Le chef du service d’oncologie de la Pitié Salpêtrière a publiquement réfuté il y a quelques jours la possibilité d’un lien entre l’explosion planétaire des cancers depuis la campagne d’immunisation contre le COVID et les multiples rappels vaccinaux. Or la déclaration des revenus qu’il admet avoir perçus de l’industrie pharmaceutique révèle un lien d’intérêt majeur avec le laboratoire Pfizer, qu’il a omis de déclarer lors de cette interview, comme la loi l’y oblige.
Fin septembre, sur l’antenne d’Europe 1, la journaliste Christine Kelly a interviewé le Pr Jean-Philippe Sano, chef du service d’oncologie médicale de la Pitié Salpêtrière, pour tenter de comprendre les causes de l’explosion des cancers dans le monde, en particulier en France et chez les jeunes ou les très jeunes adultes. Ce fait totalement inédit, incompatible avec la durée d’incubation traditionnelle des cancers semble être apparu il y a quelques mois. Le Pr Kayat, fondateur de l’Institut national du cancer, l’a relaté à plusieurs occasions dans les médias. Il évoquait il y a quelques mois une « augmentation foudroyante » de l’incidence du cancer du pancréas et de celui du poumon, notamment chez les femmes non fumeuses :
L’explication résiderait selon le Pr Sano dans les facteurs environnementaux traditionnels, soit les virus, le tabac et l’alcool, dont il a néanmoins convenu que la consommation était en baisse. Il évoque également la pollution, l’alimentation ou l’augmentation de l’espérance de vie en soulignant que les cancers sont une pathologie liée à l’avancée en âge. Interrogé sur la possibilité d’un lien avec les injections à ARN messager anti-COVID, il a exclu catégoriquement une telle hypothèse :
– Je vais vous poser la question qui tue, Jean-Philippe Spano, ne m’en voulez pas, mais on voit sur les réseaux sociaux beaucoup de personnes se disent que c’est à cause du vaccin, que cette recrudescence des cancers…
– Non.
– ous dites « non » alors que je n’ai même pas fini de poser ma question… […] dites-nous, là, devant les auditeurs d’Europe 1 qui sont en train de se demander « est-ce qu’il n’y a aussi, pas que, mais aussi un lien avec les effets secondaires du vaccin ? »
– Vous voulez parler de quel vaccin ?
– Le vaccin contre le COVID bien sûr.
– Non, non. Aujourd’hui, aucun lien n’est établi. Les seuls liens qui soient établis, ce sont ceux dont je viens de vous parler.
Plus récemment, nous avons analysé deux études d’incidence, italienne et sud-coréenne (la dernière date d’il y a quelques jours), qui rapportent une augmentation statistiquement significative des taux de cancer (30 à 125 %) chez les personnes ayant reçu le vaccin contre le COVID-19 par rapport aux personnes non vaccinées. Une nouvelle publication émanant de chercheurs japonais, dans laquelle ils expliquent avoir retrouvé de la protéine Spike exprimée dans les métastases d’un cancer du sein apparu après l’administration de la sixième dose du vaccin COVID de Pfizer, confirme aujourd’hui les inquiétudes des scientifiques.
Enfin, une dizaine d’équipes de chercheurs ont confirmé que les injections Pfizer et Moderna étaient massivement contaminées par de l’ADN résiduel, compétent pour son intégration dans le génome et donc pour le déclenchement d’un cancer, les injections Pfizer contenant par ailleurs du matériel génétique non déclaré issu d’un virus de singe oncogène (SV40). Celui-ci ayant déjà été retrouvé dans des biopsies de tumeurs de patients vaccinés, l’hypothèse d’une intégration génomique du vaccin ne peut plus décemment être écartée par les oncologues.
Ce qu’affirme le professeur Sano
La réponse du Pr Sano est donc profondément malhonnête sur le fond, mais également sur la forme :
il réfute la possibilité d’un lien, et donc d’un risque potentiellement majeur pour les personnes présentant des antécédents personnels ou familiaux de cancer, en affirmant qu’il n’existe à ce jour aucune preuve d’un tel lien. Il surfe ainsi à nouveau sur le mensonge que le corps scientifique, médical et politique a exploité durant la campagne de vaccination contre le COVID, selon lequel un médicament devrait être considéré comme sûr tant que son implication dans un événement indésirable n’est pas formellement établie. Or la règle d’or de la pharmacovigilance est que la responsabilité d’un médicament ne peut être exclue que si une cause alternative est identifiée, ce qui, selon les propres mots du Pr Sano, n’est pas le cas pour les cancers apparus récemment ;
il omet de préciser que les laboratoires n’ont produit aucune étude de cancérogénicité ni en amont ni en aval, bien qu’ils mentionnent dans leurs documents officiels le risque de cancer inhérent à leur plateforme vaccinale. Ainsi, il n’existe à ce jour aucune étude démontrant par quels mécanismes les injections anti-COVID ne peuvent pas induire de cancer. L’argument brandi par le corps médiatico-politique au début de la campagne de vaccination, où le risque de cancer a été soulevé avant les premières injections, a au contraire été battu en brèche puisqu’on sait aujourd’hui que le risque d’intégration du matériel génétique vaccinal dans le génome est non seulement réel, mais majeur ;
enfin, le Pr Sano a manqué à ses obligations déontologiques en omettant de déclarer ses liens d’intérêts avec le monde pharmaceutique. La consultation de la base Transparence.sante.gouv recense 291 déclarations depuis 2013 pour un montant de 216 692 €, dont 38 concernant le laboratoire Pfizer (33 568 € depuis juillet 2020), 11 concernant le laboratoire Astra Zeneca (8 739 € depuis février 2020) et 39, le laboratoire Gilead (42 869 €, essentiellement depuis février 2020), qui produit le Remdevisir.
Ce qu’il a omis de préciser lors de son interview
Ces sommes peuvent paraître dérisoires, mais la profondeur d’un lien d’intérêt n’a aucun rapport avec le montant déclaré par son bénéficiaire. En revanche, le fait de produire une image aussi distordue de l’état des connaissances scientifiques entourant la sécurité des injections anti-COVID ne peut pas s’expliquer autrement que par l’existence d’un conflit d’intérêts majeur.
Précisons également que le Pr Sano a été choisi en mars 2020 par Emmanuel Macron pour rejoindre le Comité analyse, recherche et expertise (CARE) COVID-19 chargé de fournir un éclairage scientifique à Olivier Véran sur les essais de nouveaux traitements et les pistes vers un futur vaccin. Si le lien entre les injections anti-COVID et l’augmentation de la hausse de l’incidence des cancers est prouvée, sa responsabilité sera donc immense puisqu’il ne peut ignorer en tant qu’oncologue que les cancers sont un effet indésirable des produits géniques auxquels sont assimilables ces injections. A-t-il alerté sur l’absence d’étude de cancérogénicité ? A-t-il encouragé le gouvernement à faire le choix du Remdevisir et du Paxlovid pour lutter contre les formes graves du COVID ? Ses liens d’intérêts ont-ils été divulgués durant la pandémie ? Sont-ils connus des revues dans lesquelles il officie comme expert ou comme rédacteur en chef ?
Pour ceux qui souhaitent savoir à quoi ressemble un scientifique honnête, nous proposons le visionnage de l’une des dernières interviews du Dr Kevin McKernan, expert mondial en génomique formé au MIT qui fut le premier à établir la contamination des injections Pfizer et Moderna. Il estime aujourd’hui que « Nous assistons potentiellement à la plus grande exposition cancérigène de l’histoire de l’humanité » et rappelle que la formule des injections Pfizer qui ont été administrées à la population n’est pas celle qui a été homologuée.
Personne n’est dupe, à commencer par Christine Kelly, qui confiait il y a quelques mois que la seule question qu’elle n’avait pu aborder librement dans sa carrière professionnelle était celle des vaccins anti-COVID. Nous savons désormais pourquoi.
Une publication de jeudi dans The Lancet intitulée « La Commission EAT-Lancet sur des systèmes alimentaires sains, durables et justes » présente ce que les auteurs appellent une « grande transformation alimentaire » — un programme mondial coordonné visant à repenser l’agriculture, les habitudes alimentaires et les finances afin que l’approvisionnement alimentaire de chaque nation s’inscrive dans des « limites planétaires » quantifiées.
Cette prise de contrôle du système alimentaire survient alors que le même réseau d’agences gouvernementales et de projets financés par Gates est déjà en train de réorganiser le code génétique des cultures elles-mêmes, transformant des virus végétaux destructeurs en plateformes d’ADN auto-réplicatives, illustrant comment la poussée vers une agriculture « durable » et « intelligente face au climat » est aussi une tentative de centraliser le contrôle à la fois sur les semences dans le sol et sur la nourriture dans nos assiettes.
Le nouveau rapport de 80 pages de la Commission lie son plan à l’Accord de Paris sur le « changement climatique », aux Objectifs de développement durable des Nations Unies et à la Convention sur la diversité biologique.
Il suggère :
restrictions mondiales sur la consommation de viande rouge,
une redistribution annuelle de 200 à 500 milliards de dollars américains en subventions agricoles,
et un suivi continu des systèmes alimentaires nationaux dans le cadre d’« objectifs fondés sur la science avec des mécanismes de suivi et de responsabilisation ».
Les bailleurs de fonds déclarés du document comprennent la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, le Wellcome Trust, la Fondation IKEA et la Fondation Children’s Investment Fund, dont les subventions ont financé le travail par l’intermédiaire de la Fondation EAT à Oslo.
La publication du Lancet soutient que le contrôle des systèmes alimentaires est essentiel pour contrôler chaque secteur majeur, en reliant l’alimentation, le climat, l’économie et la gouvernance dans un cadre mondial unifié.
« Les systèmes alimentaires se situent à l’intersection de la santé, de l’environnement, du climat et de la justice. Leur transformation est fondamentale pour répondre aux crises liées au climat, à la biodiversité, à la santé et à la justice. La centralité des systèmes alimentaires souligne l’interdépendance de ces crises, plutôt que de les considérer isolément, soulignant ainsi la nécessité de positionner la transformation des systèmes alimentaires comme un intégrateur global des sphères économique, de gouvernance et politique », indique le document.
La Commission appelle explicitement à des « coalitions intersectorielles » pour mettre en œuvre son cadre totalitaire dans le monde entier.
Les auteurs affirment que « des niveaux d’action sans précédent sont nécessaires pour changer les habitudes alimentaires ».
L’implication est claire : en redéfinissant l’alimentation comme un levier essentiel pour résoudre les crises mondiales, la Commission positionne les agences internationales et les fondations privées pour influencer ou orienter directement les politiques nationales bien au-delà de l’agriculture.
En pratique, cette vision dystopique transforme la politique alimentaire en un mécanisme de gouvernance mondiale, où des institutions non élues, sous la bannière de la durabilité, dictent unilatéralement la manière dont les nations cultivent, commercent et mangent.
Cela ressemble moins à un cadre nutritionnel qu’au plan d’un système totalitaire et hiérarchique de contrôle des besoins humains les plus fondamentaux.
Qui le finance et le fait avancer
Selon le Forum EAT lui-même et la divulgation du financement dans le Lancet, la Commission a reçu le soutien financier de plusieurs grandes fondations dites philanthropiques et institutions partenaires.
Le document précise qu’il a été « soutenu par le Wellcome Trust, la Fondation Rockefeller, la Fondation IKEA et la Children’s Investment Fund Foundation (CIFF) ».
Ces organisations ont fourni le financement qui a permis à la Commission EAT-Lancet de mener sa recherche pluriannuelle et de publier la mise à jour en octobre 2025.
Ensemble, ces fondations gèrent la Fondation EAT, basée à Oslo, qui coordonne les partenariats entre les agences des Nations Unies, les universitaires et les organisations privées pour faire avancer ce que la Commission appelle un « ensemble d’actions » visant à transformer la production et la consommation alimentaires mondiales.
Le « régime santé planétaire » : restrictions strictes sur les produits animaux
Le régime alimentaire de référence de la Commission stipule :
Bœuf, porc ou agneau 15 g par jour (≈ une portion par semaine)
Volaille 30 g par jour (≈ deux portions par semaine)
Lait ou équivalent 250 g par jour (≈ une tasse).
L’introduction mondiale de ces valeurs signifierait un déclin à grande échelle des secteurs de l’élevage et un glissement universel vers une production à base de plantes.
Réalignement financier à grande échelle
« Des ressources financières importantes, estimées entre 200 et 500 milliards de dollars par an, sont nécessaires pour soutenir la transformation… Les investissements existants peuvent être réorientés en alignant les incitations sur les objectifs », indique le document.
Le plan présente ces sommes comme essentielles pour repenser les chaînes d’approvisionnement et réorienter les subventions, et prévoit « environ 5 000 milliards de dollars par an » de bénéfices à long terme.
Une telle restructuration financière globale forcerait des nations entières à adhérer à un régime alimentaire à base de plantes.
Cela pénaliserait effectivement les agriculteurs, entraînerait l’effondrement de l’industrie de l’élevage et favoriserait des régimes alimentaires déficients sur le plan nutritionnel qui priveraient des milliards de personnes de protéines animales essentielles, de graisses, de vitamines B12 et D, de fer hémique et d’acides aminés essentiels – nutriments nécessaires aux systèmes immunitaire, endocrinien et neurologique.
Comptabilité des limites planétaires et surveillance mondiale
« Pour la première fois, nous quantifions la contribution du système alimentaire mondial aux neuf limites planétaires… Des mécanismes doivent être mis en place pour protéger l’élaboration des politiques de l’influence indue des entreprises, et la société civile et les mouvements sociaux ont un rôle important à jouer dans la promotion de la transparence et de la surveillance. »
Les « limites du système alimentaire » de la Commission attribueraient à chaque pays une part numérique de l’utilisation des terres, de l’eau, des nutriments et des émissions – des données qui seraient comparées à un registre mondial.
La justice comme norme opérationnelle
« Près de la moitié de la population mondiale se situe en dessous de ces bases sociales… Seulement 1 % de la population mondiale se situe dans une fourchette sûre et équitable. »
Les gouvernements sont appelés à « s’attaquer aux inégalités dans la répartition des avantages et des charges des systèmes alimentaires actuels ».
Lier la conformité aux mesures de justice sociale transforme efficacement la politique nutritionnelle et diététique en un outil de contrôle qui mesure l’équité ainsi que la nutrition.
En intégrant la production et la consommation alimentaires dans la rhétorique de la justice climatique, la Commission transforme la théologie du changement climatique, aujourd’hui discréditée, en un gourdin moral – un outil utilisé pour justifier la restructuration économique mondiale et consolider le contrôle sur ce que les gens sont autorisés à manger.
Même une conformité totale ne suffit pas
« Même avec ces transformations ambitieuses… le monde parvient à peine à retrouver un espace sûr pour l’utilisation de l’eau douce et le climat et continue de dépasser la limite biogéochimique pour l’azote et le phosphore. »
Bien qu’ils reconnaissent cette limitation, les auteurs appellent à des « niveaux d’action sans précédent ».
Conclusion
La Commission EAT-Lancet présente bien plus que de simples recommandations nutritionnelles.
Il propose un cadre mondial unifié pour repenser l’agriculture, la finance et l’alimentation autour de règles « planétaires » quantifiées.
Leurs soutiens – les fondations Rockefeller, Wellcome, IKEA et CIFF, ainsi que les programmes financés par Gates – fournissent l’argent et la portée institutionnelle nécessaires pour faire avancer ce projet par le biais des canaux de l’ONU.
Selon la Commission, cette transformation impliquerait des objectifs nutritionnels mondiaux, une réorientation des flux financiers d’un demi-billion de dollars et une surveillance continue des systèmes alimentaires nationaux.
Son objectif est de normaliser ce que l’humanité mange, comment elle cultive et comment cette conformité est mesurée.
Le timing n’est pas une coïncidence.
L’agenda des systèmes alimentaires émerge au moment même où les agences fédérales et les laboratoires financés par Gates réécrivent le code génétique des cultures en utilisant des plateformes virales auto-réplicatives – preuve que la même idéologie qui sous-tend la politique alimentaire « intelligente face au climat » s’infiltre désormais dans l’ADN de l’approvisionnement alimentaire, consolidant le contrôle de la graine à la fourchette.
Republication de l’article de Senta Depuydt diffusé dans le magazine Nexus No. 121 de mars – avril 2019
En Italie, le mouvement citoyen Corvelva s’est associé à des scientifiques pour analyser la qualité des vaccins en testant différents produits sur le marché. Ils souhaitaient vérifier l’éventuelle présence de polluants et contaminants, mais les premiers résultats les ont tout simplement stupéfiés.
C’est à la suite des travaux de la commission d’enquête parlementaire «Uranium» que le projet d’analyse des vaccins est né. Plusieurs chercheurs avaient en effet participé à cette commission, dont l’objectif était d’enquêter sur la raison d’un nombre élevé de décès et de maladies graves, principalement des cancers, survenus chez des militaires ayant été affectés à des missions à l’étranger.
Un chapitre embarrassant
Au départ, les recherches avaient surtout porté sur le rôle de l’uranium appauvri utilisé dans certaines armes de guerre. Mais, au cours de l’enquête, l’on s’était rapidement aperçu que de nombreux cas concernaient des militaires n’ayant pas quitté le sol italien ou n’ayant pas été impliqués dans des opérations sur le terrain. Ceux-ci avaient par contre été préparés à partir, notamment par l’injection rapprochée de nombreux vaccins ou rappels. Une enquête approfondie sur ces cas avait abouti à la rédaction d’un chapitre sur la sécurité des vaccins administrés aux militaires dans le fameux rapport Uranium.
Des lacunes impensables
Publié après quatorze ans d’enquête, ce rapport accablant avait été remis au Parlement italien en février 2018, à la veille des élections italiennes. Dans le chapitre relatif à la vaccination, les membres de la commission avaient attiré l’attention sur de nombreux problèmes et procédé à des recommandations. En premier lieu, ils avaient mis en cause l’administration de vaccins combinés, par exemple celle d’un vaccin penta- ou hexavalent (c’est-à-dire contre cinq ou six maladies) et celle de plusieurs injections en une seule visite.
Les calendriers vaccinaux recommandent parfois des vaccinations concomitantes, tant dans le schéma normal que pour les rattrapages ou la préparation aux voyages. Par exemple, chez les nourrissons, le vaccin contre les pneumocoques (Prevenar 13) doit être administré en même temps que les hexavalents (Infanrix ou Hexyon), bien que la notice de Prevenar 13 signale une augmentation d’effets secondaires comme une fièvre élevée ou des convulsions lorsque ces vaccins sont combinés. Les experts s’étonnaient des lacunes dans la littérature scientifique à propos des vaccins multiples et avaient finalement conclu qu’il valait mieux ne pas vacciner contre plus de cinq maladies en même temps.
Par ailleurs, ils se sont aussi penchés sur tout ce qui était susceptible, dans la composition des vaccins, d’entraîner des effets secondaires graves sur le système immunitaire, par exemple l’accumulation de toxiques liés aux adjuvants et conservateurs. Enfin, ils en étaient venus à s’interroger sur la qualité et la conformité des produits injectés, notamment sur la présence d’éventuels contaminants.
Première pollution: les nanoparticules
En 2006, la chercheuse Antonietta Gatti, responsable du laboratoire des biomatériaux du département des Neurosciences à l’université de Modène, avait été chargée par la commission d’enquête d’examiner la question de l’uranium appauvri, qui aurait affecté les militaires lors de conflits armés. Gatti avait identifié le rôle que des nanoparticules pouvaient avoir dans différentes pathologies organiques et mis en évidence le fait que le problème n’était pas uniquement dû aux propriétés toxiques de l’élément observé (l’uranium, par exemple). Le problème résidait surtout dans le fait que des particules solides de taille nanométrique pouvaient pénétrer à l’intérieur du noyau cellulaire et affecter n’importe quel tissu ou organe. L’existence de ces nanoparticules, principalement sous forme de pollutions aériennes, avait attiré l’attention de la communauté scientifique et Gatti avait dirigé deux projets de recherche sur ce sujet dans le cadre de programmes de l’Union Européenne.
Quelques années plus tard, Antonietta Gatti et celui qui devint son époux et collaborateur Stefano Montanari, furent invités à se pencher sur la présence des nanoparticules dans les vaccins, à la demande de chercheurs allemands étudiant la formation de granulomes (mini-kystes) au point d’injection. À leur grand étonnement, la quasi-totalité des échantillons analysés était polluée par un nombre élevé de nanoparticules, alors qu’il s’agissait de produits fabriqués par les plus grands laboratoires pharmaceutiques. In fine, un seul vaccin fut considéré «propre». Il s’agissait d’un vaccin pour chat, produit par un plus petit laboratoire!
Un rapport qui sème le trouble
La publication de ces résultats dans la revue Vaccine en janvier 2017 attira l’attention du public et marqua le début des ennuis pour les deux chercheurs. Diverses associations militant pour le libre choix à la vaccination, en Italie et à l’étranger, en firent un large écho et Gatti et Montanari furent invités à de nombreux débats sur la sécurité sur les vaccins. Ceci leur valut des représailles immédiates sous forme de pressions, menaces anonymes et manœuvres de harcèlement. Autrefois respectés pour leur rigueur scientifique, Gatti et Montanari ont depuis lors été l’objet d’une intense campagne de discrédit, jusqu’à ne plus avoir accès au microscope électronique dont ils ont besoin pour effectuer leurs travaux.
Finalement, la question des nanoparticules fut reprise par la commission d’enquête dans le chapitre sur la sécurité des vaccins administrés aux militaires, en ajoutant un énième problème à ceux déjà soulevés. Ce chapitre fit l’objet de grandes tensions parmi les membres composant la commission et surtout au sein de leur parti respectif. Toutefois, malgré les tentatives de la ministre Lorenzin et de son parti pour tenter de censurer l’information, le rapport fut rendu public dans son intégralité.
Contaminations biologiques multiples
C’est donc dans ce contexte que l’idée d’effectuer des contrôles complémentaires, indépendants, sur la qualité des vaccins s’est imposée à certains des membres ayant participé aux travaux de la commission. Vincenzo d’Anna, ancien parlementaire et président de l’Ordre national des biologistes, estimait que d’un point de vue éthique, comme scientifique, il fallait se demander si la recherche d’éventuels lots défectueux devait être entreprise ou si, au contraire, on pouvait l’exclure. Le partenariat avec l’association Corvelva, qui avait déjà participé à la diffusion du rapport de la commission Uranium, a finalement permis de lancer ce projet.
Plusieurs mois ont été nécessaires pour mettre en place le protocole et la méthodologie, récolter les fonds (plus de 50 000 euros), trouver les laboratoires agréés et finalement procéder aux analyses. Les premiers résultats ont bien confirmé l’utilité de la démarche. Dans le rapport remis aux autorités par Corvelva, sept lots de différents vaccins ont été soumis à un premier test, en commençant par des vaccins pédiatriques. Deux lots ont fourni des données concordant avec ce qui est attendu et annoncé dans les notices, mais cinq ne semblaient pas conformes et ont mené à une analyse plus approfondie de leur composition chimique et biologique (métagénomique), révélant une série d’anomalies graves.
Une partie de la recherche s’est donc concentrée sur la présence dans les vaccins d’ADN et d’ARN d’origine humaine, animale ou microbienne, en utilisant une méthode de séquençage appelée Next Generation Sequencing, réputée pour être l’une des techniques les plus performantes sur le marché. En voici quelques résultats.
Gardasil
Dans le vaccin contre le virus à papillome humain Gardasil 9, l’on a retrouvé de l’ADN humain dont on suppose qu’il provient des tissus sur lesquels a été prélevé le virus, ainsi que de l’ADN de souris, dont on ignore évidemment l’origine. L’on a aussi identifié du matériel génétique provenant de virus adventices, en l’espèce un fragment L1 du papillomavirus, ce qui pourrait constituer un risque du fait que, n’étant pas complètement dégradé, il pourrait interagir avec l’ADN de la personne vaccinée. On a aussi repéré des gènes du virus molluscum contagiosium, qui s’apparente à la famille de la variole, ainsi que du virus de la leucémie des souris, et du rétrovirus endogène humain K ou HERV-K. C’est sans doute ce dernier qui pourrait être le plus problématique, car il est associé à certains types de cancers (cancer des ovaires, de la prostate ou des testicules, cancer du sein, mélanome malin ou sarcome de Kaposi).
L’ennui, c’est que si ces fragments d’ADN et/ou de virus opérants, pour ceux dont on a aussi retrouvé les séquences ARN, entrent en interaction avec l’aluminium contenu dans le vaccin, il y a un risque d’inflammation, de réactions auto-immunes, voire de formation de tumeurs cancéreuses. Sachant que le vaccin Gardasil est suspecté d’accélérer le cancer du col de l’utérus plutôt que de le prévenir, ces constatations devraient conduire à la plus grande prudence et à la mise en œuvre immédiate de contrôles accrus et de nouvelles recherches.
Hexyon
L’analyse du vaccin Hexyon, l’hexavalent contre la polio, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et l’Haemophilus influenzae B, fabriqué par Sanofi Pasteur, révèle aussi de graves contaminations. On y a décelé une importante quantité d’ADN bactérien, mais aussi la présence d’ADN et d’ARN du virus du singe cercopithèque, ce qui montre que ces virus survivent. Ils proviennent de la culture de cellules Vero issues de reins de singe. Par le passé, un virus de singe, le SV40, a contaminé des millions de personnes par des vaccins polio et on le soupçonne d’avoir joué un rôle dans la propagation du sida et dans certains types de cancers. Bien que leur présence soit presque inévitable dans des cultures cellulaires, le principe de précaution exige évidemment de s’en débarrasser dans le produit final.
Priorix-Tetra
Enfin, un autre exemple de contamination inquiétant est fourni avec le vaccin Priorix-Tetra (produit par GSK), vaccin contre la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle. Les analyses ont montré qu’il contient une quantité d’ADN humain de près de 2 microgrammes, soit 140 fois plus que la norme maximale autorisée. Cet ADN de type MRC-5 correspond à une portion entière de génome des cellules fœtales utilisées pour la culture du virus vaccinal (en l’occurrence une ligne développée en 1966 à partir de tissu pulmonaire d’un fœtus avorté).
Or, selon Corvelva, dans les documents fournis par l’Agence européenne des médicaments, les normes actuelles sur la quantité d’ADN fœtal autorisée dans un vaccin sont uniquement établies à partir de calculs théoriques et non en fonction de critères expérimentaux. Par ailleurs, seules les préparations initiales sont testées et non les produits finis, si bien qu’en réalité, l’évaluation du véritable risque de mutation oncogène posé par la présence d’ADN humain dans un vaccin demeure assez floue et arbitraire.
Polluants chimiques
Corvelva a également fait réaliser des analyses sur les signaux ou traces chimiques contenus dans les vaccins. Les traces de dizaines de polluants ont été retrouvées dans la plupart des lots: herbicides dont glyphosate, pesticides, traces de médicaments et autres substances qui proviennent vraisemblablement de résidus issus d’autres lignes de production. Il y en avait en moyenne plus de 100 dans le Priorix-Tetra, plus de 200 dans l’Hexyon, plus de 300 dans le Gardasil.
Pour l’instant, une partie seulement a pu être identifiée. Il s’agirait par exemple de résidus de médicaments tels que l’amoxicilline (antibiotique), le tamsulosine (diurétique), le sildénafil (Viagra), le gabapentin (antiépileptique), ou l’atovaquone (anti-malaria), mais l’on pense aussi avoir trouvé des traces de morfamquat (un herbicide), de glyphosate (herbicide bien connu) ou de cyflumetophen (un antiacarien), pour n’en citer que quelques-uns.
Bien qu’il s’agisse d’infimes quantités, le fait que ces substances soient injectées et non ingérées ou respirées, et surtout le fait qu’elles le soient avec des adjuvants comme l’aluminium, dont l’objectif est de provoquer une réaction inflammatoire dans le corps, pourrait poser un risque, notamment pour les personnes qui consomment les médicaments détectés.
Antigènes absents!
Mais la véritable surprise de ces analyses, le choc auquel personne ne s’attendait, est l’absence d’antigènes dans plusieurs vaccins. Ce résultat est tellement surprenant que les échantillons concernés ont été testés à plusieurs reprises. Les antigènes, généralement des protéines ou des polysaccharides, sont les substances du vaccin qui correspondent aux maladies (polio, rubéole, etc.) contre lesquelles le corps est censé s’immuniser en générant des anticorps.
Ainsi, dans le Gardasil 9, seuls sept antigènes, au lieu de neuf, ont pu être identifiés. Les types de papillomavirus 11 et 58 n’ont pas été détectés. Dans le vaccin Priorix-Tetra, c’est le virus de la rubéole qui fait défaut, c’est-à-dire que sa présence est infinitésimale par rapport à la quantité considérée comme nécessaire pour induire une réaction immunitaire suffisante. Encore plus inquiétants sont les résultats du vaccin hexavalent Hexyon. On y a trouvé les protéines de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche, mais aucun des trois antigènes polio, ni celui de l’hépatite B ou de la méningite (Haemophilus Influenzae B). Enfin, c’est le vaccin Infanrix hexa qui surprend le plus, puisqu’aucun antigène n’a pu être détecté, ni avec les instruments standards, ni avec le Next Generation Sequencing, qui est actuellement la méthode la plus sensible.
Macromolécule récalcitrante
Si l’on n’a pas retrouvé de trace des protéines antigènes dans le vaccin Infanrix hexa, on a en revanche découvert une macromolécule insoluble composée de protéines. Interrogé par le quotidien Il Tempo sur cette curieuse trouvaille, le biologiste Vincenzo d’Anna a précisé: «Il est possible que ce soient les protéines antigènes qui auraient été modifiées sous l’action du formaldéhyde que l’on utilise comme conservateur. En tout cas, cette macromolécule ne réagit pas à la trypsine, alors qu’elle devrait se décomposer sous son action. Normalement, dans ce vaccin, on devrait retrouver quatre protéines distinctes et celles-ci devraient se désagréger lorsqu’on les soumet à un traitement à la trypsine, une enzyme qui permet normalement de “digérer” et décomposer les protéines. En clair, cela signifie qu’une autre substance est présente et exerce un effet agglomérant qui retient ces protéines. La question se pose de savoir dans quelle mesure ces protéines peuvent encore être identifiées. Ce n’est pas à nous d’expliquer ce phénomène, bien sûr, ni d’en extrapoler les conséquences, mais il est indispensable de le faire. Nous avons transmis cela aux agences italienne et européenne du médicament, notamment pour voir si elles ont une explication à fournir.»
Poursuivre les investigations
Il est difficile de spéculer sur cette macromolécule récalcitrante, mais il est en revanche évident que l’absence de deux antigènes dans le vaccin Gardasil, de trois autres dans le vaccin Hexyon et de celui de la rubéole dans le vaccin Priorix-Tetra est préoccupante. Comment les personnes qui ont reçu ces vaccins peuvent-elles être immunisées contre ces maladies? Autant d’anomalies alors que les analyses de Corvelva n’ont porté que sur un nombre limité de lots et d’échantillons!
À ce stade, il est donc urgent de procéder à des contrôles sur un plus grand nombre de vaccins. Ce travail doit être réalisé par les autorités de santé et Corvelva se démène pour les forcer à réagir. L’association a interpellé l’AIFA (Agence italienne des médicaments), l’lnstitut supérieur de la santé, et la ministre responsable Giulia Grillo. Après la fin de la première série d’analyses, les résultats ont été transmis au procureur général de la République et au service de tutelle de l’inspection sanitaire de la police nationale. L’Agence européenne des médicaments a également été avertie. En attendant, les analyses sont en cours de publication dans des revues scientifiques et ont été soumises à des chercheurs indépendants de plusieurs pays.
Communiquer
Le 24 janvier, l’association a également organisé une présentation officielle à la salle de presse de la Chambre des députés. En introduction, l’association a même projeté un extrait d’un cours sur la sécurité des vaccins enregistré à l’Institut Pasteur, dans lequel on soulignait l’importance et la difficulté d’éviter les contaminations lors de la production de vaccins et où l’on citait plusieurs incidents de ce type survenus dans l’histoire de la vaccination.
Le lendemain, les résultats ont aussi été discutés publiquement lors de la conférence «Vacciner en sécurité» organisée par l’Ordre national des biologistes agréés, en présence d’experts de réputation internationale (Giulio Tarro, Jacob Puliyel, Teresa Deischer, Anthony Mawson et Guillemette Crépeaux) qui ont attiré l’attention sur l’importance de poursuivre ces contrôles.
Déni
Mais la ministre de la Santé, que ses électeurs accusent de trahison, a pris ses distances avec l’événement, tout en refusant de faire des déclarations officielles. Dans une vidéo amateur, elle a néanmoins répondu à une mère de famille inquiète que «l’Agence du médicament [a] démonté tout le dossier point par point», ajoutant: «Vous n’imaginez tout de même pas que l’Agence mettrait en circulation des produits non testés.»
On attend donc les documents de l’agence, car pour l’instant celle-ci s’est contentée de ne répondre par écrit que sur un seul point spécifique, celui de la sécurité du vaccin Priorix-Tetra, pour lequel elle a renvoyé la responsabilité… à l’Allemagne, en vertu d’accords passés entre les différentes agences de santé européennes.
Une sénatrice du même parti (Le Mouvement Cinq étoiles) a en revanche eu le courage de relancer le débat. Viriginia La Mura a en effet adressé un courrier officiel au président de la commission à la santé et aux affaires sociales du Sénat pour rouvrir le dossier de la sécurité des vaccins, estimant qu’il est nécessaire d’entamer un véritable débat scientifique, en dehors des positions idéologiques. Elle a aussi attiré l’attention du Sénat sur la «Lettre ouverte de la part d’associations internationales à l’Organisation mondiale de la santé à propos de la sécurité des vaccins», signée par plus de 130 associations provenant de trois continents, dont une quinzaine en France.
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Médias félons
Lors de la conférence de presse au Parlement, la salle était comble et les journalistes semblaient médusés, mais manifestement la sécurité des vaccins est toujours un sujet tabou. Fidèles à la voix de leurs maîtres, les grands médias ont donc mis en scène la «polémique» et «l’indignation» à propos de «la rencontre no-vax qui s’était tenue à la chambre des députés». La Rai, chaîne de télévision publique, est même allée jusqu’à diffuser un lamentable sketch dans lequel un prétendu comique s’est écrié: «Vous vous rendez compte, tous les no-vax étaient réunis dans la même pièce. On a raté l’occasion de fermer la porte et de les gazer tous en un seul coup»!
Pour la énième fois, donc, on a assisté à une chasse aux no-vax et le véritable enjeu de l’événement a de nouveau été complètement occulté. Seuls les réseaux sociaux ont rapporté les faits… mais récemment YouTube et Facebook ont promis de prendre des mesures pour censurer les «anti-vaccins».
Départs précipités
À l’évidence, l’initiative de Corvelva est un véritable obélisque dans la mare et plonge les autorités de santé dans un fameux embarras. Difficile de savoir si les analyses de Corvelva, dont les premiers résultats ont été communiqués dès le mois d’août, ont pu hâter quelques départs, mais il est bien possible que des dirigeants des agences de santé aient choisi de s’éclipser avant d’être confrontés à leurs responsabilités.
Fin août, Stefano Vella, le président de l’AIFA, l’agence italienne des médicaments, a donné sa démission «en raison de son désaccord avec le gouvernement pour sa politique envers les immigrants dans l’affaire du navire Aquarius», refoulé par les autorités italiennes. Difficile de savoir s’il ne s’agit que d’un hasard du calendrier. Par ailleurs, le directeur général de la même agence, Mario Melazzini, n’a pas été renouvelé dans ses fonctions par la ministre, sans que des motifs précis aient été communiqués. Début décembre, la ministre a sabré dans sa propre administration et limogé une trentaine de membres du Conseil supérieur de la santé, organe le plus élevé de son ministère, mais dont les membres avaient été nommés par ses prédécesseurs. Mi-décembre, c’est Walter Ricciardi, directeur de l’Institut supérieur de la santé, et accessoirement un des 34 membres du comité directeur de l’OMS, qui a quitté son poste, estimant «qu’il n’était pas en accord avec les positions anti-scientifiques de certains membres du gouvernement, en particulier sur la politique des vaccins, et qu’il avait donc mieux à faire».
Se pourrait-il que la demande d’ouverture d’une commission d’enquête ministérielle à son encontre pour «évaluation et omission de déclaration de conflits d’intérêts», introduite la semaine précédant cette annonce, y soit pour quelque chose? Le collectif Vaccino Veritas avait en tout cas compilé un dossier impressionnant sur ses liens d’intérêts directs avec l’industrie du médicament (consultance et lobby institutionnel rémunéré). Il avait notamment pu le réaliser grâce aux données enregistrées sur le site de la Commission européenne, puisque Ricciardi est aussi membre de nombreuses commissions sur la santé en Europe. Voilà en tout cas un départ qui ressemble à une fuite…
Responsabilités
Depuis des années, les autorités de santé répètent inlassablement que les vaccins sont rigoureusement contrôlés, alors que les critiques se multiplient quant au manque de transparence sur tout ce qui concerne la vaccination. Il faut rappeler qu’avant la mise sur le marché, contrairement aux médicaments, les vaccins ne sont pas testés plus de quelques jours, ne sont pas non plus testés pour leur impact sur la fertilité ou pour d’éventuels effets oncogènes ou mutagènes, et que la sécurité des adjuvants est mise en doute sans que de véritables réponses soient apportées. Une fois en circulation, ils sont censés être contrôlés par un réseau de laboratoires agréés, mais qu’en est-il réellement?
Les conflits d’intérêts minent toutes les institutions sanitaires, et même la résolution du Parlement européen sur «les réticences à la vaccination» insiste sur la nécessité d’introduire une plus grande transparence dans les politiques de santé européennes, tant l’influence des lobbies est énorme. La question se pose: peut-on vraiment faire confiance aux autorités de santé? Les manquements révélés par les analyses de Corvelva doivent être approfondis, quelles qu’en soient les conséquences. Si l’on découvrait que de nombreuses personnes ont été vaccinées avec des produits défectueux, voire dangereux ou même inutiles lorsqu’ils ne contiennent pas d’antigènes, il s’agirait tout simplement d’un des plus grands scandales sanitaires de l’histoire.
Référence:
A. Gatti, S. Montanari, S. Rader « Vaccins oui ou non ? », Talma éditions, sept. 2017
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