C’est une alarme. Une bombe. Une déclaration de guerre scientifique contre le silence. Après le Japon, c’est l’Allemagne qui bascule. Neuf professeurs, médecins, scientifiques de haut niveau appellent à l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm. Pas demain. Pas plus tard. Maintenant.
Ils dénoncent une catastrophe sanitaire masquée par les autorités et les médias : hausse de la surmortalité, maladies chroniques inexpliquées, et surtout chute brutale des naissances. « Nous lançons un avertissement urgent et appelons à un moratoire total sur les vaccins à ARNm. » Les données sont accablantes : Corrélation forte entre vaccination, surmortalité, morbidité et effondrement démographique. » Déclaration officielle de la conférence, cosignée par 200 professionnels.
QUI OSE ENCORE PARLER ?
Voici les noms des neuf intervenants. Ce ne sont ni des anonymes, ni des youtubeurs. Ce sont des sommités dans leur domaine, avec des dizaines d’années d’expérience, des centaines de publications scientifiques.
– Dr Gerald Dyker — Professeur de chimie à l’Université de la Ruhr, expert en nanomatériaux.
– Dr Andreas Sönnichsen — Professeur de médecine interne, auteur reconnu, président du Réseau allemand de médecine factuelle.
– Dr Kurt E. Müller — Spécialiste en dermatologie environnementale, médecine préventive, pathologies non infectieuses.
– Prof. Konstantin Beck — Statisticien, expert en assurance santé et démographie.
– Dr Michael Nehls — Généticien, auteur, ancien expert au Bundestag.
– Dr Erich Freisleben — Médecin généraliste à Berlin, témoin des effets indésirables.
– Dr Christian Schubert — Professeur en psychoneuroimmunologie, directeur de laboratoire.
– Christina Delprete — Pharmacienne suisse, experte en normes de fabrication.
– Dr Dirk Seeling — Psychologue, animateur de la conférence.
Et plus de 200 signataires : médecins, avocats, psychologues, chercheurs, tous unis pour une chose : stopper l’expérience ARNm.
LES FAITS QUI DÉRANGENT
– Les pays les plus vaccinés sont ceux où la surnatalité s’effondre.
– Les campagnes de rappel sont systématiquement suivies d’un pic de surmortalité.
– Les effets secondaires sont sous-déclarés, minimisés, ignorés.
– Les agences sanitaires refusent d’enquêter sur les mécanismes d’immunosuppression, les troubles menstruels, les fausses couches, les inflammations chroniques. Les organisateurs parlent d’un effondrement biologique silencieux. Et accusent les autorités de fermer les yeux pour ne pas affoler les marchés.
UN SCANDALE MONDIAL
Le Japon a déjà recommandé l’arrêt des vaccins ARNm dans son propre rapport d’expertise. L’Allemagne suit. Et d’autres suivront. Combien de temps les médias pourront-ils encore enterrer ces alertes ? Combien de temps avant qu’un procureur ose dire ce que tout médecin lucide voit déjà ? Les données existent. Les signaux sont clairs. Le mensonge, lui, devient criminel.