septembre 2025

INVISIBLE – Le film #1

Le nouveau film UN-SICHTBAR de Patricia Marchart et Georg Sabransky est consacré aux enfants et jeunes gens chez qui la vaccination contre le virus Corona a eu de graves effets secondaires sur la santé, mais aussi sur le plan social. Il s’agit d’un film prudent qui ne fait pas de bruit. Le destin des jeunes et de leurs familles est au centre de l’attention. Des spécialistes reconnus de la pédiatrie et de l’infectiologie prennent également la parole.


Avec Elle, Felicitas, Selin, Aylin, Julia, Sofie et le Prof. Pietro Vernazza, le Prof. Reinhold Kerbl, le Dr Margarete Daiber-Helmbold et bien d’autres.

C’est un film qui doit inciter à la réflexion et à la discussion. Mais c’est aussi un film qui mérite d’être soutenu, car il a été réalisé sans subventions ni fonds publics.

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Palais de Justice, Grenoble, contre l’omertà sur les effets secondaires des vaccinations Covid

C’est d’actualité, cette surpuissance de la « justice » ; les lobbies nomment le président qui nomme les juges.

Peut-être, parce-que nous témoignons des effets indésirables des vaccins covid et de la criminalité des mesures sanitaires avec les familles des victimes qui se manifestent, figurons-nous sur le mur des cons de la justice, des politiques et des médias subventionnés ou bien pensants, comme en 2013 les familles de deux filles violées et assassinées, et qui continuaient à demander justice. 

Nous pourrions répondre que les véritables cons sont à l’intérieur du palais, qu’ils y passent leur vie. Le journaliste de France Télévisions qui avait révélé l’affaire, Clément Veil-Reynal, avait été mis à pied par le Syndicat de la Magistrature avec la collaboration active du Syndicat National de la Magistrature. 

Comment les juges parviennent-ils au pouvoir? un certain nombre de juges sélectionnés par leurs propres autorités sont nommés par le président de la République. 

Le président de la République, lui, est nommé par des lobbies – Pfizer, McKinsey, la FNSEA, Rothschild, puis la population vote pour lui… Difficile de croire à l’indépendance de la Justice avec ça. 

Concernant les années covid dont toutes les mesures actuelles sont le prolongement, on peut quand-même s’étonner de la candeur journalistique, à la simple lecture du casier judiciaire des entreprises citées, qui ont dicté ses décisions au gouvernement. 

Quelques avocats, juges, magistrats ou autres font certes exception.

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SERRACOR-NK : grand nettoyeur dans les pathologies lourdes et destructeur de la redoutable protéine spike

Source : lettre news de Michel Dogna

INFO IMPORTANTE POUR TOUS LES INJECTÉS AUX VAXX ARNm

Une équipe de chercheurs japonais a signalé en janvier 2023 une découverte de première importance affirmant que :

L’hécatombe de jeunes, victimes à vie de myocardites suite au vaxx cov 19 était due à la protéine SPIKE qu’il contient.
Cette protéine Spike peut être détruite par la nattokinase une enzyme contenue dans le NATTO, fromage millénaire de soja fermenté en vogue au Japon.

Nota : on en trouve maintenant du bio en France particulièrement dans le midi (voir les adresses sur Internet).

Pour rappel, on savait déjà que la protéine Spike (ou de pointe) s’introduit dans les cellules, accapare leur ARN à son service pour la répliquer dans tout l’organisme à l’infini – une fois installée, en cas d’une invasion virale épidémique, elle transforme les défenses immunitaires en réaction auto-immune pouvant aboutir à une septicémie éclair. C’est donc une bombe à retardement !

Cette info intéresse aussi les non-vaxxés à cause de la possible contagion aérienne de proximité intime avec des vaxxés.

Justement, il se fait que la nattokinase est le composant majoritaire du SERRACOR NK, puissant remède que nous connaissions déjà.


COMPOSITION DU SERRACOR NK

Le Serracor est composé à 100% d’enzymes extraites selon un procédé naturel avec :

La nattokinase majoritaire (vue plus haut)
La Serrapeptase du ver à soie 
La Bromélaïne
Le Co-enzyme Q10

La nattokinase

Historique
En 1907 un chercheur japonais a découvert une activité d’enzyme protéase dans le natto.
En 1925, il fut démontré que cette protéase dégradait la fibrine, la trame fibreuse des caillots sanguins et la gélatine.
En 1956, l’activité fibrinolytique et thrombolytique de la nattokinase fut confirmée.
Un rapport réalisé par une équipe de chercheurs de Harvard a montré que lorsque la concentration de fibrinogène devient trop élevée en vieillissant, cela représente un risque cardiovasculaire. L’équipe ayant prescrit quotidiennement 2 gélules de nattokinase (à 2000 FU par gélule) sur trois groupes de femmes à risques pendant deux mois, ils ont constaté que le taux de fibrinogène avait nettement diminué dans les trois groupes.

La serrapeptase

Les vers à soie entretiennent dans leurs intestins une culture de bactéries, les «Serratiae 15». Ce sont ces dernières qui sécrètent en fait la serrapeptase. Et c’est précisément cet enzyme qui permet au ver, une fois métamorphosé en chrysalide puis en papillon, d’ouvrir par dissolution, une brèche dans le cocon. La serrapeptase n’attaque que les tissus morts à l’exclusion de tous tissus vivants.

C’est un puissant anti inflammatoire naturel non toxique,
C’est un fibinolytique efficace contre les fibromes utérins, l’endométriose, les seins polykystiques, et même les anciennes cicatrices chéloïdes
C’est un nettoyeur du sang qui évite les caillots et les thromboses.

La bromélaïne

Sa réputation n’est plus à faire contre les kystes et les fibromes.

Le Coenzyme Q10

Remède roi de l’insuffisance cardiaque
Catalyseur indispensable au fonctionnement des enzymes. 
Équilibrant enzymes / coenzymes

En conclusion, nous pouvons dire que l’avantage de l’utilisation du Serracor par rapport à la nattokinase seule est que celle-ci en tuant la spike laissera sur place beaucoup de déchets morts, alors que le Serracor effectue un nettoyage complet par digestion.

ÉTUDE DU Dr LAURENT BANNOCK SUR LES ENZYMES – Au centre de médecine nutritionnelle de Santa Fe, USA

Les enzyme sont des catalyseurs des métabolismes : elles assistent et stimulent les réactions biochimiques du corps dans leur fonctionnement. Nous disposons dans notre organisme de 3.000 enzymes qui génèrent plus de 7.000 réactions. Bien que surtout connues pour leurs fonctions digestives, elles sont loin de se réduire à ce domaine.

L’importance des enzymes doit donc être sérieusement prise en compte, en ces temps où l’alimentation est raffinée et souvent cuite à haute température. Le Dr Bannock a sélectionné pour cette étude des sujets dont l’examen clinique laissait penser que leur alimentation était carencée en enzymes. Serracor a été donné comme unique traitement à l’ensemble des sujets en expérimentation.

Expérimentations

Deux domaines d’analyse ont été abordés : la protéine C réactive et la vitesse de sédimentation. La mesure de la protéine C réactive représente un signe d’inflammation. Des niveaux élevés de protéine C réactive indiquent généralement un risque accru d’arthrose, de diabète ou encore de maladie cardio-vasculaire.

Dès le début de l’étude, il a pu être mis en évidence par les tests de protéine que les gens à partir de 40 ans émettent de moins en moins d’enzymes. Les conséquences sont multiples :

Le mécanisme de réparation des tissus du corps se trouve déséquilibré et perd de sa capacité à digérer les quantités de fibrine déposées un peu partout, depuis les simples coupures jusqu’à l’intérieur des organes internes et des vaisseaux sanguins (plaques sclérotiques artérielles).
Les femmes peuvent développer le syndrome fibrokystique du sein, des fibromes utérins, de l’endométriose.
Avec l’âge, les blessures donnent des cicatrices plus visibles.

En remplaçant les enzymes perdues, la quantité de tissus cicatriciel et fibreux peut être contrôlée. Même les cicatrices anciennes et chéloïdes peuvent être éliminées des années après leur formation.

Au niveau du sang, les enzymes améliorent la circulation sanguine en absorbant la fibrine en excès, ce qui cause l’épaississement du sang et la possibilité de formation de caillots. Normalement, le sang est purifié dans le foie, mais bien souvent celui-ci présente un état d’intoxication qui l’empêche de travailler efficacement. Le processus de nettoyage prend alors du retard et les déchets s’accumulent.

L’absorption des enzymes du Serracor NK permettant d’éliminer la fibrine en excès dans le sang réduit la tendance des cellules sanguines à s’agglutiner et de former des thromboses. Par ailleurs, les enzymes réduisant la taille des déchets, ceux-ci peuvent passer directement dans les intestins.

RÉSUMÉ DES INDICATIONS DU SERRACOR
Angine de poitrine
Artériosclérose
Articulations raides
Cardio-vasculaires : tous problèmes
Cicatrices chéloïdes
Cœur : insuffisance
Diabète type 2
Douleurs inflammatoires
Embolie pulmonaire
Enzymes/coenzymes : déséquilibre
Fibrine en dépôts multiples
Fibrome utérin
Hémorroïdes
Inflammations en tous genres
Insuffisance cardiaque
Cœur faible ou nécrosé
Kystes
Phlébites
Protéine Spike présente dans le corps
Sang vicié et trop épais
Seins fibrokystiques
Thromboses

POSOLOGIE

Action curative lourde : 3 à 4 gélules 30 min avant 3 repas - pose 2 jours les WE.
Action curative standard : 2 gélules 30 min avant 3 repas - pose 2 jours les WE.
Action entretien : 2 gélules par jour, 30 min avant un repas

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Grelive chez Nexus

François-Marie Périer interviewé par Nexus : injections, victimes des effets secondaires, annonce du rassemblement du 29 septembre devant le tribunal de Grenoble et la symbolique qui anime la caste dirigeante.
L’intervention de François-Marie se situe à 1 h 17 mn de la vidéo.

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Plaintes des victimes des injections invisibilisées | Me JP Joseph et Brusa | François-Marie Périer

Pour Tribune Libre, le 14 septembre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec François-Marie Périer à l’Université d’Été Rassemblante 2025 à Castres, un événement organisé par Cécile Maïchak entourée de dizaines de bénévoles.

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Macha Bout’ : remonter la pente après les injections

Le 29 septembre aura lieu à Grenoble un rassemblement pacifique devant le palais de justice de Grenoble pour témoigner des effets indésirables des injections obligatoires de la période covid et du silence de la Justice malgré les nombreuses plaintes déposées. Toutes les villes comptant des victimes sont appelées à se rassembler ce jour là. Marie-Charlotte Bouttier (Macha Bout’), a été victime d’effets indésirables extrêmement violents des injections covid. A Castres pour l’Université d’Eté rassemblante (UER), elle explique la différence entre les lots injectés, les problèmes physiques et psychologiques déclenchés et l’importance des médecines naturelles, parallèles, énergétiques et de la spiritualité pour la nette amélioration de son état physique et psychologique. Macha invite aussi toutes les victimes à témoigner des effets indésirables des injections en pleine lumière pour changer l’Histoire.

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Pour l’abrogation de toutes les obligations vaccinales donc Pour la Liberté vaccinale

Source : Denis Agret

Pour l’Abrogation de toutes les obligations vaccinales de janvier 2018 et de janvier 2025 et antérieures donc Pour la liberté vaccinale

Je m’appelle Denis AGRET, j’ai 49 ans.

Je suis médecin. Vous trouverez mon CV ici :

https://adoptetapolitiquesanitaire.fr/?page_id=2

J’ai alerté dès mars 2021 sur la non innocuité des vaccins covid donc sur les risques avérés, en particulier sur les myocardites et l’hypertension artérielle qui sont maintenant reconnus officiellement par l’ANSM (Agence de « sécurité du médicament ») et l’ONIAM (Office d’indemnisation des « Accidents » médicaux).

J’avais également alerté sur les risques très graves liés à la vaccination covid chez les femmes enceintes (mort in utéro par thrombose du cordon ombilical…) en avril et Juin 2021 en me fondant sur les rapports ANSM.

Juillet 2021

Toutes mes alertes m’ont valu du discrédit médiatique, des procès d’intention de la part de la justice et de l’ordre des médecins qui est allé jusqu’à me radier en janvier 2025 : abus de pouvoir manifeste. J’ai bien sûr fait appel de cette décision inique auprès du conseil d’Etat dont la décision tarde à venir.

https://twitter.com/AgretDenis/status/1947273480229060853

A force de lire les publications scientifiques (pubmed), de recueillir des témoignages de nombreuses victimes des vaccins dont des autopsies récentes d’enfants décédés après vaccination, je suis arrivé à la conclusion largement établie y compris par des médecins de la société française de cardiologie que les vaccins pédiatriques (DTP, ROR, méningocoque) causent des myocardites, des maladies de Kawasaki (vascularites).

https://twitter.com/AgretDenis/status/1917141240287559919

« Les myocardites liées aux vaccins c’est une entité qui est connu depuis des années ! » Les vaccins DTP et grippe causent des myocardites. Dr Kerneiss et Roubille Congrès SFC 2022 https://x.com/aileastick1/status/1849154950321852558

Les vaccins causent des vascularites (vascularites à IgA). Ces vascularites peuvent donc causer chez les enfants des myocardites, des maladies de Kawasaki (caractérisée par une inflammation de la paroi des vaisseaux sanguins (vascularite) dans tout le corps) avec ou sans anévrisme coronaire, des infarctus du myocarde…

Le rapport de l’ANSM sur la « Surveillance des vaccins obligatoires chez les enfants de moins de deux ans » confirme la non innocuité des vaccins avec des risques graves dont décès, maladie de Kawasaki et des « échecs » vaccinaux.

https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/vaccins-obligatoires-chez-lenfant

Evidemment, la sous déclaration majeure des effets indésirables graves des vaccins pédiatriques a pour conséquence la non information du grand public et des médecins.

https://twitter.com/AgretDenis/status/1859541260698255967

Les « échecs » vaccinaux décrit dans le rapport ANSM sont très graves et probablement bien plus nombreux du fait d’une sous déclaration majeure : « 7 cas d’échec vaccinal …considérés comme des échecs vaccinaux confirmés chez des enfants âgés de 7 à 11 mois : des infections à Haemophilus influenzae de type b (méningite dans 5 cas ; 1 sepsis avec arthrite du coude et 1 ostéomyélite du genou) et d’un cas d’otite moyenne aigue et bactériémie à Streptococcus pneumoniae de sérotype 3 vaccinal. Le critère de gravité était une hospitalisation dans 5 cas et une mise en jeu du pronostic vital dans 2 cas. »

Les obligations vaccinales de masse peuvent causer des « épidémies » vaccinales comme je l’ai démontré dans ces publications sur les vaccins méningocoques (B, C , A, W, Y) et ROR Rougeole Oreillons Rubéole comme en janvier 2018 pour la rougeole.

ROR

https://twitter.com/AgretDenis/status/1927758797105238383

https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-a-prevention-vaccinale/rougeole/documents/bulletin-national/rougeole-en-france.-bilan-annuel-2024

https://www.vidal.fr/medicaments/utilisation/vaccins/vaccin-ror-rougeole-oreillons-rubeole.html

Méningites

https://twitter.com/AgretDenis/status/1831953928721998210

En septembre 2023, la quasi-totalité des vaccins ont été classés sur la liste des substances vénéneuses : 1 très toxiques, 2 toxiques, 3 nocives …, 7 cancérogènes, 8 mutagènes, 9 toxiques pour la reproduction. C’est l’ANSM qui l’a annoncé !

https://twitter.com/AgretDenis/status/1702951249220395243

https://ansm.sante.fr/actualites/decision-du-07-09-2023-portant-inscription-sur-la-liste-i-des-substances-veneneuses-definie-a-larticle-l-5132-6-du-code-de-la-sante-publique

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006690128/2010-02-26

Les médias et l’ANSM laissant entendre qu’il s’agit d’une formalité administrative pour « harmoniser les conditions de prescription et de délivrance » mentent bien évidemment.

Or, cela consiste simplement à reporter la responsabilité juridique sur les prescripteurs et à dédouaner les grands dirigeants de laboratoires pharmaceutiques.

https://www.tf1info.fr/sante/11-vaccins-classes-dans-les-substances-veneneuses-par-l-ansm-une-preuve-de-leur-dangerosite-affirme-antivax-denis-agret-2276858.html

Plusieurs médecins ont été jugé pour homicide suite à des décès d’enfants vaccinés, dont deux sont morts d’une maladie de Kawasaki.

https://france3-regions.franceinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/le-collegien-etait-mort-victime-d-un-malaise-apres-un-vaccin-un-medecin-mis-en-examen-a-nantes-3118345.html

https://www.sudouest.fr/justice/une-medecin-de-l-hopital-de-perigueux-condamnee-pour-homicide-involontaire-sur-un-enfant-22185685.php

https://www.ladepeche.fr/2024/11/21/un-enfant-de-deux-ans-decede-dun-infarctus-un-an-apres-son-passage-a-lhopital-la-medecin-pediatre-condamnee-pour-homicide-involontaire-12338430.php

https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/1303236862316615/une-pediatre-de-l-hopital-nord-jugee-pour-homicide-involontaire

Le 30/07/2025, le conseil national de l’ordre des médecins a rappelé, à propos des pesticides, que « sur le plan médical, le doute n’est pas raisonnable lorsqu’il s’agit de substances susceptibles d’exposer la population à des risques majeurs » et que « ces alertes ne peuvent être ignorées« . Il rappelle également le principe constitutionnel de précaution.

https://www.franceinfo.fr/environnement/loi-duplomb/sur-le-plan-medical-le-doute-n-est-pas-raisonnable-l-ordre-national-des-medecins-s-engage-contre-la-loi-duplomb_7407838.html

Alors pourquoi mes alertes sur les conséquences graves des vaccins sur la santé des enfants et des adultes sont-elles ignorées ?

Pour votre parfaite compréhension, plusieurs conférences que j’ai tenu au sujet des risques des vaccins ici.

https://www.facebook.com/share/v/1GKMmD6k2U

https://crowdbunker.com/v/XHJFLeBY

https://twitter.com/AgretDenis/status/1952466874647933377?t=XkQ6u2WqiIeby1ayB6f9yQ&s=19

Toutes ces obligations vaccinales (DTP diphtérie tétanos polio, coqueluche, Haemophilus, Hépatite B, pneumocoque, ROR rougeole oreillons rubéole, Méningocoque B, C, A, W, Y soit plus de 15 souches de maladies) pour la vie en collectivité sont assimilables à un pass sanitaire dont nous sommes très nombreux à avoir contesté le bien-fondé avec les vaccins covid. Il ne peut y avoir de discrimination pour scolariser les enfants du fait de leur statut vaccinal.

Compte tenu des risques graves liés aux vaccins, les obligations vaccinales de janvier 2018 et janvier 2025 sont illicites.

L’obligation vaccinale pour les enfants concernent environ 670 000 naissances tous les ans en France. En tant qu’adultes conscients, il est de notre devoir de les protéger des risques graves liés aux vaccins.

C’est donc en ma qualité de père de famille, de médecin et de lanceur d’alerte, d’objecteur de conscience que je demande l’abrogation définitive de la loi et de son décret du 25 janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire et l’abrogation du décret du 5 juillet 2024 relatif à l’obligation vaccinale contre les méningocoques de type B et ACWY entré en vigueur le 1er janvier 2025.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000036543886

https://www.legifrance.gouv.fr/download/file/hhS68ECmVhDgElkqhy2ETAVq-2Yhrqjdh8OV3–WPN0=/JOE_TEXTE

et la révision démocratique des conditions dans lesquelles ces décrets ont été adoptés et qui posent grandement question.

Il conviendra aussi d’abroger définitivement les obligations vaccinales concernant la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (juin 1938, novembre 1940, juillet 1964).

Par conséquent, il est nécessaire d’abroger toutes les obligations vaccinales qui sont venues se rajouter au fil des années étant donné les risques graves connus et avérés des vaccins et des échecs vaccinaux documentés par l’ANSM.

Aujourd’hui, je suis seul à écrire, mais non seul à avoir compris dont de très nombreux médecins.

Pour Tribune Libre, le 14 septembre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec le Dr Denis Agret à l’Université d’Été Rassemblante 2025 à Castres, un événement organisé par Cécile Maïchak entourée de dizaines de bénévoles.

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Plainte pour tentative d’empoisonnement et mise en danger de la personne : rassemblement lundi 29 sept. 2025 – 8 h devant le Palais de Justice de Grenoble

Une communication de Maître Joseph

Courant 2021, nous avons déposé plainte pour tentative d’empoisonnement, et mise en danger de la personne, face à la campagne de vaccination Covid, au nom de 130 personnes. En effet, constatant que :

– Tant le gouvernement que les principaux médias nous vantaient les mérites du nouveau vaccin anti-covid 19, prétendant qu’il était efficace et sans danger,

-Dès les 1er mois de la vaccination, des milliers de déclarations d’effets secondaires, étaient enregistrées sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalement niées par les pouvoirs publics,

Nous avons estimé que l’on tentait d’empoisonner la population, et avons déposé cette plainte.

Cette plainte n’ayant pas donné lieu à une réaction positive du Parquet de Grenoble. Nous avons alors saisi le Doyen des Juges d’instruction dans le cadre d’une plainte avec constitution de partie civile.

Comme en cette matière, il faut verser une caution (appelée « consignation ») proportionnelle aux revenus des plaignants, le montant de la caution pour 130 personnes risquait d’être faramineux.

Voilà pourquoi nous n’avons gardé que 6 personnes qui allaient déposer cette nouvelle plainte.

Le montant fixé par le Juge était au total de 6.400 €. Cette somme a été versée, et l’instruction a pu commencer.

En fin 2022, le Juge a rendu une ordonnance de refus d’informer contre laquelle nous avons relevé appel.

La Chambre de l’Instruction de la Cour d’Appel de Grenoble, a malheureusement confirmé ce refus d’informer.

Nous avons alors formé un pourvoi à l’intention de la Cour de Cassation siégeant à Paris, et avons déposé quelques jours plus tard, (nov. 2023) un long mémoire contenant nos arguments.

Depuis cette date, nous attendons la décision de la Cour de Cassation.

Face à ce silence de près de 2 ans, et, alors que le nombre de victimes de la vaccination Covid augmente dans des proportions colossales, nous organisons un rassemblement devant le Palais de Justice de Grenoble, le Lundi 19 sept. 2025 à partir de 8h. , dans le but de faire savoir qu’aujourd’hui des dizaines de milliers de personnes ont été victimes d’un véritable empoisonnement, et que les victimes attendent que Justice soit faite.le

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Comme au Japon, un comité allemand multidisciplinaire demande à son tour l’arrêt immédiat des injections à ARNm

Source : X

C’est une alarme. Une bombe. Une déclaration de guerre scientifique contre le silence. Après le Japon, c’est l’Allemagne qui bascule. Neuf professeurs, médecins, scientifiques de haut niveau appellent à l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm. Pas demain. Pas plus tard. Maintenant.

Ils dénoncent une catastrophe sanitaire masquée par les autorités et les médias : hausse de la surmortalité, maladies chroniques inexpliquées, et surtout chute brutale des naissances. « Nous lançons un avertissement urgent et appelons à un moratoire total sur les vaccins à ARNm. » Les données sont accablantes : Corrélation forte entre vaccination, surmortalité, morbidité et effondrement démographique. » Déclaration officielle de la conférence, cosignée par 200 professionnels.

QUI OSE ENCORE PARLER ?
Voici les noms des neuf intervenants. Ce ne sont ni des anonymes, ni des youtubeurs. Ce sont des sommités dans leur domaine, avec des dizaines d’années d’expérience, des centaines de publications scientifiques.
– Dr Gerald Dyker — Professeur de chimie à l’Université de la Ruhr, expert en nanomatériaux.
– Dr Andreas Sönnichsen — Professeur de médecine interne, auteur reconnu, président du Réseau allemand de médecine factuelle.
– Dr Kurt E. Müller — Spécialiste en dermatologie environnementale, médecine préventive, pathologies non infectieuses.
– Prof. Konstantin Beck — Statisticien, expert en assurance santé et démographie.
– Dr Michael Nehls — Généticien, auteur, ancien expert au Bundestag.
– Dr Erich Freisleben — Médecin généraliste à Berlin, témoin des effets indésirables.
– Dr Christian Schubert — Professeur en psychoneuroimmunologie, directeur de laboratoire.
– Christina Delprete — Pharmacienne suisse, experte en normes de fabrication.
– Dr Dirk Seeling — Psychologue, animateur de la conférence.
Et plus de 200 signataires : médecins, avocats, psychologues, chercheurs, tous unis pour une chose : stopper l’expérience ARNm.

LES FAITS QUI DÉRANGENT
– Les pays les plus vaccinés sont ceux où la surnatalité s’effondre.
– Les campagnes de rappel sont systématiquement suivies d’un pic de surmortalité.
– Les effets secondaires sont sous-déclarés, minimisés, ignorés.
– Les agences sanitaires refusent d’enquêter sur les mécanismes d’immunosuppression, les troubles menstruels, les fausses couches, les inflammations chroniques. Les organisateurs parlent d’un effondrement biologique silencieux. Et accusent les autorités de fermer les yeux pour ne pas affoler les marchés.

UN SCANDALE MONDIAL
Le Japon a déjà recommandé l’arrêt des vaccins ARNm dans son propre rapport d’expertise. L’Allemagne suit. Et d’autres suivront. Combien de temps les médias pourront-ils encore enterrer ces alertes ? Combien de temps avant qu’un procureur ose dire ce que tout médecin lucide voit déjà ? Les données existent. Les signaux sont clairs. Le mensonge, lui, devient criminel.

Lien vers l’original en anglais

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Les données du secteur des assurances révèlent « 5 000 décès liés aux vaccins par semaine »

Source : slaynews

L’un des plus grands experts mondiaux en matière de données a révélé que le secteur des assurances constate désormais jusqu’à 5 000 décès chaque semaine liés aux « vaccins » à ARNm contre la Covid.

Le nombre effarant de morts a été révélé par Edward Dowd, un analyste de données renommé de Wall Street.

Dowd a lâché la bombe lors d’une récente interview sur le podcast Commodity Culture .

Tout en tirant la sonnette d’alarme au sujet de cette découverte, Dowd a révélé que le nombre de jeunes adultes en bonne santé « mourant subitement » a explosé.

Il note également que les blessures liées aux « vaccins » sont désormais « 10 à 15 fois plus élevées » qu’avant la campagne de « vaccination » massive contre le Covid.

Il est toutefois inquiétant de constater que les victimes de blessures liées aux « vaccins » et les familles des victimes ont trop peur de s’exprimer car elles « craignent des réactions négatives ».

Dowd soutient que les rapports sur les décès et les blessures liés aux injections d’ARNm sont réduits au silence par les grandes entreprises technologiques et les médias d’entreprise.

Aux États-Unis seulement, Dowd a révélé que les données des assurances montrent « 3 000 à 5 000 décès liés aux vaccins par semaine ».

« Les blessures sont 10 à 15 fois plus nombreuses », a-t-il ajouté.

« Les 30-50 ans meurent raides morts. »

« Les victimes craignent des réactions négatives ou ne peuvent pas accepter d’avoir été trompées. »

« Les médias et les géants de la technologie suppriment activement ces histoires », prévient-il.

Dowd, ancien cadre de la plus grande société d’investissement au monde, BlackRock , tire la sonnette d’alarme depuis un certain temps sur la hausse des décès parmi les personnes vaccinées contre le Covid. Il est considéré comme l’un des plus grands experts en données d’Amérique.

Grâce à son analyse experte des données du secteur des assurances, Dowd est devenu une figure de proue des enquêtes sur l’impact de la campagne mondiale de « vaccination » contre le Covid.

Slay News précédemment Comme l’a rapporté , Dowd a lancé un avertissement effrayant en avril après avoir découvert des preuves montrant que le nombre de décès excédentaires chez les Américains en âge de travailler monte en flèche.

Selon un avertissement alarmant de Dowd, les données du secteur des assurances montrent que la surmortalité explose parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans.

Ces décès ont commencé à exploser après que les « vaccins » à ARNm contre la Covid ont été déployés pour un usage public début 2021.

Cependant, les décès ne semblent montrer aucun signe de ralentissement, malgré la fin de la pandémie et la baisse des taux de « vaccination ».

En janvier 2022, le PDG de Life Insurance, Scott Davidson, a signalé que les taux de mortalité parmi les personnes en âge de travailler âgées de 18 à 64 ans étaient « en hausse de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie ».

Il a expliqué qu’une augmentation de 40 % du nombre de décès était totalement sans précédent.

Davidson a comparé une augmentation de 10 % des décès à une inondation qui ne se produit qu’une fois tous les 200 ans.

Selon Dowd, la surmortalité est désormais « hors normes ».

Davidson a également noté que les décès excédentaires qui ont commencé à augmenter en 2021 étaient des décès non liés au Covid.

Pendant ce temps, d’autres pays fortement vaccinés dans le monde continuent de tirer la sonnette d’alarme face à la hausse des décès.

Une nouvelle alerte explosive est apparue à Singapour concernant le taux de mortalité excédentaire en flèche du pays parmi les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.

Ces données effrayantes ont soulevé de sérieuses questions sur le véritable bilan de la campagne mondiale agressive de « vaccination » contre le Covid.

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis indiquent que les « décès excédentaires » correspondent au nombre de décès supérieur à celui auquel on pourrait s’attendre sur la base des tendances historiques.

Selon des données explosives provenant de la base de données sur la mortalité humaine (HMD) et d’études évaluées par des pairs, le pays a connu une augmentation forte et soutenue de la surmortalité immédiatement après le déploiement des « vaccins » contre la Covid.

Ce pic est un signal inquiétant indiquant que les vaccins pourraient avoir joué un rôle important dans la hausse de la mortalité.

Les données dressent un tableau inquiétant d’un pays qui, bien qu’étant l’un des plus vaccinés au monde, est confronté à des niveaux de mortalité sans précédent.

En mars 2022, la surmortalité à Singapour a atteint un taux étonnant de 49,9 % supérieur aux décès attendus.

La période plus large entre février et avril 2022 a enregistré une moyenne de 24,0 % de décès de plus que d’habitude.

Il est toutefois alarmant de constater que cette hausse n’était pas temporaire.

La surmortalité a continué d’augmenter bien après la pandémie.

En décembre 2024, les données les plus récentes révèlent que la surmortalité à Singapour s’est stabilisée à environ 25 à 30 % au-dessus du niveau de référence historique.

Les données suggèrent que ce taux de mortalité élevé est devenu la nouvelle norme pour la nation entièrement « vaccinée ».

Les données du secteur des assurances révèlent « 5 000 décès liés aux vaccins par semaine » Lire la suite »

Le SRAS-CoV-2 provoque une accumulation de peptides liés à la maladie d’Alzheimer dans la rétine

Source : Yale school of medecine

Une nouvelle étude de Yale a trouvé une cible prometteuse pour traiter le brouillard cérébral qui peut suivre le COVID-19 et offre un nouvel éclairage sur une hypothèse sur l’origine de la maladie d’Alzheimer.

L’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer est la présence de plaques formées par l’accumulation de peptides bêta-amyloïdes (courtes chaînes d’acides aminés) dans et autour des cellules cérébrales. Certains chercheurs soupçonnent que les peptides bêta-amyloïdes, structurellement similaires aux peptides antimicrobiens, protègent le cerveau contre les bactéries, les virus, les parasites et les infections fongiques. La barrière hémato-encéphalique ayant tendance à se dégrader chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, l’accumulation de bêta-amyloïdes pourrait indiquer une infiltration cérébrale par des agents pathogènes.

Dans une nouvelle étude publiée dans Science Advances , des chercheurs de Yale ont étudié si l’infection par le SARS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, peut déclencher une accumulation de bêta-amyloïde semblable à celle de la maladie d’Alzheimer, entraînant des troubles neurologiques comme le brouillard cérébral.

« De plus en plus de preuves établissent un lien entre la COVID-19 et le brouillard cérébral, un symptôme fréquemment rapporté après une infection », explique l’auteur principal, Brian Hafler, MD, PhD, professeur agrégé d’ophtalmologie et de sciences visuelles à la faculté de médecine de Yale. Le brouillard cérébral, ou difficulté à penser ou à se concentrer, est un symptôme que les patients atteints de la maladie d’Alzheimer peuvent également ressentir. « Bien que les mécanismes du brouillard cérébral après la COVID-19 ne soient pas entièrement compris, les scientifiques ont découvert que le SARS-CoV-2 peut induire une accumulation de bêta-amyloïde dans le système nerveux central. »

Utiliser la rétine pour étudier le cerveau

Pour récapituler les complexités génétiques de la maladie d’Alzheimer, Hafler et son équipe ont utilisé du tissu rétinien donné et cultivé des organoïdes rétiniens, des mini-organes fabriqués à partir de cellules souches humaines, destinées à devenir du tissu rétinien. Dans ce cas, les organoïdes rétiniens reproduisaient les caractéristiques de la maladie d’Alzheimer, notamment des mutations génétiques qui les conduisent à produire davantage de bêta-amyloïde que les tissus normaux.

« Nous pensons que les organoïdes rétiniens humains présentent de nombreux avantages par rapport aux animaux en raison de la spécificité humaine du modèle. Nous ne sommes confrontés à aucune incompatibilité entre espèces », explique Hafler.

Les scientifiques ont d’abord confirmé que l’accumulation de bêta-amyloïde, typiquement présente dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, était également présente dans leur tissu rétinien. La rétine offre donc une fenêtre accessible et non invasive pour étudier le fonctionnement du système nerveux central, explique Hafler.

L’équipe a également trouvé des preuves que le SARS-CoV-2 peut pénétrer dans les cellules de la rétine.

Pour ce faire, ils ont évalué la production de protéines dans les différents types de cellules du tissu rétinien en mesurant l’ARN dans les noyaux cellulaires individuels. Ils se sont concentrés plus particulièrement sur les protéines NRP1 (neuropiline-1) et ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), dont les données suggèrent que le SARS-CoV-2 les utilise pour pénétrer dans les neurones.

Dans le tissu rétinien des personnes atteintes de la COVID-19, ils ont trouvé NRP1 dans les neurones et un autre type de cellule du système nerveux central appelé glie, suggérant que l’œil dispose d’un mécanisme d’entrée virale.

 » Cela renforce l’hypothèse antimicrobienne de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales.« 

Brian Hafler, docteur en médecine et titulaire d’un doctorat

Forts de ces résultats, les chercheurs ont ensuite exposé des organoïdes à la protéine Spike du SARS-CoV-2, la partie du virus essentielle à l’entrée dans les cellules humaines. Ils ont constaté que les concentrations de bêta-amyloïde dans les organoïdes augmentaient une fois la protéine Spike entrée dans les cellules.

De plus, les tissus rétiniens humains prélevés sur des patients atteints de la COVID-19 mais sans antécédents de démence ont également montré une accumulation de bêta-amyloïde plus élevée que celle trouvée chez les individus en bonne santé, à un degré similaire à celui que les chercheurs ont trouvé dans les tissus rétiniens des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.

Cette accumulation de bêta-amyloïde a cependant été inversée lorsque les scientifiques ont administré un inhibiteur de NRP1 à des échantillons de rétine humaine traités par la protéine Spike du SARS-CoV-2. NRP1 a été exploré par d’autres comme une cible antitumorale prometteuse bloquant la formation de vaisseaux sanguins. Cependant, jusqu’à présent, ses applications se limitent au contexte préclinique.

« D’un point de vue mécaniste, l’implication de NRP1 dans l’agrégation de la protéine bêta-amyloïde fournit une cible moléculaire spécifique pour de futures recherches », explique Hafler. Une application potentielle consiste à cibler NRP1 pour prévenir ou traiter les complications neurologiques consécutives à une infection à la COVID-19.

Traitement du brouillard cérébral et d’autres troubles neurologiques causés par des virus

L’étude ouvre de nombreuses perspectives de recherche future, déclare Hafler. « Notre étude a montré que l’exposition au SARS-CoV-2, en particulier à la protéine Spike, peut entraîner la formation d’agrégats de bêta-amyloïde dans le tissu rétinien humain et les organoïdes rétiniens. »

L’étude renforce également le lien entre la maladie d’Alzheimer et l’infection microbienne.

« Cela renforce l’hypothèse d’un effet antimicrobien de la bêta-amyloïde dans la maladie d’Alzheimer, suggérant que la bêta-amyloïde pourrait agir dans le cadre de la réponse immunitaire innée du cerveau contre les infections virales », explique Hafler. En raison de sa ressemblance avec de petits peptides connus pour se lier à d’autres microbes, l’accumulation de bêta-amyloïde pourrait s’étendre aux infections causées par d’autres virus, soupçonne Hafler. Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ce lien, ajoute-t-il.

Compte tenu des symptômes neurologiques de la COVID-19, tels que le brouillard cérébral, Hafler et son équipe étudient, dans le cadre d’études cliniques au YSM, si l’infection par le SRAS-CoV-2 augmenterait le risque à long terme de la maladie d’Alzheimer et si cela peut être évité grâce à un traitement précoce.

« Notre objectif ultime est de prévenir les effets neurologiques à long terme du COVID-19 et d’explorer les inhibiteurs de NRP1 et d’autres modulateurs des interactions virus-hôte comme thérapies potentielles pour prévenir la pathologie amyloïde induite par le virus et la maladie d’Alzheimer », explique Hafler.

Les recherches présentées dans cet article ont été soutenues par les National Institutes of Health (bourses R01eY034234, R01EY034652, R01EY026065 et subvention principale P30EY026878) et l’Université Yale. Le contenu n’engage que la responsabilité des auteurs et ne reflète pas nécessairement la position officielle des National Institutes of Health. Des financements supplémentaires ont été apportés par la Fondation caritative Doris Duke, la Fondation H. Eric Cushing, la Fondation de la famille Nancy Lurie Marks, la Fondation caritative CJL et le Prix Reynold et Michiko Spector en neurosciences.

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Vaccins : tout savoir sur les révélations chocs faites au Sénat américain ! – Banoun/Bazin

RFK Jr entame sa guerre ouverte contre Big Pharma

🔷 Xavier Bazin
Journaliste scientifique et écrivain, auteur de “Antivax toi-même ! – Retrouvons un esprit critique face à la vaccination” Édition Guy Tredaniel (récemment réédité)
🔷 Hélène Banoun
Pharmacienne biologiste à la retraite, ex-chargée de recherche à l’INSERM Chercheur indépendant, Auteur de “La Science face au Pouvoir – Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle” (éditions Talma) Auteur d’un article récemment publié sur le Beyfortus

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Les documents de Pfizer révèlent que l’injection anti-covid visait à endommager le système de reproduction humain

Source : Patrice Gibertie

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués à la suite d’une décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace.
Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’effets indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni légère, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la » maladie du CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre le bras placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité. Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration américaine était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux » .
» Pfizer Papers » montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite » PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.
» Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’effets indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement.

Pinsolle Typhaine  @Pinsolle

Dans une révélation stupéfiante au Parlement Européen, tirée des documents de Pfizer, @naomirwolf révèle que la découverte la plus choquante ne concerne pas les effets secondaires connus, mais l’obsession à 360 degrés du vaccin visant à endommager la reproduction humaine, et non le système respiratoire.

« Elle explique comment les nanoparticules lipidiques sont conçues pour traverser toutes les membranes, y compris le placenta. Cela entraîne des calcifications, empêchant les bébés d’obtenir nutriments et oxygène. Résultat ?

Les sages-femmes signalent une désagrégation du placenta, entraînant des naissances prématurées, de terribles hémorragies maternelles et une augmentation de 40 % de la mortalité maternelle en Occident.

Pfizer savait que les nanoparticules envahiraient les testicules des bébés garçons in utero, dégradant les cellules de Leydig responsables de la masculinité et de la fertilité. Ils pourraient ne jamais se développer normalement, même s’ils n’étaient jamais vaccinés.

Un rapport d’andrologie a confirmé que le vaccin altère la motilité des spermatozoïdes chez les hommes.

Plus grave encore, Pfizer a mis en garde les participants masculins à l’essai contre les rapports sexuels avec des femmes non vaccinées et l’utilisation de deux méthodes de contraception, définissant l’« exposition » par le sperme, le contact cutané et la respiration.

Sur les 270 grossesses étudiées, 234 ont été « perdues ». Mais sur les 36 grossesses restantes, plus de 80 % ont abouti à la perte du bébé. Pfizer le savait. La question est : pourquoi cette découverte a-t-elle été au cœur de leurs recherches ? »

In a stunning revelation from the Pfizer documents, Naomi Wolf exposes that the most shocking finding isn’t the known side effects, but the vaccine’s obsessive, 360-degree focus on damaging human reproduction—not the respiratory system.

She details how the lipid nanoparticles… pic.twitter.com/c37aPabuTw— Camus (@newstart_2024) September 7, 2025

apport 37 : Pfizer, la FDA et le CDC ont dissimulé les effets nocifs avérés des ingrédients du vaccin à ARNm sur la qualité du sperme masculin et la fonction testiculaire

par Amy Kelly

sperme

Lorsque le déploiement du vaccin contre la COVID-19 auprès du public a commencé fin 2020, les professionnels de la santé, les agences de santé publique et les porte-parole du gouvernement ont tous assuré au public américain que les nouveaux vaccins à ARNm n’avaient pas d’effets systémiques négatifs sur le corps humain.

Ils ont promis au public, dont beaucoup étaient sceptiques quant à la sécurité d’un médicament mis sur le marché à « vitesse fulgurante », que les vaccins étaient « sûrs et efficaces ».

Les propres documents de Pfizer et d’autres études médicales montrent :

  1. Les ingrédients des vaccins à ARNm peuvent être transférés d’une personne à une autre par contact peau à peau, par inhalation et par « rapport sexuel », par l’intermédiaire des fluides corporels. En d’autres termes, l’« excrétion » du vaccin peut se produire par contact sexuel, y compris par exposition au sperme. [« Étude de phase 1/2/3, contrôlée par placebo, randomisée, en aveugle, de recherche de dose pour évaluer l’innocuité, la tolérance, l’immunogénicité et l’efficacité des candidats vaccins à ARN du SRAS-CoV-2 contre la COVID-19 chez les individus en bonne santé », amendement 14 du protocole,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-protocol.pdfEn d’autres termes, selon les propres documents internes de Pfizer, un homme vacciné peut exposer son partenaire sexuel aux ingrédients du vaccin, via l’éjaculation.
  2. Pfizer n’a pas testé la « toxicité pour la reproduction masculine ». La toxicité pour la reproduction masculine est définie comme des effets indésirables (impacts négatifs) liés à la fonction sexuelle et à la fertilité chez l’homme adulte [« Résumé du rapport d’évaluation publique du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech ». GOV.UK , GOV.UK,https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine.]
  1. Pfizer n’a pas non plus testé les effets indésirables du sperme des hommes vaccinés sur le développement de leur progéniture. [« Toxicité pour la reproduction, mars 2017 – SCHC. » org , SCHC-OSHA Alliance GHS/HazCom Information Sheet Workgroup, mars 2017,https://www.schc.org/assets/docs/ghs_info_sheets/schc_osha_reproductive_toxicity_4-4-16.pdf.]
  2. Les ingrédients du vaccin à ARNm circulent dans tout le corps et s’accumulent dans les organes, y compris dans les testicules. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]
  3. Les vaccins à ARNm produisant des « anticorps anti-spermatozoïdes » – c’est-à-dire des anticorps qui traitent les spermatozoïdes comme un « envahisseur » et les endommagent ou les tuent – ​​constituent un événement indésirable connu lié à cette forme de vaccination. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.] [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]
  4. Les vaccins à ARNm provoquent une chute vertigineuse de la concentration de sperme et du nombre total de spermatozoïdes mobiles. [Gat, Itai, et al. « La vaccination contre la Covid-19 BNT162B2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme. » Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]
  5. En supprimant toute discussion sur ces informations, les agences de santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements du monde entier ont refusé et continuent de refuser aux hommes un véritable consentement éclairé.
Transfert d’ingrédients de vaccins à ARNm entre humains

Nous avons indiqué ci-dessus que Pfizer savait que les hommes pouvaient transmettre les ingrédients du vaccin à leurs partenaires par le biais de rapports sexuels. Le protocole d’essai clinique de Pfizer montre que la société soupçonnait que son vaccin pouvait avoir des effets négatifs sur la fertilité des hommes. Les participants masculins à l’essai devaient suivre des « critères d’inclusion reproductive des participants masculins » spécifiques. Ceux-ci étaient précisés dans les quatorze versions du protocole de Pfizer :

« Les participants masculins sont éligibles à participer s’ils acceptent les exigences suivantes pendant la période d’intervention et pendant au moins 28 jours après la dernière dose de l’intervention de l’étude, ce qui correspond au temps nécessaire pour éliminer le risque de sécurité reproductive de la ou des intervention(s) de l’étude »

De toute évidence, Pfizer a fait preuve de fortes inquiétudes et a pris des précautions contre l’exposition à « l’intervention d’étude » – c’est-à-dire le vaccin à ARNm – par contact avec des fluides corporels tels que l’exposition à l’éjaculat, et par contact peau à peau.

Pourtant, pas plus tard qu’en juillet 2022, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont assuré aux Américains que l’excrétion de l’ARNm du vaccin contre la COVID-19 – « la libération ou la décharge de l’un des composants du vaccin à l’intérieur ou à l’extérieur du corps » – était un « mythe ». [« Mythes et faits sur les vaccins contre la Covid-19 ». Centres pour le contrôle et la prévention des maladies , Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, 20 juillet 2022,https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/facts.html.] En effet, une récente demande d’accès à l’information (FOIA) via America First Legal révèle que Carol Crawford, du CDC, s’est coordonnée avec des employés de Twitter pour cibler les tweets (dont un du Dr Naomi Wolf) sur la « perte de sang », comme exemple, selon le CDC, de « désinformation ». Mais il ne s’agissait pas du tout, selon les propres documents de Pfizer, de désinformation. Selon le fabricant, la « perte de sang » était une réelle préoccupation.

Effets indésirables du vaccin à ARNm sur la reproduction masculine

Les National Institutes of Health (NIH) ont déclaré avec audace le 1er février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la Covid-19 ne réduit pas les chances de conception, selon une étude. » National Institutes of Health , US Department of Health and Human Services, 1er février 2022,https://www.nih.gov/news-events/news-releases/covid-19-vaccination-does-not-reduce-chances-conception-study-suggests.] Cependant, la déclaration du NIH était et est fausse.

Pfizer n’a pas initialement évalué la « toxicité reproductive » masculine de son vaccin – c’est-à-dire les effets indésirables sur la fertilité chez les hommes adultes – lors des essais cliniques parce que l’entreprise était pressée : « L’absence de données sur la toxicité reproductive reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner en premier lieu le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre au besoin urgent de santé actuel. » [« Résumé du rapport d’évaluation publique du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech. » GOV.UK , GOV.UK,https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine.]

Mais lorsque Pfizer a finalement étudié l’impact du vaccin à ARNm sur la fertilité masculine, la société a utilisé des rats « mâles non traités » pour ses études de « toxicité pour la reproduction et le développement ». Les mâles non traités se sont accouplés avec des rats femelles qui avaient reçu le vaccin à ARNm BNT162b2 de Pfizer. [ 2.4 Aperçu non clinique ,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M2_24_nonclinical-overview.pdf, p. 29.]

En d’autres termes, Pfizer a testé les effets sur la fertilité des mammifères femelles traités avec son produit à ARNm, mais n’a pas administré les mâles.

Tout au long des documents de Pfizer, le problème se pose : les études ont été construites de telle sorte que Pfizer (et la FDA) ne trouvent pas ce qu’ils ont choisi de ne pas chercher.

Comment les scientifiques peuvent-ils déterminer les effets indésirables d’un nouveau médicament sur la fertilité masculine s’ils ne donnent le traitement en question qu’à la moitié de la population reproductrice – les femelles ?

Le même document de Pfizer poursuit : « L’évaluation macroscopique et microscopique des tissus reproducteurs mâles et femelles provenant des études de toxicité à doses répétées avec BNT162b2 n’a montré aucune preuve de toxicité. » [https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M2_24_nonclinical-overview.pdf, p. 30.]

Cette déclaration semble indiquer que l’étude visait à évaluer si le vaccin était transmis par les fluides corporels et/ou par contact cutané lors des rapports sexuels entre les femmes traitées et les hommes non traités.

Mais quelle commodité : les tissus reproducteurs des rats mâles ont été déclarés exempts de toxicité ; mais les rats mâles n’avaient jamais été vaccinés du tout.

toxicité pour le développement
Figure 1 : Rats mâles non traités dans l’étude 2.4 de Pfizer. Aperçu non clinique.

Puisqu’il n’y avait aucun rat mâle vacciné dans les études de reproduction de Pfizer au cours de ses essais internes, il semble que Pfizer, et puisque les hommes humains dans l’étude Pfizer devaient promettre de s’abstenir de rapports sexuels avec des femmes en âge de procréer ou bien d’utiliser un préservatif PLUS un autre contraceptif efficace – il semble que les agences de santé publique occidentales aient décidé de tester les effets des vaccins à ARNm sur la reproduction masculine simplement en utilisant l’« intervention » – le vaccin à ARNm – sur des sujets humains, hommes et femmes, lors d’une campagne de vaccination de masse.

Les ingrédients du vaccin à ARNm se déplacent dans tout le corps et se rassemblent dans les organes

Comme nous l’avons vu dans d’autres rapports de volontaires de recherche de documents Pfizer de DailyClout/War Room, les professionnels des agences médicales et de santé publique ont assuré au public américain que les ingrédients du vaccin COVID restaient dans le muscle deltoïde une fois injectés et ne se dispersaient pas dans tout le corps. [Chandler, Robert W. « Pfizer a utilisé des hypothèses dangereuses, plutôt que des recherches, pour deviner les résultats. » DailyClout , DailyClout, 9 août 2022,https://dailyclout.io/pfizer-used-dangerous-assumptions-rather-than-research-to-guess-at-outcomes/.]Cependant, la FDA a reçu le document de Pfizer, « Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », le 9 novembre 2020, plus d’un mois avant que le vaccin de Pfizer ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) et ne commence à être injecté chez l’homme dans le monde entier. Le document montre des résultats de biodistribution choquants. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han »,

https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]

La « biodistribution » est une méthode de suivi du déplacement d’ingrédients donnés dans le corps d’un animal de laboratoire ou d’un sujet humain. Le document démontre clairement que le contenu du vaccin à ARNm de Pfizer, y compris les nanoparticules lipidiques, pénètre dans la circulation sanguine, se déplace dans tout le corps et s’accumule dans les organes, y compris dans les testicules. Tableau de référence 1, « Concentration moyenne (sexe combiné) de radioactivité totale dans le sang total, le plasma et les tissus (suite) après une administration intramusculaire unique de [3H]-08-A01-C01 à des rats Wistar Han – Niveau de dose cible : 50 µg d’ARNm/animal ; 1,29 mg de lipides totaux/animal – Résultats exprimés en concentration lipidique totale (µg d’équivalent lipide/g (mL)) et % de la dose administrée », indiqué ci-dessous. [« Étude de la distribution tissulaire d’une formulation d’ARNm à base de nanoparticules lipidiques marquées au [3H] contenant de l’ALC-0315 et de l’ALC-0159 après administration intramusculaire chez des rats Wistar Han », https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf​​, p. 24.]

tableau 1

Comment les dirigeants médicaux et de santé publique sont-ils restés si fermement convaincus que la vaccination à ARNm n’avait pas d’impact sur la fertilité masculine, même s’ils avaient accès à l’étude de biodistribution de Pfizer ?

Ces experts qui juraient que les ingrédients du vaccin à ARNm ne quittaient pas le site d’injection avaient également accès à un article publié en 2018 par le NIH qui montre clairement que les nanoparticules – dont les nanoparticules lipidiques sont le sous-type [Murthy, Shashi K. « Nanoparticules in Modern Medicine: State of the Art and Future Challenges. » International Journal of Nanomedicine , Dove Medical Press, juin 2007,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2673971/.] — pourraient passer du sang dans les testicules et causer des dommages à la reproduction masculine. L’étude de 2018 a montré que les NP s’accumulent dans les testicules, ce qui nuit à la qualité et à la quantité des spermatozoïdes, ainsi qu’à leur « motilité », ou capacité à se déplacer efficacement, une condition nécessaire à la conception :

« Les nanoparticules peuvent traverser la barrière hémato-testiculaire… puis s’accumuler dans les organes reproducteurs. L’accumulation de nanoparticules endommage les organes (testicules, épididyme…) en détruisant les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales, provoquant un dysfonctionnement des organes reproducteurs qui affecte négativement la qualité, la quantité, la morphologie et la motilité des spermatozoïdes … » [Wang, Ruolan, et al. « Potential Adverse Effects of Nanoparticles on the Reproductive System. » International Journal of Nanomedicine , US National Library of Medicine, 11 décembre 2018,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/.]

Pour apprécier pleinement la manière dont les NP nuisent aux composants clés du développement et de la fonction sexuelle masculine saine, il faut comprendre les rôles des organes et des cellules endommagés, tous essentiels à la santé sexuelle masculine et même au développement sexuel masculin, mentionnés ci-dessus.

  • L’« épididyme » est impliqué dans le transport des spermatozoïdes depuis les testicules. [Boskey, Elizabeth. « Anatomie et fonction de l’épididyme ». Verywell Health , Verywell Health, 30 juin 2022,https://www.verywellhealth.com/epididymis-anatomy-4774615.]
  • Les « cellules de Sertoli » sont essentielles au développement des testicules. « Les cellules de Sertoli sont d’une importance cruciale pour le développement des testicules… [et] sont les principaux régulateurs du développement des testicules… » [Pelosi, Emanuele et Peter Koopman. « Développement du testicule. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2017,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.] « Pendant [le processus de développement des spermatozoïdes], les spermatozoïdes en développement sont étroitement liés aux cellules de Sertoli. » [Carlson, Bruce. « Gamétogenèse. » Cellule de Sertoli – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2014,https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/sertoli-cell.]
  • Les « cellules de Leydig » sont présentes dans le tissu interstitiel testiculaire. Leur fonction principale est de produire de la testostérone pour le maintien de la création et du développement des spermatozoïdes et du développement du corps masculin. [Huhtaniemi, Ilpo et Katja Teerds. « Cellule de Leydig ». Cellule de Leydig – un aperçu | ScienceDirect Topics , Science Direct, 2018,https://www.sciencedirect.com/topics/neuroscience/leydig-cell.] Ainsi, lorsque les cellules de Leydig sont endommagées, on pourrait dire que la masculinité physique elle-même est endommagée. Il est particulièrement urgent d’en tenir compte lorsque l’on réfléchit au fait que des petits garçons et des adolescents, qui n’ont pas encore atteint ou terminé leur puberté, reçoivent des injections de vaccins à ARNm contenant des nanoparticules lipidiques.
  • Les « cellules germinales » sont des précurseurs des spermatozoïdes. [« Cellules germinales – Définition, embryonnaires à gamètes, contre cellules somatiques. » MicroscopeMaster , MicroscopeMaster.com,https://www.microscopemaster.com/germ-cells.html.]

Ainsi, ces extraits et citations montrent que :

  1. Les nanoparticules lipidiques s’accumulent dans les organes humains, notamment les testicules,
  2. les nanoparticules sont préjudiciables à la reproduction masculine normale et
  3. Les grandes sociétés pharmaceutiques et les agences de santé publique ont délibérément joué avec les effets néfastes sur le développement sexuel des garçons et des adolescents, sur les niveaux de testostérone des hommes de tous âges, sur le nombre de spermatozoïdes des hommes plus âgés et sur la fertilité masculine.
Un effet indésirable du vaccin à ARNm lié au sperme qui provoque l’infertilité masculine

Un événement indésirable d’intérêt particulier (EIIP) lié au vaccin à ARNm a été révélé fin février 2021. Le propre document de Pfizer mentionne « l’anticorps anti-spermatozoïdes positif » parmi ses 1 290 EIIP. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf, p. 30.]

Qu’est-ce qu’un « ASA » ?

Selon inviTRA , un magazine médical certifié créé par des médecins et des experts en fertilité, « La présence d’anticorps anti-spermatozoïdes (ASA) dans l’éjaculat est une cause immunitaire d’infertilité masculine. L’adhésion des anticorps aux spermatozoïdes affecte leur motilité, rendant le voyage des spermatozoïdes vers l’ovule très difficile, voire impossible. » [Salvador, Zaira et Sandra Fernández. « Que sont les anticorps anti-spermatozoïdes ? – Causes et traitement. » InviTRA , 8 janvier 2019,https://www.invitra.com/fr/antispermes-anticorps/.]

Ce document Pfizer de fin février 2021 confirmant les anticorps anti-spermatozoïdes est la première indication documentée que j’ai trouvée dans les dossiers Pfizer selon laquelle le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer a un impact négatif sur la fertilité masculine.

Français Notez que Pfizer était au courant de cet effet indésirable lié à l’infertilité masculine près de 12 mois avant la déclaration clairement fausse du NIH de février 2022 : « La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception… » [« La vaccination contre la COVID-19 ne réduit pas les chances de conception, suggère une étude », 1er février 2022.] La Food and Drug Administration (FDA) était au courant de cet effet indésirable le 30 avril 2021. [« 5.3.6 Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021 »,https://www.phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf]

Pendant près d’un an, la FDA, les agences de santé publique et les organisations médicales ont donc ignoré cette « cause d’infertilité masculine » contenue dans les documents de Pfizer – qui ont tous été envoyés à la FDA. Puis ils ont menti à ce sujet.

Ils ont gardé le silence pendant un an, puis ont trompé l’opinion publique au lieu de l’alerter. La campagne de vaccination de masse s’est poursuivie sans même une brève pause, et encore une fois, les hommes se sont vu refuser leur consentement éclairé.

La suspension du consentement éclairé pour les hommes se poursuit

Contrairement à l’éthique médicale établie, Pfizer et les agences de santé publique n’ont pas révélé les véritables impacts des vaccins à ARNm sur la fertilité masculine et, par conséquent, comme indiqué ci-dessus, ont refusé aux hommes le consentement éclairé. [« Consentement éclairé – Définition, exemples, cas, processus. » Dictionnaire juridique , Dictionnaire juridique, 7 décembre 2015,https://legaldictionary.net/informed-consent/.]

En fait, les établissements médicaux, les gouvernements, les agences de santé publique du monde entier, les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques se sont entendus pour taire les faits, les risques et les alternatives liés au vaccin contre la COVID. [Tucker, Jeffrey A, et Debbie Lerman. « Besties : Twitter, Facebook, Google, CDC, NIH, WHO. » Brownstone Institute , Brownstone Institute, 3 août 2022,https://brownstone.org/articles/besties-twitter-facebook-google-cdc-nih-who/.]

En janvier 2021, l’American Society for Reproductive Medicine a publié la « Déclaration conjointe concernant le vaccin COVID-19 chez les hommes désirant une fertilité de la Society for Male Reproduction and Urology (SMRU) et de la Society for the Study of Male Reproduction (SSMR) » encourageant la vaccination COVID pour les hommes, y compris pour les patients suivant un traitement de fertilité masculine, malgré l’absence de données sur son impact sur la santé reproductive masculine :

« Au 9 janvier 2021, il n’existe aucune donnée sur l’impact du vaccin contre la COVID-19 sur la fertilité masculine. […] l’American Society for Reproductive Medicine ne recommande pas de refuser le vaccin aux patients qui envisagent de concevoir, et souligne que les patients qui suivent un traitement de fertilité et les patientes enceintes doivent être encouragés à se faire vacciner en fonction des critères d’éligibilité. » [« Mise à jour n° 11 Vaccination contre la Covid-19 16 décembre 2020 – ASRM. » American Society for Reproductive Medicine , American Society for Reproductive Medicine, 9 janv. 2021,https://www.asrm.org/globalassets/asrm/asrm-content/news-and-publications/covid-19/covidtaskforceupdate11.pdf.]

De plus, pour les hommes, SMRU et SSMR recommandent :

  • Le vaccin contre la COVID-19 ne doit pas être refusé aux hommes désirant devenir fertiles et répondant aux critères de vaccination.
  • Les vaccins contre la COVID-19 devraient être proposés aux hommes désirant être fertiles, de la même manière qu’aux hommes ne désirant pas être fertiles, lorsqu’ils répondent aux critères de vaccination.

L’organisation a ensuite imputé la baisse de la production de sperme aux fièvres liées au vaccin contre la COVID-19. [« Déclaration conjointe concernant le vaccin contre la Covid-19 chez les hommes désirant la fertilité de la Society for Male Reproduction and Urology (SMRU) et de la Society for the Study of Male Reproduction (SSMR) ». ASRM , American Society for Reproductive Medicine, 9 janvier 2021,https://www.asrm.org/news-and-publications/covid-19/statements/joint-statement-regarding-covid-19-vaccine-in-men-desiring-fertility-from-the-society-for- reproduction-masculine-et-urologie-smru-et-la-societe-pour-l’etude-de-la-reproduction-masculine-ssmr/.]

L’ASRM, la SMRU et la SSMR – toutes des sociétés de reproduction – ont déclaré à l’unisson en 2021 qu’il n’existait aucune donnée sur les impacts sur la fertilité et que les hommes « désirant la fertilité » devraient prendre le médicament pour lequel les impacts sur la fertilité sont inconnus.

Mais comment pourraient-ils conseiller aux hommes de se faire vacciner s’il n’y avait aucune donnée prouvant qu’il n’aurait pas d’effet sur la fertilité ?

Le message biaisé a continué lorsque l’étude clinique « Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer » a déclaré : « Des allégations infondées dans les médias populaires ont établi un lien possible entre le vaccin COVID-19 et une éventuelle infertilité masculine. Actuellement, il n’existe aucune information dans la littérature médicale qui ait examiné les paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19. » [« Paramètres d’analyse du sperme après le vaccin COVID-19 de Pfizer. » Affichage du texte intégral – ClinicalTrials.gov , ClinicalTrials.gov, 2 mars 2021,https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04778033.]

Encore une fois, comment les spéculations publiques sur une éventuelle infertilité induite par le vaccin à ARNm pourraient-elles être « sans fondement » alors que les responsables de l’étude admettent qu’en février 2021, il n’existait aucune donnée prouvant qu’une telle inquiétude était invalide ?

La volonté de mettre de côté les préoccupations en matière de fertilité s’est poursuivie tout au long de l’année 2021.

En septembre 2021, la revue Fertility and Sterility a publié une étude concluant : « Après avoir reçu les deux doses de vaccins, nous n’avons pas observé de baisse cliniquement significative des paramètres du sperme au sein de la cohorte, ce qui suggère que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur le potentiel de fertilité masculine. »

Cependant, l’étude était erronée. Elle admettait ensuite : « Les limites de l’étude comprennent le petit nombre d’hommes inscrits ; la généralisabilité limitée au-delà des hommes jeunes et en bonne santé ; le suivi court ; et l’absence de groupe témoin. » [Gonzalez, Daniel C., et al. « Sperm Parameters before and after COVID-19 mRNA Vaccination. » JAMA , JAMA Network, 20 juillet 2021,https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2781360.] [Gonzalez, Daniel, et al. « Effet des vaccins ARNm contre la COVID-19 sur la qualité du sperme. » Fertility and Sterility , publié par Elsevier Inc., 17 septembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8446925/.]

Les véritables expériences comprennent toujours au moins un groupe témoin qui ne reçoit pas le traitement expérimental. Sans groupe témoin, le résultat d’une étude ne peut être certain. Pourtant, malgré le rejet des normes scientifiques établies de longue date, « la science » a indiqué aux hommes dans ce cas que les vaccins contre la COVID n’auraient pas d’effet négatif sur leur fertilité.

Fin 2021, une étude chinoise a publié des vérités que les études occidentales précédentes avaient refusé de reconnaître. L’étude a validé les inquiétudes concernant les vaccins liés à la fertilité : « Bien que plusieurs sociétés de fertilité aient annoncé que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’auraient probablement aucun effet sur la fertilité, il est indéniable que les preuves actuelles sont très limitées, ce qui est l’une des raisons de l’hésitation à se faire vacciner… » L’étude chinoise poursuit : « … étant donné les dommages potentiels du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) sur le système reproducteur, certaines personnes soupçonnent que le vaccin qui imite le virus (vaccin à ARNm) peut également affecter la fertilité via le même mécanisme. » Elle aborde même le fait que les vaccins contre la COVID ont été mis sur le marché à la hâte : « Il est vrai que les données sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont incomplètes par rapport aux vaccins traditionnels basés sur des études à long terme avec de grands échantillons. » [Chen, Fei, et al. « Effets de la COVID-19 et des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine. » Reproduction humaine (Oxford, Angleterre) , Oxford University Press, 27 décembre 2021,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8689912/.]

Finalement, des fissures apparaissaient dans le barrage d’informations sur les vaccins à ARNm et la fertilité, et ces fissures préfiguraient une révélation stupéfiante qui était sur le point de tomber.

Le vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 provoque en réalité une chute étonnante de la fertilité masculine

Le 22 juin 2022, Andrology a publié une étude choc, « La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motiles chez les donneurs de sperme ». L’étude, qui n’incluait même pas les effets des injections de rappel supplémentaires, a montré une baisse stupéfiante de la fertilité masculine, avec une diminution moyenne de 22,1 % dans l’ensemble du groupe d’étude, par rapport aux seules injections initiales. L’étude a conclu : « La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de baisse transitoire de la concentration de sperme et du nombre total de motiles (TMC) ». [Gat, Itai, et al. « Covid-19 Vaccination BNT162B2 Temporarily Impairs Semen Concentration and Total Motile Count among Semen Donors ». Wiley Online Library , Andrology, 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209.]

Chaque participant à l’étude a fourni plusieurs échantillons de sperme tout au long de la durée de l’étude comme suit :

  • T0 = ​​valeur de référence avant la vaccination
  • T1 = 15-45 jours après la vaccination
  • T2 = 75-120 jours après la vaccination
  • T3 = 150+ jours après la vaccination

Les chercheurs ont étudié les participants pendant cinq mois (T1-T3 ci-dessus) après avoir reçu le vaccin de Pfizer. Le tableau 2 ci-dessous montre les résultats inquiétants, qui ont un intervalle de confiance de 95 %. La collecte de T3 a duré en moyenne 174 (+/- 26,8) jours.

Ainsi, près de six mois après la vaccination, la concentration, la motilité et le nombre total de spermatozoïdes mobiles étaient encore tous dans des états de déclin significatif par rapport aux niveaux d’avant la vaccination. La concentration de spermatozoïdes n’avait pas du tout récupéré et était, en fait, à son point le plus bas.

tableau 2
Figure 3 : Extrait de « Le vaccin Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme », p. 4.

Malgré ces résultats alarmants, l’étude publiée a continué à encourager la vaccination : « Étant donné que la désinformation sur des sujets liés à la santé représente une menace pour la santé publique, nos résultats devraient soutenir les programmes de vaccination. D’autres études se concentrant sur différents vaccins et populations (par exemple, les patients hypofertiles) sont nécessaires de toute urgence. » [Gat, Itai, et al., 17 juin 2022,https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209, p. 6.]

Il est alarmant de constater que les hommes continuent de recevoir des messages incompréhensibles et contradictoires, leur demandant de continuer à s’injecter les vaccins à ARNm, même lorsque l’étude qui contient ces exhortations démontre clairement des résultats négatifs sur la fertilité – chez les hommes.

Le public se retrouve avec plus de questions qu’il n’a de réponses

Cette revue de documents et d’études, dont une montre des données choquantes sur les vaccins à ARNm réduisant de manière concluante la fertilité des hommes, soulève d’importantes questions :

  • Quand, si jamais, la fertilité des hommes se rétablit-elle complètement après une baisse aussi drastique après une série de vaccinations à deux doses ?
  • Les rappels, que 29 % de la population mondiale a reçus au 31 juillet 2021, ont-ils un impact négatif encore plus fort sur la fertilité des hommes ? [Holder, Josh. « Suivi des vaccinations contre le coronavirus dans le monde ». The New York Times , The New York Times, 29 janv. 2021,https://www.nytimes.com/interactive/2021/world/covid-vaccinations-tracker.html.]
  • L’administration de vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux hommes prépubères et adolescents affecte-t-elle leur développement sexuel normal et leur capacité à se reproduire, comme le suggère l’étude sur les NP dans les testicules ?
  • La baisse des taux de natalité est-elle observée dans les pays fortement vaccinés [Chudov, Igor. « Igor’s Newsletter. » Substack , Igor Chudov,https://igorchudov.substack.com/.] au moins en partie en raison de la manière dont les vaccins à ARNm ont eu un effet concluant sur la fertilité masculine ?
  • Quels facteurs dans la « mortalité infantile » bien documentée observée dans le monde entier peuvent provenir des effets de la vaccination des hommes avec des vaccins à ARNm ? [Wolf, Naomi. « Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. » Substack , Outspoken avec le Dr Naomi Wolf, 30 mai 2022,https://naomiwolf.substack.com/p/dear-friends-sorry-to-announce-a.]
  • Pourquoi les sociétés pharmaceutiques, les responsables de la santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements ont-ils dit au public que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 n’avaient pas d’effet sur la fertilité des hommes alors qu’ils ne disposaient d’aucune donnée pour étayer une telle conclusion ?
  • Pourquoi, lorsque les responsables de la santé, les médecins et les gouvernements ont reçu des données confirmant que les vaccins à ARNm avaient un impact négatif sur la fertilité des hommes, n’ont-ils pas tiré la sonnette d’alarme et ne se sont-ils pas battus pour donner aux hommes un consentement éclairé ?

L’opinion publique doit exiger des réponses à ces questions de la part des sociétés pharmaceutiques, des gouvernements du monde entier, des agences de santé publique et du corps médical. Ces entités ont empêché les hommes de donner leur consentement éclairé et en ont fait des participants inconscients d’un essai clinique en cours sur une nouvelle thérapie génique.

De telles atteintes à l’humanité et à sa capacité de reproduction, et en particulier aux dommages potentiels causés aux garçons, aux jeunes et aux bébés à naître, doivent être dénoncées. Les responsables d’expériences humaines qui ont manifestement porté atteinte à la fertilité masculine doivent être tenus responsables.

Les documents de Pfizer révèlent que l’injection anti-covid visait à endommager le système de reproduction humain Lire la suite »

Olivier VÉRAN ET Michel CYMES VOUS DISENT COMMENT VOUS DEVEZ PENSER

Dans cette vidéo, nous déconstruisons la « croisade » médiatique menée par Michel Cymes et Olivier Véran. Une offensive déclarée contre une nouvelle ère fondée sur la transparence, le consentement et la remise en question des anciens dogmes. Ils présentent leur chaîne « Mieux » comme un rempart contre la désinformation… mais s’agit‑il d’un bouclier ou d’un bunker idéologique ? Entre hypercontrôle narratif et servilité au pouvoir… quel rôle pour la vérité scientifique ?

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Solidekla : une association pour aider à la déclaration des effets indésirables de injections anti-covid

Solidekla

Solidekla est une association à but non-lucratif de droit français (régie par la loi du 1er juillet 190) créée en mars 2023 par des soignants issus du Syndicat Liberté Santé, de REINFO COVID et d’autres collectifs locaux.

La mission principale de Solidekla est l’aide à la déclaration à la pharmacovigilance des effets et évènements indésirables survenus suite à l’injection des vaccins anti-COVID19.

Solidekla est une association composée de soignants en exercice sans conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, de soignants retraités ou inactifs, mais également de citoyens, tous bénévoles.

Les bénévoles de l’association se proposent de vous écouter et de vous aider à déclarer un évènement indésirable survenant suite à la vaccination covid, aux organismes officiels de pharmacovigilance. Vous serez accompagnés tout au long de cette démarche au cours de laquelle toutes vos questions seront accueillies.

Cette déclaration est gratuite, facile et anonyme.

Rappel des effets les plus fréquents :

  • Infection Covid-19
  • Fatigue persistante
  • Fièvre, toux, rhume
  • Essoufflement persistant
  • Grosseur et/ou douleur au point d’injection
  • Ganglions périphériques
  • Douleurs articulaires
  • Bourdonnements d’oreilles (acouphènes)
  • Vertiges, maux de tête, troubles de la mémoire
  • Aggravation d’une démence (Alzheimer…)
  • Convulsions infantiles
  • Douleurs ou faiblesse musculaire persistantes
  • Règles plus longues et/ou plus douloureuses, reprise des règles après la ménopause, arrêt des règles
  • Anomalies pendant la grossesse (fausse couche, mort foetale in utero, malformation, prématurité…)
  • Démangeaisons, éruption cutanée (urticaire, Eczéma, zona…)
  • Infarctus du myocarde, myocardite ou péricardite, troubles du rythme cardiaque
  • Hypertension artérielle, embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral (AVC), phlébite
  • Paralysie faciale
  • Perte de sensibilité, fourmillements dans les membres
  • Syndrome de Guillain Barré
  • Douleurs diffuses
  • Nausées, diarrhées, vomissements
  • Rechute ou apparition d’un cancer
  • Décès inexpliqué ou inattendu
  • Atteintes oculaires (troubles de la vision, uvéite, conjonctivite…)
  • Rechute ou apparition de maladies auto-immunes
  • Liste non exhaustive…

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L’étude cachée comparant le taux de maladies chez les enfants vaccinés et non vaccinés voit enfin le jour

Source : The Vigilant Fox

En 2016, le Dr Marcus Zervos a accepté l’impensable : tester les vaccinés contre les non vaccinés. Convaincu que cela prouverait la sécurité des vaccins, il a promis de publier les résultats quoi qu’il arrive. Ces résultats n’ont jamais vu le jour, jusqu’à maintenant. Voici ce que l’étude enterrée a révélé.

Rencontrez le Dr Marcus Zervos , responsable des maladies infectieuses au Henry Ford Health de Détroit. Il est un fervent partisan des vaccins.

En 2016, il a croisé le chemin du journaliste spécialisé dans la liberté de la santé Del Bigtree, qui l’a exhorté à s’attaquer à quelque chose que la santé publique avait évité pendant des décennies : une étude comparant les résultats de santé des enfants vaccinés et non vaccinés.

Le Dr Zervos a accepté de mener l’étude, déterminé à prouver que Bigtree et les autres sceptiques face aux vaccins avaient tort. À l’époque, il avait juré : «  Quels que soient les résultats, ils seront publiés . »

Début 2020, Bigtree et son équipe ont reçu une copie de l’étude. Il s’agissait d’une comparaison rétrospective entre sujets vaccinés et non vaccinés, examinant l’état de santé à long terme de 18 468 sujets.

Son titre était « Impact de la vaccination infantile sur les résultats de santé chroniques à court et à long terme chez les enfants : une étude de cohorte de naissance ».

Voici ce que les résultats ont révélé :

Les enfants vaccinés étaient quatre fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic d’asthme que les enfants non vaccinés.

Ils ont également constaté une augmentation de six fois des infections aiguës et chroniques de l’oreille.

Les troubles de la parole étaient 4,47 fois plus élevés dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.

Pendant ce temps, la cohorte non vaccinée n’a montré aucun cas de dysfonctionnement cérébral, de diabète, de troubles d’apprentissage, de déficience intellectuelle, de tics ou d’autres troubles psychologiques.

« C’est dévastateur. »

L’avocat Aaron Siri de l’ICAN (Informed Consent Action Network) note que cette étude aurait dû être « publiée d’urgence ».

Mais cela n’est pas arrivé.

Pourquoi ? Parce que publier cela aurait ruiné la carrière de Zervos.

Comme l’a témoigné Siri lors d’une audience du Sénat sur les vaccins mardi, les résultats globaux ont montré qu’« après 10 ans, 17 % des enfants non vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, tandis que 57 % des enfants vaccinés en avaient au moins un ».

Il s’agit d’une augmentation de plus de trois fois du risque de maladies chroniques chez les personnes vaccinées.

« Le seul véritable problème de cette étude », a déclaré Siri, « est que ses conclusions ne concordent pas avec la croyance et la politique selon lesquelles les vaccins sont sûrs. Si elle avait conclu que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé, elle aurait sans doute été publiée immédiatement. Mais comme elle a conclu au contraire, elle a été mise au placard . »

Un grand mérite revient à Del Bigtree, The Highwire, l’avocat Aaron Siri et d’autres pour 1) avoir convaincu le Dr Zervos de mener cette étude et 2) l’avoir mise en lumière.

Le documentaire complet, intitulé An Inconvenient Study , devrait sortir le 3 octobre.

Ci-dessous la traduction du témoignage complet de Siri sur cette étude enterrée :

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Le 29 septembre à Grenoble : rassemblement face à la Justice et hommage aux victimes des injections anti-covid

Bonjour à tous,

nous sommes très nombreux, 130 à peu près, à avoir rejoint la plainte avec Maître Joseph en 2021.

C’était une période de lutte et d’espoir, de grande solidarité.

Depuis, cette plainte a été refusée, refusée en appel, et est aujourd’hui en cassation.

Suite à la venue de Maître Brusa à Voiron ce printemps, l’idée m’est venue d’organiser une GRANDE ACTION VISIBLE devant le palais de Justice de Grenoble, avec tous les porteurs de la plainte et bien d’autres, tous ceux qui voudront se joindre à nous.

L’issue de notre plainte est peut-être perdue d’avance, mais la résonance, la diffusion que nous lui donnerons, là est l’essentiel car nous nous battons tous évidemment pour beaucoup plus que pour nous-mêmes.

Et ainsi le secret qu’ils désirent se retourne en son contraire.

J’ai appelé tous les collectifs de France à se joindre à nous chez eux en leur envoyant ce message.

Nous sommes d’innombrables individus ou collectifs à avoir déposé des plaintes et actions en justice depuis 2, 3, 4, 5 ans… avec quels résultats? 

Les plaintes sont classées par dizaines, centaines, milliers alors que l’offensive contre la Vie, les enfants, la Liberté continue avec d’autres vaccins, d’autres lois liberticides.

La justice, sa fausse indépendance, son silence, ses choix, sont au centre de tout ce que nous combattons.

Le 29 septembre, jour de la Saint Michel, symbolisant la lutte éternelle et plus que jamais actuelle entre l’ombre et la Lumière, entre le secret et la parole du Messager, exposons le silence de la justice elle-même devant nos palais de justice en montrant la réalité des politiques sanitaires, des vaccinations et du monde d’injustice et de corruption que le système judiciaire cautionne.

Nous serons à Grenoble dès 8 h 30 devant le palais de justice de Grenoble avec les porteurs de notre plainte refusée depuis 4 ans et aujourd’hui en cassation et les portraits des victimes des campagnes de vaccination.

Soyez aussi devant les palais de justice partout en France ou ailleurs ce jour-là.

Nous serons à L’Université d’Eté Rassemblante organisée par Cécile Maichak ce week-end.

François-Marie Périer et Kevin Quentric, collectifs AURA Liberté Auvergne-Rhône-Alpes

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