septembre 2025

Témoignages explosifs au Sénat Américain : vaccins, autisme et corruption scientifique au cœur de l’audience du 9 Septembre 2025

Source : France Soir

Le 9 septembre 2025, la Commission Permanente d’Enquête (Permanent Subcommittee on Investigations) du Comité sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales du Sénat des États-Unis, présidée par le sénateur républicain Ron Johnson, que France-Soir est le seul média français à avoir interviewé, a tenu une audience intitulée « comment la corruption de la science a impacté la perception publique et les politiques relatives aux vaccins ». Cette session, qui s’inscrit dans une série d’enquêtes lancées par Johnson sur la transparence vaccinale, a réuni trois témoins aux profils contrastés : Toby Rogers, un chercheur en économie politique et fellow à l’Institut Brownstone ; Aaron Siri, avocat spécialisé dans les litiges vaccinaux ; et le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à l’Université Stanford. Leurs témoignages, riches en données et en accusations, ont mis en lumière des divergences profondes sur la sécurité des vaccins, l’épidémie d’autisme et l’intégrité scientifique. Voici un compte-rendu détaillé de ces interventions, basé sur leurs déclarations écrites soumises au sous-comité.

Contexte de l’audience : une enquête sur la transparence et les enjeux publics

Le sénateur Ron Johnson, son engagement à éclairer les zones d’ombre des politiques sanitaires, a ouvert l’audience en soulignant l’importance d’examiner comment des biais scientifiques pourraient influencer les politiques publiques. L’objectif était d’explorer les lacunes dans les études pré- et post-licence des vaccins, ainsi que les impacts sur la santé publique, notamment l’autisme et les maladies chroniques. Avec le sénateur Richard Blumenthal (démocrate) en présence, l’audience a promis un débat bipartisan, mais les témoignages ont rapidement révélé des clivages idéologiques et scientifiques.

Les trois témoins ont été sélectionnés pour représenter des perspectives variées : Rogers et Siri, critiques des narratifs officiels, et Scott, défenseur de la science vaccinale établie. Leurs interventions, limitées à des déclarations écrites de 5 à 12 pages, ont été diffusées en amont et devraient être suivies d’interrogatoires oraux.

Toby Rogers : l’épidémie d’autisme comme conséquence des vaccins et des toxines

Toby Rogers, Ph.D. en Économie Politique de l’Université de Sydney et fellow à l’Institut Brownstone (un think tank critique des politiques sanitaires), a ouvert son témoignage par une anecdote personnelle poignante. En juillet 2015, le fils de sa partenaire a été diagnostiqué autiste, ce qui l’a poussé à plonger dans la littérature scientifique via le site du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Formé à analyser les sources primaires, Rogers a vite conclu que le récit officiel du CDC – attribuant l’autisme principalement à des facteurs génétiques – ne tenait pas la route.

Toby Rogers

Rogers a détaillé une explosion de la prévalence de l’autisme aux États-Unis : de moins de 1 cas sur 10 000 enfants en 1970 (étude de Treffert, 1970) à 1 sur 31 en 2022 (rapport CDC, Shaw et al., 2025), soit une augmentation de 32 158 % en 52 ans. Selon lui, cette hausse n’est pas génétique – « il n’existe pas d’épidémie génétique » – et ne s’explique pas par des changements diagnostiques (études californiennes de Byrd et al., 2002, et Hertz-Picciotto & Delwiche, 2009). Il a critiqué les explications du CDC : le valproïque (médicament contre l’épilepsie) et la thalidomide n’expliquent qu’une poignée de cas, tandis que l’âge parental avancé a un effet modeste insuffisant pour justifier la flambée.

Son doctorat, achevé en 2019 et devenu l’une des thèses les plus téléchargées de l’histoire de Sydney, porte sur « L’Économie Politique de l’Autisme ». Depuis, Rogers collabore avec Children’s Health Defense (organisation anti-vaccins fondée par Robert F. Kennedy Jr.) et publie en indépendant. Il a passé en revue près de 1 000 études, concluant que les vaccins sont la cause principale, aux côtés d’une douzaine de toxines environnementales.

Rogers a balayé les 22 études prétendant que les vaccins ne causent pas l’autisme : aucune n’inclut de groupe contrôle complètement non vacciné, les rendant inutiles. Les cinq grands projets génétiques (AGRE, SSC, etc.) ont englouti 2,3 milliards de dollars pour peu de résultats, car le génome humain ne mute pas si vite. Les quatre projets épigénétiques (CHARGE, etc.), qui examinent pollution, pesticides et métaux lourds, ignorent les vaccins comme variable confuse, biaisant les conclusions.

La clé, selon Rogers, réside dans les événements d’activation immunitaire : infections, toxines industrielles ou vaccins. Une étude de Thomas et Margulis (2016) montre un taux d’autisme de 1/715 chez les non-vaccinés contre 1/31 chez les vaccinés. L’étude d’Ozonoff et al. (2018) révèle que 88 % des cas impliquent une régression autistique post-exposition aiguë, souvent liée à un rendez-vous vaccinal « pour le bien du bébé », corroboré par des milliers de témoignages parentaux.

Rogers a cité six études « invisibilisés/supprimées » par les médias et l’establishment médical :

  • Gallagher & Goodman (2008, 2010) : La dose de naissance du vaccin hépatite B augmente le risque d’autisme.
  • Mawson (2017a, 2017b, 2025) : Vaccination multiplie par 4,2 le risque d’autisme ; chez les prématurés, par 12 fois le risque de handicap neurodéveloppemental.
  • Hooker & Miller (2021) : Vaccination x5 le risque ; sans allaitement x12,5 ; avec césarienne x18,7.

Conclusion de Rogers : arrêter l’exposition aux vaccins et toxines stopperait les épidémies d’autisme et maladies chroniques. Il renvoie à sa thèse et un article substack pour plus de détails.

Aaron Siri : corruption systémique et études inédites sur les risques vaccinaux

Aaron Siri, à la tête de Siri & Glimstad LLP, apporte une voix juridique puissante et engagée. Il a soumis un témoignage de 12 pages, incorporant une soumission antérieure de mai 2025. Spécialiste des exemptions vaccinales et transparence, Siri argue que la « corruption de la science » repose sur un biais a priori : « Les vaccins sont sûrs », ce qui empêche des études rigoureuses.

Aaron Siri

Sur les essais pré-licence : aucun des essais pour les vaccins pédiatriques du CDC n’a confirmé leur sécurité en raison de designs limités (référence à sa soumission précédente). Post-licence, l’autisme – soi-disant « le plus étudié » – n’a pas été examiné pour les vaccins infantiles. L’IOM (Institute of Medicine) et une revue HHS admettent que la plupart des blessures rapportées (y compris celles reconnues par les pharma) n’ont pas été étudiées. Les systèmes CDC comme VAERS ne font que signaler des alertes, sans causalité prouvée.

Siri met en avant une étude inédite de Henry Ford Health (2017-2020), menée par des scientifiques respectés comme le Dr Marcus Zervos et Lois Lamerato, comparant les enfants vaccinés et non-vaccinés.

Les résultats sont encourageants pour ceux qui cherchent des réponses : les vaccinés présentaient des taux significativement plus élevés de maladies chroniques (asthme x4,29, troubles neurodéveloppementaux x5,53), tandis que des conditions comme l’ADHD étaient absentes chez les non-vaccinés. Siri note que ces maladies impliquent une dysrégulation immunitaire, liée aux vaccins dans la littérature existante.

Malgré une conception « bien exécutée » (affirmée par Zervos et Lamerato), l’étude n’a pas été publiée : Lamerato craignait de « gêner les médecins », Zervos son emploi. Siri conclut que ce biais systémique – études biaisées ou supprimées – perpétue un narratif pro-vaccins, ignorant les risques chroniques. Il appelle à une transparence accrue via des poursuites judiciaires. Son travail juridique, combiné à des collaborations avec l’ICAN, ouvre la voie à une réévaluation des protocoles vaccinaux, offrant un espoir de justice pour les familles affectées.

Dr Jake Scott : une défense imposante mais manquant de précisions cruciales

Le Dr Jake Scott, professeur associé en maladies infectieuses à Stanford, apporte une défense solide de la science vaccinale, citant un corpus de 1 704 essais randomisés (1941-2025, >10,5 millions de participants) et des impacts mondiaux comme 154 millions de vies sauvées. Sa base de données publique, accessible via PubMed, et son projet Vaccine Integrity Project sur 590 études respiratoires sont louables. Cependant, cette approche, bien que transparente, manque de prudence face aux critiques, notamment l’occurrence massive d’effets indésirables suite à la vaccination covid qui sont niés et inexpliqués par bien des médecins.

Dr Jake Scott

Cependant, Scott affirme que les systèmes de surveillance détectent des événements rares (1/million) et que l’absence de « vague de maladies chroniques » invalide les inquiétudes. Pourtant, il n’adresse pas directement les études vacciné/non-vacciné comme celle de Henry Ford, ni les biais potentiels dans les essais pré-licence. Sa confiance en des cohortes comme celle danoise (1,2 million d’enfants) est intéressante, mais sans examiner les données brutes ou les variables confondues (vaccins vs environnement), ses conclusions paraissent prématurées. Malgré ses déclarations minimales de liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique (45,62 $ en repas), l’absence de débat sur les lacunes post-licence affaiblit son argumentation, et son apparente faible connaissance sur la biodistribution des vaccins à ARN messager pose question.

Analyse et implications : un débat politisé sur la santé publique

Ces témoignages illustrent un fossé béant. Rogers et Siri accusent une épidémie iatrogène (causée par les soins médicaux), avec des études supprimées et un biais pro-vaccins, tandis que Scott met en avant un corpus massif prouvant sécurité et efficacité. L’absence d’études vacciné/non-vacciné rigoureuses (admis par tous) reste un point faible.

Cette audience pourrait influencer les politiques : Johnson pousse pour plus de transparence, potentiellement via des réformes CDC ou FDA. Avec des élections en vue, elle ravive le débat sur la confiance vaccinale.

Les enregistrements complets ont été publiés sur le site du Sénat et la traduction publiée par France-Soir.

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Vaccins Covid contaminés : jusqu’à 627 fois la dose d’ADN acceptée

Source : Éditions Marco Pietteur

Imaginez ouvrir un flacon de vaccin ARNm — et y découvrir des milliards de fragments d’ADN là où il ne devrait y en avoir qu’un soupçon. Pas une rumeur. Pas une hypothèse. Une découverte documentée dans une étude scientifique, publiée le 6 septembre 2025 par trois chercheurs de renom, dont le généticien Kevin McKernan.

Leur conclusion ?
Les injections Pfizer et Moderna contre le Covid-19 seraient contaminées par de l’ADN plasmidique résiduel à des niveaux… jusqu’à 627 fois supérieurs aux normes de sécurité établies par la FDA et l’OMS.

Source originale: The Focal Points – “BREAKING: Updated Pfizer and Moderna mRNA Vaccines Found Contaminated With Plasmid DNA”

Mais ce n’est pas tout.
Certains de ces fragments — encapsulés dans les fameuses nanoparticules lipidiques — contiennent des séquences de promoteur SV40, un élément génétique reconnu pour ses liens avec des mécanismes cancérigènes.

Qu’est-ce que cela signifie pour la santé publique ?
Pourquoi ces résidus sont-ils toujours présents, même dans les formulations les plus récentes ?
Et surtout, pourquoi les autorités n’ont-elles pas encore réagi, malgré la multiplication de rapports concordants ?

Dans cet article, nous allons explorer :

  • Ce que dit réellement l’étude (et ce qu’elle ne dit pas)
  • Les risques biologiques potentiels liés à cette contamination
  • Les données sur les effets indésirables graves (VAERS)
  • Et pourquoi cette affaire pourrait bien devenir le prochain grand scandale sanitaire

Une contamination massive et persistante

Vaccins Covid contaminés - risque
Des fragments d’ADN protégés dans des nanoparticules lipidiques peuvent pénétrer nos cellules…
Un scénario que la réglementation n’avait jamais anticipé.

Une étude évaluée par les pairs
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/08916934.2025.2551517#abstract

Cette étude évaluée par des pairs et publiée par le Dr David J. Speicher, la Dr Jessica Rose et le chercheur Kevin McKernan a secoué la communauté scientifique.
Leur analyse portait sur 32 flacons issus de 16 lots différents de vaccins ARNm — Pfizer et Moderna — dans leurs versions originales, bivalentes, et XBB.1.5.
L’objectif ?
Quantifier les résidus d’ADN plasmidique présents dans chaque dose.

Résultat : chaque flacon contenait entre plusieurs milliards et plusieurs centaines de milliards de fragments d’ADN.

Et il ne s’agit pas de contaminations accidentelles datant du lancement du vaccin en 2020.
Les formulations les plus récentes sont elles aussi concernées, ce qui signifie que le problème est toujours actif dans la chaîne de production actuelle.

Des flacons récents aussi concernés

Les chercheurs ont formellement identifié la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les doses dites “bivalentes” (adaptées aux variants récents) ainsi que dans celles ciblant le variant XBB.1.5.
En d’autres termes, les versions censées être “les plus à jour” des vaccins Covid restent contaminées par le même ADN que celui détecté en 2021.

Cela invalide l’hypothèse d’une erreur de jeunesse ou d’un défaut temporaire dans le processus de purification.
Nous sommes face à un problème systémique.

Des milliards de fragments d’ADN par dose

Chaque dose analysée contenait entre 100 et 160 milliards de fragments d’ADN, certains atteignant jusqu’à 3,5 kilobases de longueur — soit une taille suffisante pour inclure des gènes complets ou des éléments régulateurs puissants.
De quoi inquiéter, d’autant plus que…

Une partie de cet ADN est encapsulée dans les nanoparticules lipidiques, ce qui pourrait lui permettre de pénétrer les cellules et de contourner les défenses naturelles — un scénario que les normes de sécurité n’avaient pas envisagé.

Pour creuser davantage ces implications, notamment sous un angle cinématographique et documenté, nous vous recommandons de visionner le film “Inside mRNA Vaccines : Une seconde opinion”, disponible sur notre blog.
Ce documentaire propose une analyse complète du déploiement des vaccins ARNm, loin des filtres institutionnels habituels.

Pourquoi ces résidus posent un problème biologique sérieux

ADN encapsulé dans des nanoparticules lipidiques

Ce qui inquiète particulièrement les auteurs de l’étude, ce n’est pas seulement la quantité d’ADN retrouvée, mais la forme sous laquelle il se présente.

L’ADN détecté n’est pas libre dans le solvant. Il est encapsulé dans les mêmes nanoparticules lipidiques que celles censées véhiculer l’ARNm vers les cellules. Cela signifie que ces fragments pourraient être délivrés directement à l’intérieur des cellules humaines, contournant les protections naturelles du système immunitaire.

Cela n’avait jamais été pris en compte lors de la définition des seuils de sécurité actuels (10 ng par dose).

En résumé, l’ADN n’est pas juste un déchet passif. Il est potentiellement fonctionnel… et actif biologiquement.

Le cas spécifique du SV40 : un promoteur hautement controversé

Plus inquiétant encore : les flacons de Pfizer contiennent une séquence spécifique appelée promoteur-enhancer SV40.

Ce nom peut sembler technique. Il s’agit en réalité d’un élément génétique utilisé pour forcer l’expression de gènes — largement connu dans les milieux de recherche comme ayant un fort potentiel oncogène (cancérigène).

627 fois plus la dose autorisée
L’OMS fixe la limite à 10 ng par dose. Certaines injections Covid en contiendraient jusqu’à 627 fois plus. Documenté, vérifié, publié.

“Cet élément est reconnu pour entraîner l’intégration génomique, la mutation de l’ADN et l’activation d’oncogènes”, écrivent les auteurs.

Pourquoi une telle séquence se trouve-t-elle dans un vaccin destiné au grand public ?
Pourquoi n’a-t-elle pas été signalée par les fabricants eux-mêmes ?

Aucune réponse officielle à ce jour.

Les risques théoriques : mutagenèse, cancer, immunité

Trois scénarios sont évoqués par les chercheurs comme risques plausibles :

  • Mutagenèse insertionnelle : L’ADN résiduel pourrait s’intégrer dans le génome humain, notamment dans des cellules en division rapide, avec des conséquences imprévisibles.
  • Activation d’oncogènes : Le promoteur SV40 pourrait forcer l’activation de gènes liés au développement de tumeurs.
  • Réactions auto-immunes : La présence d’ADN étranger dans l’organisme pourrait déclencher des réponses immunitaires inappropriées, voire chroniques.

Même si ces effets ne sont pas prouvés à ce jour, leur plausibilité biologique est suffisante pour exiger une évaluation rigoureuse.

Des seuils largement dépassés : ce que disent les chiffres

La limite FDA/OMS : 10 ng par dose

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Drug Administration (FDA) ont établi une limite claire pour les résidus d’ADN dans les vaccins : 10 nanogrammes par dose.

Ce seuil n’est pas arbitraire. Il est censé représenter une quantité si faible qu’elle n’aurait aucun effet biologique plausible sur le corps humain. Au-delà, les risques — théoriques ou réels — deviennent significatifs, notamment en matière de transfection, d’intégration génomique ou de réponse immunitaire imprévue.

Mais que se passe-t-il si cette limite est non seulement dépassée… mais explosée à grande échelle ?

Pfizer: jusqu’à 1 548 ng — Moderna : jusqu’à 6 280 ng

Selon l’étude publiée par Speicher, Rose et McKernan, les doses analysées contiennent bien plus que les 10 ng autorisés :

  • Vaccins Pfizer : entre 371 et 1 548 ng par dose, soit 37 à 153 fois la limite.
  • Vaccins Moderna : entre 1 130 et 6 280 ng par dose, soit 113 à 627 fois la limite.

Des chiffres qui, pour tout spécialiste en biologie moléculaire, dépassent l’entendement.

“Tous les produits analysés dépassaient les limites de sécurité réglementaire de 36 à 627 fois”, précisent les auteurs.

Confirmation par plusieurs techniques de mesure

Pour éliminer toute possibilité d’erreur, les chercheurs ont utilisé deux méthodes de quantification :

  1. Fluorométrie + digestion à la RNase A : une technique qui permet de mesurer l’ADN total (en éliminant l’ARN). Résultat : tous les lots testés dépassaient les normes.
  2. qPCR (PCR quantitative) : une méthode plus ciblée mais qui sous-estime souvent l’ADN total, car elle ne détecte que des séquences spécifiques. Malgré cela, trois flacons Pfizer ont tout de même montré des taux d’ADN SV40 (promoteur-enhancer) supérieurs à 10 ng.

Cela confirme un point fondamental : les résultats ne dépendent pas d’un seul outil, ni d’un seul laboratoire. Il s’agit bien d’un phénomène systémique, reproductible, et objectivement mesurable.

Corrélation inquiétante : plus d’ADN = plus d’effets graves ?

Vaccins Covid contaminés - silence assourdissant des autorités
Plusieurs lots fortement contaminés sont aussi les plus associés à des effets secondaires graves. Corrélation ou hasard ? Le silence des autorités devient assourdissant.

Les données de VAERS

Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), la base de données officielle américaine de pharmacovigilance, a révélé un signal troublant : les lots de vaccins les plus fortement contaminés en ADN sont aussi ceux qui présentent les plus hauts taux d’effets secondaires graves (SAE).

Dans certains cas, entre 50 % et 95 % des rapports associés à ces lots sont classés comme graves — hospitalisations, incapacités permanentes, décès.

Les chercheurs soulignent que cette corrélation ne prouve pas une causalité… mais qu’elle est trop forte pour être ignorée.

Certains lots massivement contaminés, massivement rapportés

Kevin McKernan et ses collègues ont constaté que plusieurs flacons analysés provenaient des mêmes lots que ceux identifiés comme problématiques dans les bases de données publiques. Ces lots apparaissent dans les classements de lot-to-SAE ratio les plus élevés, un indicateur déjà utilisé par des analystes indépendants comme Craig Paardekooper.

Plus de fragments d’ADN, plus d’effets secondaires ? C’est une hypothèse de travail qui mérite une investigation sérieuse — et rapide.

Coïncidence ou causalité ?

Impossible, à ce stade, d’affirmer que l’ADN résiduel est la cause directe des effets secondaires.
Mais le principe de précaution impose d’exiger une transparence totale sur la composition réelle des doses injectées à des millions de personnes.

Pourquoi cette affaire secoue la communauté scientifique

Une dizaine de rapports indépendants concordants

Loin d’être une étude isolée, les travaux de Speicher, Rose et McKernan corroborent au moins dix autres analyses indépendantes menées au Canada, en Allemagne, en Australie et en Suède. Toutes convergent vers un constat similaire : des fragments d’ADN plasmidique persistent dans les vaccins ARNm, à des niveaux élevés.

Et pourtant, aucune alerte de l’OMS. Aucun retrait. Aucune suspension de lot. Silence.

Une réponse réglementaire absente ou tardive

À ce jour, ni la FDA, ni l’EMA, ni l’ANSM en France n’ont répondu officiellement à cette accumulation de preuves.
Le sujet reste quasiment absent du débat public, ignoré des médias grand public et peu abordé par les professionnels de santé.

Seule une poignée de scientifiques, souvent marginalisés, tirent la sonnette d’alarme.

Comment expliquer une telle inertie alors que les implications pourraient être massives?

Ce que demandent les chercheurs

Les auteurs de l’étude ne réclament pas “l’abandon de la vaccination” ni n’alimentent un discours conspirationniste.
Leur message est clair: ces produits ne respectent pas les normes de sécurité établies.
Ils exigent :

  • Le retrait immédiat des lots contaminés
  • Un moratoire sur l’utilisation des vaccins concernés
  • Une enquête indépendante sur les processus de fabrication

Ce que vous devez retenir (et ce que vous pouvez faire)

Est-ce une raison de paniquer ?

Non. C’est une raison de s’informer, de questionner, et d’agir (lisez les livres proposés au bas de l’article).
Ce que révèle cette étude n’est pas un “complot”, mais une défaillance grave des processus de contrôle d’un produit injecté à grande échelle!

La transparence scientifique n’est pas un luxe. C’est une obligation.

Comment exiger la transparence sanitaire

  • Partagez cet article.
  • Visionnez et diffusez des documentaires comme Inside mRNA Vaccines
  • Demandez des comptes à vos représentants de santé
  • Interrogez les autorités sanitaires sur les lots utilisés dans votre région

L’importance de preuves indépendantes

Dans une époque où l’expertise est souvent captive d’intérêts privés, l’indépendance scientifique est notre meilleure protection collective.
Et aujourd’hui, elle nous dit : quelque chose cloche profondément dans ces formulations.

FAQ: vos questions, nos réponses

1. Ces résidus d’ADN peuvent-ils vraiment s’intégrer dans notre génome ?
C’est biologiquement plausible, surtout en cas de contact avec des cellules en division rapide.
C’est pourquoi les seuils sont si stricts.

2. Tous les vaccins ARNm sont-ils concernés ?
L’étude a testé des flacons de Pfizer et Moderna, dans toutes leurs versions connues. Tous étaient contaminés.

3. Pourquoi personne n’en parle ?
Les mécanismes de contrôle, de financement et de communication dans le monde médical rendent ce type d’information difficile à faire remonter au public.

4. Que signifie “promoteur SV40” ?
C’est une séquence génétique puissante utilisée pour forcer l’expression de gènes. Elle est associée à un potentiel oncogène élevé.

5. Ces doses sont-elles toujours administrées ?
Oui. L’étude date de septembre 2025 et les flacons testés sont récents.

6. Peut-on identifier les lots à éviter ?
Certaines bases de données comme VAERS permettent de croiser les effets indésirables par lot. Mais cette analyse nécessite des compétences techniques.

7. Existe-t-il une solution ?
Le premier pas est la prise de conscience collective. Ensuite, exiger une action réglementaire est indispensable.

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L’Université d’Été Rassemblante (UER 2025)

Organisé par Cécile Maichak (Doctothon) les 13 et 14 septembre 2025 dans les environs de Castres (Tarn). Deux journées de partage et de rencontres.

Pour accéder au programme : https://uer2025.fr/programme
Pour s’inscrire : https://uer2025.fr/

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Audience électrique au Sénat : RFK Jr. explose le CDC, dénonce Big Pharma et les sénateurs corrompus !

Source : Babel TV

C’était une audience électrique au Sénat américain. Pendant plus de trois heures, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé, a affronté une armée de sénateurs hostiles, tous alignés derrière le même mantra : « sûrs et efficaces ».

Mais derrière leurs slogans, une réalité glaçante : des millions de dollars de Big Pharma coulent dans leurs campagnes.

Pendant ce temps, Kennedy révèle les vérités qui dérangent :
•Le coup de balai au CDC et le licenciement des responsables du désastre COVID.
•Les dangers des injections à ARNm : caillots, turbo-cancers, effets à long terme ignorés.
•La dénonciation des conflits d’intérêts et de la corruption systémique des sénateurs.
•Les risques sanitaires de la 5G, encore passés sous silence.
•La fracture entre les États-Unis : la Floride supprime tous les mandats de vaccination tandis que la Californie les renforce. •L’écho mondial, de l’Europe à la France, où la confiance dans les institutions s’effondre. Kennedy ne parle pas seulement aux Américains. Il pose la question fondamentale pour le monde entier : voulons-nous rester des cobayes dans un essai clinique planétaire… ou reprendre le contrôle de nos vies ?

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Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Source : Le Point Critique

Une partie de la communauté scientifique a alerté il y a plus de quatre ans sur les risques de cancer associés aux injections à ARNm contre le COVID. Les données de la littérature suggèrent aujourd’hui qu’elles auraient la capacité d’induire, d’accélérer ou de réveiller des cancers de 17 manières différentes.

La vaccination de masse contre le COVID est-elle à l’orgine d’une explosion des cas de cancers comme l’affirment de nombreux scientifiques, dont certains l’avaient prophétisée dès mai 2021 ? Un collectif d’oncologues français a publié il y a deux ans une tribune dans laquelle ils réfutent catégoriquement cette hypothèse : « À ce jour, aucun lien d’alerte n’a été publié entre une incidence accrue ou risque de progression rapide de cancer après vaccination anti-COVID-19 ou après une autre vaccination. » Ils affirment aujourd’hui être confrontés à un tsunami de cancers fulgurants, en particulier chez les jeunes, auquel ils disent ne trouver aucune explication rationnelle :

On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Il s’est passé quelque chose ? On ne sait pas. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. […] Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut.Pr Khayat, cofondateur de l’InCA

Si le Pr Khayat est cohérent, il ne peut théoriquement pas exclure que la vaccination puisse être à l’origine de cette explosion des cas de cancer puisque celle-ci est (1) extrêmement récente si l’on se réfère à ses précédentes interventions, (2) elle touche l’ensemble de la planète – en particulier les populations qui ont été contraintes de s’injecter pour conserver une vie sociale ou qui ont fait une promotion agressive de la vaccination (les influenceurs notamment) –, et (3) elle semble répondre à une logique inédite. Comme le ferait une substance utilisée pour la première fois chez l’homme, dont on ne connaît qu’une partie de la composition et dont l’impact sur le cancer n’a pas été évalué avant son déploiement massif[1].

L’épidémiologiste Nicolas Huscher a répertorié en mars dernier 10 manières dont les injections à ARN messager anti-COVID peuvent provoquer le cancer. Cette liste, issue d’une étude[2] publiée en décembre 2023 dans la revue Cureus peut selon nous être aujourd’hui étendue à 17 items sur la base (non exhaustive) de plus de 100 études.

1. Instabilité du génome

Le risque d’une intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des personnes vaccinées a été confirmé en 2021 par une série d’études[3],[4],[5]. La mutagenèse insertionnelle induite par l’intégration de l’ADN provoque des mutations de décalage de trame (frameshift) qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer.

L’Agence européenne des médicaments affirme toujours que l’ARNm vaccinal ne peut pas pénétrer le noyau des cellules, cette intégration supposant le recours à une enzyme (transcriptase inverse) qui serait, selon elle, absente des cellules humaines. Or cette affirmation, qui ne repose sur aucune preuve, a été infirmée en juin 2021. Ce phénomène a été observé en juillet 2023 chez des souris, où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique[6]. Plus récemment, de la protéine Spike vaccinale a été retrouvée dans des tumeurs de patients vaccinés[7], ce qui suggère qu’il peut s’intégrer dans le génome, la première conséquence redoutée d’une telle intégration étant le développement d’un cancer.

Cette hypothèse a été relancée mi-avril par les scientifiques d’un laboratoire de recherche biomoléculaire (Neo7Bioscience) et des chercheurs de l’Université du Nord-Texas[8]. Les données moléculaires qu’ils ont recueillies suggèrent que l’ARN dérivé du vaccin pourrait être rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant de manière permanente la régulation des gènes. Elles révèlent également des signes cancérigènes et un effondrement immunitaire.

2. Évasion immunitaire

La protéine Spike (S2) inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs (p53, BRCA1/2, RB1)[9],[10],[11], auxquels elle se lie, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection et à leur destruction par le système immunitaire. L’épidémiologiste Nicolas Hulscher parle d’un « retournement oncogène ».

La première étude démontrant cette interférence de la protéine Spike avec la protéine p53, également appelée « gardienne du génome » a été publiée en octobre 2021[12] par Jiang et al. L’étude a été rétractée en mai 2022 sur ordre du NIH d’Anthony Fauci. Une demande de publication des échanges de mails concernant cette rétraction a été déposée dans le cadre de la loi d’accès à l’information, mais le NIH refuse toujours de communiquer les 490 pages de communications. Ces résultats ont été confirmés in vitro par Zhang et El Deiry[13] en 2024 et un mois plus tard in vivo[14].

3. Mécanisme de réparation de l’ADN altéré

La protéine Spike vaccinale induit des altérations génomiques et inhibe le système de réparation de l’ADN (Jiang, Zhang et El Deiry). Ce mécanisme se met normalement en place en cas d’agression de l’organisme, pour prévenir des mutations qui peuvent favoriser l’apparition de cancers, réparer des erreurs affectant les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs.Son altération induit une immunodéficience qui est « une voie directe vers le cancer[15] ».

La séquence stratégique de la protéine Spike brevetée en 2016 par Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, permettrait de cibler un gène (MSH3)[16] dont la modification entraîne un déficit de la réparation de l’ADN[17]. Les voies par lesquelles la protéine Spike inhibe ce mécanisme sont répertoriées dans l’article de Başaran et al.[18] publié en avril dernier.

4. Inflammation chronique

Les nanoparticules lipidiques[19],[20] servant au transport de l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires[21],[22],[23],[24] (tempête cytokinique) ouvrant la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Ces cellules sont susceptibles de se développer dans l’ensemble des organes (y compris les cellules souches sanguines[25]) compte tenu de la biodistribution généralisée de la protéine Spike[26],[27], dont la pathogénicité est décrite de manière détaillée dans trois revues de la littérature[28],[29],[30] et dans plus de 320 études. Cette inflammation peut résulter en un épuisement des cellules T, qui ne sont alors plus en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses.

L’IA Grok confirme que les injections sont à l’origine d’une inflammation aiguë, mais qui se résoudrait en quelques jours (Bergamaschi, Ogata) et qui serait comparable à celle d’autres vaccins. Il précise qu’une inflammation chronique nécessite une stimulation prolongée, alors que « la production de Spike vaccinale est limitée dans le temps (l’ARNm est dégradé en quelques jours, la Spike en quelques semaines), rendant improbable une inflammation chronique ». Cette affirmation est contredite par une série d’études[31], notamment quatre études récentes où la protéine Spike a été retrouvée dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après une injection[32] (245 jours[33] ou 12 mois[34] selon d’autres études), et jusqu’à 17 mois[35] dans les tissus et les organes de patientes japonaises, en particulier le cerveau. Plus de quatre ans après les premières injections, personne ne sait en réalité si le corps s’arrête de la produire.

5. Dysrégulation du système immunitaire

La vaccination ARNm entraîne une suppression des cellules T (lymphopénie)[36] et des réponses à l’interféron de type I[37], qui joue un rôle crucial dans la surveillance et la prolifération du cancer. Ces modifications conduisent à une altération de l’immunité innée[38],[39],[40],[41] et à une reprogrammation de la réponse immunitaire adaptative[42],[43]. Une dérégulation du système immunitaire dans le système nerveux central a également été rapportée[44].

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, cette inhibition garantit une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite. Il est prouvé que l’ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1′) au vaccin à l’ARNm dans un modèle de mlanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, tandis que les vaccins sans modification de l’ARNm n’ont pas été induits par des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins à l’ARNm COVID-19 pourraient aider le développement du cancer.Rubio-Casillas et al. Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ) : Friend or foe of cancer? https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.

Grok cite une étude de 2020[45], réalisée par Ugur Sahin, le CEO de BioNTech, qui soutient que les vaccins à ARNm induisent des réponses robustes des cellules T CD4+ et CD8+ persistantes, détectées dès les premiers jours post-vaccination, ce qui contredirait l’idée d’une immunosuppression générale et durable. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent au contraire une diminution des lymphocytes T de 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 % à 46 % des participants[46] dont on sait aujourd’hui qu’elle s’aggrave dans le temps.

6. Perturbation de l’ARN

L’ARNm vaccinal est un ARNm modifié dans le but d’accroître sa longévité et sa production. La technique utilisée par Pfizer et Moderna (optimisation des codons) perturbe les microARN, qui sont des acteurs essentiels de la prolifération et de la mort cellulaire, notamment des cellules cancéreuses[47],[48]. Une étude a montré en 2021[49] que la protéine Spike vaccinale est transportée dans des vésicules (exosomes) contenant des microARN grâce auxquels elle va empêcher le fonctionnement des interférons et donc inhiber l’immunité naturelle, en perturbant les processus cellulaires comme la prolifération ou la surveillance des tumeurs.

7. Activation de voies oncogènes

La protéine Spike est soupçonnée d’activer indirectement plusieurs voies qui jouent un rôle crucial dans la croissance tumorale, la prolifération et la survie cellulaire (MAPK, PI3K/AKT/mTOR[50],[51],[52]), et d’augmenter le niveau de l’interleukine 6 (IL-6), un marqueur proinflammatoire impliqué dans l’immunité, l’inflammation, la croissance tumorale, la progression des métastases ou encore la résistance à l’immunothérapie. Son élévation chronique est associée à une inflammation susceptible de favoriser le cancer dans certains contextes.

Grok précise là encore qu’aucune étude n’établit formellement de lien entre ces perturbations et le cancer, mais une étude récente[53] a retouvé des preuves métaboliques d’une activation de certaines voies oncogènes, dont la voie PI3K/mTOR chez des patients ayant développé une leucémie dans les semaines suivant une deuxième ou troisième injection Pfizer.

8. Microenvironnement tumoral

Les nanoparticules lipidiques (NPL) s’accumulent dans les tissus via l’effet Enhanced Permeability and Retention (EPR), qui se caractérise par une perméabilité accrue des vaisseaux sanguins tumoraux et une rétention prolongée des nanoparticules dans le tissu tumoral. Les NPL provoquent ainsi une propagation plus rapide des cellules cancéreuses[54][55]pouvant expliquer le phénomène de « turbo cancer » décrit par les pathologistes et les oncologues et observé dans une étude portant sur des souris[56]. Une telle accélération d’un processus pathogène est-elle valable pour d’autres maladies induites par la protéine Spike ? Des chercheurs suédois ont en effet démontré en 2023 que la protéine Spike pouvait non seulement induire la maladie d’Alzheimer mais qu’elle diminuerait le temps d’incubation de la maladie de 80 %[57], provoquant ainsi une forme inédite de « turbo maladie d’Alzheimer ».

9. Réveil des cancers dormants

Les modifications induites dans le microenvironnement tumoral par l’inflammation associée au COVID-19 ou la vaccination peuvent affecter le réveil du cancer et la rechute métastatique[58].

Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel du vaccin contre la COVID-19. Ces cas montrent une croissance tumorale très rapide après l’administration du rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante que ce à quoi nous nous attendions chez les patients, même ceux qui étaient stables depuis des années. Les autorités de santé publique sont réticentes à reconnaître cette corrélation. Ce phénomène se produit partout dans le monde où les vaccins à ARNm ont été administrés.Pr Ian Brighthope. Le grand débat : Port Hedland contre le Premier ministre. 29 Nov. 2024

La capacité de la protéine Spike du SRAS-CoV-2 à fusionner plusieurs cellules[59],[60],[61] permettrait d’expliquer la cascade de complications du COVID-19, dont le cancer. La formation de syncytia résultant de cette fusion pourrait en effet contribuer au développement ou à la progression du cancer, en particulier en cas de lésion préexistante, mais également à la formation de métastases et à la récidice des cancers en rémission, selon un ancien professeur de l’université de Yale, Yuri Lazebni[62].

Précision, l’ivermectine, dont l’efficacité contre le COVID-19 est confirmée à ce jour par plus de 100 études, possède de nombreux effets antitumoraux[63] (inhibition des cellules souches tumorales, de la prolifération, des métastases et de l’activité angiogénique, accélération de la mort programmée des cellules cancéreuses, inversion de la multirésistance aux médicaments), dont sa capacité à inhiber la formation de syncytia induite lors de la fusion cellulaire médiée par la protéine Spike[64]. L’ivermectine, nobélisée en 2006, présente un niveau de sécurité exceptionnel, y compris chez les enfants et les femmes enceintes, ce qui en fait une molécule essentielle selon l’OMS. Pourquoi n’a-t-elle pas été autorisée alors que l’on ne savait rien de l’efficacité, de la sécurité et du potentiel cancérigène des injections ARNm ? La question devra tôt ou tard être posée.

10. Altération de la surveillance immunitaire 

L’ARNm modifié rend les cellules tumorales « invisibles » en bloquant l’activation des récepteurs de première ligne du système immunitaire (récepteurs de type Toll, ou TLR).

Karikó et Weissman, les deux chercheurs à l’origine du vaccin anti-COVID de Pfizer, expliquaient en 2005[65] que la modification synthétique de l’ARN par l’ajout de m1Ψ (pour laquelle ils ont obtenu le prix Nobel de médecine), supprimaient partiellement ce bouclier en bloquant la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques primaires. Or l’une des fonctions de ces cellules est de reconnaître ou de « signaler » les agents pathogènes, en particulier les cellules cancéreuses, et d’induire une réponse immunitaire ciblée.

Ces résultats ont été confirmés en 2015[66] et 2016[67]. L’étude de 2016 démontre par ailleurs que l’utilisation d’ARNm synthétique n’est pas plus performante que l’ARN naturel alors qu’elle en augmente la toxicité (élévation des cytokines, neutrophilie), notamment en activant les cellules myéloïdes dans le sang et la rate, ce qui peut refléter un processus cancérigène.

Une étude de 2021[68] confirme que les récepteurs de type Toll peuvent agir comme une arme à double tranchant et « améliorer la pathologie » qu’ils sont censés prévenir lorsque les réponses TLR sont dysrégulées.

11. Décalage de cadre (frameshift)

L’ARNm modifié des vaccins Pfizer et Moderna produit une réponse immunitaire aberrante lorsqu’il est traduit. Dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine « absurde » ou inconnue, autre que la protéine Spike pour laquelle il est programmé. L’étude[69] a été publiée en janvier 2024. Les auteurs conviennent que si ces erreurs de traduction ne sont pas résolues avec la prochaine génération de vaccins COVID-19, elles poseront un problème de sécurité majeur. Ils estiment toutefois que cette découverte ne remet pas en cause la sécurité de la technologie. Une autre équipe de chercheurs[70] a émis un diagnostic beaucoup plus sévère en juin dernier sur cette défaillance majeure de la plateforme ARNm :

les ARNm modifiés […] ne sont pas utilisables en clinique en raison de leur nature durable, potentiellement permanente et immunostimulante. […] La nature persistante de l’ARNm codant pour la protéine Spike du SARS-CoV-2 entraîne une exposition dangereusement longue à une dose illimitée de cette protéine pathogène, et doit donc être réévaluée pour une utilisation continue chez l’homme.

12. Injections multiples

Les expositions répétées à l’ARNm synthétique et la Spike vaccinale entraînent un épuisement du système immunitaire[71]. Cette immunosuppression, qui s’explique probablement par l’opitimisation des codons et par le mécanisme de facilitation dépendante des anticorps (ADE)[72],[73], suspecté dès les essais cliniques, est marquée par un changement de classe des anticorps (IgG4)[74],[75],[76] aujourd’hui massivement documenté. Cette modification catastrophique de la réponse immunitaire, non observée après une vaccination hétérologue ou avec des vaccins ADN (Irrgang), entraîne une tolérance immunitaire (les agents pathogènes cessent d’être reconnus comme tels) qui favorise les réinfections[77],[78] et la susceptibilité au cancer[79],[80],[81],[82],[83]. Précisons qu’à ce jour, la fondation Peter McCullough a recensé au moins 7 études[84],[85],[86],[87],[88],[89],[90] démontrant l’efficacité négative des injections.

13. Contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna

Les vaccins Pfizer et Moderna contiennent de l’ADN plasmidique frauduleux[91],[92],[93],[94], dont la forme (double brin circulaire) le rend « compétent pour la réplication », ce qui signifie qu’il peut théoriquement s’intégrer au génome, et donc induire le cancer chez les vaccinés. Nous avons écrit de nombreux articles sur cette découverte, confirmée à ce jour par dix équipes de chercheurs[95] dans le monde, la dernière en date étant une généticienne moléculaire (Dr Soňa Peková)[96] mandatée par le gouvernement slovaque. Les quantités rapportées sont vertigineuses, puisqu’elles atteignent jusqu’à 500 fois le plafond fixé par l’Agence européenne des médicaments, ce qui implique que l’intégration dans le génome peut se faire spontanément, maximisant le risque de cancer.

14. Séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer

L’ajout de séquences stratégiques de SV40, utilisées en génétique pour « hacker » le noyau cellulaire[97], décuple la capacité de l’ARNm à s’intéger dans le génome.

Son utilisation, prohibée par la FDA, a finalement été concédée par Pfizer, mais le laboratoire soutient qu’elle ne présente aucun risque sanitaire. Sa cancérogénicité, déjà abondamment documentée, a pourtant été confirmée en octobre dernier par une étude publiée dans le New England Journal of Medicine[98]. La possibilité qu’il puisse entraîner des cancers est par ailleurs suggérée par une étude[99] récente impliquant des sujets vaccinés Pfizer et Moderna, où des antigènes tumoraux ont été retrouvés exclusivement dans le sang des vaccinés Pfizer.

Selon le Dr McKernan, à l’origine de cette découverte, l’ensemble des vaccins Pfizer (adultes, pédiatriques, monovalents, bivalents) seraient concernés par cette fraude dont l’origine est attribuée au changement de méthode[100] de production effectué après l’homologation des injections pour répondre aux contraintes industrielles liées au contexte pandémique. Le Pr Angus Dalgleish, l’un des oncologues les plus éminents au monde, a rappelé dans ce contexte que le SV40 est la substance que les chercheurs en cancérologie injectent aux souris pour induire un cancer lorsqu’ils veulent tester une chimiothérapie. Le laboratoire Pfizer, qui occupe désormais une position de quasi monopole sur le marché des traitements anticancéreux pouvait-il l’ignorer ? Non, et il n’a pas modifié sa formule malgré l’effondrement de la demande de vaccins.

15. Dérégulation du système rénine-angiotensine (SRA)

La protéine spike vaccinale entraîne la suractivation d’un récepteur clé (AT1R) du système rénine-angiotensine, qui commande notamment la multiplication des cellules. Cette suractivation favorise la vascularisation, et donc la prolifération des tumeurs, et engendre un stress oxydant délétère pour les cellules. Le Dr Jean-Marc Sabatier[101] a alerté dès mars 2020 sur les conséquences de ce dérèglement physiologique, à l’origine d’un déséquilibre entre la réponse immunitaire innée et acquise, et dont il avait prophétisé qu’il risquait d’induire de nombreux cancers.

16. Destruction du microbiote

Les « vaccins » à ARNm détruisent les bifidobactéries présentes dans le microbiote (flore intestinale), qui joue un rôle clé dans la régulation du cancer et les réponses aux thérapies anticancer. Une étude révolutionnaire publiée par le Dr Sabine Hazan[102] a montré en 2022 que la vaccination ARNm contre le COVID décime les bifidobactéries présentes dans le microbiote intestinal, où cette perte a été observée chez les patients atteints de cancer invasif. L’impact délétère des injections sur le microbiote semble confirmé aujourd’hui par la découverte de protéine Spike dans une biopsie de tumeur de côlon chez un patient vacciné Pfizer.

17. Augmentation de la résistance aux traitements

La protéine Spike virale et potentiellement vaccinale prolonge la survie des cellules cancéreuses après une exposition à la chimiothérapie. Ce résultat a été mis en évidence en 2024 par S. Zhang et WS El-Deiry. Bien que les preuves se limitent à la protéine Spike virale, les auteurs estiment que cette perturbation de la réponse immunitaire, qui est étroitement corrélée à l’inhibition du gène p53 età l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN, peut être favorisée par les injections répétées, administrées sous forme de rappels, et par les quantités astronomiques de protéine Spike produite.

On pourrait ajouter à ce tableau catastrophique[103] la probable présence de gènes cachés dans les injections, dont personne ne peut prédire l’impact qu’ils pourraient avoir sur la santé. On ne peut malheureusement citer aucune preuve de l’innocuité des injections, dans la mesure où leur cancérogénicité n’a été évaluée dans aucun essai, et où aucune étude ne démontre, à notre connaissance, que les injections ne peuvent pas induire, réveiller ou accélérer un cancer.

Un essai clinique de grande ampleur lancé en 2021 en Australie se proposait de répondre à cette question. Il a été brutalement interrompu sans explication par les autorités australiennes, qui s’apprêtent à détruire illégalement les millions d’échantillons de tissus biologiques collectés à cette fin. Autre fait profondément troublant, plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer hautement toxiques suggérant que le laboratoire a développé des produits de trois niveaux de toxicité différents. Des clusters de cas de cancer se sont récemment déclarés dans plusieurs hôpitaux aux États-Unis et en Australie. Or le vaccin administré à l’une des infirmières concernées est précisément issu de l’un de ces lots à haut risque, qui correspond à celui où les plus importantes quantités d’ADN ont été retrouvées.

L’actuelle épidémie planétaire dont plus personne ne conteste la réalité a-t-elle été anticipée afin de tester la technologie sur laquelle l’industrie a massivement misé en dépit de son échec catastrophique[104] et dans laquelle elle a d’ores et déjà investi des sommes vertigineuses qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière ? C’est ce que pense le mari d’une infirmière, décédée d’un cancer quelques mois après avoir s’être fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, et dont l’époux porte plainte pour empoisonnement avec préméditation.


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[7] Le Dr McKernan a fait cette découverte en analysant la biopsie du cancer du côlon d’une personne ayant reçu quatre injections d’ARNm de Pfizer. Le député et ancien ministre japonais Kazuhiro Haraguchi a déclaré publiquement fin mai que de la protéine Spike vaccinale avait également été retrouvée dans les cellules cancéreuses de son lymphome malin.

[8] https://x.com/tatiann69922625/status/1931708697379480010. Cette découverte a fait l’objet d’une discussion avec l’épidémiologiste Nicolas Hulscher : https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-reverse-transcription-cancer.

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[11] Selon Valdes Angues et al., « Les cancers associés aux mutations TP53 incluent le cancer du sein, les sarcomes des tissus osseux et mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents incluent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal. Les cancers associés à une altération de l’activité de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et de l’ovaire chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, et une augmentation modeste du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes. Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 incluent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome ».

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[102] Hazan S, Dave S, Barrows B, Borody T. Messenger RNA SARS-CoV-2 vaccines affect the gut microbiome. Am J Gastroenterol. 2022 Oct;117(10S):e162. https://doi.org/10.14309/01.ajg.0000857548.07509.09.

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[104] Au delà de l’échec des injections anti-COVID, qui ont été homologuées sur la conviction des laboratoires qu’elles pourraient « probablement prévenir de nouvelles vagues pandémiques et ainsi réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (p. 14 du rapport d’évaluation du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech), la généticienne Alexandra Henrion Caude rapporte qu’en l’espace de vingt ans, aucun des 70 essais cliniques où cette technologie a été testée, sur 17 maladies différentes, n’a franchi le stade de la phase 1-2 (Les Apprentis Sorciers, p. 84). Voire la présentation de son livre au Parlement européen, le 18 avril 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=6HH5IyccJNk.

Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études Lire la suite »

Travaux de recherche sur les bactéries miroir : une menace sans précédent pour l’humanité

Source : LLB – Pétition

Nous sommes à un tournant critique de l’Histoire. Depuis 2018, des scientifiques travaillent dans l’ombre sur la création d’organismes qui pourraient anéantir toute vie sur Terre. Ces créatures artificielles, appelées « bactéries miroir », représentent une menace si terrifiante que 38 scientifiques éminents, dont plusieurs Prix Nobel, exigent aujourd’hui l’arrêt immédiat de toute recherche dans ce domaine. https://www.science.org/doi/10.1126/science.ads9158

QU’EST-CE QUE LES BACTÉRIES MIROIR ?

Tous les êtres vivants sur Terre – vous, moi, les animaux, les plantes, même les plus petites bactéries – obéissent à la même règle : nos protéines sont faites d’acides aminés « gauchers » et notre ADN de sucres « droitiers »³. Cette uniformité permet à nos systèmes biologiques de fonctionner harmonieusement depuis des milliards d’années.

Les bactéries miroir seraient l’exact opposé : des organismes artificiels utilisant des acides aminés « droitiers » et des sucres « gauchers ». En apparence semblables aux bactéries naturelles, elles seraient en réalité complètement invisibles à tous nos mécanismes de défense.

Nous ne pouvons pas laisser cette folie scientifique se poursuivre. Signez maintenant pour exiger l’arrêt immédiat de ces recherches dangereuses !

Je signe la pétition

DES RISQUES CATASTROPHIQUES POUR LA SANTÉ HUMAINE

Votre système immunitaire rendu totalement inefficace

Depuis votre naissance, votre système immunitaire a appris à reconnaître et combattre les menaces basées sur leur forme moléculaire spécifique. Face aux bactéries miroir, il serait totalement aveugle

C’est justement ce qui intéresse l’industrie pharmaceutique.

Un des problèmes majeurs des médicaments est de les faire parvenir à l’endroit voulu dans le corps. Comme ce ne sont pas des composants normaux du corps humain, notre système immunitaire les identifie de manière tout à fait logique comme des corps étrangers et fait en sorte de les détruire avant qu’ils aient pu agir.

Les bactéries miroir pourraient produire des molécules miroir qui serviraient de médicaments et ne risqueraient pas d’être détruites en cours de route. Cela permettrait de produire des “médicaments” avec un coût beaucoup plus faible.

Mais voulons-nous vraiment que des organismes ou des molécules puissent entrer dans notre corps sans que nos défenses naturelles ne puissent réagir ?

Contre les bactéries miroir, nos antibiotiques actuels seraient complètement inutiles. Ils sont conçus pour cibler la forme naturelle des bactéries. Face à des bactéries miroir, ils seraient aussi efficaces qu’un parapluie contre un tsunami.

Des pandémies incontrôlables

Les experts redoutent que ces bactéries miroir puissent causer des pandémies d’une ampleur inédite. Sans système immunitaire capable de les stopper et sans traitements efficaces, elles pourraient se propager librement dans la population humaine.

Dr. Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security, met en garde : « Les bactéries miroir, si elles étaient créées, pourraient se propager largement et de manière irréversible, avec le potentiel d’une mortalité extraordinaire chez les humains et de nombreuses autres espèces ».

UN DÉSASTRE ÉCOLOGIQUE PLANÉTAIRE

La destruction des écosystèmes

Les bactéries miroir ne menacent pas seulement l’humanité. Elles pourraient ravager tous les écosystèmes terrestres. Les virus et prédateurs naturels qui régulent normalement les populations bactériennes ne pourraient pas les reconnaître ni les détruire.

Sans ces mécanismes de contrôle naturel, les bactéries miroir auraient un avantage de survie inédit¹⁰. Elles pourraient proliférer sans limite, envahir les sols, contaminer l’eau, et perturber des équilibres écologiques vieux de milliards d’années.

L’agriculture en péril

Nos cultures seraient particulièrement vulnérables. Les plantes n’ont aucune défense contre ces organismes artificiels. Les bactéries miroir pourraient détruire les récoltes mondiales, provoquant des famines à l’échelle planétaire¹.

Cette recherche irresponsable met en danger notre survie même. Nous devons agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard !

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L’ALERTE ROUGE DE LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE

Un consensus sans précédent

En décembre 2024, un événement extraordinaire s’est produit. Trente-huit scientifiques de renommée mondiale, issus de neuf pays différents, ont publié un rapport de 300 pages dans la prestigieuse revue Science. Parmi eux, plusieurs Prix Nobel et des experts en immunologie, écologie, et biosécurité.

Leur message est clair et alarmant : « Les bactéries miroir ne doivent pas être créées ».

Des chercheurs qui abandonnent leurs travaux

L’alerte est si grave que plusieurs scientifiques ont volontairement abandonné leurs recherches sur la vie miroir. Le Dr. Kate Adamala de l’Université du Minnesota, pionnière dans ce domaine, a cessé ses travaux après avoir pris conscience des risques.

Des conférences internationales d’urgence

En 2025, des conférences internationales se sont tenues à Paris, Manchester et Singapour pour alerter la communauté scientifique et les décideurs politiques. Le consensus est unanime : ces recherches doivent s’arrêter immédiatement.

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L’INACTION COUPABLE DES AUTORITÉS

Aucun encadrement réglementaire

Malgré ces alertes répétées, aucune autorité internationale n’a encore pris de mesures contraignantes pour interdire ces recherches. Les cadres réglementaires actuels pour la recherche biologique à haut risque sont totalement inadéquats face à cette menace.

La course folle continue

Pendant que les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, certains laboratoires pourraient continuer ces travaux dans l’ombre. Des équipes en Chine ont déjà créé des protéines miroir et estiment qu’une cellule miroir viable pourrait voir le jour d’ici 10 ans.

L’urgence d’agir

Nous n’avons plus le luxe d’attendre. Une fois qu’une bactérie miroir aura été créée et qu’elle s’échappera dans la nature – et l’Histoire nous montre que les accidents de laboratoire arrivent toujours – il sera trop tard pour revenir en arrière.

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NOS EXIGENCES SONT CLAIRES

Nous demandons aux gouvernements du monde entier de prendre des mesures immédiates :

L’arrêt immédiat de tous les financements publics et privés pour la recherche sur les bactéries miroir

L’interdiction légale de toute recherche visant à créer des organismes miroir auto-réplicants

La mise en place d’un moratoire international contraignant sur ces travaux

La création d’un organisme de surveillance international pour contrôler les recherches en biologie de synthèse

L’obligation pour les institutions de recherche de déclarer publiquement qu’elles ne soutiendront pas ces travaux dangereux

L’ouverture d’un débat public transparent impliquant citoyens, scientifiques et décideurs

NOTRE AVENIR EST ENTRE NOS MAINS

Cette pétition n’est pas un simple cri d’alarme. C’est un appel à la raison face à une dérive scientifique qui pourrait coûter la vie à des milliards d’êtres humains et détruire notre planète.

Les scientifiques nous ont prévenus. Les risques sont documentés. Les alternatives existent pour faire avancer la science sans créer ces monstres biologiques.

Il ne manque plus que notre voix collective pour forcer les autorités à agir.

Chaque signature compte. Chaque partage compte. Notre mobilisation peut faire la différence entre un avenir serein et une catastrophe planétaire.

Nous avons le pouvoir d’arrêter cette folie avant qu’il ne soit trop tard. Nous avons le devoir de protéger notre avenir et celui de nos enfants.

Le moment d’agir, c’est maintenant. Signez cette pétition et partagez-la massivement autour de vous.

Je signe la pétition

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Procès Covid contre Bill Gates et ses co-conspirateurs aux Pays-Bas : la Cour tente de museler les experts

Source : Essentiel News

Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone préparent la riposte.

Dans l’affaire trop peu médiatisée des victimes des vaccins Covid contre Bill Gates, Albert Bourla et une quinzaine d’autres accusés, le tribunal de Leeuwarden aux Pays-Bas a décidé de ne pas entendre les experts et a censuré les débats, sur base d’une recommandation qui semblait avoir été édictée en dernière minute.

L’on pouvait s’y attendre car les plaignants néerlandais, des victimes des vaccins Covid et la fondation Rechtoprecht ont attaqué en force: ils parlent de génocide et de destruction planifiée pour organiser un « grand reset », sous couvert de réponse à la pandémie. Et pour attester du complot, ils ont recruté une équipe de choc: des voix qui pèsent tant par leurs qualifications que par leur acharnement à exposer « les crimes Covid ».

Dr Mike Yeadon: britannique, ancien vice-président pour la recherche et le développement des produits concernant les maladies respiratoires au niveau mondial pour le groupe Pfizer. Mike Yeadon a déclaré à maintes reprises que le fait d’utiliser la protéine spike qui est à l’origine du processus inflammatoire de la maladie comme base de fabrication des vaccins Covid, était un choix erroné qui violait les principes de précautions habituels de l’industrie pharmaceutique. Cette erreur manifeste ayant été commise par tous les fabricants démontre selon lui une intention de nuire concertée. En outre, le Dr Yeadon expose aussi le fait que l’on ignore ce que contiennent les vaccins Covid et qu’il est virtuellement impossible d’en contrôler les lots.

L’économiste Catherine Austin Fitts: ancienne sous-secrétaire au logement sous la 1ère administration Bush et fondatrice du Solari Report, elle a été une des premières à dénoncer le reset de l’architecture financière opéré sous couvert de pandémie et la destruction délibérée de la petite et moyenne entreprise au profit des grands capitaux. Dans « The Going Down Reset », l’économiste explique comment les banquiers centraux se sont accordés sur la plan d’accaparement des ressources et d’endettement présenté par Blackrock le 22 août 2019, 6 mois avant la pandémie, et dont l’accélération a été enclenchée au lendemain de la déclaration d’une alerte sanitaire liée au SARS-cov-2 par l’OMS.

Katherine Watt: une juriste américaine. Elle a exposé tout le montage juridique, dont le fameux « Prep Act » aux États-Unis qui permet de contourner la législation pharmaceutique et médicale normale en donnant les pleins pouvoirs aux militaires pour fabriquer et imposer des produits expérimentaux utilisés comme armes biologiques lors de la déclaration d’un risque de pandémie. Cette même législation organise une complète opacité et une totale exonération de tous les acteurs impliqués lorsque l’urgence est décrétée.

Sasha Latypova, une entrepreneuse dans le domaine pharmaceutique, experte dans la réglementation du développement et de la production des produits. Elle a démontré depuis le début de la pandémie les nombreuses failles de sécurité et de réglementation des produits, ainsi que le manque de contrôle des vaccins, notamment la qualité des lots.

Joseph Sansone, docteur en psychologie. Il affirme que la crise du Covid 19 a été utilisée à des fins de guerre psychologique pour induire des sentiments de peur, avec l’intention de manipuler les foules et de contrôler le comportement des peuples. Sansone a répertorié différents mécanismes psychologiques, dont certains proches de l’hypnose, qui ont été utilisés par les politiques et les médias de masse pour parvenir à ces fins.

Le sixième témoin sollicité par l’accusation était le professeur Francis Boyle, un expert en armes biologiques qui a contribué à l’élaboration de lois internationales sur les armes biologiques. Trois semaines après avoir accepté de témoigner, il est décédé subitement. La cause de son décès n’a pas été divulguée. Boyle avait plus de 70 ans, mais il était en bonne santé et enseignait à plein temps.

Il ne fait pas de doute que la pression exercée sur la partie plaignante est de taille. À la mi-juin, Arno Van Kessel, un des principaux avocats avait été arrêté par une unité de forces spéciales et son domicile avait été perquisitionné. À l’heure du procès à Leeuwarden, il était toujours en détention, sans que l’on sache véritablement pourquoi; une manœuvre arbitraire qui a laissé son collègue seul face à la défense et qui n’est pas sans rappeler le cas de l’avocat Reiner Fuellmich en Allemagne.

Manifestement, ces débats font peur, car le procès compte aborder des questions bien gênantes, comme le fait de savoir si:

  1. La technologie de l’ARNm/ADN peut être utilisée comme arme biologique?
  2. Les injections d’ARNm de Covid-19 ont été commercialisées en tant que produits médicaux réglementés?
  3. La législation impose l’utilisation de substances et de méthodes scientifiquement validées dans le but de promouvoir les injections d’ARNm (Covid-19) comme étant sûres et efficaces?
  4. Lorsque les injections d’ARNm Covid-19 ont été administrées à des millions de personnes dans l’Union européenne, ces injections répondaient-elles aux exigences et aux garanties que les consommateurs peuvent attendre de produits pharmaceutiques?
  5. Sur quelle base les virus, les vaccins, la thérapie génique et les autres produits biologiques sont-ils différenciés des armes biologiques et bactériologiques?

Heureusement, il ne s’agit que d’une première décision et l’affaire est loin d’être terminée. Ce rejet avait de toute manière été anticipé et les avocats de l’accusation affirment avoir une série de stratégies alternatives pour poursuivre la procédure.

En attendant, un soutien du public est nécessaire face à une défense qui dispose de moyens quasi illimités. L’association Rechtoprecht lance un appel à l’aide via le communiqué de presse de leur avocat principal Peter Stassen.

Appel à l’aide et communiqué de presse envoyé par le bureau d’avocats des plaignants:

Communiqué du 20 août 2025 concernant la procédure de demande au tribunal de district de Leeuwarden avec le numéro de référence C/17/199273 / HA RK 25-17

Au nom de trois clients qui ont subi de graves dommages physiques et non matériels à la suite d’injections d’ARNm Covid-19, le soussigné a lancé une procédure de pétition au tribunal de district de Noord-Nederland, à Leeuwarden.

La demande au tribunal est d’entendre cinq témoins experts internationaux dont les opinions diffèrent du récit officiel de Covid-19 (une demande de preuves préliminaires). Mes clients, comme beaucoup de ceux qui réalisent que le Covid-19 n’est pas une maladie mais un projet, ont des questions urgentes d’une grande importance sociale.

Un débat social ou scientifique sur ces questions ne peut avoir lieu sans intervention judiciaire. Pour cette raison, il est de la plus haute importance que les experts soient entendus devant les tribunaux, devant le juge et avec la possibilité d’un débat public de procédure et de deuxième avis. Cela permet à mes clients – et à d’autres – de déterminer leur situation juridique en fonction de ces informations. Les questions de la procédure de pétition concernent, entre autres, la question de savoir si les injections d’ARNm du Covid-19 constituent une arme biologique utilisée par les défendeurs, en tant qu’exécuteurs du projet Covid-19: The Great Reset, pour commettre un génocide.

Les experts nommés dans ce contexte sont Catherine Austin Fitts, Michael Yeadon, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone. Pour plus de détails sur la requête et les CV de ces témoins experts, veuillez vous référer aux documents judiciaires publiés sur le site Web de la Fondation RechtOprecht, qui facilite ces procédures (www.RechtOprecht.online). Sur le site Web susmentionné, vous trouverez également les documents de procédure complets dans une procédure de fond (procédure d’assignation – citation à comparaître) que j’entame au nom de sept autres clients – et dont l’un est décédé à la suite des injections d’ARNm Covid-19.

Ces procédures de fond contiennent de nombreuses preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les injections de Covid-19 sont une arme biologique utilisée par les accusés agissant en groupe pour commettre un génocide. Ces procédures de fond sont également soutenues par la fondation Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). Une audience orale sera toujours requise dans ces procédures de fond avant que le tribunal de district de Leeuwarden ne puisse rendre un jugement (intérimaire). Aucune date n’a encore été fixée pour cette audience. Compte tenu de la similitude en matière, les deux procédures sont d’une grande importance publique. Tant les procédures de fond que les procédures de demande concernent les procédures de droit civil dans lesquelles j’ai une vaste expérience et je me suis longuement spécialisé à travers mes plus de vingt ans de pratique juridique et de multiples formations de troisième cycle (Grotius).

Pour soutenir financièrement ces deux affaires, la Fondation RechtOprecht s’appuie sur les dons des donateurs, qui sont essentiels à la poursuite de leur fonctionnement. Les options de dons peuvent également être trouvées sur le site Web susmentionné.

Peu de temps avant l’audience orale du 9 juillet, une nouvelle directive de presse a été introduite aux Pays-Bas, qui stipule que seuls les soi-disant « journalistes accrédités » sont autorisés à faire des enregistrements vidéo des audiences. Malgré le fait que le juge ne soit pas lié par cette directive de presse et vu ma demande urgente au juge d’autoriser les enregistrements vidéo par les nombreux reporters présents, l’audience a été censurée. Car les « journalistes accrédités » ont brillé par leur absence. En ce qui concerne le cours discutable des événements survenus lors et autour de cette audience, je me réfère à la correspondance avec le tribunal consécutive au procès, qui est également publiée sur le site Web.

Il n’y avait pas d’argumentation convaincante justifiant le rejet d’entendre des experts lors de l’audience du 9 juillet. Au cours de cette audience, j’ai longuement discuté de l’énorme intérêt de la procédure pour le public. Le juge, qui a entendu l’affaire, a également déclaré lors de l’audience qu’il reconnaissait l’intérêt public dans la demande. Et l’avocat de Bill Gates s’est reporté à la décision du tribunal, de sorte qu’aucune objection n’a été soulevée contre lui quant à l’octroi de la demande, et elle était donc prête à être accordée.

Avec un mépris total pour la situation de mes clients, plusieurs des défendeurs ont repris le récit officiel selon lequel les injections d’ARNm Covid-19 étaient sûres et efficaces. Les représentants des médias [les personnalités des médias néerlandais qui sont accusées en tant qu’individus dans l’affaire] ont fait valoir que leurs employeurs (NOS/Telegraaf), et non eux-mêmes, auraient dû être poursuivis. J’ai conclu mon plaidoyer en notant que si le juge rejetait la demande, elle aurait le même sang sur les mains que les défendeurs, et j’ai souhaité à la juge beaucoup de sagesse dans sa décision.

La décision d’aujourd’hui montre clairement que la juge n’a pas eu la sagesse de ne pas se salir les mains dans cette affaire. Un enregistrement audio édité de l’audience, autorisé par le tribunal, ne sera disponible qu’en même temps que le verdict. Vous ne pourrez pas voir les réponses non verbales du public et de la défense sur cet enregistrement. Cet enregistrement audio sera également publié sur le site Web susmentionné de la Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). En réponse à mes questions, le tribunal a refusé d’expliquer pourquoi il a décidé de déformer les voix des avocats des accusés dans ces enregistrements.

Prochaines étapes:

La décision maladroite de ce tribunal de première instance fera l’objet d’un appel devant la Cour d’appel de Leeuwarden. Les défendeurs ont encore beaucoup à affronter sur le plan procédural. C’est pourquoi, à la fin de ce communiqué de presse, j’aimerais attirer votre attention sur les développements à venir qui sont d’une grande importance sociale.

En ce qui concerne les procédures, nous rappelons aux médias, et en particulier à la presse (journalistes) que d’autres preuves seront présentées dans les procédures de fond. Ces preuves montrent clairement que les injections d’ARNm du Covid-19 se qualifient comme une arme biologique utilisée pour commettre un génocide.

Cela démontre également que le public est toujours induit en erreur par la perception que les injections d’ARNm Covid-19 sont un vaccin développé et produit avec des garanties de sécurité. Dans la procédure de fond, il a été avancé que l’ancien ministre néerlandais de la Santé Hugo de Jonge, entre autres, a trompé le public en déclarant (ensemble avec d’autres collègues exécutants du projet Covid-19: The Great Reset) que « le vaccin a été rigoureusement testé et qu’aucune précaution n’a été négligée ». Ceci, alors que, comme le démontreront ces nouvelles preuves, il s’agit en fait d’une arme biologique. Un nouveau communiqué de presse suivra à l’occasion de l’introduction de ces éléments dans les procédures principales.

Peter Stassen, avocat principal

Les dons pour la suite de la procédure de ce procès historique peuvent être faits à la Fondation RechtOprecht. N° de compte IBAN NL62 ABNA 0548 3386 98

Voir la vidéo Discussion sur l’affaire judiciaire aux Pays-Bas (et bien plus encore) avec Liz Gunn, journaliste néo-zélandaise, et Jim Ferguson, journaliste britannique:

Sasha Latypova: Dans la première partie de l’interview, nous discutons de l’affaire en cours aux Pays-Bas contre les responsables gouvernementaux Bourla, Gates et Schwab, accusés de démocide et d’utilisation d’armes biochimiques dans le cadre de l’opération militaire mondiale «Covid». Les autres sujets abordés dans l’interview sont les motivations qui poussent les gouvernements à attaquer la population et les méthodes psychologiques utilisées. De nombreux autres thèmes sont également abordés.

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Les Pfizer Papers au Parlement européen: une attaque délibérée sur la fertilité

Source : Essentiel News

Ce 3 septembre, la journaliste américaine Naomi Wolf a présenté les « Pfizer papers » au Parlement européen. Il s’agit d’un ensemble de rapports sur la sûreté et l’efficacité des vaccins Covid, établis à partir des données en possession du fabricant du vaccin, qui étaient initialement classées comme confidentielles. Les médias indépendants Kairos et France-Soir étaient présents. Image et vidéo de Kairos.

L’exposé de Wolf s’est révélé particulièrement choquant, de par les données communiquées et la nature des conclusions qui s’imposent suivant leur analyse. Pour la journaliste, qui rappelle qu’elle est une militante juive et qu’une partie de sa famille a péri dans les camps de concentration, la campagne de vaccination Covid doit être questionnée sous l’angle d’une volonté délibérée d’éliminer certaines catégories de la population.

Les Pfizer Papers sont:

  • des rapports établis à partir de 450 000 pages de documents reprenant toutes les données et études réalisées par le fabricant pour le dossier d’autorisation du vaccin. Ces données devaient rester confidentielles durant 75 ans. Elles ont été rendues publiques grâce à plusieurs procédures judiciaires auxquelles Naomi Wolf a participé et peuvent être consultées en ligne (FOIA)
  • 3250 experts du monde entier qui ont travaillé à l’analyse des données
  • La démonstration d’un assaut sur la fertilité des femmes et des hommes dans certaines catégories de la population. Les injections Covid affectent les organes reproducteurs, en particulier les ovaires, altèrent le placenta et le lait maternel des femmes vaccinées. Les troubles menstruels de tous types étaient déjà connus.
  • Elles impactent aussi la motilité du sperme chez les hommes.
  • Les vaccins Covid induisent des naissances prématurées et même un empoisonnement du lait maternel. Le taux de mortalité lié à la naissance a augmenté de 40% aux États-Unis.
  • Les risques cardiaques chez les jeunes étaient également clairement identifiés dans les données préliminaires.

Le plus grave sans doute: dès les premières semaines de la vaccination, des rapports alarmants ont été transmis par les autorités de santé israéliennes où les premières campagnes de vaccination ont eu lieu. Ces alertes ont pointé une augmentation importante des décès, des risques de myocardites chez les jeunes et des problèmes de fertilité chez les femmes. Malgré cela, en toute connaissance de cause, les autorités sanitaires américaines et la Maison Blanche ont décidé de recommander les vaccins à ces catégories à risque.

S’il est difficile d’incriminer Pfizer aux États-Unis, en raison de la législation d’urgence qui immunise le fabricant de toute responsabilité (le Prep Act), il faut par contre mener des accusations pénales envers les personnes ayant participé à ces décisions, ainsi qu’à la dissimulation de la vérité.

Enfin, la question d’une intention génocidaire est posée à la lumière d’un élément peu connu du public. Les vaccins Pfizer, qui ont été conçus en Allemagne par la firme BioNtech, ont également été formulés et produits par une entreprise chinoise, comme le montre un accord de principe avec la firme Fosun Pharma annoncé dès les premiers jours de la pandémie, le 20 mars 2020.

Révélations explosives sur Pfizer: une interview exclusive France-Soir avec Naomi Wolf

Livre Pfizer Papers, version française, aux éditions Marco Pietteur:  

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Une communication d’Alberto Brusa, président de Réaction19

Réaction19 crée une plateforme dédiée à la collecte de témoignages liés aux effets indésirables des injections ARNm contre le covid 19.

https://reaction19.fr/reaction19/actualites/ad-plaintes/aide-aux-victimes-effets-secondaires/fiche-aide-aux-victimes-effets-secondaires-vaccination-covid-19/?utm_campaign=&utm_medium=&utm_source=

 » Nous ne pourrons pas tout réparer. Mais ensemble, nous pouvons faire justice.

Depuis plusieurs mois, je reçois des témoignages bouleversants.
Des personnes brisées dans leur santé, dans leur vie, dans leur dignité.
Des proches endeuillés ou démunis. Tous confrontés à une même réalité : les effets secondaires graves de la vaccination COVID-19.

Mais tant que ces récits restent isolés, tant qu’ils ne sont ni formalisés, ni analysés, le droit ne peut rien.

🛡️ Donner voix à l’invisible, c’est notre responsabilité.
Sans déclaration, pas de défense.
Ce qui ne s’écrit pas n’existe pas aux yeux de la justice.

C’est pourquoi j’ai décidé d’ouvrir, au sein de REACTION19, une plateforme sécurisée dédiée à la collecte rigoureuse de ces témoignages.

Cette collecte n’est pas encore une procédure judiciaire.
C’est une étape préalable, stratégique et indispensable, pour évaluer l’ampleur des préjudices, identifier les responsabilités, et bâtir une réponse juridique structurée.

📂 Victimes, ou proches de victimes, vous pouvez dès aujourd’hui déposer un dossier.
Ce geste, bien que simple en apparence, est un acte fort.
Il vous inscrit dans une dynamique de vérité, et peut ouvrir la voie, demain, à une action collective, digne, déterminée, légitime.

🧾 Ce dépôt est entièrement gratuit. Il ne nécessite aucune adhésion.
Il n’engage à aucune procédure.
Il constitue la première étape d’un travail d’étude approfondi, destiné à évaluer la nature et l’ampleur des préjudices déclarés.
C’est à partir de cette analyse collective que pourra être envisagée la stratégie judiciaire la plus appropriée, en lien avec les victimes.

Faire exister ces récits, c’est sortir du silence. C’est poser les premières pierres d’une réponse de droit.
Il n’engage à rien, sinon à faire exister, enfin, ce que d’autres s’acharnent à taire.
« 

Reaction19.fr
Carlo Alberto Brusa
Président de l’Association Reaction19

Une communication d’Alberto Brusa, président de Réaction19 Lire la suite »

La santé dans tous ses états – 4 et 5 octobre 2025

Source : Les Nouveaux Mondes

Deux journées d’exploration pour remettre la santé au cœur de notre conscience, dans toutes ses dimensions : physique, émotionnelle, énergétique, mentale et spirituelle.

    • Dates(s)
      4 & 5 octobre 2025
    • Lieu
      Salle Aixagone – Saint-Cannat (13)
    • Tarif(s)
      Pass 2 jours : 154 € – Billets à la journée disponibles

Après le succès du FORUM « Voyage au-delà de la vie » en Novembre dernier, QuartzProd a la joie de vous convier à l’Événement Santé de la Rentrée 2025 :

La Santé dans tous ses états
4 & 5 octobre 2025
Salle Aixagone – Saint-Cannat (13)

Deux journées d’exploration pour remettre la santé au cœur de notre conscience, dans toutes ses dimensions : physique, émotionnelle, énergétique, mentale et spirituelle.

Un événement unique pour celles et ceux qui veulent comprendre, prévenir, ressentir et agir autrement sur leur santé.

Chaque conférence vous ouvrira les portes d’un nouvel espace de connaissance, avec des intervenants de renom, porteurs d’initiatives audacieuses, de sagesses profondes et de solutions concrètes.

Les grandes voix de la santé sont au rendez-vous

Louis Fouché
Médecin anesthésiste-réanimateur – Expert en éthique de la santé
> « Intelligence artificielle & médecine : espoir ou dérive ? »
Entre progrès technologiques et défis éthiques, Louis Fouché nous invite à penser une médecine qui reste profondément… humaine.

Christian Perronne
Infectiologue – Auteur – Visionnaire de la santé intégrative
> « Comprendre la santé autrement »
Un espace de dialogue précieux, en questions-réponses, pour repenser la prévention, l’immunité et l’autonomie du soin.

Christian Flèche
Créateur du décodage biologique – Psycho-Bio-Thérapeute
> « La maladie : un chemin de connaissance »
Une plongée au cœur des messages du corps. Quand nos symptômes parlent, que nous disent-ils vraiment de nous ?

Hélène Banoun
Pharmacienne-biologiste, chercheuse indépendante
> « Prévention, immunité et terrain personnel »
Elle met en lumière les leviers oubliés de la santé : nutrition, mouvement, stress… et conscience.

Pierre Lessard
Auteur – Enseignant spirituel – Expert en santé vibratoire
> « Élevez votre santé à haute fréquence »
Un parcours puissant vers l’autonomie, l’élévation de fréquence et l’éveil de vos facultés de guérison.

Leila del Monte
Pionnière de la communication animale intuitive
> « Et si vos animaux vous soignaient ? »
Une exploration touchante de l’intelligence émotionnelle animale… et de leur rôle insoupçonné dans notre équilibre.

Jean-Marc Vergnolle
Créateur de la méthode JMV® – Acupuncteur
> « Soigner les causes profondes avec la méthode JMV »
Une approche intégrative puissante pour réinformer le corps et libérer les déséquilibres à la source.

Bettina de Pauw – Psychologue et philosophe :
> « La santé au féminin : l’art de relier »
Une médecine sensible, intuitive et profondément humaine.

Jean-Michel Pratesi – Enseignant en Qi Gong :
> « Le mouvement, c’est la vie »
Retrouver l’ancrage et la régénération par le corps.

Aline & Anaïs – Médecins généralistes :
> « L’énergie plasma des GANS »
Une médecine du vivant, à la croisée de la science et de l’énergie

TARIFS & INFOS PRATIQUES
Pass 2 jours : 154 €
Billets à la journée disponibles
Tarif spécial *couple* et *étudiants* sur justificatif
Paiement possible en 2 ou 3 fois

Téléchargez le programme complet ici :

« La Santé dans tous ses états »,
un congrès inédit où se rencontrent savoirs scientifiques, expériences de terrain, approches complémentaires et réflexions humanistes.

« Je suis parce que nous sommes. »
Inspiré par l’esprit d’Ubuntu, ce rendez-vous est pensé comme un espace d’ouverture et de partage constructif.

Ni opposition, ni dogme : mais une envie sincère de construire ensemble une santé plus globale, plus vivante, plus humaine.

Pourquoi venir ?
Le monde change, les besoins évoluent.
La santé nous appelle à participer activement à son évolution.
Et c’est notre vitalité, notre curiosité, notre intelligence collective qu’elle attend.

La santé n’est pas seulement une absence de maladie.
C’est une danse subtile entre science et conscience, une intelligence à cultiver, un souffle à honorer.

Venez vivre cette expérience humaine, vibrante, transformatrice, aux côtés d’intervenants qui font bouger les lignes de la médecine, du soin, de l’éthique et du vivant.

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La santé dans tous ses états – 4 et 5 octobre 2025 Lire la suite »

Bayrou, Macron : 8 et 10 septembre… La France face au chaos organisé ?

Source : Babel TV

François Bayrou, Emmanuel Macron, et ces dates qui résonnent : le 8 septembre, le 10 septembre… Derrière les discours et les postures, que se cache-t-il vraiment ? Un pouvoir qui vacille, un peuple qui se lève, un système qui panique. Quand la mission des élites n’est plus de servir la nation mais de la livrer au chaos, alors chaque événement prend un sens caché. Et si tout cela n’était pas le fruit du hasard ? Cette vidéo plonge dans les coulisses de la politique française, entre manipulations, stratégies et révélations.

Une très bonne analyse de la situation.

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