Le Monde Diplomatique remet en question l’efficacité des confinements. Mieux vaut tard que jamais. Quant aux injections et leurs conséquences délétères, pourrons-nous lire bientôt un nouvel article à ce sujet dans leurs pages ? Pour mémoire : Covid, vaccins et science aux origines d’une défiance
« Une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance. (…) Comme aucune victoire décisive n’est possible, il importe peu que la guerre se déroule bien ou mal. Il suffit que l’état de guerre existe. » George Orwell, 1984
Savez-vous ou vous rappelez-vous que pendant ou depuis l’état d’urgence…
la natalité a nettement chuté depuis 2021, et les démographes prévoient une population européenne réduite de moitié d’ici 2070 ? https://www.insee.fr/frstatistiques/7670212
près d’un million de scientifiques réputés, dépourvus de conflits d’intérêts, ont signé dès 2020 la déclaration de Great barrington contre les mesures absurdes et autoritaires des états et de l’OMS : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
le député des Français de l’étranger Meyer Habib a écrit le 2 avril 2020 à Olivier Véran, avec copie à Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour demander d’abroger le décret 2020-360 sur le rivotril liquide entraînant des euthanasies non consenties dans les EHPAD en l’absence des familles. Elles s’élèveront à plus de 10 000. Le Dr Hardi dénoncera la mesure sur radio Shalom le 1/04. Une audition de l’A.N. confirma les faits le 7/7/2020 https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-le-scandale-du-rivotril-revele-par-les-statistiques/ et https://www.youtube.com/watch?v=a3hebKg5GdM
les pays où les confinements ont été les plus sévères sont aussi ceux où la mortalité a été la plus forte (refus de soin, isolement, promiscuité, manque d’oxygène, de soleil, stress…) outre la catastrophe économique et psychologiques pour les populations. https://www.monde-diplomatique.fr/2025/03/BOULAKIA/68102
“Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible” Bertrand Russell, prix Nobel, The Impact of Science on Society, 1944
les chiffres des effets secondaires (hors personnalités connues) doivent être multipliés au moins par 10 en raison de leur non-déclaration ou du refus des médecins de les prendre en compte. https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/DENOYEL/65657
aucune vaccination de masse n’a éradiqué une maladie: la variole l’a été en Afrique par l’hygiène, l’alimentation, le renforcement des défenses immunitaires, l’immunité collective et l’isolement des personnes touchées. https://boutique.arte.tv/detail/des-vaccins-et-des-hommes
« Cette sorte de pouvoirs que donne l’état d’urgence, nés de la crise, obéit à une parfaite histoire d’oppression. » Edward Snowden, 10 avril 2020 entretien avec Shane Smith, Shelter in Place
Michèle Rivasi, normalienne, agrégée de biologie, députée européenne écologiste et la première à avoir dénoncé le mensonge sur Tchernobyl, est décédée fin 2023 en allant au parlement européen à Bruxelles, avait attaqué en justice Ursula Von der Leyen pour l’opacité de la signature des accords pour plusieurs milliards d’euros entre l’UE et Pfizer, firme pour laquelle travaillait son mari. Ses derniers combats portaient sur les vaccinations, la 5G, le glyphosate. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2023/11/29/l-eurodeputee-ecologiste-michele-rivasi-estmorte_6202958_3382.html
Ursula von der Leyen, présidente jamais élue d’une commission européenne elle-même jamais élue, après avoir négocié les contrats Pfizer a aussi signé le mercosur permettant d’empoisonner encore davantage les populations et ruiner les agriculteurs. https://fr.businessam.be/vonder-leyen-pfizer-bourla-vaccins-ocvid-sms/
Astrazeneca et Sanofi sont derrière le beyfortus, vaccin contre la bronchiolite du nourrisson à partir de 3 jours de vie, depuis 2023, responsable de nombreux accidents (https://neosante.eu/beyfortus-alerte-rouge/)
le serment d’Hippocrate déclare: Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté (…). (…) pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur.»; le code de Nuremberg interdit toute pression pour l’administration de soins. La convention d’Oviedo interdit l’usage d’OGM pouvant affecter la descendance humaine; la charte de Munich oblige moralement la presse à ne pas conditionner sa parole à un intérêt autre que celui des populations.
Robert Malone, le pionnier des vaccins ARN, a formellement mis en garde les parents contre la vaccination ARNm des enfants : https://www.dailymotion.com/video/x86g2dl
regarder le CV professionnel et judiciaire des personnes, firmes ou administrations avant de leur faire confiance.
suivre les financements et les bénéfices des lois et décisions en répondant aux questions: quoi ? qui ? où ? quand ? combien? comment ? Pourquoi ? Sur le court, le moyen et le long terme.
écouter les victimes et témoins directs des “soins” et “médicaments” proposés, les repentis du système, et non les théoriciens et “fact checkers” financés, sans expertise ni expérience.
se demander quelles sont les conséquences des mesures présentées comme sécuritaires et salutaires en termes de libertés, démocratie, information, respect de la Nature, cohésion sociale, santé publique, qualité de vie.
couleur politique indifférente. Beaucoup ont changé de bord. Seuls comptent mots et actes.
Effets indésirables des vaccins covid :
Chez les jeunes et les adultes : troubles cardiaques graves (arrêt cardiaque, myocardite, péricardite), hémorragies cérébrales, aménorrhées, troubles menstruels, infertilité, accidents vasculaires cérébraux et morts subites, maladies auto-immunes, cancers et récidives foudroyantes de cancers avec métastases (dont de nombreux cancers de la vessie et des méninges), rechutes, nouveaux cas de SIDA, embolies pulmonaires, thromboses, thrombocytopénies, syndrome de Guillain-Barré (paralysie), accidents ischémiques transitoires, paralysies, cécité, troubles de la vision et de l’audition, fausses-couches… Chez les nouveaux-nés : troubles de la croissance, déficiences du système immunitaire, accidents vasculaires cérébraux
Une lettre ouverte de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations soulève des préoccupations concernant les effets secondaires des vaccins à ARNm « conventionnels », une délivrance de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) d’une nouvelle génération de vaccins ARNm auto-amplifiants / réplicon ainsi que sur le classement de certains vaccins en substance vénéneuse, notamment ceux recommandés pour les femmes enceintes et ceux obligatoires pour les enfants.
La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), par l’intermédiaire de son conseil Me Jean-Pierre Joseph, avocat au Barreau de Grenoble, a récemment adressé un courrier à la directrice de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) concernant les vaccins à ARN messager. Cette missive, datée du 4 mars 2025, soulève plusieurs inquiétudes sur les effets secondaires des vaccins anti-COVID-19 et l’autorisation récente d’une nouvelle génération de vaccins ARNm auto-amplifiants.
Des effets secondaires « alarmants » des vaccins ARNm conventionnels
Selon la LNPLV, le dernier rapport de pharmacovigilance publié par l’ANSM le 1ᵉʳ juin 2023 fait état de 193 934 cas d’effets indésirables déclarés pour les vaccins à ARNm Comirnaty (Pfizer) et Spikevax (Moderna). L’association s’inquiète qu’aucun rapport complémentaire n’ait été fourni depuis cette date. La lettre cite le Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) de Tours, estimant que ces chiffres seraient largement sous-évalués et ne représenteraient que 1 à 10% des effets indésirables réels. En tenant compte de cette sous-déclaration, la LNPLV avance que le nombre réel d’effets secondaires pourrait atteindre environ 1,9 million de cas, dont 475 000 cas graves.
Face à ces chiffres, Me Joseph interroge l’ANSM sur les raisons qui l’ont empêchée d’exercer son pouvoir d’interdiction prévu par l’article L.5312-1 du Code de la santé publique, qui dispose que « l’agence peut interdire ces activités en cas de danger grave ou de suspicion de danger grave pour la santé humaine. »
Me Jean-Pierre Joseph, avocat (DR)
Préoccupations concernant la nouvelle génération de vaccins ARNm auto-amplifiants
La lettre aborde également l’autorisation de mise sur le marché (AMM) accordée le 14 février 2025 par la Commission européenne au vaccin KOSTAIVE, développé par ARCTURUS THERAPEUTICS et CSL. Il s’agit du premier vaccin à ARNm auto-amplifiant contre la COVID-19. La LNPLV s’inquiète de la rapidité avec laquelle cette autorisation a été délivrée pour une technologie qualifiée de nouvelle génération d’ARNm, dont la particularité est de se répliquer de manière autonome dans l’organisme après injection. L’association souligne qu’avant la mise en place du système européen de délivrance des AMM, la durée moyenne des essais cliniques pour les vaccins était d’environ 15 à 20 ans, au minimum pour des technologies classiques, alors que cette nouvelle procédure permet l’homologation en quelques mois. Me Joseph pose plusieurs questions techniques concernant la quantité d’ARN messagers qui circulera dans l’organisme après l’injection (capacité de réplication autonome des nouveaux ARNm auto-amplifiants), le risque de contagiosité de ces ARN auto-amplifiants, et les garanties concernant l’absence d’effets secondaires graves comme les thromboses, cancers, myocardites ou troubles neurodégénératifs.
Classification en « substances vénéneuses » et recommandations aux populations vulnérables
Le troisième volet de la lettre concerne la décision de l’ANSM du 7 septembre 2023 qui a porté inscription de 14 vaccins sur la liste des substances vénéneuses définies à l’article L.5132-6 du Code de la santé publique. La LNPLV s’interroge sur les raisons qui amènent l’ANSM à continuer de recommander ces injections aux femmes enceintes et aux enfants, notamment dans le cadre des 15 vaccins infantiles rendus obligatoires depuis le 1ᵉʳ janvier 2025. Cette lettre ouverte, largement diffusée puisqu’elle a été adressée en copie à de nombreux parlementaires français, des responsables européens et des avocats internationaux spécialisés, attend désormais une réponse officielle de l’ANSM sur ces questions de santé publique.
Après avoir travaillé dans l’enseignement (physiologie, biologie), Michel Georget (décédé en 2019) a concrétisé le projet qui lui tenait le plus à cœur : écrire un livre aussi exhaustif et objectif que possible sur un sujet très sensible qu’il maîtrise parfaitement : les vaccinations.
Screenshot
La qualité première de ce livre est de nous rendre lucides. L’auteur éclaire de façon incontestable certaines zones obscures de ce qui touche, en nous, l’essentiel : notre santé. Nous devrions tous lire cet ouvrage. À plus forte raison si nous avons des enfants. Mais aussi pour nous-mêmes, afin de pouvoir juger de l’opportunité de les accepter ou de les refuser et, pour les vaccinations obligatoires, obtenir la liberté totale de choix comme c’est le cas dans la plupart des pays européens. Table des matières : Chap. I : Quelques clefs pour comprendre la suite – Chap. II : Les vaccins et leur fabrication – Chap. III : À quels risques nous exposent les vaccinations? Chap. IV : Ces risques valent-ils d’être courus? – Chap. V : Le marché du vaccin, l’éthique et l’information – Chap. VI : Devons-nous réviser nos concepts ?
Des chercheurs italiens ont évalué l’impact de la vaccination contre le COVID dans une province italienne entre 2021 et 2023. L’espérance de vie des personnes vaccinées ayant reçu deux injections était diminuée de 37 %.
Une étude de cohorte conduite sur la population globale de la province de Pescara, en Italie (Flacco et al.)[1], a conclu en 2022 que la vaccination contre le COVID-19 n’avait pas entraîné de hausse de la mortalité chez les personnes vaccinées au cours des dix-huit mois qui ont suivi le déploiement des injections. Ces résultats ont été réévaluées en 2024 par des chercheurs (Alessandria et al.)[2] qui parviennent à des conclusions diamétralement opposées.
Biais de l’étude Pescara de 2022
La méthodogie de l’étude Pescara avait été critiquée en 2023 par le Comité scientifique de la fondation Allineare Sanità e Salute (Berrino et al.)[3], qui relevaient la présence de deux biais majeurs – le « biais de temps immortel » et l’effet vacciné sain[4] – conduisant à une surestimation de la mortalité chez les personnes non vaccinées et à une sous-évaluation des décès potentiellement povoqués par le vaccin dans la seconde cohorte.
L’estimation de la mortalité vaccinale dans l’étude Pescara contredit notamment les données publiques de santé anglaises, publiées mensuellement, qui démontrent que la mortalité n’a cessé d’augmenter chez les personnes vaccinées depuis 2021, le risque de décès étant proportionnel aux nombres de doses injectées (voir graphes ci-dessous commentés dans un précédent article) :
Les données mensuelles publiées dans le bulletin de l’ONS britannique montrent une augmentation progressive dans le temps du risque relatif de mortalité totale dans les groupes vaccinés par rapport aux groupes non vaccinés. Une telle augmentation pourrait également s’être produite à Pescara. Flacco et al. n’ayant pas pris en compte l’évolution des risques dans le temps, il est possible qu’ils ne l’aient pas remarquée. Le calcul des taux de mortalité moyens sur l’ensemble de la période de suivi peut en effet avoir masqué une telle tendance. Il serait souhaitable que les données d’entrée soient disponibles pour permettre une telle analyse.Berrino F, Donzelli A, Bellavite P, Malatesta G. COVID-19 vaccination and all-cause and non-COVID-19 mortality. A revaluation of a study carried out in an Italian Province. Epidemiol. Prev. 2023 Nov-Dec;47(6):374-8. https://doi.org/10.19191/ep23.6.a643.075.
Enfin, l’étude hollandaise de juin 2024[5] qui établit la persistance d’une surmortalité dans les pays occidentaux depuis la fin de la pandémie de COVID-19 contredit également l’optimisme de l’étude Pescara mais ne permet pas d’incriminer les vaccins en raison de sa méthodologie :
Un article récent a souligné la persistance d’excès importants de décès toutes causes confondues dans les années 2021 et 2022, à la suite du début de la pandémie, malgré les mesures de confinement et les programmes de vaccination. Cependant, sans distinguer les décès sur la base du statut de vaccination, il est impossible d’établir s’il existe un lien entre ces décès excessifs et les vaccinations massives contre le COVID-19.Alessandria M, Malatesta GM, Berrino F, Donzelli A. A critical analysis of all-cause deaths during COVID-19 vaccination in an Italian province. Microorganisms. 2024 Jun 30;12(7):1343. https://doi.org/10.3390/microorganisms12071343.
L’objectif de cette nouvelle étude était donc de réévaluer l’impact réel de la campagne de vaccination en termes de mortalité parmi la population de la province de Pescara (Italie), mais en éliminant le biais de temps immortel présent dans l’étude de 2022, qui utilise des périodes de suivi différentes entre personnes vaccinées et non vaccinées.
Réévaluation des données par la nouvelle étude italienne
Les auteurs ont repris les données de l’étude Pescara, actualisées en 2023 (Rosso et al.)[6].
La cohorte a été divisée en 4 groupes : non vaccinés, vaccinés une dose, deux doses ou trois/quatre doses. La période de vaccination couvrait le début de la campagne jusqu’au 31 décembre 2022. Le suivi de la mortalité a porté sur la période allant du 1er janvier 2021 et le 15 février 2023.
La période d’observation a duré 775 jours en fonction des dates de début et de fin spécifiques à chaque cohorte :
non vacciné : 258 jours ;
vacciné 1 dose : 61 jours ;
vacciné 2 doses : 247 jours ;
vacciné 3/4 doses : 400 jours.
Les auteurs ont suivi l’évolution de la mortalité pour chacun des quatre groupes. Pour chaque dose, ils ont comparé le risque de décès toutes causes entre personnes vaccinées vs non vaccinées, ainsi que le risque de décès spécifique aux personnes présentant une ou plusieurs comorbidités en fonction de leur statut vaccinal. Les comorbidités étudiées étaient l’hypertension, le diabète, le cancer, la BPCO, une maladie rénale, une infection COVID.
Les personnes vaccinées avaient un risque de décès global accru par rapport aux personnes non vaccinées quel que soit le nombre de doses, hormis pour les doses de rappel. Ce risque était beaucoup plus élevé que celui retrouvé dans l’étude Pescara : + 140 % vs 40 % après la dose 1, + 98 % vs + 36 % après la dose 2, – 1 % vs – 78 % après 3 doses ou plus.
Les personnes vaccinées présentant au moins une comobordité avaient un risque de décès accru par rapport aux personnes sans comorbidités avec le même schéma vaccinal, ce qui suggère que le vaccin n’est pas efficace 100 % contre les formes à graves, voire qu’il exacerbe les comorbidités chez les personnes à risque.
Impact de la vaccination sur l’espérance de vie
Les auteurs ont également évalué l’impact de la vaccination sur l’espérance de vie en fonction du nombre de doses reçues, au moyen de deux indicateurs :
la durée de survie moyenne restreinte (RMST, restricted mean survival time), qui correspond au délai écoulé entre l’injection ou le début de la période de suivi et le décès ;
la durée de survie moyenne restreinte perdue (RMTL, restricted mean time loss), qui représente les jours de vie perdus par rapport à la durée de la période de suivi.
La différence entre le RMTL des personnes vaccinées vs non vaccinées correspond au nombre de jours de vie perdus dans la population vaccinée. Le ratio entre ces deux RMTL correspond à l’espérance de vie perdue.
Résultat
Pour les personnes vaccinées à deux doses, la durée de survie était de 728,9 jours vs 731,6 jours pour les personnes non vaccinées sur la période de suivi de 739 jours, ce qui représente une différence d’espérance de vie (RMST) de 2,71 jours. La perte d’espérance de vie (RMTL) était de 739 – 728,9 = 10,1 jours pour les personnes vaccinées et de 739 – 731,6 = 7,4 jours pour les personnes non vaccinées, ce qui représente une perte égale à 1,37 fois celle des non-vaccinés.
Pour les personnes vaccinées à trois doses ou plus, le RMST était de 574,4 jours vs 573,7 jours sur la période de suivi de 579 jours, ce qui représente une perte d’espérance de vie de 0,764 jour pour les personnes vaccinées, équivalant à 1,17 fois celle des non-vaccinées.
Interprétation
Concernant le RMTL, cela signifie que les sujets vaccinés avec trois doses ou plus ont perdu 17 % d’espérance de vie par rapport à la population non vaccinée au cours de la période de suivi. Pour les personnes vaccinées à deux doses, la perte d’espérance de vie par rapport à une personne non vaccinée atteint 37 %.
Concernant le RMST, la différence entre l’espérance de vie des personnes vaccinées vs non-vaccinées n’est que de 2,71 jours à deux doses et 0,764 jour à trois doses ou plus, mais pour des périodes de suivi de 739 jours et 579 jours. Ces chiffres semblent anecdotiques, mais lorsqu’on les extrapole à l’espérance de vie de la population d’étude (82,6 ans), cela représente en réalité une différence d’espérance de vie d’environ 3,6 mois et 1,31 mois, voire de 4 mois si on se réfère à l’espérance de vie de 83,6 ans qui prévalait en 2019, avant la pandémie de COVID.
Conclusion des auteurs
Nous avons constaté que les risques de décès toutes causes confondues étaient encore plus élevés chez les personnes vaccinées avec une et deux doses par rapport aux personnes non vaccinées et que les doses de rappel étaient inefficaces. Nous avons également constaté une perte légère mais statistiquement significative de l’espérance de vie des personnes vaccinées avec 2 doses ou avec 3 ou 4 doses.
Sous-estimation des effets secondaires de la vaccination
Selon les auteurs, plusieurs biais subsistent qui pourraient conduire à une sous-estimation des effets indésirables des injections et de la létalité des doses de rappel.
L’effet de moisson (harvesting effect)
La vaccination a eu un impact significatif sur les décès toutes causes des personnes vaccinées avec 1 ou 2 doses mais pas sur celles ayant reçu 3 doses ou plus. En supposant que la vaccination a réduit les décès liés au COVID-19 – ce qui semble le cas puisque le taux de décès COVID est le plus élevé dans la population non vaccinée –, cette réduction a donc été contrebalancée par une augmentation des décès dus à d’autres causes, qui incluent les effets secondaires des injections.
Le biais de calendrier
Les rappels ont commencé en juillet 2021, lorsque la vague pandémique était terminée. A contrario, le suivi des personnes non vaccinées et des vaccinées à une dose a commencé en janvier 2021, lorsque le risque de décès COVID-19 et de décès toutes causes était significativement plus élevé, ce qui conduit à sous-estimer les décès toutes causes des personnes vaccinées avec trois doses ou plus.
Le biais de fenêtre de comptage de cas
Ce biais consiste à classer comme « non vaccinées » les personnes vaccinées durant les 14 jours suivant une injection. Il a été exploité dans tous les pays pour simuler une pandémie de non vaccinés, dont les fuites du RKI allemand ont démontré qu’elle n’avait jamais existé, et réduire artificiellement la part des décès touchant les personnes vaccinées pour susciter l’idée que le vaccin réduit la mortalité. Or une étude réalisée avec les données de l’essai clinique du vaccin Pfizer (Fung et al.)[7] a montré qu’un vaccin inefficace pouvait sembler efficace à 48 %, en raison de ce changement de 14 jours dans la prise en compte du statut vaccinal. Cette règle a été notamment utilisée par les CDC, l’Office national des statistiques anglais et l’Institut supérieur de la santé italien.
Le biais du vacciné sain
En 2021, en Italie, le public prioritaire de la vaccination a inclus des personnes réputées en bonne santé (professionnels de santé, policiers, militaires, enseignants…). Selon les auteurs, ce biais aujourd’hui largement documenté est extrêmement puissant, comme l’a démontré l’analyse[8],[9] d’une étude nationale sur la mortalité en fonction du statut vaccinal contre le COVID en République tchèque. Il a donc très probablement influencé les comportements vaccinaux dans cette cohorte, y compris celui des personnes fragiles à un stade avancé de leur maladie, pour qui la vaccination n’est souvent même pas envisagée (biais d’exclusion de la fragilité).
Conclusion
Cette étude confirme la tendance observée dans l’ensemble des pays où les gouvernements ont massivement injecté leur population avec des vaccins ARNm dont ils savaient qu’ils étaient susceptibles d’engendre un nombre inacceptable d’effets indésirables. Pour une raison qui reste à déterminer, ils ont choisi d’endosser ce risque juridique à la place des laboratoires en leur assurant une immunité totale en cas de blessures.
Cette étude en revanche la première, à notre connaissance, qui évalue l’impact de la vaccination en termes de perte d’espérance de vie. Selon les auteurs, il s’agit d’une simple extrapolation « faite dans le seul but de donner au lecteur une idée de l’ordre de grandeur du nombre de jours de vie perdus » qui ne prétend pas être une « prédiction réaliste, car elle présupposerait que les conditions de santé soient invariantes dans le temps, une hypothèse très difficile à réaliser ». Le poids de cette perte d’espérance de vie n’est en revanche pas quantifiable pour les parents qui ont perdu un enfant qui n’aurait jamais dû se faire vacciner contre le COVID-19.
Enfin, elle redonne de la visibilité à l’étude hollandaise publiée en juin dernier dans laquelle les auteurs s’étonnent que la surmortalité observée pendant la pandémie se soit aggravée depuis la campagne de vaccination et qu’elle ne se soit toujours pas résorbée à ce jour. L’étude a été rétractée en toute discrétion 11 jours après sa mise en ligne après avoir provoqué un véritable séisme dans la presse internationale. Est-on autorisé à se demander « pourquoi ? » et à s’interroger sur les raisons du silence indécent des médias français ?
Références
[1] Flacco ME, Acuti Martellucci C, Soldato G, Di Martino G, Carota R, De Benedictis M, et al. COVID-19 vaccination did not increase the risk of potentially related serious adverse events: 18-month cohort study in an Italian province. Vaccines. 2022 Dec 23;11(1):31. https://doi.org/10.3390/vaccines11010031.
[2] Alessandria M, Malatesta GM, Berrino F, Donzelli A. A critical analysis of all-cause deaths during COVID-19 vaccination in an Italian province. Microorganisms. 2024 Jun 30;12(7):1343. https://doi.org/10.3390/microorganisms12071343.
[3] Berrino F, Donzelli A, Bellavite P, Malatesta G. COVID-19 vaccination and all-cause and non-COVID-19 mortality. A revaluation of a study carried out in an Italian Province. Epidemiol. Prev. 2023 Nov-Dec;47(6):374-8. https://doi.org/10.19191/ep23.6.a643.075.
[4] Un biais de temps immortel se produit lorsque les participants à un essai clinique ne sont pas évalués sur la même période selon qu’ils appartiennent au groupe placebo qui reçoit un traitement ou au groupe placebo, en raison d’un décalage entre les dates de recrutements ou de durées de suivi différentes, en cas de décès par exemple. Ce biais est fréquent dans les études de cohorte.
Le biais dit « du patient en bonne santé » ou du « vacciné sain » décrit le fait que dans une étude observationnelle en évaluation, d’une vaccination par exemple, ces médicaments seront prioritairement administrés aux enfants en pleine santé. Les personnes fragiles ou malades seront alors reléguées dans le groupe contrôle etet la fréquence des effets secondaires sera artificiellement diminuée dans le groupe vacciné (voir le site de l’Amsib pour une explication plus détaillée).
[5] Mostert S, Hoogland M, Huibers M, Kaspers G. Excess mortality across countries in the Western World since the COVID-19 pandemic: ‘Our World in Data’ estimates of January 2020 to December 2022. BMJ Public Health 2024;2:e000282. https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000282.
[6] Rosso A, Flacco ME, Soldato G, Di Martino G, Acuti Martellucci C, Carota R, et al. COVID-19 vaccination effectiveness in the general population of an Italian province: two years of follow-up. Vaccines (Basel). 2023 Aug 4;11(8):1325. https://doi.org/10.3390/vaccines11081325.
[8] Furst T, Straka R, Janosek J. Healthy vaccinee effect: A bias not to be forgotten in observational studies on COVID-19 vaccine effectiveness. Pol Arch Intern Med. 2024 Feb 28;134(2):16634. https://doi.org/10.20452/pamw.16634.
[9] Fürst T, Bazalová A, Fryčák T, Janošek J. Does the healthy vaccinee bias rule them all? Association of COVID-19 vaccination status and all-cause mortality from an analysis of data from 2.2 million individual health records. Int J Infect Dis. 2024 May;142:106976. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2024.02.019.
D’où vient l’idéologie transgenre ? Comment s’est-elle propagée aussi vite dans nos sociétés ? Qui finance cet engrenage… qui broie tous ceux qui tombent dans le piège ? Ce film raconte l’incroyable suite d’événements, planifiés et orchestrés. Une poignée de milliardaires LGBT et alliés « progressistes » aux USA ont mis en commun leurs moyens financiers colossaux. Objectif : détruire le « dimorphisme sexuel humain » afin d’infuser l’idéologie transgenre dans toutes les strates de la société. Au point d’être enseignée aujourd’hui à l’école, et d’impacter la vie quotidienne de millions de personnes dans de nombreux pays.
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