12 juillet 2025

Monopole – Un aperçu du Great Reset

Quel que soit le domaine, agriculture, banques, technologies, pharmacie, loisirs, armement… ce sont toujours les mêmes deux ou trois actionnaires que l’on retrouve au sommet de la pyramide. La libre concurrence et l’économie libérale ne serait-elles qu’une illusion ? L’économie mondiale ne serait-elle contrôlée que par une poignée d’individus ? Qui sont-ils et où veulent-ils nous emmener ? Sorti en 2021, le film « Monopoly, Follow The Money » répond en partie à ces questions.

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Chantage à la seringue : le MEDEF veut priver d’indemnités les non-vaccinés contre la grippe

Source : lemediaen442.fr

Il fallait s’y attendre : le MEDEF, ce bastion de l’orthodoxie patronale, dégaine une nouvelle arme dans sa quête d’un monde uniformément piqué. Dans une proposition qui fleure bon l’autoritarisme déguisé en pragmatisme, Yves Laqueille, vice-président de l’organisation, a jeté un pavé dans la mare : pourquoi, diantre, indemniser à 100 % les arrêts maladie des travailleurs grippés qui osent refuser le saint vaccin antigrippal ? Une idée, nous dit-on, pour « redresser les comptes de la Sécurité sociale » en 2026. Mais derrière ce vernis comptable, c’est une tout autre logique qui se dessine : celle d’une société où le libre arbitre devient un luxe que l’on paie au prix fort.

Selon les chiffres brandis par le MEDEF, le taux de couverture vaccinale contre la grippe plafonne à 47,7 % pour la saison 2023-2024, un chiffre jugé scandaleusement bas par les apôtres de la seringue. Et pour cause : dans un élan de générosité collective, l’organisation propose de « généraliser la vaccination en entreprise » et, tant qu’à faire, de moduler les indemnités des réfractaires. Traduction : si vous osez douter de la potion miracle, préparez-vous à voir votre salaire amputé lorsque la grippe, cet ennemi saisonnier, viendra frapper à votre porte. « Se faire vacciner, c’est un exercice collectif pour protéger les autres », sermonne Yves Laqueille, drapé dans une rhétorique altruiste qui ne trompe personne.

Arrêter d’indemniser à 100% les travailleurs grippés qui refusent le vaccin? Le Medef lance cette idée (et ça ne va pas plaire aux antivax)https://t.co/mxZfSfqAxW pic.twitter.com/2eV9kQYAzb

— BFMTV (@BFMTV) July 10, 2025


Mais de quel collectif parle-t-on ? Celui d’une société où l’on conditionne les droits fondamentaux à l’acceptation d’un acte médical ? Où l’on punit financièrement ceux qui, par conviction, méfiance ou simple prudence, refusent de se plier à une injonction sanitaire ? Le MEDEF, dans sa grande sagesse, semble avoir oublié les leçons récentes du coronacircus. Après les pass sanitaires, les suspensions de salaire et les menaces de licenciement pour non-vaccination contre le Covid, voici venu le temps de la grippe, nouvel étendard d’une croisade hygiéniste qui ne dit pas son nom.

Le cynisme de la proposition atteint des sommets lorsqu’on examine les arguments avancés. Une campagne de vaccination en entreprise, nous assure-t-on, diviserait l’absentéisme par 2,4 et réduirait les jours d’absence de 4,6 par salarié. Des chiffres sortis d’un chapeau statistique, bien sûr, et qui occultent une question essentielle : depuis quand le MEDEF se soucie-t-il de la santé publique ? L’organisation, plus habituée à plaider pour la flexibilité du travail et la réduction des charges sociales, se découvre soudain une vocation de gardien du bien commun. On en rirait si l’enjeu n’était pas si grave.

💉 Doit-on arrêter d’indemniser à 100% les travailleurs grippés non-vaccinés ?

🎙️ Elise Goldfarb : « Le gouvernement laisse la place à tous les complotistes, tous les antivax ! Je suis pour pénaliser les gens qui en pénalisent d’autres en refusant de se vacciner ! »#EstelleMidi pic.twitter.com/Chl3fAyreu

— Estelle Midi (@EstelleMidi) July 10, 2025


Car ce n’est pas seulement d’économies dont il est question, mais d’un précédent dangereux. En liant l’indemnisation des arrêts maladie à l’acceptation d’un vaccin, le MEDEF ouvre la boîte de Pandore. Aujourd’hui, la grippe ; demain, quel autre comportement jugé « irresponsable » sera sanctionné ? Refuser un traitement médicamenteux ? Négliger son régime alimentaire ? Oser fumer une cigarette ? La pente est glissante, et l’on devine déjà les prochaines étapes : une modulation des cotisations sociales selon le degré d’obéissance aux injonctions médicales, ou pourquoi pas un bonus pour les bons élèves qui alignent leurs rappels vaccinaux comme des médailles. Cette proposition n’est pas une simple « réflexion », comme le MEDEF tente de le faire croire en jouant la carte de la prudence. C’est un ballon d’essai, une manière de tester la résilience d’une société déjà éreintée par des années de pressions sanitaires. Yves Laqueille lui-même concède que « ce n’est peut-être pas pour demain ». Mais dans un monde où les « peut-être » deviennent rapidement des réalités, la vigilance est de mise.

Les arrêts de maladie pour cause de grippe après vaccination anti-grippe seront-ils indemnisés ? On attend avec impatience la réponse du Medef.

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Pays-Bas : procès géant contre, entre autres, l’État néerlandais, l’ancien Premier ministre Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla et le milliardaire Bill Gates

Source : deanderekrant.nl

Par Ido Dijkstra | Date : 10 juillet 2025

Quatre semaines après l’arrestation choquante de l’avocat Arno van Kessel, son associé Peter Stassen a repris seul le procès géant contre, entre autres, l’État néerlandais, l’ancien Premier ministre Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla et le milliardaire Bill Gates, devant le tribunal de district de Leeuwarden, le mercredi 9 juillet. Des centaines de sympathisants, dont l’épouse de Van Kessel, l’ont accueilli en héros. Stassen avait lancé un appel moral au juge, l’exhortant à « veiller à ce qu’il n’y ait pas de sang sur les mains ».

« Il faut faire quelque chose, ça ne peut plus se reproduire », crie un policier à son collègue à l’entrée du palais de justice de Leeuwarden. Plusieurs policiers viennent de commencer à barricader l’entrée principale du bâtiment, sur Zaailand, la grande place du marché de la capitale frisonne. Une centaine de personnes viennent de franchir le portique de sécurité avec l’autorisation de l’administration, mais que faire avec au moins autant de monde à l’extérieur ?

Dans la cour du palais de justice de la capitale frisonne, ceux qui restent et ne sont pas admis dans la salle d’audience scandent « Libérez Arno van Kessel, libérez Arno van Kessel ! » Les passants ignorent souvent ce qui se dit, mais tous sont impatients de leur annoncer l’arrestation d’un avocat courageux qui s’attaque à l’élite de la justice pénale et l’importance de cette affaire pour tous. Dans ce contexte, il est assez étrange que le tribunal de district du nord des Pays-Bas, situé à Leeuwarden, semble avoir largement sous-estimé l’intérêt du public.

Toute cette agitation préalable au procès a entraîné un retard de quinze minutes. L’absence notable d’Arno van Kessel, l’un des avocats du plaignant, était notable. Arraché de force quatre semaines plus tôt par une équipe d’intervention spéciale, il est détenu depuis à l’établissement de sécurité renforcée de Vught, sur la base de vagues allégations du ministère public. Son épouse, Helena, présente au procès à Leeuwarden, n’a pas parlé directement à son mari depuis quatre semaines.

Les plaignants et les défendeurs n’en parlent pas un seul mot. La salle d’audience est principalement consacrée à l’affaire, l’avocat Peter Stassen intervenant au nom de sept victimes de la vaccination contre le coronavirus, dont l’une est décédée l’année dernière. Le reste de la longue table semi-circulaire est occupé par huit avocats des défendeurs, presque tous employés par le cabinet d’avocats Pels Rijcken de La Haye, également connu sous le nom d’Avocat d’État.

Stassen ouvre l’audience de manière saisissante en s’adressant immédiatement au juge au sujet des directives modifiées concernant la presse (voir encadré — ndlr). Il entame ensuite sa plaidoirie formelle de manière tout aussi saisissante, par un verset biblique : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera » (Jean 8, 32). L’affaire est axée sur la recherche de la vérité, soutient Stassen, et ce mercredi, la juge, Mme Werkema, doit déterminer si l’ancienne haute fonctionnaire américaine Catherine Austin Fitts, l’ancien vice-président de Pfizer Mike Yeadon, l’ancienne dirigeante pharmaceutique Sasha Latypova, la chercheuse Katherine Watt et le psychothérapeute Joseph Sansone sont de bons témoins dans cette affaire colossale.

Stassen soutient que ces experts devraient être entendus sous serment, mais les accusés refusent catégoriquement, au grand désespoir du résident du Brabant-Septentrional. « Si mes clients ne sont pas autorisés à utiliser ces éléments de preuve préliminaires, alors ce tribunal refuse de connaître la vérité, et encore moins de les acquitter. C’est pourquoi, une seule bonne décision est possible concernant cette demande. »

Il est intéressant de noter que les avocats des défendeurs comme Bill Gates, Agnes Kant, Diederik Gommers, Jaap van Dissel, Sigrid Kaag et Hugo de Jonge ne s’expriment pas beaucoup. Ils se réfèrent principalement à ce qui est déjà écrit : ils ne considèrent pas les personnes nommées par Stassen comme de bons témoins experts. L’avocat de l’État néerlandais apporte quelques précisions. « Les experts proposés par les plaignants ne sont pas des experts, et encore moins des experts indépendants. Nombre de leurs questions sont dénuées de fondement factuel et hors de propos. » Tandis que trois victimes du vaccin contre le coronavirus sont assises à côté de Stassen, celle-ci affirme également que les vaccins contre le coronavirus se sont avérés « sûrs et efficaces », car, selon elle, il s’agit du « consensus scientifique général ». L’auditoire exprime sa consternation face à la fragilité de cet argument. Un instant plus tard, Stassen rétorque : « Un consensus scientifique ? Qu’est-ce que c’est, au juste ? »

L’expression « consensus scientifique » est, en soi, une monstruosité. Ce n’est pas parce que la majorité affirme que A est vrai que A est vrai par définition. La science n’est pas une démocratie. Je pourrais facilement citer cinq personnalités qui tirent une conclusion différente. Tout est une question de qualité des preuves. Les accusés refusent systématiquement de l’accepter, comme on le voit.

Enfin, Stassen a impressionné ses partisans, notamment par une plaidoirie enflammée. Il a accusé la partie adverse d’avoir simplement utilisé de « faux arguments ad hominem pour saper l’expertise de ses témoins ». L’avocat d’Eindhoven a qualifié les programmes de vaccination contre le coronavirus de « plus grand génocide de l’humanité. Un crime sans précédent, accompagné de coercition, de tromperie, voire de meurtre » et a lancé un appel moral au juge. « Si vous, en tant que juge, rejetez notre demande d’audition de ces témoins, ce dont je doute, le sang déjà sur les mains des accusés sera bientôt sur les vôtres. Cette affaire doit devenir un débat public qui ne peut être tranché que devant un tribunal. La politique a déjà prouvé son impuissance. Le tribunal doit maintenant faire ses preuves. Je vous souhaite beaucoup de sagesse dans votre décision. »

Stassen, visiblement ému, a ensuite été accueilli par un tonnerre d’applaudissements et le slogan « Peter merci » par des centaines de partisans, dont l’épouse de Van Kessel.

Après avoir entendu les parties, le juge a indiqué qu’il lui faudrait environ six semaines pour rendre une décision.

Stassen interpelle également le juge sur les directives de presse : « Vous êtes le chef dans la salle d’audience »

Les nouvelles directives sur la presse, mises en œuvre par le pouvoir judiciaire le 1er juin 2025, restreignant la liberté du journalisme, violent la liberté constitutionnelle de la presse et encouragent la censure. Le procès de mercredi dernier l’a clairement démontré. Par exemple, le photographe de De Andere Krant, Markus Kamphuis, titulaire d’une carte de presse de la police, n’a pas été autorisé à prendre de photos, malgré les dispositions contraires du règlement. Le journaliste Ido Dijkstra, qui ne possédait pas de carte de presse de la NVJ, a bénéficié d’une clémence exceptionnelle du tribunal de Leeuwarden en tant que journaliste. La sténographe judiciaire Djamila le Pair souhaitait filmer l’intégralité de l’affaire, mais sa demande a été refusée. Cela a été une source de frustration pour Peter Stassen. Il a déclaré à la juge qu’elle n’était absolument pas tenue de se conformer à ces règles, « car il n’y a qu’un seul chef au tribunal, et c’est vous. Dans un État de droit, chacun doit pouvoir faire son travail de manière égale. La censure ne devrait avoir aucune chance. L’État de droit est compromis si les journalistes ne peuvent pas faire leur travail correctement. Si des journalistes paient en échange d’un morceau de plastique (comme des cartes de presse) et s’engagent ensuite à respecter toutes sortes de règles, cela n’a rien à voir avec la liberté de la presse. À mon avis, c’est vous qui décidez si la censure est autorisée dans ce tribunal, et non une quelconque directive de presse. » La juge a déclaré reconnaître « l’intérêt général de l’affaire », mais n’a pas précisé le contenu de l’argumentation de Stassen. Elle a bien mentionné qu’elle ferait réaliser un enregistrement audio, mais après l’objection de l’un des avocats de la défense, le sort qui en serait réservé restait flou.

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