau S1), notamment les informations démographiques, la vignette clinique, les données de vaccination, les résultats d’autopsie macroscopique et histologique, et ont déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou contribuait significativement au mécanisme de décès décrit. Les médecins ont évalué les relations temporelles, la solidité des preuves et la cohérence des résultats avec caractéristiques rapportées et présentations courantes des décès associés au vaccin contre la COVID-19 documentés dans le VAERS [15], ainsi que d’autres étiologies potentielles pour statuer sur chaque cas. Un accord était atteint lorsque deux médecins ou plus jugeaient un cas de manière concordante. Pour l’étude de Chaves [23], seuls les cas liés aux systèmes cardiovasculaire et hématologique ont été jugés comme étant liés au vaccin en raison d’une forte probabilité que la vaccination contre la COVID-19 ait contribué au décès. Cette évaluation de haute probabilité a été étayée par l’évaluation de cas similaires documentés dans le VAERS, où les événements indésirables cardiovasculaires et hématologiques représentent une part importante des rapports d’événements indésirables graves [15]. Les informations sur les cas individuels manquaient pour les autres cas, limitant la décision pour les résultats non cardiovasculaires ou hématologiques.
Résultats
Une recherche dans la base de données a permis de recenser 678 études susceptibles de répondre à nos critères d’inclusion. 562 doublons ont été éliminés. Sur les 116 articles restants, 36 répondaient à nos critères d’inclusion. Une analyse plus approfondie des références nous a permis d’identifier 18 articles supplémentaires, dont 8 répondaient à nos critères d’inclusion. Au total, nous avons identifié 44 études contenant des rapports d’autopsie ou d’autopsie restreinte d’organes de personnes vaccinées contre la COVID-19 (figure 1).
Figure 1.
Diagramme de flux des éléments de rapport préférés pour les revues systématiques et les méta-analyses (PRISMA) détaillant le processus de sélection des études
Le tableau 1 résume les 44 études [19-62], qui comprennent un total de 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur). L’âge moyen au décès était de 70,4 ans et il y avait 139 femmes (42,6 %). La plupart ont reçu un vaccin Pfizer/BioNTech (41 %), suivi de Sinovac (37 %), AstraZeneca (13 %), Moderna (7 %), Johnson & Johnson (1 %) et Sinopharm (1 %).
Tableau 1.
Caractéristiques des études d’autopsie incluse et d’autopsie restreinte aux organes examinant les décès potentiels liés au vaccin contre la COVID-19. *Cas = Nombre de décès examinés post-mortem. **Dose = Nombre cumulé de doses de vaccin reçues. ***Période = Temps (en jours) entre l’administration du vaccin le plus récent et le décès. ~= Période déduite (Période estimée en utilisant toutes les informations disponibles, période définitive non donnée). Abréviations : MIS = Syndrome inflammatoire multisystémique ; SCD = Mort subite d’origine cardiaque ; IM = Infarctus du myocarde ; EP = Embolie pulmonaire ; AZ = AstraZeneca ; J&J = Johnson and Johnson ; VITT = Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ; ADEM = Encéphalomyélite aiguë disséminée ; SCLS = Syndrome de fuite capillaire systémique ; SGB = Syndrome de Guillain-Barré ; MAT = Microangiopathies thrombotiques ; VI-ARDS = Syndrome de détresse respiratoire aiguë induit par le vaccin ; UIP = Pneumonie interstitielle usuelle.
Tableau 1.
suite.
Le système cardiovasculaire était le plus fréquemment atteint (49 %), suivi des systèmes hématologiques (17 %), respiratoires (11 %), multiviscéral (7 %), neurologiques (4 %), immunologiques (4 %) et gastro-intestinaux (1 %). Dans 7 % des cas, la cause du décès était soit inconnue, soit non naturelle (noyade, traumatisme crânien, etc.) ou infectieuse (figure 2). Un seul système organique était touché dans 302 cas, deux dans 3 cas, trois dans 8 cas et quatre ou plus dans 13 cas (figure 3).
Figure 2.
Proportion de cas par système organique affecté
Figure 3.
Nombre de systèmes d’organes affectés par cas
Le tableau 2 montre le nombre et la proportion de chaque cause de décès déclarée. La mort cardiaque subite était la cause de décès la plus fréquente (21,2 %), suivie de l’infarctus du myocarde (9,5 %), de l’embolie pulmonaire (9,5 %), de la cardiopathie ischémique (6,8 %), de la TTIV (5,8 %), de la pneumonie COVID-19 (5,8 %), de la myocardite/péricardite (5,5 %), de l’hémorragie cérébrale/sous-arachnoïdienne (2,8 %), de la coronaropathie (2,5 %), de l’insuffisance respiratoire (2,5 %) et de l’hémorragie inexpliquée (2,5 %).
Tableau 2.
Nombre et proportion de causes de décès signalées parmi les cas inclus
Tableau 2.
Suite
Le nombre de jours écoulés entre la vaccination et le décès était de 14,3 (moyenne), 3 (médiane) quelle que soit la dose ; 7,8 (moyenne), 3 (médiane) après une dose ; 23,2 (moyenne), 2 (médiane) après deux doses ; et 5,7 (moyenne), 2 (médiane) après trois doses. La distribution des jours écoulés entre la dernière administration du vaccin et le décès est fortement asymétrique à droite, ce qui montre que la plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière vaccination (figure 4).
Figure 4.
Répartition du temps écoulé entre la dernière administration du vaccin et le décès parmi les cas
Français 240 décès (73,9 %) ont été jugés indépendamment par trois médecins comme étant significativement liés à la vaccination contre la COVID-19 (tableau S1). Parmi les évaluateurs, il y avait un accord indépendant complet (les trois médecins) sur le fait que la vaccination contre la COVID-19 a contribué au décès dans 203 cas (62,5 %). Le seul cas d’autopsie restreinte d’organe a été jugé comme étant lié à la vaccination avec un accord complet. Parmi les 240 décès qui ont été jugés comme étant significativement liés à la vaccination contre la COVID-19, la plupart ont reçu un vaccin Sinovac (46,3 %), suivi de Pfizer (30,1 %), AstraZeneca (14,6 %), Moderna (7,5 %), Johnson & Johnson (1,3 %), et Sinopharm (0,8 %) ; l’âge moyen du décès était de 55,8 ans ; le nombre de jours entre la vaccination et le décès était de 11,3 (moyenne), 3 (médiane) quelle que soit la dose ; et les principales causes de décès comprennent la mort cardiaque subite (35 %), l’embolie pulmonaire (12,5 %), l’infarctus du myocarde (12 %), le VITT (7,9 %), la myocardite (7,1 %), le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %) et l’hémorragie cérébrale (3,8 %).
Discussion
Français Parmi tous les rapports d’autopsie publiés concernant la vaccination contre la COVID-19, nous avons constaté, par une décision indépendante, que 73,9 % des décès étaient attribuables à des syndromes mortels de lésions vaccinales contre la COVID-19 (Tableau S1). Le système cardiovasculaire était de loin le système organique le plus impliqué dans le décès, suivi des systèmes hématologique, respiratoire, multiviscéral, neurologique, immunologique et gastro-intestinal (Figure 2), avec trois systèmes organiques ou plus touchés dans 21 cas (Figure 3). La mort cardiaque subite, l’infarctus du myocarde, la myocardite, la péricardite, l’embolie pulmonaire, la TTIV, l’hémorragie cérébrale, la défaillance multiviscérale, l’insuffisance respiratoire et l’orage cytokinique étaient les causes de décès signalées dans la majorité des cas (Tableau 2). La majorité des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin (Figure 4). Ces résultats corroborent les syndromes connus induits par le vaccin contre la COVID-19 et montrent des associations temporelles significatives entre la vaccination contre la COVID-19 et les décès impliquant plusieurs systèmes organiques, avec une implication prédominante des systèmes cardiovasculaire et hématologique. Les critères de causalité d’un point de vue épidémiologique ont été respectés, notamment la plausibilité biologique, l’association temporelle, la validité interne et externe, la cohérence, l’analogie et la reproductibilité avec chaque rapport de cas successif de décès après la vaccination contre la COVID-19 combiné à des études basées sur la population décrivant la mortalité parmi les vaccinés.
Français Nos résultats amplifient les inquiétudes concernant les effets indésirables du vaccin COVID-19 et leurs mécanismes. La myocardite induite par le vaccin COVID-19 [11,63,64] et l’infarctus du myocarde [65,66] ont été significativement bien décrits dans la littérature évaluée par des pairs, expliquant la proportion élevée de décès cardiovasculaires observés dans notre étude. Les effets délétères de la protéine Spike [5-9,14], en particulier sur le cœur [12,67], corroborent davantage ces résultats. Nos résultats mettent également en évidence l’implication de plusieurs systèmes d’organes décrite comme un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS) signalé après la vaccination COVID-19 chez les enfants [68] et les adultes [69]. Un mécanisme possible par lequel le MIS se produit après la vaccination pourrait être la distribution systémique des LNP contenant de l’ARNm après l’administration du vaccin [14] et l’expression et la circulation systémiques de la protéine Spike qui en résultent, entraînant une inflammation à l’échelle du système. Français Une proportion significative de cas était due à des événements indésirables du système hématologique, ce qui n’est pas surprenant étant donné que la TTIV [70] et l’embolie pulmonaire (EP) [71] ont été rapportées dans la littérature comme des événements indésirables graves après la vaccination contre la COVID-19. Les décès causés par des effets indésirables sur le système respiratoire étaient également relativement fréquents dans notre revue, une constatation qui concorde avec la possibilité de développer un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ou une maladie pulmonaire interstitielle induite par les médicaments (DIILD) après la vaccination contre la COVID-19 [72,73]. Bien que rares parmi les cas de cette étude, des événements indésirables immunologiques [74], neurologiques [75] et gastro-intestinaux [76] peuvent toujours survenir après la vaccination contre la COVID-19 et, comme pour le système cardiovasculaire, peuvent être directement ou indirectement causés par l’expression ou la circulation systémique de la protéine Spike. Compte tenu du délai moyen (14,3 jours) de décès après la vaccination, l’association temporelle entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès dans la plupart des cas est renforcée par la découverte que les séquences d’ARNm Spike du vaccin contre le SRAS-CoV-2 peuvent circuler dans le sang pendant au moins 28 jours après la vaccination [13]. La plupart des plateformes vaccinales déployées sont associées au décès, ce qui suggère qu’elles partagent une caractéristique commune à l’origine d’effets indésirables, qui est très probablement la protéine Spike.
Français Le grand nombre de décès induits par le vaccin contre la COVID-19 évalués dans cette revue est cohérent avec de nombreux articles qui font état d’une surmortalité après la vaccination contre la COVID-19. Pantazatos et Seligmann ont constaté que la mortalité toutes causes confondues augmentait de 0 à 5 semaines après l’injection dans la plupart des groupes d’âge, entraînant 146 000 à 187 000 décès associés au vaccin aux États-Unis entre février et août 2021 [77]. Avec des conclusions similaires, Skidmore a estimé que 278 000 personnes pourraient être décédées des suites du vaccin contre la COVID-19 aux États-Unis d’ici décembre 2021 [78]. Ces résultats inquiétants ont été davantage élucidés par Aarstad et Kvitastein, qui ont constaté que parmi 31 pays d’Europe, une plus forte couverture vaccinale contre la COVID-19 au sein de la population en 2021 était positivement corrélée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues au cours des neuf premiers mois de 2022 après contrôle des variables alternatives [79]. Depuis le lancement de la campagne mondiale de vaccination contre la COVID-19, une surmortalité non liée à la COVID-19 a été détectée dans de nombreux pays [80-85], suggérant une exposition indésirable fréquente au sein de la population mondiale. Pantazatos a estimé que les décès selon le VAERS sont sous-déclarés d’un facteur 20 [77]. Si l’on applique ce facteur de sous-déclaration au 5 mai ème En 2023, le rapport VAERS sur les décès liés au vaccin contre la COVID-19 s’élève à 35 324 [15], soit environ 706 480 décès aux États-Unis et dans les autres pays utilisant le VAERS. Si ce nombre de décès extrapolé était exact, cela impliquerait que les vaccins contre la COVID-19 contribuent à la surmortalité au sein des populations.
Plusieurs études ont analysé la relation de cause à effet entre les vaccins contre la COVID-19 et les décès. Maiese et al. [86] et Sessa et al. [87] ont utilisé les conclusions de leurs études incluses pour évaluer la relation de cause à effet entre la vaccination contre la COVID-19 et les décès. Dans ces études, ils ont constaté respectivement 14 et 15 décès avec un lien de cause à effet démontré avec la vaccination contre la COVID-19. Cependant, la méthodologie de collecte des conclusions utilisée dans ces études est défectueuse pour évaluer pleinement les liens de cause à effet à l’heure actuelle, en particulier avec les vaccins contre la COVID-19, car il s’agit de nouveaux produits médicaux et de nouvelles données de sécurité sont inévitables à mesure que le temps avance. Le délai moyen pour une évaluation appropriée de la sécurité et de l’efficacité d’un vaccin est d’environ 10,71 ans [88]. Par conséquent, la méthodologie de collecte des conclusions ne devrait être envisagée que pour les études publiées au moins quelques années après le développement du vaccin afin de conserver des conclusions valides. Français Par exemple, un article publié en 2021 indique que les vaccins AstraZeneca sont sûrs et n’ont aucun lien avec des événements indésirables graves, y compris la TTIV [89]. Cependant, après une période d’observation plus longue, d’autres chercheurs ont trouvé un lien entre les vaccins AstraZeneca et la TTIV mortelle [70, 90], ce qui a entraîné un retrait généralisé du marché [91]. Pomara et al. [37] ont utilisé les lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé sur les événements indésirables suivant la vaccination (EIPV) qui, selon nous, constituent une excellente méthode pour évaluer la causalité entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès. Dans cet article, les chercheurs ont conclu qu’il pourrait exister un lien de causalité entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès par TTIV. Malheureusement, nous n’avons pas pu utiliser correctement la méthodologie de l’OMS sur les EIPV et compléter la liste de contrôle requise pour nos cas inclus en raison du manque d’informations nécessaires sur les cas. Cette méthodologie nécessite des sujets décédés, des données détaillées et l’approbation du comité d’éthique de la recherche (IRB) et ne peut pas être utilisée dans une revue systématique. Tan et al. [92] ont utilisé des statistiques d’incidence pour analyser la relation entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès, et ont constaté une incidence plus élevée d’effets secondaires graves par rapport aux essais cliniques préalables à l’homologation. Cette méthode n’est pas applicable à notre étude car les rapports d’autopsie inclus ne présentent pas de statistiques d’incidence. Étant donné que les méthodologies susmentionnées se sont avérées incompatibles avec notre étude, nous avons décidé d’utiliser des procédures d’adjudication dirigées par des professionnels de la santé ayant une expertise pertinente pour déterminer les liens possibles entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une méthodologie d’adjudication indépendante a été utilisée par Hulscher et al. [93] pour évaluer les liens de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès, où ils ont trouvé un lien de causalité hautement probable entre la vaccination contre la COVID-19 et le décès par myocardite dans 28 cas d’autopsie.
Français De nombreuses études ont conclu que les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et efficaces [94-96]. Cependant, de nombreuses études ont démontré le contraire [97-102]. L’étude OpenSAFELY, qui a inclus plus d’un million d’adolescents et d’enfants, a démontré une efficacité extrêmement limitée et des dommages accrus liés à la vaccination contre la COVID-19. La myocardite et la péricardite n’ont été documentées que dans les groupes vaccinés contre la COVID-19 et non après l’infection par la COVID-19, et les accidents et les visites aux urgences, ainsi que les hospitalisations non planifiées étaient plus élevés après la première vaccination que dans les groupes non vaccinés [97]. De plus, Alessandria et al. ont constaté que les risques de décès toutes causes confondues étaient plus élevés chez les personnes vaccinées avec une et deux doses de vaccin contre la COVID-19 que chez les personnes non vaccinées et que les doses de rappel étaient inefficaces [98]. Ils ont également démontré une perte d’espérance de vie statistiquement significative chez les personnes vaccinées avec 2 ou 3/4 doses. Les sujets vaccinés avec 2 doses ont perdu 37 % de leur espérance de vie par rapport à la population non vaccinée pendant le suivi [98]. Français Les rapports publiés des essais randomisés contrôlés par placebo initiaux ont conclu que la vaccination contre la COVID-19 pourrait réduire considérablement la maladie ambulatoire de la COVID-19 [94, 95]. Cependant, Mead et al. ont souligné que les essais étaient de courte durée, empêchant l’observation d’événements indésirables potentiels après leur arrêt. Des inquiétudes post-autorisation concernant les méthodes et l’exécution des essais ont fait surface, notamment le non-respect des principes d’intention de traiter entraînant une surestimation de l’efficacité [99]. Des réanalyses ultérieures incluant des études de surveillance post-commercialisation ont indiqué des dommages importants liés à l’ARNm, comme le rapportent les documents de Pfizer révélant 1,6 million d’événements indésirables d’ici août 2022, décrivant des blessures graves et une incidence accrue de cancer [99]. À la lumière de l’émergence continue de données sur la sécurité et l’efficacité de la vaccination contre la COVID-19, des recherches supplémentaires sont essentielles. Notre étude apporte une contribution médico-légale significative à la compréhension du profil de sécurité de ces produits.
Notre étude présente toutes les limites des biais liés à la sélection des articles et à l’évaluation indépendante des cas. Trois évaluateurs indépendants ont évalué les informations relatives aux cas afin d’éviter toute influence des biais des investigateurs ou de leurs liens, le cas échéant, avec la vaccination contre la COVID-19. Les conclusions que nous avons tirées des résultats d’autopsie reposent sur l’évolution des connaissances sur les vaccins contre la COVID-19, qui diffère sensiblement de la date de publication des études référencées, rendant toute évaluation des biais pour ces études inapplicable. Nous avons inclus tous les cas, quel que soit le résultat de l’évaluation, dans les figures et les tableaux afin de synthétiser efficacement la littérature concernant toutes les études d’autopsie incluant les vaccins contre la COVID-19 comme exposition antérieure. L’omission des cas que nous avons jugés non liés à la vaccination dans nos tableaux et figures introduirait un biais de sélection important, car nous n’avons pas utilisé les conclusions des auteurs. Notre article présente toutes les limites des revues systématiques de rapports de cas déjà publiés, notamment un biais de sélection au niveau de l’orientation pour autopsie et de l’acceptation dans la littérature évaluée par les pairs. Nous pensons que les biais de publication pourraient avoir eu une influence importante sur nos résultats en raison de la campagne mondiale de vaccination de masse menée par les gouvernements, les sociétés médicales et les centres médicaux universitaires, ainsi que de la réticence des chercheurs à signaler les effets indésirables des nouveaux produits génétiques largement recommandés aux soignants et aux patients. Enfin, des variables confondantes, notamment les maladies concomitantes, les infections, les interactions médicamenteuses et d’autres facteurs non pris en compte, pourraient avoir joué un rôle dans le lien causal avec le décès.
En résumé, parmi l’ensemble des autopsies publiées réalisées après la vaccination contre la COVID-19 disponibles à ce jour, grâce à une revue contemporaine et indépendante, nous avons constaté que dans 73,9 % des cas, la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès. La cohérence observée entre les cas de cette revue et les effets indésirables graves liés aux vaccins contre la COVID-19 précédemment signalés, leurs mécanismes fatals connus, ainsi que notre décision indépendante, suggèrent qu’il existe une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Les implications de notre étude s’appliquent aux cas de décès imprévus sans antécédents médicaux chez les personnes vaccinées contre la COVID-19. Nous pouvons en déduire que, dans de tels cas, le décès pourrait avoir été causé par la vaccination contre la COVID-19. Des investigations supplémentaires sont nécessaires de toute urgence pour étayer nos résultats et mieux élucider les mécanismes physiopathologiques du décès afin de stratifier le risque et d’éviter le décès pour le grand nombre de personnes ayant reçu ou recevant un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 à l’avenir. Des autopsies doivent être pratiquées sur toutes les personnes décédées ayant reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19. Une surveillance clinique des personnes vaccinées contre la COVID-19 est indiquée pendant au moins un an après la vaccination afin de garantir l’absence d’effets indésirables graves pouvant entraîner le décès.
Remerciements
Contributions des auteurs
Nicolas Hulscher : Conceptualisation, Investigation, Curation de données, Analyse formelle, Méthodologie, Administration de projet, Visualisation, Rédaction – brouillon original, Rédaction – révision et édition, Validation. Peter A. McCullough : Conceptualisation, Investigation, Méthodologie, Administration de projet, Supervision, Visualisation, Rédaction – ébauche originale, Rédaction – révision et édition, Validation. Roger Hodkinson et William Makis : Rédaction – révision et édition, Validation, Investigation. Richard Amerling et Paul Alexander : Rédaction – révision et édition, Validation. Heather Gessling, Harvey A. Risch et Mark Trozzi : Supervision, Visualisation, Rédaction – ébauche originale, Rédaction – révision et édition.
Conflits d’intérêts : Les Drs Alexander, Amerling, Gessling, Hodkinson, Makis, McCullough et Risch sont affiliés à The Wellness Company, à Boca Raton (Floride), et perçoivent une rémunération ou détiennent des participations au capital de cette société. Ces personnes n’ont joué aucun rôle dans le financement, l’analyse ou la publication de ces travaux. Aucune déclaration n’est requise pour le Dr Trozzi et M. Hulscher.
Déclaration de consentement éclairé : Non applicable car il s’agit d’un article de synthèse contenant des recherches accessibles au public.
Financement : Aucun.
Déclaration de disponibilité des données : Toutes les données extraites et analysées des études incluses sont accessibles au public.
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Le Monde Diplomatique remet en question l’efficacité des confinements. Mieux vaut tard que jamais. Quant aux injections et leurs conséquences délétères, pourrons-nous lire bientôt un nouvel article à ce sujet dans leurs pages ? Pour mémoire : Covid, vaccins et science aux origines d’une défiance
« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984
Savez-vous ou vous rappelez-vous que pendant ou depuis l’état d’urgence…
la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070 ? https://www.insee.fr/frstatistiques/7670212
près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Elles s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi dénoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM
les pays où les confinements ont été les plus sévères sont aussi ceux où la mortalité a été la plus forte (refus de soin, isolement, promiscuité, manque d’oxygène, de soleil, stress…) outre la catastrophe économique et psychologiques pour les populations. https://www.monde-diplomatique.fr/2025/03/BOULAKIA/68102
“Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944
les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte. https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657
aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective et l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes
« Cette sorte de pouvoirs que donne l’état d’urgence, nés de la crise, obéit à une parfaite histoire d’oppression. » Edward Snowden, 10 avril 2020 entretien avec Shane Smith, Shelter in Place
Michèle Rivasi, normalienne, agrégée de biologie, députée européenne écologiste et la première à avoir dénoncé le mensonge sur Tchernobyl, est décédée fin 2023 en allant au parlement européen à Bruxelles, avait attaqué en justice Ursula Von der Leyen pour l’opacité de la signature des accords pour plusieurs milliards d’euros entre l’UE et Pfizer, firme pour laquelle travaillait son mari. Ses derniers combats portaient sur les vaccinations, la 5G, le glyphosate. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2023/11/29/l-eurodeputee-ecologiste-michele-rivasi-estmorte_6202958_3382.html
Ursula von der Leyen, présidente jamais élue d’une commission européenne elle-même jamais élue, après avoir négocié les contrats Pfizer a aussi signé le mercosur permettant d’empoisonner encore davantage les populations et ruiner les agriculteurs. https://fr.businessam.be/vonder-leyen-pfizer-bourla-vaccins-ocvid-sms/
Astrazeneca et Sanofi sont derrière le beyfortus, vaccin contre la bronchiolite du nourrisson à partir de 3 jours de vie, depuis 2023, responsable de nombreux accidents (https://neosante.eu/beyfortus-alerte-rouge/)
le serment d’Hippocrate déclare: Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.»; le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins. La convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas conditionner sa parole à un intérêt autre que celui des populations.
Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants : https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl
regarder le CV professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance.
suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien? comment ? Pourquoi ? Sur le court, le moyen et le long terme.
écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
se demander quelles sont les conséquences des mesures présentées comme sécuritaires et salutaires en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie.
couleur politique indifférente. Beaucoup ont changé de bord. Seuls comptent mots et actes.
Effets indésirables des vaccins covid :
Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, cancers et récidives foudroyantes de cancers avec métastases (dont de nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches… Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux
Après avoir travaillé dans l’enseignement (physiologie, biologie), Michel Georget (décédé en 2019) a concrétisé le projet qui lui tenait le plus à cœur : écrire un livre aussi exhaustif et objectif que possible sur un sujet très sensible qu’il maîtrise parfaitement : les vaccinations.
Screenshot
La qualité première de ce livre est de nous rendre lucides. L’auteur éclaire de façon incontestable certaines zones obscures de ce qui touche, en nous, l’essentiel : notre santé. Nous devrions tous lire cet ouvrage. À plus forte raison si nous avons des enfants. Mais aussi pour nous-mêmes, afin de pouvoir juger de l’opportunité de les accepter ou de les refuser et, pour les vaccinations obligatoires, obtenir la liberté totale de choix comme c’est le cas dans la plupart des pays européens. Table des matières : Chap. I : Quelques clefs pour comprendre la suite – Chap. II : Les vaccins et leur fabrication – Chap. III : À quels risques nous exposent les vaccinations? Chap. IV : Ces risques valent-ils d’être courus? – Chap. V : Le marché du vaccin, l’éthique et l’information – Chap. VI : Devons-nous réviser nos concepts ?
Des chercheurs italiens ont évalué l’impact de la vaccination contre le COVID dans une province italienne entre 2021 et 2023. L’espérance de vie des personnes vaccinées ayant reçu deux injections était diminuée de 37 %.
Une étude de cohorte conduite sur la population globale de la province de Pescara, en Italie (Flacco et al.)[1], a conclu en 2022 que la vaccination contre le COVID-19 n’avait pas entraîné de hausse de la mortalité chez les personnes vaccinées au cours des dix-huit mois qui ont suivi le déploiement des injections. Ces résultats ont été réévaluées en 2024 par des chercheurs (Alessandria et al.)[2] qui parviennent à des conclusions diamétralement opposées.
Biais de l’étude Pescara de 2022
La méthodogie de l’étude Pescara avait été critiquée en 2023 par le Comité scientifique de la fondation Allineare Sanità e Salute (Berrino et al.)[3], qui relevaient la présence de deux biais majeurs – le « biais de temps immortel » et l’effet vacciné sain[4] – conduisant à une surestimation de la mortalité chez les personnes non vaccinées et à une sous-évaluation des décès potentiellement povoqués par le vaccin dans la seconde cohorte.
L’estimation de la mortalité vaccinale dans l’étude Pescara contredit notamment les données publiques de santé anglaises, publiées mensuellement, qui démontrent que la mortalité n’a cessé d’augmenter chez les personnes vaccinées depuis 2021, le risque de décès étant proportionnel aux nombres de doses injectées (voir graphes ci-dessous commentés dans un précédent article) :
Les données mensuelles publiées dans le bulletin de l’ONS britannique montrent une augmentation progressive dans le temps du risque relatif de mortalité totale dans les groupes vaccinés par rapport aux groupes non vaccinés. Une telle augmentation pourrait également s’être produite à Pescara. Flacco et al. n’ayant pas pris en compte l’évolution des risques dans le temps, il est possible qu’ils ne l’aient pas remarquée. Le calcul des taux de mortalité moyens sur l’ensemble de la période de suivi peut en effet avoir masqué une telle tendance. Il serait souhaitable que les données d’entrée soient disponibles pour permettre une telle analyse.Berrino F, Donzelli A, Bellavite P, Malatesta G. COVID-19 vaccination and all-cause and non-COVID-19 mortality. A revaluation of a study carried out in an Italian Province. Epidemiol. Prev. 2023 Nov-Dec;47(6):374-8. https://doi.org/10.19191/ep23.6.a643.075.
Enfin, l’étude hollandaise de juin 2024[5] qui établit la persistance d’une surmortalité dans les pays occidentaux depuis la fin de la pandémie de COVID-19 contredit également l’optimisme de l’étude Pescara mais ne permet pas d’incriminer les vaccins en raison de sa méthodologie :
Un article récent a souligné la persistance d’excès importants de décès toutes causes confondues dans les années 2021 et 2022, à la suite du début de la pandémie, malgré les mesures de confinement et les programmes de vaccination. Cependant, sans distinguer les décès sur la base du statut de vaccination, il est impossible d’établir s’il existe un lien entre ces décès excessifs et les vaccinations massives contre le COVID-19.Alessandria M, Malatesta GM, Berrino F, Donzelli A. A critical analysis of all-cause deaths during COVID-19 vaccination in an Italian province. Microorganisms. 2024 Jun 30;12(7):1343. https://doi.org/10.3390/microorganisms12071343.
L’objectif de cette nouvelle étude était donc de réévaluer l’impact réel de la campagne de vaccination en termes de mortalité parmi la population de la province de Pescara (Italie), mais en éliminant le biais de temps immortel présent dans l’étude de 2022, qui utilise des périodes de suivi différentes entre personnes vaccinées et non vaccinées.
Réévaluation des données par la nouvelle étude italienne
Les auteurs ont repris les données de l’étude Pescara, actualisées en 2023 (Rosso et al.)[6].
La cohorte a été divisée en 4 groupes : non vaccinés, vaccinés une dose, deux doses ou trois/quatre doses. La période de vaccination couvrait le début de la campagne jusqu’au 31 décembre 2022. Le suivi de la mortalité a porté sur la période allant du 1er janvier 2021 et le 15 février 2023.
La période d’observation a duré 775 jours en fonction des dates de début et de fin spécifiques à chaque cohorte :
non vacciné : 258 jours ;
vacciné 1 dose : 61 jours ;
vacciné 2 doses : 247 jours ;
vacciné 3/4 doses : 400 jours.
Les auteurs ont suivi l’évolution de la mortalité pour chacun des quatre groupes. Pour chaque dose, ils ont comparé le risque de décès toutes causes entre personnes vaccinées vs non vaccinées, ainsi que le risque de décès spécifique aux personnes présentant une ou plusieurs comorbidités en fonction de leur statut vaccinal. Les comorbidités étudiées étaient l’hypertension, le diabète, le cancer, la BPCO, une maladie rénale, une infection COVID.
Les personnes vaccinées avaient un risque de décès global accru par rapport aux personnes non vaccinées quel que soit le nombre de doses, hormis pour les doses de rappel. Ce risque était beaucoup plus élevé que celui retrouvé dans l’étude Pescara : + 140 % vs 40 % après la dose 1, + 98 % vs + 36 % après la dose 2, – 1 % vs – 78 % après 3 doses ou plus.
Les personnes vaccinées présentant au moins une comobordité avaient un risque de décès accru par rapport aux personnes sans comorbidités avec le même schéma vaccinal, ce qui suggère que le vaccin n’est pas efficace 100 % contre les formes à graves, voire qu’il exacerbe les comorbidités chez les personnes à risque.
Impact de la vaccination sur l’espérance de vie
Les auteurs ont également évalué l’impact de la vaccination sur l’espérance de vie en fonction du nombre de doses reçues, au moyen de deux indicateurs :
la durée de survie moyenne restreinte (RMST, restricted mean survival time), qui correspond au délai écoulé entre l’injection ou le début de la période de suivi et le décès ;
la durée de survie moyenne restreinte perdue (RMTL, restricted mean time loss), qui représente les jours de vie perdus par rapport à la durée de la période de suivi.
La différence entre le RMTL des personnes vaccinées vs non vaccinées correspond au nombre de jours de vie perdus dans la population vaccinée. Le ratio entre ces deux RMTL correspond à l’espérance de vie perdue.
Résultat
Pour les personnes vaccinées à deux doses, la durée de survie était de 728,9 jours vs 731,6 jours pour les personnes non vaccinées sur la période de suivi de 739 jours, ce qui représente une différence d’espérance de vie (RMST) de 2,71 jours. La perte d’espérance de vie (RMTL) était de 739 – 728,9 = 10,1 jours pour les personnes vaccinées et de 739 – 731,6 = 7,4 jours pour les personnes non vaccinées, ce qui représente une perte égale à 1,37 fois celle des non-vaccinés.
Pour les personnes vaccinées à trois doses ou plus, le RMST était de 574,4 jours vs 573,7 jours sur la période de suivi de 579 jours, ce qui représente une perte d’espérance de vie de 0,764 jour pour les personnes vaccinées, équivalant à 1,17 fois celle des non-vaccinées.
Interprétation
Concernant le RMTL, cela signifie que les sujets vaccinés avec trois doses ou plus ont perdu 17 % d’espérance de vie par rapport à la population non vaccinée au cours de la période de suivi. Pour les personnes vaccinées à deux doses, la perte d’espérance de vie par rapport à une personne non vaccinée atteint 37 %.
Concernant le RMST, la différence entre l’espérance de vie des personnes vaccinées vs non-vaccinées n’est que de 2,71 jours à deux doses et 0,764 jour à trois doses ou plus, mais pour des périodes de suivi de 739 jours et 579 jours. Ces chiffres semblent anecdotiques, mais lorsqu’on les extrapole à l’espérance de vie de la population d’étude (82,6 ans), cela représente en réalité une différence d’espérance de vie d’environ 3,6 mois et 1,31 mois, voire de 4 mois si on se réfère à l’espérance de vie de 83,6 ans qui prévalait en 2019, avant la pandémie de COVID.
Conclusion des auteurs
Nous avons constaté que les risques de décès toutes causes confondues étaient encore plus élevés chez les personnes vaccinées avec une et deux doses par rapport aux personnes non vaccinées et que les doses de rappel étaient inefficaces. Nous avons également constaté une perte légère mais statistiquement significative de l’espérance de vie des personnes vaccinées avec 2 doses ou avec 3 ou 4 doses.
Sous-estimation des effets secondaires de la vaccination
Selon les auteurs, plusieurs biais subsistent qui pourraient conduire à une sous-estimation des effets indésirables des injections et de la létalité des doses de rappel.
L’effet de moisson (harvesting effect)
La vaccination a eu un impact significatif sur les décès toutes causes des personnes vaccinées avec 1 ou 2 doses mais pas sur celles ayant reçu 3 doses ou plus. En supposant que la vaccination a réduit les décès liés au COVID-19 – ce qui semble le cas puisque le taux de décès COVID est le plus élevé dans la population non vaccinée –, cette réduction a donc été contrebalancée par une augmentation des décès dus à d’autres causes, qui incluent les effets secondaires des injections.
Le biais de calendrier
Les rappels ont commencé en juillet 2021, lorsque la vague pandémique était terminée. A contrario, le suivi des personnes non vaccinées et des vaccinées à une dose a commencé en janvier 2021, lorsque le risque de décès COVID-19 et de décès toutes causes était significativement plus élevé, ce qui conduit à sous-estimer les décès toutes causes des personnes vaccinées avec trois doses ou plus.
Le biais de fenêtre de comptage de cas
Ce biais consiste à classer comme « non vaccinées » les personnes vaccinées durant les 14 jours suivant une injection. Il a été exploité dans tous les pays pour simuler une pandémie de non vaccinés, dont les fuites du RKI allemand ont démontré qu’elle n’avait jamais existé, et réduire artificiellement la part des décès touchant les personnes vaccinées pour susciter l’idée que le vaccin réduit la mortalité. Or une étude réalisée avec les données de l’essai clinique du vaccin Pfizer (Fung et al.)[7] a montré qu’un vaccin inefficace pouvait sembler efficace à 48 %, en raison de ce changement de 14 jours dans la prise en compte du statut vaccinal. Cette règle a été notamment utilisée par les CDC, l’Office national des statistiques anglais et l’Institut supérieur de la santé italien.
Le biais du vacciné sain
En 2021, en Italie, le public prioritaire de la vaccination a inclus des personnes réputées en bonne santé (professionnels de santé, policiers, militaires, enseignants…). Selon les auteurs, ce biais aujourd’hui largement documenté est extrêmement puissant, comme l’a démontré l’analyse[8],[9] d’une étude nationale sur la mortalité en fonction du statut vaccinal contre le COVID en République tchèque. Il a donc très probablement influencé les comportements vaccinaux dans cette cohorte, y compris celui des personnes fragiles à un stade avancé de leur maladie, pour qui la vaccination n’est souvent même pas envisagée (biais d’exclusion de la fragilité).
Conclusion
Cette étude confirme la tendance observée dans l’ensemble des pays où les gouvernements ont massivement injecté leur population avec des vaccins ARNm dont ils savaient qu’ils étaient susceptibles d’engendre un nombre inacceptable d’effets indésirables. Pour une raison qui reste à déterminer, ils ont choisi d’endosser ce risque juridique à la place des laboratoires en leur assurant une immunité totale en cas de blessures.
Cette étude en revanche la première, à notre connaissance, qui évalue l’impact de la vaccination en termes de perte d’espérance de vie. Selon les auteurs, il s’agit d’une simple extrapolation « faite dans le seul but de donner au lecteur une idée de l’ordre de grandeur du nombre de jours de vie perdus » qui ne prétend pas être une « prédiction réaliste, car elle présupposerait que les conditions de santé soient invariantes dans le temps, une hypothèse très difficile à réaliser ». Le poids de cette perte d’espérance de vie n’est en revanche pas quantifiable pour les parents qui ont perdu un enfant qui n’aurait jamais dû se faire vacciner contre le COVID-19.
Enfin, elle redonne de la visibilité à l’étude hollandaise publiée en juin dernier dans laquelle les auteurs s’étonnent que la surmortalité observée pendant la pandémie se soit aggravée depuis la campagne de vaccination et qu’elle ne se soit toujours pas résorbée à ce jour. L’étude a été rétractée en toute discrétion 11 jours après sa mise en ligne après avoir provoqué un véritable séisme dans la presse internationale. Est-on autorisé à se demander « pourquoi ? » et à s’interroger sur les raisons du silence indécent des médias français ?
Références
[1] Flacco ME, Acuti Martellucci C, Soldato G, Di Martino G, Carota R, De Benedictis M, et al. COVID-19 vaccination did not increase the risk of potentially related serious adverse events: 18-month cohort study in an Italian province. Vaccines. 2022 Dec 23;11(1):31. https://doi.org/10.3390/vaccines11010031.
[2] Alessandria M, Malatesta GM, Berrino F, Donzelli A. A critical analysis of all-cause deaths during COVID-19 vaccination in an Italian province. Microorganisms. 2024 Jun 30;12(7):1343. https://doi.org/10.3390/microorganisms12071343.
[3] Berrino F, Donzelli A, Bellavite P, Malatesta G. COVID-19 vaccination and all-cause and non-COVID-19 mortality. A revaluation of a study carried out in an Italian Province. Epidemiol. Prev. 2023 Nov-Dec;47(6):374-8. https://doi.org/10.19191/ep23.6.a643.075.
[4] Un biais de temps immortel se produit lorsque les participants à un essai clinique ne sont pas évalués sur la même période selon qu’ils appartiennent au groupe placebo qui reçoit un traitement ou au groupe placebo, en raison d’un décalage entre les dates de recrutements ou de durées de suivi différentes, en cas de décès par exemple. Ce biais est fréquent dans les études de cohorte.
Le biais dit « du patient en bonne santé » ou du « vacciné sain » décrit le fait que dans une étude observationnelle en évaluation, d’une vaccination par exemple, ces médicaments seront prioritairement administrés aux enfants en pleine santé. Les personnes fragiles ou malades seront alors reléguées dans le groupe contrôle etet la fréquence des effets secondaires sera artificiellement diminuée dans le groupe vacciné (voir le site de l’Amsib pour une explication plus détaillée).
[5] Mostert S, Hoogland M, Huibers M, Kaspers G. Excess mortality across countries in the Western World since the COVID-19 pandemic: ‘Our World in Data’ estimates of January 2020 to December 2022. BMJ Public Health 2024;2:e000282. https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000282.
[6] Rosso A, Flacco ME, Soldato G, Di Martino G, Acuti Martellucci C, Carota R, et al. COVID-19 vaccination effectiveness in the general population of an Italian province: two years of follow-up. Vaccines (Basel). 2023 Aug 4;11(8):1325. https://doi.org/10.3390/vaccines11081325.
[8] Furst T, Straka R, Janosek J. Healthy vaccinee effect: A bias not to be forgotten in observational studies on COVID-19 vaccine effectiveness. Pol Arch Intern Med. 2024 Feb 28;134(2):16634. https://doi.org/10.20452/pamw.16634.
[9] Fürst T, Bazalová A, Fryčák T, Janošek J. Does the healthy vaccinee bias rule them all? Association of COVID-19 vaccination status and all-cause mortality from an analysis of data from 2.2 million individual health records. Int J Infect Dis. 2024 May;142:106976. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2024.02.019.
L’affaire portée par le professeur Frajese devant la Cour de justice de l’Union européenne a connu une issue surprenante. Non pas parce que la demande de révocation de l’autorisation de mise sur le marché des vaccins, défendue par les avocats Olga Milanese (Umanità e Ragione) et Andrea Montanari (Eunomis), a été rejetée, mais en raison des décisions confirmées par l’arrêt.
En effet, selon la Cour, une prescription médicale était nécessaire pour administrer les vaccins anti-Covid. Mais il y a plus : les médecins auraient pu choisir de les administrer ou non et même les déconseiller, à tel point que l’éventuelle responsabilité civile et pénale des médecins est imputable au cas d’espèce. Les motivations de la Cour pourraient démanteler la base des procédures disciplinaires et pénales engagées contre les médecins qui se sont opposés aux vaccinations et attribuer une responsabilité sérieuse aux blouses blanches qui ont vacciné “sans si et sans mais”, favorisant ainsi le risque de provoquer des effets indésirables. Nous en avons parlé avec l’avocate Olga Milanese.
Madame l’avocate, la Cour a déclaré le professeur Frajese inintéressé à introduire un recours devant la Cour européenne pour faire annuler les autorisations de mise sur le marché des vaccins Covid. Pouvez-vous nous expliquer brièvement les motifs de cet arrêt ?
“Je dois d’abord dire que nous savions parfaitement qu’il était peu probable que la Cour nous permette de surmonter l’obstacle de la recevabilité du recours, mais nous avons décidé d’essayer quand même, à la fois parce que nos arguments étaient très solides et parce qu’une fois que le délai de recours contre les autorisations de mise sur le marché aurait expiré, il ne serait plus possible d’emprunter la voie de l’annulation. Les recours devant le Tribunal de l’UE sont soumis à des filtres très stricts. Pour contester un acte de la Commission européenne, il faut démontrer l’existence d’un intérêt juridique qualifié, d’une position particulière qui justifie l’intérêt de demander son annulation”.
Signification ?
“En d’autres termes, il faut démontrer que l’annulation de l’acte est susceptible de produire des conséquences juridiques pour la personne qui agit, que l’issue positive de l’affaire est susceptible de procurer un avantage à la partie qui introduit le recours. C’est pourquoi, à notre avis, le recours en annulation des actes autorisant la mise sur le marché des vaccins Covid-19 ne pouvait être introduit que par un médecin. En effet, l’acte médical de vaccination est une conséquence directe des autorisations litigieuses ; l’objet même des actes d’autorisation est de permettre l’utilisation des produits autorisés sur le territoire de l’Union européenne, dans le respect des prescriptions qui y figurent et donc, en l’espèce, l’administration du médicament. À tel point que les annexes mêmes des décisions d’exécution exigent, pour l’administration du produit autorisé, une prescription médicale, qui est précisément une activité confiée aux seuls médecins vaccinateurs.
Afin de convaincre le Tribunal de ne pas s’arrêter au filtre de la recevabilité et d’analyser le bien-fondé des questions posées, nous avons souligné que les décisions attaquées de la Commission, et donc la commercialisation des vaccins Covid, impliquent l’obligation pour tous les médecins vaccinateurs de devoir considérer les risques et les bénéfices du médicament, dans l’exercice de leurs fonctions spécifiques, évaluation qu’ils ne seraient en revanche pas tenus de faire en cas d’annulation des actes d’autorisation et de retrait consécutif du produit du marché. D’où l’intérêt pour le professeur Frajese de porter l’affaire devant le Tribunal de l’UE en raison des implications directes des décisions attaquées sur les activités des médecins et leurs choix professionnels.
Nous avons également rappelé à la Cour le grand problème de l’absence d’instruments capables d’inciter les organismes de réglementation à effectuer une vérification effective et non formelle de la sécurité des produits que le médecin est appelé à évaluer et à administrer, et le problème tout aussi énorme de l’absence de recours juridictionnels, à l’exception de celui que nous avons choisi, qui peuvent être activés pour contester et/ou remettre en cause les actes autorisant la commercialisation des médicaments de la classe Covid-19.
La Cour n’a pas voulu reconnaître l’existence d’un intérêt spécifique du corps médical à demander l’annulation des actes autorisant la commercialisation des médicaments, arguant que les seules personnes habilitées à introduire un tel recours sont les destinataires des actes eux-mêmes, c’est-à-dire les sociétés pharmaceutiques, qui n’introduiraient évidemment jamais un tel recours.
Il va sans dire que cela revient à affirmer l’inopposabilité substantielle des décisions de la Commission européenne dans un secteur très important, celui de la santé, qui est par ailleurs exposé à d’énormes conflits d’intérêts, puisqu’il s’agit de décisions permettant la mise sur le marché de produits destinés à la prévention ou au traitement des personnes. Tout cela en l’absence non seulement d’un contrôle tiers et impartial sur la sécurité du produit, mais d’un contrôle quelconque, ce qui peut être démontré”.
Malgré l’issue défavorable de l’arrêt, la Cour a déclaré que les vaccins anti-Covid devaient être administrés sur ordonnance, sous réserve de la liberté du médecin de les déconseiller. N’y voyez-vous pas là un échec retentissant de la part de la Cour ?
“En fait, nous avions espéré que notre reconstitution en temps utile des motifs de l’intérêt à agir de la requérante nécessiterait une analyse du bien-fondé des questions que nous avions soulevées, et c’est ce qui s’est passé.
Il n’y avait que deux possibilités : soit confirmer l’incapacité du médecin à évaluer les vaccins Covid, en choisissant de les administrer ou non et à quel moment (ce qui aurait dû conduire à la reconnaissance de son intérêt spécifique et personnel à demander l’annulation des mesures de commercialisation), soit déclarer sa liberté d’évaluation et de choix afin de nier son intérêt à porter l’affaire devant la Cour européenne.
Dans les deux cas, nous aurions obtenu un arrêt important, et c’est ce que nous avons fait. Certes, nous espérions un examen du bien-fondé de notre demande d’annulation des autorisations (avec pour conséquence le retrait du marché des produits en cause), compte tenu également de l’immense travail accompli pour démontrer l’absence des conditions préalables à l’octroi des autorisations en collectant, traduisant, numérotant et collationnant toutes les études scientifiques attestant de l’absence de sécurité de ces produits, mais le résultat “secondaire” obtenu n’est en rien insignifiant”.
Pourquoi, de votre point de vue, était-il si important d’attirer l’attention sur la commercialisation des produits anti-Covid ?
“Je crois que les documents officiels montrent clairement que le processus d’autorisation a été mené en violation non seulement de la réglementation européenne, mais aussi des règles les plus banales de prudence, de précaution et de bon sens.
J’en ai également longuement discuté avec le professeur Marco Cosentino (médecin, professeur de pharmacologie à la faculté de médecine de l’université d’Insubrie, où il dirige le Centre de recherche en pharmacologie médicale, ndlr) dans certaines de nos interventions précédentes. Cependant, le sujet est tellement technique qu’il est difficile à comprendre par les professionnels eux-mêmes, alors imaginez la difficulté de le rendre intelligible dans les salles d’audience ou pour les gens ordinaires. Et pourtant, elle est fondamentale, car si nous pouvions comprendre que la législation communautaire, avant même la législation nationale, théoriquement placée à la présidence du processus de vérification et d’autorisation de mise sur le marché des médicaments n’est pas respectée et n’offre donc aucune garantie de contrôle, alors la justice commencerait elle aussi à avancer avec plus de courage dans la seule direction possible”.
Quels seront les effets possibles de l’arrêt ?
La Cour a dû confirmer, même brièvement, que les décisions d’autorisation de mise sur le marché prises par la Commission “n’entraînent aucune obligation pour les médecins de prescrire et d’administrer ces vaccins à leurs patients”. Elle a réaffirmé le principe fondamental du droit à la liberté de traitement et au choix du traitement le plus approprié, le plus sûr et le plus efficace par le médecin, en conscience, dans le cas concret et dans l’intérêt exclusif de la santé de son patient. Ce passage est extraordinairement important parce qu’il démonte définitivement les accusations qui ont été portées en Italie, tant devant les tribunaux que dans le cadre de procédures disciplinaires, contre tous les médecins qui ont déconseillé à leurs patients la vaccination Covid ou qui ont refusé de la promouvoir, en restituant au médecin sa pleine liberté de soins.
En outre, elle confirme qu’il existe une responsabilité spécifique des médecins vaccinateurs et des ASL qui ont administré le médicament sans en évaluer correctement l’opportunité, les risques et la sécurité dans le cas spécifique du patient traité. Plus généralement, la Cour précise que “si la délivrance d’une AMM pour un vaccin est une condition préalable au droit de son titulaire de mettre ce vaccin sur le marché dans chaque État membre, cette AMM n’entraîne en principe aucune obligation à la charge des patients ou des médecins vaccinateurs”, mais surtout elle confirme qu’”il ressort des annexes des décisions attaquées qu’une prescription médicale est nécessaire pour l’administration des vaccins en cause”.
C’est ce que nous avons toujours affirmé dans les recours en faveur des travailleurs suspendus, qui avaient refusé de se faire vacciner également en raison de l’absence d’une prescription médicale spécifique, alors que dans de nombreux cas ils en avaient eux-mêmes fait la demande auprès de leur médecin traitant. La prescription n’a jamais été délivrée pour aucune des millions de doses administrées aux Italiens, rendant toutes ces administrations contra legem (ndlr contre la loi – exemption valable pour ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner), avec ce qui s’ensuit sur le plan juridique de l’illégitimité des dispositions réglementaires imposant l’obligation et de l’illégitimité de “l’acte médical” de l’administration spécifique”.
Parlons du “bouclier pénal” pour les médecins. Quelles responsabilités pourraient être attribuées aux médecins vaccinateurs ?
“Les arrêts de la Cour peuvent influencer les procédures civiles et pénales pour la réparation des dommages (biologiques, moraux et financiers) causés aux personnes soumises à de tels traitements médicamenteux, ayant été administrés – pour la responsabilité pour faute professionnelle supportée par les ASL et les médecins vaccinateurs (du vaccin HUB ou MMG) – “en violation de la loi” pour l’absence de prescription médicale préalable (prescription limitative répétable, cd RRL). Pour expliquer en termes compréhensibles pour ceux qui ne sont pas dans l’industrie, le bouclier pénal ne fonctionne que si le traitement médical est administré conformément aux indications fournies par les actes d’autorisation qui, dans ce cas, ont été ignorés et pas seulement pour le manque d’évaluation médicale attentive et adéquate de chaque patient hésitant dans l’acte formel de la prescription. Le moment et le nombre de doses administrées n’étaient très souvent pas conformes aux indications en vigueur au moment des différentes administrations et cela empêche le fonctionnement du bouclier pénal”.
Après l’arrêt de la Cour, l’ensemble de la campagne de vaccination anti-Covid peut-il être remis en cause, y compris par le biais de la commission d’enquête ?
“Je pense que la commission d’enquête dispose déjà de nombreux éléments pour remettre en question l’ensemble de la campagne de vaccination et j’espère sincèrement qu’une table de discussion sérieuse sera ouverte à ce sujet. Il ne fait aucun doute que le contenu de l’arrêt est utile, tout comme l’analyse effectuée dans notre recours avec les nombreux documents qui l’accompagnent, documents que nous ne manquerons pas de transmettre à la Commission”.
Les arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne s’imposent également aux juges nationaux auxquels la même question est soumise : quelles sont les perspectives pour les affaires encore pendantes, y compris celles impliquant des médecins suspendus et/ou radiés pendant la période Covid ?
“Comme indiqué plus haut, les principes affirmés dans cet arrêt ne peuvent être ignorés par les juridictions nationales, mais il est important qu’ils soient rappelés de manière correcte et pertinente. Cela dépendra de la manière dont les appels dans les arrêts seront formulés, et des motifs et arguments avancés pour soutenir l’illégalité des mesures prises. Sans aucun doute, il sera crucial d’avoir soulevé la question de la violation du droit communautaire et d’avoir ainsi mis en évidence le conflit entre la législation nationale et la législation européenne. La CJUE a rappelé dans plusieurs passages de l’arrêt qu’il appartenait aux médecins d’apprécier dans le cas concret l’opportunité d’administrer les vaccins Covid-19, en confirmant la nécessité d’une prescription à cet effet, de sorte que la règle nationale contraire à ces principes et, avant même, aux protocoles d’administration contenus dans les actes d’autorisation, rencontre la limite de l’inapplicabilité en tant qu’illégale”.
La Fnomceo a affirmé à plusieurs reprises, même avant l’ère Covid, qu’un médecin a le devoir de promouvoir activement les campagnes de vaccination et qu’il ne peut pas, sous peine de violer le code de déontologie, “déconseiller” les vaccins, quels qu’ils soient. Pourrait-il changer de position aujourd’hui ?
“Oui, il devrait ! Et il devrait revenir sur ses décisions antérieures en assumant la responsabilité de la “politique” qu’il a voulu adopter et en réparant les dommages causés aux nombreux médecins injustement harcelés par des dispositions absurdes qui sont clairement en contradiction avec les indications thérapeutiques des actes d’autorisation communautaire, avec le principe de précaution et avec le serment d’Hippocrate”.
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