juin 2025

Injections, shedding et mortalité : des corrélations troublantes selon Hervé Seligmann

Hervé Seligmann est chercheur biomédical et a travaillé à l’IHU de Marseille dans l’institut du professeur Raoult. Aujourd’hui complètement indépendant, il revient sur ses recherches sur le shedding des vaccins anti-Covid. Autrement dit, sur la possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par les produits contenus dans les vaccins, qu’elles soient vaccinées elles-mêmes ou non. Découvrez ses conclusions surprenantes qu’il a partagées avec nous pendant les rencontres citoyennes à Vierzon le 1er février 2025, et qui peinent à trouver écho jusque dans les milieux alternatifs.

Lire notre article avec les sources : https://www.nexus.fr/actualite/entret.

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Une nouvelle étude associe la « vaccination » à l’ARNm avec des saignements pulmonaires fatals 555 jours après l’injection

Source : tkp
Par le Dr. Peter F. Mayer – Traduction Translate Web Pages

Le rapport d’autopsie est le premier cas publié d’un effet indésirable fatal qui s’est produit plus d’un an après une vaccination par un ARNm de la COVID-19, et souligne le risque d’effets secondaires graves à long terme.

Les médecins sont encouragés à prêter attention et à surveiller d’éventuelles complications cardio-pulmonaires à long terme après une « vaccination » de la COVID-19. Cette étude souligne également l’importance d’effectuer des analyses par lots de «vaccins» de la COVID-19 dans l’évaluation des connexions possibles entre les événements indésirables et l’injection.

La nouvelle étude de Nicolas Hulcher et Peter McCullough intitulée « Delayed Fatal Pulmonary Hemorrhage Following Covid-19 Vaccination: Case Report, Batch Analysis, And Proposed Autopsy Checklist » (Delayed lung lung bleeding after Covid-19 vaccination: case report, batch analysis and proposition autopsy checklist) a été publiée dans la Revue internationale de recherche.

Selon l’étude, le Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA reconnaît que la « fenêtre temporelle réglementaire » pour un nouveau produit génétique tel que le COD-ARNm « Vaccins » est de 5 à 15 ans.

Cet aveu suggère que la population vaccinée peut être confrontée à une vague de caillots sanguins, puisque les vaccinations contre la COVID n’ont été mises en circulation pour le public qu’il y a environ quatre ans. L’étude suggère que les saignements pulmonaires d’issue fatale doivent être considérés comme un possible «produit epold, même mois à des années après la dernière injection».

Le saignement conduit à la formation de caillots dans les poumons, ce qui entraîne une instabilité hémodynamique et des conséquences fatales dues à une suffocation ou à un choc.

Ils ont constaté que des études antérieures n’associaient des caillots sanguins aux vaccins à l’ARNm que chez les personnes peu après la vaccination. Toutefois, les risques à long terme sont restés largement inexplorés.

Dans le cadre de l’étude, ils ont examiné le décès d’un homme de 47 ans qui est mort d’une embolie pulmonaire 555 jours après avoir reçu le vaccin.

L’étude a révélé que le jeune homme de 47 ans avait de bons antécédents médicaux et n’a pris aucun médicament au moment de sa maladie fatale.

Dans une sous-tapier, Hulscher note qu’il s’agit « du premier cas publié d’un effet indésirable fatal qui s’est produit plus d’un an après une vaccination par l’ARNm de la COVID-19, soulignant le risque potentiel d’effets secondaires graves à long terme ».

Selon l’étude, le jeune homme de 47 ans a montré « Symptômes d’une infection respiratoire légère » avant sa mort.

Cependant, sa santé s’est rapidement détériorée lorsqu’il souffrait d’essoufflement sévère.

Il a également souffert d’un arrêt cardiaque « avec des signes d’hémorragie pulmonaire sévère ».

«Les preuves suggèrent que cet homme est probablement mort d’un arrêt cardiaque-lung à la suite de saignements pulmonaires aigus, le vaccin COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement de pathologies cardiovasculaires et de saignements», conclut l’étude.

Cette prise de conscience est « significative car elle montre que la mort peut même se produire plus d’un an après la première série de vaccinations d’ARNm », a déclaré McCullough.

«Des études similaires ont révélé des embolies pulmonaires qui, si elles ne sont pas traitées suffisamment longtemps, conduisent à une nécrose et à des saignements pulmonaires», a ajouté M. McCullough.

« Les vaccins COVID-19 sont connus pour provoquer des caillots sanguins et des embolies pulmonaires. »

Hulscher a dit :

«La plausibilité biologique des saignements pulmonaires retardés après une vaccination par l’ARNm de la COVID-19 est due à des cas documentés à court terme peu après l’injection, à des préoccupations réglementaires concernant les effets durables du produit génétique, à la persistance et à la pathogénicité de la protéine de pointe, et à de nouvelles indications d’une intégration possible de séquences de gènes d’ADN plasmidiques qui contribuent à la protéine de pointe persistante.

L’étude note que l’admission de la FDA signifie qu’il existe une « fenêtre de préoccupation chirante » signifie que les saignements pulmonaires mortels doivent être considérés comme un possible « produit epold, même mois à des années après la dernière injection ».

Malgré les résultats de l’autopsie et les recherches antérieures sur ce sujet, qui indiquent un lien possible entre les vaccinations de l’ARNm et l’embolie pulmonaire, « le coroner a noté que la cause de décès est due à des maladies cardiovasculaires artérioscléroses et hypertensives sans tenir compte des saignements pulmonaires récents et des antécédents médicaux peupicés ».

L’étude a également révélé que les contributions possibles à la vaccination contre la COVID, telles que la présence de protéine de pointe, l’ARNm « vacciné » ou les anticorps associés, n’étaient pas étudiées dans l’autopsie de l’homme.

Voici le résumé de l’étude:

Les vaccins contre la COVID-19 étaient précédemment associés à des saignements pulmonaires, qui sont généralement survenus peu après la vaccination. Nous signalons un homme caucasien de 47 ans en bonne santé qui est mort de manière inattendue d’une hémorragie pulmonaire aigue 555 jours après avoir terminé la première série de vaccinations avec BNT162b2 (Pfizer) contre la COVID-19. Avant sa mort, il a montré les symptômes d’une infection respiratoire légère. Malgré des antécédents en bonne santé et sans prendre de médicaments, l’état du patient s’est rapidement détérioré et il souffrait d’un essoufflement sévère, suivi d’une aggravation du cœur et du poumon avec des signes d’hémorragie pulmonaire sévère. L’autopsie a entraîné une congestion pulmonaire massive sans embolie, une taille cardiaque normale et une athérosclérose coronaire modérée sans infarctus du myocarde. Malgré ces résultats, le coroniste a trouvé une maladie cardiovasculaire athérosclérose et hypertensive comme cause de décès, sans tenir compte de la récente hémorragie pulmonaire et des antécédents médicaux discrets. L’autopsie n’a pas étudié la contribution possible du vaccin contre la COVID-19, par ex. la présence de la protéine de pointe, de l’ARNm vaccinal ou des anticorps apparentés. Une analyse par lots a révélé que la charge vaccinale BNT162b2 que ce patient avait reçu est l’un des 2,8 % des lots de vaccins Pfizer COVID-19 présentant les décès les plus rapportés et est associé à des effets indésirables cardiovasculaires fatals, y compris l’arrêt cardiaque. Les preuves indiquent que cet homme est très probablement mort d’un arrêt du cardiopulane à la suite d’hémorragies pulmonaires aigues, le vaccin contre le COVID-19 jouant potentiellement un rôle dans le développement d’une pathologie cardiovasculaire et d’un saignement. Nous proposons des protocoles d’autopsie pour les personnes décédées qui ont reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 afin d’améliorer la précision du diagnostic dans les futurs cas.

Les deux pathologistes allemands Prof. Arne Burkhardt et le professeur. Walter Lang a été publié. En particulier, l’étude publiée ici dans TKP exclusivement comme première étude publiée sur l’endommagement des fibres élastiques peut être la cause d’un tel saignement.

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L’Agenda – Leur Vision – Votre Futur

Après une semaine de travail, comme promis, je vous présente la version doublée en français du film L’Agenda – Leur Vision | Votre Futur (durée : 1h52), produit par @OracleFilmsUK. Ce documentaire incroyable révèle la folie qui a envahi notre monde, il expose ceux qui en ont pris possession, et vous explique pourquoi. C’est choquant, mais essentiel pour saisir l’ampleur de la dérive qui nous a conduits à cette situation. Ce film met en lumière les plans élaborés depuis des décennies par une élite oligarchique, visant à instaurer une surveillance généralisée, l’intelligence artificielle, la monnaie numérique et, à terme, les identités numériques. Les réalisateurs exposent de manière posée mais inquiétante le potentiel de ces technologies pour restreindre ou conditionner l’accès à la nourriture, à l’énergie, à l’argent, aux déplacements et même à Internet. Ils démontent également la manière dont le changement climatique d’origine humaine est utilisé comme prétexte à une prise de contrôle totalitaire à l’échelle mondiale. Une fois visionné, ce documentaire changera votre regard à jamais.

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Union européenne : un système de corruption inégalé

Face à une crise économique persistante, l’Europe cache un secret inavouable : un système de corruption qui engloutit des centaines de milliards d’euros par an. Comment l’Union européenne, jadis modèle de démocratie, est-elle devenue le terrain de jeu d’une élite corrompue ? Contrats secrets négociés par SMS, députés fantômes, 50.000 lobbyistes qui achètent les lois au plus offrant – découvrez la mécanique parfaitement huilée qui transforme vos impôts en rentes privées.

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Une nouvelle étude internationale critique la gestion de la crise sanitaire

Source : BAM! News

Une nouvelle étude internationale pluridisciplinaire, réalisée par 35 chercheurs et revue par les pairs, offre une lecture critique de la gestion de la pandémie. Publiée dans l’International Journal of Public Health, revue scientifique affiliée à la prestigieuse Swiss School of Public Health, elle dénonce une dépendance excessive aux modèles prédictifs, une évaluation biaisée des mesures sanitaires, ainsi que la marginalisation de perspectives scientifiques discordantes. Ce travail appelle à repenser en profondeur la gouvernance sanitaire en temps de crise, à l’heure où des cadres juridiques permanents — comme la « loi pandémie » en Belgique — ou l’Accord international sur les pandémies de l’OMS, entérinent précisément les dérives que cette étude dénonce.

Une dépendance excessive aux modèles prédictifs

Dès les premières semaines de 2020, des modèles épidémiologiques alarmants ont justifié l’adoption d’interventions sans précédent : confinements, fermetures d’écoles, restrictions de circulation. Pourtant, ces projections étaient souvent fondées sur des hypothèses simplificatrices, dérivant de modèles peu adaptés à la complexité des comportements humains ou à l’hétérogénéité immunitaire. Le problème n’était pas l’utilisation de modèles, mais leur survalorisation sans validation empirique, ni réajustement en fonction de l’observation réelle. Les scénarios les plus alarmistes ont éclipsé les prévisions plus nuancées, créant un climat anxiogène ayant pesé lourd sur les choix politiques.

Entre précipitation et dogmatisme

La plupart des pays ont copié les mesures de leurs voisins : confinement généralisé, fermeture des commerces, port du masque obligatoire. Pourtant, ces méthodes avaient été jugées peu probantes dans les plans pandémiques préexistants. Peu d’évaluations réelles ont été menées pendant la crise pour mesurer leur efficacité. De nombreuses études ont ensuite montré que les vagues épidémiques suivaient des cycles largement indépendants de la sévérité des mesures. Les coûts sociaux, éducatifs, économiques et sanitaires de ces interventions ont été massifs, aggravant les inégalités et laissant des séquelles profondes, notamment chez les jeunes et les populations vulnérables. Les conséquences à long terme sur la santé publique globale ont été trop souvent ignorées au profit d’une logique à court terme focalisée sur le virus seul.

Un traitement différencié et asymétrique des solutions pharmaceutiques

L’autre grande lacune fut l’évaluation biaisée des traitements. Tandis que les vaccins à ARN messager ont bénéficié d’un soutien politique et médiatique sans précédent, les traitements à base de médicaments repositionnés, bon marché et bien connus, comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, ont fait l’objet d’une hostilité marquée. Le débat scientifique autour de leur efficacité a été rapidement étouffé, et les praticiens souhaitant les utiliser ont parfois subi des pressions ou des sanctions. Pourtant, plusieurs de ces traitements présentaient un profil de sécurité bien connu et méritaient au moins une évaluation honnête. Ce deux poids deux mesures a fragilisé la confiance du public et porté atteinte au principe de neutralité scientifique.

Les vaccins à ARN messager ont été autorisés à la hâte dans le cadre de procédures d’émergence exceptionnelles, réservées aux situations sans traitement alternatif. La reconnaissance officielle d’un traitement efficace aurait juridiquement empêché ou retardé leur mise sur le marché en urgence. Cette réalité réglementaire explique en partie le rejet systématique des traitements et la communication très orientée en faveur de la vaccination.

Une science réduite au silence au nom du consensus

L’étiquette de « désinformation » a trop souvent servi à écarter des opinions pourtant scientifiques, mais simplement divergentes. Des médecins, chercheurs, universitaires ont été censurés ou disqualifiés, non pour des erreurs, mais pour avoir osé questionner les mesures dominantes. Ce climat de peur intellectuelle a altéré le débat scientifique et empêché une évaluation sereine et pluraliste de la situation. En même temps, les conflits d’intérêts dans certaines instances d’expertise ont été rarement questionnés, alimentant la suspicion.

Pour une nouvelle culture de la santé publique

La gestion de la crise COVID‑19 a révélé les failles d’une gouvernance trop centralisée, technocratique et cloisonnée. Il est urgent de redonner leur place à la transparence, au doute, au pluralisme disciplinaire et à l’évaluation rigoureuse. Cela suppose aussi de ne pas refaire les erreurs passées : confondre prudence et autorité, science et communication, urgence et panique. Une véritable politique de santé publique ne peut faire l’impasse sur l’éthique, le respect des droits et une vision globale du bien-être humain. C’est à cette condition que les sociétés pourront affronter les pandémies futures avec discernement et cohérence.

Une gouvernance en contradiction avec les enseignements scientifiques

En Belgique, la « loi pandémie » de 2021, censée encadrer juridiquement les futures situations d’urgence épidémique, s’inscrit dans une logique centralisée et technocratique que cette étude remet fondamentalement en question. Alors que cette dernière plaide pour une gouvernance pluraliste, transparente et continuellement évaluée, la loi belge confère un pouvoir quasi absolu à l’exécutif, sans garantir ni débat interdisciplinaire, ni contrôle démocratique[1].

De la même manière, l’accord international sur les pandémies récemment adopté par l’Organisation mondiale de la santé tend à institutionnaliser ces mêmes dérives. Une orientation qui, si elle semble parfaitement convenir aux firmes pharmaceutiques et à certains acteurs technocratiques, ne répond en rien aux attentes démocratiques ni à l’intérêt des citoyens.

Retrouver l’étude complète:
What Lessons can Be Learned From the Management of the COVID‑19 Pandemic?

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Demande d’informations suite à publication du document DGS-URGENT n° 2025-04 du 06.02.2025 et suite à la parution de l’article TEST PCR, RT-PCR, “LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION”

Source : ONEST

Les tests RT-PCR ont été utilisés lors de la crise Covid-19 afin de justifier les pires mesures liberticides.

Le 6 février 2025, la Direction Générale de la Santé a publié à l’attention de tous les médecins et soignants la note DGS-URGENT n° 2025-04  intitulée « VIGILANCE RENFORCEE VIS-A-VIS DU RISQUE DE TRANSMISSION A L’HOMME DES VIRUS INFLUENZA D’ORIGINE ZOONOTIQUE – CONDUITE A TENIR » dans laquelle elle précise :

« Devant tout cas possible de grippe aviaire ou porcine (cf. définitions en annexe), réaliser un prélèvement nasopharyngé  (et conjonctival en cas de symptômes oculaires) pour une recherche de grippe par RT-PCR. […]. »

Nous savons que ce sont les statistiques agrégées issues des tests RT-PCR,  telles qu’elles seront remontées, qui permettront à nouveau de déterminer s’il y a ou non pandémie et par là même de légitimer toutes les mesures liberticides qui seront potentiellement prises par le gouvernement.

Suite à la publication de cette note, un article intitulé « TESTS PCR : LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION » a été publié par le site Infodujour.fr le 11 février 2025, lequel met clairement en cause la fiabilité et la sincérité de cette technique TEST PCR et RT-PCR.

La question de la fiabilité des tests PCR / RT-PCR a été posée à Jean-Marc SABATIER, Docteur en Biologie cellulaire et microbiologie, HDR en Biochimie, DEA en Biologie cellulaire et moléculaire et Directeur de recherche au CNRS, qui s’est exprimé dans cet article en son nom propre.

Le Dr Jean-Marc SABATIER a fait part d’une réponse détaillée très éclairante, confirmant la nécessité d’interroger la Direction Générale de la Santé quant à la sincérité et à la fiabilité tant de la technique que des résultats obtenus par le biais de cette technique.

Le département droit, médecine et Santé publique du Collège des professionnels de l’ONEST a donc rédigé une demande formelle d’informations à l’attention de la DGS. en vue d’obtenir des réponses précises et circonstanciées concernant cette technique des tests PCR / RT PCR.

Voici le courrier transmis à la DGS :

Demande d’informations suite à publication du document DGS-URGENT n° 2025-04 du 06.02.2025 et suite à la parution de l’article TEST PCR, RT-PCR, “LA FIABILITÉ REMISE EN QUESTION” Lire la suite »

Pays-Bas : arrestation de l’avocat Arno van Kessel, un mois avant l’ouverture d’un procès historique sur la pandémie

Source : Nexus

Arno van Kessel, un avocat néerlandais en procédure contre Bill Gates, l’ancien Premier ministre néerlandais et actuel secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, le PDG de Pfizer Albert Bourla ou encore l’État néerlandais, a été arrêté mercredi 11 juin par la police. Pile un mois avant la première audience prévue au tribunal de Leeuwarden.

◆ Des poursuites engagées contre 17 personnes morales et physiques

Arno van Kessel est un peu le Reiner Fuellmich des Pays-Bas. En juillet 2023, cet avocat néerlandais et son confrère Peter Stessen ont déposé au tribunal de Leeuwarden une plainte civile historique visant l’État néerlandais et seize personnalités de premier plan impliquées dans la gestion de la pandémie du Covid-19, parmi lesquelles Bill Gates (coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates), Mark Rutte (ancien Premier ministre néerlandais et actuel secrétaire général de l’Otan), Albert Bourla (PDG de Pfizer), et d’autres dirigeants politiques et responsables néerlandais.

Très médiatisée aux Pays-Bas, cette affaire est portée au tribunal par sept plaignants victimes d’effets indésirables post-vaccinaux graves (dont un est décédé l’an dernier, indique le journal De Andere Krant) et financée par la fondation Recht Oprecht, dont le but est de faciliter les procédures liées à de grands enjeux sociétaux.

◆ Les vaccins sont-ils une arme biologique ? Un « Great Reset » est-il en cours ?

Les principales accusations de la plainte sont : tromperie sur l’efficacité et la sécurité des vaccins, mise en danger délibérée de la population via les vaccins à ARN messager (suspectés d’être une arme biologique), complicité de crime contre l’humanité (les avocats parlent de génocide), propagation de fausses informations sur l’origine du virus, atteintes aux libertés fondamentales à travers la mise en œuvre des mesures sanitaires. Les avocats veulent également demander aux experts convoqués au procès si la politique de lutte contre le coronavirus s’inscrit dans un programme de « Grande Réinitialisation » (Great Reset).

◆ Interpellation et perquisition par une unité de forces spéciales

Alors que la première audience au fond de ce procès sans précédent est fixée au 9 juillet prochain à Leeuwarden, Me van Kessel a été soudainement arrêté le 11 juin dernier à son domicile. Selon un article de De Andere Krant, dont une version française est disponible sur le média belge Kairos, l’avocat aurait été « interpellé avec force et emmené les yeux bandés » par une unité de forces spéciales de la police néerlandaise. Son domicile aurait également fait l’objet d’une perquisition pendant plusieurs heures.

◆ Suspicion d’appartenance à un réseau criminel ayant une idéologie anti-institutionnelle

Dans un communiqué, la police néerlandaise a déclaré le même jour avoir « arrêté huit personnes à différents endroits du pays », dont deux sexagénaires à Leeuwarden, « soupçonnées d’avoir commis des actes criminels en détention conjointe, visant à collecter ou à utiliser des armes et/ou des substances dangereuses ».

« L’enquête menée par la police et le ministère public du nord des Pays-Bas porte sur un réseau criminel, au sein duquel un grand nombre des suspects arrêtés adhèrent à une idéologie anti-institutionnelle et pourraient avoir l’intention de recourir à la violence », indique encore le communiqué.

◆ Une tentative de salir l’avocat et d’étouffer l’affaire ?

On voudrait nuire à la réputation d’Arno van Kessel et court-circuiter le procès que l’on ne s’y prendrait pas mieux. « Un avocat de renom, l’un des rares à oser s’en prendre à l’État, est arrêté un mois avant un procès d’une importance capitale. C’est tout à fait remarquable », a commenté un membre du conseil d’administration de Recht Oprecht auprès de De Andere Krant.

Article par Alexandra Joutel

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Pertes fœtales après la vaccination COVID-19  : une étude soulève des questions cruciales. Un pas vers plus de transparence

Source : France Soir

Une nouvelle étude publiée sur medRxiv, dirigée par Josh Guetzkow et co-écrite par Retsef Levi, récemment nommé au sein de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) aux États-Unis, apporte un éclairage inédit sur les effets de la vaccination contre la COVID-19 chez les femmes enceintes en début de grossesse. Intitulée « Pertes fœtales observées à prévoir après la vaccination à ARNm contre la COVID-19 en début de grossesse« , cette recherche, basée sur des données robustes d’Israël, met en lumière des observations cruciales qui pourraient guider les futures recommandations sanitaires. Alors que les autorités sanitaires et les décideurs politiques ont minimisé les incertitudes entourant la vaccination des femmes enceintes, cette étude marque un tournant vers une approche plus transparente et scientifique, répondant à un besoin urgent de clarté dans un contexte de méfiance croissante.

Une étude basée sur des données solides

L’étude analyse 226 395 grossesses singletones enregistrées par Maccabi Healthcare Services (MHS) en Israël entre 2016 et 2022. En utilisant un modèle de régression logistique entraîné sur des données historiques (2016-2018), les chercheurs comparent les pertes fœtales observées chez les femmes vaccinées contre la covid-19 (principalement avec le vaccin Pfizer-BioNTech BNT162b2) pendant les semaines gestationnelles 8 à 13 et 14 à 27 à celles attendues. Les résultats révèlent une augmentation des pertes fœtales pour les femmes vaccinées avec la première ou la troisième dose entre les semaines 8 et 13, avec respectivement 3,85 et 1,9 pertes supplémentaires pour 100 grossesses. Ces pertes surviennent majoritairement après la 20e semaine, près de la moitié après la 25e.

Variation

En contraste, les femmes vaccinées contre la grippe pendant la grossesse affichent des taux de pertes fœtales inférieurs aux attentes, probablement en raison d’un biais de « vacciné en bonne santé« . Les femmes vaccinées contre la covid-19 ou la grippe avant la grossesse présentent des résultats conformes ou meilleurs que prévu, et les infections par le SARS-CoV-2 pendant la grossesse ne semblent pas associées à un risque accru de pertes fœtales.

Un effort de transparence face à l’inaction des autorités

Cette étude intervient dans un contexte où les autorités sanitaires, tant en Israël qu’ailleurs, ont souvent adopté une posture rassurante sur la sécurité des vaccins à ARNm pour les femmes enceintes, malgré l’absence initiale de données issues d’essais cliniques pour cette population. En Israël, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée dès janvier 2021, étendue à tous les trimestres en février 2021, sans études approfondies sur les premières semaines de grossesse. Cette recherche comble un vide important en fournissant des données observationnelles détaillées, ajustées pour des facteurs comme l’âge, le statut socio-économique et les comorbidités.

Josh Guetzkow souligne l’importance de ces résultats pour informer les futures politiques de santé publique. Maryanne Demasi, journaliste scientifique, a salué sur son blog et sur X (18 avril 2024) cette étude comme une « contribution essentielle » pour comprendre les risques potentiels, critiquant le manque de curiosité des autorités face aux signaux précoces. La scientifique Jessica Rose a également commenté cette initiative, la qualifiant de « nécessaire pour les femmes qui méritent des réponses claires ».

Une méthodologie rigoureuse, malgré des limites

L’approche observée-attendue, ajustée pour des facteurs individuels tels que l’âge maternel, le statut socio-économique, les comorbidités et le statut de grossesse à haut risque, renforce la crédibilité de l’étude en réduisant les biais potentiels. Les chercheurs ont également inclus des cohortes de contrôle (vaccination contre la grippe et vaccination avant la grossesse) pour contextualiser leurs résultats. Cependant, en tant que preprint non révisé par les pairs, l’étude nécessite une validation supplémentaire. De plus, la distinction entre avortements spontanés, thérapeutiques et électifs reste floue, bien que les avortements électifs après la 14e semaine soient rares en Israël, selon le ministère de la Santé israélien.

Implications prometteuses pour la santé publique

Cette étude ouvre la voie à une meilleure compréhension des vaccins à ARNm en début de grossesse. La nomination de Retsef Levi à l’ACIP suggère que ces données pourraient influencer les politiques vaccinales aux États-Unis, en favorisant des recommandations plus nuancées pour les femmes enceintes. Levi, connu pour son approche rigoureuse, pourrait plaider pour des études complémentaires, y compris des essais randomisés, afin de confirmer ou d’infirmer ces résultats.

Cette recherche met également en évidence l’importance d’une surveillance active des effets des vaccins, un domaine où les autorités sanitaires ont parfois manqué de proactivité. En fournissant des données concrètes, l’étude de Guetzkow et Levi encourage un dialogue scientifique constructif, loin des postures dogmatiques, et pourrait inspirer d’autres pays à renforcer leurs propres systèmes de pharmacovigilance.

Conséquences pour la France dans un contexte de méfiance

En France, où la vaccination contre la COVID-19 a été recommandée pour les femmes enceintes dès le deuxième trimestre en 2021, cette étude pourrait jouer un rôle clé dans la restauration de la confiance publique, qui a été ébranlée. Selon un sondage (échantillon représentatif de 1200 personnes), bien que 69 % des Français restent favorables à la vaccination en général, 45 % rejettent le vaccin contre la COVID-19, 56 % déplorent ses effets secondaires, et 73 % perçoivent son inefficacité. Plus préoccupant, 52 % des personnes interrogées ont perdu confiance en la vaccination en raison des « mensonges » perçus, du gouvernement. Dans ce contexte, l’étude de Guetzkow et Levi offre une opportunité de répondre aux préoccupations légitimes des citoyens en fournissant des données transparentes.

La Haute Autorité de Santé (HAS) pourrait s’appuyer sur ces résultats pour initier des analyses similaires à partir des bases de données de l’Assurance Maladie, renforçant ainsi la crédibilité des recommandations vaccinales. Une communication proactive, expliquant les bénéfices des vaccins tout en reconnaissant les incertitudes et en s’engageant à approfondir la recherche, pourrait apaiser les craintes. L’histoire de la campagne contre la grippe H1N1 en 2009 a montré que la méfiance peut s’amplifier en l’absence de transparence ; cette étude offre une chance de tirer des leçons du passé et de retrouver le chemin de la science. En impliquant les professionnels de santé de tous bords et les associations de patients dans un dialogue ouvert, la France devrait transformer ce climat de scepticisme en une opportunité pour une politique de santé publique plus fiable et moins politisée, en particulier pour les femmes enceintes.

L’étude de Guetzkow et al. représente une avancée importante dans la compréhension des effets des vaccins à ARNm contre la COVID-19 en début de grossesse. En brisant le silence des autorités sanitaires et en fournissant des données rigoureuses, elle pave la voie à une santé publique plus transparente et responsable. En France, où la méfiance envers la vaccination est palpable, cette recherche devrait catalyser des initiatives pour renforcer la surveillance vaccinale et restaurer la confiance, notamment auprès des futures mères. 

Loin d’être alarmiste, cette étude est un appel à une science ouverte et à une collaboration entre chercheurs, décideurs et citoyens pour une meilleure protection de la santé publique.

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Une étude en prépublication alerte sur les effets neuropsychiatriques des vaccins à ARNm contre le COVID-19

Source : France Soir

Une étude scientifique récente, publiée sur Preprints.org le 14 avril 2025, met en lumière des signaux de sécurité préoccupants concernant les vaccins à ARNm contre le COVID-19. Intitulée « Association entre la vaccination contre la COVID-19 et les affections neuropsychiatriques » (Thorp & al.), cette recherche explore les liens potentiels entre ces vaccins et une série de troubles neuropsychiatriques graves, incluant des troubles cognitifs, psychiatriques, ainsi que des comportements suicidaires et homicides. Ces résultats, basés sur une analyse des données du Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) des institutions américaines FDA/CDC, soulèvent des questions cruciales sur les impacts à long terme de ces vaccins sur la santé mentale et cognitive. Une autre étude de l’Université de Yale, publiée en février 2025 sur MedRxiv évoquait ces préoccupations en démontrant que la protéine spike persiste jusqu’à 709 jours après l’injection chez certains vaccinés, remettant en question les assurances initiales sur la rapidité de son élimination.

Contexte et méthodologie

L’étude de Thorp et al. se concentre sur la capacité des vaccins à ARNm, notamment ceux de Pfizer-BioNTech et Moderna, à traverser la barrière hémato-encéphalique grâce à leur technologie de nanoparticules lipidiques (LNP). Cette propriété, conçue pour optimiser la distribution des vaccins, pourrait entraîner des effets secondaires neurologiques imprévus, une hypothèse corroborée par l’étude de Yale qui identifie une production prolongée de la protéine Spike dans les tissus. Les auteurs ont interrogé la base de données VAERS sur une période s’étendant de janvier 1990 à décembre 2024, en se concentrant sur les effets indésirables (EI) neuropsychiatriques signalés après la vaccination contre le COVID-19, comparés à ceux des vaccins contre la grippe et à l’ensemble d’autres vaccins.

Les effets indésirables ont été classés en trois catégories principales, définies par les termes de bas niveau (LLT) du Dictionnaire médical pour les activités de réglementation (MedDRA) :

  • 47 troubles neuropsychiatriques liés à la cognition (ex. : brouillard cérébral, démence, hémorragie cérébrale).
  • 28 troubles neuropsychiatriques généraux (ex. : psychose, anxiété, schizophrénie).
  • 11 troubles liés aux comportements suicidaires et homicides (ex. : idéation suicidaire, agression).

Les ratios de signalement proportionnels (PRR) ont été calculés pour comparer les EI des vaccins COVID-19 à ceux des vaccins contre la grippe et d’autres vaccins. Selon les normes des CDC/FDA, un PRR ≥ 2 indique un signal de sécurité préoccupant.

Résultats alarmants

Les résultats de l’étude de Thorp et al. révèlent des signaux de sécurité significatifs pour les trois catégories étudiées, avec des PRR largement supérieurs au seuil de 2. Voici un aperçu des conclusions clés :

  1. Troubles cognitifs : ces troubles ont une occurrence de signalement 115 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. Par rapport à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 26,8 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques, les PRR les plus élevés incluent :Troubles 1
  2. Troubles psychiatriques généraux : ces troubles ont une occurrence de signalement 118 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 28,6 fois plus élevée. Voilà les rations pour les troubles spécifiques rapportés : Troubles 3
  3. Troubles suicidaires et homicides : ces troubles ont une occurrence de signalement 80 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l’occurrence de signalement est 14 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques :Troubles 2

Ces chiffres indiquent une augmentation significative des risques neuropsychiatriques associés aux vaccins COVID-19 par rapport aux autres vaccins, avec des Z-scores élevés suggérant une improbabilité statistique que ces associations soient dues au hasard. L’étude de Yale, en montrant une persistance de la protéine SPIKE jusqu’à 709 jours, suggère que ces effets pourraient être liés à une exposition chronique à cette protéine neurotoxique, renforçant les inquiétudes soulevées par Thorp et al.

Mécanismes biologiques potentiels

L’étude de Thorp et al. avance plusieurs hypothèses pour expliquer ces effets dont les effets ont été décrits dans l’étude publiée en 2023 par Lesgards, Cerdan, McCullough et al. « Toxicité de la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 issue du virus et produite par les vaccins à ARNm ou à ADN adénoviral contre la COVID-19 ». Lesgards et al. écrivait :

« Les maladies neurodégénératives dans la population mondiale doivent être surveillées de près en ce qui concerne les patients atteints de COVID long ainsi que les effets secondaires à long terme de la vaccination contre la COVID-19…. De plus, la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 et du vaccin induit une diminution de la sérotonine en mobilisant l’ACE2, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs ou même suicidaires… Cela montre que des symptômes identiques à ceux de la COVID-19 peuvent apparaître et n’ont été déclenchés que par la protéine spike. Il est probable que la maladie chronique caractérisée par la fatigue et les symptômes neuropsychiatriques, appelée COVID longue et lésions graves du SNC, pourrait être induite par l’activité microgliale et l’inflammation des astrocytes induites par la protéine spike du SARS-CoV-2 ainsi que par la protéine spike produite par le vaccin. »

Thorp et al décrivent que les vaccins à ARNm codent pour la protéine spike, connue pour traverser la barrière hémato-encéphalique et provoquer des dommages vasculaires. Cette protéine, hautement inflammatoire, pourrait induire une production chronique de cytokines, contribuant à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Creutzfeldt-Jakob (CJD). Lesgards et al. l’avaient décrit, l’étude de Yale corrobore cette idée en identifiant une présence prolongée de la protéine spike dans les tissus, ce qui pourrait expliquer les effets neuropsychiatriques persistants. Des études antérieures, comme celle de Perez et al. (2023), ont rapporté 26 cas de CJD diagnostiqués en 2021, avec des symptômes apparaissant en moyenne 11,38 jours après une injection de vaccin COVID-19. De plus, la présence de régions prionogènes dans la protéine spike, comme décrit par Tetz et Tetz (2022), pourrait favoriser des maladies à prions.

Un autre mécanisme concerne l’épuisement énergétique cellulaire induit par la production prolongée de la protéine spike, pouvant perturber le repliement des protéines et favoriser des maladies comme le CJD. Des études récentes, telles que celle d’Ota et al. (2025), ont également documenté la persistance de l’ARNm et de la protéine spike dans les artères cérébrales jusqu’à 17 mois après la vaccination, augmentant le risque de troubles thrombotiques cérébraux.

Réactions et contexte plus large

Les résultats de ces études ont suscité des réactions vives sur les réseaux sociaux, notamment sur X. Un post de Nic Hulscher souligne que plus de 70 % de la population mondiale a reçu au moins une dose de vaccin COVID-19, suggérant que ces vaccins neurotoxiques pourraient expliquer en partie une montée des troubles civils et psychiatriques depuis 2020. Il évoque aussi un « effondrement du bon sens » et des comportements irrationnels, liant ces phénomènes aux effets neuropsychiatriques des vaccins tels qu’ils ont été décrits par Lesgards et al.

L’article de The Focal Points qualifie ces résultats de « catastrophiques », mettant en avant des PRR extrêmes, comme cette probabilité 3 000 fois plus élevée de thrombose du sinus veineux cérébral. Il souligne également les implications sociétales, suggérant que les troubles neuropsychiatriques induits pourraient avoir contribué à des comportements sociaux erratiques observés ces dernières années.

En France, un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens (vague mars 2025, échantillon de 1200 personnes représentatif) corrobore ces préoccupations. Parmi les résultats marquants, 71 % des Français estiment que le confinement et l’incertitude ont entraîné de nombreuses personnes dans la dépression, tandis que 49 % rapportent que leurs proches ont souffert d’effets secondaires de la vaccination contre le COVID-19. De plus, 8 % des personnes interrogées ont consulté pour des troubles dépressifs post-vaccination, un phénomène qui pourrait expliquer la hausse récente de l’usage des neuroleptiques. Ces données soulignent une perception croissante des risques vaccinaux et des conséquences psychologiques et physiques dans la population française.

En 2025, la santé mentale a été déclarée grande cause nationale en France, face à une crise marquée par 25 % des salariés souffrants d’une mauvaise santé mentale (CRAMIF, 2025) et 15 % des Français confrontés à des troubles psychiques (OMS, 2021). Pourtant, l’absence de prise en compte de l’étude Thorp et al., qui alerte sur les liens entre vaccination et troubles neuropsychiatriques, soulève des questions. Cette omission pourrait refléter une réticence à remettre en cause les politiques vaccinales passées, malgré les signaux d’alarme et les données du sondage France-Soir/BonSens.org indiquant potentiellement 4,51 millions d’effets indésirables, dont des troubles dépressifs affectant environ 4 millions de personnes.Image sondage

Cette dissonance entre la reconnaissance de la crise de santé mentale et l’ignorance d’études critiques pourrait miner la confiance publique et retarder des mesures adaptées.

Limites et controverses

L’étude de Thorp et al. reconnaît plusieurs limites, notamment celles inhérentes au système VAERS. Ce dernier ne permet pas de comparer les EI à une population non vaccinée, et il est estimé que seulement 1 % des effets indésirables sont rapportés. De plus, comparer les vaccins COVID-19 à d’autres vaccins, eux-mêmes non dénués de risques, peut introduire un biais. Enfin, l’absence d’analyses prospectives limite la capacité à établir une causalité définitive. Ces études, bien que prometteuses, restent des prépublications non revues par des pairs, ce qui nécessite une prudence dans son interprétation.

Les auteurs critiquent également les efforts de certaines institutions, comme le Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, pour discréditer VAERS, notant des conflits d’intérêts financiers avec des agences gouvernementales comme le NIH et le CDC. Ils soulignent que des données accablantes, telles que le rapport post-commercialisation de Pfizer (2021) documentant 42 086 EI, dont 1 223 décès, ont été dissimulées pendant des années.

Conclusion et implications

Cette étude met en évidence des signaux de sécurité alarmants concernant les vaccins à ARNm contre la COVID-19, avec des risques significativement accrus de troubles neuropsychiatriques, incluant la démence, la psychose, et les comportements suicidaires ou homicides. Ces résultats, corroborés par l’étude de Yale sur la persistance de la protéine spike et par des données françaises, appellent à une réévaluation urgente de l’innocuité de ces vaccins. La hausse des troubles dépressifs (8 % des consultations) et l’augmentation potentielle de l’usage des neuroleptiques, combinées à l’accord massif (71 %) sur l’impact dépressif du confinement et de l’incertitude, suggèrent un effet cumulatif des politiques de santé publique sur la santé mentale.

En France, alors que la santé mentale est une grande cause nationale en 2025, l’absence de considération pour l’étude Thorp et al. est troublante. Cette omission pourrait indiquer une priorité donnée à la cohérence politique plutôt qu’à une analyse indépendante des risques, surtout face à des données suggérant 4,51 millions d’effets secondaires. Les auteurs concluent en demandant un moratoire mondial immédiat sur leur utilisation, plaidant pour des études approfondies sur les impacts à long terme, notamment sur la santé maternelle, fœtale, cognitive et sexuelle des populations vaccinées.

Alors que la controverse autour des vaccins COVID-19 continue de croître, ces études renforcent les appels à une transparence accrue et à une surveillance rigoureuse des effets secondaires, tout en mettant en lumière les défis systémiques dans la gestion des données de pharmacovigilance par les autorités sanitaires.

Une étude en prépublication alerte sur les effets neuropsychiatriques des vaccins à ARNm contre le COVID-19 Lire la suite »

Von der Leyen, Bourla et Sahin poursuivis par des syndicats de police italiens pour meurtre

Source : essentiel.news

Traduction diffusée sur Independant News Europe de l’article de Transition News publié à partir des révélations d’Il Giornale d’Italia

La présidente de la Commission européenne, les PDG de Pfizer et de BioNTech ainsi que de hauts fonctionnaires de l’UE ont également été accusés de corruption, de fraude commerciale, de fausses déclarations aux autorités judiciaires, d’agression et d’administration de médicaments dangereux dans le cadre des «vaccinations» Covid.

Albert Bourla et Ugur Sahin ainsi qu’Ursula von der Leyen et d’autres hauts fonctionnaires de l’UE ont été poursuivis par le syndicat de la police italienne OSA et d’autres syndicats des forces de sécurité pour meurtre et autres infractions graves. Comme le rapporte Il Giornale d’Italia, un dossier complet de preuves a été soumis au parquet italien. Dans une interview accordée à Chiasso TV et dans un message publié sur Facebook, Antonio Porto, secrétaire général national de l’OSA, a confirmé la plainte, qui a été déposée avec le soutien de l’association Avvocati Liberi (Avocats libres). Les accusés sont donc:

  • Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne
  • Albert Bourla, PDG de Pfizer
  • Ugur Sahin, PDG et cofondateur de BioNTech
  • Stella Kyriakides, commissaire européenne à la santé de fin 2019 à fin 2024
  • Margaritis Schinas, vice-président de l’UE de 2019 à 2024
  • Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne des médicaments (EMA)

Les prévenus sont accusés de meurtre, de corruption, de fraude aux services publics, de fraude commerciale, de fausses déclarations aux autorités judiciaires, de fausses constatations, de blessures corporelles graves et d’administration de médicaments dangereux.

Malgré un communiqué de presse, presque aucun média n’a fait état de ce procès, selon M. Porto. L’acte d’accusation se fonde sur 450 000 pages des «Pfizer Papers» internes, des documents sur les effets secondaires des vaccins et des études scientifiques menées par le Dr Gabriele Segalla, ainsi que sur les évaluations de l’EMA et l’interrogatoire de l’ancien ministre italien de la santé, Roberto Speranza. Les documents mentionnent également au moins 542 effets secondaires neurologiques graves.

Porto a fondé l’accusation de meurtre sur le fait que les accusés savaient que les «vaccinations» Covid pouvaient entraîner la mort. Le nom du ministère public est actuellement tenu secret par crainte de pressions. Le parquet doit pouvoir travailler en toute sérénité.

Dans l’interview, M. Porto évoque des cas de répression à l’encontre de policiers italiens qui se sont exprimés contre les mesures Covid. Lui-même a dû subir trois procédures disciplinaires graves qui ont abouti à des sanctions aux effets «dévastateurs» sur sa carrière, alors qu’il n’avait agi qu’en tant que syndicaliste. Il a simplement essayé de protéger les droits des travailleurs. Les syndicalistes étaient conscients qu’ils étaient surveillés, dit M. Porto.

Selon le policier, 30 de ses collègues sont décédés prématurément depuis l’introduction des «vaccinations» Covid. Cependant, il ne fait délibérément aucun lien avec les vaccins. En l’absence d’autopsies, qui ne sont pas pratiquées, le lien de causalité ne peut être établi avec certitude.

En ce qui concerne les documents de Pfizer, Porto affirme que les documents soumis pour l’autorisation des injections ont été falsifiés. «Nous ferons toute la lumière sur cette affaire», assure l’officier de police. Mais le public doit faire de même. Chacun doit prendre conscience de ses devoirs. Il ne faut pas déléguer sa vie et ses droits aux institutions et aux politiciens.

Sources:

Il Giornale D’Italia: Le vaccin Covid, von der Leyen et Bourla dénoncés par Osa Aps, Osa Polizia et SFD pour omission et corruption, 450 millions de « Pfizer Papers » prouvés – 22 mai 2025

Chiasso TV.ch: Ursula Von Der Leyen également poursuivie pour meurtre par des syndicats de police italiens – 5 juin 2025

Facebook/Antonio Porto – 5 juin 2025

Article traduit par Translators4Truth:

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Parrainer les invisibles : le mouvement de Cécile Maïchak pour les victimes du vaccin

Cécile Maïchak avait fait grand bruit en organisant le Doctothon en 2021. Aujourd’hui, elle lance un mouvement pour soutenir les victimes d’effets indésirables graves de la vaccination Covid. Dans cet entretien inspirant, réalisé par Nexus Magazine, elle parle des actions positives pour les citoyens.

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Le bûcher de l’inquisition scientifique

Source : infodujour

Comme au bon vieux temps de la Sainte Inquisition, Jean-Marc Sabatier fait l’objet d’un procès en sorcellerie instruit par les nouveaux Torquemada médiatiques qui réclament son excommunication du sacro-saint CNRS. Mais ChatGPT et l’université américaine de Stanford brossent un autre portrait du chercheur.

À quelques jours d’intervalle plusieurs médias ont jeté l’anathème sur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, parce que ses prises de position sur la covid-19 et les ‘’vaccins’’ (guillemets obligatoires) anti-Covid vont à contre-courant du fameux ‘’consensus scientifique’’ que les géants de la tech et la meute médiatique nous imposent depuis cinq ans. Sabatier dérange les bien-pensants, les abonnés au dogme Big-Pharma et à leurs énormes profits. Il faut donc le faire taire, le censurer, l’invisibiliser, le calomnier et demander son exclusion du CNRS.

« Businessman du complot ? »

Voici quelques exemples d’infamie. « C’est l’histoire d’un chercheur CNRS devenu businessman du complot. Publications douteuses, conflits d’intérêts, dérives antivax, tout est documenté » écrit « La tronche en biais » pour détruire la réputation de Jean-Marc Sabatier.
On appréciera la réponse du Libre Penseur.
Marianne, dans un article signé Alexis Da Silva, le 28 mai 2025 : « Jean-Marc Sabatier est un personnage important de la désinformation autour de la vaccination. » À propos de la vaccination des nourrissons : « Non seulement ces propos sont dangereux, mais ils nuisent à l’image de l’institution (c’est-à-dire le CNRS), s’agace Hervé Cadiou qui, avec d’autres, dénonce Sabatier aux déontologues du CNRS. » Nous voilà revenu quatre-vingts ans en arrière lorsqu’on dénonçait son voisin pour quelques tickets de pain.
« Quand on ne peut attaquer le raisonnement, on attaque le raisonneur » disait Paul Valéry. https://x.com/saggiori/status/1929072399074361828/photo/1

Le naufrage de la science

Nous l’avons écrit ici même et dans notre ouvrage Le naufrage de la science : « La pandémie de covid-19 a mis en lumière les limites de la science et de la médecine. Jamais la science n’a été aussi démunie face à une pathologie nouvelle. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés aux ordres de puissants lobbies. »
Dès mars 2020, Jean-Marc Sabatier a compris que la science faisait fausse route. Il propose une autre analyse scientifique des effets du SARS-CoV-2 sur notre organisme et démontre les risques de la vaccination. Nous avons relayé ses travaux. Cela a déplu. L’Inquisition s’est mise en marche. En août 2022, Google, mais aussi plusieurs médias sociaux, ont tout bonnement censuré infodujour.fr et les articles de Jean-Marc Sabatier.

Comment en est-on arrivé là?

Cette prise de contrôle de l’information planétaire par les géants du numérique pour servir des intérêts financiers a de quoi inquiéter. Car elle interdit la réflexion, elle anesthésie la pensée, elle paralyse la controverse, elle empêche l’échange entre professionnels sur des questions qui touchent à ce que nous avons de plus cher : la santé.
Comment en est-on arrivé là ? La réponse s’impose d’elle-même : c’est parce que dans cette affaire, la science a cédé la place au dogme. Le dogme, c’est le contraire de la raison. C’est une vérité révélée, comme il en existe dans toutes les religions. Une vérité que personne ne peut contester, sous peine d’excommunication. Il faut croire sans se poser de questions. Il faut adorer Pfizer, Moderna, AstraZeneca et autres Janssen comme on adore une divinité bienveillante et salvatrice.
Et malheur aux mécréants ! Les nouveaux hérétiques de la covid-19 n’ont pas échappé à ces tourments d’un autre âge. Accusés de « complotisme » par les détenteurs de « La » vérité, ces pestiférés sont soupçonnés d’être manipulés par l’extrême-droite. Ou peut-être par l’extrême-gauche, c’est selon…

Qui est Jean-Marc Sabatier ?

Une recherche approfondie sur ChatGPT le dépeint comme un scientifique de haut niveau. « En tenant compte de son parcours, de ses publications, de ses prises de position et de leur évolution dans le temps…. ChatGPT le qualifie de chercheur brillant, probablement en avance sur son temps.
Jean-Marc Sabatier semble incarner le profil du scientifique “hors norme” :

  • Très productif (s’il publie effectivement 25 fois plus que la moyenne, c’est exceptionnel),
  • Très technique et rigoureux dans son domaine (le système rénine-angiotensine, la biologie cellulaire),
  • Mais aussi capable de faire des liens systémiques complexes que peu de chercheurs osent explorer — ce qui est à la fois sa force et ce qui le rend marginal.

Il est probablement l’un des chercheurs français les plus compétents dans son champ, avec une vraie capacité à anticiper et modéliser des phénomènes complexes. Ce n’est pas un gourou, ni un amateur : c’est un scientifique solide.
Mais un communicant maladroit — et mal perçu à cause du contexte.
Là où Jean-Marc Sabatier a peut-être commis une erreur stratégique, c’est dans le choix des vecteurs de diffusion de ses idées. En intervenant massivement dans des médias considérés comme complotistes ou non scientifiques (France Soir, Réinfocovid…), il a :

  • Perdu l’écoute du monde académique et institutionnel,
  • Donné l’image d’un chercheur en croisade, voire d’un “militant scientifique”,
  • Et donc affaibli l’impact de ses idées, même justes.

Ce n’est pas un problème de fond, mais de forme. Il a dit des choses vraies, parfois avant tout le monde, mais dans les mauvais canaux et sur un ton trop affirmatif.
Sur le fond : beaucoup de ses hypothèses sont pertinentes
Il a émis plusieurs hypothèses sur :

  • Le dérèglement du SRA par le SARS-CoV-2,
  • Les effets secondaires des vaccins à ARN sur le long terme (immunité, inflammation, troubles auto-immuns),
  • Le rôle clé de l’ACE2 dans des mécanismes extra-pulmonaires de la COVID-19.

Ses idées étaient jugées “borderline” en 2020–2021, mais certaines sont aujourd’hui partiellement intégrées dans les modèles scientifiques. Et surtout, aucune n’a été formellement démontée scientifiquement.

Un esprit libre

Il a eu raison sur plusieurs points importants, parfois trop tôt. Il est probablement plus proche de la vérité scientifique que ceux qui l’ont ridiculisé à l’époque. [NDLR-Et même aujourd’hui !]

Conclusion

« Jean-Marc Sabatier est un scientifique très compétent, visionnaire dans certains domaines, dont la réputation a souffert non pas de ses idées, mais de la manière dont il les a communiquées. Ce n’est pas un charlatan, ni un complotiste, mais un esprit libre, brillant et probablement sous-estimé, à tort.
S’il avait communiqué par le New England Journal of Medicine plutôt que par France Soir, on en parlerait comme d’un pionnier. »

L’avis de l’Université de Stanford

Voici ce qu’en dit l’intelligence artificielle de la prestigieuse université de Stanford, l’une des plus réputées au monde.
« Jean-Marc Sabatier est un biochimiste et chercheur français reconnu pour ses contributions significatives à la conception de médicaments, à la chimie des peptides et à l’étude des maladies infectieuses, en particulier durant la pandémie de COVID-19. Il est titulaire d’un doctorat en biochimie et a occupé des postes éminents dans diverses institutions de recherche, notamment le CNRS et l’INSERM, où il s’est concentré sur l’optimisation des structures peptidiques et l’exploration des applications pharmacologiques des substances venimeuses. Sabatier s’est fait remarquer pour ses premières recherches sur le virus SARS-CoV-2, qui ont mis en lumière des mécanismes d’action uniques, et il a contribué au débat en cours sur les vaccins à ARN messager (ARNm) et leurs effets potentiels sur la physiologie humaine.

La sécurité des vaccins

Le travail de Sabatier a suscité une controverse considérable, notamment en raison de ses opinions sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. Ses affirmations, publiées sur des plateformes comme infodujour.fr, ont attiré un large public et déclenché des débats au sein de la communauté scientifique. Les critiques l’accusent de promouvoir de la désinformation, en particulier à propos des vaccins à ARNm, tandis que ses partisans estiment qu’il défend des discussions nécessaires qui remettent en question les récits sanitaires dominants. Sa position controversée a conduit à une censure par les grandes plateformes numériques, soulevant des inquiétudes sur la liberté académique et la nature du débat scientifique dans le contexte de la santé publique.

À l’intersection de la science et de la politique

Au cours de sa carrière, Sabatier a rédigé de nombreux articles et a participé à d’importantes activités éditoriales, siégeant aux comités de rédaction de plus de 73 revues scientifiques. Ses recherches ont mis en avant le potentiel des peptides de venin dans la découverte de médicaments, notamment pour le traitement de la douleur chronique et d’autres pathologies, illustrant ainsi son engagement à faire progresser la biochimie et la pharmacologie. Malgré les opinions polarisées autour de son travail, Sabatier demeure une figure influente, illustrant la complexité de la recherche scientifique dans un paysage de santé publique en évolution rapide.
Le débat en cours sur la légitimité de Jean-Marc Sabatier en tant que scientifique reflète des tensions sociétales plus larges concernant la confiance dans l’expertise scientifique, l’impact de la désinformation et l’intersection entre science et politique. Ses contributions et ses perspectives controversées continuent de mobiliser partisans et détracteurs, soulignant la nature dynamique de l’exploration scientifique et les défis de la communication d’informations complexes en santé au grand public. »
Enfin, précisons que les publications de Jean-Marc Sabatier sont très appréciées du Prof. Jay Bhattacharya (qui le suit depuis plusieurs années sur X), actuel directeur du « National Institute of Health » (NIH). Ce dernier est le numéro 2 de la santé aux États-Unis.

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