Depuis avril 2024, certains élevages de canards en France sont vaccinés avec le Ceva Respons AI H5, un vaccin vétérinaire inédit basé sur la technologie de l’ARN messager auto-amplifiant. Présenté comme une avancée majeure contre la grippe aviaire, ce vaccin suscite une inquiétude croissante : que deviennent ces molécules une fois les animaux abattus ? Et leur présence dans nos assiettes pourrait-elle avoir un effet sur notre organisme, voire nous vacciner à notre insu ?
Ce vaccin repose sur une technologie encore peu connue du grand public : l’ARN messager injecté n’est pas statique, il s’auto-réplique dans les cellules de l’animal. L’objectif est clair : produire plus de protéines virales avec des doses réduites, en optimisant la réponse immunitaire. Mais cette capacité d’auto-amplification soulève de nombreuses questions, notamment sur la traçabilité et la dégradation de ces molécules.
Les autorités sanitaires françaises se veulent rassurantes. Selon elles, la consommation de viande issue d’animaux vaccinés ne présente « aucun danger pour l’Homme ». Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires, explique que « l’ARN est très rapidement détruit dans la cellule » et qu’il est « totalement dégradé » avant même que l’animal ne soit abattu. Selon cette version, aucune trace d’ARN vaccinal ne subsisterait dans la viande destinée à la consommation.
Mais cette lecture est loin de faire consensus. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, exprime de vives réserves. Il rappelle que chez l’humain, des études ont montré la persistance d’ARN vaccinal jusqu’à 28 jours après l’injection, et celle de la protéine Spike jusqu’à 709 jours. Ces résultats suggèrent que les molécules utilisées ne se dégradent pas aussi rapidement que prétendu.
Selon lui, « les ARN vaccinaux sont ultra-stabilisés, bien différents des ARN naturels ». Cette stabilité exceptionnelle serait rendue possible par leur encapsulation dans des nanoparticules lipidiques, qui facilitent leur entrée dans les cellules. Mais ces particules protectrices pourraient aussi conférer une résistance accrue à la chaleur de la cuisson et à l’acidité gastrique, ce qui laisse ouverte la possibilité que l’ARN reste actif même après ingestion.
À ce stade, seuls certains canards sont vaccinés avec cette technologie. Cependant, l’autorisation a déjà été étendue aux poules, ce qui pourrait rapidement accroître la part de viande concernée dans les rayons. Quant aux bovins et ovins, ils restent pour l’instant soumis à des vaccins plus traditionnels, à virus inactivé, notamment contre la fièvre catarrhale.
Cette situation soulève une problématique de transparence et de choix éclairé : les consommateurs n’ont aujourd’hui aucun moyen de savoir si la viande qu’ils achètent provient d’animaux vaccinés avec un ARNm auto-amplifiant. Entre confiance institutionnelle et signaux d’alerte scientifique, la controverse ne fait que commencer.
Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. » La vie de la famille Valla a basculé le 15 mars 2013. Ce jour-là, leur fils Solal est vacciné pour la première fois. Dans la seringue : Infanrix Hexa, qui comprend six valences (DTPolio, hépatite B, coqueluche et Haemophilus influenzae), Prévenar contre les infections à pneumocoques, et Rotateq, en prévention des gastro-entérites liées au rotavirus. Né le 6 janvier 2013, Solal a alors un peu plus de deux mois. C’est un bébé en parfaite santé. « Ma grossesse a été normale, j’ai accouché à terme de mon petit garçon, qui pesait 3,049 kg et que j’ai allaité, raconte Jihane, sa maman. Il a babillé à trois semaines, à deux mois, il commençait à redresser sa tête tout seul, il était tonique, souriant, éveillé. » Le soir de la vaccination, Solal a 39° de fièvre. La température descend avec du paracétamol, mais remonte trois jours plus tard, accompagnée de diarrhées. Rien d’inquiétant selon le médecin de la PMI qui a fait l’injection : « Il m’a dit que c’était un effet secondaire banal et fréquent des vaccins », se souvient la maman. Mais les troubles continuent : l’enfant se crispe, hurle, régurgite, se constipe… Les parents consultent cinq pédiatres, la réponse est toujours la même : tout est normal. Le 26 avril, le nourrisson reçoit une deuxième #vaccination avec le #Pentavac ( #DTPolio , coqueluche et Haemophilus influenzae). À nouveau, il est fiévreux, mais cette fois, il semble absent et peine à mobiliser son côté droit. « Les médecins ont tout mis sur le compte de ses coliques et m’ont dit que j’étais trop stressée », affirme sa mère. Pire : un mois plus tard, le 27 mai, un rappel d’ #Infanrix Hexa et de #Prévenar est administré à Solal sans crier gare : « Je ne voulais pas qu’on lui fasse ce troisième vaccin. J’ai fait part de mes craintes au pédiatre sur l’hypotonie de mon fils. Il l’a pris, l’a remué pour évaluer la tenue de sa tête et m’a dit que c’était un “gros paresseux”. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il lui avait déjà fait la piqûre », dénonce Jihane. Les jours suivants, l’état de santé de son bébé s’aggrave tellement qu’elle exige la prescription d’un électroencéphalogramme, qui s’avérera anormal. Hospitalisé à l’hôpital de Valence, l’enfant est transféré dans un état critique à l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron. Les parents signalent la corrélation entre les vaccinations et l’apparition des symptômes. En vain : les médecins suspectent un facteur génétique, neurologique, puis métabolique, mais les examens ne confirment pas ces hypothèses. Finalement, un diagnostic tombe : encéphalite d’origine inconnue. Jihane Valla n’y croit pas. Pour elle, c’est sûr : l’origine est vaccinale. Cette inflammation du cerveau figure d’ailleurs dans la liste des effets indésirables « très rares » de certains vaccins. Il s’agirait très probablement, d’après les investigations du Dr Denis Agret, de vascularites cérébrales responsables de cette encéphalite. Il a recensé d’autres cas, comme celui du fils de Lionel Nobili, lui aussi gravement handicapé après les vaccins pédiatriques. Tous ces témoignages doivent libérer la parole et inciter d’autres parents à témoigner. L’obligation vaccinale de janvier 2018 doit, selon eux, être abolie définitivement. En 2019, le Dauphiné Libéré
@ledauphine a écrit : Solal a été victime d’une « encéphalite post-vaccinale survenue lorsqu’il était bébé » en mai 2013.
👇😔 Partage de l'info / @AgretDenis ———————— Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. » La vie de la famille Valla a basculé le 15 mars 2013. Ce jour-là, leur fils Solal est vacciné pour la première fois. Dans la seringue :… pic.twitter.com/gdmBBaEyPX
Le 24 avril au soir à Guenrouët, j’ai donné une conférence pour présenter les résultats de mon dernier livre “Victimes des vaccins Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels”. Juste avant le début de la conférence un groupe de 5 antifas portant des masques sur la figure, mais probablement pas pour se prémunir des virus, sont arrivés bruyamment. Ils avaient réalisé une grande pancarte dont mon éditeur et moi-même étions les principaux objets. Pour précision, Guenrouët est un charmant village de 3000 habitants au milieu de la campagne. La soixantaine de personnes présentes à la conférence se trouvant en périphérie du village n’était pas là par hasard et le lieu est très loin d’être passant. L’intérêt de manifester à cet endroit pour faire passer leurs idées est donc assez limité. Mais ce n’était pas leur but.
«Il faut faire vite, bon sang ! Des centaines de milliers de malades attendent désespérément».
C’est le cri du cœur qui résonne dans les labos de Doxanano. Cette société installée à Pessac, en Gironde, ne fait pas dans la demi-mesure : elle chamboule tout avec sa chimiothérapie commandée à distance.
L’équipe de chercheurs girondins a mis au point une technique qui semble presque trop belle pour être vraie – soigner sans détruire, guérir sans transformer les patients en loques humaines. Après des décennies de chimio dévastatrice, ça fait rêver, non ?
En ce moment, 60% des personnes touchées par le cancer reçoivent ces cocktails de médicaments toxiques. C’est le traitement de référence, incontournable. Mais jusqu’à présent, il fallait accepter cette contradiction macabre : détruire pour guérir, empoisonner pour sauver.
Avec leur innovation, ces scientifiques français pourraient bien réussir ce que les grands labos pharmaceutiques qui se gavent depuis des années n’ont jamais vraiment cherché à faire : rendre la chimio enfin supportable. Mais combien de temps avant que les autorités daignent autoriser cette avancée ? Espérons que les malades n’attendront pas aussi longtemps que pour d’autres traitements prometteurs balayés d’un revers de main par notre administration.
Pour une fois qu’une solution française pourrait s’imposer face aux géants américains… encore faudrait-il que notre système ne l’étouffe pas sous des tonnes de paperasse et de «précautions».
Une médecine personnalisée pour les patients
Isabel Marey-Semper, tête pensante de la start-up bordelaise et docteure en neuropharmacologie, ne mâche pas ses mots sur les traitements contre le cancer :
«Le paradoxe de la chimiothérapie, c’est une dose présente localement dans la tumeur trop faible pour être totalement efficace et une dose trop forte dans les organes sains pour être inoffensive».
Autrement dit, les médecins dosent aujourd’hui les traitements non pas selon ce qui tuerait vraiment la tumeur, mais selon ce que le malade peut encaisser sans y laisser sa peau. Encore une fois, nos systèmes de santé sacrifient l’efficacité au profit du «moindre mal» – comme si on devait s’en contenter.
La chimio, on le sait tous, c’est cette saloperie qui vous met à genoux pendant des mois. Elle bombarde tout sur son passage : cellules cancéreuses comme cellules saines. J’ai vu des proches perdre leurs cheveux, leur appétit et leur joie de vivre à cause de ces protocoles qu’on nous présente comme incontournables.
Des avancées concrètes pour les malades
Pendant que nos élites s’acharnent à trouver des solutions pour censurer les réseaux sociaux ou contrôler nos déplacements, des chercheurs comme Marey-Semper tentent, eux, de résoudre de vrais problèmes qui touchent des millions de Français chaque année. Mais combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que ces avancées arrivent jusqu’aux malades ?
«On veut inverser ce paradigme, explique Isabel Marey-Semper. Injecter au cœur de la tumeur des doses jamais atteintes, tout en préservant les organes sains».
Une innovation française qui défie les géants
Pour réaliser cette prouesse médicale, une invention révolutionnaire vient d’être brevetée, et je ne peux m’empêcher de vous parler de l’un de ses créateurs, Sébastien Lecommandoux. Ce physico-chimiste n’est pas un inconnu dans le milieu : pionnier dans le domaine des polymères organiques, il a cofondé Doxanano tout en présidant la chaire «Innovation technologique Liliane Bettencourt» au prestigieux Collège de France.
Quand on l’interroge sur sa découverte, le scientifique explique sans langue de bois :
«Il s’agit de nanovésicules synthétiques à base de ces copolymères appelés DXN qui ont deux propriétés opposées : ils sont à la fois très stables en conditions physiologiques, mais dégradables sous radiothérapie».
Une innovation qui pourrait bien changer la donne en médecine, alors que tant d’autres secteurs restent coincés dans des logiques bureaucratiques stériles. Pour une fois, voilà une avancée concrète qui ne vient pas des laboratoires américains subventionnés, mais bien d’un chercheur français.
Ces nanovésicules représentent l’espoir d’une médecine plus ciblée et moins invasive. Espérons simplement que nos élites ne trouveront pas le moyen de compliquer l’accès à cette technologie ou d’en faire grimper les coûts, comme c’est trop souvent le cas avec les innovations majeures dans notre pays.
D’un côté, on a la doxorubicine, un anticancéreux qui a largement prouvé son efficacité. De l’autre, ces fameuses nanovésicules qui servent à transporter le médicament jusqu’au cœur des cellules cancéreuses. Mais il manquait encore un truc : comment libérer ce médicament précisément là où on en a besoin ?
«Ces nanovésicules, ce sont comme des coffres-forts microscopiques faits de grosses molécules, qui restent fermés quand ils ne sont pas exposés à la radiothérapie. Ce qui rend notre approche vraiment révolutionnaire, c’est qu’on a trouvé comment les faire s’ouvrir, sous l’action des rayons X, avec des premiers résultats qui dépassent nos espérances», déclare Sébastien Lecommandoux.
Il faut bien l’admettre, cette avancée pourrait changer complètement la façon dont on traite certains cancers. Finies, peut-être, les chimiothérapies qui détruisent tout sur leur passage, cellules saines comme cellules malades ? Cette technique permettrait de concentrer l’attaque uniquement sur les cellules à éliminer.
Je dois dire que cette combinaison entre nanotechnologie et radiothérapie classique ouvre des perspectives fascinantes. On parle quand même d’une prouesse qui pourrait diminuer considérablement les effets secondaires des traitements anticancéreux, souvent plus dévastateurs que la maladie elle-même.
La vraie révolution ici, c’est cette idée de «déclencheur externe» – les rayons X – qui permet de contrôler quand et où le médicament est libéré. C’est comme si on avait inventé une bombe intelligente à l’échelle cellulaire, qui n’explose que lorsqu’elle reçoit un signal précis, et uniquement à l’endroit ciblé.
Une révolution thérapeutique en marche
Le Dr Charles Dupin, cancérologue à Bordeaux, vient de franchir un cap décisif en médecine. Ce spécialiste des cancers ORL et gastro-intestinaux a uni ses forces avec l’équipe Doxanano pour développer une thérapie révolutionnaire. Et croyez-moi, ce n’est pas rien.
À la frontière entre pratique médicale et recherche fondamentale, ce médecin du CHU bordelais maîtrise notamment la radiothérapie stéréotaxique – une technique d’irradiation ultra-précise. Mais c’est en cherchant plus loin qu’il a fait mouche.
«En radiothérapie, depuis longtemps, nous cherchions des solutions thérapeutiques qui seraient déclenchées par les rayons, et on a trouvé, se réjouit-il. La chimiothérapie commandée à distance est une possibilité novatrice avec des possibilités incroyables, puisque toutes les tumeurs solides pourraient être traitées».
Cette avancée pourrait bien rendre obsolètes certains protocoles actuels, souvent éprouvants pour les patients. Fini, peut-être, les traitements qui ravagent tout sur leur passage ? Une lueur d’espoir dans un système de santé qui, convenons-en, nous a habitués à des promesses rarement tenues.
Un traitement révolutionnaire face aux lobbies
À l’assaut du cancer : ce traitement révolutionnaire qui inquiète les lobbies pharmaceutiques
Les médecins indépendants cherchent à éliminer la sale bête sans sacrifier la qualité de vie du patient. Sacré pari ! Cette thérapie qui bouscule la cancérologie traditionnelle s’attaque d’abord aux tumeurs du rectum les plus coriaces.
Charles Dupin et Samuel Amintas, ces chercheurs qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream, font équipe avec les professeures Vendrely et Dabernat du CHU de Bordeaux. Je reste convaincu que leur approche dérange les grands groupes pharmaceutiques habitués à nous vendre des traitements à rallonge.
La start-up qui développe ces nanomédicaments espère traiter son premier patient d’ici fin 2028. Mais le parcours ressemble à un véritable chemin de croix administratif : tests précliniques, essais cliniques, et surtout ces fameuses «autorisations» que les bureaucrates peuvent faire traîner pendant des années quand un traitement menace les intérêts établis. Combien de malades auraient pu être sauvés si l’État accélérait ces procédures comme il sait le faire quand ça l’arrange ?
Les défis et espoirs de Doxanano
«Nos premiers résultats sur les animaux répondent à toutes nos attentes, souffle Isabel Marey-Semper. Les nanovésicules fluorescentes ciblent parfaitement la tumeur et les tests démontrent leur innocuité, elles sont totalement tolérées par l’organisme».
J’ai pu constater que malgré l’enthousiasme des chercheurs, ces découvertes restent encore largement ignorées du grand public. Pas étonnant quand on sait comment nos médias préfèrent nous abreuver de conflits lointains plutôt que de vraies avancées pour notre santé.
Autre détail qui ne surprendra personne : si Doxanano maintient son siège social à Paris, c’est bien en province que l’entreprise a choisi d’implanter ses activités concrètes et son laboratoire, à Pessac plus précisément. L’usine devrait également s’y installer prochainement.
On ne peut s’empêcher de se demander si cette innovation française bénéficiera vraiment aux Français, ou si elle finira comme tant d’autres par être rachetée par un géant américain… avant que les traitements ne nous reviennent à prix d’or.
Notre système de santé, déjà au bord de l’implosion, pourra-t-il seulement se permettre de telles avancées quand elles seront disponibles ? Espérons que cette fois, l’argent de nos impôts servira à financer des traitements accessibles à tous, et non des intérêts privés.
Les pionniers de la nanomédecine
Isabel Marey-Semper, Sébastien Lecommandoux et Leslie Dubrana ont mis la main à la poche pour fonder leur propre biotech. Ce trio d’entrepreneurs, dont Dubrana qui baigne depuis des années dans la nanomédecine, n’a pas attendu les promesses habituelles de nos élites pour agir.
La petite entreprise n’a pas été laissée totalement seule face aux géants du secteur – la Région Nouvelle-Aquitaine et BPI France ont daigné apporter leur soutien financier. On se demande d’ailleurs combien de paperasses et de justificatifs ces entrepreneurs ont dû fournir pour obtenir ces miettes, eux qui créent de la vraie valeur sur le territoire.
Le développement continue malgré tout. Ils viennent de lancer une levée de fonds ambitieuse de 4 millions d’euros. Cet argent, qu’ils n’iront pas chercher dans la poche du contribuable comme nos politiciens savent si bien le faire, servira à financer les prochaines étapes cruciales du premier nanomédicament de la société.
L’avenir nous dira si cette initiative française pourra percer face aux mastodontes américains qui trustent habituellement ce genre d’innovations médicales, pendant que nos gouvernants préfèrent souvent financer leurs lubies idéologiques plutôt que nos chercheurs.
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