mai 2025

« Pour des vaccins sans aluminium », une association pour informer et accompagner

Depuis 1926, l’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins. Officiellement destiné à les rendre plus efficaces, il se révèle être neurotoxique. Il pourrait être à l’origine de maladies graves et invalidantes.

Or, il existe des solutions pour se passer de ce produit dans nos vaccins.

Qui sommes-nous ?

La campagne « Pour des vaccins sans aluminium » a été créée en septembre 2015, dans la continuité des actions de l’association E3M. E3M rassemble des personnes atteintes d’une maladie, la myofasciite à macrophages, provoquée par l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins.

Cette campagne vise le retour de vaccins sans aluminium. Pour cela, elle informe la population de la toxicité de l’aluminium, cherche à rassembler un grand nombre de citoyens et finance des recherches indépendantes sur ce sujet.

Nous réalisons différents types d’actions : sensibilisation auprès de la population (projections, tractage, stands, événements), accompagnement des malades (administratif, juridique), lobbying auprès des politiques et des autorités sanitaires (gouvernement, parlementaires, agences et institutions de santé), vulgarisation des recherches scientifiques…

https://www.vaccinssansaluminium.org/

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COMMUNIQUE DE PRESSE – 1ERE JOURNÉE DE SOUTIEN AUX VICTIMES DES VACCINS COVID DE FRANCE ET D’AILLEURS – SAMEDI 10 MAI 2025 (mise à jour)

Cancers atypiques, maladies neurologiques, auto-immunes, cardiaques…

Peut-être vous, l’un de vos proches a-t-il déjà été touché ou l’est à bas bruit, sans le savoir.

Ces maladies et d’autres sont en expansion depuis 2021.

Certains services des hôpitaux constatent cette expansion et le disent parfois officieusement. Officiellement, tous le taisent.

Peut-être parce qu’une des causes possibles serait les vaccins covid, à ARN modifié, insuffisamment testés, et dont ils n’ont pas le droit de douter.

Il se passe pourtant bien quelque chose : 12% de la pharmacovigilance mondiale concerne les vaccins covid et près de 12 000 études sont en cours, pour vérifier un lien possible entre ces vaccins et certains pathologies, relatées par de nombreuses victimes en errance.

Le dialogue s’ouvre dans certains pays, quand le tabou demeure encore dans le nôtre.

S’agissant pourtant d’une pharmacovigilance passive, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament relate dans son dernier rapport publié en juin 2023 en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès.

Nous souhaitons que le silence cesse, afin que les personnes blessées par ces vaccins, soient écoutées, reconnues, prises en charge, pour que des traitements adaptés soient explorés et que d’autres drames soient évités.

Le samedi 10 mai 2025, de 14 à 17h, lors d’une première journée de soutien aux victimes des vaccins covid de France et d’ailleurs des voix résonneront un peu partout à travers une quinzaine de villes françaises, mais aussi en Belgique et en Autriche.

Ce seront celles de victimes, de proches de victimes, accompagnées de médecins, de soignants, de scientifiques (microbiologistes, généticiens…), de juristes, tout comme de citoyens souhaitant que la lumière soit faite sur ce sujet de santé publique et démocratique, majeur.

A personnaliser : NOM du collectif/ association – Ville et place de la manifestation – horaires

Le samedi 10 mai, soyez les premiers à nous écouter… vous serez touchés.

çametoucheetvous?

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L’AFP et France info mentent sur le cancer du col au Danemark et érigent en modèle un pays vacciné où le risque est 70% plus élevé qu’en France !

Source : Mondialisation.ca

Dans une émission du 14 avril 2025 l’AFP, reprise par tous les médias (France info, le Point, le Figaro, 20 minutes, Actu fr, Senne news, le Devoir…) affirment sans nuance : « Le cancer du col de l’utérus sera éradiqué au Danemark d’ici à 2040 grâce au vaccin contre le HPV ». Le Nouvel Obs, encore plus enthousiaste, titre : « La première fois qu’un type de cancer disparaît ».

Ils apportent comme argument une publication de la société danoise du cancer qu’ils n’ont manifestement pas lue ou mal comprise. En effet cette étude ne s’appuie pas sur la constatation d’une baisse franche d’incidence dans la population. Il ne s’agit que de l’expression d’un rêve, sympathique mais peu vraisemblable, une simple simulation aux hypothèses discutables.

Et ils oublient de rappeler que l’incidence du cancer invasif du col danois très vacciné est 1,7 fois plus élevée que l’incidence en Francepeu vaccinée. Pour tous ces auteurs le pourcentage de vaccinés parait beaucoup plus important que les résultats cancérologiques très inquiétants du Gardasil.

Une simulation qui ne reflète pas l’évolution réelle du cancer au Danemark

Pour évaluer objectivement l’effet du Gardasil sur le risque de cancer du col il suffit d’analyser le registre danois des cancers que chacun peut consulter sur Nordcan [1], en s’intéressant plus particulièrement à la période des vingt dernières années durant laquelle le Gardasil a été mis sur le marché et aux femmes de plus de 25 ans (âge de début du risque de cancer du col).

Dans le groupe des femmes de 25 à 34 ans (les plus vaccinées arrivées à l’âge d’apparition du cancer du col) la tendance danoise est à la stabilisation avec une discrète baisse récente qui ne compense pas les oscillations à la hausse. Au total, l’incidence de ce groupe est passée de 14,6/100000 en 2005, année précédant la mise sur le marché du Gardasil à 15,6/100000 en 2022, soit une augmentation de 8%. 

De plus, durant la même période, dans le groupe des femmes non vaccinées (celles de plus de 40 ans) l’incidence a diminué de 8% passant de 16,3/100000 en 2005 à 15/100000 en 2022. 

Au Danemark, la vaccination scolaire de plus de 85% des jeunes femmes n’a donc  pas été suivie d’une diminution significative du risque de cancer du col.

Cette comparaison entre stabilité d’incidence dans le groupe des femmes vaccinées et baisse concomitante de 8% chez les femmes non vaccinées n’est pas en faveur d’une efficacité anticancéreuse du Gardasil susceptible de faire disparaître ce cancer.

En cancérologie, comme dans la vie courante il ne faut pas se fier aux prédictions publicitaires d’auteurs trop souvent liés à l’industrie pharmaceutique ou aux organismes de vaccination, mais uniquement aux faits établis. 

Au total il est invraisemblable que les médias nous donnent le Danemark et son haut taux de vaccination en exemple car l’incidence du cancer invasif y atteignait, en 2023 près du double de celui de la France (10,2/100000 contre 6/100000 [2]). [3]

 Cette inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Australie

En Australie, premier pays à instaurer une vaccination scolaire, l’incidence du cancer invasif n’a pas diminué statistiquement, ni sur l’ensemble de la population, ni même dans le groupe d’âge le plus vacciné ; et le nombre de cancers invasifs diagnostiqués a continué à croître. 

L’échec du Gardasil contre le cancer est aussi observé en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a instauré la vaccination scolaire au Gardasil pour les filles dès 2007, mais 15 ans plus tard l’incidence du cancer du col n’a pas diminué dans le groupe témoin le plus vacciné alors qu’il continue à baisser chez les femmes de plus de 40 ans(non vaccinées).

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer est aussi constatée en Finlande

Dans le groupe le plus vacciné, l’incidence du cancer du col a augmenté de plus de 70%.

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a aussi été observée en Norvège

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer a été observée en Suède

Alors pourquoi ministère et médias font-ils une propagande mensongère pour le Gardasil ?

Possibles raisons de l’inefficacité anticancéreuse du Gardasil

Les conclusions erronées de la modélisation réalisée par les auteurs danois sont la conséquence des hypothèses très incertaines qui fondent leur simulation.

Ils admettent (comme les auteurs français officiels) que les HPV seraient la cause indispensable et unique du cancer du col alors que toutes les études réalisées avant le Gardasil soulignaient le caractère multifactoriel de sa genèse, comme d’ailleurs de la grande majorité des cancers.

La disproportion considérable entre l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus (0,006%) et la fréquence de l’infection à HPV (80-90% des femmes sexuellement actives) suggère fortement l’existence d’autres facteurs favorisants. 

Les études d’avant l’an 2000 ont mis en évidence les corrélations statistiques entre cancer du col avec, entre autres, le début précoce des relations sexuelles, le nombre élevé des partenaires et des relations, la survenue fréquente d’infections génitales virales (HPV [4,5], herpès) ou bactériennes, le tabagisme, l’usage prolongé d’une contraception hormonale [6], un nombre d’accouchements supérieur à 4 , l’exposition fréquente de fumée de bois, l’utilisation de douches vaginales à base de goudron…

 Comment peut-on croire que la suppression d’un seul facteur étiologique éventuel puisse éradiquer une maladie ?

Il faudrait de plus que le Gardasil prévienne toutes les infections à HPV. Or, actuellement, le virus n’est efficace que contre 9 des plus de 150 souches de HPV qui contaminent les humains et l’élimination des souches visées par le vaccin permet la prolifération d’autres souches possiblement aussi toxiques…

De plus la propagande mensongère pour le Gardasil, prétendant qu’il protège contre le cancer, dissuade certaines femmes vaccinées de poursuivre le dépistage cytologique [7, 8]  seule méthode qui ait fait ses preuves de son efficacité.

Une vaccination potentiellement risquée

Comme lors du covid, le ministère et le médias affirment que la vaccination Gardasil serait sans risques et les médias officielles mettent systématiquement en doute la possible responsabilité du vaccin dans les accidents constatés. Chaque fois que des chercheurs, se demandent si telle maladie pourrait être liée à un vaccin, le chœur des furies se déchaîne les cloue au pilori au nom du prétendu danger que leurs questions feraient courir à la couverture vaccinale. Elever la couverture vaccinale comme un objectif sacré pour justifier la censure, c’est grotesque et totalement anti-scientifique.

De nombreuses complications post vaccinales sont mentionnées dans la notice d’emballage de Gardasil : évanouissements, fièvre, étourdissements [9], nausées et maux de tête, syndrome de Guillain-Barré, [10] myélite transverse [11], thromboses et embolies, pancréatites et maladies auto-immunes… Ces complications auxquelles sont venus s’ajouter stérilité par insuffisance ovarienne prématurée [12], uvéite et névrite optique [13], encéphalomyélite aiguë disséminée  [14, 15, 16, 17] , décès sont attestées par des centaines de procès et les manifestations dans de nombreux pays.

En France, le cas de M O Bourguignon montre la ténacité nécessaire pour faire reconnaitre la relation la responsabilité du Gardasil. 

Après la mort d’un élève de 12 ans survenue après l’injection scolaire de Gardasil, l’agence régionale de santé des Pays-de-la-Loire a immédiatement affirmé qu’il n’y avait aucun lien avec le vaccin lui-même en reconnaissant tout de même la responsabilité de la vaccination et surtout du médecin qui a été mis en examen pour homicide involontaire [18]. La responsabilité de l’ARS qui a organisé la vaccination en milieu scolaire n’a pas été évoquée…

En 2015, le Danemark a ouvert cinq “cliniques HPV” pour traiter les victimes du Gardasil. Plus de 1300 cas ont été traités dans ces cliniques et certaines ont fait l’objet d’un reportage télévisuel

Au Japon, en Irlande [1] et en Colombie [20] les victimes du Gardasil ont manifesté.

Selon le prospectus du Gardasil, les femmes sont 100 fois plus susceptibles de souffrir d’un événement grave après vaccination avec le Gardasil que d’avoir le cancer du col de l’utérus.

D’après Children Health Defense [21], les chances d’avoir une maladie auto-immune due au Gardasil, même si le vaccin fonctionne, sont 1000 fois plus grandes que les chances d’être sauvé du décès par cancer du col de l’utérus.

L’incidence de ces complications nettement plus élevée qu’après d’autres vaccinations est estimée à près de 2500/100000 alors que celle du cancer du col en France ne dépasse pas 6/100000 témoignant d’une balance avantage/risque franchement défavorable.

Une vaccination au coût totalement disproportionné.

Chez les adultes et adolescents, la vaccination nécessite 3 doses à 123 euros, ce qui revient, avec les consultations médicales indispensables à environ 500 euros, alors que la fabrication d’une dose revient à moins de 1 euro.

Pour Merck et Sanofi il s’agit d’une manne financière colossale, évaluée à 3,80 milliards de dollars en 2019 et qui devrait atteindre 12,69 milliards de dollars en 2027, avec un TCAC de 16,3 % au cours de la période de prévision [22]. Cette rentrée financière lui donne la motivation et les moyens de convaincre les influenceurs et décideurs qu’ils soient fonctionnaires, membre d’agences sanitaires, de sociétés savantes ou de partis politiques…

Si cette vaccination était rendue obligatoire en France, elle reviendrait chaque année à plus de 300 millions d’euros alors que coût annuel du traitement du cancer du col en France a été évalué à 43,9 millions d’euros.[23]

En supposant que le Gardasil puisse éviter les 3000 cancers du col annuels, ce qui est scientifiquement inimaginable [24] comme nous l’avons vu précédemment, le coût de cette mesure atteindrait plus de 100000 euros par cas évité alors que le cout moyen du traitement d’un cancer du col est de 13 509 euros [25], soit 7 fois moins !

Sans oublier les complications du Gardasil responsables d’hospitalisations, de soins onéreux et d’indemnisation des victimes qui alourdissent le cout de la vaccination.

 Au total, les vaccinés par Gardasil coûtent au minimum dix fois plus que les non vaccinés, ce qui pose problème en cette période de déficit grave des comptes publics.

La ligue contre le cancer demande l’obligation de cette vaccination inefficace, dangereuse et hors de prix. 

Que la ligue contre le cancer désire diminuer la fréquence du cancer du col est naturel. Mais qu’elle réclame une obligation vaccinale pour le Gardasil alors qu’il n’y a toujours pas de preuve de son efficacité anticancéreuse et une certitude de risques de complications est scientifiquement incompréhensible.  

D’autant que le dépistage cytologique permet de le prévenir et que la quasi-totalité des femmes qui meurent de ce cancer ne s’y sont pas soumises. La ligue devrait davantage se consacrer à la promotion du dépistage qu’au Gardasil.

Mais il s’agit d’une habitude pour la ligue de soutenir tous les traitements anticancéreux qui se disent efficaces, même si cette affirmation est douteuse…

En conclusion

Les vaccins anti HPV sont administrés à une population jeune pour empêcher la survenue d’une maladie rare en France et qu’on prévient déjà avec le frottis de dépistage cytologique. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n’y a rien d’antivax à la poser.

La propagande massive qui a entouré le lancement et l’implémentation de cette vaccination fait perdre tout sens de la réalité. Il n’y avait aucune raison d’homologuer Gardasil de façon accélérée et, à ce jour, aucun élément scientifique solide ne justifie de recommander massivement la vaccination anti-HPV, ni d’en faire supporter les coûts aux systèmes de santé. Quant à l’obligation vaccinale, elle est totalement indéfendable si l’on considère uniquement les faits avérés. 

Dr Gérard Delépine

Chirurgien, cancérologue, statisticien

Notes :

1 Nordcan registre nordique des cancers https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?sexes=2&cancers=190&populations=208&years=2005_2023&age_start=0&age_end=17

2 https://hpvcentre.net/statistics/reports/DNK_FS.pdf

3 https://www.cancer.fr/toute-l-information-sur-les-cancers/comprendre-les-cancers/epidemiologie-et-donnees-en-cancerologie/les-donnees-sur-les-cancers/incidence-et-mortalite-des-cancers/incidence-nationale-des-cancers-en-2023

4 Bistoletti P, von Krogh G, Rylander E. Extremt låg risk få invasiv cervixcancer på grund av genital papillomvirusinfektion [Extremely low risk of invasive cervix cancer caused by genital papillomavirus infection]. Lakartidningen. 1990 Dec 19;87(51-52):4434-5. Swedish. PMID: 2273926.

5 Lehtinen M, Paavonen J. Papilloomavirus ja kohdunkaulan syöpä–ei aihetta ennenaikaisiin johtopäätöksiin [Papillomavirus and cervical carcinoma–no reason for premature conclusions]. Duodecim. 1990;106(8):597-9. Finnish. PMID: 1670244.

6 Moodley J. Combined oral contraceptives and cervical cancer. Curr Opin Obstet Gynecol. 2004 Feb;16(1):27-9. doi: 10.1097/00001703-200402000-00006. PMID: 15128004.

7 Shalini L. Kulasingam a Sonia Pagliusi b, Evan Myers a Potential effects of decreased cervical cancer screening participation after HPV vaccination: An example from the U.S Volume 25, Issue 48, 23 November 2007, Pages 8110-8113 Vaccine

8 Adherence to cervical screening in the era of human papillomavirus vaccination: how low is too low?

Bauch, Chris T et al. The Lancet Infectious Diseases, Volume 10, Issue 2, 133 – 137

9 Brinth LS, Pors K, Theibel AC, Mehlsen J. Orthostatic intolerance and postural tachycardia syndrome as suspected adverse effects of vaccination against human papilloma virus. Vaccine 33: 2602-2605, 2015.

10 Souayah N, et AI. Guillain-Barré syndrome after Gardasil vaccination: data from Vaccine Adverse Event Reporting System 2006-2009. Vaccine. 2011 Jan 29;29(5):886-9.

11 Sutton I, Lahoria R, Tan I, Clouston P, Barnett M. CNS demyelination and quadrivalent HPV vaccination. Mult Scler. 2009 Jan;15(1):116-9. doi: 10.1177/1352458508096868. Epub 2008 Sep 19. PMID: 18805844.

12 Celeste McGovern  Vaccine Boom, Population Bust: Study Queries Link Between HPV Vaccine and Soaring Infertility 2018 Nov

13 Hyeyeon Chang, Hye Lim Lee, Minju Yeo et al Recurrent optic neuritis and neuromyelitis optica-IgG following first and second human papillomavirus vaccinations. Clin Neurol Neurosurg. 2016 May ;144:126-8. Epub 2016 Mar 29. PMID: 27046292

14 Yonee C, Toyoshima M, Maegaki Y, et al. Association of acute  cerebellar ataxia and human papilloma virus vaccination: a casereport. Neuropediatrics 44: 265-267, 2013.

15 Wildemann B, Jarius S, Hartmann M, Regula JU, Hametner C. Acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Neurology 72: 2132-2133, 2009.

16 Sekiguchi K, Yasui N, Kowa H, Kanda F, Toda T. Two cases of acute disseminated encephalomyelitis following vaccination against human papilloma virus. Intern Med 55: 3181-3184, 2016.

17 Menge T, Kieseier BC, Nessler S, Hemmer B, Hartung HP, Stüve O. Acute disseminated encephalomyelitis: an acute hit against the brain. Curr Opin Neurol 20: 247-254, 2007.

18 https://lecourrierdesstrateges.fr/2025/03/10/collegien-mort-apres-injection-gardasil-un-medecin-mis-en-examen-pour-homicide-involontaire/

19 https://initiativecitoyenne.be/2018/08/des-centaines-de-victimes-protestent-contre-le-vaccin-anti-hpv-dans-les-rues-de-dublin.html

20 https://initiativecitoyenne.be/2015/07/manifestations-dans-les-rues-de-colombie-contre-le-gardasil.html

21 https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-safety/25-raisons-deviter-le-vaccin-gardasil/?lang=fr

22 Source: https://www.fortunebusinessinsights.com/fr/human-papillomavirus-hpv-vaccines-market-101962

23 Coût de la prise en charge du cancer invasif du col de l’utérus en France Volume 94, numéro 2, Février 2007 https://www.jle.com/fr/revues/bdc/edocs/cout_de_la_prise_en_charge_du_cancer_invasif_du_col_de_luterus_en_france_273283/article.phtml

24 Tomljenovic L, Wilyman J, Vanamee E, Bark T, Shaw CA. HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism. Infect Agent Cancer. 2013 Feb 1;8(1):6. doi: 10.1186/1750-9378-8-6. PMID: 23369430; PMCID: PMC3565961.

25 de 9 164 € pour un stade I, 15 999 € pour un stade II, 22 697 € pour un stade III et 26 886 € pour un stade IV Arveux P, Bénard S, Bouée S, et al. Coût de la prise en charge du cancer invasif du col de l’utérus en France. Bull Cancer 2007;94(2):219-24.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2025

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Les volailles françaises vaccinées par ARNm auto-amplifiant : y a-t-il un risque ?

Source : Santé et Nutrition

Depuis avril 2024, certains élevages de canards en France sont vaccinés avec le Ceva Respons AI H5, un vaccin vétérinaire inédit basé sur la technologie de l’ARN messager auto-amplifiant. Présenté comme une avancée majeure contre la grippe aviaire, ce vaccin suscite une inquiétude croissante : que deviennent ces molécules une fois les animaux abattus ? Et leur présence dans nos assiettes pourrait-elle avoir un effet sur notre organisme, voire nous vacciner à notre insu ?

Ce vaccin repose sur une technologie encore peu connue du grand public : l’ARN messager injecté n’est pas statique, il s’auto-réplique dans les cellules de l’animal. L’objectif est clair : produire plus de protéines virales avec des doses réduites, en optimisant la réponse immunitaire. Mais cette capacité d’auto-amplification soulève de nombreuses questions, notamment sur la traçabilité et la dégradation de ces molécules.

Les autorités sanitaires françaises se veulent rassurantes. Selon elles, la consommation de viande issue d’animaux vaccinés ne présente « aucun danger pour l’Homme ». Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires, explique que « l’ARN est très rapidement détruit dans la cellule » et qu’il est « totalement dégradé » avant même que l’animal ne soit abattu. Selon cette version, aucune trace d’ARN vaccinal ne subsisterait dans la viande destinée à la consommation.

Mais cette lecture est loin de faire consensus. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, exprime de vives réserves. Il rappelle que chez l’humain, des études ont montré la persistance d’ARN vaccinal jusqu’à 28 jours après l’injection, et celle de la protéine Spike jusqu’à 709 jours. Ces résultats suggèrent que les molécules utilisées ne se dégradent pas aussi rapidement que prétendu.

Selon lui, « les ARN vaccinaux sont ultra-stabilisés, bien différents des ARN naturels ». Cette stabilité exceptionnelle serait rendue possible par leur encapsulation dans des nanoparticules lipidiques, qui facilitent leur entrée dans les cellules. Mais ces particules protectrices pourraient aussi conférer une résistance accrue à la chaleur de la cuisson et à l’acidité gastrique, ce qui laisse ouverte la possibilité que l’ARN reste actif même après ingestion.

À ce stade, seuls certains canards sont vaccinés avec cette technologie. Cependant, l’autorisation a déjà été étendue aux poules, ce qui pourrait rapidement accroître la part de viande concernée dans les rayons. Quant aux bovins et ovins, ils restent pour l’instant soumis à des vaccins plus traditionnels, à virus inactivé, notamment contre la fièvre catarrhale.

Cette situation soulève une problématique de transparence et de choix éclairé : les consommateurs n’ont aujourd’hui aucun moyen de savoir si la viande qu’ils achètent provient d’animaux vaccinés avec un ARNm auto-amplifiant. Entre confiance institutionnelle et signaux d’alerte scientifique, la controverse ne fait que commencer.

Source : NTD France

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« Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. »

Cela fait 12 ans que l’on se bat, on est épuisés, c’est tellement injuste. » La vie de la famille Valla a basculé le 15 mars 2013. Ce jour-là, leur fils Solal est vacciné pour la première fois. Dans la seringue : Infanrix Hexa, qui comprend six valences (DTPolio, hépatite B, coqueluche et Haemophilus influenzae), Prévenar contre les infections à pneumocoques, et Rotateq, en prévention des gastro-entérites liées au rotavirus. Né le 6 janvier 2013, Solal a alors un peu plus de deux mois. C’est un bébé en parfaite santé. « Ma grossesse a été normale, j’ai accouché à terme de mon petit garçon, qui pesait 3,049 kg et que j’ai allaité, raconte Jihane, sa maman. Il a babillé à trois semaines, à deux mois, il commençait à redresser sa tête tout seul, il était tonique, souriant, éveillé. » Le soir de la vaccination, Solal a 39° de fièvre. La température descend avec du paracétamol, mais remonte trois jours plus tard, accompagnée de diarrhées. Rien d’inquiétant selon le médecin de la PMI qui a fait l’injection : « Il m’a dit que c’était un effet secondaire banal et fréquent des vaccins », se souvient la maman. Mais les troubles continuent : l’enfant se crispe, hurle, régurgite, se constipe… Les parents consultent cinq pédiatres, la réponse est toujours la même : tout est normal. Le 26 avril, le nourrisson reçoit une deuxième #vaccination avec le #Pentavac ( #DTPolio , coqueluche et Haemophilus influenzae). À nouveau, il est fiévreux, mais cette fois, il semble absent et peine à mobiliser son côté droit. « Les médecins ont tout mis sur le compte de ses coliques et m’ont dit que j’étais trop stressée », affirme sa mère. Pire : un mois plus tard, le 27 mai, un rappel d’ #Infanrix Hexa et de #Prévenar est administré à Solal sans crier gare : « Je ne voulais pas qu’on lui fasse ce troisième vaccin. J’ai fait part de mes craintes au pédiatre sur l’hypotonie de mon fils. Il l’a pris, l’a remué pour évaluer la tenue de sa tête et m’a dit que c’était un “gros paresseux”. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il lui avait déjà fait la piqûre », dénonce Jihane. Les jours suivants, l’état de santé de son bébé s’aggrave tellement qu’elle exige la prescription d’un électroencéphalogramme, qui s’avérera anormal. Hospitalisé à l’hôpital de Valence, l’enfant est transféré dans un état critique à l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron. Les parents signalent la corrélation entre les vaccinations et l’apparition des symptômes. En vain : les médecins suspectent un facteur génétique, neurologique, puis métabolique, mais les examens ne confirment pas ces hypothèses. Finalement, un diagnostic tombe : encéphalite d’origine inconnue. Jihane Valla n’y croit pas. Pour elle, c’est sûr : l’origine est vaccinale. Cette inflammation du cerveau figure d’ailleurs dans la liste des effets indésirables « très rares » de certains vaccins. Il s’agirait très probablement, d’après les investigations du Dr Denis Agret, de vascularites cérébrales responsables de cette encéphalite. Il a recensé d’autres cas, comme celui du fils de Lionel Nobili, lui aussi gravement handicapé après les vaccins pédiatriques. Tous ces témoignages doivent libérer la parole et inciter d’autres parents à témoigner. L’obligation vaccinale de janvier 2018 doit, selon eux, être abolie définitivement. En 2019, le Dauphiné Libéré

@ledauphine a écrit : Solal a été victime d’une « encéphalite post-vaccinale survenue lorsqu’il était bébé » en mai 2013.

https://ledauphine.com/drome/2019/05/05/mallisard-solal-6-ans-a-besoin-de-vous-pour-grandir

https://alternativesante.fr/vaccins/vaccins-le-combat-d-une-mere?fbclid=IwY2xjawKDQ19leHRuA2FlbQIxMQABHqUEVK71WEhQ2eKBzUPcpC4eG5kQb4UvgPtNflR7xcBys5q-hn6cjfRRGOQ5_aem_ac7mfD4PIv-cJeOZ86pg9A A quand la liberté vaccinale pour aller à la crèche ou à l’école ? Pour soutenir Solal et ses parents. https://petit-soleil-deviendra-grand.jimdofree.com/hier-aujourd-hui/

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Radicalisme, violence… qui sont les vrais fascistes ?

Le 24 avril au soir à Guenrouët, j’ai donné une conférence pour présenter les résultats de mon dernier livre “Victimes des vaccins Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels”. Juste avant le début de la conférence un groupe de 5 antifas portant des masques sur la figure, mais probablement pas pour se prémunir des virus, sont arrivés bruyamment. Ils avaient réalisé une grande pancarte dont mon éditeur et moi-même étions les principaux objets. Pour précision, Guenrouët est un charmant village de 3000 habitants au milieu de la campagne. La soixantaine de personnes présentes à la conférence se trouvant en périphérie du village n’était pas là par hasard et le lieu est très loin d’être passant. L’intérêt de manifester à cet endroit pour faire passer leurs idées est donc assez limité. Mais ce n’était pas leur but.

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Doxanano défie Big Pharma avec une chimiothérapie qui soigne sans ravager les patients

Source : Géopolitique Profonde

par Franck Pengam

«Il faut faire vite, bon sang ! Des centaines de milliers de malades attendent désespérément».

C’est le cri du cœur qui résonne dans les labos de Doxanano. Cette société installée à Pessac, en Gironde, ne fait pas dans la demi-mesure : elle chamboule tout avec sa chimiothérapie commandée à distance.

L’équipe de chercheurs girondins a mis au point une technique qui semble presque trop belle pour être vraie – soigner sans détruire, guérir sans transformer les patients en loques humaines. Après des décennies de chimio dévastatrice, ça fait rêver, non ?

En ce moment, 60% des personnes touchées par le cancer reçoivent ces cocktails de médicaments toxiques. C’est le traitement de référence, incontournable. Mais jusqu’à présent, il fallait accepter cette contradiction macabre : détruire pour guérir, empoisonner pour sauver.

Avec leur innovation, ces scientifiques français pourraient bien réussir ce que les grands labos pharmaceutiques qui se gavent depuis des années n’ont jamais vraiment cherché à faire : rendre la chimio enfin supportable. Mais combien de temps avant que les autorités daignent autoriser cette avancée ? Espérons que les malades n’attendront pas aussi longtemps que pour d’autres traitements prometteurs balayés d’un revers de main par notre administration.

Pour une fois qu’une solution française pourrait s’imposer face aux géants américains… encore faudrait-il que notre système ne l’étouffe pas sous des tonnes de paperasse et de «précautions».

Une médecine personnalisée pour les patients

Isabel Marey-Semper, tête pensante de la start-up bordelaise et docteure en neuropharmacologie, ne mâche pas ses mots sur les traitements contre le cancer :

«Le paradoxe de la chimiothérapie, c’est une dose présente localement dans la tumeur trop faible pour être totalement efficace et une dose trop forte dans les organes sains pour être inoffensive».

Autrement dit, les médecins dosent aujourd’hui les traitements non pas selon ce qui tuerait vraiment la tumeur, mais selon ce que le malade peut encaisser sans y laisser sa peau. Encore une fois, nos systèmes de santé sacrifient l’efficacité au profit du «moindre mal» – comme si on devait s’en contenter.

La chimio, on le sait tous, c’est cette saloperie qui vous met à genoux pendant des mois. Elle bombarde tout sur son passage : cellules cancéreuses comme cellules saines. J’ai vu des proches perdre leurs cheveux, leur appétit et leur joie de vivre à cause de ces protocoles qu’on nous présente comme incontournables.

Des avancées concrètes pour les malades

Pendant que nos élites s’acharnent à trouver des solutions pour censurer les réseaux sociaux ou contrôler nos déplacements, des chercheurs comme Marey-Semper tentent, eux, de résoudre de vrais problèmes qui touchent des millions de Français chaque année. Mais combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que ces avancées arrivent jusqu’aux malades ?

«On veut inverser ce paradigme, explique Isabel Marey-Semper. Injecter au cœur de la tumeur des doses jamais atteintes, tout en préservant les organes sains».

Une innovation française qui défie les géants

Pour réaliser cette prouesse médicale, une invention révolutionnaire vient d’être brevetée, et je ne peux m’empêcher de vous parler de l’un de ses créateurs, Sébastien Lecommandoux. Ce physico-chimiste n’est pas un inconnu dans le milieu : pionnier dans le domaine des polymères organiques, il a cofondé Doxanano tout en présidant la chaire «Innovation technologique Liliane Bettencourt» au prestigieux Collège de France.

Quand on l’interroge sur sa découverte, le scientifique explique sans langue de bois :

«Il s’agit de nanovésicules synthétiques à base de ces copolymères appelés DXN qui ont deux propriétés opposées : ils sont à la fois très stables en conditions physiologiques, mais dégradables sous radiothérapie».

Une innovation qui pourrait bien changer la donne en médecine, alors que tant d’autres secteurs restent coincés dans des logiques bureaucratiques stériles. Pour une fois, voilà une avancée concrète qui ne vient pas des laboratoires américains subventionnés, mais bien d’un chercheur français.

Ces nanovésicules représentent l’espoir d’une médecine plus ciblée et moins invasive. Espérons simplement que nos élites ne trouveront pas le moyen de compliquer l’accès à cette technologie ou d’en faire grimper les coûts, comme c’est trop souvent le cas avec les innovations majeures dans notre pays.

D’un côté, on a la doxorubicine, un anticancéreux qui a largement prouvé son efficacité. De l’autre, ces fameuses nanovésicules qui servent à transporter le médicament jusqu’au cœur des cellules cancéreuses. Mais il manquait encore un truc : comment libérer ce médicament précisément là où on en a besoin ?

«Ces nanovésicules, ce sont comme des coffres-forts microscopiques faits de grosses molécules, qui restent fermés quand ils ne sont pas exposés à la radiothérapie. Ce qui rend notre approche vraiment révolutionnaire, c’est qu’on a trouvé comment les faire s’ouvrir, sous l’action des rayons X, avec des premiers résultats qui dépassent nos espérances», déclare Sébastien Lecommandoux.

Il faut bien l’admettre, cette avancée pourrait changer complètement la façon dont on traite certains cancers. Finies, peut-être, les chimiothérapies qui détruisent tout sur leur passage, cellules saines comme cellules malades ? Cette technique permettrait de concentrer l’attaque uniquement sur les cellules à éliminer.

Je dois dire que cette combinaison entre nanotechnologie et radiothérapie classique ouvre des perspectives fascinantes. On parle quand même d’une prouesse qui pourrait diminuer considérablement les effets secondaires des traitements anticancéreux, souvent plus dévastateurs que la maladie elle-même.

La vraie révolution ici, c’est cette idée de «déclencheur externe» – les rayons X – qui permet de contrôler quand et où le médicament est libéré. C’est comme si on avait inventé une bombe intelligente à l’échelle cellulaire, qui n’explose que lorsqu’elle reçoit un signal précis, et uniquement à l’endroit ciblé.

Une révolution thérapeutique en marche

Le Dr Charles Dupin, cancérologue à Bordeaux, vient de franchir un cap décisif en médecine. Ce spécialiste des cancers ORL et gastro-intestinaux a uni ses forces avec l’équipe Doxanano pour développer une thérapie révolutionnaire. Et croyez-moi, ce n’est pas rien.

À la frontière entre pratique médicale et recherche fondamentale, ce médecin du CHU bordelais maîtrise notamment la radiothérapie stéréotaxique – une technique d’irradiation ultra-précise. Mais c’est en cherchant plus loin qu’il a fait mouche.

«En radiothérapie, depuis longtemps, nous cherchions des solutions thérapeutiques qui seraient déclenchées par les rayons, et on a trouvé, se réjouit-il. La chimiothérapie commandée à distance est une possibilité novatrice avec des possibilités incroyables, puisque toutes les tumeurs solides pourraient être traitées».

Cette avancée pourrait bien rendre obsolètes certains protocoles actuels, souvent éprouvants pour les patients. Fini, peut-être, les traitements qui ravagent tout sur leur passage ? Une lueur d’espoir dans un système de santé qui, convenons-en, nous a habitués à des promesses rarement tenues.

Un traitement révolutionnaire face aux lobbies

À l’assaut du cancer : ce traitement révolutionnaire qui inquiète les lobbies pharmaceutiques

Les médecins indépendants cherchent à éliminer la sale bête sans sacrifier la qualité de vie du patient. Sacré pari ! Cette thérapie qui bouscule la cancérologie traditionnelle s’attaque d’abord aux tumeurs du rectum les plus coriaces.

Charles Dupin et Samuel Amintas, ces chercheurs qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream, font équipe avec les professeures Vendrely et Dabernat du CHU de Bordeaux. Je reste convaincu que leur approche dérange les grands groupes pharmaceutiques habitués à nous vendre des traitements à rallonge.

La start-up qui développe ces nanomédicaments espère traiter son premier patient d’ici fin 2028. Mais le parcours ressemble à un véritable chemin de croix administratif : tests précliniques, essais cliniques, et surtout ces fameuses «autorisations» que les bureaucrates peuvent faire traîner pendant des années quand un traitement menace les intérêts établis. Combien de malades auraient pu être sauvés si l’État accélérait ces procédures comme il sait le faire quand ça l’arrange ?

Les défis et espoirs de Doxanano

«Nos premiers résultats sur les animaux répondent à toutes nos attentes, souffle Isabel Marey-Semper. Les nanovésicules fluorescentes ciblent parfaitement la tumeur et les tests démontrent leur innocuité, elles sont totalement tolérées par l’organisme».

J’ai pu constater que malgré l’enthousiasme des chercheurs, ces découvertes restent encore largement ignorées du grand public. Pas étonnant quand on sait comment nos médias préfèrent nous abreuver de conflits lointains plutôt que de vraies avancées pour notre santé.

Autre détail qui ne surprendra personne : si Doxanano maintient son siège social à Paris, c’est bien en province que l’entreprise a choisi d’implanter ses activités concrètes et son laboratoire, à Pessac plus précisément. L’usine devrait également s’y installer prochainement.

On ne peut s’empêcher de se demander si cette innovation française bénéficiera vraiment aux Français, ou si elle finira comme tant d’autres par être rachetée par un géant américain… avant que les traitements ne nous reviennent à prix d’or.

Notre système de santé, déjà au bord de l’implosion, pourra-t-il seulement se permettre de telles avancées quand elles seront disponibles ? Espérons que cette fois, l’argent de nos impôts servira à financer des traitements accessibles à tous, et non des intérêts privés.

Les pionniers de la nanomédecine

Isabel Marey-Semper, Sébastien Lecommandoux et Leslie Dubrana ont mis la main à la poche pour fonder leur propre biotech. Ce trio d’entrepreneurs, dont Dubrana qui baigne depuis des années dans la nanomédecine, n’a pas attendu les promesses habituelles de nos élites pour agir.

La petite entreprise n’a pas été laissée totalement seule face aux géants du secteur – la Région Nouvelle-Aquitaine et BPI France ont daigné apporter leur soutien financier. On se demande d’ailleurs combien de paperasses et de justificatifs ces entrepreneurs ont dû fournir pour obtenir ces miettes, eux qui créent de la vraie valeur sur le territoire.

Le développement continue malgré tout. Ils viennent de lancer une levée de fonds ambitieuse de 4 millions d’euros. Cet argent, qu’ils n’iront pas chercher dans la poche du contribuable comme nos politiciens savent si bien le faire, servira à financer les prochaines étapes cruciales du premier nanomédicament de la société.

L’avenir nous dira si cette initiative française pourra percer face aux mastodontes américains qui trustent habituellement ce genre d’innovations médicales, pendant que nos gouvernants préfèrent souvent financer leurs lubies idéologiques plutôt que nos chercheurs.

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De chanteuse à lanceuse d’alerte : Soirée hommage à Claire Séverac !

Ancienne étudiante à Sciences Po, Claire Séverac a débuté dans la chanson avec des artistes connus. Mais la pensée unique et superficielle ne lui convient pas. Elle devient alors journaliste d’investigation et activiste militante pour dénoncer tout ce qui, de près ou de loin, porte atteinte à la santé car nombreuses sont les substances et technologies dangereuses présentes dans notre quotidien mais dont la toxicité est inconnue du public : OGM, vaccins, antennes-relais, etc.

Pierre Hillard est essayiste et il fut le préfacier de « La guerre secrète contre les peuples ». Dernière émission (le 28 novembre 2024) :    • Comprendre l’Empire Loubavitch : les …   Claire Henrion a rencontré Claire Séverac dans le cadre des épandages aériens. Emission du 30 mai 2024 :    • Invité mystère : Claire Henrion !   Jean-Philippe Carrère a fait une conférence avec Claire Séverac dans le cadre des ondes. Emission du 12 février 2025 :    • Pasteur, prophète du scientisme ; Vin…   Tous les ouvrages de Claire Séverac : https://www.fnac.com/ia211762/Claire-… Sa maison d’édition : https://www.elieetmado.com/ Vidéos prévues et/ou présentées dans l’émission : Faut toujours y croire (1979) :    • CLAIRE SEVERAC – Faut toujours y croi…   Amoureux sans bagages (1985) :    • David Soul & Claire Séverac – Amoureu…   La vie dansante (1988) :    • Claire Séverac With David Soul – La V…   La FM vue par Serge Monast, Stéphane Blet et Claire Séverac :   / 466071868728636   Jean-Claude Carton-Claire Séverac (24 juin 2010) : Complot mondial contre la santé : https://www.google.fr/search?sca_esv=… Complot mondial contre la santé (3 avril 2014) Meta TV Tepa :    • Claire Séverac – Complot contre la santé   Conférence avec Salim Laïbi pour le complot mondial contre la santé : https://www.youtube.com/watch?v=Rm556- dhRn0&list=PLlOkn1c0VsiqQUmT22YADQad0YuSxrwqw&index=1 Claire Séverac et Sylvie Simon (La coupe est pleine) : https://crowdbunker.com/v/2bh9Wu4iS5 La guerre secrète contre les peuples Meta TV 2015 :    • VOICI UNE ENTREVUE AVEC MME CLAIRE SE…   Jean-Philippe Carrère et Claire Séverac :    • Les pieds à la terre (Claire Sévera…   Conférence de 2015 (où Bill Gates apparaît à la 38e minute) : https://www.facebook.com/watch/?ref=s… Gérard Delépine et Claire Séverac :    • Le dépistage systématique du cancer, …   HAARP : https://www.facebook.com/watch/?ref=s… Mort mystérieuse : https://information645.wordpress.com/…

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