28 avril 2025

Première journée de soutien aux victimes des vaccins Covid de France et d’ailleurs. Des dizaines d’associations et collectifs mobilisés

çametoucheetvous?

L’appel à participation

Le dernier rapport publié en juin 2023, par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalisait en France, 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès. A ce jour, aucune action n’a été réellement entreprise par les autorités compétentes, en faveur des victimes.

Il y a des voix qui résonnent un peu partout en France et dans d’autres pays, nous souhaitons leur donner un écho décuplé à l’occasion d’une première date commune pour se rassembler, se coordonner partout sur nos territoires respectifs et porter un message commun :
En 2025, il n’est plus possible de taire cette réalité et de laisser des personnes souffrir dans le silence. Nous souhaitons que les victimes soient écoutées, reconnues, prises en charge et que des pistes de traitements adaptés soient explorées.
Chaque association et collectif est invité à proposer une action qui lui ressemble, dans la mesure de ses moyens et à communiquer autour de lui. Des victimes malades et proches de personnes décédées pourront prendre la parole, ainsi que des médecins, des soignants, des scientifiques (microbiologistes, généticiens…), des  juristes, tout comme des citoyens engagés.
Dans chaque ville participante, une personne de l’organisation locale filmera avec un smartphone et une connexion stable à internet. Le média citoyen BAM! enverra auparavant à chacun de ces filmeurs locaux, un lien pour connecter son smartphone au salon Restream de BAM!. Les images vidéos seront ainsi toutes enregistrées pendant qu’elles sont filmées. Les meilleurs moments seront diffusés au fil des jours suivants.
Les ressources : les portraits du VIAC19, les témoignages sur le site VVC19.fr, le dernier rapport de l’ANSM en juin 2023, VAERS (Etats Unis), Eudravigilance (UE)…
Pour nous prévenir de votre participation et pour toute information : contact-notdose@proton.me

Les villes participantes

Vérity France – Aix en Provence (13), Place de la Rotonde

AAVIC Team – Moulins (03), Place d’Allier

On a eu not’ dose –  Strasbourg (67), Place d’Austerlitz

Les Masques Blancs – Lyon (69), 2ème arrondissement (lieu à venir)

Les Masques Blancs – Nantes (44), La croisée des trames

Les Masques Blancs – Toulouse (31), Métro Jean Jaurès

Collectif Liberty Haut de France – Lille (59), Monument Willy Brandt, place des Buisses

Réinfo 80- Amiens (80), Place Léon Gontier

Grelive – Grenoble (38), Place Grenette

Antipass Dole – Dole (39), Place aux fleurs

“Protéger sa pipe à St-Claude” – Saint-Claude (39), Place du 9 avril

Corse Humanis – Bastia (20), Place St Nicolas

Action 200 Belgique – Namur Belgique, Place d’Armes (en déambulation)

Impfopfer.info – Vienne Autriche, devant la Cathédrale Ste Étienne


« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984


Savez-vous, ou vous rappelez-vous que, pendant ou depuis l’état d’urgence?

-la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070: https://www.insee.fr/fr/statistiques/7670212
-près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/

-le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Édouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Ces euthanasies s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi déoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04/2020. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 :
https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM

-les médecins ont touché plusieurs centaines d’euros la demi-journée pour pratiquer des injections expérimentales aux autorisations de mise sur le marché non conforme, produites par les firmes les plus condamnées au monde. Mais ils ne sont pas payés et doivent prendre sur leur temps de travail pour faire remonter les effets indésirables : https://www.capital.fr/economie-politique/jusqua-750euros-de-lheure-la-remuneration-des-medecins-vaccinateurs-passe-mal-dans-les-bouches-du-rhone-1400169

-la Cour Européenne de Justice a reconnu la légitimité des médecins de refuser les injections covid et la responsabilité de ceux qui l’ont fait concernant les effets indésirables : https://francesoir.fr/societe-justice-sante/vaccins-covid-19-la-cour-de-justice-de-l-ue-tranche-prescription-obligatoire

-Neil Ferguson, le modélisateur mathématicien promettant des millions de morts pour le Covid était exactement le même que celui qui avait erronément annoncé des hécatombes pour la grippe H1N1. Il n’a lui-même pas respecté les mesures que ses calculs ont entraînées et a dû démissionner :
https://www.lemonde.fr/international/article/2020/05/06/au-royaume-uni-l-epidemiologiste-vedette-neil-fergusondemissionne-apres-avoir-enfreint-le-confinement_6038827_3210.html


Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944


-dès l’été 2021, l’UE recensait officiellement des milliers de morts et des centaines de milliers d’accidents graves: Pfizer: 4198 décès, (=20 morts/jour) / 244 807 accidents (220 accidents graves/j) – Janssen: 95/ 15 371 – Moderna: 392 / 48 788 – Astrazeneca: 1053/170 316 :
https://www.ema.europa.eu/en/documents/covid-19-vaccine-safety-update/covid-19-naty-11-august2021_en.pdf

-les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte :
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657

-de 1966 à 2004, il y eu 1101 morts cardiaques subites répertoriées chez les sportifs, soit 2,4 par mois . On est passé à 41 par mois de 2021 à 2024: https://expose-news.com/2022/01/23/deathsfootballers-dec-21-equal-to-annual-12-year-average/ et https://goodsciencing.com/uncategorized/athletes-suffercardiac-arrest-die-after-covid-shot/

-des membres du parlement européen ont signalé en 2023 la « disparition de la base de données d’analyse des données de l’EMA de 1,7 million de cas d’effets secondaires signalés et de 22000 décès. » https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2023-001074_EN.html#ref1
-des dizaines d’indemnisations de 8000 euros en moyenne ont déjà été versées par l’ONIAM à des victimes: https://www.ladepeche.fr/2025/01/07/1-376-demandes-dindemnisation-en-france-8-000-eur-verses-enmoyenne-12432066.php

-aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a d’abord été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective, l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes

-le refus de tests d’allergies des systèmes immunitaires (HLA) et d’anticorps avant les injections aveugles a provoqué d’innombrables accidents graves et mortels:
https://www.aimsib.org/2021/08/27/facilitation-par-les-anticorps-la-dengue-et-le-dengvaxia/

-l’autisme, constaté par de nombreux parents quelques heures après des vaccinations, explose dans le monde. USA: 1 cas/5 000 en 1975, 1/68 en 2014. 1/59 (France 24). France : x3 en 10 ans (Autisme Info Service). https://www.france24.com/fr/france/20230422-multiplication-des-cas-d-autisme-une%C3%A9tude-met-la-pollution-sur-le-banc-des-accus%C3%A9s

-OMS : censure, corruption, conflits d’intérêts, gestion furent dénoncés dès 2016 sur ARTE : L’OMS dans les griffes des lobbyistes,
https://www.youtube.com/watch?v=N-mL9gX9gws

-Tedros, directeur général de l’OMS, a fait l’objet de plusieurs plaintes graves avant sa nomination, qui a scandalisé l’Afrique pour sa proximité avec Robert Mugabe :
https://www.france24.com/fr/20171023-oms-onu-afrique-ethiopie-dr-tedros-adhanom-ghebreyesus-robert-mugabeambassadeur

-depuis 2009, la modification de la définition du terme pandémie peut permettre des mesures d’exception, sans rapport à la gravité des virus. https://www.who.int/fr/news-room/spotlight/spotlight/lessonslearned-from-the-2009-pandemic

-le serment d’Hippocrate déclare: «Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.» ;le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins; la convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas obéir à un intérêt autre que celui des populations.
-Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants: https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl

  • les vaccins ARNm se généralisent sans recul ni principe de précaution, à l’inverse de ce que prétendent firmes, presse et administrations à leur service, déligitimés pendant la crise covid :
    https://reinfocovid.fr/science/benefices-risques-des-vaccins-a-arn-du-point-de-vue-de-notre-immunite-innee/

    Être vigilants :
  • regarder le CV personnel, professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance: qu’ont-ils fait jusqu’à présent et pour quels intérêts ?
  • suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien ? comment ? pourquoi ? sur le court, moyen et long terme.
  • écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
  • quelles sont les conséquences des mesures dites sécuritaires et salutaires, en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie?
  • couleur politique indifférente: beaucoup ont changé de bord, seuls comptent mots et actes.

Effets indésirables des vaccins covid :

Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, turbocancers et récidives foudroyantes avec métastases (nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches…
Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux

Aix-en-Provence, Amiens, Bastia, Dole (39) Grenoble, Lille, Lyon, Moulin, Nantes, Strasbourg, Saint-Claude, Toulouse, Namur (Belgique), Vienne (Autriche)…

çametoucheetvous?

contact-notdose@proton.me
https://vvc19.fr/

Grenoble: collectif Grelive, https://www.grelive.fr/ -fmperier@yahoo.fr
Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations: https://www.infovaccin.fr/

Les innombrables scandales médicaux ou politiques ont toujours été révélés par la voix de témoins, victimes, quelques journalistes, avocats, médecins.
Chaque voix compte. Nous sommes des millions!

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Traité pandémie : pas de super pouvoirs pour l’OMS

Le traité déforcé poursuit sa route, avec plus de surveillance pour plus de « menaces », mais moins d’argent !

Il y a quelques jours, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir finalement obtenu un accord sur le traité pandémie. Le projet qui sera soumis au vote lors de la 78ème Assemblée mondiale de la santé est nettement moins contraignant que dans ses premières moutures, il y a 3 ans.

Le rôle central de l’organisation y est revu à la baisse, ce qui reflète son affaiblissement suite au départ des États-Unis et à la réduction drastique de son budget. Mais le vote de cet Accord, même “squelettique”, reste une menace sur les libertés fondamentales.

La fin des super pouvoirs

Dans son communiqué du 16 avril, l’OMS se félicite d’avoir obtenu un accord historique qui permettra de renforcer la collaboration mondiale en matière de prévention, de préparation et de réponses aux futures menaces pandémiques.

Parmi les principaux points négociés, l’agence cite notamment: l’établissement d’un système d’accès aux agents pathogènes et le partage de ses avantages (“PABS”), l’engagement sur une approche “One Health” ou “Une seule santé”, le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies et l’établissement d’un réseau mondial d’approvisionnement et de logistique.

Quant à la volonté initiale de faire de l’OMS un organe central disposant de super pouvoirs ou de donner au texte une valeur contraignante, il semble que le message ait été clairement entendu. Le communiqué de l’OMS y consacre même un paragraphe très explicite:

Le projet (de traité) affirme la souveraineté des pays pour traiter les questions de santé publique à l’intérieur de leurs frontières et prévoit que rien dans le projet d’accord ne doit être interprété comme donnant à l’OMS le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire des lois ou des politiques nationales, ou d’ordonner aux États de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, d’imposer des mandats de vaccination ou des mesures thérapeutiques ou diagnostiques ou de mettre en œuvre des confinements.

Ceci est clairement exprimé dans l’article 24 des “Accords” qui marque un revirement complet par rapport à la volonté initiale de conférer un pouvoir dictatorial au secrétariat de l’OMS.

Aucune disposition de l’accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au secrétariat de l’OMS, y compris au directeur général de l’OMS, le pouvoir d’ordonner, de modifier ou de prescrire de quelque manière que ce soit la législation nationale et/ou domestique, etc.

Dans son introduction, le traité réaffirme vouloir respecter le droit des Etats à “mettre en oeuvre des mesures en accord avec leur législation nationale.”

De manière générale, le langage a été revu dans de nombreux points. La plupart des phrases spécifiant une obligation ont été supprimées et à plusieurs endroits des provisions rappelant “la nécessité d’agir en accord avec les lois nationales” ont été ajoutées.

Nouvelles menaces et nouveaux contrôles 

Mais si l’on ne parle plus de créer un organe de décision central, les dispositions qui incitent les États signataires à identifier de nouveaux motifs d’urgence et à augmenter les mesures de surveillance restent au coeur du projet des “Accords”.

Ainsi les pays signataires ont l’obligation d’entamer une série de changements législatifs pour la mise en oeuvre des programmes “One Health” (article 5), le partage des données de santé (article 6) ou pour faciliter l’approbation et la règlementation des produits liés à la pandémie.

Dans l’article 19, on maintient le cap sur le changement climatique qui pourrait justifier la déclaration d’une situation d’urgence:

Reconnaissant l’importance et l’impact sur la santé publique de menaces croissantes telles que le changement climatique, la pauvreté et la faim, les environnements fragiles et vulnérables, la faiblesse des soins de santé primaires et la propagation de la résistance aux antimicrobiens…

Dans l’article 15, les gouvernements s’accordent toujours pour un programme de censure:

Reconnaissant qu’il est important d’instaurer la confiance et de veiller à ce que les informations soient échangées en temps utile afin d’éviter la désinformation et la stigmatisation

Par ailleurs, le texte définit également un risque pour la santé publique qui pourrait inclure non seulement le changement climatique, mais aussi la violence armée ou le bioterrorisme.

L’ajout dans la dernière mouture de la Convention de 1972 sur les armes biologiques indique un renforcement de l’agenda de la santé autour des notions de terrorisme et de ‘biosécurité’.

L’OMS compte ici se mêler des questions de contrôle, de recherche, de prolifération et d’échange des agents pathogènes ayant un potentiel d’arme biologique. L’on pense bien entendu aux expérience de “gain-de-fonction” et la version “fuite du laboratoire de Wuhan” qui a récemment remplacé l’explication officielle du gouvernement Trump quant à l’origine du virus de la pandémie.

Car, si la version “chauve-souris et pangolin” du marché de Wuhan soutient l’agenda de la santé liée au climat et les politiques ‘Une seule santé”, les virus “trafiqués” introduisent un autre type de “menace”,  tout autant susceptible de mener à des politiques de surveillance et de contrôle de la population et de ses mouvements.

Peu de générosité, beaucoup de business

Selon les accords négociés, les compagnies pharmaceutiques devront céder gratuitement un minimum de 10% de leur production de “contre-mesures’  à la pandémie. Ce paragraphe du traité est contraignant… mais ses détails doivent encore être élaborés dans un instrument séparé.

Même chose pour l’article 13 qui prévoit qu’une chaîne d’approvisionnement sera mise en place et gérée par l’OMS.

Le projet n’explique pas comment les biens seront répartis, ni qui s’en chargera. Ceci laisse penser qu’il y a peu de chances d’y parvenir dans le futur, si au bout de 3 ans de négociations intenses on n’est pas plus loin, alors que cet argument est censé avoir été “le moteur” du traité.

Obligations indirectes et exceptions

L’article 14 sur “le renforcement de la règlementation” est plus inquiétant. Il prévoit ici une obligation pour les parties et qu’elle consiste en réalité à affaiblir la règlementation pour accélérer l’approbation des produits liés aux mesures d’urgence.

L’article 18 “confiance en la science” exige aussi une forme d’engagement des pays signataires à étudier et favoriser l’adhésion de leur population aux mesures de santé publique et aux autorités de santé.

En revanche l’article 27 permet aux signataires d’opposer une réserve à certaines parties du traité. Apparemment, il s’agit d’une nouvelle disposition, faute de laquelle il n’y aurait peut-être pas de texte à soumettre au vote.

La montagne accouche d’une souris

Au bout de 3 ans, le fameux traité pandémie qui menaçait la souveraineté des pays sous l’emprise d’une dictature sanitaire internationale a perdu de sa vigueur. Pour l’instant, il n’engage pas grand monde à grand chose, n’honore pas ses rares promesses, et comme les budgets sont réduits, il ne devrait pas être suivi de beaucoup d’effets.

Après l’annonce de la sortie de l’OMS décrétée par Donald Trump le 25 janvier 2025, l’organisation est en perte de vitesse et devra subir une restructuration avec la liquidation de plusieurs milliers d’emplois et de programmes de santé. Selon Health Policy Watch, l’OMS aurait 2,5 milliards de dollars à combler dans son budget pour l’exercice 2025-2027.

L’Europe, qui était déjà la locomotive du projet en 2021 est plus que jamais le pilier central de cet accord, mais certains Etats membres de l’Union européenne questionnent le rôle de la Commission dans ces négociations.

Bien que la Commission européenne ait été autorisée en 2022 à négocier l’accord sur la pandémie au nom des États membres, conformément à des directives spécifiques, tous les pays de l’UE ne sont pas nécessairement alignés sur les décisions prises.

C’est notamment le cas pour l’article 11, un des points centraux de la négociation du traité, où le transfert des technologies pour renforcer les capacités des pays défavorisés a été revu à la baisse, sous la pression de pays forts et de leur industrie, en particulier l’Allemagne qui a finalement prôné une approche “volontaire”.

L’argument initial “d’égalité des chances” que les promoteurs des Accords n’ont cessé d’invoquer pour légitimer leurs négociations doit donc être dénoncé comme un leurre.

Et le projet révèle plus que jamais le vrai visage de l’OMS, à savoir une organisation qui sert avant tout deux objectifs: le développement de nouveaux marchés pour l’industrie (récolte de données, surveillance, tests, vaccins, santé numérique, agenda du climat) et la mise en place d’une infrastructure de contrôle des populations par les gouvernements (censure de l’information, détection des pathogènes, mesures liées au climat).

Si l’idée d’un “gouvernement mondial de la santé” a été abandonnée, cela n’est pas le cas des objectifs précités. L’on assiste plutôt à une réorganisation de leur déploiement selon une nouvelle rhétorique.

L’Accord cadre est un squelette basé sur des engagements volontaires, mais il est évident que “les parties intéressées” chercheront à l’habiller avec le retour à des obligations, à la faveur d’un revirement politique ou d’une nouvelle “surprise” sanitaire.

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Augmentation paradoxale des décès dus à la COVID-19 dans le monde avec la couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé (2020-2023)

Abstract

Source : Sage journals

Background

De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.

Objectif

Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.

Méthodes

Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.

Résultats

Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.

Conclusion

La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.

Screenshot

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