PFIZER PAPERS : les crimes de Pfizer contre l’humanité

Éditions Marco Pietteur

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués sur décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin COVID-19 à ARNm de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’événements indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni bénigne, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la « maladie CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre la cohorte placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité.

Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration étasunienne était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux ».

Pfizer Papers montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.

« Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’événements indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement. »

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« Pfizer papers » : l’enquête choc sur Pfizer dévoilée en exclusivité sur Tocsin !

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