Woke or Smoke Screens ?
(Éveillés ou enfumés par les écrans ?)
Que répondre à la propagande Woke ou LGBTQR ?
Chassez le patriarcat religieux, il revient par la science.
François-Marie Périer
« Il faut s’attendre à ce que les avancées de la physiologie et de la psychologie donnent aux gouvernements beaucoup plus de contrôle sur le mental des individus qu’ils n’en ont maintenant même dans les pays totalitaires. Fichte écrivit que l’éducation devait viser à détruite le libre arbitre afin que, après que les élèves aient quitté l’école, ils soient incapables, pour tout le reste de leur vie, de penser ou d’agir de façon autre que celle que leurs maîtres d’école l’auront souhaité. Mais en ces temps-là, c’était un idéal inaccessible : ce qu’il considérait comme le meilleur système de son vivant produisit Karl Marx. Dans le futur, de tels échecs ne seront pas à même de se produire lorsqu’il y aura dictature. Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible.
Même si tous sont misérables, tous se croiront heureux, parce que le gouvernement leur dira qu’ils le sont. »
Bertrand Russell, prix Nobel de Littérature, 1950
in The Impact of Science on Society, p. 92, 1944 © Allia, 2015. https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.351235/page/n91/mode/2up?q=diet
“D’un buisson voisin sortit une infirmière, tenant par la main un petit garçon qui hurlait tout en marchant. Une petite fille lui trottait sur les talons avec un air inquiet. — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le Directeur. L’infirmière haussa les épaules. — Pas grand-chose, répondit-elle. C’est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires. Je l’avais déjà remarqué précédemment une fois ou deux. Et voilà qu’il recommence aujourd’hui. Il vient de se mettre à hurler… (…) De sorte que, reprit-elle, s’adressant de nouveau au Directeur, je l’emmène chez le Surveillant Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s’il n’y a pas quelque chose d’anormal. — C’est très bien, dit le Directeur. Menez-le chez le Surveillant. – Toi, tu vas rester ici, petite, ajouta-t-il, comme l’infirmière s’éloignait avec le sujet, toujours hurlant, confié à ses soins.”
“Au-dessus d’eux encore, il y avait les salles de récréation où, le temps s’étant mis à la pluie, neuf cents enfants plus âgés s’amusaient à des jeux de construction et de modelage, au zip-furet, et à des jeux érotiques.
Bzz, bzz ! La ruche bourdonnait, activement, joyeusement. Le chant des jeunes filles penchées sur leurs tubes
à essais montait avec allégresse, les Prédestinateurs sifflaient tout en travaillant, et dans la Salle de Décantation, quelles bonnes blagues on se disait au-dessus des flacons vides !
Mais le visage du Directeur, au moment où il pénétra dans la Salle de Fécondation avec Henry Foster, était grave, figé dans sa sévérité comme s’il était taillé dans le bois.”
“Quelles intimités suffocantes, quelles relations dangereuses, insensées, obscènes,
entre les membres du groupe familial ! Pareille à une folle furieuse, la mère couvait ses enfants (ses enfants)… elle les couvait comme une chatte, ses petits… mais comme une chatte qui parle.”
Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes, 1932
« On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
(…) la seule peur — qu’il faudra entretenir — sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. » Günther Anders, L’Obsolescence de l’homme (Editions Ivréa), 1956
Le Wokisme — Woke, abréviation de Awoke, Réveillé — se présente comme un réveil des jeunes consciences occidentales soudain douloureusement frappées d’un sentiment de culpabilité face à la faute historique de domination de leur culture blanche patriarcale sur la nature, le monde et en particulier sur les peuples d’Afrique noire, la femme, les Juifs et plus récemment l’Islam. On associe fréquemment les mots « mâle blanc dominant violeur ». Un viol qui historiquement concernerait la femme, la nature, les autres peuples.
Or, nous verrons que cette triple violence est bien réelle, mais dans quasiment toutes les cultures, et que le Woke perpétue plus que jamais cette domination violente et mortifère d’un certain modèle masculin de « civilisation », « religieuse » ou « scientifique », et pas seulement occidental, sur la Vie elle-même dans ce qu’elle a de plus sacré.
1) Un peu d’Histoire
Historiquement, le Woke est né des bavures — assassinats — de la police américaine sur de jeunes noirs, certains sans casier judiciaire. Des faits non reconnus par la justice, après des siècles d’esclavage et des décennies d’apartheid, ayant provoqué émeutes et mouvements sociaux.
Mais c’est au printemps 2020 que le Woke a explosé à la face du monde suite à la lente et brutale mort par étouffement de l’ancien délinquant Georges Floyd. Le policier sera dans ce cas condamné à 21 ans de prison pour homicide volontaire et ses collègues inculpés pour complicité de meurtre.
C’était juste après les confinements et ses semaines d’oppression non justifiée. La phrase du George Floyd « I can’t breath! – Je ne peux pas respirer » reprise partout en Occident était on ne peut plus parfaite pour témoigner de ce qui venait d’arriver et de ce qui allait continuer en termes de masques… La grande violence subie par la population, blanche ou noire, jaune ou rouge, voulue par les pouvoirs en place, trouva là encore un exutoire manipulé en se retournant comme toujours contre elle-même, physiquement ou contre des symboles passés tels que les statues ou les biographies tronquées de personnages historiques certes loin d’être irréprochables et méritant d’être clarifiées.
La question fondamentale est : sur quelles nouvelles valeurs rebâtir lorsque tout ou presque est remis en question ?
Les populations blanches ou noires, toutes deux victimes des gouvernements, se sont opposées au lieu de s’unir contre l’absurdité du système économique, sanitaire et politique.
Il y a l’immunité blanche en haut-lieu, des marchands d’armes, de big pharma, de l’industrie agro-alimentaire… et l’impunité des bas-fonds, avec ses autres commerces criminels. Les deux prennent la société en étau et en otage sans se déranger réciproquement, chacun profitant des affaires de l’autre, le chaos général étant bon pour leur ordre particulier.
Les intellectuels se plaisent à dire que le Fascisme commence par le mécontentement des classes moyennes, suggérant par là la bêtise et la méchanceté foncières des petits-bourgeois des classes laborieuses respectant en réalité naïvement ou obtusément le contrat social.
Mais ils oublient de dire, comme le rappelait l’écrivain et cinéaste homosexuel Pasolini, assassiné parce qu’il dénonçait un certain ordre pétrolier du monde, que c’est le Fascisme qui est déjà en œuvre dans les traités de libre échange, la criminalité des hautes sphères et leur capitalisme, dans le non-droit de la société d’en bas et la destruction des cultures, et que c’est ce fascisme là, en niant l’état de droit et le contrat social, qui fait qu’on en appelle à plus de droit et plus d’état, une attitude que les partisans du chaos nommeront fasciste tout simplement parce que revenir au contrat social dérange leurs affaires.
Concernant le mouvement de défense des minorités sexuelles LGBT, il y a certes une oppression ou une discrimination touchant aux personnes homosexuelles, hommes ou femmes, dans un certain nombre de pays, puni-e-s de morts ou de châtiments corporels, alors que dans notre propre pays un certain de nombre de personnalités marquantes et valorisées de notre Histoire étaient elles-mêmes homosexuelles.
Colonies et conquêtes réciproques des peuples
Tout d’abord, et pas du tout par hypocrisie, il faut affirmer que oui, le racisme des Blancs occidentaux a conquis le Monde à partir des Grandes découvertes de la Renaissance, et a organisé le génocide de millions d’Amérindiens, des Guanches des Canaries et d’autres peuples, ainsi que la déportation et l’esclavage d’autres millions de Noirs africains vers les Amériques, sans compter la conquête des Indes et d’autres terres d’Asie et d’Océanie. Ajoutons les deux guerres mondiales, fruits de nos impérialismes, nos libéralismes nos racismes ou nos fascismes, les génocides herrero, juif et gitan (je reste pour l’instant dans ceux commis par les « Blancs ») la Guerre froide obligeant les peuples à se polariser pour l’URSS ou les USA, l’exportation de nos idéologies mortifères au XXe siècle Capitalisme, Fascisme, Communisme, Scientisme) ou de notre modèle économique agricole et énergétique suicidaire… Avouons qu’il est difficile de présenter l’Occident uniquement comme le gardien de la Civilisation, héritier des Grecs, de la Renaissance et des Lumières.
Le problème est qu’une simple chronologie de l’Histoire mondiale nous démontre en quelques instants que les Perses, les Grecs, les Arabes, les Mongols, les Turcs et aujourd’hui les Chinois ou les Israéliens et bien d’autres, à petite ou grande échelle n’ont rien à envier en termes d’oppression territoriale, de génocides (arménien, tibétain, ouïghour entre autres) de guerres de conquête justifiées ou pas de mille façons, par le sentiment d’élection divine ou naturelle ou la simple loi du plus fort.
Supposément à l’opposé de l’Ultralibéralisme, jamais le vote Vert n’a été aussi important, la préoccupation pour la planète aussi forte et le vivant aussi valorisé, la compassion pour les animaux aussi mise en avant dans le véganisme… et pourtant, aussi bien du côté de l’État que de la Gauche et des Verts, jamais on ne s’est autant attaqué de façon idéologique au corps de l’enfant et de l’adolescent, jamais on n’a autant cautionné les technologies vaccinales des lobbies capitalistes touchant à l’ARN, violant les droits individuels et le principe de précaution en oubliant les méthodes naturelles efficaces et sans effets secondaires catastrophiques et définitifs, contrairement aux vaccins.
Alors, voici des points bien réels parfois refoulés par tous les bords politiques, repris par les Woke, mais mis en avant bien avant eux par des personnalités à l’opposé des dérives et délires des Woke :
Oui, le racisme est très fort dans la police américaine qui a déclenché les émeutes, tout comme en Russie, en Chine, en Turquie, en Arabie saoudite, en Israël et ailleurs) Ces différents racismes montrent bien ce que le monde serait si on laissait libre-cours au sentiment de supériorité de ces peuples se prétendant élus.
Oui, la consommation industrielle de viande est source d’énormes souffrances animales injustifiables, détruit la planète, nuit à notre santé physique, psychique et à notre rapport au monde, et abîme également physiquement et psychologiquement ceux qui travaillent dans cette filière.
Oui, l’oppression de la femme (ou du féminin) malgré les postes de pouvoir qu’elle a pu occasionnellement occuper est une réalité historique insupportable encore en cours dans pas mal d’endroits.
Oui, les pays musulmans du Proche-Orient sont un à un détruits sous les bombes pour des intérêts communautaires ou économiques depuis la deuxième guerre mondiale, dans l’accord parfait entre « Chrétiens » néo-conservateurs, « Musulmans » salafistes et « Juifs » sionistes. Mais les Chrétiens d’Orient souffrent aussi injustement et l’antisémitisme continue.
Soyons donc plus cultivés, intelligents et constructifs que les journalistes et les « intellectuels », de l’école élémentaire à l’Université, et du quotidien local au Monde, écrivant simplement ce que leurs maîtres ou financeurs leur dictent ou se préoccupant de ce que les précédents diront d’eux.
2) Covid, Spike et Woke : la simultanéité d’une offensive contre le corps et l’esprit de l’enfant et contre la Vie en général
Mais la question est : pourquoi la défense des minorités sexuelles s’est-elle transformée en une offensive sur tous les fronts de l’Éducation Nationale et des médias depuis plusieurs années, visant à demander de façon répétée à chaque enfant dès son plus jeune âge s’il pense être un garçon ou une fille, ou autre chose ? Quitte à l’amener dans un périlleux et douloureux processus de changement de sexe.
Les enseignants peuvent-ils répondre à cette question ?
De même, peuvent-ils expliquer pourquoi masquer, distancier, tester, isoler et vacciner des millions d’enfants non menacés par un virus, et ne menaçant personne ? Pourquoi introduire en eux un vaccin expérimental produit et promu par les firmes les plus corrompues en provoquant des milliers d’effets secondaires gravissimes voire mortels ?
Dans les deux cas, il s’agit de la promotion simultanée, par l’école et les enseignants, de l’intrusion dans le corps des enfants avec des conséquences irréversibles sur leur vie et leur capacité à transmettre la vie. Et cela touche aussi les OGM, les semences non reproductibles, la disparition des abeilles, ainsi que le nucléaire. On peut y ajouter la 5G, inutile, dangereuse, et pourtant imposée partout dans la plus grande hâte par des décrets dès le début du Covid…. Faut-il vraiment y voir un hasard alors qu’on est dans un modèle même de civilisation prétendument émancipateur, mais de surveillance totale, contradictoire et manipulateur ? Qui est assez aveugle pour le soutenir ?
Historiquement, l’école a toujours été l’instrument du pouvoir étatique pour se perpétuer, même si en parallèle elle a aussi été l’expression d’une opposition très conformiste et contrôlée et qui a montré sa vraie teneur avec le Covid.
Le tour de force avec le Woke est que l’Ultralibéralisme (qui vise à la synthèse entre Fascisme, Communisme, Capitalisme, Dictature scientifique et loi de la Jungle avec un état qui serve uniquement à assurer l’ordre nécessaire à ses affaires) a réussi non seulement à faire préférer l’école à ses parents, à passer par elle pour les attaquer en justice, à en faire des enfants-espions de la police de la pensée comme dans 1984, mais aussi à faire passer l’école pour le lieu branché et rebelle, bienveillant et compassionnel, des droits fondamentaux, alors qu’elle est devenue l’outil de l’écrasement des droits, de l’originalité de la pensée, des aspirations fondamentales de l’Humanité, remplacés par une bouillie où se mélangent la prévenance et la peur, la « communication non violente » et la perversion, au service de quelques immenses intérêts géopolitiques, économiques, civilisationnels, se résumant à ce but : nuire aux corps et aux âmes, et pourquoi pas les détruire ou les remplacer.
Avec la théorie du genre, on est exactement dans le même processus qu’avec les vaccinations imposées aux enfants pour quelque chose dont ils n’ont pas besoin : c’est une intrusion artificielle dans les corps et les esprits, « disruptive », pour reprendre un terme à la mode, c’est à dire imprévue et brutale, sous ses dehors bienveillants, aussi inutile que dangereuse, sans aucun recul, voulue par quelques personnes prétendant expérimenter leurs produits et leurs théories sur les enfants et les adolescents. Or, le casier judiciaire des fabricants et des promoteurs des vaccins suffit à démontrer que le bien de l’humanité et des sociétés est tout sauf leur préoccupation.
On doit donc rappeler aux chefs d’établissement, aux enseignants et aux éducateurs qui ont toujours soutenu les mesures gouvernementales à travers les générations :
– ils ont détruit les langues régionales comme le leur avait demandé Jules Ferry à la fin du XIXe siècle
– ils ont enseigné « Nos ancêtres les Gaulois » aux quatre coins de l’Empire, selon les mêmes directives du ministre qui expliquait bien que les droits de l’Homme n’étaient pas pour les Noirs.
– ils ont enseigné « Je serai soldat » avant la première Guerre mondiale…
Or, quel est le devoir fondamental de l’Éducation Nationale ?
– le personnel de l’éducation et les responsables en particulier ne sont pas payés par le gouvernement contrairement à ce qu’ils répètent en boucle « pour obéir aux consignes » et « pour appliquer la politique du gouvernement élu » en sous-entendant par là qu’ils accomplissent la logique d’un « jeu démocratique » auquel la population perd toujours tandis qu’eux y gagnent, sur le dos des enfants qui souffrent, leur salaire et leur confort social.
Non, les chefs d’établissement, les enseignants et les éducateurs sont payés par la population pour véritablement informer et protéger les enfants, les amener à construire une société juste, libre et épanouissante, en accord avec la Planète, les valeurs des Lumières, les droits de l’Homme, au service de la réalisation de ce que l’Humanité a de meilleur, en dehors des pressions politiques et des lobbies. Ils ne sont pas là pour donner l’exemple de la lâcheté, de l’hypocrisie et du service rendu contre salaire à un modèle destructeur et oppressif.
– tout lobby est condamnable lorsqu’il favorise les intérêts d’une minorité au détriment d’une majorité. Il faut certes protéger une minorité opprimée dans son droit mais non chercher à influencer une majorité en la soupçonnant a priori.
– le fait qu’une minorité ait été ou soit encore opprimée ne lui donne pas le droit de culpabiliser une population entière non responsable en prétendant la rééduquer : il ne faut pas confondre justice et vengeance.
– le mouvement LGBT se dit contre l’oppression historique du mâle blanc occidental violeur et dominateur, mais l’idéologie du doute sur son identité sexuelle ou de genre, enseignée par les écoles, est en réalité une continuation et une accentuation de la guerre faite par la science à la Nature, au corps, au vivant, au biologique depuis la révolution industrielle, voire avant (voir plus loin)
– la théorie du genre et les questionnements sexuels enseignés à l’école sont aussi un prolongement des expérimentations idéologiques, des modes et théories intellectuelles, des créations sociales dont les corps et les esprits des enfants sont les terrains de jeux.
– la promotion de la pédophilie par d’anciens ministres ou hommes politiques à l’époque de la « libération sexuelle » et du « Il est interdit d’interdire », devrait rendre prudents les pédagogues zélés d’avant garde et les parents…
– il serait judicieux de se demander pourquoi Sade (XVIIIe siècle), incarnation de l’aristocrate prédateur et criminel de la société d’Ancien régime, a été transformé par toute la culture libertaire des années 60 en un modèle d’émancipation à suivre, et pourquoi le « philosophe » médiatique Raphaël Enthoven en a fait son maître à penser.
– on fait passer pour réactionnaire le refus de telles intrusions, alors qu’elles sont précisément un retour des théories sexuelles des années 60 et 70 qui ont mené à tant de dérives en particulier dans le milieu de l’éducation
– faut-il rappeler qu’il y a encore quelques années on considérait à l’hôpital qu’il n’y avait pas de souffrance chez le nouveau-né, et pas de conscience chez l’enfant de moins de 5 ans ? Comment se fait-il qu’aujourd’hui, par un étrange renversement, on l’amène à s’infliger autant de souffrances et à prendre autant de décisions précipitées ?
– imposer à un enfant ou un adolescent des questions qu’il ne s’est pas posé spontanément, c’est aller à l’encontre de son corps, de sa maturation, de lui-même, de son évolution naturelle.
– pourquoi ne pas demander à un enfant s’il a essayé de se scarifier ou encore autre chose pour savoir s’il en retire du plaisir, auquel cas il faudrait alors l’orienter vers le masochisme ou d’autres formes de sexualité ?
– pourquoi ne pas faire des programmes pour proposer dès l’enfance des substances telles que CBD, la Ritaline etc. afin qu’ils aient le choix, en leur disant qu’ils ont le droit de remplacer le calme naturel par des substances ?
– y-a-t-il vraiment une différence entre la violence patriarcale et archaïque de l’excision d’une petite fille africaine et l’opération proposée à un petit garçon occidental non informé des conséquences et manipulé par quelques idéologues bien-pensants ?
– l’enfant manque de discernement dans beaucoup de ses choix : l’accoutumance spontanée au sucre peut l’amener à toutes sortes de dépendances. Faut-il donc l’orienter vers tout ce qui peut le séduire très jeune ?
– est-on vraiment dans le libre choix lorsque le changement de genre est fortement valorisé par toute la société et la culture des jeunes ? – c’est toujours l’adulte qui imagine et oriente les questions à partir de modes intellectuelles jamais interrogées par les éducateurs qui les appliquent.
– l’obsession précoce de l’orientation sexuelle peut amener à un narcissisme et à une fixation régressive sur le corps qui va à l’encontre de l’ouverture sur le monde, sur l’autre, sur la Vie en général.
– derrière les apparences l’hypersexualisation amène aussi à se détourner de luttes communes contre un système qui justement n’a jamais été autant dominé par le capitalisme, la consommation et le divertissement blanc occidental : c’est une forme de plus de matérialisme et de consommation, tout à fait dans l’esprit du « Il est interdit d’interdire « de Mai 68 qui, après avoir été une révolte contre la société de consommation, a conduit à son exacerbation décomplexée et à un comportement prédateur vis-à-vis du Vivant en général, menant à son risque d’extinction.
– la simultanéité de l’offensive vaccinale et du Woke n’a en réalité rien d’un hasard quand on voit que la source est commune et que les résultats convergent pour créer la confusion par de fausses questions de civilisation et la division dans les populations.
– les parents sont aussi stupéfaits et démunis pour la plupart face à cette offensive que l’ont été les parents de toutes les dictatures en voyant l’école se faire l’antenne de la doxa gouvernementale.
– l’école n’est-elle pas devenue le relais étonnamment naïf et empressé, et le reflet de l’hypersexualisation des écrans et jeux vidéo à des fins commerciales, permis par les gouvernements venant du privé et collaborant avec les lobbies du privé, avec des conséquences graves en termes de comportements sexuels ?
– par quelle autorité légitime sont imposés les questionnements de la théorie du genre pour qu’elles occupent soudain une telle place et quelle en est l’origine ?
– l’imposition de ces programmes par un petit nombre de décideurs est tout sauf représentative de la volonté démocratique, tout comme de nombreux autres aspects négatifs du libéralisme imposé aux populations : santé, agriculture, médias, réseaux sociaux…
– est-ce la « civilisation » qu’on impose aux enfants ou les délires intellectuels et expérimentaux de quelques-uns ?
– n’est-ce pas un peu inquiétant de constater que c’est le même gouvernement qui enferme ses citoyens, impose la vaccination, sacrifie l’hôpital, effondre son économie et sa santé, vend la France aux multinationales et aux GAFAM, censure la liberté d’expression, réprime avec brutalité les demandes de justice sociale et fait la promotion de la théorie du genre qui s’en prend aux corps et aux consciences des enfants ? Peut-on vraiment croire chez les enseignants et leurs cadres que ce gouvernement veut le bien des enfants malgré toutes les preuves qu’il donne de sa corruption et de son cynisme ?
– concernant la question de l’Islamophobie, les programmes émanent précisément d’autorités cherchant à se déculpabiliser de fautes géopolitiques ou coloniales qu’ils en ont commises en les faisant porter à des personnes non responsables.
– comme pour le Covid, le Wokisme est une entreprise d’hyperculpabilisation des populations permettant de les manipuler, exactement comme dans la Genèse de l’Ancien Testament : c’est une nouvelle forme de religion obscurantiste basée sur le conflit avec la Nature et la culpabilité de nous considérer tel Caïn, coupable de la mort de son frère Abel.. Une réinitialisation des consciences morales par la Science dont les enseignants sont les prêtres zélés.
– les procédés de contrainte ou de violence faite au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.
3) Maltraiter le corps et la nature et culpabiliser : une continuité entre religions et science
Les bloqueurs de puberté, prises d’hormones croisées et opérations contrarient et font violence à tout un équilibre et une organisation qui ont produit et permis la vie dont nous bénéficions, et voudrait spontanément se perpétuer à travers nous. Rien de comparable au fait de nous mettre à marcher sur deux pieds ou apprendre à parler, créer pour épanouir toutes nos potentialités : il s’agit de contraindre tout notre métabolisme et nos cellules par une pression de tous les instants et une intervention extérieure en les détournant de ce qu’elles désirent naturellement.
Or, historiquement, la violence faite aux corps, appelée « soins de santé » par la prise d’hormones, la testostérone ou les œstrogènes, les bandages qui écrasent la poitrine ou le sexe, les opérations, etc. n’est que le prolongement de l’oppression de la Nature par l’agriculture intensive, les engrais chimiques, les greffes, les OGM en cherchant à lui imposer d’être à l’image de nos désirs ou de notre avidité, en un modèle qui a démontré qu’il détruisait la vie et l’Humanité.
Les procédés de contrainte, d’ablation ou de violences faites au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.
Les enseignants savent-ils et informent-ils les enfants et les jeunes que… ?
– si le taux de suicide est plus important chez les transgenres, ce n’est pas uniquement à cause de certaines discriminations, mais aussi à cause du regret et de la souffrance du corps et parce que beaucoup de transgenres se rendent compte que leur opération n’a rien changé à leur mal de vivre.
– de nombreux enfants et jeunes ont amèrement et toute leur vie regretté leur décision irrévocable après leur opération.
– l’Académie de Médecine déconseille les hormones en ces termes :
« une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles.
À cet égard, il est important de rappeler la décision récente (mai 2021) de l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm d’interdire désormais l’usage des bloqueurs d’hormones.
Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans condition d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause.
Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. » : https://www.academie-medecine.fr/la-medecine-face-a-la-transidentite-de-genre-chez-les-enfants-et-les-adolescents/
– les effets secondaires des hormones masculines sur les femmes sont les suivants : polyglobulie, prise de poids, acné, calvitie, apnée du sommeil, maladies cardiovasculaires, hypertension, diabète de type 2, troubles psychiatriques.
– les effets secondaires des hormones féminines sur les hommes sont : thromboembolie veineuse, calculs biliaires, augmentation des enzymes hépatiques, prise de poids, hypertriglycéridémie.
– on ose parler de « soins », par ailleurs remboursés et très chers alors que de nombreuses personnes ne sont pas soignées, mais surtout alors que les effets secondaires seront pires que le mal-être. Encore un détournement de langage comme dans le cas des injections.
– le sentiment de culpabilité dans le cas du Wokisme est lié à la Nature, « Environnement », aux colonies, aux guerres économiques et aux injustices sociales. Mais cette culpabilité qu’on fait porter par des non-responsables contre des non-responsables aboutit exactement au contraire de ce qu’elle voudrait, en suscitant une autre violence contre soi et les autres, sans s’en prendre aux véritables responsables, et ce n’est certainement pas un hasard, quand on voit d’où émane cette idéologie.
– avec l’éco-anxiété et le Wokisme, on aboutit aussi à une forte culpabilité personnelle et une paralysie qui inhibe l’union avec d’autres formes de résistance et on diabolise les luttes non conformes au lieu de favoriser le dialogue et l’union des forces.
– l’éco-anxiété et le Wokisme amènent à abandonner la planète précisément à ceux qui la détruisent et créent les inégalités en haut-lieu, tout en espérant qu’elle survive principalement pour eux avec une société diminuée tant psychologiquement que physiquement par le marasme et les privations.
– L’état du monde, l’extinction des espèces, la disparition des abeilles, l’urgence écologique sont là pour témoigner de la folie qu’il y a à imposer des théories humaines à courte vue sur le vivant, sur un ordre naturel se déployant depuis des millions d’années… Allons-nous aveuglément appliquer aux enfants les détournements et expérimentations imposées à la Terre, aux végétaux et aux animaux ?
4) Une école semblable au Meilleur des mondes d’Aldous Huxley
Les enseignants ne devraient-ils pas s’interroger sur le fait que l’hypersexualisation des enfants a été annoncée par Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes, décrivant à Londres l’organisation d’une société de castes où l’ignorance, la bêtise, les stupéfiants, la consommation et le divertissement règnent en maîtres afin de contrôler les populations soi-disant pour leur éviter des guerres ? Si Le meilleur des mondes est au programme des classes de lycée depuis des décennies, c’est parce qu’Aldous Huxley, il l’a clairement dit lui-même, nous a tout simplement mis en garde à travers lui contre notre avenir programmé :
– remise de leur liberté par les citoyens à l’establishment après une grande guerre
– état mondial scientifique conditionnant les individus
– hyper-sexualisation des enfants
– mépris et dévalorisation de la famille et de la conception biologique au profit de la culture et de la manipulation in vitro des embryons ;
– psychotropes dès l’enfance et prise constante de soma, euphorisant de type Prozac
– vie des « sauvages » dans des réserves en dehors de l’état mondial
– apprentissage par suggestion hypnopédique (en dormant)
– dépréciation des sentiments au profit du plaisir
– non-conformisme et sentiments non dictés par le plaisir considérés comme une menace pour la société
5) La « Destruktion », des valeurs occidentales du philosophe Heidegger appliquée dans la « déconstruction » à la mode.
Les proviseurs,, principaux, directeurs, enseignants, ne devraient-ils pas questionner le fait que la fameuse « déconstruction » des repères sociétaux et intellectuels, utilisée dans la théorie du genre, trouve sa source dans la « Destruktion » généralisée des certitudes occidentales, voulue par le philosophe allemand Heidegger, membre convaincu du parti nazi, non SS, mais fonctionnaire de l’Université ? Le concept est en fait hérité d’Heidegger lui-même.
On peut parler de « constructions » sociales pour les inégalités hommes-femmes et les rôles rigides qui leur sont assignés. En revanche, sauf si on est solipsiste ou schizophrène, le Réel se définit précisément par ce qui n’a pas besoin qu’on y croie pour exister : c’est ce qui produit et soutient la vie, en dehors des idéologies changeantes. Le sexe biologique n’a donc rien à voir avec une construction sociale, et c’est la construction sociale idéologique de l’Occidental qui s’attaque au Réel quand elle s’attaque à la biologie. Ce n’est pas une révolte de notre vraie nature contre la société qui l’opprime, c’est au contraire une ruse de la société, et des plus dominants (scientifiques, théoriciens les plus à la pointe de l’esprit occidental, pour continuer à opprimer la Nature aux sources mêmes du Vivant en nous. Et c’est à l’opposé de ce que font les sociétés traditionnelles les plus respectueuses de la Nature, de la femme et du corps, dont parlait en particulier Marija Gimbutas, la chercheuse lituanienne qui a beaucoup travaillé sur le culte de la Grande Déesse qui a précédé les religions du Livre patriarcales.
6) Les enseignants instaurent-ils des discussions autour de cette édifiante histoire anglaise ? La fermeture de la Tavistock and Portman clinic de Londres
L’affaire nationale Keira Bell au Royaume Uni et la Tavistock and Portman Clinic
Pourquoi la Tavistock and Portman, la clinique de changement de genre la plus célèbre du monde a-t-elle été contrainte de fermer ses portes ?
Le Tavistock and Portman NHS Trust, la clinique de changement de genre la plus célèbre d’Angleterre, contrainte de fermer ses portes pour mise en danger de la sécurité de ses patients.
le 1er décembre 2020, la Haute Cour de Londres avait donné raison à Keira Bell qui avait attaqué la célèbre Tavistock and Portman NHS Trust pour avoir influencé et précipité son changement et a jugé que l’on ne pouvait pas considérer qu’un enfant puisse faire preuve d’un consentement éclairé pour demander un changement de genre. » ? Les avocats de la clinique ont ensuite réussi à lui donner tort mais Keira Bell a déclaré : « Je suis surprise et déçue que le tribunal ne se soit pas inquiété du fait que des enfants âgés d’à peine 10 ans aient été mis sur la voie de la stérilisation ». Toutefois, elle affirme être « ravie » d’avoir contribué à faire « la lumière sur les pratiques obscures de l’un des plus grands scandales médicaux de l’ère moderne »
Mais un nouveau rebondissement eut lieu pendant l’été 2022.
Cette même clinique spécialisée dans le transgenre, la Tavistock and Portman NHS Trust, va fermer ses portes en 2023 suite à de nombreux procès de la part de filles transgenres et de nombreuses dénonciations de son personnel ayant révélé le surdiagnostic de dysphorie et poussé aux opérations précoces :
« Le GIDS a fait l’objet d’un examen approfondi ces dernières années, un certain nombre d’anciens membres du personnel ayant fait part publiquement de leurs préoccupations concernant le “surdiagnostic” de la dysphorie de genre, les conséquences des interventions médicales précoces et l’augmentation significative des renvois de filles s’interrogeant sur leur identité de genre — une tendance qui se reflète en Europe et dans le monde. » Source :
https://www.theguardian.com/society/2022/jul/28/tavistock-gender-identity-clinic-is-closing-what-happens-next
En raison de craintes pour la sécurité des patients, le service national de la santé du Royaume-Uni (NHS) a annoncé la fermeture de la plus grande clinique pédiatrique du monde spécialisée dans le traitement de la dysphorie de genre, le Gender Identity Development Service in London (GIDS), connu sous le nom de Tavistock.
Cette annonce fait suite aux recommandations émises par Dr Hilary Cass, mandatée par le gouvernement britannique pour procéder à un examen indépendant de ce service spécialisé. Le Dr Cass a estimé que le modèle de traitement fondé sur l’affirmation du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » car ses interventions reposent sur des preuves insuffisantes et son modèle de soins expose les jeunes à un « risque considérable » de mauvaise santé mentale. Récemment, la Suède et, avant elle, la Finlande en tant que pionnière, se sont distancées du modèle de traitement affirmatif du genre pour les enfants et adolescents dysphoriques.
Au-delà du cas spécifique de Tavistock, ce sont les normes de soins de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH) auxquelles se réfèrent l’Office fédéral de la santé et les médecins qui pratiquent dans les consultations spécialisées des services de pédiatrie d’hôpitaux cantonaux, qui sont ainsi mises en question.
Le rapport intermédiaire de Dr Cass souligne notamment un manque profond de preuves et de consensus médical sur la meilleure approche pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants. Il déplore qu’en dépit des controverses et des incertitudes, les services spécialisés prennent la déclaration des jeunes de se ressentir du sexe opposé comme point de départ du traitement, en négligeant les conditions de santé mentale concomitantes.
Source : https://www.amqg.ch/fermeture-tavistock
7) Les anciennes sociétés matriarcales que semblent regretter les Woke sont à l’inverse des pratiques transgenres
– dans le système matriarcal, on est conscient de faire partie d’une intelligence qui nous dépasse et nous grandit, on est précisément dans la valorisation et la sacralisation de la Nature, la compréhension et l’adaptation aux lois naturelles, et pas le contraire.
– il y a dans le transgenre une forme de scarification et d’automutilation, de castration qui rejoint la violence faite à la Terre et la violence des sociétés patriarcales. Le transgenre promu par les programmes n’a rien d’initiatique et n’a rien à voir avec les Heyokas Indiens ou « clowns sacrés » d’Amérique du Nord.
8) Collaboration avec les inégalités communautaires, oppression de la femme et inversion accusatoire
Le Fascisme, c’est précisément l’imposition d’une volonté de puissance qui exalte le masculin : physique, intellectuelle, technologique aux plus démunis : les enfants et les anciens, la femme et la Nature.
Il y a une grande hypocrisie de la part des partis de Gauche qui méprisent et dénoncent profondément les religions mais se voilent la face en acceptant que les femmes se voilent par clientélisme politique pour ce qui touche au communautarisme en défendant le patriarcat, le relativisme et le droit du plus fort plutôt que l’universalité des droits humains affichés.
Notons que l’enseignement du Christ lui-même dans les Évangiles est émancipateur pour la femme et à l’opposé du patriarcat, et à distinguer des constructions sociales des différentes branches telles que Catholicisme, Orthodoxie, Protestantisme, qui ont hérité des sociétés où elles sont nées, et où la religion a emprunté des cadres préexistants, comme l’Islam.
Le véritable réactionnaire et obscurantiste est le Woke lorsqu’il soutient une pratique extrêmement patriarcale et non inscrite dans le Coran, le Voile, en prétendant défendre un droit personnel et culturel, le Wokisme protège en réalité des courûmes patriarcales et attaque des droits humains. La charia qui permet la lapidation ou le féminicide pour adultère, tout comme la Loi ancienne juive ou les Lois de Manou des castes indiennes, est l’expression par excellence d’une « religion » du père diabolisant le corps et la femme et ne lui attribuant de valeur que dans le travail domestique ou agricole, ou cet autre « travail » qu’est la procréation, puis l’élevage des enfants, au bénéfice d’une société masculine, ce qui est la définition même de l’aliénation.
Historiquement, il est difficile de trouver modèle plus « mâle dominant violeur » que l’Islam politique qui en quelques décennies avait conquis militairement le monde de l’Espagne aux frontières de l’Inde et était déjà en de constantes guerres tribales intestines.
On peut se demander qui a intérêt à tenir la société par de si grosses ficelles, et répondre à cette question assez facilement en se souvenant que les Frères Musulmans sont les grands amis des Capitalistes, car ils sont conservateurs pour les mœurs et libéraux en économie : ils tiennent ainsi sagement la société en laisse pendant que les Capitalistes font leurs affaires.
On est donc bien loin des idéaux de la Gauche.
C’est précisément parce qu’ils sont universels que les droits doivent être défendus partout et que personne n’a le droit, dans un état de droit, de faire porter sur des descendants ou n’importe qui des problèmes historiques.
9) De la culpabilisation à l’agression contre soi ou l’autre : psychologiquement, le Woke peut être manipulé par plusieurs choses :
– son propre ressentiment et son désir de vengeance contre une société dont il se sent exclu
– la culpabilité d’être un privilégié par son niveau ou son confort de vie
– la culpabilité des guerres occidentales contre les pays arabes et musulmans
– les arguments de certains prédicateurs musulmans
– la perspective d’une vie sans culpabilité
– le confort et le soulagement d’avoir trouvé un terrain de focalisation : son corps, ou un terrain de combat avec des responsables : ses ennemis classés à « l’extrême-droite », représentant ses propres refoulements et sa peur de voir la simple la réalité, alors qu’ils se battent précisément pour les valeurs que lui prétend défendre.
– la volonté des politiques et des néo-libéraux de diviser la société pour la contrôler, exactement comme ils ont importé de la main-d’œuvre bon marché non syndiquée et prête à tout pour casser les luttes sociales, en provenance des anciennes colonies, puis ont organisé le regroupement familial alors que commençait la crise économique des années 70, contre l’avis même de la Gauche communiste à l’époque, qu’on ne pouvait qualifier de fasciste.
10) De Francis Bacon au Woke : la modernité scientifique vise à la soumission du vivant jusqu’au nucléaire, aux OGM, à la culture des cellules souches, aux vaccins ARNm, et au Transgenre à travers le viol de tous les sanctuaires naturels ou humains.
La domination biologique de la Nature est l’essence même du patriarcat scientifique, religieux et sociétal. À partir du travail du philosophe David Fideler
Le père de la « Modernité » anglaise, modèle fondateur de la méthode scientifique occidentale, fut Francis Bacon (1561-1626). Il participa lui-même à des procès contre des « sorcières » et a expliqué dans son ouvrage Novum Organum (« Un nouvel Organe », titre très révélateur dans ce sujet touchant au patriarcat et au transgenre…), que la science était comme « une inquisition », que la nature devait être « l’esclave de l’humanité », qu’elle se révèle lorsqu’elle est « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée » « La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de “recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin” et d’établir la “domination de l’homme sur l’univers.” En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la “naissance véritablement masculine du temps” et fera de la nature “l’esclave de l’homme”, écrit en citant Francis Bacon le philosophe américain David Fideler auteur de Restoring the Soul of the World, Our Living Bond with Nature’s Intelligence (Inner Traditions, 2014, “Restaurer l’Âme du monde, notre lien vivant avec l’intelligence de la Nature”, non traduit).
Un viol scientifique et technologique que prolongent le Woke et le Transgenre
11) “La nouvelle expérience : mettre la nature au pilori” Intégralité de l’article de David Fideler :
“Au fur et à mesure que la nature était modelée en machine pendant la période de la révolution scientifique, un nouvel esprit a commencé à naître dans lequel la nature n’était pas considérée comme ayant une valeur intrinsèque, mais seulement comme un objet d’utilisation humaine — et comme un objet de contrôle technologique.
Écrivant vers la fin du XVIe siècle, Francis Bacon a utilisé, pour décrire cette nouvelle idée de domination de l’homme sur la nature, un langage dont l’imagerie est choquante pour de nombreux lecteurs contemporains. Ce bref extrait de la philosophie de Bacon est tiré de L’âme du monde, chapitre 8, ‘In the Name of Utility: L’exploitation de la nature et le déclin du plaisir ».
À l’instar de René Descartes dans sa quête d’une science universelle, Francis Bacon (1561-1626) a parlé d’un novum organum, un ‘nouvel instrument’ de recherche humaine qui satisfera les ambitions impériales de l’humanité sur le monde naturel. Cette nouvelle méthode, écrit-il, s’appliquera ‘non seulement aux sciences naturelles mais à toutes les sciences’ et ‘embrassera tout’. La nouvelle méthode d’enquête permettra une connaissance universelle et objectivée. Elle est comme un instrument, ‘une nouvelle machine pour l’esprit’, qui guidera infailliblement l’humanité pour comprendre le monde tel qu’il est réellement. Dans ce processus de connaissance de la réalité, Bacon nous assure que l’esprit ne sera pas ‘laissé à lui-même, mais guidé à chaque pas et que l’affaire sera faite comme par une machine’. De cette façon, l’humanité acquerra une connaissance infaillible et une maîtrise totale de la nature.
La clé de la domination de la nature par Bacon réside dans la méthode expérimentale, et la ligne de démarcation entre expérimentation et domination n’est jamais distincte. La seule raison de l’expérimentation, en premier lieu, est d’acquérir le pouvoir sur le monde. Comme le souligne Carolyn Merchant, l’image de la nature qui guide Bacon est celle d’une femme qui attend d’être dominée et violée, et il jure à ses lecteurs que la nouvelle philosophie fera de la nature l’” esclave même de l’humanité ».
Bacon a écrit que « la nature se montre plus clairement sous les épreuves et les vexations de l’art que lorsqu’elle est laissée à elle-même ». En d’autres termes, la voie sûre vers la compréhension passe par l’expérimentation mécanique. Pour Bacon, l’expérimentation est « une inquisition », dans laquelle la nature est contrainte de livrer ses secrets cachés. Dans le cadre de ses fonctions professionnelles, Bacon était un inquisiteur légal impliqué dans les procès de sorcellerie contemporains, ce qui a profondément influencé son langage et son imagerie concernant la domination de la nature. Au cours de ces procès, des confessions étaient arrachées par la torture à des femmes innocentes exposées sur le chevalet. De la même manière, Bacon insiste sur le fait que les expériences mécaniques de la nouvelle philosophie doivent approcher la nature « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée ». Grâce à l’expérimentation, il sera possible de faire avouer à la nature des choses qu’elle ne pourrait pas avouer dans le cadre d’un examen moins rigoureux. Mais une fois son secret dévoilé, on peut la forcer à le révéler encore et encore. Ainsi, Bacon explique que le chercheur scientifique doit « suivre et pour ainsi dire traquer la nature dans ses pérégrinations, et vous pourrez, quand vous le voudrez, la conduire et la ramener au même endroit ». Grâce à cette expérimentation, l’homme pourra « pénétrer plus avant », dépasser « les cours extérieures de la nature » et « trouver enfin un chemin vers ses chambres intérieures ».
Puisque la mesure du savoir est le pouvoir, la nouvelle philosophie vise les découvertes utiles. Ainsi, écrit Bacon, les arts mécaniques ne se contentent pas « de guider avec douceur le cours de la nature ; ils ont le pouvoir de la conquérir et de la soumettre, de l’ébranler dans ses fondements ». Puisque « la domination de l’homme sur la nature ne repose que sur la connaissance », la clé de la maîtrise du monde par l’homme réside dans la recherche scientifique organisée. De cette façon, les découvertes de nombreux chercheurs seront réunies dans une entreprise commune et le savoir s’accroîtra progressivement. Bacon appelle à un effort commun, exhortant tous les hommes à faire la paix entre eux afin qu’ils puissent se tourner « avec des forces unies contre la Nature des choses, pour prendre d’assaut et occuper ses châteaux et ses forteresses, et étendre les frontières de l’empire humain, aussi loin que Dieu tout-puissant dans sa bonté puisse le permettre ». La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de « recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin » et d’établir la « domination de l’homme sur l’univers. » En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la « naissance véritablement masculine du temps » et fera de la nature « l’esclave de l’homme ».
12) L’EVRAS en Belgique
En Belgique, depuis 2012, l’EVRAS, Éducation à une Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle, est une matière obligatoire, même si tous les établissements n’obéissent pas, en particulier ceux l’enseignement catholique.
L’EVRAS se présente comme une prévention contre l’hypersexualisation et la pornographie dans la société, phénomènes entraînant de mauvais repères et un mauvais vécu sexuel, et une information contre la discrimination, pour promouvoir l’amour et le respect mutuel chez les jeunes.
Il s’agit d’instaurer un « climat naturel, où on peut aborder beaucoup de choses sans jugement »
Sur demande de l’école, l’EVRAS peut commencer en maternelle et il est souhaité qu’elle se poursuive tout au long du cursus scolaire, donc systématiquement chaque année. On peut regretter au passage qu’autant de moyens ne soient pas dévoués à l’enseignement de l’histoire réelle de l’Humanité, du système bancaire, des dictatures et de la mondialisation, car nul doute que nos problèmes disparaîtraient en une génération.
Des dizaines d’organisations se sont regroupées pour faire pression sur le monde politique. Afin que l’EVRAS soit généralisée. Déjà en 2010, on lisait sur le site de l’OMS :
« Madrid, 20 octobre 2010 – L’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance. » et les rapports Kinsey
Cela rappelle fortement, juste après la Deuxième Guerre mondiale, les rapports Kinsey, fortement biaisés par les catégories sociales hors-norme, telles que des prostituées, qui avaient constitué la base des sondages déterminant un état des lieux de la sexualité des Américains moyens…
Et ce n’est pas pour rien : Alfred Kinsey, professeur d’entomologie et de zoologie, est appelé le « père de la révolution sexuelle », et il avait lui-même une sexualité débridée et « complexe » (bisexualité, union libre et masochisme). Il manipula les études dans le but de faire exploser les cadres sociaux.
Les rapports Kinsey s’étendaient sur la riche sexualité des bébés auxquels à aucun moment on avait demandé s’ils étaient d’accord pour participer à ces expérimentations. Tout comme en 2021 Stéphane Bancel, le PDG néo-milliardaire de Moderna, n’avait pas demandé l’autorisation de tester son injection ARNm aux enfants de 6 mois qu’il utilisait.
Sans faire de mauvais esprit, l’EVRAS, avec son statut d’« expert », profite donc d’un énorme problème sociétal, l’hypersexualisation et la pornographie, permis et encouragé par tout un système, entre autres par la « libération sexuelle » depuis les rapports Kinsey, pour apporter une « solution » elle-même produite par le système. C’est un processus identique au processus virus/vaccin déjà produit et promu par l’OMS avec le même vocabulaire : « égalité des chances », « information », « respect », « bienveillance ».
Tout n’est certainement pas à condamner, et on peut croire aux bonnes intentions d’un certain nombre de pédagogues et intervenants EVRAS… tout comme des vaccinateurs et applicateurs zélés des mesures sanitaires. Le problème est que tout le passé des organisations et des trusts derrière ces idéologies témoigne contre eux, à commencer par le Covid. Et on connaît la suite de ce qui est présenté aux Maternelles.
Alors tout simplement, pourquoi ne pas pénaliser la pornographie violente si elle est si dommageable ? À cause des restes de la « libération sexuelle » contre l’ancien ordre moral, parce qu’il ne faut pas intervenir sur le marché qui fait loi, le plus grand crime étant d’empêcher la croissance, et parce qu’il faut continuer à déstructurer la société pour mieux lui imposer ensuite des lois absurdes et des manipulations indécelables…
Par ailleurs, si la pornographie est un problème qui touche les préadolescents ou adolescents, pourquoi en parler dès la maternelle, voire dès la naissance ?
Pourquoi ne pas associer plus étroitement les parents, en faisant une grande campagne contre la pornographie ?
Manipulation du vocabulaire et fin de la vie privée : novlangue et totalitarisme soft
Les jeunes non-hétérosexuels se disent « non-binaires »…. du coup qualifier l’hétérosexualité de « binaire », c’est un peu discriminatoire… On n’est pas loin de « primaire » et « obtus », « manichéen », les termes ne sont pas neutres…
La pudeur n’est pas nécessairement le signe d’une névrose, mais le signe qu’on a gardé le sens de l’intimité, du domaine du privé et du respect de certains sujets dont on connaît intuitivement l’enjeu capital : la Vie et l’Amour. Et parfois on voudrait juste vivre ça avec soi-même ou avec ceux qu’on a choisis.
On parle souvent de la fin de la vie privée dans les temps qui sont les nôtres. C’est une caractéristique des systèmes totalitaires. Intrusion dans la vie intime des jeunes des la naissance, suggestion de modifications physiologiques, euthanasie qui avance, on prépare la fin de la vie privée dès la naissance, et on termine par la privation de la fin de vie dans la vieillesse.
L’Amour et la Conscience sont précisément les sanctuaires et les refuges de cette vie privée, intime, nous ouvrant sur l’Universel. C’est pourquoi ils ont toujours été suspects et persécutés ou dévalorisés, aussi bien chez les marxistes que les capitalistes et les fascistes. Et les théocraties n’étaient pas en reste, car l’amour et la conscience sont ce qui nous relie directement à la transcendance, sans besoin d’idéologues ni de prêtres jaloux, laïques ou religieux. Ils nous relient à la Source et à l’Océan, et démasquent tout le factice des totalitarismes.
Version du 2 février 2023
Version du 30 janvier 2023
www.thesouloftheworld.com
Quelques pistes :
La fabrique de l’enfant transgenre, Céline Masson, Caroline Eliacheff, 2022
La fabrique de l’enfant transgenre, Céline Masson, Caroline Eliacheff, 2022
https://www.editions-observatoire.com/content/La_fabrique_de_l%E2%80%99enfant_transgenre
La théorie du genre ou le monde rêvé des anges, Bénérice Levet, Grasset, 2014
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapports_Kinsey
Mauvais genre – une épidémie mondiale Documentaire de 90 minutes, réalisé par Sophie Robert
Sommes-nous face à une épidémie de transidentité chez les jeunes ? D’où vient-elle et comment expliquer ce phénomène ? Quelles en sont les conséquences ? Qu’est-ce que le transgenrisme ? « Mauvais genre – une épidémie mondiale » le premier documentaire critique de l’idéologie du genre. « Mauvais genre – une épidémie mondiale » pose la problématique générale, questionne la réalité de cette épidémie et les différents facteurs qui ont concouru à l’explosion des chiffres. Il met en évidence le phénomène des influenceurs trans, la contamination par les pairs, la fragilité spécifique des jeunes autistes/TDAH, des jeunes homosexuels (en particulier des jeunes femmes non conformes aux stéréotypes de genre) et des jeunes avec antécédents psychiatriques vis-à-vis de cette propagande. Ce film déconstruit les arguments des transactivistes et les confronte à la réalité. Il met en évidence que ce qui est présenté comme un mouvement de mode spontané chez les jeunes, de personnes victimisées et brimées, est piloté par de puissantes associations caritatives richement dotées et une stratégie de lobbying redoutablement efficace issue des pays anglo-saxons, qui rayonne dans toute l’Europe de l’ouest.
Woke or Smoke Screens ? Lire la suite »