29 août 2025

RFK Jr. affirme que le département de la Santé révélera les causes de l’autisme en septembre

Source : medias-presse.info

par Pierre-Alain Depauw

Le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., s’est exprimé aux côtés de la secrétaire à l’Éducation, Linda McMahon, lors d’une réunion du cabinet du président des États-Unis Donald Trump avec les membres de son administration, à la Maison-Blanche à Washington, le 26 août 2025. Il s’agit de la septième réunion du cabinet de Trump depuis son second mandat.

En avril dernier, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., s’était engagé à annoncer les causes de l’autisme d’ici septembre. Quelques jours avant le passage à ce mois, Kennedy a réitéré cette promesse. Espérons qu’elle soit mieux respectée que la promesse de Donald Trump de faire la lumière sur l’affaire Epstein.

Robert F. Kennedy Jr. a affirmé le 26 août qu’une étude sur l’autisme qu’il avait lancée en avril avait révélé des «interventions» qui «sont presque certainement à l’origine» du trouble. Le président Donald Trump a demandé à Kennedy un rapport d’étape sur l’autisme lors de la réunion du cabinet.

«L’autisme est un véritable spectacle d’horreur – qui se passe dans notre pays et dans d’autres pays, mais surtout dans le nôtre», a déclaré Trump. «Où en êtes-vous ?»

Kennedy a répondu : «Comme promis, nous ferons des annonces en septembre, concernant la découverte d’interventions, qui sont manifestement à l’origine de l’autisme. Et nous pourrons y remédier en septembre».

Un enfant sur 31 est autiste

Un rapport publié le 15 avril par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a montré qu’un enfant sur 31 aux États-Unis est autiste.

Ces chiffres, qui marquent un nouveau bond dans une longue série d’augmentations, proviennent de la dernière enquête du CDC sur l’autisme et les troubles du développement, publiée dans le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du CDC.

Le rapport a incité Kennedy à dire que «l’épidémie d’autisme est en train de se propager».

«C’est une augmentation significative par rapport à il y a deux ans et près de cinq fois plus élevé que lorsque le CDC a commencé à mener des enquêtes sur l’autisme chez les enfants nés en 1992», avait déjà déclaré Kennedy dans un communiqué du 15 avril.

«La prévalence chez les garçons est stupéfiante : 1 sur 20 et en Californie, elle est de 1 sur 12,5».

Une augmentation de 16,1% en deux ans

Le précédent rapport de surveillance de l’autisme et des troubles du développement publié en 2023 a révélé qu’un enfant américain de 8 ans sur 36 était autiste en 2020. L’enquête du 15 avril reflète une augmentation de 16,1% en deux ans. «L’épidémie d’autisme a désormais atteint une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité», a déclaré Kennedy .

«Les risques et les coûts de cette crise sont mille fois plus menaçants pour notre pays que la COVID-19. L’autisme est évitable et il est impardonnable que nous n’en ayons pas encore identifié les causes sous-jacentes. Nous aurions dû avoir ces réponses il y a 20 ans», a ajouté Kennedy.

Les National Institutes of Health (NIH) ont déclaré que bien que l’autisme puisse être diagnostiqué à tout âge, il est décrit «comme un «trouble du développement» car les symptômes apparaissent généralement au cours des deux premières années de la vie».

Kennedy a déclaré que l’autisme était une épidémie et a critiqué ceux qui attribuent l’augmentation des cas en grande partie ou uniquement à de meilleurs critères de dépistage et de diagnostic.

«L’autisme détruit les familles et, plus important encore, il détruit notre plus grande ressource, qui sont nos enfants», a-t-il déclaré.

Faisant référence aux formes graves d’autisme, Kennedy a déclaré :

«Ce sont des enfants qui ne paieront jamais d’impôts. Ils n’auront jamais d’emploi. Ils ne joueront jamais au baseball. Ils n’écriront jamais de poème. Ils n’iront jamais à un rendez-vous galant. Beaucoup d’entre eux n’iront jamais aux toilettes sans aide».

Ces remarques ont suscité des critiques de la part de certains parents, qui ont déclaré que leurs enfants autistes réussissaient et ne reflétaient pas ce que Kennedy avait décrit.

D’autres parents d’enfants autistes ont défendu Kennedy, soulignant qu’il décrivait avec précision la manière dont cette maladie affecte certaines familles.

Lors d’une réunion publique avec le Dr Phil McGraw le 28 avril, Kennedy avait attiré l’attention sur la situation difficile des familles qui ont des enfants atteints d’«autisme profond», qui, selon lui, représente environ 26,4% des personnes atteintes de cette maladie.

Lien entre les vaccins et l’autisme

En décembre dernier, Trump a déclaré qu’il donnerait également à Kennedy la liberté d’enquêter sur le lien potentiel entre les vaccins et l’autisme.

«Quand on regarde certains problèmes, quand on regarde ce qui se passe avec les maladies et les affections dans notre pays, quelque chose ne va pas», avait déclaré Trump en décembre.

«Je pense que quelqu’un doit le découvrir. Si l’on remonte 25 ans en arrière, l’autisme était très rare».

Kennedy affirme depuis des années que l’autisme est probablement lié aux vaccins administrés pendant l’enfance et à des facteurs environnementaux.

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Vaccins à ARNm contre le COVID-19 : 3 études revues par les pairs donnent des motifs irréfutables pour un éventuel retrait immédiat ?

Source : France Soir

 Le 28 août 2025, une tempête médiatique et scientifique a éclaté suite à un tweet de Nicolas Hulscher, épidémiologiste américain, relayant trois études révisées par des pairs qui remettent en cause la sécurité et l’efficacité des vaccins à ARNm contre le COVID-19, appelant à leur retrait immédiat du marché. Ces travaux, détaillés dans Focal Points, s’appuient sur des analyses approfondies publiées récemment. Cet article explore en détail les résultats de ces études, leurs implications, les conséquences internationales, et leur lien avec une récente initiative française, tout en tenant compte du contexte de méfiance publique.

Examen approfondi des trois études

1.Injections COVID-19 : préjudices et dommages, une conclusion non exhaustive (Zywiec et al., 2025). Cette étude, menée par un consortium international d’experts incluant Peter McCullough et Nicolas Hulscher, dresse un tableau alarmant des effets secondaires des vaccins à ARNm. Les auteurs ont analysé des données de pharmacovigilance (comme VAERS) et des études génomiques pour identifier des dommages systémiques :

  • Système cardiovasculaire : une corrélation forte avec des myocardites (inflammation du cœur), des infarctus, des AVC et des arythmies, particulièrement chez les jeunes adultes et les adolescents.
  • Système reproductif : des taux élevés de fausses couches, de morts fœtales et de troubles de la fertilité, avec des données suggérant un transfert placentaire des composants vaccinaux.
  • Système immunitaire : une immunosuppression marquée, avec des réactivations virales (herpès, zona), des maladies auto-immunes et une accélération de certains cancers (notamment les lymphomes).

L’étude avance que le virus SARS-CoV-2 et les vaccins contiennent des éléments ingénierés (comme des sites de clivage de furine), potentiellement liés au projet DEFUSE de DARPA (2018), rejeté pour des recherches sur des coronavirus modifiés. Cela pourrait violer la Convention sur les armes biologiques.

2. Évaluation réglementaire et de l’innocuité des vaccins génétiques à ARNm-LNP contre la COVID-19 au Japon (Ueda et al., 2025). Cette analyse japonaise, dirigée par des chercheurs comme Junji Ueda, se concentre sur les failles réglementaires et les risques en santé publique au Japon, où 103 millions de personnes ont été vaccinées. Les résultats incluent :

  • Absence de suivi : aucun suivi national à long terme ni études approfondies sur la biodistribution, la toxicité organique, la cancérogénicité ou la sécurité fœtale n’ont été réalisés.
  • Contamination : des laboratoires indépendants ont détecté de l’ADN plasmidique, y compris des séquences SV40 (connues pour leur potentiel oncogène), dans les vaccins, dépassant les limites réglementaires.
  • Classification erronée : les vaccins ont été qualifiés de « vaccins » plutôt que de thérapies géniques, évitant ainsi des normes plus strictes.
  • Brèche éthique : les auteurs dénoncent la dissimulation des données sur les mortalités et les approbations sans essais cliniques complets, demandant la révocation des autorisations.

3. Revue : Les appels à l’abandon du marché des vaccins contre la COVID-19 s’intensifient alors que les risques l’emportent de loin sur les avantages théoriques (Hulscher et al., 2025). Cette revue synthèse, publiée en janvier 2025, compile des données mondiales et des appels à l’action :

  • Chiffres alarmants : plus de 589 000 décès ajustés selon VAERS aux États-Unis et environ 17 millions à l’échelle mondiale, dépassant les seuils de rappel de la FDA de 375 000 %.
  • Efficacité négative : les rappels augmenteraient le risque d’infection, contredisant les promesses initiales.
  • Mobilisation : 81 000 médecins, scientifiques et citoyens, soutenus par 240 officiels gouvernementaux et 17 organisations professionnelles, exigent un retrait mondial.
  • Contamination : les niveaux d’ADN contaminant seraient 65 000 % au-dessus des limites acceptables.

Ces études, bien que controversées, s’appuient sur des méthodologies rigoureuses et des données accessibles, mais elles nécessitent une validation indépendante pour être pleinement acceptées.

Des risques avérés et des implications éthiques

Les effets secondaires identifiés (myocardites, cancers, troubles immunitaires) sont documentés avec des données statistiques solides, bien que des débats persistent sur leur lien causal direct avec les vaccins. La contamination par des séquences SV40 soulève des inquiétudes oncogènes, tandis que les allégations sur DEFUSE et les armes biologiques alimentent des théories sur une intentionnalité derrière la pandémie.

Si ces hypothèses sont prouvées, elles pourraient entraîner des poursuites judiciaires internationales et une réévaluation des politiques de santé publique.

Conséquences internationales

Les implications de ces études pourraient bouleverser la santé mondiale.

Au Japon, une suspension des vaccins à ARNm pourrait inspirer d’autres nations, notamment en Europe et aux États-Unis, où la confiance vacille déjà. Une crise de confiance envers l’OMS et les agences nationales (FDA, EMA) est probable, avec des répercussions économiques pour Pfizer et Moderna.

Les débats sur l’origine du SARS-CoV-2 pourraient resurgir, exacerbant les tensions géopolitiques, notamment avec la Chine, accusée par certains d’avoir financé des recherches similaires à DEFUSE. Une coordination internationale sera cruciale, mais les divergences politiques pourraient compliquer les décisions.

Lien avec la mission française sur la déinformation en santé

En France, cette polémique coïncide avec l’annonce, le 27 août 2025, par le ministre de la Santé Frédéric Neuder, d’une mission spéciale sur la désinformation en santé, visant à restaurer la confiance publique après des années de controverses. 

Cependant, cette initiative soulève des inquiétudes. Les experts nommés (Mathieu Molimard, Dominique Costagliola et Hervé Maisonneuve) à grand renfort de communication médiatique ne rempliraient pas les critères d’indépendance. En effet, souvent été critiqués pour des erreurs passées dans leurs analyses sur la vaccination et d’autres décisions sanitaires (comme l’usage controversé d’hydroxychloroquine ou la gestion des masques), ces personnes pourraient ignorer ces nouvelles études ainsi que la bibliothèque de 700 études sur les problèmes liés aux vaccins covid

700 études

Si tel était le cas, ils contribueraient à une désinformation institutionnelle, un phénomène déjà dénoncé par France-Soir, qui montre que Neuder et les médias mainstream ont contribué à la désinformation sur les vaccins et les risques vaccinaux. 

Cette omission risquerait d’aggraver la défiance, déjà palpable selon un sondage exclusif de France-Soir/Bonsens.org sur un échantillon représentatif de 1200 Français, où 52 % ont perdu confiance sur certains vaccins à cause des « mensonges » du gouvernement, avec 73% qui déplorent l’inefficacité du vaccin covid et 56% les effets secondaires associés. Une analyse transparente de ces études par la mission serait essentielle pour éviter une nouvelle crise de crédibilité.

Que faire maintenant ?

Face à ces révélations, les auteurs appellent à une suspension immédiate des vaccins à ARNm, à des enquêtes indépendantes et à la publication de toutes les données brutes. Pour le public, cela pose des questions cruciales : faut-il continuer à se vacciner ? Comment discerner la vérité ?

En attendant des clarifications, il est recommandé de consulter des sources scientifiques fiables, de suivre les évolutions réglementaires, et de rester critique face aux narratifs officiels en rappelant que les conventions internationales en santé sur le consentement libre et éclairé devrait primer sur les obligations de tout ordre. Cette affaire, encore en gestation, pourrait redéfinir les standards de la recherche médicale et de la transparence.

Les études de Zywiec, Ueda et Hulscher, bien que controversées par certains, ouvrent un débat majeur sur la sécurité des vaccins à ARNm. Leur validation ou réfutation par la communauté scientifique internationale sera déterminante. En France et ailleurs, la réponse des autorités sera un test crucial de leur capacité à gérer cette crise avec intégrité. L’histoire jugera si cette polémique marque un tournant vers une science plus ouverte ou une nouvelle fracture de confiance.

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